Daniel FAYOUX Appligeo. Didier PELLETIER BHD Environnement
|
|
- Germain Métivier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les géosynthétiques dans les ouvrages de protection de l environnement et de génie civil : présentation de cas concrets Daniel FAYOUX Appligeo Didier PELLETIER BHD Environnement Philippe CASSAGNE RENOLIT France Etanchéité des bassins de lagunage et routiers : règles pratiques issues de l expérience 1/54
2 Avantages de la solution géomembrane Haut niveau d étanchéité et donc excellente protection de l environnement Non sensible aux tassements et mouvements du support, contrairement au béton qui se fissure ou dont les joints s ouvrent. Donc bien adapté à des sol médiocres Le coût réel de la solution terrassement + géomembrane est nettement économique par rapport à la solution béton 2/54
3 Principe généraux de conception Le fond des bassins doit en principe être au dessus de l eau Un drainage des liquides et des gaz est généralement disposé sous la géomembrane Une protection adaptée aux conditions d exploitation (maintenance, curage, ) est disposée si nécessaire sur la géomembrane. Lagunages et bassins à boue plantés de roseaux : un drainage et des collectes de gaz sont placés par-dessus la géomembrane 3/54
4 Contraintes liées à l exploitation Extraction des boues : soit à partir de l extérieur par pelle : la largeur des bassins doit être adaptée à la longueur du bras de pelle. (protection éventuelle des talus) Sinon, prévoir rampe d accés et fond circulable 4/54
5 Lagunage naturel Maintenance : curage hydraulique La géomembrane est particulièrement bien adaptée à ce type d ouvrage. Très souvent, l étanchéité des matériaux naturels en place est insuffisante pour éviter une pollution du sol. 5/54
6 St Valérien 6/54
7 St Valérien 7/54
8 LAGUNAGES 8/54
9 PVC 10/10 9/54
10 Lagunage La Bernardière (85) m² PVC 10/10 10/54
11 LAGUNAGE MENARD LA BAROTTIERRE (85) m² PEHD 15/10 11/54
12 Filtres plantés de roseaux à flux horizontaux Réduction des MES nécessaire à l amont (?) Maintenance : Faucardage 12/54
13 Filtres plantés de roseaux à flux horizontaux (détail) 13/54
14 filtres plantés de roseaux à flux verticaux Les boues retenues sont déshydratées et compostées sur place grâce à l action combinée des bactéries et des plantes Une coupe annuelle des roseaux est nécessaire 14/54
15 filtres plantés de roseaux à flux verticaux (suite) Bassins en béton oui géomembrane, suivant conditions géotechniques et économiques 15/54
16 16/54
17 17/54
18 Notre Dame de Boisse, près de Roanne; 600 eh - PEHD 18/54
19 Gironcourt sur Vraine (PEHD) Plantes avant entretien 19/54
20 Gironcourt sur Vraine Plantes après entretien 20/54
21 Lagune de Saint-Ouen Les Parey (88) PVC 21/54
22 Système mixte : lagunage naturel + infiltration percolation 22/54
23 Bassins autoroutiers 23/54
24 24/54
25 Bassin routier : fond et rampe d accès protégés par une couche de béton Remontée du béton sur les talus recommandée sur 0,20 à 0,30 m 25/54
26 Béton en fond de bassin : le placer sur la géomembrane (pas de raccordement membrane sur béton) 26/54
27 Plis nécessaires (dilatation/retrait) 27/54
28 Absence de pente = contre-pente Problème d exploitation Pente nécessaire en fond de bassin vers l exutoire 28/54
29 Raccordement aux ouvrages : un point critique. Ici la membrane est dans le vide dans les angles Points critiques D. Fayoux - Formation ENPC 29/54
30 Mettre les ancrages dans les plans du sol (conception du béton) Ligne d'ancrage de la géomembrane Semelle dans le plan du talus et du fond 30/54
31 Ici, la membrane reste plaquée sur le support 31/54
32 Détail du raccordement 32/54
33 Ordre de grandeur des prix Il s agit des prix demandés par le poseur de géomembranes, basé sur une géomembrane PVC 1 mm ou PEHD 1,5 mm, avec 1 ou 2 géotextile 300 g/m² et dégazage, pour des ouvrages sans complexité particulière. Ces prix sont donnés à titres indicatifs et sont susceptible de variation, en particulier en fonction des conditions du chantier et du cours des matières premières. Ordre de grandeur purement indicatif Surface m² Prix /m² 400 ~ 15 à 17 /m² ~ 8 à 9 /m² ~ 6 à 7 /m² 33/54
34 Marché à lot unique ou avec lot étanchéité séparé? Le lot unique est plus facile à gérer pour le Maître d Œuvre Si l étanchéité ne fait pas partie d un lot séparé, l entreprise générale applique un coefficient (qui est parfois étonnant, parfois 2 et plus). Les lots séparés sont donc rentables pour les collectivités, en particulier pour les grandes surfaces. Calculez vous-même! Les lots séparés permettent aussi d être maître du choix de l étancheur. 34/54
35 Un problème récurent Pour des problèmes de pentes, les lagunages sont souvent placés le plus bas possible, près du point de rejet, voire semi enterré ou enterré. Donc souvent fondé sous la nappe, dans des zones tourbeuses ou marécageuses. D où formation de gaz et de bulles (dauphins, hippopotames, baleines, tennis couverts!) rendant l ouvrage inutilisable De même pour un certain nombre de bassins routiers 35/54
