Les aidants informels de

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les aidants informels de"

Transcription

1 Les aidants informels de malades déments vivants à domicile Philippe Thomas Service Hospitalo-Universitaire de Psychogériatrie Limoges 28 janvier 2009

2 7,6% : 4 millions d accompagnants Soins & aide de la 30 % famille 7 % Soins Professionnels 63 % Soins combinés 3,2 millions Elderly GIR 1,2 et 3 Qui? Conjoint 50 % 71 ans, femme (60%) Enfants 33 % 55 ans, fille (70%) Sans emploi (51%) Amis 9% Personnes âgées (12 millions) Source : HID Quoi?(Gir 1-3) Ménage 98 % Courses 97 % Soins 96 % Admin. 75 % Légal 68 %

3 Le proche : des rôles multiples Diagnostic précoce Observance et hygiène de vie Soutien psychologique Alerte et vigilance En cas de HAD Cofinancement Recherche d information Qualité de vie patient Motivation face à la maladie

4 Un acteur d avenir Le proche est amené à jouer un rôle croissant Pression financière Contraintes de financement de notre modèle social et sanitaire Nouvelles réalités médicales Maintien à domicile HAD Soins ambulatoires Démographie médicale Longévité & épidémiologie Papy boom & individualisme hédoniste Dépendance : +40% d ici 2040 Chronicisation des maladies Co-morbidité du patient âgé

5 Trois types d aidants Les aidants qui peuvent avoir accès au système de soins et aux informations, typiquement recrutés dans l étude Pixel Les aidants emprisonnés par la charge de travail et loin des lieux de soins (30%) Les aidants cachés, entre et en France: jeunes entre 14 et 20 ans en charge d un adulte handicapé

6 Qui sont les aidants en France? Enquête omnibus-bva

7 Recrutement par omnibus Vague 1 : 28 vagues d omnibus auprès de Français échantillon représentatif national des personnes âgées de 15 ans et plus = personnes sondées; 2567 aidants repérés Vague 2 : RDV dans deux ans personnes reconnues comme aidants et pathologies éligibles Autres acceptent d être recontactés 963 n acceptent pas d être recontactées Hors échantillon

8 Se déclare aidant d un proche malade 9,13% de la population Pathologie acquise Accident Handicap de naissance Ne sait pas

9 acquise n= 1986, 7 % de la pop. (soit entre 3,35 et 3,65 millions d aidants) Une personne qui aide régulièrement et bénévolement un proche malade ou dépendant, dont le problème de santé n est pas lié à un accident / n est pas dû à un handicap de naissance qui voit le proche au moins tous les 6 mois qui s en occupe au moins quelques jours par mois ou plus d une semaine d affilée dans l année qui parvient à définir un lien de parenté avec le proche malade

10 Profil des aidants 10

11 Les aidants : proportionnellement plus âgés que la moyenne de la population française 60% 57% 50% 40% 30% 33% 27% 40% 30% 28% 42% 26% Moins de 35 ans 20% 10% 17% ans 50 ans et plus 0% Population française Personnes interrogées Est aidant 1986 p<0,05

12 Sex-ratio H/F des aidants par tranches d âges 1,4 1,2 1,0 0,8 0,6 0,4 0,2 1,0 0,8 0,9 1,0 0,9 0,4 0,5 0,6 0,8 1, ans ans ans ans Plus de 75 ans 0,0 Population sondée Est aidant n= 1986 p<0,05

13 Les aidants vivent majoritairement en couple 70% 60% 50% 40% 30% 20% Ne vit pas en couple Vit en couple 10% 0% Pop. française Sondés Aidants p<0,05

14 Activités professionnelles du chef de ménage 70% 60% 50% 40% 30% 20% Actifs Inactifs 10% 0% Pop. Française Sondés Aidants 1986 p<0,05

15 Conditions socio-professionnelles de la pop. active 50% 40% 30% 20% 10% CSP+ CSP- Activité non définie 0% Pop. Française Sondés Aidants 1986 p<0,05 CSP+ : Agriculteur, Artisan, cadre sup., Prof. Intermédiaire CSP- : Employé, Ouvrier

16 Fréquence des contacts aidant / aidé Plusieurs fois/sem Vit au domicile de l'aidant Une fois/sem Une fois/mois Institution

17 Pathologies des personnes dépendantes De quelle maladie s agit-il? (Principales citations) La vieillesse La maladie d'alzheimer DMLA Insuffisance cardiaque Hypertension artérielle Cancer Attaque cérébrale, AVC Diabète de type II Dépression Ostéoporose Maladie de Parkinson Asthme Sclérose en plaques Insuffisance rénale Epilepsie Ne connaît pas le nom de la maladie Est aidant Base % 17% 15% 14% 13% 12% 10% 9% 9% 8% 4% 4% 3% 3% 1% 3%

18 Pathologies des personnes dépendantes en fonction de l âge de l aidant 35% 30% 25% 20% ans ans ans ans Plus de 75 ans 15% 10% 5% 0% Vieillesse Alzheimer DMLA Insuffisance cardiaque HTA Cancer

