Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire"

Transcription

1 Délégation territoriale du Val-d Oise Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire Maîtriser la température de l eau chaude sanitaire L exploitant d un réseau d eau chaude sanitaire (ECS) doit concilier deux objectifs, a priori, antagonistes : Maintenir une température suffisamment élevée dans le réseau d eau chaude sanitaire pour réduire au maximum les capacités de développement des légionelles. Au-delà de 60 C, les légionelles sont détruites. Entre 50 et 60 C, leur croissance est arrêtée. Limiter la température au niveau des points d usage, en particulier ceux destinés à la toilette pour éviter les risques de brûlure des usagers. Ces risques augmentent rapidement au-delà de 50 C. Schéma 1 : développement des légionelles et risque de brûlure selon la température Développement des légionelles Destruction Arrêt de la croissance Croissance (optimum : C) Survie 70 C 60 C 50 C 40 C 30 C 20 C 10 C Risque de brûlure profonde Brûlure en 1 seconde Brûlure en 7 secondes Brûlure en 8 minutes L arrêté du 30 novembre 2005 modifiant l arrêté du 23 juin 1978 relatif aux installations fixes destinées au chauffage et à l alimentation en eau chaude sanitaire des bâtiments d habitation, des locaux de travail ou des locaux recevant du public définit des objectifs de température pour l eau en circulation dans le réseau d eau chaude sanitaire : Une température supérieure ou égale à 55 C en sortie de production ECS Une température supérieure ou égale à 50 C sur le réseau de distribution, y compris au niveau du retour de boucle. Ces exigences constituent des obligations réglementaires pour les réseaux ECS réceptionnés par le maître d ouvrage après le 15 décembre Pour les installations antérieures au 15 décembre 2006, il s agit seulement de valeurs guides qu il convient de respecter. L arrêté du 30 novembre 2005 impose également que la température de l eau chaude aux points d usage réservés à la toilette (lavabo, douche, baignoire ) soit inférieure ou égale à 50 C pour éviter les risques de brûlure. Pour concilier les objectifs de température fixés pour le réseau de distribution et les points d usage, il est nécessaire d installer un système bloquant la température (robinet thermostatique, mitigeur entre la colonne d alimentation et la canalisation terminale, robinet mitigeur à butée) dans les pièces réservées à la toilette. Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire page 1 /10

2 Les objectifs de la surveillance de la température La surveillance de la température permet de vérifier la bonne maîtrise du réseau, c est-àdire : la capacité du préparateur d eau chaude à produire une eau répondant aux obligations réglementaires ou aux consignes de l exploitant la bonne circulation de l eau dans le réseau (si l eau stagne dans les canalisations, elle va progressivement perdre de la chaleur) la limitation de pertes de calories liées à une mauvaise isolation des canalisations (absence ou qualité médiocre du calorifugeage) ou par introduction d eau froide dans le réseau d eau chaude (absence ou défectuosité des clapets anti-retour, mauvais branchement de canalisation). Compte tenu des obligations réglementaires et techniques précitées, les préconisations en termes de température à atteindre sont : 55 C au niveau de la mise en distribution (sortie du préparateur d eau chaude ou du ballon de stockage s il est couplé au préparateur) Un écart de température entre le départ et le retour de boucle inférieur à 5 C, le retour de boucle devant présenter une température supérieure à 50 C. Une température, en tout point du réseau, supérieure ou égale à celle relevée en retour de boucle. Surveillance réglementaire / surveillance recommandée L arrêté du 1 er février 2010 impose une fréquence mensuelle de surveillance de la température de l eau chaude (hormis les établissements de santé). Il s agit de la fréquence minimale réglementaire. Afin d avoir une bonne maîtrise du réseau et d avoir un suivi plus précis, il est recommandé d augmenter la fréquence du suivi réglementaire en procédant à des relevés : quotidiens au niveau de la production d eau chaude, ce qui permet d obtenir un suivi très régulier de la température. En outre, ce suivi donne l occasion de visiter quotidiennement la sous-station et ainsi de vérifier qu il n existe aucun disfonctionnement au niveau des différentes installations de production de chaleur et d eau chaude sanitaire. hebdomadaires au niveau des points d usage (ou sur les colonnes de retour). A noter : les établissements de santé doivent respecter une fréquence de surveillance quotidienne pour les installations de production ECS et hebdomadaire pour les points d usage. Où réaliser les mesures de température? Départ de distribution : La mesure de la température se fait au niveau de la mise en distribution de l ECS, c est-à-dire en aval immédiat du préparateur d ECS ou, s il est couplé à un ballon de stockage, après celui-ci. Si un mitigeur est installé en départ de production (ce type d équipement est déconseillé), il est nécessaire d installer : un thermomètre en amont du mitigeur pour vérifier la température de l eau chaude produite (vérification du bon fonctionnement du préparateur d eau chaude) et un thermomètre en aval du mitigeur (vérification du respect de la consigne de température prévue au niveau du mitigeur). Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire page 2 /10

3 Retour de boucle : Lorsque le réseau de distribution est composé de plusieurs boucles, l arrêté du 1 er février 2010 prévoit que la mesure de la température doit être réalisée au niveau de chaque retour de boucle, ce qui permet de vérifier qu une boucle n est pas plus défavorisée qu une autre. Lorsque l accès aux retours de chaque boucle n est pas aisé, un thermomètre doit au moins être installé sur le collecteur général du retour de boucle, en amont des pompes de circulation. Sur le réseau de distribution : La température doit être relevée au niveau des points d usage représentatifs de la configuration du réseau : au moins un point d usage doit être choisi pour chacune des boucles du réseau. Il s agit en général d un point d usage de la colonne d alimentation la plus éloignée de la production ECS. Il est important de posséder un plan du réseau de distribution de l eau chaude sanitaire afin d identifier les différentes boucles du réseau et définir le plan de surveillance de la température de l eau chaude sanitaire. Schéma 2 : Exemple de configuration de réseau d eau chaude sanitaire Lorsque l établissement est construit sur plusieurs niveaux, les mesures de température sont généralement réalisées sur les points d usage du dernier niveau. Lorsque cela est possible, il est recommandé de privilégier l installation de thermomètres sur les canalisations des colonnes retour des points d usage les plus éloignés. Ainsi, il est possible de s affranchir des difficultés de mesure liées à la présence de robinets thermostatiques sans bague de déverrllage et ne délivrant que de l eau mitigée(en général limitée à 38 C). Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire page 3 /10

