L emploi salarié dans les CUMA en 2011

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1 Direction des Etudes, des Répertoires et des Statistiques ETUDE octobre 2013 L emploi salarié dans les CUMA en 2011 Données nationales

2 Octobre 2013 L emploi salarié dans les CUMA en 2011 Données nationales DIRECTION DES ETUDES, DES REPERTOIRES ET DES STATISTIQUES Directeur de la publication : Alain PELC pelc.alain@ccmsa.msa.fr Département "Cotisations" Marc Parmentier parmentier.marc@ccmsa.msa.fr Étude réalisée par : Lee Kael MURAIL murail.lee-kael@ccmsa.msa.fr

3 SOMMAIRE LISTE DES CARTES, TABLEAUX ET GRAPHIQUES...4 LISTE DES CARTES...4 LISTE DES TABLEAUX...4 LISTE DES GRAPHIQUES...5 RESUME...6 INTRODUCTION...7 SOURCES ET DEFINITIONS...7 METHODOLOGIE...8 CHAMP DE L ETUDE...8 I - LES ETABLISSEMENTS EMPLOYEURS DE MAIN D OEUVRE Les CUMA employeuses de main d œuvre sont au nombre de Les établissements sont de petite taille et recourent à un fort volume d emploi permanent...9 II - L EVOLUTION DE 2002 A Le nombre de CUMA employeuses de main d œuvre est en net recul depuis Depuis 2002, l emploi salarié en CUMA est en recul, malgré la stabilité de l emploi en CDI...11 III LA NATURE DES EMPLOIS La saisonnalité de l emploi est marquée de juillet à septembre Le paradoxe des CUMA : l emploi permanent est-il en hausse ou en baisse? Les natures d emploi conditionnent les niveaux de salaire Les CUMA ont une structure de salaires complètement atypique en production agricole En CUMA, les emplois sont plus longs que dans le reste de la production agricole...18 IV - LES SALARIÉS DE CUMA Très peu de femmes sont employées en CUMA...19

4 2 - La structure d âge des salariés de CUMA est peu différente de celle de l ensemble de la production agricole...19 V LA DIMENSION RÉGIONALE Les emplois CUMA sont concentrés dans trois régions Cinq profils régionaux se dégagent...21

5 LISTE DES CARTES, TABLEAUX ET GRAPHIQUES LISTE DES CARTES Carte 1 : Nombre d ETP par région en LISTE DES TABLEAUX Tableau 1 Tableau 2 : Comparaison des principaux indicateurs d emploi en CUMA avec ceux des Services à l agriculture et ceux de la Production agricole... 9 : Comparaison des indicateurs d emploi en CUMA avec ceux des ETA, Groupements d employeurs et le secteur de la production agricole en Tableau 3 : Nombre d ETP par établissement entre 2002 et Tableau 4 : Evolution des ETP en CDI et des emplois en cours au 31/12 entre 2002 et Tableau 5 : Caractéristiques comparées des contrats de travail dans les CUMA

6 LISTE DES GRAPHIQUES Graphique 1 Graphique 2 Graphique 3 Graphique 4 Graphique 5 : Evolution du nombre de CUMA employeuses de main d œuvre entre 2002 et : Comparaison des évolutions du nombre de CUMA, du nombre d employeurs de la production, du total des entreprises agricoles, et des chefs NSA (indice base 100 en 2002)...11 : Evolution de l emploi en CUMA mesuré en nombre d équivalents temps plein entre 2002 et : Evolution comparée de l emploi mesuré en nombre d équivalents temps plein en CUMA et en production agricole, entre 2002 et 2011 (indices base 100 en 2002)...12 : Comparaison Saisonnalité comparée des nouveaux emplois entre 2009, 2010 et Graphique 6 : Nombre de nouveaux contrats en Graphique 7 : Nombre de nouveaux contrats en Graphique 8 : Nombre de nouveaux contrats en Graphique 9 : Répartition des salaries ETP de CUMA en fonction de la nature de l emploi en Graphique 10 : Répartition des salariés ETP en fonction du leur niveau de salaire horaire découpé par tranche de Smic en Graphique 11 : Répartition des salariés ETP en fonction du nombre de jours travaillés en Graphique 12 : Répartition des salaries en fonction de l age en Graphique 13 : Répartition des ETP par région en Graphique 14 : Profils de l emploi en CUMA dans les région