36 Une situation banale et fréquente! Et. On met le bassin à proximité du ruisseau (terrains moins chers) et on l enterre rejet Canalisation ; pente faible Le fond de bassin est sous la nappe Le terrain est marécageux (formation de méthane) Les bulles de gaz montent à la verticale 36/54
37 37/54
38 38/54
39 Ouvrage dans les «bas fonds» (suite) Dans ce cas, un ouvrage en béton ne serait pas une bonne solution non plus, car sauf fondations spéciales très onéreuses, il y aurait désorganisation de l ouvrage et ouverture des joints par suite de tassements, tant général que différentiel Les conceptions possibles pour échapper à cette inéluctable et triste destinée sont les suivantes: 39/54
40 Comment éviter ce destin? Solution 1 Placer le bassin plus en amont, sur un terrain sain et avec la nappe phréatique en dessous du fond de bassin Terrain plus cher Risque de problèmes de raccordement si habitations proches du rejet Bassin plus proche des habitations (risque d odeurs) Canalisation ; Le fond de bassin est au dessus de la nappe Le terrain est sain rejet 40/54
41 Comment éviter ce destin? Solution 2 Placer le bassin au point bas, mais en le surélevant pour que la nappe phréatique soit en dessous du fond de bassin Une station de relevage peut être nécessaire Le gaz s évacue par le remblai drainant non saturé remblai Canalisation ; Le fond de bassin est au dessus de la nappe rejet 41/54
42 Solution 3 (si 1 ou 2 ne sont pas possibles, en particulier bassins routiers) Donner des pentes marquées au fond de bassin (3 à 5 % si possible). Le fond de bassin ne doit présenter aucune contre-pente. Si cela n est pas garanti (en particulier cas de sol mous) prévoir une surcharge sur le fond de bassin en plus de la pente Le résultat n est jamais garanti à 100 % Canalisation (sans changement) Le fond de bassin est sous la nappe, mais avec de fortes pentes Le terrain est marécageux (formation de méthane) rejet Les bulles de gaz montent à la verticale 42/54
43 Fond de bassin en pente, mais avec des contre-pentes locales BULLES (s évacuent si on les pousse au-delà du point haut) 43/54
44 Fond horizontal + 15 à 20 cm de lestage : insuffisant BULLES 44/54
45 Le contrôle de pose Doit faire l objet d un PAQ. Les résultats doivent figurer dans un dossier de récolement. Réception contradictoire du support Vérification des matériaux livrés Recouvrement des géotextiles Contrôle des soudures par mise en pression du canal de contrôle Vérification des points triples (cloche à vide ou autre) Absence de perforation en partie courante Si contrôle insuffisant, risque de problèmes... 45/54
46 Recherche de fuite par prospection électrique par jet d eau (labo PC Nancy) Principe : on impose une différence de potentiel électrique entre le sol sous la géomembrane et un jet d eau projeté sur celle-ci (voir figure n 1 ci-après). La géomembrane, (isolant électrique de résistivité très grande), empêche la création de courants électriques. En cas de perforation ou défaut de soudure, l eau s infiltre par ce défaut et atteint le sol sous la géomembrane, formant un «pont» entre les deux niveaux de potentiel et créant un courant électrique. L opérateur est informé par la déviation de l aiguille d un galvanomètre et par un signal sonore5 46/54
47 Schéma de principe 47/54
48 48/54
49 Les limitations du procédé Toute situation autre qu un défaut permettant le passage du courant de la partie supérieure de la géomembrane à la partie inférieure: Canalisation métallique débouchant à une faible hauteur au dessus du fond Canalisation métallique Passage du courant Membrane sans remontée franche à une extrémité. L eau peut déborder et assurer le contact avec le sol L eau déborde et établit le contact 49/54
50 Recherche de fuite Bassin de décantation, usine agro-alimentaire - PVC 50/54
51 Contrôle à priori (fin de chantier) Provenchères Bassin routier - PEHD 51/54
52 Recherche de fuite sous eau (Appligeo) 52/54
53 Détection électrique sous l eau Principe similaire au système précédent : détection du passage du courant par un trou dans la géomembrane Fonctionne si la géomembrane est recouverte par une couche de matériaux granulaire Ne fonctionne pas si géomembrane recouverte par une couche de béton armé ne fonctionne pas ou mal si canalisation métallique traversante (dans certains cas, possibilité de la recouvrir par une géomembrane) 53/54
54 Pour conclure Un plan qualité bien appliqué, par des poseurs formés et compétents et stimulés par un contrôle initial rigoureux vaut mieux qu une bonne recherche de fuite! Merci de votre attention! 54/54
Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailLES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.