4 Schéma 3 : Exemple de positionnement des relevés de température en production et en réseau de distribution ECS Départ de production : point obligatoire Sortie préparateur ECS : point facultatif Retour de chaque boucle : points obligatoires (sauf difficulté d accès) Colonnes retour les plus éloignées de la production ECS : à privilégier en remplacement des mesures aux points d usage Retour général : point obligatoire si les conditions d accès ne permettent pas de relever la température sur chaque retour de boucle Mesures aux points d usage des colonnes les plus éloignées de la production ECS : points obligatoires s il n est pas possible d installer des thermomètres sur les colonnes retour) A quel moment de la journée mesurer la température? Il est préférable de mesurer la température en dehors des périodes de forte sollicitation du réseau d ECS pour obtenir des informations correspondant au fonctionnement normal du réseau. Dans un établissement d hébergement, les sollicitations les plus importantes du réseau d ECS auront lieu le matin avant 10h et le soir. Si les cuisines de l établissement utilisent l eau chaude issue de la même production d eau chaude, il convient d éviter également de mesurer la température lors de leurs périodes d activité. En règle générale, un relevé en milieu d après-midi (vers 15h) permet d obtenir les températures les plus représentatives du fonctionnement normal du réseau ECS. Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire page 4 /10

5 Comment mesurer la température aux points d usage? Afin d éviter les risques de brûlure du manipulateur, il convient de privilégier des points d usage faciles d accès et de préférer les robinets des lavabos aux douches. Si le point d usage est équipé d un système de limitation de température (robinet thermostatique, robinet mitigeur à butée ), il est nécessaire de le déverrller préalablement afin de ne mesurer que l eau chaude et non une eau mitigée. Attention, certains systèmes ne peuvent pas être déverrllés. Il n est donc pas possible de mesurer la température de l eau chaude au point d usage. Il est alors nécessaire de trouver un point d usage non équipé ou, mieux, d installer un thermomètre sur la colonne «retour». Il est recommandé de suivre les étapes suivantes : 1) Ouvrir le robinet à un débit moyen (correspondant à un usage normal) en position eau chaude seule 2) Mettre la sonde du thermomètre sous le jet d eau 3) Relever la température au bout de 30 secondes d écoulement 4) Si la température après 30 secondes n atteint pas 50 C, poursuivre la mesure de la température jusqu à obtention d une température égale à 50 C et relever le délai pour y parvenir 5) Mesurer la température jusqu à sa stabilisation en relevant la température de stabilisation et le délai pour l obtenir. La température relevée après 30 secondes d écoulement correspond à la température de l eau chaude en circulation dans la colonne d alimentation bouclée (ce délai est généralement nettement suffisant pour éliminer l eau ayant stagné dans la canalisation terminale qui raccorde le point d usage à la colonne). Schéma 4 : Mesure de la température de l ECS à un point d usage Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire page 5 /10

6 Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire page 6 /10

7 Logigramme pour l interprétation des relevés de température Température départ de production 55 C? non Capacités de production insuffisantes ou dysfonctionnement du préparateur d eau chaude Absence de mitigeur en tête de réseau? non après mitigeur > 50 C? non Température insuffisante pour le réseau Mesures de température à réaliser sur chacune des boucles du réseau Température au point d usage le plus éloigné 1 après écoulement 30 secondes 50 C? Délai pour obtenir la de stabilisation au point d usage le plus éloigné 1 60 secondes Température retour de la boucle 50 C Ecart entre T départ production 2 et T retour de la boucle 5 C non non non non Mauvaise circulation de l eau chaude dans la boucle et/ou problème d isolation thermique et/ou phénomène d introduction d eau froide Ou si présence d un mitigeur en tête de réseau, température de mise en distribution trop faible Mauvaise circulation de l eau chaude dans la boucle Mauvaise circulation de l eau chaude dans la boucle Ou si présence d un mitigeur en tête de réseau, température de mise en distribution trop faible Si écart > 5 C et < 7 C, situation à surveiller. Si écart 7 C, mauvaise circulation de l eau chaude et/ou problème d isolation thermique et/ou phénomène d introduction d eau froide Si ces résultats se vérifient pour chacune des boucles, les conditions de production et de distribution de l eau chaude sanitaire de l établissement sont satisfaisantes pour limiter le risque de prolifération des légionelles. Les conditions de production et/ou de distribution de l eau chaude sanitaire sont favorables au développement des légionelles dans tout ou partie du réseau ECS, nécessitant la mise en œuvre d actions correctives par l exploitant du réseau d eau chaude sanitaire. 1 valable uniquement pour les points d usage non équipés d un limiteur de température 2 T après mitigeur si présence d un mitigeur en tête de réseau Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire page 7 /10

8 Quels types de thermomètre utiliser? Les thermomètres de contact à aiguille On trouve souvent ce type de thermomètre dans les anciennes productions d eau chaude sanitaire. Ils sont fixés par un collier autour des canalisations afin que la sonde de mesure soit en contact avec la surface de la canalisation mais le contact n est pas toujours parfait (en raison de la forme cylindrique de la canalisation et/ou le relâchement du collier créant un jeu entre la canalisation et le thermomètre) conduisant parfois à des écarts importants entre la température relevée et la température de l eau chaude en circulation. Il s agit en outre la plupart du temps de thermomètre à aiguille (ou bilame) manquant de précision et les rendant fragiles (le bilame peut se casser, l aiguille restant positionnée sur une température). Il est donc conseillé d abandonner ce type de thermomètre. Les thermomètres plongeurs à mercure ou alcool Ces thermomètres pourvus d un doigt de gant (ou puits thermométrique) sont à privilégier. Le doigt de gant est installé sur la canalisation afin de plonger la sonde du thermomètre au cœur de la canalisation, permettant ainsi une mesure directe et précise de la température de l eau en circulation. Attention toutefois de vérifier régulièrement que le thermomètre est correctement installé et que la sonde ne s est pas cassée à l intérieur du doigt de gant. Les thermomètres à infrarouge Ils permettent de mesurer la température sans contact direct avec la surface. Ces thermomètres doivent être utilisés avec prudence car leur usage sur les surfaces métalliques (acier galvanisé ou cuivre) n est possible que si les sections de canalisations faisant l objet de la mesure de température sont recouvertes d une couche de peinture noire mate. La température relevée est celle mesurée en surface de la canalisation et peut donc être inférieure de plusieurs degrés à celle de l eau en circulation dans la canalisation. Les enregistreurs automatiques de température Ces enregistreurs automatiques sont reliés à une ou plusieurs sondes de mesure installées autour des canalisations à l aide d une bande velcro, permettant ainsi d obtenir facilement les évolutions de température sur de longues périodes en différents emplacements (départ de distribution, retour de boucle, pied de colonne ). Les données sont, selon les modèles, soit extraites à fréquence régulière en branchant l enregistreur sur un ordinateur, soit transmises en continu vers un ordinateur (par wifi ou par connexion filaire). Les données sont ensuite traitées à l aide d un logiciel d exploitation des données. Attention toutefois, les températures relevées en surface de canalisation peuvent être de 3 à 5 C inférieures à la température de l eau en circulation. Thermomètres alimentaires à sonde Ces thermomètres sont bien adaptés pour mesurer la température au niveau des points d usage en faisant couler l eau sur la sonde de mesure. Ces thermomètres sont déconseillés pour mesurer la température au niveau des installations de production d eau chaude où les robinets (voire les vannes à quart de tout) sont souvent difficiles d accès et où l eau est la plus chaude, pouvant conduire à des risques de brûlure pour le manipulateur. Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire page 8 /10

