3ème cours de médecine environnementale Le puzzle de l autisme. ARTAC MAI 2012 Docteur Corinne SKORUPKA Présidente de l association ARIANE
|
|
- Coraline Doré
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 3ème cours de médecine environnementale Le puzzle de l autisme ARTAC MAI 2012 Docteur Corinne SKORUPKA Présidente de l association ARIANE
2 L autisme en bref L autisme est un trouble du développement qui se manifeste dans les premieres années de la vie de l enfant. Signes divers et d intensité variable d un enfant à l autre Retard ou absence de langage Trouble de la communication. Evite le regard L enfant est indifférent aux autres
3 L autisme en bref! Prédispostion - 4/5 des sujets sont du sexe masculin. (rôle protecteur des oestrogènes). Si gemmellité et faux jumeaux=garçon - 30% des personnes touchées cumulent un terrain épileptique. ATCD Familiaux - diabète, alzheimer, SEP ATCD maternels - Hyperandrogénie - Traitement hormonaux (contraceptifs oraux et surtout stimulation hormonale) - Dysthyroidie
4 PREVALENCE DE L AUTISME Au début des années 80 Autisme =1/1000 En 2011 =1/38 Etude sud-coréenne parue dans l'american Journal of Psychiatry Dans son rapport de 2002, Prevalence of Autism Spectrum Disorder,le CDC (center for desease control) évoquait un enfant sur 152 concerné à l'âge de 8 ans. En 2009 professeur Simon Baron-Cohen prevalence of autism-spectrum conditions: UK school-based population study. Prévalence de 157 enfants sur (soit 1 sur 63) parmi la population des enfants de 5-9.
5 Autisme et intoxication au mercure Au début des années 2000 on parlait beaucoup du Mercure. Par son omniprésence dans la nature et la similitude de symptômes entre certaines pathologies et l intoxication au HG. Autism is not a mystery, it s mercury
6 Prévalence de l autisme La progression de l autisme a démarré au cours des années 90 Progression exponentielle des TED jusqu'en 2002 Puis recul progressif imputé au retrait progressif du thimoséral des vaccins Pourtant, une nouvelle étude parue en 2008 fait état d'une poursuite/reprise de la progression de l'autisme en Continuing Increases in Autism Reported to California's Developmental Services System, Arch Gen Psychiatry. 2008;65 (1)
7 PREVALENCE DE L AUTISME Fort de cette prise de conscience, le gouvernement français a déclaré l année 2012 Année de l Autisme et Grande Cause Nationale. CRA compétents pour poser un diagnostic encore peu nombreux car uniquement implantés dans les principales agglomérations. Médecins non formés à l'autisme et/ou rejetant les classifications internationales, continuent de poser des diagnostics de psychose infantile avec des diagnostiques souvent trop tardifs. La psychanalyse malheureusement toujours d actualité en France et en Argentine. Les plans successifs opposent les psychanalystes et les comportementalistes mains la piste environementale n est jamais abordée
8 L autisme, une fatalité génétique? Beaucoup y ont cru! En particulier les grosses firmes. Beaucoup de gènes candidats, aucun réellement convaincant. Une épidémie peut-elle être génétique? L autisme est une maladie polygénique ou les gènes induisent une vulnérabilité plus ou moins marquée à l'égard de facteurs environnementaux.
9 L enfance en danger! Une maladie qui nait dans le ventre de la mère Un environnement de plus en plus toxique pour le fœtus. Exposition de plus en plus importante aux métaux lourds et toxines environnement pendant la grossesse. Consommation excessive de poisson Pesticides Ondes èlectromagnétiques Risques professionnels Amalgames dentaires et soins dentaires pendant la grossesse
10 L autisme:une maladie environnementale Une maladie qui nait dans le ventre de la mère Infection contractée pendant la grossesse - Pathologies grippales traînantes, ORL ou pulmonaires urinaires pendant la grossesse - Piqûres de tiques pendant la grossesse - Contamination lors de l accouchement (mycoplasmes ou chlamydiae génitaux) Et des mères de plus en plus carencées!!!
11 L autisme:une maladie environnementale Les enfants autistes présenteraient des anomalies des mécanismes de la détoxication qui les rendent plus vulnérables aux attaques environnementales. Métaux toxiques (mercure,plomb, arsenic, amiante, aluminium) Incidence des ondes électromagnétiques Infections chroniques Niveaux élevés de PCB Solvants organiques volatiles dans leur sang.
12 Intoxication au mercure MERCURE Ulcères buccaux, Trémulations Retards de croissance Distention abdominale, Rougeur des lèvres, de l extrémité des doigts, Salivation excessive, Selles décolorées, liquides, non formées, Désintérêt, Manque de contact oculaire
13 Autisme et intoxication au mercure Signe de l intoxication au Hg=signe de l autisme Neurotoxine puissante, le mercure est naturellement présent dans tout l environnement L air L eau Pesticides et fongicides Batteries alcalines Thermomètre au mercure Le mercurochrome Gouttes oculaires et auriculaires Produits de lentilles de contact Les poissons et les fruits de mer Les lampes basses tensions
14 Autisme et intoxication au Les amalgames dentaires mercure Les 2 plus grandes sources de mercure sont: (Hg=43.5% ; Ag=32% ; Sn=16.2% ; Cu=8.3%) Ils dégagent de la vapeur de mercure capable de traverser la barrière placentaire. Les vaccins contenant encore du thimoresal (Le thimoresal contient 49.6% d éthyle mercure. Chaque vaccin contient 12.5 à 25 µg de thimoresal donc l enfant peut arriver à une charge de 237 µg).