19 Lien de parenté avec les personnes dépendantes 40% 35% 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% 39% Père/Mère 10% 10% Grd Père/Grd Mère Beau parent 7% Compagnon/conjoint 18% Hors Famille Père/Mère Grd Père/Grd Mère Beau parent Compagnon/conjoint Hors Famille

20 Lien de parenté en fonction de l âge de l aidant 60% 50% 40% 30% 20% 10% ans ans ans ans Plus de 75 ans 0% Père/Mère Grd Père/Grd Mère Beau parent Compagnon/conjoint Hors Famille

21 Profils d aidants particuliers

22 Age des aidants Alzheimer (n=332) / Vieillesse (n=483) / Autres aidants (n=1171) 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% Moins de 35 ans ans 50 ans et plus 0% Population française Personnes interrogées Alzheimer Vieillesse Autres aidants

23 Aidants cachés de moins de 15 à 21 ans n= 94 : Pathologie acquise Accident 7 Handicap de naissance 2 Ne sait pas

24 Aidants cachés (15-20 ans) et aidants âgés (>21 ans) Étude omnibus (n=70/n= 1926) - Pathologies prises en charge 25% 20% 15% Aidants 21 ans et plus 10% Aidants cachés ans 5% 0% Vieillesse Alzheimer DMLA Insuffisance cardiaque HTA Cancer AVC Diabète II

25 Aidants cachés et non aidants âgés (15-20 ans) Étude omnibus (n=70/n= 2317) Sex-ratio 70% 60% 50% 40% Non aidants ans Aidants cachés ans 30% 20% 10% 0% Garçons Filles

26 Conclusions Le nombre d aidants informels prenant en charge un patient à domicile est considérable dans notre pays La première pathologie concernée par la prise en charge porte sur la démence Les âges extrêmes des aidants ouvrent à des spécificités particulières Les aidants très jeunes bénéficient peu de l aides des services formels. Il s agit souvent de jeunes filles. Les aidants très âgés sont plutôt des hommes. Le nombre d heures de soins dispensées par l aidant, indépendamment des tâches du quotidien, s accroît avec l âge du malade.

27 L aidant de la maladie d Alzheimer : Études Pixel

28 Deux populations d aidants de taille équivalente Deux types d aidants Féminisation Enfants 43 % Conjoints 48 % Les aidants : répartition par sexe Hommes 32 % Autres 9 % Femmes 68 %

29 L aidant familial dans la démence z Plutôt une femme z Dépression, solitude épuisement

30 Dépression et traitement de l aidant d un malade à domicile 50% 45% 40% 35% 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% Alzheimer : dépression aidant Parkinson : dépression aidant Alzheimer : dépression aidant Pixel : traitement Parkinson : dépression aidant Compas: traitement

31 Etude Pixel Peu de soutien pour les aidants 1/3 des familles prennent totalement en charge le patient, sans aucune aide extérieure L'aide la plus fréquente est une aide ménagère (23 %) 71 % des aidants ne reçoivent aucune aide financière spécifique 23 % 25 % 20 % 12 % 15 % 10 % 5 % 8 % 7 % 7 % 5 % 1 % 0 % Aide ménagère Infirmière Hospitalisation de jour Portage des repas Aide soignante Garde Kinésithérapeute malade

32 Contrairement à ce que l on aurait pu supposer, les facteurs de saturation ne sont pas liés à la sévérité de la maladie FACTEURS DE SATURATION 76 % 100 % 80 % 60 % 47 % 36 % 22 % 40 % 20 % 0 % Plus de 2 h/j pour le malade Pas de soutien à domicile Prise en charge > 50 mois Recul d'un soin

33 Quels types d informations auriezvous aimés obtenir? Evolution 25% Infos médicales 14 % Aides existantes 7 % Attitudes 10 %

34 Quels désirs des familles pour l avenir? Accueil jour/ hôp. de jour 25% Bras à domicile 19% Aides financières 17% Structures spécialisées LT Aspects médicaux de la maladie 9 % 14 % Stimulation cognitive du malade 0 5 %

35 Conclusions PIXEL I La famille : un acteur de soin dans le soutien du dément à domicile La famille un acteur essentiel de l'économie de la prise en charge du malade chronique L aidant familial est volontiers isolé et fragile Le partenariat comme solution aux difficultés de la transition sociale des 10 prochaines années

36 Les aidants dans la durée Facteurs de rupture

37 Pixel 2002: rupture du domicile 472 malades à domicile 109 malades à l entrée en institution 165 malades en institution (anciens aidants) 746 couples aidants malades Enquête janvier à juin 2002

38 Age du malade et âge de l aidant Domicile Entrée institution Institution N=412 N=109 N=165

39 Age du malade et âge de l aidant Majorité de femmes aidantes dans toutes les sous populations(>2f/1h) Plus le malade vieillit, plus l aidant est jeune Epouses prédominantes à domicile, filles en institution Passage de relais dans le temps comme dans la géographie de vie du malade

40 Plaintes des aidants face à une difficulté du malade 4 Clusters : Périmètre relationnel Comportement éthico-social Lien à la réalité Dépendance affective

