PHARMACOCINETIQUE. Absorption: Résorption & Premier Passage
|
|
- Antonin Marion
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PHARMACOCINETIQUE Absorption: Résorption & Premier Passage PK administration cible pharmacologique
2 ABSORPTION 1-DEFINITION administration passage Membrane biologique dégradation p.a. au 1 contact d un organe distribution «résorption» «Effet de premier Passage»
3 RESORPTION 1-DEFINITION «Processus par lequel le médicament passe de son Lieu d application dans la circulation générale.» Voies d administration concernées: -ORALE (+++) - TRANS-CUTANEE (+++) - RECTALE + TRANS-MUQUEUSES - INTRA-MUSCULAIRE - SOUS-CUTANEE
4 Données générales. La résorption se fait: Essentiellement par diffusion passive. Loi de Fick: V = Kperm. x S x (Ce - Ci) Conditionnée par: - ph du milieu. - pka du principe actif. - Liposolubilité - Forme galénique. ph = pka + log (F.I./F.N.I) ph = pka + log (F.N.I./F.I)
5 Données générales. Une bonne résorption nécessite: 1. Un p.a. soluble (hydrophile, ionisé). 2. Un p.a. pouvant passer une membrane biologique lipidique (lipophile, non ionisé).
6 Données générales. Forme galénique capitale: Sirop, solution, ampoules: p.a. déjà dissout, résorption + rapide, atteinte de l effet + rapide! Formes sèches: variable! Résorption peut être optimisée par formes galéniques spécifiques (libération prolongée, différée, enrobages gastro-résistants ).
7 Données générales. Cavité buccale Estomac Duodénum Grêle Rectum
8 2- RESORPTION GASTRO-INTESTINALE a) RAPPELS PHYSIOLOGIQUES Cavité buccale, œsophage. - Pas de résorption (temps de latence insuffisant!). - Exception: voies sub-linguales: si effet de premier passage hépatique important permet obtention effet rapide (veines linguales puis jugulaire) mais de courte durée! Ex: dérivés nitrés, angine de poitrine. - Limites: compliance + non irritant! - Développement de nouvelles formes galéniques (comprimés adhésifs): effet local recherché, pas d exposition systémique! - Risque d exposition systémique si application locale fréquente et lésions de la muqueuse buccale!
9 2- RESORPTION GASTRO-INTESTINALE Estomac: Lieu peu favorable : - Faible surface (1 m²) - Epaisse muqueuse - Faible vascularisation (0.2l/min) - Temps de latence modéré (vidange gastrique) - ph acide: 1,5 à 3,5 Mais milieu favorable: dégradation de certains composés! - Pour les médicaments acides faibles. - Pour certains médicaments bases faibles (meilleure dissolution). - Pour la transformation de certains principes actifs.
10 2- RESORPTION GASTRO-INTESTINALE Estomac: Mais milieu favorable: - Pour les médicaments acides faibles. - Pour certains médicaments bases faibles (meilleure dissolution). - Pour la transformation de certains principes actifs. - Phase biopharmaceutique: estomac (sauf formes gastro-r). Aspirine, thiopental, sécobarbital, antipyrine..
11 2- RESORPTION GASTRO-INTESTINALE Duodénum/Jéjunum: Lieu plus favorable : - Surface importante. - ph moins acide (4-5). - Présence de bile favorisant la dissolution des p.a. - Concerne la majorité des formes per os!
12 Intestin grêle (iléum): Lieu très favorable : - surface, longueur, élevées : 200 m 2, 4-5 m - ph 5 à 8 : favorise la forme non ionisée. - Forte vascularisation (1 l/min), villosités, capillaires lymphatiques - Transporteurs actifs - Bile, surfactant: accroît la solubilisation des p.a. - Concerne la majorité des formes per os!
13 Intestin grêle: Absorption favorisée, également, par de nombreuses sécrétions: - Pancréatiques (enzymes protéolytiques). - Biliaires: les sels biliaires indispensables pour l absorption des molécules liposolubles. - Intestinales: nombreuses enzymes présentes dans la lumière intestinale et /ou la membrane: disaccharisades, dipeptidases, entérokinase, cytochromes ) BIOTRANSFORMATIONS «effet de premier passage intestinal»
14 Colon: Faible surface d échange (pas de villosités). Surface et longueur plus faibles. ABSORPTION PLUS LENTE! Intéresse essentiellement: - Les composés à dissolution lente. - Les formes galéniques à délitement progressif.
15 Voie rectale Surface et longueur plus faible. Captage par: - Veines hémorroïdaires inférieures + moyennes (puis: foie!). - Veines hémorroïdaires supérieures (évite le foie!). - Atteinte partielle du tronc porte. - Résorption plus rapide que voie orale! Limitation partielle et aléatoire de l effet de premier passage hépatique!
