Mostafa Hanoune. Interactions avec le Serveur Oracle

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Mostafa Hanoune. Interactions avec le Serveur Oracle"

Transcription

1 3 Interactions avec le Serveur Oracle

2 Objectifs A la fin de ce chapitre, vous saurez : Ecrire une instruction SELECT en PL/SQL Déclarer le type de données et la taille d une variable PL/SQL dynamiquement Ecrire des instructions LMD en PL/SQL Contrôler les transactions en PL/SQL Déterminer l issue des instructions LMD 3-2 Objectifs Dans ce chapitre, vous allez apprendre à intégrer les instructions standard SQL SELECT, INSERT, UPDATE, et DELETE dans des blocs PL/SQL. Vous apprendrez aussi à contrôler les transactions et à déterminer l issue des instructions SQL de type LMD en PL/SQL. Les Bases PL/SQL 3-2

3 Instructions SQL en PL/SQL Extraire une ligne de la base de grâce à la commande SELECT. Un seul jeu de valeurs peut être retourné. Modifiez des lignes dans la base en utilisant des commandes LMD. Contrôlez une transaction avec les commandes COMMIT, ROLLBACK, ou SAVEPOINT. Déterminez l issue d une commande LMD avec des curseurs implicites. 3-3 Vue d ensemble Lorsque vous avez besoin d extraire ou de modifier des informations de la base de données, vous devez utiliser le SQL. Le PL/SQL permet la manipulation des données, ainsi que le contrôle des transactions avec le SQL. Vous pouvez utiliser des instructions SELECT pour remplir des variables avec des valeurs extraites d un enregistrement d une table. Vos commandes LMD (Langage de Manipulation de Données) peuvent traiter plusieurs enregistrements à la fois. Comparaison des instructions SQL et PL/SQL Un bloc PL/SQL n est pas une unité de transaction. Les COMMIT, SAVEPOINT, et ROLLBACK sont indépendants des blocs, mais vous pouvez utiliser ces commandes dans un bloc. Le PL/SQL ne permet pas le langage de définition des données (LDD), à savoir les instructions comme CREATE TABLE, ALTER TABLE, ou DROP TABLE... Le PL/SQL ne permet pas le langage de contrôle des données (LCD), à savoir les instructions telles que GRANT ou REVOKE. Pour plus d informations sur le package DBMS_SQL, voir Oracle8 Server Application Developer s Guide, Release 8. Note au formateur Vous pouvez mentionner qu avec le module DBMS_SQL, on peut utiliser des instructions LDD et LCD. Les Bases PL/SQL 3-3

4 Instructions SELECT en PL/SQL Mostafa Hanoune Extraire une ligne de la base de données avec SELECT. Syntaxe SELECT select_list INTO {variable_name[, variable_name]... record_name} FROM table WHERE condition; 3-4 Extraire des données en utilisant PL/SQL Utilisez l instruction SELECT pour extraire des données de la base de données. Dans la syntaxe: select_list groupe variable_name record_name table condition est une liste comprenant au moins une colonne, où peuvent figurer des expressions SQL, des fonctions mono-ligne, ou des fonctions de est une variable scalaire qui contiendra la valeur extraite est l enregistrement PL/SQL qui contiendra les valeurs extraites spécifie le nom de la table de la base de données est composée du noms de colonnes, d expressions, de constantes, et d opérateurs de comparaison, ainsi que de variables et constantes PL/SQL Vous pouvez profiter de l étendue de l instruction SELECT sur le Serveur Oracle. Souvenez-vous que les variables hôtes doivent être précédées d un deux points (:). Les Bases PL/SQL 3-4

5 Instructions SELECT en PL/SQL La clause INTO est Obligatoire. Exemple : DECLARE v_deptno v_loc BEGIN SELECT INTO FROM WHERE... END; NUMBER(2); VARCHAR2(15); deptno, loc v_deptno, v_loc dept dname = 'SALES'; Mostafa Hanoune 3-5 Clause INTO La clause INTO est obligatoire, et apparaît entre les clauses SELECT et FROM. Elle est utilisée pour spécifier les noms des variables qui contiendront les valeurs retournées par l ordre SELECT. Vous devez prévoir une variable pour chaque élément ramené, et leur ordre doit correspondre à celui des éléments sélectionnés. On utilise une clause INTO pour remplir des variables PL/SQL ou des variables hôtes. Les Requêtes Doivent RamenerUn et Un Seul Enregistrement Les instructions SELECT dans un bloc PL/SQL respectent la norme ANSI du SQL, selon laquelle les requêtes doivent retourner un enregistrement et un seul. Le retour de plusieurs enregistrements, ou d aucun enregistrement engendre une erreur. Le PL/SQL gère ces erreurs en suscitant des exceptions standards, que vous pouvez intercepter dans la section EXCEPTION du bloc grâce aux exceptions NO_DATA_FOUND et TOO_MANY_ROWS (la gestion des exceptions est traitée dans un chapitre ultérieur). Vous devez utiliser les instructions SELECT si la requête ne ramène qu un seul enregistrement. Note au formateur La clause INTO est obligatoire dans l instruction SELECT en PL/SQL. Cela s oppose au SQL, ou la clause INTO est interdite. Les Bases PL/SQL 3-5

6 Extraire des données en PL/SQL Extraire la date de commande et la date d expédition pour la commande spécifi cifiée. Exemple DECLARE v_orderdate ord.orderdate%type; v_shipdate ord.shipdate%type; BEGIN SELECT orderdate, shipdate INTO v_orderdate, v_shipdate FROM ord WHERE id = 620;... END; Mostafa Hanoune 3-6 Règles générales Suivez ces indications générales pour extraire des données en PL/SQL : Terminez chaque instruction SQL avec un point virgule (;). La clause INTO est obligatoire pour un ordre SELECT dans un bloc PL/SQL. La clause WHERE est optionnelle et peut être utilisée pour spécifier des variables d entrée, des constantes, des valeurs, ou des expressions PL/SQL. Spécifiez le même nombre de variables en sortie dans la clause INTO que le nombre de colonnes ramenées dans la clause SELECT. Assurez-vous que l ordre est exact, et que les types de données sont compatibles. Note au formateur Les variables de sortie sont des variables PL/SQL par lesquelles une valeur est transmise de la base de données vers le bloc PL/SQL. Le type de données de la variable de sortie doit être compatible avec celui de la colonne source, bien que la colonne source puisse être une expression; en particulier, les variables booléennes ne sont pas permises. Les variables d entrée sont des variables PL/SQL par lesquelles une valeur est transmise du bloc PL/SQL vers la base de données. Les Bases PL/SQL 3-6

7 Extraire des données en PL/SQL Retournez la somme des salaires de tous les employés s du service spécifi cifié. Exemple DECLARE v_sum_sal emp.sal%type; v_deptno NUMBER NOT NULL := 10; BEGIN SELECT SUM(sal) -- group function INTO v_sum_sal FROM emp WHERE deptno = v_deptno; END; Mostafa Hanoune 3-7 Règles générales(suite) Pour vous assurez que les types de données des identifiants correspondent à ceux des colonnes, utilisez l attribut %TYPE. Le type de données et le nombre de variables de la clause INTO doivent correspondre à ceux de la liste du SELECT. Utilisez les fonctions de groupe, telles que SUM, dans une instruction SQL pour réaliser des calculs sur un ensemble de lignes d une table. Note : Les fonctions de groupe ne sont pas directement utilisables en PL/SQL. Elles sont utilisées dans des instructions SQL à l intérieur d un bloc PL/SQL. Note au formateur Au tableau, écrivez : v_somme_salaires := SUM(emp.sal); et rayez cette instruction pour souligner le fait qu il faut utiliser des fonctions de groupe dans une instruction SQL. Les Bases PL/SQL 3-7