L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailExemple du SATESE MAGE 42
LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux
Plus en détailMISAPOR verre cellulaire
MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch
Plus en détailRèglement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011
Règlement numéro 346 LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT Avril 2011 VOS RESPONSABILITÉS LIÉES AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT DE VOTRE IMMEUBLE Protection
Plus en détailDOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE
DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-F et P4-F 185 (Modèle standard) P2-F et P4-F 170 MODELE P2/4-F 170 P2/4-F 185 (Standard) P2/4-F 195 P2-F et P4-F 195 H 325 340 350 DH 156 171 181
Plus en détail«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE
«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-f & P4-f - 185/180 - Standard P2-f & P4-f - 170/165 - Compact P2-f & P4-f - 200/195 - Confort MODELE H DH P2f-4f - 185/180 - Standard 340 171 P2f-4f - 170/165 - Compact
Plus en détailRENOLIT ALKORPLAN. Instructions de Pose
RENOLIT ALKORPLAN Instructions de Pose Index Introduction... 3 Préparation du Chantier... 4 Chantier... 5 Membranes et accessoires... 6 Outils requis pour l installation de la membrane... 8 Équipements
Plus en détailMon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.
Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal
Plus en détailLes outils de la gestion patrimoniale Le logiciel «Casses»
Les outils de la gestion patrimoniale des réseaux r d eau. d Le logiciel «Casses» Eddy RENAUD Périgueux le 3 septembre 2008 L équipe «Réseaux» du Cemagref CEMAGREF Groupement de Bordeaux Unité «Réseaux,
Plus en détailLogiciel pavages drainants mode d emploi
Logiciel pavages drainants mode d emploi FEBESTRAL a développé, en collaboration avec le Centre de Recherches Routières (CRR), un logiciel de calcul pour pavages drainants. Ce programme vous guide lors
Plus en détailPrincipe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds
Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds CAPENA GmbH - PISCINES - Gruber Strasse 6-85551 KIRCHHEIM Allemagne
Plus en détailPrévenir les dégâts d eau au sous-sol
Prévenir les dégâts d eau au sous-sol Des milliers de réclamations enregistrées chaque année en assurance habitation. Des dommages parfois sérieux, d autres fois moins, mais toujours désolants et, la plupart
Plus en détailVII Escaliers et rampes
VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son
Plus en détailRÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE
RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE Des règles différentes peuvent s appliquer dans le cas d un commerce. Informez-vous
Plus en détailSystèmes de stockage simples à installer et économiques
Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de
Plus en détailSTANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE
, ATTACHES ET RACCORDS DE PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 EMPLACEMENT DES 1.1.1 Les conduits posés devraient être indiqués sur les plans. Ils devraient être installés perpendiculairement aux lignes du bâtiment.