16 3- INFLUENCE DES CARACTÉRISTIQUES PHYSICO-CHIMIQUES DU MÉDICAMENT. - RÔLE DU pka La majorité des médicaments sont : Des acides faibles Des bases faibles donc ionisables en fonction du ph! Evaluation des proportions en forme ionisée et non ionisée par les équations de Henderson-Hasselbach: - Pour les médicaments acides faibles: [FORME IONISEE] ph = pka + log [FORME NON IONISEE] - Pour les médicaments bases faibles: [FORME NON IONISEE] ph = pka + log [FORME IONISEE]
17 EXEMPLE : ASPIRINE, pka = 3. si ph =3 [FORME IONISEE] 3 = 3 + log [FORME NON IONISEE] A loga = 0 A = 1 si ph =2 50 % FORME IONISEE 50 % FORME NON IONISEE passe la membrane 2 = 3 + log A loga = -1 A = 0, 1 RAPPORT DE 1 A 10 EN FAVEUR DE LA FORME NON IONISEE 9 % FORME IONISEE 91 % FORME NON IONISEE passe la membrane
18 3- INFLUENCE DES CARACTÉRISTIQUES PHYSICO-CHIMIQUES DU MÉDICAMENT. POUR LES MEDICAMENTS ACIDES FAIBLES Si pka < 2,5 et si 2,5 < ph < 8 F.N.I. faible (peu de passage!) Si pka > 7,5 quel que soit le ph, F.N.I. prédomine (passage!) Si 2,5 < pka < 7,5 variation importante de la F.I. avec le ph! POUR LES MEDICAMENTS BASES FAIBLES Si pka < 5 insensible aux variations de ph Si 5 < pka < 11 variation importante de la F.N.I avec le ph!
19 - RÔLE DU COEFFICIENT DE PARTAGE (Liposolubilité) Caractérise la liposolubilité d une substance Ks = [ [ ]DANS SOLVANT 1 ] DANS SOLVANT 2 Solvant 1 (apolaire) : huile, benzène, heptane... Solvant 2 (polaire) : phase aqueuse. Plus le ks est élevé, plus le médicament est liposoluble. Plus le ks est élevé, plus le p.a. passe une membrane lipidique! Log P: coef de partage octanol/h 2 O (= Log Kow (octanol/water)).
20 Log P (= log Kow) : référence en R&D pharma! Etudes statistiques permettent d évaluer la capacité d un actif à passer +/- les membranes à partir de la détermination du Log P: Passage B.H.E: 2,0 Résorption orale: 1,8 Résorption sub-linguale: 5,5 Résorption percutanée: 2,6 Permet un premier crible in silico!
21 EXEMPLE : COMPOSE CHCl3 HCl(0,1N) Ks HEPTANE HCl(0,1N) - pka RESORPTION GASTRIQUE (%) ph =1 BARBITAL 0,7 <0,001 7,8 4 SECOBARBITAL 23,3 0,1 7,9 30 PENTHIOBARBITAL 100 3,3 7, RÔLE DE L HYDROSOLUBILITE Nécessaire à la phase biopharmaceutique: mise en solution des p.a. Transporteurs transmembranaires prennent en charge composés lipophiles. +
22 4- MEMBRANE GASTRO-INTESTINALE LIPIDES PROTEINE EXTRINSEQUE PROTEINE INTRINSEQUE : - Substances lipophiles diffusent à travers la bicouche lipidique. - Protéines membranaires: rôle dans les échanges des substances hydrosolubles.
23 5- LES MECANISMES DE LA RESORPTION. A- DIFFUSION PASSIVE. - sens du gradient de concentration. conduit à un état d équilibre entre les deux milieux de part et d autre de la membrane. - pas de dépense d énergie! processus : - non saturable - non spécifique - ne présente pas de phénomènes d inhibition!
24 La vitesse nécessaire pour atteindre l état d équilibre obéit à la Loi de Fick : V = D S Ks (Ce a Ci) D = coefficient de diffusion à l intérieur de la membrane Ks = coefficient de partage S = surface de la membrane a = épaisseur de la membrane (Ce-ci) = différence de [ ] de part et d autre de la membrane
25 Soit une membrane lipidique : COMPARTIMENT 1 ph = 2 FORME NON IONISEE [ Z ] Henderson Hasselbach FORME IONISEE [ X ] FICK MEMBRANE COMPARTIMENT 2 ph =7 FORME NON IONISEE [ Z ] FORME IONISEE [ Y ] Henderson Hasselbach si C1 = [ ] totale du compartiment 1 et C2 = [ ] totale du compartiment 2: A L EQUILIBRE : Médicament acide faible C1 C2 = (ph1 pka) (ph2 pka) Médicament base faible C1 C2 = (pka ph1) (pka ph2)
26 EXEMPLE 1 : Médicament à pka = 3 COMPARTIMENT 1 (MILIEU GASTRIQUE) ph = 1 FORME NON IONISEE [ 1 ] MEMBRANE COMPARTIMENT 2 (PLASMA) ph =7 FORME NON IONISEE [ 1 ] FORME IONISEE [ 0,01 ] FORME IONISEE [ ] C1 = [ ] TOTALE DU COMPARTIMENT 1 = 1,01 C2 = [ ] TOTALE DU COMPARTIMENT 2 = A L EQUILIBRE : C1 C (1 3) = (7 3) = 1, >99% résorbable! Rapide Indépendant temps de de latence
27 EXEMPLE 2 : Médicament à pka = 3 COMPARTIMENT 1 (MILIEU INTESTINAL) ph = 5 FORME NON IONISEE [ 1 ] MEMBRANE COMPARTIMENT 2 (PLASMA) ph =7 FORME NON IONISEE [ 1 ] FORME IONISEE [ 100 ] FORME IONISEE [ ] C1 = [ ] TOTALE DU COMPARTIMENT 1 = 101 C2 = [ ] TOTALE DU COMPARTIMENT 2 = A L EQUILIBRE : C1 C (5 3) = (7 3) = % résorbable Progressif Temps de de latence?
