PRÉPARER LE RETOUR AU DOMICILE DU PATIENT : VOLET SOCIAL, VOLET SOIGNANT
|
|
- Angèle Aline Patel
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PRÉPARER LE RETOUR AU DOMICILE DU PATIENT : VOLET SOCIAL, VOLET SOIGNANT FORMATION RÉGIONALE DES AIDES SOIGNANTES VENDREDI 20 MARS 2015 Florine MAGRIN Assistante sociale CHRU Besançon Odile ROMANET Cadre de santé HAD 39
2 Suivre Initier une prise en charge Évaluer Aider Dépister Infirmière Aide soignante Soutenir Transmettr e Communique r Coordonne r Conseille r Compétences Évaluer une situation clinique
3 EVALUATION DE LA SITUATION CLINIQUE Dans quelles conditions se passe l hospitalisation du patient? Complexité de la prise en charge? dépendance, soins, En vue de la sortie y a t-il une personne de confiance, une personne de soutien en cas d urgence,un entourage familial? Cette personne est-elle prête à s engager dans la prise en charge? Quels sont les souhaits du patient pour sa sortie?
4 EVALUATION DES BESOINS ET IDENTIFICATION DES SOINS DE SUPPORT À METTRE EN PLACE De quels soins de support le patient t-il besoin? Prise en charge de la douleur, prise en charge psychologique et sociale, suivi nutritionnel, kiné, adaptation du matériel Mise en place du projet de soins : soins infirmiers techniques et relationnels, prise en charge pluridisciplinaire Nécessité d une coordination à domicile car situation complexe
5 Oncopsychologie Évaluation et traitement de la douleur Accompagnement social Rééducation Réadaptation fonctionnelle Accompagnement spirituel Patient et entourage Nutrition Socioesthétique Art thérapie Stomathérapie Odontologie Soins palliatifs Autres
6 SOINS DE SUPPORT Douleur: En aucun cas les soins ne doivent être douloureux. SUIVI / REACTIVITE L AS/ l IDE est souvent seule au domicile, d où la difficulté à mobiliser en douceur, même si nous avons à l heure actuelle le matériel nécessaire (lève-malade, verticalisateur ) La douleur parasite le soin, provoque pour le patient, pour nous et pour la famille une crainte du soin à venir. L évaluation de la douleur est primordiale: la douleur induite par la mobilisation ou non la gestion de la souffrance des familles face à la douleur d un proche Constat: La réactivité de prise en charge de la douleur à domicile dépend de la réactivité des soignants.
7 SOINS DE SUPPORT Prise en charge Nutritionnelle : o Bilan du poids afin de pouvoir poursuivre la prise en charge à domicile. o Prévoir un suivi nutritionnel : coordination entre les diététiciens. Comment organiser le suivi nutritionnel à domicile? Avec qui?
8 Suivi psychologique: o Le besoin d aide peut se manifester à toutes les étapes de la maladie, lorsque l environnement soignant s éloigne le patient peut éprouver un sentiment de moindre soutien. o L entourage peut ressentir une grande souffrance psychologique. Le proche aidé sera d autant plus aidant. o Nécessité d'un suivi à domicile? Comment l'organiser à domicile Nécessité de soutien des équipes SOINS DE SUPPORT
9 SOINS DE SUPPORT Bilan social : - Le cancer et la maladie génèrent des situations complexes, il est important d anticiper les difficultés avenir: aspect financier, prise en charge des soins, isolement, conjoint dépendant, difficultés familiales, professionnelles... et de proposer un soutien dans la durée si besoin. Qui solliciter en établissement? Qui pourrait être le référent à domicile?
10
11 A QUI S ADRESSER? Quel mode de sortie souhaite le patient après son hospitalisation? Est-ce faisable d après vous? A-t-il besoin d une stucture intermédiaire de moyen séjour (SSR) et avant quoi (le RAD ou un long séjour)? Retour en EHPAD ou MAS, ( l HAD peut intervenir en EHPAD et en MAS) Domicile?
12
13 Le RAD: une collaboration pluridisciplinaire Échanges et mises en lien des différents professionnels qui entourent le patient et la famille: Médecins, IDE, AS, diététicien, psychologue, assistant de service social (ASS) etc. Des approches différentes pour une prise en charge la plus complète possible. Anticiper et/ou répondre aux situations d inconfort et de souffrance, entre autre avec les soins de support décrits précédemment.