9 Fiche de relevé de température aux points d usage Localisation du point d usage (bâtiment, aile, étage, n de chambre, boucle du réseau ) Date du relevé Heure du relevé Température relevée après 30 secondes de soutirage à débit moyen Délai pour atteindre 50 C (si non atteint au bout des 30 secondes) Température maximale stabilisée (si non atteinte au bout des 30 secondes) Délai pour atteindre la température maximale stabilisée (si non atteint au bout des 30 secondes) Nom de l agent chargé du relevé Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire page 9 /10

10 Exemple de fiche de relevé de température des installations de production ECS et des retours de boucle Point 1 Point 2 Point 3 Point 4 Point 5 Point 6 Point 7 Point 8 Date du relevé Heure du relevé Aval immédiat du préparateur ECS Aval immédiat du ballon de stockage Aval immédiat du mitigeur de tête de réseau Retour de la boucle A Retour de la boucle B Retour de la boucle C Retour de la boucle D Retour général Nom de l agent Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire page 10 /10

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER

Plus en détail

SYSTEM O. Contrôler la température sur l ensemble de votre réseau...

SYSTEM O. Contrôler la température sur l ensemble de votre réseau... SYSTEM O Contrôler la température sur l ensemble de votre réseau... Contexte réglementaire La prévention des risques sanitaires est une priorité pour les maitres d ouvrage en particulier dans les Etablissements

Plus en détail

Le chauffe eau à accumulation électrique

Le chauffe eau à accumulation électrique Le chauffe eau à accumulation électrique I) Composition d un chauffe eau électrique Leurs constitutions sont sensiblement les mêmes entre chaque fabriquant : Habillage Départ eau chaude Isolant Cuve Anode

Plus en détail

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http:// 2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation

Plus en détail

Eau chaude sanitaire

Eau chaude sanitaire 4 rue du maréchal FOCH, 68 460 LUTTERBACH 03 89 50 06 20 ou eie68@alteralsace.org La lettre d information d Alter Alsace Energies dans le cadre du défi des familles éco-engagées : N 8 Janvier 2013 Eau

Plus en détail

des réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires w w w. s o g o b a. c o m

des réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires w w w. s o g o b a. c o m Equilibrage & Maintenance des réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires G R K N E T E v o l u t i o n La solution

Plus en détail

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance. 9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation

Plus en détail

TACOTHERM DUAL PIKO MODULE THERMIQUE D APPARTEMENT MULTI CONFIGURABLE

TACOTHERM DUAL PIKO MODULE THERMIQUE D APPARTEMENT MULTI CONFIGURABLE TACOTHERM DUAL PIKO MODULE THERMIQUE D APPARTEMENT MULTI CONFIGURABLE COMBINEZ VOTRE STATION INDIVIDUELLE Le module thermique d appartement TacoTherm Dual Piko s adapte parfaitement à toutes les configurations

Plus en détail

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,

Plus en détail

BP/BL 150 à 500, B 650 à 1000

BP/BL 150 à 500, B 650 à 1000 BP/BL à, B 6 à PRÉPARATEURS D EAU CHAUDE SANITAIRE INDÉPENDANTS BP Préparateurs ecs indépendants Performance, capacité de à litres BL Préparateurs ecs indépendants, capacité de à litres B Préparateurs

Plus en détail

Une chaudière mixte est facilement identifiable : elle se déclenche chaque fois que vous ouvrez un robinet d eau chaude.

Une chaudière mixte est facilement identifiable : elle se déclenche chaque fois que vous ouvrez un robinet d eau chaude. Comment choisir votre douche Le système en place chez vous Lorsque vous choisissez le type de douche dont vous voulez vous équiper, vous devez au préalable vérifier le système de production d eau chaude

Plus en détail

VOTRE EAU CHAUDE ELECTRIQUE

VOTRE EAU CHAUDE ELECTRIQUE G U I D E VOTRE EAU CHAUDE ELECTRIQUE SICAE Une réduction d'impôts peut être obtenue (sous certaines conditions) lors du remplacement de votre chauffe-eau électrique. Renseignez-vous auprès du Centre des

Plus en détail

Décomposition du Prix Global et Forfaitaire

Décomposition du Prix Global et Forfaitaire Décomposition du Prix Global et Forfaitaire Création d'un espace périscolaire Et d'une nouvelle mairie A CUSE et ADRISANS Rue PATARD 25 680 CUSE et ADRISANS Lot n 3 Ventilation - Plomberie sanitaire Maître

Plus en détail

Installations de plomberie

Installations de plomberie Service de l urbanisme, des biens et de l aménagement Installations de plomberie Guide à l intention des propriétaires pour l interprétation des règlements municipaux de la ville de Winnipeg concernant

Plus en détail

Ballon d'eau chaude sanitaire et composants hydrauliques

Ballon d'eau chaude sanitaire et composants hydrauliques ccessoires allon d'eau chaude sanitaire et composants hydrauliques Page 21 allon d'eau chaude sanitaire et composants hydrauliques allon d'eau chaude sanitaire de 3 l 155 12 9 9 8 7 555 P 3 25 215 55 5

Plus en détail

Installations d eau chaude sanitaire dans les bâtiments (SIA 385/1 et 385/2)

Installations d eau chaude sanitaire dans les bâtiments (SIA 385/1 et 385/2) Information du domaine Sanitaire eau gaz Installations d eau chaude sanitaire dans les bâtiments (SIA 385/1 et 385/2) Introduction La norme SIA 385/1 «Installations d eau chaude sanitaire dans les bâtiments

Plus en détail

RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS

RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS 1 SITUATION DE L ÉTUDE Les données météorologiques sont des données primordiales pour le bon déroulement des calculs et pour avoir des résultats les plus proches de la réalité.