7 Résumé Les coopératives d'utilisation de matériel agricole (Cuma) sont des sociétés coopératives agricoles, ayant comme fonction de mettre à la disposition de leurs sociétaires les salariés et les moyens matériels agricoles nécessaires à la mise en valeur et au développement de leur exploitation. Des établissements employeurs de petite taille qui recourent à un fort volume d emploi permanent En 2011, les Cuma employeuses de main d œuvre sont au nombre de 1 600, et emploient salariés équivalents temps plein (ETP). Ce sont des établissements de petite taille, 1,3 ETP en moyenne, qui recourent à une forte proportion d emplois en CDI (81 % des ETP). Le nombre de Cuma employeuses de main d œuvre, ainsi que le volume d emploi sont en net recul depuis 2002 Depuis 2002, le nombre d établissements employeurs l emploi au sein des Cuma est en recul de 1 % par an en moyenne, la perte d emploi concernant essentiellement les contrats à durée déterminée (CDD), - 4,8 % en moyenne annuelle, alors que l emploi en CDI est quasiment stable. Les emplois en Cuma ont des caractéristiques très spécifiques par rapport aux autres entreprises de la production agricole L emploi en Cuma est marqué par une saisonnalité des embauches, correspondant à celle observée dans le reste de la production agricole. Par contre ces emplois en Cuma sont de beaucoup plus longue durée. La saisonnalité affecte les emplois en CDD, comme les emplois en CDI. Les emplois au sein des Cuma ont des rémunérations plus élevées que la moyenne de la production agricole, du fait d un poids important des cadres, des emplois en CDI et d une forte qualification des salariés. Si l emploi féminin est peu développé en Cuma, la structure d âge du salariat ne présente pas de grande différence avec celle de l ensemble de la production agricole. L emploi est très concentré sur trois régions L emploi des trois régions suivantes, Aquitaine, Pays de la Loire et Bretagne représente 60 % de l emploi total des Cuma, mesuré en ETP. 6

8 Introduction Les coopératives d'utilisation de matériel agricole (Cuma) sont des sociétés coopératives agricoles, ayant comme fonction de mettre à la disposition de leurs sociétaires, les salariés et les moyens matériels agricoles nécessaires à la mise en valeur et au développement de leur exploitation. Les Cuma recensées en 2011 par la Fédération Nationale des Cuma, sont au nombre de Un effectif d entreprises qui paraît peu élevé en soit, mais qui prend tout son relief lorsqu on l on prend en compte le nombre d agriculteurs sociétaires de ces Cuma : Ces sociétaires représentent 46 % du total des chefs d exploitations agricoles assujettis au régime agricole (non compris les solidaires). Il s agit donc d un maillon fort de la sphère économique de la production agricole. Les Cuma les plus importantes sont employeuses de main d oeuvre, et c est à ce titre qu elles sont connues de la Mutualité Sociale Agricole. Cette étude est consacrée à l analyse de l emploi salarié des Cuma, emploi qui possède des caractéristiques originales dans l emploi salarié en production agricole. Sources et définitions Les données relatives aux Cuma sont issues des fichiers des contrats de travail des années 2002 à 2011, ainsi que des tableaux de bord de l emploi en Cuma qui en sont issus. Champ : France métropolitaine Valeur du Smic (Salaire minimum interprofessionnel de croissance) horaire au 1er janvier 2011 : 9,00 euros. La dispersion représente la variabilité ou l'étendue des différentes valeurs que peut prendre une variable. La médiane d'un ensemble est la valeur m telle que le nombre de valeurs de l'ensemble supérieures ou égales à m est égal au nombre de valeurs inférieures ou égales à m. Intuitivement, on peut dire que la médiane est le point milieu de l ensemble qu'elle divise en deux moitiés. En statistique descriptive, un quartile est chacune des 3 valeurs qui divisent les données triées en 4 parts égales, de sorte que chaque partie représente 1/4 de l'échantillon de population : 1er quartile = 25 %, 2ème quartile ou médiane = 50 %, 3ème quartile = 75 %. Un décile est chacune des 9 valeurs qui divisent les données triées en 10 parts égales, de sorte que chaque partie représente 1/10 de l échantillon : 1er décile = 10 %. 7

9 Méthodologie Méthodes statistiques Toutes les différences de moyenne et de fréquence lors des comparaisons des caractéristiques de deux populations (hommes et femmes) ont été testées. Cas du test de significativité des différences de moyennes : utilisation du test de Student. Cas du test de significativité des différences entre 2 fréquences : utilisation du test de Khi -2. L analyse en composantes principales L'Analyse en Composantes Principales (ACP) va permettre d'évaluer la ressemblance entre les individus d'une population donnée ; elle va aussi permettre d'étudier la liaison entre les valeurs de variables prises par ces individus. Applicable uniquement sur des variables quantitatives, l'acp est une méthode d'analyse des données visant à réduire les dimensions de l'espace dans lequel les individus étudiés sont représentés. Son atout majeur réside dans sa représentation graphique. Champ de l étude Cette étude est consacrée aux Coopératives d utilisation de matériel agricole (Cuma), employeuses de main d œuvre salariée, de la France métropolitaine. Les données analysées concernent principalement l année 2011, ainsi que la période , pour la partie analyse chronologique. 8