28 EXEMPLE : ASPIRINE, pka = 3. si ph =3 [FORME IONISEE] 3 = 3+ log [FORME NON IONISEE] loga = 0 A = 1 si ph =2 A 50 % FORME IONISEE 50 % FORME NON IONISEE passe la membrane 2 = 3+ log A loga = -1 A = 0, 1 Aspirine ph8 Gastro-R libération dans duodénum! RAPPORT DE 1 A 10 EN FAVEUR DE LA FORME NON IONISEE 9 % FORME IONISEE 91 % FORME NON IONISEE passe la membrane CH3-COO-C6H4-COO - + H2O CH3-COO-C6H4-COOH + HO - ion acétylsalicylate Hydrosoluble déplacement déplacement de de l équilibre l équilibre Acide acetylalicylique liposoluble progressivement progressivement absorbé absorbé Résorption très lente et partielle, limitation toxicité digestive!
29 B- DIFFUSION FACILITE. - Sens du gradient de concentration Vitesse souvent > à celle de la diffusion passive - Pas de dépense d énergie. processus : - Par transporteur (protéines membranaires intrinsèques). - Saturation et inhibition possibles!
30 C- TRANSPORT ACTIF. EXISTENCE D UN TRANSPORTEUR SPECIFIQUE DU MEDICAMENT ETUDIE! MEMBRANE COMPARTIMENT 1 COMPARTIMENT 2 M T M T T M T - Nécessite un apport d énergie (ATP) - Mécanisme saturable: cinétiques non linéaires! Ex: vit.c. - Inhibition compétitive - Inhibition non compétitive - Transporteurs surtout présents au niveau intestinal.
31 6- FACTEURS MODIFIANT LA RESORPTION DIGESTIVE. - DEGRADATION CHIMIQUE (hydrolyse acide, estomac) - METABOLISATION (effet de 1 passage intestinal) - COMPLEXATION - ALIMENTATION - INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES (variations ph, complexation) - ETATS PHYSIO-PATHOLOGIQUES - VIDANGE GASTRIQUE +/- 30% ±30% - DEBITS SANGUINS - FORTES VARIABILITES INTER- ET INTRA-INDIVIDUELLE!!
32 7- RESORPTION & ALIMENTATION. Prise alimentaire: - Baisse ph gastrique. - Augmente motilité intestinale. - Réduit vidange gastrique. - Augmente débits sanguins splanchniques. - Augmente sécrétion biliaire. Ex: Prise alimentaire & antirétroviraux oraux: SAQUINAVIR NEVIRAPINE Molécule DIDANOSINE INDINAVIR RITONAVIR ZALCITABINE NELFINAVIR Prise à jeun à distance vs repas? Ø graisse pendant indifférent pas pas d effet effet de de classe! classe!
33 Respect de la prise vs alimentation: parfois problématique! Atripla : evafirenz + ténofovir + emtricitabine one-pill, once-a-day. Prise à jeun! Evafirenz: effets secondaires accrus si prise prendant les repas! Mais ténofovir: variations et risque de perte de 35% de sa biodisponibilité si prise à jeun! Incohérence Cohérence marketing PK Ex: Prise alimentaire & antirétroviraux oraux: SAQUINAVIR NEVIRAPINE Molécule DIDANOSINE INDINAVIR RITONAVIR ZALCITABINE NELFINAVIR Prise à jeun à distance vs repas? Ø graisse pendant indifférent
34 Respect de la prise vs alimentation: parfois problématique! Ex: Riamet (arteméther + luméfantrine): traitement des accès palustres non-compliqués. Nécessité PK de prise pendant repas! - Prise pendant les repas (ou: 1.5 g lipides) - Luméfantrine: résorption OK uniquement si prise alimentaire! - Accès palustre: syndrome anorexique + nausées/vomissements! - Perte de 90% de la biodisponibilité initiale luméfantrine si prise à jeun! - Equivaut à monothérapie arteméther! Echappement thérapeutique, risque risque de de résistances?
35 8. ABSORPTION CUTANEE. La pénétration des drogues s effectue par le passage à travers les membranes des différentes couches cellulaires constituant la peau: - stratum corneum - derme - épiderme Passage transcutané: couche cornée, étape limitante! 1 voie: diffusion à travers les kératinocytes. Structure dense, 1/2 cristalline, diffusion faible. 2 voie: diffusion à travers masses lipidiques entre kératinocytes. Passage non-transcutané.
36 Passage du derme. Dissolution des molécules dans l eau cytosolique. Diffusion aisée, sauf lorsque les p.a sont: - Très hydrophobes (dissolution OK?) - Très hydrophiles (passage membranaire OK?). Atteinte des capillaires. Diffusion médicamenteuse dans la substance basale comprise entre le collagène (derme) et les fibres d élastine (capillaires). Passage par les follicules pileux. Possibilité de dissolution dans le sébum capillaires.