Plus en détail

CARNET SANITAIRE DE VOTRE INSTALLATION D'EAU

CARNET SANITAIRE DE VOTRE INSTALLATION D'EAU CARNET SANITAIRE DE VOTRE INSTALLATION D'EAU (Indiquer le nom de l installation) Directions Régionale et Départementales des Affaires Sanitaires et Sociales du Nord-Pas-de-Calais Ministère de l emploi,

Plus en détail

PRÉPARATEURS D EAU CHAUDE SANITAIRE INDÉPENDANTS

PRÉPARATEURS D EAU CHAUDE SANITAIRE INDÉPENDANTS BPB-BLC /BEPC /B /FWS PRÉPARATEURS D EAU CHAUDE SANITAIRE INDÉPENDANTS BPB : Préparateurs ecs indépendants Performance, capacité de à litres BLC : Préparateurs ecs indépendants Confort, capacité de à litres

Plus en détail

SOMMAIRE ARTIPRIX PIQUAGES - FORAGES - PERCEMENTS DES MURS FORAGES DANS MURS FORAGES DANS PLANCHERS PERCEMENTS SAIGNÉES SCELLEMENTS

SOMMAIRE ARTIPRIX PIQUAGES - FORAGES - PERCEMENTS DES MURS FORAGES DANS MURS FORAGES DANS PLANCHERS PERCEMENTS SAIGNÉES SCELLEMENTS 1 2 3 4 5 6 7 PIQUAGES - FORAGES - PERCEMENTS DES MURS FORAGES DANS MURS FORAGES DANS PLANCHERS 15 PERCEMENTS 16 SAIGNÉES SCELLEMENTS FRAIS DIVERS D'INTERVENTION DE DÉPANNAGE RECONNAISSANCE DES TRAVAUX

Plus en détail

Grille d'évaluation Compétences reliées aux activités Evaluation du stage en entreprise

Grille d'évaluation Compétences reliées aux activités Evaluation du stage en entreprise Page 1 sur 6 Grille d'évaluation Compétences reliées aux activités Evaluation du stage en entreprise Nom élève:.. Entreprise: Nom et fonction du professeur:. Dates de stage:.. Zone de compétence: Zone

Plus en détail

Thierry Gallauziaux David Fedullo. La plomberie

Thierry Gallauziaux David Fedullo. La plomberie Thierry Gallauziaux David Fedullo La plomberie Deuxième édition 2010 Sommaire Sommaire Les bases de la plomberie Les matières synthétiques...16 Les dangers du gaz et de l eau...16 La plomberie...9 L eau...10

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE ENERGIE «Eau Chaude Sanitaire - ECS»

FICHE TECHNIQUE ENERGIE «Eau Chaude Sanitaire - ECS» FICHE TECHNIQUE ENERGIE «Eau Chaude Sanitaire - ECS» Sources : CNIDEP et ADEME A. ETAT DE L ART 1. Caractéristiques générales Que demande t-on à une production d eau chaude sanitaire? Fournir une eau en

Plus en détail

Robinetterie «haut de gamme» + Systèmes Robinetterie pour installations d eau potable «Aquastrom T plus» «Aquastrom C» «Aquastrom P»

Robinetterie «haut de gamme» + Systèmes Robinetterie pour installations d eau potable «Aquastrom T plus» «Aquastrom C» «Aquastrom P» Innovation + Qualité Robinetterie «haut de gamme» + Systèmes Robinetterie pour installations d eau potable «Aquastrom T plus» «Aquastrom C» «Aquastrom P» Gamme de produits Conditions générales et directives

Plus en détail

Le Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT

Le Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT Le Plomb dans l eau De quoi s agit-il? De quoi parle-t-on? Où le trouve-t-on? Quelle est son origine? Responsabilités Quels sont les effets néfastes du plomb dans l eau sur la santé? Comment les détecter?

Plus en détail

Conception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments

Conception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments Conception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments Olivier CORREC Mél : olivier.correc@cstb.fr Contexte des réseaux d eau sanitaire Exigences générales : o Sécuriser la consommation

Plus en détail

Salle de bains FICHE TECHNIQUE

Salle de bains FICHE TECHNIQUE FICHE TECHNIQUE Salle de bains 2 4 7 CONNAÎTRE > Une pièce humide > Les équipements > Production d eau chaude sanitaire > Les revêtements du sol et des murs > L installation électrique > Les réseaux d

Plus en détail

Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective. La Garantie de Résultats Solaires (GRS)

Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective. La Garantie de Résultats Solaires (GRS) Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective La Garantie de Résultats Solaires (GRS) Document réalisé avec le soutien technique de la Introduction Les installations concernées par la Garantie

Plus en détail

Le Chauffe Eau Solaire Individuel

Le Chauffe Eau Solaire Individuel Le Chauffe Eau Solaire Individuel Schémas de principe et son fonctionnement Encombrement capteur et ballon Productivité Maintenance Durée Une place de champion dans la RT 2012 Le solaire comment ça marche?

Plus en détail

C.C.T.P. D.P.G.F. LOT 8

C.C.T.P. D.P.G.F. LOT 8 Communauté de communes de la MONTAGNE BOURBONNAISE CONSTRUCTION D UN BATIMENT LOCATIF A USAGE ARTISANAL OU INDUSTRIEL Zone d activités du Mornier 03250 LE MAYET DE MONTAGNE Marché de travaux C.C.T.P. D.P.G.F.