Plus en détailETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE
1 ENSA Paris-Val de Seine Yvon LESCOUARC H ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE Architecte : Norman FOSTER 2 LES BUREAUX EDF A TALENCE Ce bâtiment de bureaux conçu par l'agence de
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailGuide d installation Agrément n 2010-018
Filtres EPURFIX COMPACT COCO PEHD 5 et 7E.H. C.P. (Série «Compact») Guide d installation Agrément n 2010-018 Ce GUIDE D INSTALLATION contient l information nécessaire à la préparation et à la réalisation
Plus en détailGUIDE D INSTALLATION. La première enveloppe pare air et perméable à la vapeur d eau AVANTAGES
GUIDE D INSTALLATION La première enveloppe pare air et perméable à la vapeur d eau AVANTAGES Possède une résistance thermique élevée Réduit la circulation d air à travers les murs Évite la formation d
Plus en détailSéparateurs de graisses
TRAITEMENT EAUX USÉES Séparateurs de graisses Hôtels/restaurants Cantines/self-services Hôpitaux Boulangeries/pâtisseries Boucheries/charcuteries/abattoirs Poissonneries, etc POURQUOI AVOIR CHOISI? 35
Plus en détailMANUEL DE POSE PANNEAU ACIER. Une structure de hauteur 1m10/1m50 DES PRINCIPES BASIQUES (UN COTE PROFOND 1M50)
MANUEL DE POSE PANNEAU ACIER Une structure de hauteur 1m10/1m50 DES PRINCIPES BASIQUES (UN COTE PROFOND 1M50) 2 EXCAVATION Avant le travail d excavation, il est nécessaire de préparer la plate forme du
Plus en détail2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE
«La solution» 2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE SP2-F et SP4-F 295/310 SP2-F et SP4-F 295/310 MODELE H DH SP2/4-F 295 295 163 SP2/4-F 310* 310 163 *Standard Garage avec porte frontale devant parking mécanique
Plus en détailnos solutions ouvrages
Défense de berges, défense côtière rivières, lacs, étangs l teracro p.63 l teranat p.77 Végétalisation Structure géo-alvéolaire : teracro Toiles naturelles teranat rétention végétalisation l rétention
Plus en détailCANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR SOMMAIRE
CAHIER DES CHARGES AFG CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR RSDG 5 15 décembre 2002 SOMMAIRE 1. - REGLES GENERALES 2 1.1. - Objet du cahier des charges 2 1.2.
Plus en détailRETOURS D'EXPERIENCES sur les filières d'assainissement non collectif
RETOURS D'EXPERIENCES sur les filières d'assainissement non collectif DOCUMENT DE TRAVAIL EVOLUTIF mai 2011 - VERSION1 Res'eau ASNC "Réseau Rhône Alpes des acteurs de l'anc" GRAIE Version 1 - février 2011
Plus en détailMuret Laurentien MC. Classique et Versatile
Muret Laurentien MC Classique et Versatile Le muret Laurentien par son look classique s agence à toutes nos gammes de pavé. Qualités et caractéristiques Intégration particulièrement harmonieuse du muret
Plus en détailassociation française du gaz
association française du gaz RECOMMANDATIONS TECHNIQUES POUR LES TRAVAUX A PROXIMITÉ DES OUVRAGES DE DISTRIBUTION DU GAZ Partie 1 : prescriptions générales Article 10 du décret n 91-1147 du 14.10.1991
Plus en détailÉTUDES SUR L EAU N 86 MODALITÉS TECHNIQUES DU CONTRÔLE DES INSTALLATIONS D ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF DES HABITATIONS INDIVIDUELLES
É D I T O R I A L assainissement non collectif concerne les immeubles, et notamment les L maisons d habitation individuelles, non raccordés à un réseau public de collecte des eaux usées. La directive européenne
Plus en détailL évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se
PHYTOREM S.A. L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se Le BAMBOU-ASSAINISSEMENT Le Procédé Sol EFFLUENTS EXPORTATION VERS LA TIGE Chaume ou tige Pollution organique et minérale
Plus en détailBÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL
BÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL A. PRÉSENTATION : BEST ENTREPRISE SARL est une société de droit sénégalais qui intervient dans les Bâtiments/Travaux Publics, le
Plus en détailMEL-ROL md BASSE TEMP Membrane imperméabilise autocollante en rouleaux
MEL-ROL md BASSE TEMP Membrane imperméabilise autocollante en rouleaux FICHE TECHNIQUE 7100-503 DESCRIPTION MEL-ROL BASSE TEMP est une membrane imperméabilisante flexible en rouleau idéale pour les applications
Plus en détailSérie T modèle TES et TER
6-8 rue des Casernes Tél. : 03.84.29.55.55 F 90200 GIROMAGNY Fax : 03.84.29.09.91 E-mail : ultralu@ultralu.com http://www.ultralu.com NOTICE DE MONTAGE ET D UTILISATION ECHAFAUDAGE ROULANT ALUMINIUM Série
Plus en détailMécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols
Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations
Plus en détailCe guide se divise en six chapitres, dont quatre sont dédiés à une catégorie de bâtiment :
INTRODUCTION Constructions de pointe et d usage courant, les escaliers métalliques doivent répondre à d autres exigences, que celle de pouvoir passer d un niveau à un autre. L un des principaux points
Plus en détailSommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...