15 Autisme et vaccination Le thimérosal est composé d acide thiosalicylique et d éthyle de mercure, une substance toxique bien connue 1. The Merck Index, 12th ed., p. 1590, #9451 (1996). 2. Martindale The Extra Pharmacopoeia, 30th ed., 804 (1993). LES VACCINS CONTENANT DU MERCURE SONT PLUS TOXIQUES POUR LES ENZYMES (DE LA CLASSE MAMMIFÈRE) QUE CEUX DÉPOURVUS DE THIMÉROSAL (AGENT CONSERVATEUR). La FDA a exigé leur retrait retiré en 2002 mais présent dans vaccin anti-grippe et hépatite
16 Autisme et vaccination THIMÉROSAL EST LE FACTEUR TOXIQUE DES VACCINS. LE THIMÉROSAL INHIBE LES ENZYMES DE MANIÈRE PLUS EFFICACE QUE L ION Hg 2+. LE TAUX DE THIMÉROSAL CHEZ LES NOURISSONS POURRAIT ATTEINDRE UN HAUT DEGRÉ DE TOXICITÉ LORS DE LA VACCINATION. LES EFFETS SYNERGIQUES DE L ION Al 3+,DES ANTIBIOTIQUES, ET DE LA TESTOSTÉRONE ACCROISSENT LA TOXICITÉ DE LA THIMÉROSAL. L OESTROGÈNE DIMINUE LA TOXICITÉ DE LA THIMÉROSAL. LES ÉTUDES ÉPIDÉMIOLOGIQUES ONT MONTRÉ QUE L EXPOSITION AU THIMÉROSAL (VACCINATION)ÉTAIT UNE DES PRINCIPALES CAUSES DE L AUTISME.
17 Autisme et Intoxication au mercure L analyse des dents de lait d enfants autistes a révélé la présence de 3 fois plus de mercure que dans celles de groupes de contrôle L analyse des cheveux de très jeunes enfants a permis de déceler de très faibles niveaux de mercure par rapport aux groupes de contrôle, résultat cohérent avec la thèse d une faible excrétion du mercure Lors de tests de mobilisation au DMSA, il s est avéré que les enfants autistes excrétaient 5,8 fois plus de mercure que les enfants des groupes de contrôle
18 Autisme et vaccination Vaccination de bébés dont le foie et la fonction biliaire sont encore immatures Vaccination, avec des virus actifs, d enfants dont le système immunitaire est déjà perturbé Vaccins infectés par des mycoplasmes?6% d après Nicholson Rôle du vaccin hépatite B et sclérose en plaque chez l adulte? Vaccination anti-grippe? Le paracétamol et les antibiotiques diminuent l excrétion du mercure
19 Autisme et Intoxication au Plomb (Pb) Le plomb est l autre métal toxique ayant un rôle dans les troubles envahissant et développement (TED) : Des carences en protéines - Ca, Zinc, Se, Fe ou Vit E ainsi que le fluor favorisent l absorption du plomb, lequel est plus facilement assimilé par les enfants que par les adultes. La synergie avec le mercure renforce l intoxication de manière exponentielle.
20 Autisme et Intoxication au Plomb (Pb) Signes Retards de développement, y compris dans le langage Retards d apprentissage Comportements répréhensibles, délinquance Symptômes Douleurs abdominales, perte de l appétit, vomissements, constipation Maux de tête, ataxie, somnolence Perturbations de la motricité fine Retards de croissance
21 L autisme est-il lié à une perturbation de la détoxication, alors même que la surcharge toxique de l organisme est toujours croissante? Ce processus nécessite beaucoup d énergie (ATP) Il fait peser une charge sur l organisme et nécessite de nombreux cofacteurs vitaminiques Une détoxication perturbée entraîne une surcharge toxique de l organisme Un excès de toxines entraîne un état d inflammation chronique et un stress oxydatif.
22 Métaux lourds et stress oxydatif Perturbations de la méthylation Déficit de la méthylation, anomalies de reméthylation Perturbations de la détoxication Réduction des coenzymes et cofacteurs de la détoxification Anomalies de la sulfatation (phénolsulfur transferase, Waring 2001) Carence en glutathion (James, 2003) Carence en cystéine (Pangborn, Bradstreet) Réduction des antioxydants Inflammation chronique(cerveau-intestin)
23 Stress oxydant Défense antioxydante Superoxyde dismutase GSH (glutathion) peroxydase GSH (glutathion) réductase Vitamine E, Vitamine C Acide lipoïque GST (glutathion S-transférase) GSH (glutathion réduit) Mort cellulaire Radical hydroxyl Peroxyde d hydrogène Superoxyde ONOO- GSSG 4HNE LOO-
24 Autisme:le paradoxe de l oxygène indispensable à la vie mais toxique par la production de entraînant un effet de cascades désastreux à la recherche de l électron manquant perte des fonctions mort des cellules des organismes qu elles composent.