Plus en détail

Travaux d adaptation du logement pour les personnes âgées

Travaux d adaptation du logement pour les personnes âgées Fiche pratique Personnes âgées Travaux d adaptation du logement pour les personnes âgées Accéder à son logement - utiliser les escaliers - prendre l ascenseur - accéder aux équipements Profiter de son

Plus en détail

NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine

NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire

Plus en détail

guide lot CVC Points de vigilance à l usage des conducteurs de travaux EG ENTREPRISES GÉNÉRALES DE FRANCE BTP

guide lot CVC Points de vigilance à l usage des conducteurs de travaux EG ENTREPRISES GÉNÉRALES DE FRANCE BTP ENTREPRISES GÉNÉRALES DE FRANCE BTP guide Points de vigilance à l usage des conducteurs de travaux EG lot CVC Avant-propos AVANT-PROPOS CHAUFFAGE... 1 CLIMATISATION... 2 GESTION TECHNIQUE CENTRALISÉE 3

Plus en détail

Annexe 3 Captation d énergie

Annexe 3 Captation d énergie 1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,

Plus en détail

COLLOQUE Solaire thermique & Habitat collectif. François GIBERT directeur EKLOR. Instrumentation et régulation : la vision d un fabricant

COLLOQUE Solaire thermique & Habitat collectif. François GIBERT directeur EKLOR. Instrumentation et régulation : la vision d un fabricant COLLOQUE Solaire thermique & Habitat collectif 20 FÉVRIER 2013 : EUREXPO SALON DES ENR François GIBERT directeur EKLOR Instrumentation et régulation : la vision d un fabricant 1 2 2 3 3 Les fonctions d

Plus en détail

GLEIZE ENERGIE SERVICE

GLEIZE ENERGIE SERVICE GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 1 sur 17 #/ -#0/.1# 2 1# 11 - " 1 GLEIZE ENERGIE SERVICE -1 " " #/ / &3 %$". 1! "#$$ %" & "# '%# () *+, -". GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 2 sur 17 SOMMAIRE 1. Introduction - Rappel...

Plus en détail

Manuel d entretien. Présentation de votre chauffe-eau. Poignées de préhension (haut et bas) Protection intérieure par émaillage. Isolation thermique

Manuel d entretien. Présentation de votre chauffe-eau. Poignées de préhension (haut et bas) Protection intérieure par émaillage. Isolation thermique Présentation de votre chauffe-eau Poignées de préhension (haut et bas) Isolation thermique Protection intérieure par émaillage Canne de prise d eau chaude Doigt de gant du thermostat Anode magnésium Résistance

Plus en détail

La principale cause du développement

La principale cause du développement LES AUTRES thèmes LA MAÎTRISE DU RISQUE LEGIONELLES Gestion de la problématique Legionella dans les réseaux d eau chaude sanitaire : conception, maintenance et surveillance biologique Jacques Naitychia,

Plus en détail

Infos pratiques. Choisir sa solution de production d eau chaude sanitaire (ECS) Solution économique. Solution confort. Les chauffe-eau solaires

Infos pratiques. Choisir sa solution de production d eau chaude sanitaire (ECS) Solution économique. Solution confort. Les chauffe-eau solaires Infos pratiques Choisir sa solution de production d eau chaude sanitaire (ECS) Solution économique La production d eau chaude instantanée concerne principalement les chaudières murales à gaz. Lors d un

Plus en détail

40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère.

40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère. «Consommer moins en consommant mieux» 40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère. Maîtriser notre consommation en électricité, c est nous engager à adopter des gestes

Plus en détail

LES GUIDES DU BIEN VIVRE ENSEMBLE. QUI FAIT QUOI DANS LE LOGEMENT? Point par point. www.ophmontreuillois.fr

LES GUIDES DU BIEN VIVRE ENSEMBLE. QUI FAIT QUOI DANS LE LOGEMENT? Point par point. www.ophmontreuillois.fr S GUIDES DU BIEN VIVRE ENSEMB QUI FAIT QUOI DANS LOGEMENT? Point par point www.ophmontreuillois.fr Les installations de chauffage en détail Les installations de plomberie en détail Convecteur électrique

Plus en détail

Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir?

Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir? COURS-RESSOURCES Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que Objectifs : / 1 A. Les besoins en eau chaude sanitaire La production d'eau chaude est consommatrice en énergie. Dans les pays occidentaux,

Plus en détail

DROUHIN Bernard. Le chauffe-eau solaire

DROUHIN Bernard. Le chauffe-eau solaire DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire Principe de fonctionnement Les Capteurs Les ballons Les organes de sécurité Les besoins L ensoleillement dimensionnement Comment

Plus en détail

Dossier de presse STRATOCLAIR 2012 COMMENT UTILISER VOTRE BALLON D EAU CHAUDE ELECTRIQUE EN BALLON SOLAIRE?

Dossier de presse STRATOCLAIR 2012 COMMENT UTILISER VOTRE BALLON D EAU CHAUDE ELECTRIQUE EN BALLON SOLAIRE? CP - STRATOCLAIR-2-2012 R SYSTEME BREVETE Dossier de presse STRATOCLAIR 2012 Y S Y S T S E T E M E COMMENT UTILISER VOTRE BALLON D EAU CHAUDE ELECTRIQUE EN BALLON SOLAIRE? Solar Keymark N 011-7S695 R CONCEPTION

Plus en détail

produit De l eau chaude sanitaire à volonté Préparateurs ECS et accumulateurs d énergie Weishaupt

produit De l eau chaude sanitaire à volonté Préparateurs ECS et accumulateurs d énergie Weishaupt produit Information sur les préparateurs d eau chaude sanitaire De l eau chaude sanitaire à volonté Préparateurs ECS et accumulateurs d énergie Weishaupt Hygiène et propreté pour votre eau chaude sanitaire

Plus en détail

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P)

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P) CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P) Marché privé de travaux - pièce n 3 Maître de l ouvrage : Fonds Calédonien de l Habitat Objet du marché : RESTRUCTURATION DE 103 LOGEMENTS «Rivière

Plus en détail

CommunautÄ de commune de ROUGEMONT (25)

CommunautÄ de commune de ROUGEMONT (25) CommunautÄ de commune de ROUGEMONT (25) Reconstruction du båtiment VESTIAIRES TRIBUNES DU STADE DE ROUGEMONT Architecte : IngÄnierie GÄnÄrale : Bureau d Etudes Fluides : Pierre LELU 18, rue des Vignes

Plus en détail

Le confort de l eau chaude sanitaire. Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire

Le confort de l eau chaude sanitaire. Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire Le confort de l eau chaude sanitaire Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire Attestation de Conformité Sanitaire Afi n de réduire les quantités de matières toxiques pouvant

Plus en détail

Mutualité Sociale Agricole 17, avenue André Malraux 57000 METZ

Mutualité Sociale Agricole 17, avenue André Malraux 57000 METZ Monneren le 03/12/2014 Mutualité Sociale Agricole 17, avenue André Malraux 57000 METZ REAMENAGEMENT DES LOCAUX RDC ET R+4 METZ LOT N 8 CHAUFFAGE - VENTILATION - PLOMBERIE - SANITAIRES DÉCOMPOSITION DU