1 Sommaire INTRODUCTION... 2 1/ Le contexte général de la commune...3 2/ L état des réseaux...3 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...3 4/ Les solutions retenues par la commune...5 CONCLUSION Carte
Plus en détailCommune d Aillevillers et Lyaumont CC du Val de Semouse
Commune d Aillevillers et Lyaumont CC du Val de Semouse Département de la Haute Saône Zonage d assainissement Renaud LADAME Chargé d Affaires Géoprotech Agence Franche Comté Hôtel dentreprises ZA les Charrières
Plus en détailFABRICATION FRANÇAISE ET NORMES PMR
Limiance Dimensions extérieures : 2206 X 1667 mm (habillage extérieur compris, hors prestation hva-concept) Largeur porte : 830 mm Surface utile : 2,95 m² Poids : 920 kg (+/- 5 %) Présentation avec finition
Plus en détailFiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti
.0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des
Plus en détailmurs de soutènement et dalles patio
murs de soutènement et dalles patio solide et esthétique Que ce soit pour votre jardin, votre entrée ou pour un projet de plus grande ampleur, choisir un design Pisa est l assurance d une solution gagnante
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailCHAMBRE DES METIERS ET DE L ARTISANAT DE L ARDECHE 5 Rue de l Isle 07302 TOURNON SUR RHONE
1 CHAMBRE DES METIERS ET DE L ARTISANAT DE L ARDECHE 5 Rue de l Isle 07302 TOURNON SUR RHONE PROJET DE CONSTRUCTION D UN BATIMENT ADMINISTRATIF Avenue Sadi Carnot 07500 GUILHERAND GRANGES DECOMPOSITION
Plus en détailREGARDS KERAPORT. ÉTANCHÉITÉ ET RÉSISTANCE À LA CORROSION.
REGARDS KERAPORT. ÉTANCHÉITÉ ET RÉSISTANCE À LA CORROSION. 2 Vue dans un regard KeraPort DN 1000 STEINZEUG-KERAMO SITES DE PRODUCTION Allemagne : Frechen et Bad Schmiedeberg Belgique : Hasselt EFFECTIF
Plus en détailAugmentation de la portance des pieux existants du Data Center à Pantin Serge Lambert
Augmentation de la portance des pieux existants du Data Center à Pantin Serge Lambert www.keller-france.com Keller Fondations Spéciales 1 Présentation du projet Avenue du Général Leclerc Data Center de
Plus en détailSIEGE D EVACUATION. Manuel d'utilisation
SIEGE D EVACUATION Manuel d'utilisation REHA-TRANS Siège d évacuation Evacuation d'urgence Armoire de rangement Introduction Vous avez choisi d acheter un SIEGE D EVACUATION D'URGENCE. Veuillez lire attentivement
Plus en détailL enfouissement des déchets ultimes
L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)
Plus en détailRÉHABILITATION DE L ÉTANCHÉITÉ D UN BASSIN DE STOCKAGE DE SAUMURE SUR LE SITE DE SIDI-LARBI AU MAROC
RÉHABILITATION DE L ÉTANCHÉITÉ D UN BASSIN DE STOCKAGE DE SAUMURE SUR LE SITE DE SIDI-LARBI AU MAROC REHABILITATION OF THE TIGHTNESS OF A BRINE STORAGE BASIN ON THE SIDI-LARBI SITE IN MOROCCO Jean-Frédéric
Plus en détailRELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.
RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine
NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire
Plus en détailR A P P O R T. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs, Bref historique
Commune de Peseux Conseil communal R A P P O R T du Conseil communal au Conseil général relatif à une demande de crédit de CHF 1'910'000.- pour la rénovation des conduites d'eau, de gaz, d'électricité,
Plus en détailPREFECTURE DE HAUTE-SAVOIE
λ siège Alpes du Nord : P arc Pré Millet 38330 M ONTB ONNO T tél 04 76 52 41 20 fax. 04 76 52 49 09 E m ail = i m s @ i m s r n. c o m agence Alpes du Sud Nice : tél. 04 92 29 11 10 fax. 04 92 29 11 20
Plus en détailConception et construction des ouvrages gaz. Club de la Performance Immobilière
Conception et construction des ouvrages gaz Club de la Performance Immobilière Novembre 2014 RT2012 et arrêté 2 Aout 77 Arrêté du 26 octobre 2010 relatif aux caractéristiques thermiques et aux exigences
Plus en détailPROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F)
PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) LIGNES DIRECTRICES POUR LE PARCOURS À OBSTACLES VERSION 4.1 CANADIENNE-FRANÇAISE Les activités d entraînement et d évaluation du WSP-F 4.1 peuvent se dérouler
Plus en détailNota : le présent procès-verbal sera considéré comme accepté de tous s'il n'est fait aucune objection écrite pour le rendez-vous suivant.