25 Si on parlait bactéries? L intelligence bactérienne Certaines formes microbiennes, notamment les bactéries intracellulaires, ont la capacité de persister de nombreuses années dans l organisme, et de déclencher, si le système immunitaire devient moins performant, des pathologies avec atteinte générale, qui deviennent chroniques car la cause infectieuse passe souvent inaperçue. QuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. Bactéries
26 Enfants:Quand faut-il y penser? Signes cliniques associés Problèmes circulatoires avec extrémités froides, teint blanc Reflux, Problèmes ORL (otites à répétition) sueurs nocturnes ++ Rhinorrhée claire ++ toux matinale, seche ou grasse ++ eruptions à type de rashes, notamment à l'effort + ronflements nocturnes prurit cutané peau sèche ou "granuleuse", ou tendance eczéma Gros troubles digestifs(douleur abdominale, gaz, diarrhée, constipation,selles glaireuses)
27 Autisme:une maladie infectieuse? Evolution des bactéries Résistance aux antibiotiques Mutations Formes dormantes Nanoformes Biofilms Formes kystiques
28 Autisme et infections froides Les bactéries ont appris à dormir «Formes dormantes» Un peu commes les formes sporulées des levures la chronicité de l infection la moindre virulence la résistance aux traitements antibiotiques les rechutes tardives Elles auraient la faculté de «se réveiller» et de devenir actives selon l état et les variations du système immunitaire ou de déclencher des pathologies avec atteinte générales et devenir chronique car la cause infectieuse passe inaperçue.
29 Autisme et infections froides Chlamydia Pneumoniae,trachomatis,psytacci Mycoplasma (Pneumoniae, Hominis,Ureaplasma, Penetrans, Fermentans...), Rickettsia (Typhi, Conorii, ) Coxella burnetti(fièvre Q) QuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. Bartonella, Babesia, Ehrlichia etc.
30 Autisme:une maladie de lyme La maladie de Lyme est traditionnellement une maladie bactérienne induite par une piqûre de tique infectée par un spirochète appellé Borrelia Burgdorferi(Bb) Mais la maladie représente souvent beaucoup plus que cela Elle pourrait être induite par d autres bactéries intracellulaires Elle se manifeste sous des formes dissséminés et chroniques. Polyorganique (pouvant affecter divers organes) Multisystémique (pouvant toucher divers systèmes)
31 La maladie de Lyme:une maladie chronique Une étrange similitude La maladie de Lyme peut se décliner sous trois formes : - Aigue (prise à temps, la plus facile à traiter), - Précocement disséminée - Chronique (difficile à diagnostiqué et longue à traiter) Pour ces trois formes, nous pouvons citer de façon non exhaustive les symptômes suivants
32 La maladie de Lyme:la grande imitatrice Une étrange similitude Contraction des muscles du visage ou d'autres muscles jusqu à l épilepsie Confusion, difficulté de concentration, de lecture, de comprendre un problème contenant de nouvelles informations, difficulté à parler. Variations d'humeur, irritabilité, dépression, anxiété, attaques de panique Psychoses Insomnie, sommeil irrégulier. Constipation / diarrhée /ou alternance, douleurs abdominales, dyspnée, manque d air, toux chronique non expliqué Sueurs nocturnes ou diurnes Troubles obsessionnels compulsifs, (Perte d équilibre, difficulté à la marche) Et se confondre avec l autisme?
33 Le puzzle de l autisme:une infection froide? D autres s associent entre elle pour former un biofilm Le biofilm est une communauté de microorganismes (bactéries, champignons etc.) adhérant entre eux, fixée à une surface et caractérisée par la sécrétion d'une matrice adhésive et protectrice. Staphylococcus aureus biofilm
34 Qu est ce que le biofilm? Ils sont à l origine de nombreuses infections chroniques Ils sont naturellement résistants aux antibiotiques qui ne pénètrent pas la matrice des polysaccharides Ils ne sont pas reconnu par les mécanismes de défense de l organisme Difficile à diagnostiquer, à mettre en culture. Staphylococcus aureus biofilm
35 Biofilm:hypoyhèse? Les patients intoxiqués aux métaux lourds développent des bactéries très résistantes dans leur intestin. Cette résistance est entretenue par la production de biofilms. Ces biofilms peuvent aussi se localiser dans l endothélium vasculaire pouvant donner des images d athérosclérose. Le traitement du biofilm aide à éradiquer la dysbiose et améliorer les symptômes de l autisme.
36 Autisme:l hypoyhèse infectieuse? Stress oxydatif Dépression immunitaire Infections opportunistes Si infections à germes intracellulaires: sécrétion de toxines ou neurotoxine intracellulaires microvascularites obstructives. Hypoperfusion Inflammation à bas bruit Troubles neuropsychiatriques ou neurodégénératifs
37 Infections froides et nanobactéries? Le professeur Montagnier étudie la mutation des bactéries en formes extrêmement petites pouvant passer dans la circulation, les membranes et reproduire les bactéries loin de leur site d origine. En filtrant bactéries et virus, il obtient une solution qui ne contient plus aucune structure vivante, ni ADN. Pourtant spontanément en 8 à 21 jours cette solution présente de nouveau les virus ou autres mycoplasmes de départ.
38 Infections froides et nanobactéries? De plus il montre que la solution émet des signaux électromagnétiques pour peu qu'on la dilue. Contrairement au sens commun habituel, plus on dilue, mieux le signal apparait.