8 Manipuler des données en PL/SQL Mostafa Hanoune Modifiez le contenu des tables de la base de données à l aide des commandes LMD suivantes : INSERT UPDATE DELETE INSERT UPDATE DELETE 3-8 Manipuler les Données en PL/SQL On manipule les données de la base à l aide de commandes LMD (Manipulation des Données). Vous pouvez utiliser les commandes LMD INSERT, UPDATE, et DELETE sans restriction en PL/SQL. En incluant des instructions COMMIT ou ROLLBACK dans le code PL/SQL vous levez ainsi les verrous posés sur les enregistrements modifiés (ainsi que sur les tables). L instruction INSERT ajoute de nouveaux enregistrements à la table. L instruction UPDATE modifie les enregistrements existants dans la table. L instruction DELETE supprime les enregistrements dans la table. Les Bases PL/SQL 3-8

9 Insérer des données Ajoutez les informations concernant un nouvel employé à la table emp. Exemple BEGIN INSERT INTO emp(empno, ename, job, deptno) VALUES(empno_sequence.NEXTVAL, 'HARDING', 'CLERK', 10); END; 3-9 Insérer des données Utilisez les fonctions SQL telles que USER et SYSDATE. Générez des valeurs de clé primaire en utilisant les séquences de la base de données. Prenez des valeurs dans les blocs PL/SQL. Choisissez des valeurs par défaut pour les colonnes. Remarque : Il n y a aucune ambiguïté possible entre les identifiants et les noms de colonnes dans l instruction INSERT. Tout identifiant de la clause INSERT doit être un nom de colonne de la base de données. Note au formateur Démo : l3insert.sql Objectif : Cet exemple illustre l utilisation de l instruction INSERT dans un bloc anonyme. Vérifiez que le changement a bien lieu dans la table. Entrez SELECT * FROM emp où empno est le numéro d employé saisi. Les Bases PL/SQL 3-9

10 Mettre à jour des données Augmentez le salaire de tous les employés s de la table emp dont la fonction est Analyste. Exemple DECLARE v_sal_increase emp.sal%type := 2000; BEGIN UPDATE emp SET sal = sal + v_sal_increase WHERE job = 'ANALYST'; END; 3-10 Mettre à jour des Données Il peut y avoir une ambiguïté dans la clause SET de l instruction UPDATE car bien que l identifiant à gauche de l opérateur d affectation soit toujours une colonne de la base de données, l identifiant à droite peut être soit une colonne de la base de données soit une variable PL/SQL. Souvenez vous que la clause WHERE est utilisée pour déterminer quels enregistrements sont modifiés. Si aucun enregistrement n est modifié, aucune erreur ne se produit, contrairement à l instruction SELECT en PL/SQL. Remarque : Les affectations de variables PL/SQL utilisent toujours (:=) tandis que les affectations de colonnes SQL utilisent toujours( =). Souvenez vous que si, dans une clause WHERE, le nom de colonne et le nom d identifiant sont les mêmes, alors le Serveur Oracle cherche d abord le nom de la colonne. Note au formateur Démo : l3insert.sql Objectif : Cet exemple illustre l utilisation de l instruction UPDATE dans un bloc anonyme. Vérifiez que le changement a bien lieu dans la table. Entrez SELECT * FROM emp. Les Bases PL/SQL 3-10

11 Supprimer des données Supprimez les enregistrements dont le département est le 10 dans la table emp. Exemple DECLARE v_deptno emp.deptno%type := 10; BEGIN DELETE FROM emp WHERE deptno = v_deptno; END; 3-11 Supprimer des données Supprimez une commande spécifiée. DECLARE v_ordid ord.ordid%type := 605; BEGIN DELETE FROM item WHERE ordid = v_ordid; END; Note au formateur Démo : l3insert.sql Objectif : Cet exemple illustre l utilisation de l instruction DELETE dans un bloc anonyme. Vérifiez que le changement a bien lieu dans la table. Entrez SELECT * FROM emp où deptno est le numéro de département et CLERK' est la fonction. Les Bases PL/SQL 3-11

12 Conventions d appellation Utilisez une convention d appellation pour éviter toute ambiguïté dans la clause WHERE. Les colonnes de la base de données et les identifiants doivent avoir des noms différents. Des erreurs de syntaxe peuvent survenir car PL/SQL cherche d abord dans la base une colonne de la table Les Bases PL/SQL 3-12

13 Conventions d appellation DECLARE orderdate ord.orderdate%type; shipdate ord.shipdate%type; ordid ord.ordid%type := 601; BEGIN SELECT orderdate, shipdate INTO orderdate, shipdate FROM ord WHERE ordid = ordid; END; SQL> / DECLARE * ERROR at line 1: ORA-01422: exact fetch returns more than requested number of rows ORA-06512: at line Conventions d Appellation Évitez toute ambiguïté dans la clause WHERE en optant pour une convention d appellation qui distingue les noms de colonnes de la base de données des noms de variables PL/SQL. Les colonnes de la base de données et les identifiants doivent avoir des noms distincts. Des erreurs de syntaxe peuvent survenir car le PL/SQL cherche d abord dans la base de données une colonne de la table. L exemple de la diapositive est le suivant : Extraire la date de commande et la date d expédition de la table ORD pour la commande numéro 601. Cet exemple génère une erreur d exécution. Le PL/SQL vérifie si l identifiant est une colonne de la base de données ; si ce n est pas le cas, alors on suppose qu il s agit d un identifiant PL/SQL. Note : Il ne peut y avoir d ambiguïté dans une clause SELECT car tout identifiant doit être un nom de colonne de la base de données. Il ne peut y avoir d ambiguïté dans une clause INTO car les identifiants doivent être des variables PL/SQL. La confusion ne peut exister que dans la clause WHERE. Un chapitre suivant donnera plus d informations sur l exception TOO_MANY_ROWS et les autres exceptions. Les Bases PL/SQL 3-13

14 Instructions COMMIT et ROLLBACK Une transaction est initialisée par la première commande LMD, et doit être suivi d un COMMIT ou d un ROLLBACK. Utilisez les instructions SQL COMMIT ou ROLLBACK pour terminer de façon explicite une transaction Contrôler des transactions Vous pouvez contrôler le déroulement des transactions avec les instructions SQL COMMIT et ROLLBACK, en rendant permattantes les modifications ou en abandonnant les autres. De même qu avec le Serveur Oracle, les transactions commencent à la première commande LMD qui suit un COMMIT ou ROLLBACK, et s achèvent au COMMIT ou ROLLBACK suivant. Ces actions peuvent avoir lieu dans un bloc PL/SQL ou résulter d événements dans l environnement hôte (par exemple, le fait d achever une session SQL*Plus, termine automatiquement la transaction en cours). Pour mettre un point intermédiaire en cours de transaction, utilisez SAVEPOINT. Syntaxe COMMIT [WORK]; SAVEPOINT savepoint_name; ROLLBACK [WORK]; ROLLBACK [WORK] TO [SAVEPOINT] savepoint_name; où : WORK permet de se conformer aux standards ANSI Note : Les commandes de contrôle des transactions sont toutes valides en PL/SQL, bien que l environnement hôte puisse en restreindre l utilisation. Vous pouvez aussi inclure des commandes de verrouillage explicite (telles que LOCK TABLE et SELECT... FOR UPDATE) dans un bloc (un chapitre ultérieur traitera de façon plus complète la commande FOR UPDATE). Elles restent en vigueur jusqu à la fin de la transaction. Par ailleurs, un bloc PL/SQL n implique pas nécessairement une transaction. Les Bases PL/SQL 3-14