14 ORGANISATION, FAISABILITÉ, PRISE EN CHARGE o Les acteurs du domicile avec prise en charge sécu: Le médecin traitant L IDE libérale Le kinésithérapeute La pharmacie Le laboratoire Le prestataire Le SSIAD ( Service de Soins Infirmiers à Domicile) L HAD ( Hospitalisation A Domicile)
15 Les aides humaines et techniques sans prise en charge sécu. Donc recherche de financement: Nursing/ aide à la personne Aide ménagère 22 /heure Téléalarme: frais d installation ( 40 ) + abonnement mensuel ( 30 ) Portage de repas: 10 l un. Garde de nuit: 100 la nuit (avec une association).
16 Les possibilités de financement Mutuelle (simple démarche téléphonique pouvant être effectuée par le patient ou la famille) Caisse de retraite (dispositifs spécifiques) Conseil Général (APA ou PCH) Caisse d assurance maladie (Enveloppe FNASS, Majoration Tierce Personne) - Le financement est rarement total. - Certains patients ne relèvent d aucune aide à la prise en charge.
17 Le rôle de l Aide Soignante L AS est un des professionnels le plus proche du patient, elle/il identifie les besoins des patients et/ou des familles. Elle se doit donc, après repérage, d alerter et de transmettre les éléments de vulnérabilité relevés à l assistante sociale de son service ou du secteur.
18 QUAND PROPOSER LE SSIAD? o Objectif d un SSIAD : assurer la continuité des soins, ce qui implique la prise en charge de la continuité de la vie tout en respectant les choix du patient et son projet de vie. o Prise en charge financière sur prescription médicale à 100% par la sécurité sociale ( forfait) o Types de personne prise en charge Personnes âgées de + de 60ans,Personnes de de 60 ans présentant un handicap, Personnes de de 60ans présentant une pathologie chronique o Soins infirmiers réalisés par IDE libérale et facturé aux SSIAD o Partenariat avec l HAD Depuis 2006 les SSIAD du jura et l HAD ont la particularité de travailler en partenariat lié par une convention qui implique une prise en charge prioritaire des patients HAD.
19 AIDE SOIGNANTE / IDE AU DOMICILE L aide soignante, l IDE à domicile doit faire preuve d une grande faculté d adaptation. Elle prend en compte la personne dans sa globalité, insérée dans sa famille, sa communauté, dans sa culture, son histoire et son environnement. Elle se met à l écoute du patient et de l entourage, en prenant en compte ce qu il est, ce qu il cherche, ce qu il attend, ce qui le fait vivre. Elle respecte l intimité et les habitudes de vie tout en étant force de propositions pour adapter l environnement aux soins,
20 QUAND PROPOSER UNE HAD?? POURQUOI?? o Nécessité de soins de supports multiples o Besoin de coordonner les soins ( multiplicité des intervenants, soins complexes)
21 PRISE EN CHARGE PAR L HAD Un recueil de données complet, prenant en compte les ressources de la personne et de son entourage est important pour faciliter le retour au domicile et par conséquent favoriser une bonne continuité des soins. o Un bilan est réalisé à l hôpital ou par téléphone et une visite est programmée à domicile par IDEC/ HAD: nous évaluons: les capacités du patient, son autonomie, ses besoins ainsi que la capacité des aidants à prendre en charge leurs proches, nous recherchons: l aval du médecin traitant et l accord des différents libéraux L HAD se donne 48 heures pour donner une réponse au patient et recueillir l acceptation des différents intervenants. Puis elle coordonne leurs interventions (médecin traitant, IDE pour les soins, AS pour les soins d hygiène )
22 PRISE EN CHARGE PAR L HAD L HAD coordonne la mise en place, des soins, des traitements, du matériel
23 PRISE EN CHARGE A DOMICILE Lorsqu un patient est en curatif avec des rendez-vous (chez les spécialistes ou chimiothérapie.), nous devons adapter nos interventions et pour cela, collaborer avec les autres patients afin que ceux-ci acceptent nos passages à des heures différentes de celles habituelles. La prise en charge est adaptée au quotidien en fonction de l évolution de la maladie. Les proches ne sont pas corvéables à merci : les liens émotionnels qui les lient au patient entrent en conflit avec la gestion objective de la maladie. Conjoints, enfants ne souhaitent pas nécessairement la même chose que leur parent. De plus, ils se retrouvent souvent en difficulté face à l envie de reprendre leur proche au domicile et la réalité du maintien au domicile au quotidien.