Plus en détail

Avanttia Solar. Chaudière Hybride CONDENSATION. L innovation qui a du sens

Avanttia Solar. Chaudière Hybride CONDENSATION. L innovation qui a du sens Chaudière Hybride CONDENSATION GAZ AVEC CHAUFFE- EAU-SOLAIRE INTÉGRÉ www.marque-nf.com CIRCUIT SOLAIRE FONCTIONNANT EN AUTOVIDANGE PRÉPARATEUR SOLAIRE EN INOX CAPTEUR SOLAIRE - DRAIN L innovation qui a

Plus en détail

Remeha ZentaSOL. La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement

Remeha ZentaSOL. La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement Remeha ZentaSOL La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement ZentaSOL Système de chauffe-eau solaire Remeha ZentaSOL L'énergie solaire est la source de chaleur la plus écologique et

Plus en détail

TITRE PROFESSIONNEL DU MINISTERE CHARGE DE L EMPLOI INSTALLATEUR D EQUIPEMENTS SANITAIRES

TITRE PROFESSIONNEL DU MINISTERE CHARGE DE L EMPLOI INSTALLATEUR D EQUIPEMENTS SANITAIRES TITRE PROFESSIONNEL DU MINISTERE CHARGE DE L EMPLOI INSTALLATEUR D EQUIPEMENTS SANITAIRES Le titre professionnel de : INSTALLATEUR D EQUIPEMENTS SANITAIRES1 niveau V (code NSF : 233 s) se compose de deux

Plus en détail

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3

Plus en détail

ORDRE DU JOUR. La gouvernance, la refonte des statuts et du règlement. Questions/Réponses. Les travaux de canalisation et leur financement

ORDRE DU JOUR. La gouvernance, la refonte des statuts et du règlement. Questions/Réponses. Les travaux de canalisation et leur financement ORDRE DU JOUR La gouvernance, la refonte des statuts et du règlement Le projet de budget Questions/Réponses Les travaux de canalisation et leur financement L éventuel passage en copropriété Conclusion

Plus en détail

DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau

DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau olivier.correc@cstb.fr Nouveaux Documents Techniques Unifiés DTU 60.1 Plomberie sanitaire pour

Plus en détail

Les solutions produits recommandées. Nouvel arrêté du 30 novembre 2005 (Ministère de la Santé)

Les solutions produits recommandées. Nouvel arrêté du 30 novembre 2005 (Ministère de la Santé) Nouvelle réglementation Mitigeurs Thermostatiques Nouvel arrêté du 30 novembre 2005 (Ministère de la Santé) Guide des Applications Les solutions produits recommandées Légionellose et brûlures par eau chaude

Plus en détail

Fiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire

Fiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire Service d information sur les économies d énergie Fiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire 1 Préparation de l eau chaude sanitaire 2 1) Différents systèmes de production A Chaudière combinée

Plus en détail

C.C.T.P. PROJET D'AMENAGEMENT D'UN CENTRE SOCIAL DANS UN BATIMENT EXISTANT LOT N 04 - PLOMBERIE SANITAIRE - ZINGUERIE DEPARTEMENT DE LA HAUTE-GARONNE

C.C.T.P. PROJET D'AMENAGEMENT D'UN CENTRE SOCIAL DANS UN BATIMENT EXISTANT LOT N 04 - PLOMBERIE SANITAIRE - ZINGUERIE DEPARTEMENT DE LA HAUTE-GARONNE DEPARTEMENT DE LA HAUTE-GARONNE COMMUNE DE SAINT-JORY PROJET D'AMENAGEMENT D'UN CENTRE SOCIAL DANS UN BATIMENT EXISTANT C.C.T.P. vvv LOT N 04 - PLOMBERIE SANITAIRE - ZINGUERIE L Entrepreneur : Le Maître

Plus en détail

MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE

MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE Les informations techniques PROMOTELEC MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE La sécurité des personnes contre un défaut d isolement survenant dans un matériel doit être assurée. En effet, un défaut

Plus en détail

Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique

Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement

Plus en détail

F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B

F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B Fiche d interprétation et / ou complément aux référentiels Qualitel et Habitat & Environnement Objet : Rubrique AI Acoustique Intérieure Rubrique TH Niveau de consommation d

Plus en détail

LES DTU PLOMBERIE SANITAIRE

LES DTU PLOMBERIE SANITAIRE Roger Cadiergues MémoCad ns03.a LES DTU PLOMBERIE SANITAIRE SOMMAIRE ns03.1. Le cadre DTU plomberie ns03.2. Le cadre du DTU 60.1 actuel ns03.3. L application du DTU 60.1 actuel ns03.4. Le cadre du DTU

Plus en détail

La relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable.

La relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable. 111 39 240 1812 906 La relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable. La relève de chaudière, qu est ce que c est? On parle de relève de chaudière lorsqu on installe une pompe à

Plus en détail

Vanne de mélange DirectConnect série AMX300

Vanne de mélange DirectConnect série AMX300 Vanne de mélange DirectConnect série AMX300 DIRECTIVES D'INSTALLATION APPLICATION Les vannes de mélange DirectConnect série AMX 300 conviennent à toutes les applications nécessitant une régulation précise

Plus en détail

Table des matières générale 1)

Table des matières générale 1) 1) page 1 1) 0 CLAUSES COMMUNES Chap. 1 Clauses communes à tous les lots 1/1 Définition de l opération Réglementations Lots 1/2 Spécifications communes à tous les lots 1 PLOMBERIE INSTALLATIONS SANITAIRES

Plus en détail

2 Trucs et Astuces 2

2 Trucs et Astuces 2 Trucs et Astuces 2 2 Le chauffe-eau solaire 1.Les capteurs 2.Les circuits solaires 3.Le circuit sanitaire 4.Les systèmes d appoint 5.Fiches synthèse 6.Bon à savoir Trucs et Astuces 3 1 Les capteurs Trucs

Plus en détail

LOT 1 PLOMBERIE SANITAIRES

LOT 1 PLOMBERIE SANITAIRES Rénovation des logements de Griffeuille 2012 2014 C.C.T.P (Cahier des clauses techniques particulières) LOT 1 PLOMBERIE SANITAIRES SOMMAIRE SOMMAIRE... 2 ÉTENDUE DES TRAVAUX REGLEMENTATIONS NORMES... 3

Plus en détail

PANNEAUX SOLAIRES THERMIQUES

PANNEAUX SOLAIRES THERMIQUES PANNEAUX SOLAIRES THERMIQUES SYSTEMES A CIRCULATION FORCEE Eau Chaude Sanitaire et Chauffage Panneaux solaires BLUETECH 2500 de 2,5 m² Panneaux solaires TITANIUM de 2 m² Panneaux solaires TITANIUM O de

Plus en détail

L eau chaude sanitaire. Le confort et l efficacité.