39 Maladies chroniques et SEM Nous avons décidé de tester un groupe d enfants autistes et quelle ne fut pas notre surprise de retrouver dans le sang de la plupart des enfants autistes - mais pas chez les enfants non atteints - des séquences d ADN émettant dans certaines conditions des ondes électromagnétiques ellesmêmes spécifiques de ces séquences. Celles-ci, pour autant que nos moyens nous permettent de les identifier à l heure actuelle, proviennent d espèces bactériennes connues. Nous sommes visiblement à la veille d'un changement de paradigme et nous pouvons réfléchir à la cause des maladies chroniques.
40 Autisme:l hypothése infectieuse La membrane intestinale devient plus perméable aux agents infectieux et leur métabolites modifient la flore bactérienne Les nanobactéries, leur toxines sont relarguées dans la circulation et traverse la barrière hématoencéphalique. Inflammation Stress oxydatif Hypoperfusion Perte de fonctions et mort des cellules Trouble du développement neurologique
41 Stress oxydatif, hypoperfusion et infections froides. Imagerie cérébrale de l autisme étude menée au CNRS sous la direction de Monika Zilbovicius Lésions de la Substance blanche anomalies au niveau des lobes temporaux hypoperfusion du cerveau. Non activation de l aire de la perception de la voix
42 Imagerie cérébrale de l autisme Encephaloscan Dr Philippe Lebar Qu ick Tim e et u n dé c om pre s s e ur s o nt requ is p our v is i onn er c ette ima ge. Zones importantes d hypoperfusion retrouvées chez les enfants autistes. Toxines vasoconstrictives Hyperviscosité sanguine Inflammation
43 Le puzzle de l autisme:une maladie polygénique, multifactorielle, environnementale. L autisme n est donc pas une maladie psychiatrique. Les patients autistes sont pour la plupart victimes d une infection chronique ou d une intoxication environnementale. L autisme est une maladie systémique, affectant non seulement le cerveau mais également d'autres tissus, troubles dans lesquels les gènes induisent une vulnérabilité plus ou moins marquée à l'égard des facteurs environnementaux. L autisme n est pas une fatalité ; il est réversible car il peut être soigné.
44 Stress oxydatif, hypoperfusion et infections froides: biologie de l autisme. Ces perturbations ont pour conséquences un ensemble complexe de cycles sans fin d'altération des tissus. La correction des désordres métaboliques et la détoxication aident. à rompre ces cycles. à rétablir une physiologie satisfaisante. Beaucoup d enfants répondent vigoureusement MAIS TOUS NE REPONDENT PAS Dépend de l âge de début du traitement et de l intensité des symptômes Importance des techniques éducatives et thérapeutiques associées
45 Approche biologique Troubles de l incorporation Membranaire des acides gras Infections chroniques(bactériennes, virales, Nanoformes) Déficit de la méthylation Surcharge opoide issue d une intolérance au gluten & caséine Interférences Toxo-métabolique Par des produits microbiens Intestino-coliques Intoxication aux métaux lourds, en particulier le mercure Insuffisance de la détoxication Hépatique (glucuronidation et sulfatation)
46 Approche biologique Intolérances alimentaires Statut nutritionel (carence martiale, déficit en vitamine D,folates et B12, acides gras, vitamine antioxydantes (A) éléments traces) Infections chroniqueset stress oxydant électrosensibilité 1- BILAN TRADITIONNEL Intoxication et détoxication NFS,VS,plaquettes Ferritine Folates Vitamine B12 Transaminases,GammaGT Calcémie Vitamine D TSH,T3,T4 Viamine A Zinc globulaire Magnésium plasmtique et erythrocytaire Sérologie des streptocoques Sérologie Chlamydiae pneumoniae et trachomatis (IgG+IgA) Sérologie Mycoplasma pneumoniae (IgG+IgA) Sérologie Mycoplasma Hominis Sérologie Ureaplama urealyticum Sérologie Borrelioses Coprologie et parasitologie des selles
47 Approche biologique Intolérances alimentaires Statut nutritionel (carence martiale, déficit en vitamine D,folates et B12, acides gras, vitamine antioxydantes (A) éléments traces) Infections chroniques et stress oxydant électrosensibilité Intoxication et détoxication 2- ANALYSES SPECIFIQUES Evaluation du stress oxydatif Peptides urinaire 8 OHG 8 OHDG IgG Alimentaires Porphyrines urinaires Acides organiques urinaires Test de provocation Acides gras membranaires Melisa=TTL Test à l acétaminophène PCR Westren blot Recherche de signaux bactériens électromagnétiques
48 Le puzzle de l autisme: Conduite à tenir Intensité des symptômes = Intensité du traitement Education et modification du comportement si autisme Contrôle de l environnement Régimes Nutrithérapie Flore intestinale Traitements des infections Détoxication naturelle Chélation et autres traitements médicamenteux
49 Autisme: Conduite à tenir Régime sans gluten sans caséine sans soja sans maïs Contenant de la caséine: lait animal, beurre, margarine si elle contient du lait ou des composantsissus du lait, crème fraiche, fromage, crèmes desserts, yaourts, crèmes glaces, et tout produit fini contenant du lait (gâteaux, viennoiseries, barres, confiseries diverses.) Remplacer le lait par du lait de riz, de coco, d'amandes. Suppression du soja et du mais.