24 SOUTIEN DES AIDANTS o L épuisement des aidants. Très vite épuisé, l aidant doit se sentir écouté. D où l importance d effectuer de bonnes transmissions avec les coordinatrices du SSIAD et l HAD afin que celles-ci puissent faire intervenir un psychologue ou réévaluer la capacité à rester au domicile
25 Transmettre, collaborer. LES TRANSMISSIONS Les transmissions entre le domicile et l hôpital et vice versa sont primordiales au niveau professionnel: fiche de liaison Au domicile du patient : le classeur de liaison ou la tablette informatique pour transmettre au médecin traitant, et permettre la coordination et le travail en pluridisciplinarité de tous les intervenants.
26
27 CONCLUSION Toute prise en charge au domicile d un patient atteint d un cancer, peut se faire et réussir à condition de la préparer par un recueil de données complet, de faire intervenir une équipe pluridisciplinaire et par conséquent de collaborer pour un travail de qualité. L aide soignante a un rôle primordial dans le cadre de la préparation du RAD ainsi qu au quotidien au domicile.
Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu-
Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement
Plus en détailVotre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française
Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Prévenir - Soigner - Accompagner Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires Qui est la Mutualité Française?
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailvous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou territoriale,
Vous êtes un professionnel du corps médical ou des services sociaux, vous travaillez au sein d un établissement spécialisé, vous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou
Plus en détailQuel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs?
Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Aude Le Divenah Praticien hospitalier, chargée de mission, Direction de l hospitalisation et de l organisation des soins Les soins palliatifs se
Plus en détaildernier avis d imposition du foyer ; justificatifs des ressources des 3 derniers mois du foyer ; factures acquittées. Aide unique.
Placement en établissement médicalisé ou spécialisé Cette aide permet de faire face à la charge financière importante que représente le placement en établissement spécialisé de l adhérent ou de l ayant
Plus en détailAssises Nationales du Maintien à Domicile 14 17 juin 2000 La douleur Les soins palliatifs. EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS
EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS INTRODUCTION (Présentation de l'association François-Xavier Bagnoud) L'Association L'association qui porte le nom de François-Xavier Bagnoud est une
Plus en détailDOSSIER D INSCRIPTION
HÉBERGEMENT EN ÉTABLISSEMENT D ACCUEIL POUR PERSONNES ÂGÉES DOSSIER D INSCRIPTION Vous envisagez de vous inscrire dans un établissement d accueil pour personnes âgées. Afin de faciliter vos démarches,
Plus en détailI. Qu est ce qu un SSIAD?
1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation
Plus en détailTIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire
TIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire Telecom Bretagne, Institut Telecom M@rsouin, CREM Myriam.legoff@telecom-bretagne.eu
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détail2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé
Atelier n 11 Monter un parcours de soins sur une approche territoriale ciblée 2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé Françoise ELLIEN,
Plus en détailDroits et aides pour les aidants familiaux «Être aidant être soi» Prendre soin de soi c est prendre soin de l autre.
Droits et aides pour les aidants familiaux «Être aidant être soi» Prendre soin de soi c est prendre soin de l autre. 1 Qu est-ce qu un aidant familial Une personne qui vient en aide, à titre non professionnel
Plus en détailauremar - Fotolia.com
auremar - Fotolia.com Bien vivre chez soi Différents dispositifs permettent aux seniors giffois de rester chez eux avec des repas à domicile, des aides ponctuelles comme le ménage, le repassage, les courses
Plus en détail2O14 LIVRET D ACCUEIL DES RESIDENTS. EHPAD Les Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMALIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76.
2O14 IVRET D ACCUEI DES RESIDENTS EHPAD es Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMAIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76.01 lessavarounes@wanadoo.fr Bienvenue e plus grand bien qu on puisse faire
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détailLa santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services
1 solidaire Apporter une réponse concrète aux besoins de la population en matière de santé, selon des principes fondamentaux de solidarité et d entraide. Développer un important réseau d œuvres sanitaires
Plus en détailMaisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailLIVRET D ACCUEIL CCAS. des services à la personne. CENTRE COMMUNAL D ACTION SOCIALE Ville de La Verrière. + d infos : www.ville-laverriere.