41 Facteurs de rupture Entourée d un carré, la plainte face à une difficulté liée au malade est présente, entourée d un cercle, elle est absente. 1 : Agitation ; 2 : Refus de manger ; 3 : Mange mal ; 4 : Tristesse ; 5 : Incontinence ; 6 : Délire ; 7 : Repli sur soi ; 8 : Hallucination ; 9 : Anxiété ; 10 : Cris, pleurs ; 11 : Bouge sans arrêt ; 12 : Critique ; 13 : Changement de personnalité ; 14 : Reconnaît plus ; 15 : Opposition aux soins ; 16 : Déambule ; 17 : Violence physique ; 18 : Désinhibé ; 19 : Fugue ; 20 : Se met en danger ; 21 : Trouble du sommeil ; 22 : Passivité. Six groupes de malades peuvent être isolés. A : pas de problème notable n=20 B : dociles pour l aidant n=17 C : calmes passifs n=13 D : Opposants n=26 E : violents et agités n=15 F : comportements moteurs n=18 N= 109

42 Facteurs de rupture Pas de souffrance Comportements moteurs inadapt. Préparer le moment de l institution Repérer dépression et épuisement de l aidant Prendre en charge les troubles du comportement Dociles pour l aidant Calmes passifs Démotivés opposants Violents agités 12 mois Descendants 52 mois Conjoints

43 Facteurs de rupture. Conclusions La plainte de l aidant la plus fréquente au moment du placement concerne l incontinence puis le repli sur soi. Les difficultés de l aidant qui ont conduit au placement concernent d abord la dépendance, et en second lieu les troubles du comportement. Un traitement spécifique de la démence est associé à une prise en charge à domicile supérieure de 20 mois par rapport aux malades non traités.

44 Qualité de vie du malade/de l aidant N = 100 couples malades/aidants Données sociodémographiques Données neuropsychologiques Troubles du comportement (NPI) Dépression du malade et de l aidants QdV malades (ADRQL de Rabins): 100% 0% QdV aidants (auto-questionnaire : 20 Q/R) : 100% 0%

45 Qualité de vie du malade QdV malade (Rabins) P P NPI Global ADL Global Cornell Régression pas à pas QdV Aidant

46 Qualité de vie de l aidant QdV aidant P P QdV malade NPI Global Régression pas à pas Longueur évolution

47 Qualité de vie de l aidant QdV aidant Dépendance malade Age aidant Age malade

48 Analyse pas à pas de la QdV des aidants : (n=100; ) QdV globale 46.3 ± 20.2 [5-95] NPI Global Durée évolution QdV malade Pas de lien avec le MMSE

49 Les mesures d'utilité ou QALY (quality adjusted life years) représentent la somme annuelle des indices de qualité de vie constitués de paramètres concernant le malade et son entourage. Traitement et QdV des malades (n=100; )

50 Surveillance de la cohorte durant un an: pronostic sur l institution Age fin études aidant ADL global Existence de difficultés financières RR = 1,09 par année [1,02-1,16] RR = 1,08 par point [1,01-1,16] RR = 2,25 [1,20-4,02] Épuisement de l aidant RR = 1,99 [1,10-3,96] 52 Inst /48 Dom Hallucinations : t= 2,27; p=0,02

51 Conséquences de l absence de répit 80% 70% 60% 50% 40% 30% Répit et temps libre Aucun répit 20% 10% 0% Institution Epuisement Dépression Institution : RR = 3,02 1,06<RR<8,8

52 Pixel 2 et 3 : conclusion sur les risques l institution du malade Facteurs médicaux liés au malade BSPD Mauvaise QdV Dépendance Facteurs sociaux Niveau scolarité de l aidant Coûts indirects de la maladie Facteurs aggravant la situation familiale Épuisement de l aidant Âge de l aidant Dépression de l aidant Altération de sa QdV : pas de répit, mauvaise santé

53 l aidant fragile Faible QdV + précarité sociale = aidant fragile aidants et proches de personnes avec DSTA, à domicile entre 09/2004 et

54 Double problématique pour l aidant Qualité de vie Précarit carité sociale Causes : Dépendance Tb comportement Conséquences : Épuisement Dépression Causes : Disponibilité aidant Solitude Conséquences : Institution du malade Faible QdV + précarité sociale = aidant fragile

55 Solidité sociale Fragilité de l aidant Q U A L I T E D E V I E M E D I O C R I T E D E V I E Précarité sociale

56 Aidants solides et aidants fragiles Aidants solides (n= 347) Malades H/F 86/261 (25% /75%) Aidants fragiles (n= 209) 106/103 (51% /49%) Statistiques Chi2= 38,8 p < 0,001 Aidants H/F 189/158 H/F (54% /46%) 57/152 (27% /63%) Chi2= 39,1 p < 0,001 Pas de répitr 61 (17%) 166 (79%) Chi2= (79%) 226,5 p < 0,001 Problèmes financiers 81 (23%) 150 (71%) Chi2= (71%) 130,1 p < 0,001 Dépression 41 (12%) 154 (74%) Épuisement 72 (21 %) 189 (90%) Perte de poids 54 (15%) 131 (62%) Chi2= (74%) 226,6 p < 0,001 Chi2= (90%) 261,2 p < 0,001 Chi2= (62%) 143,3 p < 0,001

57 Les aidants perdent progressivement leur qualité de vie Temps libre Problèmes financiers Retentissement famille Retentissement amis Recul d'un soin 10 0 MMSE>20 10<MMSE<20 MMSE< aidants et proches de personnes malades entre 09/2004 et

58 l aidant fragile Gère son quotidien Angoisse Pas d angoisse Ne gère pas son quotidien Angoisse Pas d angoisse Quelles conséquences pour l aidant et pour le malade?