15 Curseur SQL Un curseur est une zone de travail réservée à SQL. Il y a deux types de curseurs: Curseurs implicites Curseurs explicites Le Serveur Oracle utilise les curseurs implicites pour analyser et exécuter les instructions SQL. Les curseurs explicites sont déclarés de façon explicite par le programmeur Curseur SQL Lorsque vous utilisez une instruction SQL, le Serveur Oracle alloue une zone mémoire dans laquelle la commande est analysée. Cette zone est appelée un curseur implicite. Lorsque la partie exécutable d un bloc appelle une instruction SQL, le PL/SQL crée un curseur implicite, qui porte l identifiant : SQL. Le PL/SQL gère automatiquement ce curseur. Le programmeur pourra déclarer des curseurs explicites. Il y a quatre attributs applicables aux curseurs en PL/SQL. Remarque : Le chapitre suivant traite plus en détail les curseurs explicites. Pour plus d informations, voir PL/SQL User s Guide and Reference, Release 8, Interaction with Oracle. Les Bases PL/SQL 3-15

16 Attributs d un curseur SQL Grâce aux attributs d un d curseur SQL, vous pouvez tester l issue l de vos instructions SQL. SQL%ROWCOUNT SQL%FOUND SQL%NOTFOUND SQL%ISOPEN Nombre d enregistrements traités par la dernière instruction SQL (une valeur entière) Attribut booléen qui vaut TRUE si la dernière instruction SQL a traité un ou plusieurs enregistrements Attribut booléen qui vaut TRUE si la dernière instruction SQL n a traité aucun enregistrement Vaut toujours FALSE car PL/SQL ferme les curseurs implicites immédiatement après leur exécution Mostafa Hanoune 3-16 Attributs d un curseur SQL Les attributs d un curseur SQL vous permettent de voir ce qui s est passé lorsque le dernier curseur implicite a été exécuté. Vous utilisez ces attributs dans des instructions PL/SQL au même titre que des fonctions. Vous ne pouvez pas les utiliser dans des instructions SQL. Vous pouvez utiliser les attributs SQL%ROWCOUNT, SQL%FOUND, SQL%NOTFOUND, et SQL%ISOPEN dans la section EXCEPTION d un bloc pour obtenir des informations sur l exécution des manipulations des données. Le PL/SQL ne considère pas qu une instruction LMD, qui n affecte aucun enregistrement, a échoué contrairement à l instruction SELECT, qui dans ce cas retourne une exception. Note au formateur SQL%ISOPEN est cité ici dans un souci d exhaustivité ; cet attribut est utilisé avec les curseurs explicites. Les Bases PL/SQL 3-16

17 Attributs d un curseur SQL Supprimez les enregistrements qui ont un numéro de commande spécifi cifié dans la table ITEM. Affichez le nombre d enregistrements supprimés. s. Exemple VARIABLE rows_deleted VARCHAR2(30) DECLARE v_ordid NUMBER := 605; BEGIN DELETE FROM item WHERE ordid = v_ordid; :rows_deleted := (SQL%ROWCOUNT ' rows deleted.'); END; / PRINT rows_deleted Mostafa Hanoune 3-17 Les Bases PL/SQL 3-17

18 Résumé Intégration du SQL dans un bloc PL/SQL : SELECT, INSERT, UPDATE, DELETE Intégration d instructions de contrôle des transactions dans un bloc PL/SQL : COMMIT, ROLLBACK, SAVEPOINT 3-18 Les Bases PL/SQL 3-18

19 Résumé Il y a deux types de curseurs : implicites et explicites. Les attributs d un curseur implicite permettent de vérifier l issue des instructions LMD : 3-19 SQL%ROWCOUNT SQL%FOUND SQL%NOTFOUND SQL%ISOPEN Les curseurs explicites sont définis par le programmeur. Mostafa Hanoune Les Bases PL/SQL 3-19

20 Présentation de l Exercice Créer un bloc PL/SQL pour sélectionner des données d une table Créer un bloc PL/SQL pour insérer des données dans une table Créer un bloc PL/SQL pour mettre à jour des données d une table Créer un bloc PL/SQL pour supprimer un enregistrement d une table 3-20 Aperçu de l exercice Dans cet exercice, vous allez créer des procédures pour sélectionner, saisir, mettre à jour, et supprimer les informations d une table, en utilisant les requêtes SQL de base et les instructions LMD dans un bloc PL/SQL. Les Bases PL/SQL 3-20

21 Exercice 3 1. Créez un bloc PL/SQL qui sélectionne le plus grand numéro de département (DEPTNO) de la table DEPT et le stocke dans une variable SQL*Plus. Affichez le résultat à l écran. Enregistrez votre bloc PL/SQL dans le fichier p3q1.sql. G_MAX_DEPTNO Modifiez le bloc PL/SQL que vous avez créé à la question 1 pour insérer un nouveau département dans la table DEPT. Enregistrez votre bloc PL/SQL dans le fichier p3q2.sql. a. Plutôt que d afficher le numéro de département extrait dans la question 1, ajoutez 10 à ce numéro et utilisez ce nouveau numéro pour créer le nouveau département. b. Utilisez un paramètre de substitution SQL*Plus pour le nom du département. c. Laissez la localité(loc) à la valeur NULL pour l instant. d. Exécutez le bloc PL/SQL. Veuillez saisir le nom du département: EDUCATION PL/SQL procedure successfully completed. e. Affichez le nouveau département que vous avez créé. DEPTNO DNAME LOC EDUCATION 3. Créez un bloc PL/SQL qui mette à jour la localité (LOC) d un département existant. Enregistrez votre bloc PL/SQL dans le fichier p3q3.sql. a. Utilisez un paramètre de substitution SQL*Plus pour le numéro du département (DEPTNO). b. Utilisez un paramètre de substitution SQL*Plus pour la localité du département (LOC). c. Testez le bloc PL/SQL. Veuillez saisir le numéro département: 50 Veuillez saisir la localité du département: LYON PL/SQL procedure successfully completed. Les Bases PL/SQL 3-21

22 Exercice 3 (suite) d. Affichez le numéro, le nom et la localité du département mis à jour. DEPTNO DNAME LOC EDUCATION LYON e. Affichez le département que vous avez mis à jour. 4. Créez un bloc PL/SQL qui supprime le département créé à la question 2. Enregistrez votre bloc PL/SQL dans le fichier p3q4.sql. a. Utilisez un paramètre de substitution SQL*Plus pour le numéro de département. b. Affichez à l écran le nombre d enregistrements affectés. c. Testez le bloc PL/SQL. Veuillez saisir le numéro du département : 50 PL/SQL procedure successfully completed. G_RESULT enregistrement(s) supprimé(s). d. Que se passe-t-il si vous entrez un numéro de département inexistant? Veuillez saisir le numéro du département : 99 PL/SQL procedure successfully completed. G_RESULT enregistrement(s) supprimé(s). e. Vérifiez que le département a bien été supprimé. no rows selected Les Bases PL/SQL 3-22