LIVRET D ACCUEIL des services à la personne + d infos : www.ville-laverriere.com CCAS CENTRE COMMUNAL D ACTION SOCIALE Ville de La Verrière Agrément qualité Service d Aide à la Personne : 267802783 Délivré
Plus en détailLes différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire
Les différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire E.H.P.A.D E.H.P.A.D (Etablissement d hébergement pour personnes agées dépendantes) Un
Plus en détailUn de vos proches ou vous-même avez été diagnostiqué malade d Alzheimer, ce guide peut vous aider
Guide d aide à l orientation des malades et des familles Un de vos proches ou vous-même avez été diagnostiqué malade d Alzheimer, ce guide peut vous aider La maladie d Alzheimer et les maladies apparentées
Plus en détailAccompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux
Accompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux Cette enquête est réalisée en partenariat avec le Groupe Polyhandicap France (GPF) et
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailSADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)
SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailRéseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP
Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE
Plus en détaildroits des malades et fin de vie
DOCUMENT à CONSERVER ET À EMPORTER si VOUS êtes HOSPITALISé droits des malades et fin de vie La loi Leonetti Le respect de la personne Le rôle de votre médecin L accès aux soins palliatifs Photo couverture
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile. Insuffisance cardiaque
PRADO, le programme de retour à domicile Insuffisance cardiaque Acteurs locaux CPAM/ELSM de Couverture Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer
Plus en détailCentre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP
Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» EDS CHS MSP MSP «La Traversée» Anémones 1 - Anémones 2-45 lits 30 lits Chênes - 45 lits Dont - Circuits de soins internés 25 lits - Circuit de
Plus en détailAction sociale. Demande d aide pour Bien vieillir chez soi
Nous sommes là pour vous aider Action sociale Demande d aide pour Bien vieillir chez soi Action sociale Vivre chez soi Cette notice a été réalisée pour vous aider à compléter votre demande. Pour nous contacter
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailPROJET DE FUSION. Introduction : Une volonté de rapprochement
PROJET DE FUSION Introduction : Une volonté de rapprochement Historique Anjou Soins Services, Santé Loire Vallée de l Authion et UNA du Saumurois sont trois associations expérimentées dans le soutien à
Plus en détailBRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES
Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailLa notion de soutien dans le cadre d une équipe belge de soins palliatifs à domicile INTRODUCTION
La notion de soutien dans le cadre d une équipe belge de soins palliatifs à domicile INTRODUCTION Le concept d équipe de soutien dans les soins palliatifs à domicile belges est récent. On évoque aussi
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détaillv. Fiches de présentation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires P.16
P.3! " P.7! # $!%& # $!# $ ' (") P.9 *$ (") +,(") a) )! " #$ %$ lv. Fiches de présentation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires P.16 & ' (()# " )2 #% * +,,,- - -$. / 0 ()./ *. 1 - -() * 2+,3+ 1 (.
Plus en détailHospitalisation à domicile Mauges Bocage Choletais. Livret d accueil. Siège administratif PERMANENCE 24H/24 AU 02 41 49 62 75
Hospitalisation à domicile Mauges Bocage Choletais Livret d accueil Siège administratif PERMANENCE 24H/24 AU 02 41 49 62 75 PRESENTATION DE L HOSPITALISATION A DOMICILE MBC Hospitalisation à Domicile Mauges
Plus en détailMutex Indépendance Services - 10 % si vous adhérez en couple. Gardez le contrôle de votre vie!
- 10 % si vous adhérez en couple Mutex Indépendance Services Gardez le contrôle de votre vie! Les 10 raisons de souscrire Mutex Indépendance Services Une rente mensuelle de 300 f à 2000 f en fonction de
Plus en détailsociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT)
Le Ministre de la Santé, de la Famille Et des personnes Handicapées A Mesdames et Messieurs les Préfets de région Direction régionales des affaires sanitaires et sociales Mesdames et Messieurs les Préfets
Plus en détailLiaison Bac Pro ASSP - BTS
Brigitte Rougier IEN SBSSA Sandrine Martinez PLP STMS Sarah Zemmouri PLP STMS L élaboration du plan de formation en Baccalauréat professionnel Liaison Bac Pro ASSP - BTS Baccalauréat professionnel «Accompagnement,
Plus en détailLUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER?
LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? Résumé des trois enjeux présentés lors de l Assemblée publique du comité de lutte en santé de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles
Plus en détailPSYCHOLOGUE AU DOMICILE : PRATIQUES SINGULIERES OU PLURIELLES?