37 8. ABSORPTION CUTANEE
38 Facteurs de variations: - Patient: - Etat physiopathologique: hydratation et abrasion de la peau, existence de lésions/brûlures, syndromes inflammatoires... - Surface d application. - Température du tissu cutané. - Tissu adipeux, hydratation. - Localisation. - Age. - Origine ethnique: variations dans les vitesses de résorption! PÉNÉTRATION!
39 Facteurs de variations: - Principe actif: taille de la molécule, lipophilie. Petites Molécules diffusent mieux: coefficient de diffusion inversement proportionnel à la racine carrée de la masse molaire (quand transport passif). Molécule Lipophiles passent membranes biologiques. Coefficient de partage Huile/Eau (Ks) doit être élevé. - Forme galénique: couple véhicule/principe actif. Mise à disposition du p.a meilleure si couple hétéro (ex: véhicule lipophile/ p.a. Hydrophile). Principe Actif non ionisé passe mieux les membranes. Système occlusif: pénétration.
40 En résumé: Peu de molécules pénètrent la peau et ont un effet systémique à partir d une application topique (nécessité de développer des systèmes transdermiques: patchs pour palier biodisponibilité faible à nulle). Agents favorisant pénétration: couches profondes, pas systémique! Absorption proportionnelle à la surface d exposition. Véhicule lipophile, massage: pénétration et risque de passage dans la circulation générale. Risque d exposition systémique non souhaitée si lésions étendues!
41 9. AUTRES RESORPTIONS Autres sites de résorption: - Intra-musculaire. - Sous-cutanée. Vitesse de résorption dépend de vascularisation au site d injection, volume injecté, liposolubilité, osmolarité... - Intranasale. - Ophtalmique. - Vaginale. - Pulmonaire. Vitesse et quantité résorbée très variable: forme galénique, ph, états physiopathologiques Effet local recherché le plus souvent, mais risque de passage systémique! Ex: β-bloquants ophtalmiques, diffusion systémique fréquente! Dépend de la taille des particules, débit sanguins, états physiopathologiques: conditionne atteinte des alvéoles!
42 10. QUE FAIRE SI MAUVAISE RESORPTION ORALE? Objectif: faire une forme orale simple! Si faible résorption: formulation galénique plus complexe pour: - Protéger le p.a si dégradation enzymatique/ hydrolyse. - Contrôler la phase biopharmaceutique: libération du p.a à un endroit précis du tractus digestif. - Formes à libération contrôlée. - Si pas de solution galénique: solution pharmacochimique: pro-drugs? Si aucune solution: faire du parentéral?
43 Exemple: valaciclovir (Zelitrex ) Biodisponibilité: 10-15% Mauvaise résorption (dégradation digestive) aciclovir 5 prises quotidiennes! valaciclovir Valaciclovir aciclovir 2 prises quotidiennes! Activation hépatique en aciclovir! Biodisponibilité 54% Précurseur métabolique, non touché par dégradation digestive.
44 Exemple: Vistonuridine (antidote surdosage chimiothérapie 5-FU) Biodisponibilité: <10% Mauvaise résorption orale uridine plasma time vistonuridine Biodisponibilité: +++ Bonne résorption orale Prodrug permet atteinte seuil efficacité! Conversion hépatique, taux taux d uridine circulante x8 x8 si si prise de de Vistonuridine!
45 EFFET DE DE PREMIER PASSAGE 1-DEFINITION «perte de médicament par métabolisme avant son arrivée dans la circulation générale, des son premier contact avec l organe responsable de la biotransformation»
46 Notion de biodisponibilité: «Quantité de médicament atteignant la circulation générale après administration.» Conjonction de 2 phénomènes: - Résorption (f). f = 0.7 f = Effets de 1 passage (f ). F = f x f F = 0.7 x 0.42 = 30% 30%
47 Notion de biodisponibilité: «Quantité de médicament atteignant la circulation générale après administration.» Conjonction de 2 phénomènes: - Résorption. - Effets de 1 passage. Essentiellement: premier passage hépatique Existe effet de premier passage digestif! Existe premier passage pulmonaire!
48 Premier passage hépatique: rappels physiologiques. Veines sus-hépatiques Premier passage pulmonaire! Premier passage hépatique! Foie Veine cave Veine porte Tube digestif Premier passage digestif! distribution
49 Premier passage hépatique: rappels physiologiques. On peut limiter l effet de de premier passage par le le choix de de la la voie d administration!
50 2-INFLUENCE DE LA VOIE D ADMINISTRATION POUMONS VOIE INTRAARTERIELLE (I A) COEUR TISSUS distribution REINS ELIMINATION URINAIRE SANG VEINEUX SANG ARTERIEL MUQUEUSE INTESTINALE FOIE ELIMINATION FECALE LUMIERE GASTROINTESTINALE ELIMINATION BILIAIRE Pas de premier passage hépatique!
51 POUMONS COEUR VOIE INTRAVEINEUSE (IV) TISSUS distribution REINS ELIMINATION URINAIRE SANG VEINEUX SANG ARTERIEL MUQUEUSE INTESTINALE FOIE ELIMINATION FECALE LUMIERE GASTROINTESTINALE ELIMINATION BILIAIRE Pas de premier passage hépatique!