Langage propre à Oracle basé sur ADA. Offre une extension procédurale à SQL

Langage propre à Oracle basé sur ADA. Offre une extension procédurale à SQL Cours PL/SQL Langage propre à Oracle basé sur ADA Offre une extension procédurale à SQL PL/SQL permet d utiliser un sous-ensemble du langage SQL des variables, des boucles, des alternatives, des gestions

Plus en détail

Bases de données avancées

Bases de données avancées Bases de données avancées Jean-Yves Antoine LI - Université François Rabelais de Tours Jean-Yves.Antoine@univ-tours.fr UFR Sciences et Techniques IUP SIR Blois Master 1 Bases de Données avancées IUP Blois,

Plus en détail

Le Langage SQL version Oracle

Le Langage SQL version Oracle Université de Manouba École Supérieure d Économie Numérique Département des Technologies des Systèmes d Information Le Langage SQL version Oracle Document version 1.1 Mohamed Anis BACH TOBJI anis.bach@isg.rnu.tn

Plus en détail

COMMANDES SQL... 2 COMMANDES DE DEFINITION DE DONNEES... 2

COMMANDES SQL... 2 COMMANDES DE DEFINITION DE DONNEES... 2 SQL Sommaire : COMMANDES SQL... 2 COMMANDES DE DEFINITION DE DONNEES... 2 COMMANDES DE MANIPULATION DE DONNEES... 2 COMMANDES DE CONTROLE TRANSACTIONNEL... 2 COMMANDES DE REQUETE DE DONNEES... 2 COMMANDES

Plus en détail

Module Administration BD Chapitre 1 : Surcouche procédurale dans les SGBDS

Module Administration BD Chapitre 1 : Surcouche procédurale dans les SGBDS Module Administration BD Chapitre 1 : Surcouche procédurale dans les SGBDS 1. Introduction Nous allons aborder la notion de surcouche procédurale au sein des SGBDS relationnels tels que Oracle (PLSQL)

Plus en détail

TP Contraintes - Triggers

TP Contraintes - Triggers TP Contraintes - Triggers 1. Préambule Oracle est accessible sur le serveur Venus et vous êtes autorisés à accéder à une instance licence. Vous utiliserez l interface d accés SQL*Plus qui permet l exécution

Plus en détail

Bases de Données Avancées PL/SQL

Bases de Données Avancées PL/SQL 1/170 Bases de Données Avancées Thierry Hamon Bureau H202 - Institut Galilée Tél. : 33 1.48.38.35.53 Bureau 150 LIM&BIO EA 3969 Université Paris 13 - UFR Léonard de Vinci 74, rue Marcel Cachin, F-93017

Plus en détail

ORACLE 10G DISTRIBUTION ET REPLICATION. Distribution de données avec Oracle. G. Mopolo-Moké prof. Associé UNSA 2009/ 2010

ORACLE 10G DISTRIBUTION ET REPLICATION. Distribution de données avec Oracle. G. Mopolo-Moké prof. Associé UNSA 2009/ 2010 ORACLE 10G DISTRIBUTION ET REPLICATION Distribution de données avec Oracle G. Mopolo-Moké prof. Associé UNSA 2009/ 2010 1 Plan 12. Distribution de données 12.1 Génération des architectures C/S et Oracle

Plus en détail

Les Triggers SQL. Didier DONSEZ. Université de Valenciennes Institut des Sciences et Techniques de Valenciennes donsez@univ-valenciennes.

Les Triggers SQL. Didier DONSEZ. Université de Valenciennes Institut des Sciences et Techniques de Valenciennes donsez@univ-valenciennes. Les Triggers SQL Didier DONSEZ Université de Valenciennes Institut des Sciences et Techniques de Valenciennes donsez@univ-valenciennes.fr 1 Sommaire Motivations Trigger Ordre Trigger Ligne Condition Trigger

Plus en détail

Notes de cours : bases de données distribuées et repliquées

Notes de cours : bases de données distribuées et repliquées Notes de cours : bases de données distribuées et repliquées Loïc Paulevé, Nassim Hadj-Rabia (2009), Pierre Levasseur (2008) Licence professionnelle SIL de Nantes, 2009, version 1 Ces notes ont été élaborées

Plus en détail

A.E.C. GESTION DES APPLICATIONS TECHNOLOGIE DE L'INFORMATION LEA.BW

A.E.C. GESTION DES APPLICATIONS TECHNOLOGIE DE L'INFORMATION LEA.BW A.E.C. GESTION DES APPLICATIONS TECHNOLOGIE DE L'INFORMATION LEA.BW Groupe : 322 Exploitation des Banques de données 420-PK6-SL (1-2-1) Étape : 3 Professeur Nom: Marcel Aubin Courriel : maubin@cegep-st-laurent.qc.ca

Plus en détail

Cours Bases de données 2ème année IUT

Cours Bases de données 2ème année IUT Cours Bases de données 2ème année IUT Cours 12 : Concurrence d accès Anne Vilnat http://www.limsi.fr/individu/anne/cours Plan 1 Accès concurrents Définitions Verrous Collisions Niveaux de cohérence Blocage

Plus en détail

Bases de données et sites WEB

Bases de données et sites WEB Bases de données et sites WEB Cours2 : Sécurité et contrôles d accès Anne Doucet 1 Authentification Autorisation Privilèges Rôles Profils Limitations de ressources Plan Audit Contrôle d accès via les vues

Plus en détail

Bases de données Oracle Virtual Private Database (VPD) pour la gestion des utilisateurs d applications

Bases de données Oracle Virtual Private Database (VPD) pour la gestion des utilisateurs d applications Bases de données Oracle Virtual Private Database (VPD) pour la gestion des utilisateurs d applications P.-A. Sunier, HEG-Arc Neuchâtel avec le concours de J. Greub pierre-andre.sunier@he-arc.ch http://lgl.isnetne.ch/

Plus en détail

Le langage SQL pour Oracle - partie 1 : SQL comme LDD

Le langage SQL pour Oracle - partie 1 : SQL comme LDD Le langage SQL pour Oracle - partie 1 : SQL comme LDD 1 SQL : Introduction SQL : Structured Query Langage langage de gestion de bases de donn ees relationnelles pour Définir les données (LDD) interroger

Plus en détail

Optimisation SQL. Quelques règles de bases

Optimisation SQL. Quelques règles de bases Optimisation SQL Quelques règles de bases Optimisation des ordres SQL Page 2 1. QUELQUES RÈGLES DE BASE POUR DES ORDRES SQL OPTIMISÉS...3 1.1 INTRODUCTION...3 1.2 L OPTIMISEUR ORACLE...3 1.3 OPTIMISEUR

Plus en détail

Présentation du PL/SQL

Présentation du PL/SQL I Présentation du PL/ Copyright Oracle Corporation, 1998. All rights reserved. Objectifs du Cours A la fin de ce chapitre, vous saurez : Décrire l intéret du PL/ Décrire l utilisation du PL/ pour le développeur

Plus en détail

Cours 3. Développement d une application BD. DBA - Maîtrise ASR - Université Evry

Cours 3. Développement d une application BD. DBA - Maîtrise ASR - Université Evry Cours 3 Développement d une application BD 1 Plan du cours Gestion de la sécurité des données Optimisation des schémas de bases via la dénormalisation Utilisation de vues Placement du code applicatif dans

Plus en détail

CREATION WEB DYNAMIQUE

CREATION WEB DYNAMIQUE CREATION WEB DYNAMIQUE IV ) MySQL IV-1 ) Introduction MYSQL dérive directement de SQL (Structured Query Language) qui est un langage de requêtes vers les bases de données relationnelles. Le serveur de