PSYCHOLOGUE AU DOMICILE : PRATIQUES SINGULIERES OU PLURIELLES? Françoise ELLIEN, Psychologue-Psychanalyste Psychanalyste Directrice du réseau de santé ville-hôpital SPES XII ème Congrès National de la
Plus en détailPatients atteints de maladie grave ou en fin de vie
Document réservé aux professionnels de santé - État des connaissances - Mai 2009 Repères pour votre pratique Patients atteints de maladie grave ou en fin de vie Soins palliatifs et accompagnement Les progrès
Plus en détailL infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un
Plus en détailUne infirmière re clinicienne en et soins de. Stomathérapie. fonction? L infirmière. re «clinicienne?» Rôle de l infirmil. ressource?
Une stomathérapie et soins de plaies : intérêt d une d telle fonction? Marie Magdeleine lefort ULB Erasme re «clinicienne?» re praticienne «nurse practitioner» Prise en charge de pathologies spécifiques
Plus en détailMes Indispensables SMEREP
Mes Indispensables Année universitaire 2014-2015 La et moi 617 Je suis affilié(e) J ai choisi le Centre - 617 comme centre de Sécurité sociale étudiante. Ce choix est obligatoire dès lors que je suis étudiant
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détailPlan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012
Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 1 er février 2008 Sommaire 10 MESURES PHARES 6 RESUME DES FINANCEMENTS 7 SYNTHESE DES FINANCEMENTS PAR MESURE 8 AXE I. AMELIORER LA QUALITE DE VIE DES
Plus en détailMes Indispensables SMEREP
Mes Indispensables Année universitaire 2013-2014 La et moi Je suis affilié(e) J ai choisi le Centre - 617 comme centre de Sécurité sociale étudiante. Ce choix est obligatoire dès lors que je suis étudiant
Plus en détailHospitalisation à Temps Partiel Soins de Suite et Réadaptation Affections cardio-vasculaires et Affections respiratoires Livret de séjour
CENTRE HOSPITALIER de BOURG-EN-BRESSE CS 90401 900 route de Paris 01012 BOURG-EN-BRESSE CEDEX 04 74 45 44 08 Hospitalisation à Temps Partiel Soins de Suite et Réadaptation Affections cardio-vasculaires
Plus en détailBien vieillir à domicile : accompagner les seniors
Bien vieillir à domicile : accompagner les seniors Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays. Afin d élaborer des
Plus en détailMots clés : ACTION SOCIALE / AIDES INDIVIDUELLES/AIDE AUX RETRAITES EN SITUATION DE RUPTURE
CAISSE NATIONALE D ASSURANCE VIEILLESSE 75951 PARIS cedex 19 Tél. 08 21 10 75 00 (0,09 euro/mn) Direction nationale de l action sociale Dossier suivi par : Julie Feroldi Document consultable dans la base
Plus en détailNEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF
NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF ASSOCIATION LOI 1901 CONVENTION CONSTITUTIVE SOMMAIRE ARTICLE 1 OBJET DU RESEAU ET OBJECTIFS POURSUIVIS ARTICLE 2 AIRE GEOGRAPHIQUE DU RESEAU ET POPULATION CONCERNEE ARTICLE
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR POUR GUIDER NOS INTERLOCUTEURS DANS LE DOMAINE DE LA SANTE
CE QU IL FAUT SAVOIR POUR GUIDER NOS INTERLOCUTEURS DANS LE DOMAINE DE LA SANTE SE SOIGNER A MOINDRE FRAIS... 2 La CMU de BASE... 3 LA CMU COMPLEMENTAIRE... 5 L ACS... 7 TABLEAU... 8 L'AME... 9 LE CMP...