59 Gère Pas d'angoisse Gère Angoisse Ne gère pas Pas d'angoisse Ne gère pas Angoisse Perte de poids pour l aidant Chi 2 =67,3

60 Gère Pas d'angoisse Gère Angoisse Ne gère pas Pas d'angoisse Ne gère pas Angoisse Dépression de l aidant Chi 2 =241,2

61 Gère Pas d'angoisse Gère Angoisse Ne gère pas Pas d'angoisse Ne gère pas Angoisse Épuisement de l aidant Chi 2 =189,9

62 Gère Pas d'angoisse Gère Angoisse Ne gère pas Pas d'angoisse Ne gère pas Angoisse Retentissement sur la santé de l aidant Chi 2 =159,5

63 Gère Pas d'angoisse Gère Angoisse Ne gère pas Pas d'angoisse Ne gère pas Angoisse Peur de l aidant de développer la maladie Chi 2 =44,0

64 Gère Angoisse Gère Angoisse Ne gère pas Pas d'angoisse Ne gère pas Angoisse Explication sur la maladie suffisante pour l aidant Chi 2 =89,3

65 Gère pas Pas d'angoisse Gère Angoisse Ne gère pas Pas d'angoisse Ne gère pas Angoisse Aide à l aidant pour nourrir le malade Chi 2 =45,1

66 Gère pas Pas d'angoisse Gère Angoisse Ne gère pas Pas d'angoisse Ne gère pas Angoisse Temps de repas du malade trop long Chi 2 =70,2

67 Quatre situations difficiles d aidants fragiles (1) 1) Les aidants qui sont obligés de reculer un soin Pas d aide extérieur (70%) Malade de sexe masculin (98%) Aidant femme (85%) Pas de liberté pour l aidant (82%) Malade vit au domicile de l aidant (80%) 2) Les aidants jeunes de moins de 50 ans qui s occupe d un parent Malade de sexe féminin (60%) Le malade a été obligé de déménager (68%) Aidant vit avec le malade (60%) Pas de liberté pour l aidant (45%) Aidant obligé d aménager son temps de travail (56%)

68 Quatre situations difficiles d aidants fragiles (2) 3) Les aidants âgés de plus de 75 ans (78,9 ans + 2,5) qui s occupent d un époux (se) Pas de liberté : Malade pris en charge en permanence (98%) Presqu autant d hommes (48%) que de femmes (52%) parmi les aidants Malade âgés ans contre ; p= ) Malades jeunes de moins de 60 ans (54,2ans + 4,3) Aidant 6/10 homme. ½ enfant, ½ époux(se) Age moyen de l aidant ans contre ; p=0.04 Malade vit constamment au domicile de l aidant

69 Conclusions de l étude PIXEL IV 1) La précarité de l aidant retenti sur sa santé et celle du malade Pas de liberté pour l aidant Femmes âgées plus exposées Situation difficile des aidants de malades jeunes 2) C est la population des aidants fragiles qui nécessite le plus d aide, et qui est le moins aidée

70 Conclusions des études PIXEL Un aidant aidé va plus loin dans la prise en charge à domicile : rôle de l épuisement Vulnérabilité de certaines épouses âgées La prise en charge thérapeutique de la maladie d Alzheimer n est pas un coût de la santé mais un investissement humain et solidaire, participe à la réduction du coût global de la maladie

71 Bibliographie succincte

72

L aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009

L aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009 L aide aux aidants Aude Comberieu Psychologue clinicienne Hôpital Émile Roux Capacité de gériatrie mars 2009 Définition L aidant naturel L aidant non professionnel L aidant familial «L aidant familial

Plus en détail

DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES

DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice

Plus en détail

Calendrier des formations INTER en 2011

Calendrier des formations INTER en 2011 Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement

Plus en détail

I. Qu est ce qu un SSIAD?

I. Qu est ce qu un SSIAD? 1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation

Plus en détail

troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.

troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail. Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité

Plus en détail

Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction

Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les

Plus en détail

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin

Plus en détail

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,

Plus en détail

Transports sanitaires

Transports sanitaires Observatoire régional de la santé des Pays de la Loire Juillet 2015 www.santepaysdelaloire.com La santé observée dans les Pays de la Loire Transports sanitaires L'essentiel En 2014, 5,6 millions de patients

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

Conférence de presse 8 juin 2011

Conférence de presse 8 juin 2011 Conférence de presse 8 juin 2011 Conférence de presse 8 juin 2011 1. Objectifs & fonctionnement de l Observatoire des femmes et de l assurance Marie-Louise Antoni et Véronique Morali 3. Principaux éclairages

Plus en détail

SYNTHÈSE. En 2012, la province Sud compte 16 700 personnes. Le maintien à domicile : solution privilégiée des personnes âgées

SYNTHÈSE. En 2012, la province Sud compte 16 700 personnes. Le maintien à domicile : solution privilégiée des personnes âgées SYNTHÈSE BP 823-98845 Nouméa Nouvelle-Calédonie (687) 27 54 81 isee@isee.nc www.isee.nc Directeur de la publication Alexandre Gautier Conception et réalisation Département publications Synthèse N 3 Édition

Plus en détail

Baromètre santé 360 La santé connectée Janvier 2015

Baromètre santé 360 La santé connectée Janvier 2015 Baromètre santé 360 La santé connectée Janvier 2015 Sondage réalisé par pour et publié en partenariat avec et avec le concours scientifique de la Publié le 19 janvier 2015 Levée d embargo le 19 janvier

Plus en détail

Le décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.