Plus en détail

Bases de données et sites WEB Licence d informatique LI345

Bases de données et sites WEB Licence d informatique LI345 Bases de données et sites WEB Licence d informatique LI345 Anne Doucet Anne.Doucet@lip6.fr http://www-bd.lip6.fr/ens/li345-2013/index.php/lescours 1 Contenu Transactions en pratique Modèle relationnel-objet

Plus en détail

Langage SQL (1) 4 septembre 2007. IUT Orléans. Introduction Le langage SQL : données Le langage SQL : requêtes

Langage SQL (1) 4 septembre 2007. IUT Orléans. Introduction Le langage SQL : données Le langage SQL : requêtes Langage SQL (1) Sébastien Limet Denys Duchier IUT Orléans 4 septembre 2007 Notions de base qu est-ce qu une base de données? SGBD différents type de bases de données quelques systèmes existants Définition

Plus en détail

Olivier Mondet http://unidentified-one.net

Olivier Mondet http://unidentified-one.net T-GSI Ch.4 Le Langage SQL LDD, LCD Cet exercice guidé reprend le plan suivis lors de l intervention de formation faite pour l académie de Versailles. L objectif principal visait en la présentation du langage

Plus en détail

Cours Bases de données 2ème année IUT

Cours Bases de données 2ème année IUT Cours Bases de données 2ème année IUT Cours Bilan : Des vues à PL/SQL corrigé Anne Vilnat http://www.limsi.fr/individu/anne/cours Plan 1 Cas exemple 2 Les tables... 3 Vues et index 4 Privilèges 5 Fonctions

Plus en détail

Gestion des utilisateurs et de leurs droits

Gestion des utilisateurs et de leurs droits Gestion des utilisateurs et de leurs droits Chap. 12, page 323 à 360 Lors de la création d'un utilisateur vous devez indiquer son nom, ses attributs, son profil, la méthode d'authentification (par le SE

Plus en détail

A QUOI SERVENT LES BASES DE DONNÉES?

A QUOI SERVENT LES BASES DE DONNÉES? BASE DE DONNÉES OBJET Virginie Sans virginie.sans@irisa.fr A QUOI SERVENT LES BASES DE DONNÉES? Stockage des informations : sur un support informatique pendant une longue période de taille importante accès

Plus en détail

Quelques aspects du Relationnel-Objet du SGBD Oracle

Quelques aspects du Relationnel-Objet du SGBD Oracle Département informatique de l IUT (de l université) de Bordeaux Cours de Bases de Données : présentation partielle d un SGBD RO 12 août 2015 Olivier Guibert Quelques aspects du Relationnel-Objet du SGBD

Plus en détail

Table des matières PRESENTATION DU LANGAGE DS2 ET DE SES APPLICATIONS. Introduction

Table des matières PRESENTATION DU LANGAGE DS2 ET DE SES APPLICATIONS. Introduction PRESENTATION DU LANGAGE DS2 ET DE SES APPLICATIONS Depuis SAS 9.2 TS2M3, SAS propose un nouveau langage de programmation permettant de créer et gérer des tables SAS : le DS2 («Data Step 2»). Ces nouveautés

Plus en détail

Support de cours «SGBD»

Support de cours «SGBD» Direction Générale Institut Supérieur des Des Etudes Technologiques Etudes ******** DGET ******* Technologiques du Kef Support de cours «SGBD» Réalisé par : BOUKCHIM Mosaab (AT-Iset de Kef) HOSNI Anis

Plus en détail

CHAPITRE 4 POLITIQUES DE CONTRÔLES DES ACCÈS SOUS ORACLE ADMINISTRATION ET TUNING DE BASES DE DONNÉES 10/05/2015 RESPONSABLE DR K.

CHAPITRE 4 POLITIQUES DE CONTRÔLES DES ACCÈS SOUS ORACLE ADMINISTRATION ET TUNING DE BASES DE DONNÉES 10/05/2015 RESPONSABLE DR K. Université des sciences et de la Technologie Houari Boumediene USTHB Alger Département d Informatique CHAPITRE 4 ADMINISTRATION ET TUNING DE BASES DE DONNÉES RESPONSABLE DR K. BOUKHALFA POLITIQUES DE CONTRÔLES

Plus en détail

Laboratoires de bases de données. Laboratoire n 6. Programmation SQL. par Danièle BAYERS et Louis SWINNEN

Laboratoires de bases de données. Laboratoire n 6. Programmation SQL. par Danièle BAYERS et Louis SWINNEN Département Informatique Laboratoires de bases de données Laboratoire n 6 Programmation SQL par Danièle BAYERS et Louis SWINNEN Ce document est disponible sous licence Creative Commons indiquant qu il

Plus en détail

Le Langage De Description De Données(LDD)

Le Langage De Description De Données(LDD) Base de données Le Langage De Description De Données(LDD) Créer des tables Décrire les différents types de données utilisables pour les définitions de colonne Modifier la définition des tables Supprimer,

Plus en détail

Devoir Data WareHouse

Devoir Data WareHouse Université Paris XIII Institut Galilée Master 2-EID BENSI Ahmed CHARIFOU Evelyne Devoir Data WareHouse Optimisation, Transformation et Mise à jour utilisées par un ETL Mr R. NEFOUSSI Année 2007-2008 FICHE

Plus en détail

1. Qu'est-ce que SQL?... 2. 2. La maintenance des bases de données... 2. 3. Les manipulations des bases de données... 5

1. Qu'est-ce que SQL?... 2. 2. La maintenance des bases de données... 2. 3. Les manipulations des bases de données... 5 1. Qu'est-ce que SQL?... 2 2. La maintenance des bases de données... 2 2.1 La commande CREATE TABLE... 3 2.2 La commande ALTER TABLE... 4 2.3 La commande CREATE INDEX... 4 3. Les manipulations des bases

Plus en détail

Partie I : Créer la base de données. Année universitaire 2008/2009 Master 1 SIIO Projet Introduction au Décisionnel, Oracle

Partie I : Créer la base de données. Année universitaire 2008/2009 Master 1 SIIO Projet Introduction au Décisionnel, Oracle Année universitaire 2008/2009 Master 1 SIIO Projet Introduction au Décisionnel, Oracle Ce projet comporte trois parties sur les thèmes suivants : création de base de donnée, requêtes SQL, mise en œuvre

Plus en détail

SQL Historique 1982 1986 1992

SQL Historique 1982 1986 1992 SQL Historique 1950-1960: gestion par simple fichier texte 1960: COBOL (début de notion de base de données) 1968: premier produit de sgbdr structuré (IBM -> IDMS) 1970-74: élaboration de l'outil d'analyse

Plus en détail

Bases de données relationnelles

Bases de données relationnelles Bases de données relationnelles Système de Gestion de Bases de Données Une base de données est un ensemble de données mémorisé par un ordinateur, organisé selon un modèle et accessible à de nombreuses

Plus en détail

Bases de Données relationnelles et leurs systèmes de Gestion

Bases de Données relationnelles et leurs systèmes de Gestion III.1- Définition de schémas Bases de Données relationnelles et leurs systèmes de Gestion RAPPELS Contraintes d intégrité sous Oracle Notion de vue Typage des attributs Contrainte d intégrité Intra-relation

Plus en détail

Corrigés détaillés des exercices

Corrigés détaillés des exercices Corrigés détaillés des exercices Diagramme des tables objet La figure suivante vous aidera dans la compréhension des manipulations des objets de la base. Client_type Client num nom adresse {telephone_vry}

Plus en détail

Gestion des transactions et accès concurrents dans les bases de données relationnelles

Gestion des transactions et accès concurrents dans les bases de données relationnelles Gestion des transactions et accès concurrents dans les bases de données relationnelles Bernard ESPINASSE Professeur à Aix-Marseille Université (AMU) Ecole Polytechnique Universitaire de Marseille Fev.