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détailProyecto Telemedicina
Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional
Plus en détaildans la Loire... I ACCUEILS DE JOUR
DES PROFESSIONNELS DU CONSEIL GÉNÉRAL DE LA LOIRE proches de chez vous Roanne 31-33 rue Alexandre Raffin 42300 Roanne Autonomie 53 rue de la République 42600 Montbrison 23 rue d'arcole 42000 Montbrison
Plus en détailMALAKOFF MÉDÉRIC ASSISTANCE
Votre assistance santé à domicile MALAKOFF MÉDÉRIC ASSISTANCE Avec Malakoff Médéric Prévoyance et MUT2M, bénéficiez de nouveaux services gratuits 24h/24 et 7j/7 grâce à votre n d identification 753734
Plus en détailIntérêts de l outil PAACO
12 février 2014 Colloque TIC Santé Intérêts de l outil PAACO Association «Gaves et Bidouze» - Plateforme de coordination CLIC, Réseau Gérontologique, MAIA L outil PAACO Objectifs : pourquoi cet outil dans
Plus en détail9 Référentiel de missions de l agence du service civique
BINOME 21 PROJET ASSOCIATIF 2011-2013 Pour une solidarité intergénérationnelle Erard Marie-Françoise Sommaire 1 Objectifs 2 Chartes 3 Fonctionnement de l association 4 Etude préalable 5 Projet actuel 6
Plus en détailRéférences. Conditions d admission (en plus des conditions générales d admission à l aide sociale) :
C14 Allocation compensatrice tierce personne (ACTP) Depuis la mise en œuvre au 01/01/2006 de la loi du 11 février 2005 instaurant la Prestation de Compensation du Handicap (PCH) remplaçant l Allocation
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE NOUVELLES GARANTIES PRÉVOYANCE
DOSSIER DE PRESSE NOUVELLES GARANTIES PRÉVOYANCE Protection ACCIDENT Protection HOSPI Capital ÉQUIPEMENT HANDICAP / DÉPENDANCE Contact presse : Stéphanie ARREGROS Responsable Communication Tél. : 01 64
Plus en détailL intervention de la Mutualité sur l abonnement à un système de biotélévigilance s élève à 7.50 par mois.
Organisation Organisatie Mutualité Socialistes de Mons Wallonie Picarde 315 Rue du Fort 48 7800 ATH Tél. : (068) 84 84 84 Fax : (068) 84 88 48 Acupuncture Avantages Voordelen Activité sportive Assistance
Plus en détaildu Maintien à Domicile
AINE NATIONALE INTIEN À DOMICILE ENIORS VEMBRE 2012 Bien vieillir chez soi Guide du financement du Maintien à Domicile Semaine nationale réalisée sous le haut patronage de la Ministre déléguée auprès de
Plus en détail1. Procédure d admission
Direction générale de l action sociale SD2/SD3 Document de travail MESURE 18 : HEBERGEMENT DES MALADES JEUNES ADMISSION D UNE PERSONNE AGEE DE MOINS DE 60 ANS DANS UN ETABLISSEMENT POUR PERSONNES HANDICAPEES
Plus en détailBilan de la démarche. de certification V 2010. Haute-Normandie
Bilan de la démarche de certification V 2010 Haute-Normandie Juin 2013 La certification V 2010 en Haute Normandie Bilan au 1 er juin 2013 Etat d avancement de la démarche Au 1 er juin 2013, 69 établissements
Plus en détailEducation Thérapeutique (ETP)
Education Thérapeutique (ETP) Enfant diabétique type I Marie Caron Infirmière puéricultrice référente en éducation thérapeutique Maryse Tamburro Cadre puéricultrice Centre initiateur de pompes à insuline
Plus en détailTarifs des prestations
Tarifs des prestations 2015 Institution de maintien, d aide et de soins à domicile Chère Madame, cher Monsieur, Chère cliente, cher client, Vous avez entre les mains notre nouvelle brochure tarifs pour
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailAméliorer la coordination des soins : comment faire évoluer les réseaux de santé?