Nota : le présent procès-verbal sera considéré comme accepté de tous s'il n'est fait aucune objection écrite pour le rendez-vous suivant. 2/ 7 I GENERALITES CHANTIER 1. PLANNING PREVISIONNEL POUR le 10
Plus en détailUn leader dans la BARRIÈRE PARE VAPEUR BI-ADHÉSIVE
Un leader dans la technologie auto-adhésive! POLYVAP SA BARRIÈRE PARE VAPEUR BI-ADHÉSIVE feuille d aluminium POLYVAP SA est une membrane bitumineuse préfabriquée et bi-adhésive d excellente qualité. Elle
Plus en détailAccessibilité locaux existants ERP 5ème catégorie
Auto-évaluation(1) Accessibilité locaux existants ERP 5 ème catégorie (Est considéré comme Etablissement Recevant du Public de 5 ème catégorie tout magasin de vente dans lequel l effectif du public admis
Plus en détailAvant d aller à la recherche d un terrain
Choisir un terrain Bien choisir un terrain pour construire une maison solide Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité de la construction.
Plus en détailCommune de la Tène Viabilisation de la zone du casino
Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino RAPPORT TECHNIQUE Evacuation des eaux et alimentation en eau potable Dossier 10N026 Version 001 26 novembre 2010 RWB Holding SA Aménagement du territoire
Plus en détailLes Cheminements piétons
Les Cheminements piétons 2 Les cheminements Le cheminement usuel doit être le plus court possible. Il lie entre eux tous les maillons de la vie sociale. Domicile Services publics Écoles Transports Travail
Plus en détailREGLEMENT D ASSAINISSEMENT PLUVIAL
REGLEMENT D ASSAINISSEMENT PLUVIAL Règlement d assainissement pluvial du Grand Toulouse 1 SOMMAIRE CHAPITRE I - DISPOSITIONS GENERALES...3 ARTICLE 1 - OBJET DU REGLEMENT...3 ARTICLE 2 - DEFINITION DES
Plus en détailAM Terrasses. Fabricant de terrasses bois CATALOGUE TERRASSES M O B I L - H O M E - R E S TA U R A N T S - P I S C I N E - S U R M E S U R E
AM Terrasses Fabricant de terrasses bois CATALOGUE TERRASSES M O B I L - H O M E - R E S TA U R A N T S - P I S C I N E - S U R M E S U R E AM CATALOGUE Terrasses TERRASSES Fabricant de terrasses bois
Plus en détail= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE
PAVÉS EN BETON CONCEPTION APPROPRIÉE + MISE EN OEUVRE PROFESSIONNELLE = RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE 10 règles de base pour une mise en œuvre correcte de revêtements de pavés en béton 1 2 3 4 5 6 7 8
Plus en détailRègles et prescriptions à respecter pour les permis de construire
Collecte et valorisation des déchets dans le pays de Gex Permis de construire Édition 2013 Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire Prévoir la voirie, les équipements et les zones
Plus en détailRECAPITULATIF GENERAL CONCEPTION GENERALE - FIABILITE SECURITE DE FONCTIONNEMENT.
RECAPITULATIF GENERAL CONCEPTION GENERALE - FIABILITE SECURITE DE FONCTIONNEMENT. Le procédé OXYLAG, est un procédé rustique, efficace, spécialement destiné aux zones rurales. Il se distingue par les caractéristiques
Plus en détailMANUEL D INSTALLATION POUR EU-RAMPS
Avertissement : Dans ce manuel d installation, le mot rampe est utilisé pour les modules inclinés et le mot plateforme pour les modules horizontaux. Généralités Commencer l installation par le point culminant
Plus en détailAnnexe K Devis d assurance qualité
Annexe K Devis d assurance qualité 1. Généralités 1.1 Portée des travaux Les travaux décrits dans la présente section comprennent : La fourniture; La livraison; Le déchargement et l entreposage; La certification;
Plus en détailCatalogue produits. - Plates-formes élévatrices & transports publics
Catalogue produits - Plates-formes élévatrices & transports publics 2 P r e s e n tat i o n Imaginez un monde rempli d obstacles. Un monde où vous ne contrôleriez plus les bâtiments, boutiques, restaurants
Plus en détailP. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009
à é Ministère de l'écologie, de l'énergie, du Développement durable et de l'aménagement du territoire P. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009 WWW.developpement-durable.gouv.fr Constitution
Plus en détailOPUR Supercompact W8
APPENDICE B4 Guide de mise en œuvre et d exploitation des micro-stations à boues activées à biomasse en suspension. OPUR Supercompact W5 Numéro d agrément 2009/09/101/b OPUR Supercompact W8 Numéro d agrément