50 Autisme: Conduite à tenir Régime sans gluten sans caséine sans soja sans maïs Contenant de la caséine: lait animal, beurre, margarine si elle contient du lait ou des composantsissus du lait, crème fraiche, fromage, crèmes desserts, yaourts, crèmes glaces, et tout produit fini contenant du lait (gâteaux, viennoiseries, barres, confiseries diverses.) Remplacer le lait par du lait de riz, de coco, d'amandes. Suppression du soja et du mais.
51 Maladies chroniques: Conduite à tenir Traitement de la dysbiose Antifongiques (Mycostatine,Triflucan) Antiparasitaires (Flagyl, Intétrix) Clostridiae (Vancomycine) Prébiotiques et probiotiques huiles essentielles (pépins de pamplemousse, origan) ail,clorophylle, acide caprylique)
52 Autisme:correction de tous les désordres métaboloques Supplémentation nutritionnelle Fer Oméga 3 Vitamine B9 B6 Complexe B Magnesium L-Carnitine Mélatonine Vitamine D (Un panel d enfants marocains vivant au soleil ont une vitamine D basse:rôle des ondes électromagnétiques?)
53 Autisme:améliorer l immunité Immuno-modulateur ou immunostimulant Vitamine C (ascorbate de calcium) Homéopathie Ecchinaccea, Cat s claw Lait de jument Bioimmunozyme forte Anti-inflammatoires Aspirine Spironolactone Bromelaine Curcumine Bourgeons de cassis, Harpagophytum
54 Autisme:correction de tous les désordres métaboliques Stress oxydant Vitamine A, Vitamine E, C, Sélenium Glutathion Ginko Biloba Papaye fermentée Resveratrol Coenzyme Q10 Zinc
55 Autisme:soutien de la méthylation Folates Vitamine B6 ou P5P Bétaine(TMG) ou vitamine B15(DMG) SAMe Glutathion réduit Injections de méthylcobalamine(mb12) Favorisent le cycle de la méthylation en courcicuitant les faiblesses de la voie des folates ( Améliorent les aptitudes cognitives, la pensée abstraite, l attention, la concentration, la conscience, le language, le comportement, allègent les TOC, l anxiété. (Neubrander, 2004)
56 Autisme:détoxication hépatique Soutien de la phase II D-Glucarate Taurine MSM Bains de sulfate de Magnésium Extraits de Brocolis et crucifères Phytothérapie (Sylimarine, Artichaut, Desmodium) Glutathion réduit
57 Autisme: Conduite à tenir Traitement des infections chroniques Si suspicion d infection à germes intracellulaires Les antibiotiques utilisés doivent passer la membrane et être intracellulaire: Cyclines, Les macrolides Cefriaxone IV Flagyl cures intermittentes avec anti-infectieux naturels (argent colloidal,he:thym,serpollette,sarriette )
58 Maladies chroniques: formes kystiques Flagyl,plaquénil ou artemesia annua Associée de bains d algues chauds et exercice physique jusqu à la transpiration avec biocéan+draineur(résium)+chlorophylle
59 Maladies chroniques:traitement du biofilm Bromelaine à haute dose EDTA Enzymes=bromelaine Antibiothérapie Probiotiques Charbon activé
60 Maladies chroniques: nanobactéries Traitement des infections chroniques Si Nanoformes Dilution de bactéries si infection identifiée Traitement électromagnétique
61 Intoxication aux métaux lourds et protocole de chélation LA TOXICITE DU MERCURE EST MODULE PAR DES FACTEURS GENETIQUES ET NON GENETIQUES. ApoE4 Plus prédisposé que l ApoE2 car ce dernier contient 2 groupements thiols capables de se lier au Hg et de permettre son élimination. Métallothionéine MT Son rôle est de réguler la balance Zn/Cu; la diminution de son activité entraîne une altération du développement du cerveau et une hypersensibilité au métaux lourds. Insuffisance de la phase II de la détoxication L autisme semble moins souffrir d un déficit de la sulfoconjugaison apanage des infections dégénératives du SNC de l autre pole de la vie, Alzeimer, Parkinson, SLA. On retrouve à 90% un déficit de la glucuronidation.
62 Evaluation de la surcharge en mercure La recherche de toxines dans les urines ou les selles et les analyses de cheveux témoignent de l excrétion de métaux lourds, mais ils ne permettent pas d évaluer l intoxication globale. Les analyses de sang permettent de déceler une intoxication aiguë, mais pas de mesurer la surcharge chronique en métaux. Le plomb se fixant sur les os et ne pouvant être mesuré que 12 heures après une intoxication, le plomb sanguin ne saurait être considéré comme un indicateur d intoxication chronique. Pour une bonne évaluation de la surcharge de métaux lourds,il faut un test de mobilisation.