L eau chaude sanitaire. Le confort et l efficacité. EAU CHAUDE ÉNERGIES RENOUVELABLES CHAUFFAGE L eau chaude sanitaire. Le confort et l efficacité. CHAUFFE-EAUX INSTANTANÉS Chauffage de l eau décentralisé pour une haute efficacité énergétique 09 2012 Le

Plus en détail

Saisie et optimisation des réseaux de distribution de chauffage et d eau chaude sanitaire en résidentiel. Guide pratique

Saisie et optimisation des réseaux de distribution de chauffage et d eau chaude sanitaire en résidentiel. Guide pratique Saisie et optimisation des réseaux de distribution de chauffage et d eau chaude sanitaire en résidentiel Guide pratique RT 2012 La polyvalence du système de chauffage à eau chaude Le système de chauffage

Plus en détail

Centre de Développement des Energies Renouvelables Caractéristiques techniques des Chauffe-eau eau solaires M. Mohamed El Haouari Directeur du Développement et de la Planification Rappels de thermique

Plus en détail

Formation Bâtiment Durable :

Formation Bâtiment Durable : Formation Bâtiment Durable : Rénovation à haute performance énergétique: détails techniques Bruxelles Environnement LE SYSTÈME DE CHAUFFAGE ET LA PRODUCTION D EAU CHAUDE SANITAIRE François LECLERCQ et

Plus en détail

Le chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020

Le chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020 Chauffe-eau thermodynamique Le chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020 Ballon de stockage ( 300 l) chaude M o d e c h a u f f a g e Q k T k Pompe à chaleur Effet utile Pompe à chaleur pour chauffer

Plus en détail

Fiche explicative pour la saisie des équipements du génie climatique dans la RT2012

Fiche explicative pour la saisie des équipements du génie climatique dans la RT2012 Fiche explicative pour la saisie des équipements du génie climatique dans la RT2012 LES CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUES I/ PRINCIPE GENERAL Un chauffe-eau thermodynamique (CET) est un générateur thermodynamique

Plus en détail

Individualisation des frais de chauffage

Individualisation des frais de chauffage Individualisation des frais de chauffage Gérer l eau et l énergie en copropriété D après une étude menée conjointement par l Ademe, le Syndicat de la Mesure et le COSTIC, l individualisation des frais

Plus en détail

Une introduction aux chauffe-eau solaires domestiques

Une introduction aux chauffe-eau solaires domestiques Une introduction aux chauffe-eau solaires domestiques Les objectifs d'apprentissage: Cet exposé vous informera au sujet de l utilisation de l énergie solaire afin de produire de l eau chaude domestique,

Plus en détail

2195257 ballons ECS vendus en France, en 2010

2195257 ballons ECS vendus en France, en 2010 SOLUTIONS D EAU CHAUDE SANITAIRE En 2010, le marché de l ECS en France représente 2 195 257 ballons ECS de différentes technologies. Dans ce marché global qui était en baisse de 1,8 %, les solutions ENR

Plus en détail

Eau chaude sanitaire. par Patrice BRAUD Ingénieur ENSAIS (École nationale supérieure des arts et industries de Strasbourg )

Eau chaude sanitaire. par Patrice BRAUD Ingénieur ENSAIS (École nationale supérieure des arts et industries de Strasbourg ) Eau chaude sanitaire par Patrice BRAUD Ingénieur ENSAIS (École nationale supérieure des arts et industries de Strasbourg ) 1. Bases de dimensionnement. Définition des besoins... B 9 190-2 1.1 Généralités...

Plus en détail

Daikin. DAIKIN ALTHERMA BI-BLOC, Solution pour le tertiaire et le résidentiel collectif. Pompes à chaleur Air / Eau. Inverter. » Economies d énergie

Daikin. DAIKIN ALTHERMA BI-BLOC, Solution pour le tertiaire et le résidentiel collectif. Pompes à chaleur Air / Eau. Inverter. » Economies d énergie Pompes à chaleur Air / Eau DAIKIN ALTHERMA BI-BLOC, Solution pour le tertiaire et le résidentiel collectif Inverter 1 ère MONDIALE Daikin» Economies d énergie» Faibles émissions de CO2» Flexible» Technologie

Plus en détail

MANUEL D INSTALLATION ET DE MISE EN SERVICE SOMMAIRE. Fonction. Avertissements Gamme de produits Caractéristiques techniques

MANUEL D INSTALLATION ET DE MISE EN SERVICE SOMMAIRE. Fonction. Avertissements Gamme de produits Caractéristiques techniques 8/FR www.caleffi.com Groupes de transfert pour installations solaires Copyright Caleffi Séries 8 9 MANUEL D INSTALLATION ET DE MISE EN SERVICE SOMMAIRE Fonction Avertissements Gamme de produits Caractéristiques

Plus en détail

CRÉDIT D IMPÔT LES GRANDS PRINCIPES. Un crédit d impôt : pourquoi? AVANT-PROPOS. Un crédit d impôt : comment? Un crédit d impôt : dans quels cas?

CRÉDIT D IMPÔT LES GRANDS PRINCIPES. Un crédit d impôt : pourquoi? AVANT-PROPOS. Un crédit d impôt : comment? Un crédit d impôt : dans quels cas? Mise à jour mars 2006 CRÉDIT D IMPÔT LES GRANDS PRINCIPES AVANT-PROPOS Le crédit d impôt en faveur des économies d énergie et du développement durable constitue une triple opportunité : Il offre à l utilisateur

Plus en détail

ETAT DE L INSTALLATION INTERIEURE D ELECTRICITE

ETAT DE L INSTALLATION INTERIEURE D ELECTRICITE ETAT DE L INSTALLATION INTERIEURE D ELECTRICITE En application de l arrêté du 4 avril 2011 et de la norme XP C16-600 Réf dossier n 100512.4204 A Désignation du ou des immeubles bâti(s) LOCALISATION DU

Plus en détail

PARTIE 2 : MISE EN SERVICE PARTIE 1 : CONCEPTION PARTIE 3 : ENTRETIEN PARTIE 4 : EN SAVOIR PLUS METTRE EN SERVICE L INSTALLATION...