Le décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V. Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

La santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services

La santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services 1 solidaire Apporter une réponse concrète aux besoins de la population en matière de santé, selon des principes fondamentaux de solidarité et d entraide. Développer un important réseau d œuvres sanitaires

Plus en détail

Repérage de la perte d autonomie

Repérage de la perte d autonomie Repérage de la perte d autonomie France Morissette, MSc. Inf Directrice, Opérations soins 24 novembre 2014 LE GROUPE MAURICE PROFIL CORPORATIF, EN BREF Fondé en 1998 Un seul créneau : l habitation pour

Plus en détail

L'aidant familial face à Alzheimer: la tablette un outil simple et pratique

L'aidant familial face à Alzheimer: la tablette un outil simple et pratique L'aidant familial face à Alzheimer: la tablette un outil simple et pratique Vous trouverez ici notre guide d utilisation et d accompagnement pour l'aidant familial utilisant la tablette et nos jeux de

Plus en détail

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines

Plus en détail

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on

Plus en détail

les télésoins à domicile

les télésoins à domicile Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,

Plus en détail

DOSSIER DE SOUSCRIPTION TELEASSISTANCE CLASSIQUE ou TELEASSISTANCE MOBILE

DOSSIER DE SOUSCRIPTION TELEASSISTANCE CLASSIQUE ou TELEASSISTANCE MOBILE Mutualité Française Bourguignonne services de soins et d accompagnement mutualistes Union de mutuelles régie par les dispositions du code de la mutualité RNM 775 567 761 Siège social : 16 bd de Sévigné

Plus en détail

Capteurs pour la santé et l autonomie. Nouvelles approches technologiques. pour le suivi sur les lieux de vie

Capteurs pour la santé et l autonomie. Nouvelles approches technologiques. pour le suivi sur les lieux de vie Capteurs pour la santé et l autonomie Nouvelles approches technologiques pour le suivi sur les lieux de vie Santé : nécessité de nouvelles approches Le nouveau contexte créé par les technologies de l information

Plus en détail

Assurance maladie grave

Assurance maladie grave ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès

Plus en détail

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n

Plus en détail

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble

Plus en détail

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé

Plus en détail

SYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois

SYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois SYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois La télémédecine au service des soins de 1 er recours et de l aménagement du territoire dominique.depinoy@acsantis.com Pourquoi

Plus en détail

NOTRE ACTION SOCIALE PREND SOIN DE VOUS

NOTRE ACTION SOCIALE PREND SOIN DE VOUS NOTRE ACTION SOCIALE PREND SOIN DE VOUS NOTRE ACTION SOCIALE EN QUELQUES CHIFFRES * 35 délégations régionales 218 collaborateurs dédiés, dont 154 sur le terrain 12 500 membres d associations bénévoles

Plus en détail

Démence et fin de vie chez la personne âgée

Démence et fin de vie chez la personne âgée Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit

Plus en détail

PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé

PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique

Plus en détail

Les prérogatives du mineur sur sa santé

Les prérogatives du mineur sur sa santé 5e Rencontres médico-juridico-sociales autour de l enfant Protection de l enfance et santé Les prérogatives du mineur sur sa santé Claire Quennesson - Doctorante CERFAP Introduction Mineur Personne âgée

Plus en détail

DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS

DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS Débuté le Terminé le. FICHE ADMINISTRATIVE PATIENT Nom Prénom Date de naissance / / Téléphone. ADRESSE...... N SS / / / / / // ENTOURAGE-PERSONNE RESSOURCE NOM QUALITE..TEL...

Plus en détail

9.11 Les jeux de hasard et d argent

9.11 Les jeux de hasard et d argent 9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,

Plus en détail

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013 La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité

Plus en détail

Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.

Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer

Plus en détail

APS résumé partie III

APS résumé partie III 1 APS résumé partie III Les outils d évaluation de l activité physique Le but est de quantifier/ évaluer les activités physiques habituelles (non-structurées).on a plusieurs méthodes : - Indirectes (subjectives)

Plus en détail

DOSSIER D INSCRIPTION

DOSSIER D INSCRIPTION HÉBERGEMENT EN ÉTABLISSEMENT D ACCUEIL POUR PERSONNES ÂGÉES DOSSIER D INSCRIPTION Vous envisagez de vous inscrire dans un établissement d accueil pour personnes âgées. Afin de faciliter vos démarches,

Plus en détail

GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE

GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE Vous êtes à la recherche d un médecin de famille? Le CSSS-IUGS peut vous aider. Inscrivez-vous au guichet d accès à un médecin de famille en remplissant le formulaire

Plus en détail

GUICHET D ACCESSIBILITÉ MÉDICALE Vous êtes à la recherche d'un médecin de famille? Clientèle visée

GUICHET D ACCESSIBILITÉ MÉDICALE Vous êtes à la recherche d'un médecin de famille? Clientèle visée GUICHET D ACCESSIBILITÉ MÉDICALE Vous êtes à la recherche d'un médecin de famille? Clientèle visée La clientèle ciblée par ce service est la clientèle dite orpheline. Il s agit des personnes de tous âges

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012

Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 1 er février 2008 Sommaire 10 MESURES PHARES 6 RESUME DES FINANCEMENTS 7 SYNTHESE DES FINANCEMENTS PAR MESURE 8 AXE I. AMELIORER LA QUALITE DE VIE DES

Plus en détail

Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008

Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008 Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie

Plus en détail

ACCUEIL EN CENTRE DE LOISIRS ENFANT PORTEUR DE HANDICAP

ACCUEIL EN CENTRE DE LOISIRS ENFANT PORTEUR DE HANDICAP ASSOCIATION DES CENTRES DE LOISIRS 11 avenue Jean Perrot - 38100 GRENOBLE Tél. : 04 76 87 76 41 - Fax : 04 76 47 52 92 E-mail : secretariat@acl-grenoble.org Site Internet : http://www.acl-grenoble.org

Plus en détail

CONDUCTEUR ÂGÉ. Dr Jamie Dow. Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec LLE. Dr Jamie Dow

CONDUCTEUR ÂGÉ. Dr Jamie Dow. Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec LLE. Dr Jamie Dow LLE CONDUCTEUR ÂGÉ Dr Jamie Dow Conseiller médical en sécurité routière Service des usagers de la route Janvier 2011 Dr Jamie Dow Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

PRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN

PRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN PRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN 1 1 L ACTION SOCIALE NOS VALEURS SOLIDARITÉ Valeur centrale, elle s exprime par la mise en œuvre d interventions au profit de tous ses clients : entreprises,

Plus en détail

Quand le stress nous rend malade

Quand le stress nous rend malade Yuri Arcurs Quand le stress nous rend malade Tous concernés! De quoi s agit-il? Le stress stimule notre organisme pour qu'il s'adapte à une nouvelle situation, bonne ou mauvaise. Deux hormones sont alors

Plus en détail

Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française

Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Prévenir - Soigner - Accompagner Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires Qui est la Mutualité Française?

Plus en détail

Inégalités sociales de santé et accès aux soins. Inégalités sociales de santé et protection sociale 2006-07 Psychomot 1 UPMC/VHF

Inégalités sociales de santé et accès aux soins. Inégalités sociales de santé et protection sociale 2006-07 Psychomot 1 UPMC/VHF Inégalités sociales de santé et accès aux soins INEGALITES SOCIALES DE SANTE Définition : Inégalités/ sociales /de santé Inégalités face à la mort Comparaisons européennes Les maladies inégalitaires Inégalités

Plus en détail

Protection individuelle

Protection individuelle Protection individuelle Franchise annuelle Ce plan n'est plus offert 200 $ 900 $ depuis le 1er mars 2015 1 006 $ / / 18-24 87,88 $ 71,71 $ - 39,35 $ 37,08 $ 63,91 $ 25-29 91,38 $ 74,47 $ - 41,04 $ 38,86

Plus en détail

Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne

Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne O B S E R V A T O I R E R E G I O N A L D E L A S A N T E D E M I D I - P Y R E N E E S Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne Novembre 2007 SYSTEME

Plus en détail

Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu-

Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement

Plus en détail

Éducation permanente des conseillers

Éducation permanente des conseillers Éducation permanente des conseillers connaissances formation permanente éducation en ligne participation Description générale de l assurance de soins de longue durée. Objectifs d apprentissage Après avoir

Plus en détail

Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.

Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale

Plus en détail

Droits et aides pour les aidants familiaux «Être aidant être soi» Prendre soin de soi c est prendre soin de l autre.

Droits et aides pour les aidants familiaux «Être aidant être soi» Prendre soin de soi c est prendre soin de l autre. Droits et aides pour les aidants familiaux «Être aidant être soi» Prendre soin de soi c est prendre soin de l autre. 1 Qu est-ce qu un aidant familial Une personne qui vient en aide, à titre non professionnel

Plus en détail

Dares Analyses L ACCÈS À L EMPLOI DES PERSONNES HANDICAPÉES EN 2011

Dares Analyses L ACCÈS À L EMPLOI DES PERSONNES HANDICAPÉES EN 2011 Dares Analyses OCTOBRE 2013 n 066 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques L ACCÈS À L EMPLOI DES PERSONNES HANDICAPÉES EN 2011 En 2011, 2 millions de

Plus en détail

Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003

Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions

Plus en détail

L infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.

L infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique. Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un

Plus en détail

Nouvelles Technologies d investigation de surveillance du patient dont Télétransmission

Nouvelles Technologies d investigation de surveillance du patient dont Télétransmission Plateforme Médicalisée 24/7 de Services Santé et Télémédecine M.D Jean-Michel Souclier H2AD propose des solutions entièrement sécurisées permettant le maintien et le retour àdomiciledes personnes fragiles:

Plus en détail

Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés

Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement

Plus en détail

La place des seniors dans le bénévolat

La place des seniors dans le bénévolat La place des seniors dans le bénévolat On sait que les seniors jouent un rôle très important dans le bénévolat, notamment en qualité d élus aux seins des associations, bénéficiant de l expérience qu ils

Plus en détail

Centre d Analyse Stratégique

Centre d Analyse Stratégique Centre d Analyse Stratégique Choix d une complémentaire santé Le regard des Assurés et des Entreprises 7 juillet 2009 Centre d Analyse Stratégique Tristan KLEIN Perrine FREHAUT Contacts TNS Sofres Emmanuel

Plus en détail

Infirmieres libérales

Infirmieres libérales Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites

Plus en détail

Un nouveau regard de l assurance au féminin : la «Hub Decider Woman» Paris, le 8 juin 2011

Un nouveau regard de l assurance au féminin : la «Hub Decider Woman» Paris, le 8 juin 2011 Résultats du premier Observatoire des femmes et l assurance Un nouveau regard de l assurance au féminin : la «Hub Decider Woman» Paris, le 8 juin 2011 Fiche méthodologique Cible : Hommes et femmes âgés

Plus en détail

Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants. Premiers résultats. Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE

Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants. Premiers résultats. Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants Premiers résultats Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE Objectifs de l enqul enquête Mieux identifier la souffrance psychique

Plus en détail

asdf Deuxième Assemblée mondiale sur le vieillissement Madrid (Espagne) 8-12 avril 2002 madrid

asdf Deuxième Assemblée mondiale sur le vieillissement Madrid (Espagne) 8-12 avril 2002 madrid Madrid (Espagne) 8-12 avril 2002 Promouvoir la santé et le bien-être des personnes âgées : actif «Nous sommes témoins d une révolution silencieuse qui bien au-delà de la sphère démographique a des incidences

Plus en détail

Comment la proposer et la réaliser?

Comment la proposer et la réaliser? RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme

Plus en détail

AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE DEAVS CORRIGÉES ANNALES. session 2014. 3 e édition. Monique Forn Marie Rolland

AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE DEAVS CORRIGÉES ANNALES. session 2014. 3 e édition. Monique Forn Marie Rolland AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CORRIGÉES ANNALES DEAVS session 2014 3 e édition Monique Forn Marie Rolland AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CORRIGÉES ANNALES DEAVS session 2014 3 e édition Monique Forn Assistante

Plus en détail

Le risque TMS chez les intervenants à domicile

Le risque TMS chez les intervenants à domicile Le risque TMS chez les intervenants à domicile Quelques chiffres accident est dû aux manutentions manuelles Quelques chiffres + de 85% des maladies professionnelles sont des T.M.S. 5 tableaux de maladies

Plus en détail

PLANS COLLECTIFS D ASSURANCES

PLANS COLLECTIFS D ASSURANCES ASSOCIATION QUÉBÉCOISE DES DIRECTEURS ET DIRECTRICES D ÉTABLISSEMENT D ENSEIGNEMENT RETRAITÉS PLANS COLLECTIFS D ASSURANCES ASSURANCE-MALADIE-MÉDICAMENTS et VOYAGE (obligatoire) 1 er janvier 2006 au 31

Plus en détail

Les Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008

Les Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008 Les Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008 1 Sommaire Enquête sur les représentations, les attitudes, les connaissances et les pratiques du sommeil des jeunes adultes en France...3 Les durées

Plus en détail

Vivre à domicile ou en institution : effets d âge, de santé, mais aussi d entourage familial

Vivre à domicile ou en institution : effets d âge, de santé, mais aussi d entourage familial Vivre à domicile ou en institution : effets d âge, de santé, mais aussi d entourage familial Gérard Bouvier, Liliane Lincot, Chantal Rebiscoul* En 2009, un peu plus de 600 000 personnes sont hébergées

Plus en détail

LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI

LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI? LA MÉTHAMPHÉTAMINE est un produit stupéfiant illicite, synthétisé à partir de substances chimiques, également connu sous le nom de «crystal» ou «crystalmet», «ice»,

Plus en détail

Trouver un job grâce au numérique : les défis du marché du recrutement en ligne

Trouver un job grâce au numérique : les défis du marché du recrutement en ligne Observatoire Orange - Terrafemina Trouver un job grâce au numérique : les défis du marché du recrutement en ligne Sondage de l institut CSA avec Fiche technique du sondage L institut CSA a réalisé pour

Plus en détail

2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé

2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé Atelier n 11 Monter un parcours de soins sur une approche territoriale ciblée 2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé Françoise ELLIEN,

Plus en détail

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE

Plus en détail

Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1

Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,

Plus en détail

MÉMENTO DES AIDES DESTINÉES AUX PERSONNES VICTIMES D UN AVC AVC

MÉMENTO DES AIDES DESTINÉES AUX PERSONNES VICTIMES D UN AVC AVC MÉMENTO DES AIDES DESTINÉES AUX PERSONNES VICTIMES D UN AVC AVC 5 SOMMAIRE Rappel 3 1) Mémento des aides 4 La prise en charge des dépenses de santé 4 L indemnisation en cas d arrêt de travail 5 Le domaine

Plus en détail

Assurance de soins de longue durée

Assurance de soins de longue durée Assurance de soins de longue durée Feuille de renseignements à l intention du conseiller ne pas remettre au demandeur Ce que vous devez faire avant de remettre un formulaire de demande de règlement au

Plus en détail

Agence Thomas Marko & Associés. Du 3 au 8 septembre 2010.