10 I - LES ETABLISSEMENTS EMPLOYEURS DE MAIN D OEUVRE 1 - Les CUMA employeuses de main d œuvre sont au nombre de En 2011, les coopératives d utilisation de machines agricoles (Cuma) sont au nombre de , pour adhérents (source : enquête 2011 de la FNCUMA). Toutes les Cuma ne sont pas employeuses de main d œuvre salariée. Sont recensées en 2011, Cuma employeuses de main d œuvre, soit 13 % des Cuma. Elles emploient salariés, ayant accompli contrats de travail dans l année (tableau 1). Mesuré en «équivalents temps plein» (ETP), le nombre d emplois en Cuma s élève à Les Cuma ne représentent qu un faible volume de l emploi salarié dans le secteur agricole. Mesuré en ETP, l emploi en Cuma représente 0,7 % de l emploi salarié du secteur de la production agricole, et 5 % de l emploi de l ensemble des entreprises de service technique aux agriculteurs : CUMA-ETA- Groupements d employeurs (tableau 1). Tableau 1 COMPARAISON DES PRINCIPAUX INDICATEURS D EMPLOI EN CUMA AVEC CEUX DES SERVICES A L AGRICULTURE ET CEUX DE LA PRODUCTION AGRICOLE EN 2011 Indicateurs d'emploi CUMA Part des CUMA dans L'ensemble CUMA-ETA- Groupements employeurs La production agricole Nombre d'établissements employeurs ,8% 1,0% Nombre de contrats de travail actifs dans ,3% 0,4% l'année Nombre d'équivalents temps plein ,0% 0,7% nombre d'emplois en cours en fin d'année ,4% 0,7% Masse salariale (milliers euros) ,9% 0,8% 2 - Les établissements sont de petite taille et recourent à un fort volume d emploi permanent Source : MSA Les Cuma sont des établissements de petite taille comparée aux autres entreprises de service technique à l agriculture, les Entreprises de travaux agricoles (ETA) et les groupements d employeurs (GE) (tableau 2). Leur dimension moyenne de 1,3 ETP, est moitié moindre de celle des ETA et le quart de celle des GE. Autre caractéristique forte des Cuma : l emploi en contrats à durée indéterminée (CDI) y est particulièrement développé. Sur les contrats en cours dans l année 2011, 44 % sont des CDI, qui représentent 81 % du nombre d heures de travail rémunérées en Cuma (tableau 2). L emploi en CDI est particulièrement important dans les Cuma, en comparaison avec les autres entreprises du secteur de la production agricole, dans lequel en moyenne l emploi en CDI représente 17 % des contrats de travail et 60 % du nombre d heures de travail (tableau 2). Dans les ETA et les GE, les proportions d emploi en CDI sont très comparables à celles observées dans l ensemble du secteur de la production. Le fait que les Cuma soient exclues des dispositifs d aide au travail saisonnier (exonérations travailleurs occasionnels et demandeurs d emploi) limite le recours à l embauche de travailleurs saisonniers, et donc le poids de l emploi en CDD. 9

11 Tableau 2 COMPARAISON DES INDICATEURS D EMPLOI EN CUMA AVEC CEUX DES ETA, GROUPEMENTS D EMPLOYEURS ET LE SECTEUR DE LA PRODUCTION AGRICOLE EN 2011 Ensemble de la Groupements production Indicateurs d'emploi CUMA ETA d'employeurs agricole Taille moyenne des établissements (ETP) 1,3 2,9 5,3 2,0 Proportion du nombre de contrats en CDI 44% 22% 20% 17% Proportion du nombre d'heures en CDI 81% 62% 0% 57% Proportion d'embauche dans le total des CDI 11% 18% 18% 16% Source MSA II - L EVOLUTION DE 2002 A Le nombre de CUMA employeuses de main d œuvre est en net recul depuis 2002 Entre 2002 et 2011 le nombre d établissements employeurs diminue au rythme moyen de - 2,6 % par an. La période présente une rupture ponctuelle de tendance (graphique 1). Graphique 1 EVOLUTION DU NOMBRE DE CUMA EMPLOYEUSES DE MAIN D ŒUVRE ENTRE 2002 ET Nombre d'établissements Source : MSA La décroissance du nombre de Cuma employeuses de main d oeuvre est dans la logique du recul des autres indicateurs de dénombrement d entreprises du secteur de la production agricole. Elle est légèrement plus forte que la décroissance du nombre total d exploitations ou d entreprises agricoles, ainsi que celle du nombre de chefs non salariés agricoles. La décroissance du nombre total d employeurs de la production est significativement moins forte que celle des Cuma (graphique 2). 10