63 Conduite à tenir avant de démarrer la détoxication Evaluation de la surcharge du mercure Le dosage des porphyrines urinaires est le test le plus performant pour apprécier l intoxication au mercure. Qualitatif en affirmant l intoxication par le mercure, il est quantitatif par l évaluation précise de la surcharge et de la déplétion sous chélateurs. Mais son utilisation est délicate
64 Intoxication aux métaux lourds: Protocole de chélation Agents Chelateurs Chelateurs Pharmaceutiques (EDTA, DMSA, DMPS) TTFD / Allithiamine Glutathion Reduit Acide Alpha Lipoique MSM,NAC,Cystéine Phytothérapie: Ail des ours, coriandre, chlorella Porphyrazyme Zéolithe
65 Intoxication aux métaux lourds: chélateurs naturels Chlorella, Ail des ours, Coriande Leur affinité vis à vis des métaux lourds est très forte donc certains sont eux mêmes contaminés. Ils peuvent aider à détoxiquer les polluants environnementaux (Phothalates, Pesticides, Herbicides, Biphenols A, PCB, PCBD, DDT )
66 Intoxication aux métaux lourds: chélateurs naturels Un bon chélateur du Hg doit avoir 2 groupes thiols. Le MSM,la cystéine, la NAC sont de mauvais chélateurs du Hg car n ont qu un groupe SH. Leurs rôles est de soutenir la détoxication hépatique TTFD ALA possèdent ce groupement thiol
67 Protocole de chélation Possède aussi 2 ponts disulfures Traverse la barrière hémato-méningé et déloge le mercure du cerveau d ou l intérêt de l associer au DMSA et DMPS une fois les niveaux de mercure bien descendus, antioxydant hydro et liposoluble régénère le Glutathion. L acide alpha-lipoique(ala) est utilisé en association avec le DMSA/ DMPS, jamais utilisé comme chélateur initial, souvent après 3 mois de traitement.
68 Chélateurs pharmaceutiques Bien utilisés, ces chélateurs peuvent être miraculeux, mal utilisés, il peuvent provoquer des effets secondaires importants. Les chélateurs sont hépatotoxiques, éliminés par le rein, peuvent provoquer une déplétion de la moelle, réactiver la dysbiose et chélater les éléments traces de l organisme (rougeurs, nausées, fatigue). D où la nécessité de faire pratiquer un bilan sanguin impératif avant et pendant la chélation (transaminases, gammagt, urée, créatinine).
69 Protocole de chélation Les chélateurs les plus couramment utilisés sont le DMSA, le DMPS car ce sont les 2 seuls qui ont des affinités avec le mercure,car les 2 possèdent une double fonction thiol Seul cette structure est capable de prendre le Hg en tenaille pour le neutraliser.la liaison formée est alors irréversible. Ils ne passent pas la barrière hémato-encéphalique d ou l intérêt de l associer à l acide alpha-lipoïque une fois les niveaux de mercure bien descendus. Le complexe formé par les métaux lourds et le chélateur est éliminé par le rein et le foie.il faut donc vérifier leur fonction avant le démarrage de la chélation.
70 Protocole de chélation L'agent chélateur et son mode d'administration doivent être choisis en fonction de chaque enfant. Une fois le traitement mis en oeuvre, il est important d'en évaluer à la fois - l'efficacité - la tolérance. Il n'est pas nécessaire de forcer les choses. La règle d'or est d'avancer lentement mais sûrement. Les formes transdermales du DMPS ou du DMSA sont souvent privilégiées chez les tout petits, car elles évitent d'exposer les intestins au complexe chélateur/toxines mais elles sont souvent moins efficacs. Si une méthode pose problème, il est préférable d'en changer. Bien utilisés, ces chélateurs peuvent être miraculeux.
71 Protocole de chélation (ethylenediaminetetraacetic acid) Pas d affinité pour le mercure, forte affinité pour le plomb,l aluminum,et le cuivre.seul l EDTA calcique doit etre utilisé pour l intoxication aux métaux lourds. L ETDA CaNa2 approuvé par la FDA pour le plomb; seul chélateur dont les effets en termes de QI ont été démontrés. Traitement du biofilm
72 Protocole de chélation 2,3 Dimercaptopropane sulfate est un exellent chelateur du mercure avec 2 groupes thiols Pas d affinité pour le plomb Excretion prédominante par le rein
73 Protocole de chélation Adultes - 3 à 5 mg / kg une fois par mois en IV lente pendant 5 minutes - 10 mg kg/jour per os une fois par mois.(seulement 50% absorbé par voie orale,peut causer de gros désordres intestinaux) Enfants 2 formes recommandées : la voie transdermale:les doses habituelles sont de 1,5g/kg tous les 2 jours pendant une période d un an. La voie rectale:10mg/kg pendant 3 jours avec une pause de 11 jours. Les mineraux ne doivent pas être administrés le même jour que le DMPS
74 Chélation au DMSA Meso 2,3 mercaptosuccinic acid C est l agent chelateur utilisé pour l étude suivante A study on urinary porphyrin levels in 256 children with neurodevelopmental and related disorders including 106 with autistic disorder. Nataf R, Skorupka C, Amet L, Lam A, Springbett A, Lathe R, Porphyrinuria in childhood autistic disorder
75 Chélation au DMSA Meso 2,3 mercaptosuccinic acid Une population d enfants atteint d autisme ou autisme + epilepsie, présentant une élévation des porphyrines urinaires, ont été traités au (DMSA) acide meso-2,3- dimercaptosuccinique pour détoxiquer les métaux lourds. Forte affinité pour le mercure et le plomb Excellente sécurité si toutes les règles sont respectées Entraine forte déplétion du Zinc Formes orales Nouvelle forme transdermale
76 Chélation au DMSA Le DMSA a été donné sous sa forme orale à la dose de (10 mg / kg de poids toutes les 8 heures pendant 3 jours), suivie d une période de pause de 11 jours. Ce cycle de 14 jours est répété cinq fois,puis pause de trois mois. L enfant a reçu parrallèlement des minéraux, des vitamines, des draineurs hépatiques,de l ALA souvent après trois mois de traitement toujours en fonction de leurs résultats individuels