52 POUMONS COEUR distribution TISSUS REINS SANG VEINEUX SANG ARTERIEL ELIMINATION URINAIRE VOIE HEPATOPORTALE (HP) MUQUEUSE INTESTINALE FOIE ELIMINATION FECALE LUMIERE GASTROINTESTINALE ELIMINATION BILIAIRE Premier passage hépatique!
53 POUMONS COEUR TISSUS distribution REINS ELIMINATION URINAIRE SANG VEINEUX SANG ARTERIEL MUQUEUSE INTESTINALE FOIE VOIE ORALE ELIMINATION BILIAIRE ELIMINATION FECALE LUMIERE GASTROINTESTINALE Premier passage hépatique!
54 POUMONS COEUR Premier passage hépatique! TISSUS distribution REINS ELIMINATION URINAIRE SANG VEINEUX SANG ARTERIEL MUQUEUSE INTESTINALE FOIE ELIMINATION FECALE LUMIERE GASTROINTESTINALE ELIMINATION BILIAIRE VOIE RECTALE
55 3- CONSEQUENCES CLINIQUES. si perte de médicament on devrait observer une diminution de l effet thérapeutique. donc effet défavorable! mais si formation de métabolites actifs: on observera une augmentation de l effet thérapeutique. certains médicaments ne sont actifs que par leurs métabolites! actif inactif M1 M1 ε actif inactif toxique
56 3-CONSEQUENCES CLINIQUES actif? M1 M1 ε inactif? Métabolisme des xénobiotiques: importance des cytochromes P450. Quatre isoenzymes (Cyp 1A2, Cyp 2C9, Cyp 2D6, Cyp 3A4) impliqués dans 90% des spécialités! Risque d interactions médicamenteuses! Polymorphisme génétique! Variabilités inter- et intra-individuelles
57 3-CONSEQUENCES CLINIQUES actif M1 M1 ε inactif Interactions médicamenteuses possibles! Ex: répaglinide (Novornorm ): hypoglycémiant. - métabolites inactifs! - métabolisé par le Cyp2C8 hépatique % d élimination sous forme de métabolites. Répaglinide + gemfibrozil (Lipur ): inhibition du Cyp2C8! -t 1/2 : h -AUC x8 perturbation paramètres PK!
58 3-CONSEQUENCES CLINIQUES plasma conc répaglinide + gemfibrozil Seuil toxique répaglinide time Perturbation PK répaglinide (diminution premier passage hépatique) Surdosage en produit parent actif coma hypoglycémique!
59 Phénomène saturable! Donc modulable en saturant les processus enzymatiques : - Par compétition provoquée. - Par augmentation de la dose administrée. C (ug/ml) 2g PK non linéaire! 1g TEMPS (min.)
60 Modulation effet 1 passage: «Effet Booster» Principe: associer deux molécules substrats des mêmes équipements enzymatiques lors du premier passage hépatique. Une des deux molécules sert de «leurre biochimique». La seconde molécule est moins touchée par le métabolisme hépatique! Ex: Association ritonavir + lopinavir (Kaletra ): «effet booster».
61
62 4- NATURE DE L EFFET DE PREMIER PASSAGE A- AU NIVEAU PULMONAIRE Biotransformations limitées : Oxydation, réduction, désalkylation, hydrolyse, Sulfoconjugaison. Exemples : - Nortriptyline (Motival,..) - Prostaglandines.
63 B- AU NIVEAU INTESTINAL Action de la flore et de la muqueuse intestinale. Equipement enzymatique voisin de celui du foie; Mais activité plus faible! Biotransformations abondantes : Oxydation, réduction (notamment des dérivés nitrés), désalkylation, hydrolyse, glucuro- et sulfo-conjugaison. Exemples : -Aspirine - certaines benzodiazépines (flurazépam) -Morphine - Isoprenaline (Isuprel ) - Pénicillines -
64 C- AU NIVEAU HEPATIQUE Très nombreux systèmes enzymatiques. Biotransformations de tout type Métabolisation intense et abondante On peut observer une excrétion biliaire de certains métabolites conjugués de taille moléculaire importante. PHENOMENE DE RECIRCULATION CYCLE ENTERO-HEPATIQUE
65 CYCLE ENTERO-HEPATIQUE CIRCULATION GENERALE R-H FOIE R-H + METABOLITES R-H MUQUEUSE INTESTINALE ELIMINATION BILIAIRE INTESTIN R-CONJUGUE R-H R-CONJUGUE FLORE INTESTINALE (HYDROLYSE)
66 CYCLE ENTERO-HEPATIQUE C «Bouncing effect» TEMPS Ex: Doxorubicine Source de variabilité inter/intra-individuelle!
67 5- EVALUATION DE L EFFET DE PREMIER PASSAGE. Conduit à une diminution des taux circulants d un médicament. Donc diminution de la surface sous la courbe (ssc) des concentrations plasmatiques ou sanguines. En réalité ce phénomène correspond à une somme d effets de premier passage : E = EH + EI + E P
68 A) EVALUATION CHEZ L ANIMAL Exemple : calcul de l effet de 1 er passage hépatique EH = 1 fh f H = SSC SSC HP IV HP : passage par le foie et les poumons IV : passage par les poumons f H : fraction qui échappe au métabolisme hépatique
69 B) CHEZ L HOMME IV : VOIE DE REFERENCE! E = 1 SSC SSC ORALE IV - fait abstraction d un éventuel effet de 1er passage pulmonaire. - néglige la possibilité d une résorption partielle.