12 Graphique 2 COMPARAISON DES EVOLUTIONS DU NOMBRE DE CUMA, DU NOMBRE D EMPLOYEURS DE LA PRODUCTION, DU TOTAL DES ENTREPRISES AGRICOLES, ET DES CHEFS NSA I(NDICE BASE 100 EN 2002) CUMA établissements employeurs de la production agricole Nombre d'entreprises agricoles avec chef NSA Nombre de chefs d'exploitation ou d'entreprise Source MSA La taille moyenne des Cuma mesurée en ETP par établissement augmente sensiblement à partir de 2008, après être restée stable entre 2002 et Cette récente concentration des emplois compense la baisse du nombre de Cuma employeuses de main d œuvre, et permet un recul beaucoup plus modéré de l emploi. TABLEAU 3 NOMBRE D ETP PAR ETABLISSEMENT ENTRE 2002 ET 2011 années établissements ETP ETP par Etablissement 1,21 1,19 1,19 1,20 1,20 1,21 1,24 1,31 1,35 1,34 Source : MSA 2 - Depuis 2002, l emploi salarié en CUMA est en recul, malgré la stabilité de l emploi en CDI Le volume d emploi salarié en Cuma, mesuré en équivalent temps (ETP) est en recul depuis 2002 : - 1,5 % en moyenne annuelle. La décroissance est plus faible que celle du nombre d employeurs. La composante de l emploi porteuse de cette baisse est la part de l emploi en contrat à durée déterminée (CDD) : - 4,8 % en moyenne annuelle. L emploi des contrats à durée indéterminée (CDI) est en quasi-stabilité : - 0,3 % en moyenne annuelle. Entre 2006 et 2008, la tendance décroissante a été ponctuellement inversée, avec deux hausses successives d emploi en CDD, comme en CDI. Depuis 2008, si le volume d emploi en CDI est en très légère croissance, le volume d emploi en CDD a lui repris son évolution négative (graphique 3). La part de l emploi, mesuré en ETP, effectuée en CDI s est accrue, passant de 74 % en 2002, à 81 % en

13 Graphique 3 EVOLUTION DE L EMPLOI EN CUMA MESURE EN NOMBRE D EQUIVALENTS TEMPS PLEIN ENTRE 2002 ET Nombre d'etp Nombre total d'etp Nombre d'etp en CDI Nombre d'etp en CDD Le recul de l emploi salarié en Cuma, mesuré en ETP, est plus marqué que celui observé dans l ensemble de la production agricole (graphique 4). Source : MSA Graphique 4 EVOLUTION COMPAREE DE L EMPLOI MESURE EN NOMBRE D EQUIVALENTS TEMPS PLEIN EN CUMA ET EN PRODUCTION AGRICOLE, ENTRE 2002 ET 2011 (INDICES BASE 100 EN 2002) Nombre d'etp en CUMA ETP production Source : MSA 12

14 III LA NATURE DES EMPLOIS 1 - La saisonnalité de l emploi est marquée de juillet à septembre Le nombre de nouveaux embauchés en Cuma est très faible dans la période couvrant de novembre à mars : inférieur à 100 chaque mois En revanche, d avril à octobre le niveau d embauche est plus élevé, de 200 et plus chaque mois, reflétant une saisonnalité marquée de l emploi (graphique 5). En 2009 et 2010, deux pics d embauches en juillet et en septembre coexistaient. En 2011, ces embauches saisonnières sont plus lissées sur les quatre mois allant de juin à septembre que les deux années précédentes. La canicule intervenue au printemps 2011 a occasionné une avancée dans l année des travaux de récolte, qui a marqué aussi bien les récoltes arboricoles, que les vendanges. Graphique 5 COMPARAISON SAISONNALITE COMPAREE DES NOUVEAUX EMPLOIS ENTRE 2009, 2010 ET nombre de nouveaux contrats Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre Source : MSA 2 - Le paradoxe des CUMA : l emploi permanent est-il en hausse ou en baisse? Dans un type d entreprises marqué par une forte importance de l emploi en CDI, il y a un paradoxe apparent à observer une telle importance de la saisonnalité des embauches. En fait, durant les trois dernières années, il a été observé une saisonnalité des embauches en CDI tout aussi marquée que celle des CDD, et située de plus sur la même période (graphiques 6 à 8). La faiblesse des embauches en CDI à partir de novembre et jusqu à mars, occasionne un non remplacement des départs de l année avant la fin de celle-ci. Le niveau d emploi en Cuma au 31 décembre, considéré généralement comme une bonne mesure du niveau d emploi permanent, est de ce fait bas en fin décembre. Il est de plus en recul depuis 2002, avec une nette accélération de la baisse depuis 2006 (tableau 4). 13