Guide méthodologique Améliorer la coordination des soins : comment faire évoluer les réseaux de santé? Octobre 2012 Direction générale de l offre de soins Sommaire Synthèse... 2 Introduction... 3 Partie
Plus en détailDiplômes d'université
La Formation Continue Officinale à la Faculté de Pharmacie d Angers 2014/2015 Diplômes d'université Actualisation Officinale Homéopathie Hospitalisation et Maintien à Domicile Orthèses et Petit Appareillage
Plus en détailLE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1
LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»
Plus en détailCritères de qualité de l annonce du diagnostic : point de vue des malades et de la Ligue nationale contre le cancer
CANCERS : LES DÉFIS «QUALITÉ» 67 Critères de qualité de l annonce du diagnostic : point de vue des malades et de la Ligue nationale contre le cancer F. Bettevy, C. Dufranc, G. Hofmann Ligue nationale contre
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE
PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE POSITION DU CONSEIL NATIONAL DE L ORDRE DES INFIRMIERS Décembre 2013 POSITION DE L ORDRE NATIONAL DES INFIRMIERS «PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE» Le Président de la
Plus en détailJe m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale
Je m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale Ma mutuelle paye un montant fixe chaque mois à ma maison médicale LE FORFAIT est un contrat entre patient, maison médicale et
Plus en détailDouleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au
Douleur et gestion de la douleur Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au French - Pain Management Department of Health and Ageing Financé par le gouvernement
Plus en détailAnne DELCHER Pôle Médecine et Gériatrique de Saint-Nazaire SGOC La Rochelle 7-8 juin 2013
Anne DELCHER Pôle Médecine et Gériatrique de Saint-Nazaire SGOC La Rochelle 7-8 juin 2013 Hôpital de Saint-Nazaire Pôle de médecine polyvalente et gériatrique avec filière complète EHPAD et USLD: 214 résidents
Plus en détaillivret d accueil Frais de santé
www.verspieren.com livret d accueil Frais de santé Santé Prévoyance Ce document n a pas de valeur contractuelle. Télétransmission, tiers-payant, décompte frais de santé un langage parfois compliqué pour
Plus en détailLA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN
LA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN définition Démarche de soins = processus de soins Processus intellectuel, Mode de pensée logique et rigoureux, Résolution de problème
Plus en détailQuelles attitudes en fin de vie? Acharnement? Euthanasie? Soins palliatifs?
Quelles attitudes en fin de vie? Acharnement? Euthanasie? Soins palliatifs? Dr Christophe TRIVALLE Service de Gérontologie et Soins Palliatifs Hôpital Paul Brousse «Nombre de débats actuels initiés par
Plus en détailACSI. Association Centre de santé Infirmier. 53 rue de la marine 29760 Penmarc h : 02.98.58.60.18 :02.98.58.71.17. cdspen29@wanadoo.
ACSI Association Centre de santé Infirmier Penmarc h Plomeur Le Guilvinec Tréffiagat-Léchiagat 53 rue de la marine 29760 Penmarc h : 02.98.58.60.18 :02.98.58.71.17 cdspen29@wanadoo.fr SOMMAIRE Introduction
Plus en détailATELIER 2: Les «bénéfices psychologiques» de l ETP: psychothérapie, thérapie cognitivocomportementale. quels équilibres?
12èmes Journées Régionales d échanges en Education du Patient EDUCATION DU PATIENT : «Entre bénéfices possibles et attendus.vers de nouveaux équilibres» jeudi 29 et vendredi 30 novembre 2012 ATELIER 2:
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailDroits des malades en fin de vie. Connaître la loi Leonetti et l appliquer
Droits des malades en fin de vie Connaître la loi Leonetti et l appliquer Lorsque la médecine trouve ses limites et que la personne, avec ses proches, se situe dans la perspective d une échéance annoncée,
Plus en détail«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»
DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailLa prestation de compensation du handicap (PCH)
La prestation de compensation du handicap (PCH) Maison départementale des personnes handicapées de l Essonne Édito La loi du 11 février 2005 pour l égalité des droits et des chances, la participation et
Plus en détailRECOMMANDATIONS DE BONNES PRATIQUES PROFESSIONNELLES
RECOMMANDATIONS DE BONNES PRATIQUES PROFESSIONNELLES PERSONNES HANDICAPÉES PERSONNES ÂGÉES Le soutien des aidants non professionnels Une recommandation à destination des professionnels du secteur social
Plus en détailProgramme de développement. Comité plénier du 10 janvier 2012
Programme de développement des soins palliatifs (2008-2012) Comité plénier du 10 janvier 2012 Axe 1: Poursuivre le développement de l offre hospitalière et favoriser l essor des dispositifs extrahospitaliers
Plus en détailLe dispositif d annonce. Information destinée aux patients atteints de cancer. édition actualisée Octobre 2009
Le dispositif d annonce Information destinée aux patients atteints de cancer G R A N D P U B L I C 2 édition actualisée Octobre 2009 Sommaire Introduction 1 Le dispositif d annonce 2 Le temps médical L
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile
, le programme de retour à domicile Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer le suivi post hospitalisation Optimiser le retour à domicile et
Plus en détailMa Santé Ma Prévoyance. Avec le Crédit Mutuel, vous avez l assurance d être bien protégé.
Ma Santé Ma Prévoyance Avec le Crédit Mutuel, vous avez l assurance d être bien protégé. Avec le Crédit Mutuel, vous avez l assurance d être bien protégé. Aujourd hui, pour vivre l esprit tranquille, il
Plus en détail