Agence Thomas Marko & Associés. Du 3 au 8 septembre 2010. Octobre 00 Nobody s Unpredictable Sondage effectué pour : Agence Thomas Marko & Associés Echantillon : 000 personnes, constituant un échantillon national représentatif de la population française âgée de

Plus en détail

Délivrance de l information à la personne sur son état de santé

Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du

Plus en détail

dernier avis d imposition du foyer ; justificatifs des ressources des 3 derniers mois du foyer ; factures acquittées. Aide unique.

dernier avis d imposition du foyer ; justificatifs des ressources des 3 derniers mois du foyer ; factures acquittées. Aide unique. Placement en établissement médicalisé ou spécialisé Cette aide permet de faire face à la charge financière importante que représente le placement en établissement spécialisé de l adhérent ou de l ayant

Plus en détail

Assurance soins de longue durée

Assurance soins de longue durée Assurance soins de longue durée Protection Temporelle Guide de l assuré GUIDE DE L ASSURÉ 1 Et si vous ne pouviez plus prendre soin de vous-même? Les progrès de la médecine et les meilleures conditions

Plus en détail

LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER?

LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? Résumé des trois enjeux présentés lors de l Assemblée publique du comité de lutte en santé de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles

Plus en détail

QUESTIONNAIRE DE DIAGNOSTIC RAPIDE DES NIVEAUX DE CPO ET TMS EN ETABLISSEMENTS DE SOIN

QUESTIONNAIRE DE DIAGNOSTIC RAPIDE DES NIVEAUX DE CPO ET TMS EN ETABLISSEMENTS DE SOIN NOTE EXPLICATIVE ORSOSA QUESTIONNAIRE DE DIAGNOSTIC RAPIDE DES NIVEAUX DE CPO ET TMS EN ETABLISSEMENTS DE SOIN Ce document détaille le contenu des questionnaires établis lors de la cohorte ORSOSA 1 et

Plus en détail

Seniors en Vacances OFFREZ DU BIEN-ÊTRE À VOS SENIORS. Parce que les vacances, c est essentiel.

Seniors en Vacances OFFREZ DU BIEN-ÊTRE À VOS SENIORS. Parce que les vacances, c est essentiel. 2015 Seniors en Vacances OFFREZ DU BIEN-ÊTRE À VOS SENIORS Parce que les vacances, c est essentiel. Un outil innovant au service de vos politiques sociales Ce programme déployé par l ANCV depuis 2007 a

Plus en détail

Etude MAPT (Multidomain Alzheimer Preventive Trial)

Etude MAPT (Multidomain Alzheimer Preventive Trial) Etude MAPT (Multidomain Alzheimer Preventive Trial) F Portet CMRR CHU de Montpellier (J Touchon) et Inserm U 888 Promoteur : CHU Toulouse (B Vellas) MAPT : objectif principal évaluer l efficacité d une

Plus en détail

À retenir... 1. Ce qu en disent les acteurs communautaires

À retenir... 1. Ce qu en disent les acteurs communautaires 1 Volet 4 : Ainé-e-s Table des matières À retenir... 1 Ce qu en disent les acteurs communautaires... 1 1. Un portrait des aîné e s du quartier... 2 1.1 Répartition des personnes âgées de 65 ans et plus...

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

QUI PEUT CONTRACTER LA FA?

QUI PEUT CONTRACTER LA FA? MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du

Plus en détail

Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs?

Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Aude Le Divenah Praticien hospitalier, chargée de mission, Direction de l hospitalisation et de l organisation des soins Les soins palliatifs se

Plus en détail

Les Français et l assurance santé

Les Français et l assurance santé Mai 2013 Contacts : 01 45 84 14 44 Jérôme Fourquet Magalie Gérard prénom.nom@ifop.com Les Français et l assurance santé pour Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Assurances Echantillon :

Plus en détail

Présentation: Aline Mendes

Présentation: Aline Mendes Présentation: Aline Mendes Définition et aspects épidémiologiques; Parcours d un aidant et survenue du fardeau; Modalités d intervention; Institutionnalisation; L aidant professionnel; Réseau à Genève.

Plus en détail

«Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA

«Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA ID: «Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA Swiss children s objectively measured physical activity Questionnaire pour les parents sur

Plus en détail

L'Obésité : une épidémie?

L'Obésité : une épidémie? Communiqué de presse 5 mars 2014 L'Obésité : une épidémie? Résultats de l'étude MGEN «Habitudes de vie et surpoids» 3 Français sur 4 se jugent en bonne santé, 1 sur 2 est en surpoids, 16% sont obèses 2/3

Plus en détail