15 Le volume d emploi en CDI, qui est lui aussi un marqueur de l emploi permanent est élevé pour un secteur de la production agricole, et stable sur la période De plus, si l on excepte la période , durant laquelle il y a eu une forte hausse de l emploi, le taux nouveaux emplois en CDI par rapport au total des CDI est en moyenne de 11 %, ce qui indique un faible turn-over sur les emplois permanents. Le possible développement de contrats intermittents en CDI, ou le recours accru au temps partiel en CDI ne constitue pas une explication à ce phénomène, puisque la durée annuelle moyenne des CDI, à taux d embauche équivalent est plutôt stable sur la période La comparaison des dynamiques d emploi infra annuelle entre 2002 et 2011 révèle deux différences majeures. La forte baisse de l emploi en CDD affecte aussi les emplois en CDD en cours en fin d année, ils sont deux fois moins nombreux en 2011 qu en En 2011, il y a eu deux fois plus de cessations d emploi en CDI en octobre-novembre en 2011, qu en TABLEAU 4 EVOLUTION DES ETP EN CDI ET DES EMPLOIS EN COURS AU 31/12 ENTRE 2002 ET 2011 années Nombre d'etp en CDI Nombre d'emploi en cours au 31/ Rapport Nombre d'embauche en CDI/ Nombre de CDI 26% 14% 9% 10% 11% 18% 19% 13% 11% 11% Durée moyenne des CDI (heures rémunérées) Source MSA 14

16 Graphique 6 NOMBRE DE NOUVEAUX CONTRATS EN nombre CDD CDI Source MSA Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre année 600 Graphique 7 NOMBRE DE NOUVEAUX CONTRATS EN 2010 Source MSA CDD CDI nombre Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre mois Graphique 8 NOMBRE DE NOUVEAUX CONTRATS EN 2009 Source MSA nombre CDD CDI Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre mois Source MSA 15

17 3 - Les natures d emploi conditionnent les niveaux de salaire Les emplois de bureau sont en proportion faible (7 %) parmi l ensemble des emplois mesurés en ETP dans les Cuma. Cette proportion est courante dans les établissements employeurs de la production agricole. La particularité propre aux Cuma réside plutôt dans l importance de l emploi technique affecté aux ateliers de réparation des machines agricoles, celui-ci représente 51 % de l emploi total des Cuma (graphique 9). En 2011 le salaire horaire moyen brut* était de 19,4 euros pour les salariés de bureau, 13,5 euros pour les salariés techniques hors ateliers, et de 12,7 euros pour les salariés des ateliers. Dans chacune de ces catégories, les niveaux de salaires horaires moyens sont significativement supérieurs au Smic horaire 2011, qui est de 9 euros. Graphique 9 REPARTITION DES SALARIES ETP DE CUMA EN FONCTION DE LA NATURE DE L EMPLOI EN 2011 Emplois de bureau 7% Emplois en atelier de réparation 51% Emplois techniques hors atelier 42% Source : MSA Les différences de niveaux de salaires des trois types d emplois sont liées aux natures de contrats très différentes occupant les trois catégories d emploi. Le premier critère concerne le poids des CDI dans chacun des types d emplois. En moyenne, le salaire horaire moyen brut des contrats en CDI (14,20 euros) est nettement supérieur a celui des contrats en CDD (10,4 euros), proche du Smic. Le deuxième critère concerne le poids de l encadrement. Le salaire horaire moyen brute des cadres est en moyenne de 26,6 euros, et celui des employés/ouvriers est de 12,7 euros. Dans les bureaux, les cadres sont en proportion très importante et les CDI sont largement dominants dans la répartition du temps de travail (tableau 5). Dans les ateliers de réparation, les cadres sont en proportion inférieure à celle observée pour les autres emplois techniques, et surtout les emplois en CDD y sont en proportion importante. Ce sont ces différentes structures en matière de nature de contrat qui explique les différences de salaires, comme de temps de travail annuel. 16