Plus en détail

Oracle Le langage procédural PL/SQL

Oracle Le langage procédural PL/SQL Oracle Le langage procédural PL/SQL Denis Roegel roegel@loria.fr IUT Nancy 2 1998/1999 Sommaire 1 Introduction 3 2 Création de packages 3 2.1 Procédures groupées.........................................

Plus en détail

PHP 4 PARTIE : BASE DE DONNEES

PHP 4 PARTIE : BASE DE DONNEES PHP 4 PARTIE : BASE DE DONNEES 1. Introduction 2. Présentation de MySQL 3. Principe 4. Connexion 5. Interrogation 6. Extraction des données 7. Fonctions de services 8. Traitement des erreurs 9. Travaux

Plus en détail

Licence de MIDO - 3ème année Spécialités Informatique et Mathématiques Appliquées

Licence de MIDO - 3ème année Spécialités Informatique et Mathématiques Appliquées Licence de MIDO - 3ème année Spécialités Informatique et Mathématiques Appliquées ANNEE 2014 / 2015 Désignation de l enseignement : Bases de données Nom du document : TP SQL sous PostgreSQL Rédacteur :

Plus en détail

CATALOGUE FORMATIONS 2015. DOMAINE Bases de données

CATALOGUE FORMATIONS 2015. DOMAINE Bases de données DOMAINE Bases de données Version 1.0 - Octobre 2014 1, 2, 3 juin 2015 1, 2, 3 octobre 2015 CATALOGUE Analyse et conception d une base de données Elaboration de fiches de collecte de données Techniques

Plus en détail

Configurer la supervision pour une base MS SQL Server Viadéis Services

Configurer la supervision pour une base MS SQL Server Viadéis Services Configurer la supervision pour une base MS SQL Server Référence : 11588 Version N : 2.2 : Créé par : Téléphone : 0811 656 002 Sommaire 1. Création utilisateur MS SQL Server... 3 2. Configuration de l accès

Plus en détail

SGBDR. Systèmes de Gestion de Bases de Données (Relationnelles)

SGBDR. Systèmes de Gestion de Bases de Données (Relationnelles) SGBDR Systèmes de Gestion de Bases de Données (Relationnelles) Plan Approches Les tâches du SGBD Les transactions Approche 1 Systèmes traditionnels basés sur des fichiers Application 1 Gestion clients

Plus en détail

Administration des bases de données. Jean-Yves Antoine http://www.info.univ-tours.fr/~antoine/

Administration des bases de données. Jean-Yves Antoine http://www.info.univ-tours.fr/~antoine/ Administration des bases de données Jean-Yves Antoine http://www.info.univ-tours.fr/~antoine/ Administration des bases de données II Objets avancés dans les bases de données OBJECTIFS 2.1. NOTIONS 2.1.1.

Plus en détail

Administration des bases de données

Administration des bases de données Administration des bases de données Mehdi Louizi 1 Pourquoi PL/SQL 2 Pourquoi PL/SQL? PL/SQL = PROCEDURAL LANGUAGE/SQL SQL est un langage non procédural Les traitements complexes sont parfois difficiles

Plus en détail

14/04/2014. un ensemble d'informations sur un sujet : exhaustif, non redondant, structuré, persistant. Gaëlle PERRIN SID2 Grenoble.

14/04/2014. un ensemble d'informations sur un sujet : exhaustif, non redondant, structuré, persistant. Gaëlle PERRIN SID2 Grenoble. Gaëlle PERRIN SID2 Grenoble Le 10/04/2014 Base de Données (BD) : une grande quantité de données, centralisées ou non, servant pour les besoins d'une ou plusieurs applications, interrogeables et modifiables

Plus en détail

Les transactions 1/46. I même en cas de panne logicielle ou matérielle. I Concept de transaction. I Gestion de la concurrence : les solutions

Les transactions 1/46. I même en cas de panne logicielle ou matérielle. I Concept de transaction. I Gestion de la concurrence : les solutions 1/46 2/46 Pourquoi? Anne-Cécile Caron Master MAGE - SGBD 1er trimestre 2014-2015 Le concept de transaction va permettre de définir des processus garantissant que l état de la base est toujours cohérent

Plus en détail

CHAPITRE 1 ARCHITECTURE

CHAPITRE 1 ARCHITECTURE 07/04/2014 Université des sciences et de la Technologie Houari Boumediene USTHB Alger Département d Informatique ADMINISTRATION ET TUNING DE BASES DE DONNÉES CHAPITRE 1 ARCHITECTURE RESPONSABLE DR K. BOUKHALFA

Plus en détail

//////////////////////////////////////////////////////////////////// Administration bases de données

//////////////////////////////////////////////////////////////////// Administration bases de données ////////////////////// Administration bases de données / INTRODUCTION Système d informations Un système d'information (SI) est un ensemble organisé de ressources (matériels, logiciels, personnel, données

Plus en détail

Introduction au PL/SQL Oracle. Alexandre Meslé

Introduction au PL/SQL Oracle. Alexandre Meslé Introduction au PLSQL Oracle Alexandre Meslé 17 octobre 2011 Table des matières 1 Notes de cours 3 1.1 Introduction au PLSQL............................................ 3 1.1.1 PLSQL.................................................

Plus en détail

Bases de Données Réparties

Bases de Données Réparties Bases de Données Réparties Architecture Mise en œuvre Duplication et Réplication Michel Tuffery BDR : Définition Ensemble de bases de données gérées par des sites différents et apparaissant à l utilisateur

Plus en détail

Partie II Cours 3 (suite) : Sécurité de bases de données

Partie II Cours 3 (suite) : Sécurité de bases de données Partie II Cours 3 (suite) : Sécurité de bases de données ESIL Université de la méditerranée Odile.Papini@esil.univ-mrs.fr http://odile.papini.perso.esil.univmed.fr/sources/ssi.html Plan du cours 1 Introduction

Plus en détail

PHP. Bertrand Estellon. 26 avril 2012. Aix-Marseille Université. Bertrand Estellon (AMU) PHP 26 avril 2012 1 / 214

PHP. Bertrand Estellon. 26 avril 2012. Aix-Marseille Université. Bertrand Estellon (AMU) PHP 26 avril 2012 1 / 214 PHP Bertrand Estellon Aix-Marseille Université 26 avril 2012 Bertrand Estellon (AMU) PHP 26 avril 2012 1 / 214 SQLite et PDO Base de données SQLite et PDO SQLite écrit les données relatives à la base dans

Plus en détail

Procédures Stockées WAVESOFT... 12 ws_sp_getidtable... 12. Exemple :... 12. ws_sp_getnextsouche... 12. Exemple :... 12

Procédures Stockées WAVESOFT... 12 ws_sp_getidtable... 12. Exemple :... 12. ws_sp_getnextsouche... 12. Exemple :... 12 Table des matières Les Triggers... 2 Syntaxe... 2 Explications... 2 Les évènements déclencheurs des triggers... 3 Les modes de comportements des triggers... 4 Les pseudo tables... 5 Exemple... 6 Les procédures