PARTIE 2 : MISE EN SERVICE PARTIE 1 : CONCEPTION PARTIE 3 : ENTRETIEN PARTIE 4 : EN SAVOIR PLUS METTRE EN SERVICE L INSTALLATION... SOMMAIRE PARTIE 1 : REGLER LES TEMPERATURES DE PRODUCTION ET DE DISTRIBUTION... 4 PREVENIR LE RISQUE LEGIONELLE... 5 CHOISIR UNE SOLUTION PRODUCTION D ECS INDIVIDUELLE... 10 CHOISIR UNE SOLUTION DE PRODUCTION

Plus en détail

INSTRUCTIONS D INSTALLATION MODÈLE 300521

INSTRUCTIONS D INSTALLATION MODÈLE 300521 INSTRUCTIONS D INSTALLATION MODÈLE 300521 WWW.BURCAM.COM 2190 Boul. Dagenais Ouest LAVAL (QUEBEC) CANADA H7L 5X9 TÉL: 514.337.4415 FAX: 514.337.4029 info@burcam.com Votre pompe a été soigneusement emballée

Plus en détail

Guide de référence utilisateur

Guide de référence utilisateur EHBH04CA EHBH08CA EHBH16CA EHBX04CA EHBX08CA EHBX16CA EHVH04S18CA EHVH08S18CA EHVH08S26CA EHVH16S18CA EHVH16S26CA EHVX04S18CA EHVX08S18CA EHVX08S26CA EHVX16S18CA EHVX16S26CA Français Table des matières

Plus en détail

Accumuler la chaleur avec des ballons système individuels.

Accumuler la chaleur avec des ballons système individuels. ÉNERGIES RENOUVELABLES Ballons système Accumuler la chaleur avec des ballons système individuels. BALLON TAMPON BALLON D EAU CHAUDE / CHAUFFE-EAU BALLON COMBINÉ / À PRÉPARATION D EAU CHAUDE INSTANTANÉE

Plus en détail

SolutionS packs Bi-tEMpÉRatuRE une gestion unique de différents circuits de chauffage

SolutionS packs Bi-tEMpÉRatuRE une gestion unique de différents circuits de chauffage SolutionS packs Bi-tEMpÉRatuRE une gestion unique de différents circuits de chauffage *Des solutions polymères à l infi ni www.rehau.fr Bâtiment Automobile Industrie Solution pack BI-TEMPÉRATURE chauffage

Plus en détail

Description du système. Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle.

Description du système. Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle. Description du système Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle. La vitesse de la pompe varie de façon à ce que la température de l eau qui reparte vers le poêle soit toujours de 60 C. Le débit

Plus en détail

LOT N 05 PLOMBERIE VENTILATION CHAUFFAGE

LOT N 05 PLOMBERIE VENTILATION CHAUFFAGE ETABLISSEMENT THERMAL DE LUZ SAINT SAUVEUR CCTP LOT N 05 PLOMBERIE VENTILATION CHAUFFAGE PAGE N 1/12 LOT N 05 PLOMBERIE VENTILATION CHAUFFAGE ETABLISSEMENT THERMAL DE LUZ SAINT SAUVEUR CCTP LOT N 05 PLOMBERIE

Plus en détail

A l extérieur du logement

A l extérieur du logement Travaux et entretien du logement Locataire bailleur, qui fait quoi Locataire / bailleur, qui fait quoi? octobre 00 Fiche n sept. 00 Fiche n A l extérieur du logement 6 3 4 7 5 Fiche n Travaux et entretien

Plus en détail

Formulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire

Formulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire 1. Coordonnées du demandeur Nom du demandeur Adresse de l installation Rue : N :. Code Postal : Commune : Age du bâtiment : - plus de 5 ans - moins de 5 ans 2. 2. Coordonnées de l installateur agréé 1

Plus en détail

Formulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire

Formulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire Formulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire Annexe au formulaire de demande de prime 1. Coordonnées du demandeur Nom du demandeur Adresse Adresse de l installation Rue : N : Code Postal : Commune

Plus en détail

Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique

Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique Fiche d application : Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique Date Modification Version 01 décembre 2013 Précisions sur les CET grand volume et sur les CET sur air extrait 2.0

Plus en détail

de l Université Laval Orientations et exigences générales et techniques de construction

de l Université Laval Orientations et exigences générales et techniques de construction de l Université Laval Orientations et exigences générales et techniques de construction Guide de conception de projets GC-3.2.4 Fabrication et distribution de l'air comprimé et de l'eau réfrigérée (11/2007)

Plus en détail

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,

Plus en détail

Fiche commerciale. Pompes à chaleur. Arcoa duo Arcoa bi-bloc MT pompes a chaleur bi-bloc INNOVATION 2010. bi-bloc MT

Fiche commerciale. Pompes à chaleur. Arcoa duo Arcoa bi-bloc MT pompes a chaleur bi-bloc INNOVATION 2010. bi-bloc MT Fiche commerciale Pompes à chaleur Arcoa duo Arcoa bi-bloc MT pompes a chaleur bi-bloc INNOVATION 2010 bi-bloc MT INNOVATION 2010 Communiqué de presse Arcoa Nouvelle gamme de pompes à chaleur bi-bloc Des

Plus en détail

Entretien domestique

Entretien domestique VÉRIFICATION DU BON FONCTIONNEMENT Mettez l appareil sous tension. Si votre tableau électrique est équipé d un relais d asservissement en heures creuses (tarif réduit la nuit), basculez l interrupteur

Plus en détail

4.2 C.C.T.P. GROUPE SCOLAIRE LES GENETS RENOVATION DES SANITAIRES INTERIEURS. Cahier des Clauses Techniques Particulières LOT 2 : PLOMBERIE

4.2 C.C.T.P. GROUPE SCOLAIRE LES GENETS RENOVATION DES SANITAIRES INTERIEURS. Cahier des Clauses Techniques Particulières LOT 2 : PLOMBERIE MAITRE D OUVRAGE / MAITRE D OEUVRE : VILLE DE NICE DIRECTION GENERALE DES SERVICES TECHNIQUES, DE L AMENAGEMENT, DES TRAVAUX, ET DU DEVELLOPEMENT DURABLE DIRECTION DES BATIMENTS COMMUNAUX SERVICE MAINTENANCE

Plus en détail

Pompe à chaleur Air-Eau. Confort et économies

Pompe à chaleur Air-Eau. Confort et économies Pompe à chaleur Air-Eau Confort et économies Le système de chauffage réversible de l avenir! Un pas en avant pour réduire les émissions de CO₂. L augmentation des émissions de CO₂ et autres gaz à effet

Plus en détail

La Géothermie arrive à Bagneux. En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous

La Géothermie arrive à Bagneux. En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous La Géothermie arrive à Bagneux En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous Le réseau de chaleur géothermique arrive à Bagneux La ville de Bagneux a fait le choix de

Plus en détail