18 Les cadres ont des niveaux de salaires horaires quasi identiques dans chacune des catégories (24 ou plus) et des temps de travail dans l année très proches d une durée annuelle à temps plein : heures. Il y a donc peu de turn-over annuel dans cette population. Les ouvriers en CDI ont des salaires horaires bruts nettement supérieurs au Smic, en moyenne proches de 13 de l heure. Leur temps de travail annuel est proche de heures. Les employés de bureau en CDI ont des salaires plus proches de 17 de l heure. Ils sont plus souvent employés à temps partiel et n effectuent en moyenne que 900 heures dans l année. Les ouvriers/employés en CDD ont des salaires proches du Smic, le niveau étant un peu plus élevé pour les employés de bureau. Leurs durées de travail sont courtes : 300 heures ou moins en emplois techniques, 450 heures en emploi de bureau * tous avantages confondus (primes, congés payés,...) TABLEAU 5 CARACTERISTIQUES COMPAREES DES CONTRATS DE TRAVAIL DANS LES CUMA EN 2011 Nature des emplois Proportion des contrats Proportion du temps de travail Salaire horaire moyen Durée annuelle moyenne de travail (heures) Age moyen (années) employés CDD 0,6% 0,4% 11, ,6 CDI 4,0% 5,0% 17, ,8 Bureau cadres 0,8% 1,6% 27, ,5 ouvriers CDD 14,8% 6,2% 10, ,5 CDI 17,0% 32,7% 12, ,5 Technique hors atelier cadres 1,6% 3,4% 24, ,7 ouvriers CDD 40,7% 12,5% 10, ,2 CDI 20,0% 37,1% 13, ,6 Atelier cadres 0,5% 1,2% 25, ,6 Ensemble 100,0% 100,0% 13, ,9 Source MSA 4 - Les CUMA ont une structure de salaires complètement atypique en production agricole La forte importance de l emploi en CDI, comme le poids de l encadrement, occasionnent des niveaux de salaires élevés, avec une très faible proportion des salariés mesurés en ETP rémunérés en dessous de 1,1 Smic, une forte proportion rémunérés entre 1,2 et 1,6 Smic et 15 % d entre eux rémunérés à plus de 1,8 Smic (graphique 10). Cette structure salariale est très différente de celle observée dans le secteur de la production agricole en général, dans lequel les salaires inférieurs à 1,2 Smic sont majoritaires. Elle l est aussi de celles des autres entreprises d aide technique aux agriculteurs que sont les ETA et les groupements d employeurs (graphique 10). 17

19 Graphique 10 REPARTITION DES SALARIES ETP EN FONCTION DU LEUR NIVEAU DE SALAIRE HORAIRE DECOUPE PAR TRANCHE DE SMIC EN % 35% 30% 25% CUMA PRODUCTION AGRICOLE GE ETA 20% 15% 10% 5% 0% < = 1SMIC 1 < SMIC < = 1,1 1,1 < SMIC < = 1,2 1,2 < SMIC < = 1,3 1,3 < SMIC < = 1,4 1,4 < SMIC < = 1,5 1,5 < SMIC < = 1,6 1,6 < SMIC < = 1,7 1,7 < SMIC < 1,8 > = 1,8 SMIC Source MSA 5 - En CUMA, les emplois sont plus longs que dans le reste de la production agricole La forte importance de l emploi en CDI, couplée avec un faible turn-over, occasionnent un poids important des salariés mesurés en ETP présents au moins 270 jours dans l année (graphique 11). A contrario, les emplois très courts de 30 jours ou moins sont très minoritaires, traduisant le fait que s il existe des emplois saisonniers dans les Cuma, ce sont des emplois plus longs que ceux des saisonniers traditionnels de la production agricole. Sur ces deux caractéristiques, les Cuma s opposent totalement au reste de la production agricole, et notamment aux autres entreprises de service technique aux agriculteurs que sont les ETA et les groupements d employeurs (graphique 11). Graphique 11 REPARTITION DES SALARIES ETP EN FONCTION DU NOMBRE DE JOURS TRAVAILLES EN % 45% 40% 35% 30% 25% CUMA PRODUCTION AGRICOLE GE ETA 20% 15% 10% 5% 0% 30 jours et moins de 31 à 60 jours de 61 à 90 jours de 91 à 120 jours de 121 à 150 jours de 151 à 180 jours de 181 à 270 jours 271 jours et plus Source MSA 18

20 IV - LES SALARIÉS DE CUMA 1 - Très peu de femmes sont employées en CUMA Les femmes représentent une part très faible de l emploi des Cuma, 7 % des salariés mesurés en ETP. Une proportion voisine est aussi observée dans les ETA, autres entreprises fortement mécanisées. Par contre dans l ensemble de la production agricole, le poids de l emploi féminin est beaucoup plus élevé, 30 % des ETP, une même proportion existant dans les groupements d employeurs. 2 - La structure d âge des salariés de CUMA est peu différente de celle de l ensemble de la production agricole En termes de structure d âge, le salariat des Cuma présente peu de différences avec l ensemble de la production agricole. Le seul point de divergence concerne les très jeunes salariés, de 20 ans et moins, qui sont en proportion plus faible (graphique 12). C est la conséquence de la moindre importance des emplois saisonniers et plus généralement des CDD courts dans les Cuma, ceux-ci étant majoritairement pourvus par des jeunes. Graphique 12 REPARTITION DES SALARIES EN FONCTION DE L AGE EN % 18% 16% CUMA PRODUCTION AGRICOLE GE ETA 14% 12% 10% 8% 6% 4% 2% 0% 20 ans et moins de 21 à 25 ans de 26 à 30 ans de 31 à 35 ans de 36 à 40 ans de 41 à 45 ans de 46 à 50 ans de 51 à 55 ans de 56 à 60 ans de 61 à 65 ans 66 ans et plus Source : MSA V LA DIMENSION RÉGIONALE 1- Les emplois CUMA sont concentrés dans trois régions. L emploi en Cuma mesuré en ETP se trouve majoritairement réparti dans les régions situées sur la façade Atlantique Ouest (Bretagne, Pays-de-la-Loire, Poitou-Charentes, Aquitaine, Midi-Pyrénées) ainsi que Rhône-Alpes (carte 1). 19