Plus en détail

Bases de Données Avancées

Bases de Données Avancées 1/62 Bases de Données Avancées Introduction & Rappel Conception et Modélisation Thierry Hamon Bureau H202 - Institut Galilée Tél. : 33 1.48.38.35.53 Bureau 150 LIM&BIO EA 3969 Université Paris 13 - UFR

Plus en détail

Partie 0 : Gestion des tablespace et des utilisateurs... 3

Partie 0 : Gestion des tablespace et des utilisateurs... 3 Sommaire Partie 0 : Gestion des tablespace et des utilisateurs... 3 1- Créer deux TableSpaces votre_nom-tbs et Votre_nom-TempTBS :... 3 2. Créer un utilisateur qui porte votre nom :... 3 3. Attribuer à

Plus en détail

TP3 : Creation de tables 1 seance

TP3 : Creation de tables 1 seance Universite de Versailles IUT de Velizy - Algorithmique 2005/2006 TP3 : Creation de tables 1 seance Objectif : Creation et modication de tables dans une base de donnees. Avant de commencer ce TP, terminer

Plus en détail

Du 10 Fév. au 14 Mars 2014

Du 10 Fév. au 14 Mars 2014 Interconnexion des Sites - Design et Implémentation des Réseaux informatiques - Sécurité et Audit des systèmes - IT CATALOGUE DE FORMATION SIS 2014 1 FORMATION ORACLE 10G 11G 10 FEV 2014 DOUALA CAMEROUN

Plus en détail

Les déclencheurs. Version 1.0. Grégory CASANOVA

Les déclencheurs. Version 1.0. Grégory CASANOVA Les déclencheurs Version 1.0 Grégory CASANOVA 2 Les déclencheurs [09/07/09] Sommaire 1 Introduction... 3 2 Pré-requis... 4 3 Les déclencheurs du DML... 5 3.1 Introduction... 5 3.2 Création d un déclencheur

Plus en détail

Pour les débutants. langage de définition des données

Pour les débutants. langage de définition des données Pour les débutants SQL : langage de définition des données Les bases de données sont très utilisées dans les applications Web. La création, l interrogation et la manipulation des données de la base sont

Plus en détail

Auto-évaluation Oracle: cours de base

Auto-évaluation Oracle: cours de base Auto-évaluation Oracle: cours de base Document: F0475Test.fm 14/01/2008 ABIS Training & Consulting P.O. Box 220 B-3000 Leuven Belgium TRAINING & CONSULTING INTRODUCTION AUTO-ÉVALUATION ORACLE: COURS DE

Plus en détail

IFT3030 Base de données. Chapitre 2 Architecture d une base de données

IFT3030 Base de données. Chapitre 2 Architecture d une base de données IFT3030 Base de données Chapitre 2 Architecture d une base de données Plan du cours Introduction Architecture Modèles de données Modèle relationnel Algèbre relationnelle SQL Conception Fonctions avancées

Plus en détail

Mysql. Les requêtes préparées Prepared statements

Mysql. Les requêtes préparées Prepared statements Mysql Les requêtes préparées Prepared statements Introduction Les prepared statements côté serveur sont une des nouvelles fonctionnalités les plus intéressantes de MySQL 4.1 (récemment sorti en production

Plus en détail

Création et Gestion des tables

Création et Gestion des tables Création et Gestion des tables Version 1.0 Z Grégory CASANOVA 2 Sommaire 1 Introduction... 3 2 Pré-requis... 4 3 Les tables... 5 3.1 Les types de données... 5 3.1.1 Les types de données Sql Server... 5

Plus en détail

TP Programmation Java / JDBC / Oracle

TP Programmation Java / JDBC / Oracle TP Programmation Java / JDBC / Oracle 1. Connectivité avec une base de données Oracle au travers de l interface JDBC L interface de programmation (API) JDBC (Java DataBase Connectivity) est une librairie

Plus en détail

Initiation à SQL. Le langage de communication avec une base de données relationnelles. Application avec PostgreSQL. Nathalie Camelin 2011/2012

Initiation à SQL. Le langage de communication avec une base de données relationnelles. Application avec PostgreSQL. Nathalie Camelin 2011/2012 Initiation à SQL Le langage de communication avec une base de données relationnelles Application avec PostgreSQL Nathalie Camelin 2011/2012 Université du Maine Institut Claude Chappe D'après Levy Estève

Plus en détail

A QUOI SERVENT LES BASES DE DONNÉES?

A QUOI SERVENT LES BASES DE DONNÉES? BASE DE DONNÉES OBJET Virginie Sans virginie.sans@irisa.fr A QUOI SERVENT LES BASES DE DONNÉES? Stockage des informations : sur un support informatique pendant une longue période de taille importante accès

Plus en détail

Java et les bases de données: JDBC: Java DataBase Connectivity SQLJ: Embedded SQL in Java. Michel Bonjour http://cuiwww.unige.

Java et les bases de données: JDBC: Java DataBase Connectivity SQLJ: Embedded SQL in Java. Michel Bonjour http://cuiwww.unige. : JDBC: Java DataBase Connectivity SQLJ: Embedded SQL in Java Michel Bonjour http://cuiwww.unige.ch/~bonjour Plan JDBC: API bas niveau pour l accès aux BD (SQL) - Introduction - JDBC et : Java, ODBC, SQL

Plus en détail

Chapitre 5 : Les procédures stockées PL/SQL

Chapitre 5 : Les procédures stockées PL/SQL I. Introduction Une procédure ou une fonction stockée est un bloc PL/SQL nommé pouvant accepter des paramètres et être appelée. Généralement, on utilise une fonction pour calculer une valeur. Les procédures

Plus en détail

Le langage SQL Rappels

Le langage SQL Rappels Le langage SQL Rappels Description du thème : Présentation des principales notions nécessaires pour réaliser des requêtes SQL Mots-clés : Niveau : Bases de données relationnelles, Open Office, champs,

Plus en détail

Intégrité des données

Intégrité des données . Contraintes d intégrité : Définition et objectif Intégrité des données Définition des contraintes Vérification des contraintes Contrainte d'intégrité : propriété sémantique que doivent respecter les

Plus en détail

OpenPaaS Le réseau social d'entreprise

OpenPaaS Le réseau social d'entreprise OpenPaaS Le réseau social d'entreprise Spécification des API datastore SP L2.3.1 Diffusion : Institut MinesTélécom, Télécom SudParis 1 / 12 1OpenPaaS DataBase API : ODBAPI...3 1.1Comparaison des concepts...3

Plus en détail

Le langage SQL (première partie) c Olivier Caron

Le langage SQL (première partie) c Olivier Caron Le langage SQL (première partie) 1 Plan Le S.G.B.D. postgres Le langage SQL Langage de manipulation de données Langage de requêtes 2 Quelques mots sur Postgres (1/2) Travaux de Stonebraker (Univ. Berkeley)

Plus en détail

1. LA GESTION DES BASES DE DONNEES RELATIONNELLES

1. LA GESTION DES BASES DE DONNEES RELATIONNELLES Dossier G11 - Interroger une base de données La base de données Facturation contient tout un ensemble d'informations concernant la facturation de la SAFPB (société anonyme de fabrication de produits de

Plus en détail

TP11 - Administration/Tuning

TP11 - Administration/Tuning TP11 - Administration/Tuning MIAGE #3-2006/2007 January 9, 2007 1 Architecture physique d une base Oracle 1.1 La structure physique Une base de données Oracle est composé de fichiers (au sens du système