70 EXEMPLES : 1- Pour un médicament fp = 0,93 et fh = 0,81: déterminer la part de l élimination hépatique et pulmonaire. Ep = 1 0,93 = EH = 1 0,81 = 0,07 0,19 (7%) (19%) 2- Le métabolisme d un médicament après administration I.V. Représente 24 % de la dose. Si Ep = 0,14 quelle est la part du métabolisme hépatique? d où METABOLISME PULMONAIRE : 14 % DE LA DOSE METABOLISME HEPATIQUE : = 10 % DE LA DOSE
71 6- FACTEURS MODIFIANT L EFFET DE 1 er PASSAGE Tous les facteurs qui peuvent modifier le bagage enzymatique: - au niveau pulmonaire - au niveau intestinal - au niveau hépatique Pathologies Interactions médicamenteuses Alimentation (modification débits splanchniques) Facteurs génétiques (polymorphismes) Age, grossesse..
72 6- FACTEURS MODIFIANT L EFFET DE 1 er PASSAGE Pathologies: anastomose porto-cave (foie cirrhotique) Veine porte Veine cave
73 6- FACTEURS MODIFIANT L EFFET DE 1 er PASSAGE Polymorphisme génétique Hormonothérapie - cancers du sein: Tamoxifène (Novaldex ) Tamoxifène (inactif) cyp2d6 N-demethyl-tamoxifène (actif) Echappement Thérapeutique Polymorphisme génétique: >10% population mutée sur Cyp2D6! Altération effet premier passage, défaut d activation!
74 6- FACTEURS MODIFIANT L EFFET DE 1 er PASSAGE Interactions médicamenteuses. Hormonothérapie - cancers du sein: Tamoxifène (Novaldex ) Tamoxifène (inactif) cyp2d6 N-demethyl-tamoxifène (actif) Echappement Thérapeutique Effets II: bouffées de chaleur. Prescription de venlafaxine (Effexor ).. inhibiteur du Cyp2D6! Altération de l effet de premier passage hépatique, défaut d activation!
75 BIODISPONIBILITE 1- BIODISPONIBILITE ABSOLUE. A- DEFINITION = fraction ou % de médicament qui, après administration, orale atteint la circulation générale. = quantité relative, de médicament, absorbée à partir d une forme orale et vitesse à laquelle se produit ce phénomène.
76 B- INTERET DES ETUDES DE BIODISPONIBILITE? - nouveau médicament. - nouveau dosage de la forme utilisée. - nouvelle voie d administration. - nouvelle forme galénique. - génériques & biosimilaires. OBLIGATION REGLEMENTAIRE!
77 C- COMPOSANTS DEUX FACTEURS CONDITIONNENT LA BIODISPONIBILITE : - la quantité résorbée - la quantité éliminée par effet de 1 er passage. si - f = fraction résorbée - f = fraction qui échappe au métabolisme Notion de biodisponibilité: «Quantité de médicament atteignant la circulation générale après administration.» Conjonction de 2 phénomènes: - Résorption (f). f = 0.7 f = Effets de 1 passage (f ). on pourrait écrire : F = f x f F = f F' F = 0.7 x 0.42 = 30% 30%
78 D- CALCUL - A PARTIR DU PLASMA OU DU SANG: F = SSC orale SSCia ou iv si doses Orale et IV différentes : SSC orale F = SSCia ou iv Doseia ou iv Dose orale - A PARTIR DES URINES Ae orale F = Ae ia ou iv Doseia ou iv Dose orale Ae = quantité totale excrétée
79 E- LIMITES D UTILISATION - problème lié au métabolisme si le médicament donne des métabolites actifs la biodisponibilité calculée à partir du produit parent sous-estime l effet thérapeutique. donc: obligation de bien connaître l activité des métabolites et de les quantifier!
80 - PROBLEME LIE A LA LINEARITE. SI CINETIQUE LINEAIRE : DOSE X DOSE 2X SSC = A SSC = 2A SI CINETIQUE NON LINEAIRE : DOSE X SSC = A DOSE 2X SSC > 2A ou SSC < 2A dans ce cas: si calcul avec dose iv = x et dose orale = 2x. biodisponibilité surestimée ou sous-estimée!
81 - PROBLEME LIE AU CYCLE ENTERO-HEPATIQUE. SSC PLUS ELEVEE BIODISPONIBILITE SURESTIMEE! CYCLE ENTERO-HEPATIQUE C «Bouncingeffect» TEMPS Ex: Doxorubicine Source de variabilité inter/intra-individuelle!