Plus en détailPrésenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF
Efficacité du semis direct à contrer l érosion hydrique en milieu agricole : mise en évidence à l'aide des techniques de radioéléments, de modélisation et de mesures aux champs (MAROC-CANADA) Présenté
Plus en détailNouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT
COMPTE RENDU DE VISITE ECOLE CENTRALE PARIS Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT Introduction Pour la dernière journée de notre voyage d intégration, nous avons été accueillis le vendredi
Plus en détailCommune de Saint-Etienne-de-Crossey (Isère) CAHIER DES PRESCRIPTIONS SPECIALES
Réalisation Assistance Maître d Ouvrage Commune de Saint-Etienne-de-Crossey (Isère) CAHIER DES PRESCRIPTIONS SPECIALES Cahier des prescriptions spéciales accompagnant le zonage des risques Date Avancement
Plus en détailComptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004
Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)
Plus en détailCréation et aménagement a Bar Restaurant Commerce Multiservices
Département des Alpes de Haute Provence Création et aménagement a d un Bar Restaurant Commerce Multiservices A Lurs 04700 Démolition Désamiantage Maçonnerie - Aménagements MAITRE D OVRAGE Commune de Lurs
Plus en détailEmprisonnons la chaleur 7 L isolation des murs
Emprisonnons la chaleur 7 L isolation des murs 7.1 Isolant soufflé 7.2 Rénovation de l intérieur 7.3 Rénovation de l extérieur 7.4 Endroits divers : garages attenants et autres espaces 7.5 Ajouts et nouvelles
Plus en détailFiche Technique pour un bâtiment modulaire à ossature en bois de 54 m²
Fiche Technique pour un bâtiment modulaire à ossature en bois de 54 m² Cahier de charge NON définitif. Adaptations possibles selon l arrivée de nouveaux matériaux bois ou la mise en œuvre de techniques
Plus en détailSAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2
1. CLASSEMENT ET GENERALITES : 1.1. Classement Sont classées dans la 3ème famille les habitations collectives dont le plancher bas du logement le plus haut est situé à 28 mètres au plus au-dessus du sol
Plus en détaildéveloppe pour vous des solutions toujours plus proches de votre besoin.
alliance - développement - valorisation N/Réf : LET.A000.00.SAG.106149 développe pour vous des solutions toujours plus proches de votre besoin. Grâce à son expertise de l industrie nucléaire, le service
Plus en détailRetours d expérience du SATESE 37
Les filières d épuration pour les petites collectivités Retours d expérience du SATESE 37 Syndicat d Assistance Technique pour l Epuration et le Suivi des Eaux d Indre et Loire Domaine d activité papillon
Plus en détailLGV SEA : Un projet pas comme les autres. Par Aurélien NEAU LE MAGAZINE D INFORMATION NUMERO 1 / MAI 2013. Environnement Page 8.
LE MAGAZINE D INFORMATION NUMERO 1 / MAI 2013 LGV SEA : Un projet pas comme les autres Par Aurélien NEAU Environnement Page 8 Emploi Page 5 Travaux Page 10 SOMMAIRE Le magazine d information de la LGV
Plus en détailCOMMERCES. Auto-évaluation accessibilité ERP existants 5 ème catégorie
Auto-évaluation(1) Accessibilité locaux existants ERP 5 ème catégorie (Est considéré comme Etablissement Recevant du Public de 5 ème catégorie tout magasin de vente dans lequel l effectif du public admis
Plus en détailProcap Accessibilité et intégration. Adresses web. www.goswim.ch Accès sans obstacles aux piscines
Adresses web Le Guide des piscines pour personnes avec handicap www.goswim.ch Bureau fédéral de l égalité pour les personnes handicapées BFEH www.edi.admin.ch/ebgb Procap Accessibilité et intégration www.procap.ch
Plus en détailConSolidation de talus en béton
données techniques ConSolidation de talus en béton SolutionS par passion 4 Consolidation de talus en béton 4 Introduction 5 Sols meubles et sols rocheux 5 Types de sols 5 Talus naturels / Glissements
Plus en détailConseil d Architecture, d Urbanisme et d Environnement de la Seine-Maritime. Construire sa maison : les clefs du projet
Conseil d Architecture, d Urbanisme et d Environnement de la Seine-Maritime Construire sa maison : les clefs du projet Conseil d Architecture, d Urbanisme et d Environnement de la Seine-Maritime Construire
Plus en détailLOGIAL - 17 LOGEMENTS - ATHIS MONS S O M M A I R E ------------ 1. NOTICE DE SECURITE INCENDIE... 1 2. NOTICE ACCESSIBILITE HANDICAPES...