Plus en détail

NFA 008. Introduction à NoSQL et MongoDB 25/05/2013

NFA 008. Introduction à NoSQL et MongoDB 25/05/2013 NFA 008 Introduction à NoSQL et MongoDB 25/05/2013 1 NoSQL, c'est à dire? Les bases de données NoSQL restent des bases de données mais on met l'accent sur L'aspect NON-relationnel L'architecture distribuée

Plus en détail

Encryptions, compression et partitionnement des données

Encryptions, compression et partitionnement des données Encryptions, compression et partitionnement des données Version 1.0 Grégory CASANOVA 2 Compression, encryption et partitionnement des données Sommaire 1 Introduction... 3 2 Encryption transparente des

Plus en détail

FileMaker 13. Guide de référence SQL

FileMaker 13. Guide de référence SQL FileMaker 13 Guide de référence SQL 2013 FileMaker, Inc. Tous droits réservés. FileMaker, Inc. 5201 Patrick Henry Drive Santa Clara, Californie 95054 FileMaker et Bento sont des marques commerciales de

Plus en détail

PHP 5. La base de données MySql. A. Belaïd 1

PHP 5. La base de données MySql. A. Belaïd 1 PHP 5 La base de données MySql A. Belaïd 1 Base de données C est quoi une base de données? Une base de données contient une ou plusieurs tables, chaque table ayant un ou plusieurs enregistrements Exemple

Plus en détail

Langage SQL : créer et interroger une base

Langage SQL : créer et interroger une base Langage SQL : créer et interroger une base Dans ce chapitre, nous revenons sur les principales requêtes de création de table et d accès aux données. Nous verrons aussi quelques fonctions d agrégation (MAX,

Plus en détail

Cours: Administration d'une Base de Données

Cours: Administration d'une Base de Données Bases de Données Avancées Module A IUT Lumière, License CE-STAT 2006-2007 Pierre Parrend Cours: Administration d'une Base de Données Table of Contents Principes...1 Structure d'un Base de Données...1 Architecture...1

Plus en détail

OPTIMISEZ LES PERFORMANCES DE TRAITEMENT DE VOS DONNEES AVEC SAS/ACCESS. Sommaire

OPTIMISEZ LES PERFORMANCES DE TRAITEMENT DE VOS DONNEES AVEC SAS/ACCESS. Sommaire OPTIMISEZ LES PERFORMANCES DE TRAITEMENT DE VOS DONNEES AVEC SAS/ACCESS Le BIG DATA nous immerge inexorablement dans un océan d'informations. Accéder à toujours plus données le plus rapidement possible

Plus en détail

Développement d applications avec les bases de données

Développement d applications avec les bases de données Développement d applications avec les bases de données Michel Crucianu http://cedric.cnam.fr/~crucianm/abd.html 23 décembre 2010 NFA011 1 Contenu du cours PL/SQL Variables, structures de contrôle Curseurs,

Plus en détail

Bases de données. Mihaela Mathieu

Bases de données. Mihaela Mathieu Bases de données 2004-2005 Mihaela Mathieu mathieu@emse.fr Objectifs : comprendre et maîtriser les fonctions d un SGBD relationnel (Oracle et MySQL) connaître le langage SQL savoir développer une application

Plus en détail

Bases de Données Réparties Concepts et Techniques. Matthieu Exbrayat ULP Strasbourg - Décembre 2007

Bases de Données Réparties Concepts et Techniques. Matthieu Exbrayat ULP Strasbourg - Décembre 2007 Bases de Données Réparties Concepts et Techniques Matthieu Exbrayat ULP Strasbourg - Décembre 2007 1 Définition Une base de données répartie (distribuée) est une base de données logique dont les données

Plus en détail

Université de Nice Sophia-Antipolis. Langage SQL. version 5.7 du polycopié. Richard Grin

Université de Nice Sophia-Antipolis. Langage SQL. version 5.7 du polycopié. Richard Grin Université de Nice Sophia-Antipolis Langage SQL version 5.7 du polycopié Richard Grin 4 janvier 2008 Table des matières Présentation du polycopié vi 1 Introduction 1 1.1 Présentation de SQL.......................

Plus en détail

Introduction à MATLAB R

Introduction à MATLAB R Introduction à MATLAB R Romain Tavenard 10 septembre 2009 MATLAB R est un environnement de calcul numérique propriétaire orienté vers le calcul matriciel. Il se compose d un langage de programmation, d

Plus en détail

Vincent Augusto 2010-2011

Vincent Augusto 2010-2011 le des Systèmes Vincent Augusto École Nationale Supérieure des Mines de Saint-Étienne 2010-2011 Un 1/73 le des Un 2/73 1 2 3 4 le 5 6 7 8 Un le des Un 3/73 Contenu du cours : Techniques pour l analyse

Plus en détail

Introduction au Système de Gestion de Base de Données et aux Base de Données

Introduction au Système de Gestion de Base de Données et aux Base de Données Introduction au Système de Gestion de Base de Données et aux Base de Données Formation «Gestion des données scientifiques : stockage et consultation en utilisant des bases de données» 24 au 27 /06/08 Dernière

Plus en détail

Présentation du module Base de données spatio-temporelles

Présentation du module Base de données spatio-temporelles Présentation du module Base de données spatio-temporelles S. Lèbre slebre@unistra.fr Université de Strasbourg, département d informatique. Partie 1 : Notion de bases de données (12,5h ) Enjeux et principes

Plus en détail

Plan Général Prévisionnel (1/2) (non contractuel) Internet et Outils L1/IO2 2006-2007 S2-IO2 Bases de données: Jointures, Transactions

Plan Général Prévisionnel (1/2) (non contractuel) Internet et Outils L1/IO2 2006-2007 S2-IO2 Bases de données: Jointures, Transactions Général Prévisionnel (1/2) (non contractuel) Internet et Outils L1/IO2 2006-2007 S2-IO2 Bases de données: Jointures, Cours Internet et Outils: [1/12] Intro, Internet, Web, XHTML (2H) [2/12] XHTML(2H) [3/12]

Plus en détail

I. MySQL : Serveur et SGBD

I. MySQL : Serveur et SGBD Le Système de Gestion de Base de Données MySQL I. MySQL : Serveur et SGBD Menu I. MySQL : Serveur et SGBG II. Création d'une base de données avec MySQL MySQL est un système de gestion et conception de

Plus en détail

1 2 3 4 5 Faisons le point - Où en êtes-vous dans votre cursus? Quel est votre parcours? A quelle étape en êtes-vous? Vers où allez-vous? - Quels sont vos objectifs? Quel est le challenge? Quels sont vos

Plus en détail

4. Utilisation d un SGBD : le langage SQL. 5. Normalisation

4. Utilisation d un SGBD : le langage SQL. 5. Normalisation Base de données S. Lèbre slebre@unistra.fr Université de Strasbourg, département d informatique. Présentation du module Contenu général Notion de bases de données Fondements / Conception Utilisation :

Plus en détail

Objectifs du TP : Initiation à Access

Objectifs du TP : Initiation à Access Objectifs du TP : Initiation à Access I. Introduction Microsoft Access fait partie de l ensemble Microsoft Office. C est un SGBDR (système de gestion de bases de données relationnelles) présentant une

Plus en détail

Intégrité sémantique dans les bases de données relationnelles

Intégrité sémantique dans les bases de données relationnelles Intégrité sémantique dans les bases de données relationnelles 1 - Intégrité sémantique Bernard ESPINASSE Professeur à Aix-Marseille Université (AMU Ecole Polytechnique Universitaire de Marseille Fev. 2013

Plus en détail