21 CARTE 1 NOMBRE D ETP PAR REGION EN 2011 Source : MSA Au-delà de cette vision géographique, l emploi est de fait concentré dans trois régions (graphique 13) : Aquitaine, Pays-de-la-Loire et Bretagne concentrent 60 % de l emploi des Cuma mesuré en ETP. Graphique 13 REPARTITION DES ETP PAR REGION EN 2011 AQUITAINE PAYS DE LA LOIRE BRETAGNE MIDI-PYRENEES RHONE-ALPES POITOU-CHARENTES BASSE-NORMANDIE PICARDIE LIMOUSIN LANGUEDOC-ROUSSILLON NORD PAS-DE-CALAIS CENTRE CHAMPAGNE-ARDENNES HAUTE-NORMANDIE PROV.-ALPES-COTE D'AZUR AUVERGNE BOURGOGNE FRANCHE-COMTE LORRAINE ILE-DE-FRANCE ALSACE CORSE Source MSA

22 2 - Cinq profils régionaux se dégagent Dans les différentes régions les caractéristiques nationales de l emploi en Cuma se retrouvent, mais néanmoins avec des écarts parfois importants (tableaux annexes). La concentration de l emploi importante dans trois régions est un constat majeur. Au-delà de l effet «taille», il est intéressant de regrouper les régions de profils d emplois similaires, en synthétisant l ensemble des indicateurs d emploi pertinents pour décrire l emploi. Pour cela, il a été procédé à une Analyse en composantes principales (ACP) sur les huit indicateurs régionaux suivants : Le volume de travail mesuré en nombre d heures, L importance du salariat permanent mesuré par le poids des CDI dans le total des heures de travail, Le niveau de salaire des CDI, Le niveau de salaire des CDD, La concentration de l emploi mesurée par la taille moyenne en ETP des établissements, La dynamique de court terme mesurée par le rapport des embauches sur les contrats actifs au 31/12, La dynamique de long terme mesurée par l évolution du volume d emploi en ETP de 2002 à 2011, L importance de la concentration mesurée par l évolution du nombre d établissements de 2002 à Deux axes principaux se dégagent, regroupant 50 % de l information utilisée. Le premier axe (27 % de l information) oppose les régions possédant un emploi permanent développé en Cuma, disposant de salaires élevés, mais en recul démographique supérieur à la moyenne, aux régions développant de l emploi en Cuma, mais avec un emploi permanent et des salaires inférieurs à la moyenne. Le deuxième axe (23 % de l information) oppose les régions disposant de Cuma de taille supérieure à la moyenne avec de l emploi en CDI mieux rémunéré que la moyenne et de l emploi en CDD moins rémunéré que la moyenne aux régions avec des situations inverses en matière de rémunération. Cette ACP permet de segmenter les régions en plusieurs groupes homogènes en matière d emploi en Cuma (graphique 14). 1er groupe «Les régions dynamiques dans lesquelles l emploi est plus précaire et plus mobile» L emploi de ces régions est en croissance, avec un emploi plus précaire que la moyenne et moins bien rémunéré. S y ajoute une forte mobilité. Ce groupe comprend les régions : Haute Normandie, Nord-Pas de Calais, Picardie, Lorraine, Midi Pyrénées et Auvergne. 2ème groupe «Les régions en repli dans lesquelles l emploi est plus précaire et plus mobile». L emploi de ces régions est en recul, avec des emplois plus précaires et un fort turn over. Ce groupe comprend les régions : Centre, Basse-Normandie et Champagne-Ardennes. 3ème groupe : «Les régions dans lesquelles l emploi est peu développé, avec une dominante d emploi permanent» L emploi de ces régions est peu développé et en recul, la mobilité y est faible. L emploi permanent en CDI est nettement supérieur à la moyenne. Ce groupe comprend les régions : Franche-Comté, Bourgogne, Alsace, Ile de France et Provence- Alpes-Côte d Azur. 21