82 2- BIODISPONIBILITE RELATIVE. A- DEFINITION «= % de médicament qui, après administration, atteint la circulation générale lors d une étude comparative entre une nouvelle forme galénique et une forme de référence»
83 B- NOTION DE BIOEQUIVALENCE FORMES BIOEQUIVALENTES : si avec la même posologie chez le même individu on obtient des effets thérapeutiques comparables avec : - des SSC identiques - mêmes Cmax - mêmes Tmax Cmax Cmax AUC t 1/2 AUC t 1/2 Tmax princeps Tmax générique
84 C-CALCUL A = Forme de référence (princeps). B = Nouvelle forme à étudier. - A PARTIR DU PLASMA OU DU SANG F R = SSC SSC B A - A PARTIR DES URINES F R = Ae Ae B A Ae = QUANTITE TOTALE EXCRETEE
85 ABSORPTION CONCLUSION Résorption + premiers passages. Influencée par de très nombreux facteurs. Source de variabilité inter et intra-individuelle!
Chapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailRELPAX. hydrobromure d élétriptan
RELPAX hydrobromure d élétriptan * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques * Conclusion * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques *
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailLe trajet des aliments dans l appareil digestif.
La digestion. La digestion, c est la transformation des aliments en nutriments assimilables par l organisme. Dans le tube digestif, les aliments subissent une série de dégradations mécaniques et chimiques
Plus en détailL ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN
L ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN TABLE DES MATIÈRES Présentation 1 L alcool, différent des autres aliments 2 Différent au moment de l absorption 3 Différent au moment de l élimination 4 Différent dans les conséquences
Plus en détailVIH & Interactions Médicamenteuses
VIH & Interactions Médicamenteuses L ABC en quizz K. De Heller & M.Cavassini MIN-IAL, le 21 avril 2005 Ce que je ne vais pas aborder Les interactions médicamenteuses entre les différents antirétroviraux!!!
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailModélisation pharmacocinétique-pharmacodynamique et techniques de simulation appliquées à l évaluation de stratégies thérapeutiques en infectiologie
Modélisation pharmacocinétique-pharmacodynamique et techniques de simulation appliquées à l évaluation de stratégies thérapeutiques en infectiologie Laurent Bourguignon To cite this version: Laurent Bourguignon.
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailRÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.
RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux : quelles interactions médicamenteuses?
Les nouveaux anticoagulants oraux : quelles interactions médicamenteuses? Dr Stéphanie Chhun, Pharmacologue (Hôpital Universitaire Necker Enfants-Malades) Pr Stéphane Mouly, Interniste (Hôpital Lariboisière)
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailINTRODUCTION A LA PHARMACOCINETIQUE
INTRODUCTION A LA PHARMACOCINETIQUE 1-Devenir du médicament dans l organisme La pharmacocinétique : a pour but d étudier le devenir du médicament dans l organisme. On peut schématiser la pharmacocinétique
Plus en détailTUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013
TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline
Plus en détailLiquides oraux : et suspensions. Préparations liquides pour usage oral. Solutions
Préparations pharmaceutique Cours de en 2ème petites Année quantités de Master en Pharmacie Liquides oraux : solutions, Préparation sirops pharmaceutique et suspensions en petites quantités Section des
Plus en détailAnti-Inflammatoires Non stéroïdiens
Pharmacologie Clinique des Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens Effets indésirables Aude FERRAN Plan Toxicité digestive Ulcères» Physiopathologie : effets locaux et systémiques» Cas du cheval Augmentation
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détail- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites
LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux (NOAC)
Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1
TRAVAUX PRATIQUESDE BICHIMIE L1 PRINTEMPS 2011 Les acides aminés : chromatographie sur couche mince courbe de titrage Etude d une enzyme : la phosphatase alcaline QUELQUES RECMMANDATINS IMPRTANTES Le port
Plus en détailIntoxication par les barbituriques
Intoxication par les barbituriques GH. Jalal, S. Achour, N. Rhalem, R. Soulaymani 1. Cas clinique : L unité d information toxicologique du Centre Anti Poison du Maroc a été contactée par une clinique privée
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour
Plus en détailet l utilisation des traitements biologiques
et l utilisation des traitements biologiques Choisir le meilleur traitement pour retrouver la qualité de vie que vous êtes en droit d avoir Les agents biologiques (biothérapies) Étant les plus récents
Plus en détail«Peut-on jeûner sans risque pour la santé?»
Le FIGARO du 21/10/2013, page 13 : Cet article est un document culturel qui témoigne à quel degré l establishment médical français ignore le jeûne. À mettre au frigo, pour le ressortir le jour où l'essai
Plus en détailANNEXES AU REGLEMENT N 06/2010/CM/UEMOA
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------------- La Commission ANNEXES AU REGLEMENT N 06/2010/CM/UEMOA LES ANNEXES AU REGLEMENT RELATIF AUX PROCEDURES D HOMOLOGATION DES PRODUITS
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailADMINISTRATION D OXYGENE PAR L INTESTIN EXPERIENCES AVEC DES LAPINS
EUROPEAN JOURNAL OF MEDICAL RESEARCH November 20, 2001 Eur J Med Res ( 2001) 6 : 488-492 ADMINISTRATION D OXYGENE PAR L INTESTIN EXPERIENCES AVEC DES LAPINS W. Forth, O. Adam Traduit de l anglais par le
Plus en détailNouveaux Anti-thrombotiques. Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1
Nouveaux Anti-thrombotiques Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1 Classification Antithrombines directes o Ximélagatran EXANTA o Désirudine
Plus en détailInsulinothérapie et diabète de type 1
Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas
Plus en détailInformations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md )
Informations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md ) Préambule Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailToxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup
A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl) Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique?
Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Références : Pr Samama Journée de Biologie Praticienne Décembre 2011 I. Gouin-Thibault Journée de Biologie Clinique 2012
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament. Elle contient des informations importante s pour
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailXARELTO (RIVAROXABAN) 2,5 MG - 15 MG - 20 MG, COMPRIMÉS PELLICULÉS GUIDE DE PRESCRIPTION
Les autorités de santé de l Union Européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament Xarelto 2,5 mg; 15 mg et 20 mg de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimisation des risques en Belgique
Plus en détailLes triptans. quel casse-tête! Kim Messier et Michel Lapierre. Vous voulez prescrire des triptans? Lisez ce qui suit!
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Les triptans quel casse-tête! Kim Messier et Michel Lapierre Vous voulez prescrire des triptans? Lisez ce qui suit! Les triptans, des agonistes sélectifs
Plus en détailA B C Eau Eau savonneuse Eau + détergent
1L : Physique et chimie dans la cuisine Chapitre.3 : Chimie et lavage I. Les savons et les détergents synthétiques 1. Propriétés détergentes des savons Le savon est un détergent naturel, les détergents
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailChapitre 7: Dynamique des fluides
Chapitre 7: Dynamique des fluides But du chapitre: comprendre les principes qui permettent de décrire la circulation sanguine. Ceci revient à étudier la manière dont les fluides circulent dans les tuyaux.
Plus en détailAcides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6
Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2. Docteur R.POTIER
ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2 Docteur R.POTIER DEFINITION DU DIABETE soit : Syndrome polyuro-polydipsique + amaigrissement + 1 glycémie > 2g/L 2 glycémies à jeun > 1,26g/l 1 glycémie
Plus en détailLa séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?
La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? Alfa Arzate, ing., Ph.D. Journées Acéricoles Hiver 2010 OBJECTIF DE LA PRÉSENTATION L objectif premier de cette présentation
Plus en détailMédecine Physique Prévention de la maladie thrombo-embolique veineuse. Pr Philippe NGUYEN Vendredi 17 Décembre 2010
Médecine Physique Prévention de la maladie thrombo-embolique veineuse Pr Philippe NGUYEN Vendredi 17 Décembre 2010 Situation clinique : «prévention de la MTEV» Femme, 72 ans, poids = 87 kg, taille = 1,56
Plus en détailLa référence bibliographique de ce document se lit comme suit:
Toxicologie Claude Viau, Robert Tardif Chapitre 5 La référence bibliographique de ce document se lit comme suit: Viau C, Tardif R (2003) Toxicologie. In : Environnement et santé publique - Fondements et
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L'UTILISATEUR. DAKTOZIN 2,5 mg/150 mg pommade Nitrate de miconazole et oxyde de zinc
NOTICE : INFORMATION DE L'UTILISATEUR DAKTOZIN 2,5 mg/150 mg pommade Nitrate de miconazole et oxyde de zinc Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des
Plus en détailCLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE
CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détail!! "#$%&$'()*!+'!),'(-(.$'()*!/&!012+3$,+&'(4! 53&6!7)*(')3(*68!+*!*9)*$')%)6(+!
!"#$%&'#()*+%*,%"-$%**./01%*+%*234&54/#%*,%"-$%6748'4""%* * 9):4&(%5%"(*+%*+#&%/(#0"*10;#'(#
Plus en détailLe Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.
Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailLe VIH et votre apparence physique
Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailMALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN :
DOSSIER 13 MALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN : ENTRE SOUFFRANCE ET TABOU Souvent dissimulées par les malades, parfois encore ignorées par la médecine de ville, les maladies inflammatoires chroniques
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailDOSSIER D'INSCRIPTION
CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NICE ECOLE D' INFIRMIERS ANESTHESISTES CONCOURS D ENTREE DOSSIER D'INSCRIPTION DATE LIMITE DE DEPOT LE DERNIER JOUR OUVRABLE DU MOIS DE MARS ANNEE N ECOLE INFIRMIERS
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailCatherine Prost Squarcioni Centre de Références Maladies Rares NET-DBAI-IDF Hôpital Saint Louis et hôpital Avicenne
1 PREVENTION DES COMPLICATIONS DE LA CORTICOTHERAPIE GENERALE DANS LES PEMPHIGUS DE L ADULTE Catherine Prost Squarcioni Centre de Références Maladies Rares NET-DBAI-IDF Hôpital Saint Louis et hôpital Avicenne
Plus en détailLa Plateforme GALA. Un projet régional structurant. avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique CPER 2007-2013
La Plateforme GALA Un projet régional structurant CPER 2007-2013 avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique Labellisé en avril 2009 Plateforme GALA : quel rôle? Principe
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailPourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors?
Pourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors? elle va pour cela créer des éléments chargées de transmettre un message à son corps (les hormones) : la «relaxine»
Plus en détailATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION
ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus
Plus en détailGASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle
GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détail