MAR Notices S O M M A I R E ------------ 1. NOTICE DE SECURITE INCENDIE... 1 2. NOTICE ACCESSIBILITE HANDICAPES... 6 3. NOTICE EAUX PLUVIALES... 16 4. NOTICE CLASSEMENT ACOUSTIQUE... 21 MAR Notices Page
Plus en détailRESEAUX DE DISTRIBUTION DE GAZ REGLES TECHNIQUES ET ESSAIS SOMMAIRE
CAHIER DES CHARGES AFG RESEAUX DE DISTRIBUTION DE GAZ REGLES TECHNIQUES ET ESSAIS RSDG 1 Rev1 Juillet 2013 SOMMAIRE 1. 2. 3. 4. 5. 6. OBJET DU CAHIER DES CHARGES 4 LES OUVRAGES CONCERNES 5 NORMES DE REFERENCE
Plus en détailSOMMAIRE DES DELIBERATIONS DU COMITE DU 13 SEPTEMBRE 2006
SOMMAIRE DES DELIBERATIONS DU COMITE DU 13 SEPTEMBRE 2006 1- Marché de services pour l entretien courant des cours d eau du Boulonnais (2007-2009)... page 2 2- Etude de définition des aménagements de prévention
Plus en détailProgrammes Prioritaires Nationaux : Fumées de soudage. Y. CAROMEL - Contrôleur de sécurité
Programmes Prioritaires Nationaux : Fumées de soudage Y. CAROMEL - Contrôleur de sécurité Règles essentielles de ventilation appliquées aux activités de soudage Y. CAROMEL - Contrôleur de sécurité Règles
Plus en détailExemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs
Groupe ENCON inc. 500-1400, Blair Place Ottawa (Ontario) K1J 9B8 Téléphone 613-786-2000 Télécopieur 613-786-2001 Sans frais 800-267-6684 www.encon.ca Exemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs
Plus en détailElectrique / eau chaude. Discret. Rideaux d air ventilation seule. Simple - intelligent. Confortable - innovant
PW/PE en applique Electrique / eau chaude Esthétique soignée Commande intégrée ou à distance Barrière thermique de 1 m, 1,5 m et 2 m Confort intérieur ou appoint chauffage Hauteur de montage 2 à 3,5 m
Plus en détailguide lot CVC Points de vigilance à l usage des conducteurs de travaux EG ENTREPRISES GÉNÉRALES DE FRANCE BTP
ENTREPRISES GÉNÉRALES DE FRANCE BTP guide Points de vigilance à l usage des conducteurs de travaux EG lot CVC Avant-propos AVANT-PROPOS CHAUFFAGE... 1 CLIMATISATION... 2 GESTION TECHNIQUE CENTRALISÉE 3
Plus en détailJOURNEES DEPARTEMENTALES D INFORMATION REGION BOURGOGNE NON-CONFORMITES RECURRENTES
JOURNEES DEPARTEMENTALES D INFORMATION REGION BOURGOGNE NON-CONFORMITES RECURRENTES L. R. P. C. d Autun Florian SEMENTA Février / Mars 2007 Résultats statistiques Résultats statistiques CHEMINEMENT ~ Pourquoi
Plus en détailComment bien utiliser votre assurance «Dommages-Ouvrage»
Comment bien utiliser votre assurance «Dommages-Ouvrage» Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité des constructions. Il a été rédigé
Plus en détailRappel des principaux éléments de la réglementation valable pour tous les commerces. Accessibilité des établissements recevant du public
Rappel des principaux éléments de la réglementation valable pour tous les commerces Les handicapés doivent circuler, accéder et utiliser les établissements recevant du public au même titre que chaque citoyen.
Plus en détailGuide de l Accessibilité des ERP
Guide de l Accessibilité des ERP Comment rendre votre établissement accessible aux handicapés et assurer la continuité de votre accueil du public pendant les travaux de mise aux normes. Sommaire 1. Introduction
Plus en détailDocument réalisé par :
Ce document permet de situer le niveau des élèves en fin de module d apprentissage. Il peut être aussi utilisé pendant les séances d apprentissage pour aider à mesurer les acquisitions. Il donne des indications
Plus en détail1 Définition d un ERP et ses obligations. 2 Règles générales applicables aux ERP. 3 Les possibilités de dérogation
SOMMAIRE SOMMAIRE 1 Définition d un ERP et ses obligations 2 Règles générales applicables aux ERP 3 Les possibilités de dérogation Accessibilité aux handicapés : quel handicap? Accessibilité aux handicapés
Plus en détailMontant H.T. Montant T.V.A 20,00% Montant T.T.C.
PARIS LE 15/07/2015 mario.marques356@gmail.com http://www.cifidf.fr/ REF. CHANTIER M. Mme LAGRAA 44 RUE DE MARINES 95750 CHARS M. Mme LAGRAA 42 AV. HENRI BARBUSSE 92700 COLOMBES DEVIS N 05873635 TRAVAUX
Plus en détail