23 4ème groupe : «Les régions dans lesquelles l emploi est en net recul, avec des caractéristiques dans la moyenne» L emploi de ces régions est plus développé que la moyenne, mais en forte baisse, le turn over est dans la moyenne. Ce groupe comprend Rhône Alpes et le Languedoc Roussillon. 5ème groupe : «Les régions dans lesquelles l emploi est important, mais en recul» L emploi de ces régions est nettement plus développé que la moyenne, avec des établissements de taille importante et des niveaux de salaires plus élevés que la moyenne en CDI et plus faibles que la moyenne en CDD. Le recul d emploi est dans la moyenne nationale. Ce groupe comprend les régions : Pays-de-la-Loire, Poitou-Charentes, Bretagne et Aquitaine. Deux régions ne sont pas assimilables à un groupe : la Corse dans laquelle il y a très peu d employeurs, et le Limousin qui a un profil proche du groupe 5, mais avec un emploi en croissance et de faibles effectifs. 22

24 Graphique 14 PROFILS DE L EMPLOI DES CUMA DANS LES REGIONS 3 taille établissements élevée Les régions dynamiques dans lesquelles l emploi est plus précaire et plus mobile LIMOUSIN AQUITAINE Les régions dans lesquelles l emploi est important, mais en recul hausse de l'emploi volume important d'emploi Salaires en CDI élevés LORRAINE hausse établ PICARDIE BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE CORSE POITOU-CHARENTES Les régions dans lesquelles l emploi est NORD PAS-DE-CALAIS LANGUEDOC-ROUSSILLON HAUTE-NORMANDIE en net recul, avec des caractéristiques 0 dans la moyenne AUVERGNE RHONE-ALPES Poids important des CDI forte dynamique embauche MIDI-PYRENEES CHAMPAGNE-ARDENNES BASSE-NORMANDIE ILE-DE-FRANCE ALSACE PROV.-ALPES-COTE FRANCHE-COMTE D'AZUR CENTRE salaire horaire en CDD élevé BOURGOGNE Les régions en repli dans lesquelles l emploi est plus précaire et plus mobile Les régions dans lesquelles l emploi est peu développé, avec une dominante d emploi permanent -3 Source MSA 23

25 ANNEXES PRINCIPAUX INDICATEURS PAR REGIONS EN 2011 Départements et régions nombre d'établissements nombre d'heures total nombre de nouveaux contrats masse salariale nombre ETP nombre de contrats au 31 décembre AQUITAINE PAYS DE LA LOIRE BRETAGNE MIDI-PYRENEES RHONE-ALPES POITOU-CHARENTES BASSE-NORMANDIE PICARDIE LIMOUSIN LANGUEDOC-ROUSSILLON NORD PAS-DE-CALAIS CENTRE CHAMPAGNE-ARDENNES HAUTE-NORMANDIE PROV.-ALPES-COTE D'AZUR AUVERGNE BOURGOGNE FRANCHE-COMTE LORRAINE ILE-DE-FRANCE s s ALSACE s s CORSE s s s s FRANCE ENTIERE Source : MSA s : donnée confidentielle en application des règles du secret statistique. PRINCIPAUX INDICATEURS PAR REGIONS EN 2011 (SUITE) Départements et régions pourcentage d heures en CDI salaire horaire en CDI salaire horaire en CDD Taille moyenne des établissements en ETP ILE-DE-FRANCE ,5 CHAMPAGNE-ARDENNES ,1 PICARDIE ,9 HAUTE-NORMANDIE ,1 CENTRE ,7 BASSE-NORMANDIE ,7 BOURGOGNE ,0 NORD PAS-DE-CALAIS ,0 LORRAINE ,8 ALSACE ,6 FRANCHE-COMTE ,8 PAYS DE LA LOIRE ,3 BRETAGNE ,8 POITOU-CHARENTES ,6 AQUITAINE ,1 MIDI-PYRENEES ,7 LIMOUSIN ,2 RHONE-ALPES ,3 AUVERGNE ,4 LANGUEDOC-ROUSSILLON ,1 PROV.-ALPES-COTE D'AZUR ,9 CORSE ,0 FRANCE ENTIERE ,3 Source : MSA 24

26 Sigles cités et définitions : ACP Cuma CDD CDI ETP ETA GE Smic : Analyse en composantes principales : Coopérative d'utilisation de matériel agricole : Contrat à durée déterminée : Contrat à durée indéterminée : Nombre d équivalents temps plein, ce nombre est calculé pour chaque établissement employeur, en divisant le nombre d heures de travail rémunérées par l horaire légal ou conventionnel en vigueur dans l établissement. : Entreprise de travaux agricoles : Groupements d employeurs : Salaire minimum interprofessionnel de croissance Au 1er janvier 2011 le Smic brut était de 9,00 par heure, au 1 er décembre 2011, il était de 9,19 par heure. Production agricole : Activité de production, d élevage, d exploitation du bois. Activités exercées par les entreprises de travaux agricoles, les gardes-chasse, les gardes-pêche et les organismes de remplacement et de travail temporaire. 25

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