77 Coproporphyrin (millimol/mol creatinine) Résultats de la chélation 60 Chelation (DMSA) No Chelation Non-ASD Control Group st 2nd 1st 2nd Réduction des coproporphyrines urinaires après DMSA
78 Résultats de la chélation Precoproporphyrins of children with multiple analyses before and after chelating with DMSA nmole/g creatinine before after
79 Résultats de la chélation Coproporphyrins of children with multiple analyses before and after chelating with DMSA nmole/g creatinine before after
80 Chélation:effets secondaires Ils sont faibles: Libération de levures ou de bactéries dans les intestins(biofilm) Déplétion en minéraux traces, tels que le zinc. Irritations cutanées. Les effets secondaires sont généralement prévenus en traitant les intestins, par l'apport de minéraux en changeant de chélateur ou de mode d'administration Souvent amélioration très importante avec le traitement
81 Chélation:benéfice du traitement L'expérience accumulée auprès de milliers d'enfants autistes démontrent l'extraordinaire sécurité de ces médicaments lorsque celle-ci est pratiquée de manière satisfaisante. La chélation aide à rompre l'enchaînement d'un certain nombre de cycles responsables de l'altération de tissus et de différents symptômes, et permet la mise en place de processus de réparation et de récupération. Elle est souvent la clef de réussite du traitement de la maladie de Lyme
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailvaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)
EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation
Plus en détailhttp://www.aroma-zone.com - contacts@aroma-zone.com
HUILE ESSENTIELLE DE BASILIC TROPICAL Revigorante et vitalisante, tonique puissante du système nerveux. Digestive, antispasmodique. Stress, fatigue, dépression, insomnie Flatulence, indigestion, nausée,
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L'UTILISATEUR. DAKTOZIN 2,5 mg/150 mg pommade Nitrate de miconazole et oxyde de zinc
NOTICE : INFORMATION DE L'UTILISATEUR DAKTOZIN 2,5 mg/150 mg pommade Nitrate de miconazole et oxyde de zinc Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailPsoriasis & Sport. Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives. Qui le psoriasis touche-t-il?
Psoriasis, let s sport together! Psoriasis & Sport Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives Qui le psoriasis touche-t-il? On estime que 2 à 3 % de la population belge est
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailDes picotements dans la gorge?
Des picotements dans la gorge? Qu est-ce que ça peut bien être? Non, pas le rhume! Combattez-le rapidement avec l Huile d origan. Efficacité garantie! 34 97 30 capsv Prix incroyable pour oméga-3! Triple
Plus en détailQU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE?
QU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE? Information pour les patients TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION 1 LA TUBERCULOSE GÉNÉRALITÉS 1.1 Qu est-ce que la tuberculose? 1.2 La tuberculose est-elle toujours contagieuse?
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant d'utiliser
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailInstitut WanXiang Historique de santé du patient
Institut WanXiang Historique de santé du patient Merci de remplir ce questionnaire aussi complètement que possible et d indiquer les zones d incompréhension avec un point d'interrogation. En plus de toutes
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailL EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE
L EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE NEUCHATEL, Suisse, 7 avril/prnewswire/ -- - LA LENALIDOMIDE est évaluée par l EMEA comme thérapie orale pour
Plus en détailCarnet de suivi Lithium
Carnet de suivi Lithium Brochure d information sur les troubles bipolaires et leur traitement par lithium Nom : Ce carnet est important Si vous le trouvez, merci de le faire parvenir à l adresse cidessous
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailAutisme Questions/Réponses
Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions
Plus en détailGUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE
GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE Vous êtes à la recherche d un médecin de famille? Le CSSS-IUGS peut vous aider. Inscrivez-vous au guichet d accès à un médecin de famille en remplissant le formulaire
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailMONOGRAPHIE DE PRODUIT
MONOGRAPHIE DE PRODUIT Pr ESBRIET Capsules de pirfénidone 267 mg Antifibrosant et anti-inflammatoire Hoffmann-La Roche Limitée 7070 Mississauga Road Mississauga (Ontario) L5N 5M8 Canada Date de révision
Plus en détailLa migraine : quelle prise de tête!
La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également
Plus en détailLA SECRETINE ET L AXE CERVEAU-INTESTIN DANS L AUTISME
LA SECRETINE ET L AXE CERVEAU-INTESTIN DANS L AUTISME Dr Karoly HORVATH, M.D., Ph.D. Diapo 1 : Mesdames et messieurs : c est un plaisir d être ici et de présenter notre expérience dans le traitement des
Plus en détailProtocole pour l élimination des neurotoxines
Protocole pour l élimination des neurotoxines 47 chemin de Semailles 1212 Grand-Lancy Suisse Tel. (+41) (0) 22 796 94 64 Fax (+41) (0) 22 796 94 54 info@cinak.com Nous assistons à une augmentation importante
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant phénylcétonurique Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de phénylcétonurie. Aujourd'hui votre enfant va bien mais vous
Plus en détailUn environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir?
Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Renseignements sur la fumée secondaire et tertiaire Qu est-ce que la fumée secondaire? La fumée secondaire est une combinaison de fumée
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailPIL Décembre 2009. Autres composants: acide tartrique, macrogol 4000, macrogol 1000, macrogol 400, butylhydroxyanisol.
Notice publique MOTILIUM Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant d utiliser ce médicament. Gardez cette notice, vous pourriez avoir besoin de la relire. Si vous avez d autres questions,
Plus en détailDiabète de type 1: Informations destinées aux enseignants
Diabète de type 1: Informations destinées aux enseignants Le diabète chez les jeunes Le diabète de type 1 est une maladie très difficile à affronter, surtout quand on est jeune. Malheureusement, si quelque
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailInfections urinaires chez l enfant
Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous
Plus en détailLes maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST)
Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST) MST est le terme utilisé pour décrire toute maladie, toute infection transmise par un rapport sexuel avec une personne déjà contaminée, et qui
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailTraitements topiques. Utiliser conformément aux instructions figurant sur l emballage. Aident à éliminer les squames. Soulagent les démangeaisons.
SANS ORDONNANCE Solutions pour le bain et la douche : Huiles Farine d avoine Sels d Epsom Sels de al Mer Morte Utiliser conformément aux instructions figurant sur l emballage. Aident à éliminer les squames.
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailLes fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org.
Les fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org. Les maladies invalidantes Repères sur l asthme généralités
Plus en détailLe stress oxydant provoqué par l'exercice : une fatalité?
Le stress oxydant provoqué par l'exercice : une fatalité? L e métabolisme aérobie est un moyen très efficace de produire de l'énergie en oxydant la matière organique, mais l'utilisation d'oxygène entraîne
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailAnémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4
Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,
Plus en détailComment ça va? Quand ça ne va pas. 4 comment ça va?
Comment ça va? 1 Voici quatre dialogues. Dites à quelle situation de communication correspond chacun d eux. Situation a) : consultation chez un médecin. Situation b) : salutations dans la rue, par simple
Plus en détailLe syndrome d intolérance aux champs électromagnétiques (SICEM)
Le syndrome d intolérance aux champs électromagnétiques (SICEM) Mise à jour le 27 Avril 2010 Pr Dominique Belpomme Président de l ARTAC Association pour la Recherche Thérapeutique Anti-Cancéreuse ARTAC
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailLa vaccination, une bonne protection
Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailL ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN
L ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN TABLE DES MATIÈRES Présentation 1 L alcool, différent des autres aliments 2 Différent au moment de l absorption 3 Différent au moment de l élimination 4 Différent dans les conséquences
Plus en détail+ Questions et réponses
HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailLA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE
Marie-Hélène BONNET 8, Avenue de l Amiral Narbonne 111120 Bize Minervois Tél. 04.68.40.61.50 Email : manoirperceval@wanadoo.fr LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE A lire très attentivement, et à faire lire
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailInformation pour les patients dialysés qui prennent du chlorhydrate de sévélamer (RENAGEL)
Les autorités de santé de l Union Européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament RENAGEL de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimalisation des risques en Belgique, dont cette information
Plus en détailA healthy decision LA DOULEUR
A healthy decision Mieux vivre avec LA DOULEUR Tout à propos de la douleur, de ses causes et de ses possibilités de traitement. Parlez-en avec votre médecin ou pharmacien. Contenu Qu est-ce que la douleur
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailQuestionnaire santé et soins médicaux pour les moins de 16 ans
_0_ An Vag Enq N adresse N individuel... Prénom Année de naissance (réservé enquêteur) Questionnaire santé et soins médicaux pour les moins de 6 ans Enquête sur la Santé et la Protection Sociale 00 Prénom
Plus en détailProtégeons-nous ensemble!
Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailMédicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés
Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Developé pour le Centre
Plus en détailSportifs et médicaments Questions et réponses
Sportifs et médicaments Questions et réponses Que puis-je faire pour éviter d'être contrôlé positif suite à la prise d'un médicament? Il y a deux façons de se procurer des médicaments : soit sur ordonnance
Plus en détail1 ère manche Questions fermées
Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée
Plus en détailPourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors?
Pourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors? elle va pour cela créer des éléments chargées de transmettre un message à son corps (les hormones) : la «relaxine»
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailDIAMICRON MR (Gliclazide) Monographie de produit Page 1 de 5
PARTIE III : RENSEIGNEMENTS POUR LE CONSOMMATEUR Pr DIAMICRON MR Gliclazide Comprimés à libération modifiée de 30 mg Comprimés sécables à libération modifiée de 60 mg Le présent dépliant constitue la troisième
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailSavez-vous ce qu'est exactement un vaccin à part un produit qu'on injecte et qui protège contre une maladie?
Savez-vous ce qu'est exactement un vaccin à part un produit qu'on injecte et qui protège contre une maladie? C'est en fait, une petite quantité du germe (virus ou bactérie) responsables de la maladie que
Plus en détailLes troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson
Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl) Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION
ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailLe protecteur buccal : tout à fait génial!
Le scellement des puits et fissures : bien sûr! Les crevasses des surfaces masticatrices emprisonnent facilement les débris d aliments et les bactéries, favorisant ainsi la carie. Dès que les premières
Plus en détailRÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.
RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl
Plus en détail