Traitement des dystrophies rétiniennes: artificielle
|
|
- Danièle Benoît
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Traitement des dystrophies rétiniennes: r la rétine r artificielle JL Guyomard, S Picaud, JF Charlin, JA Sahel INSERM U592 CHNO Quinze-Vingt CHU Rennes
2 Anatomie fonctionnelle
3 Les dégénérescences des photorécepteurs: la DMLA Première cause de cécité dans les pays industrialisés: santé publique en France: soit 2% de la population estimations basses: 8 millions de cas mondiaux fréquence augmente avec l âge: 25% à partir de 80 ans Incidence: augmentation de 30-40% ces 40 dernières années
4 3 stades de DMLA Précurseur = maculopathie liée à l âge: petits drusens et altérations mineures de l épithélium pigmentaire Décompensation: atrophie (sèche) ou exsudative (humide) cicatriciel
5 Forme atrophique: 85% des cas de DMLA
6 Les dégénérescences des photorécepteurs: Les rétinites pigmentaires Incidence: 1/4000 naissances Prévalence mondiale: 1,5 millions Forme la plus fréquente: atrophie des bâtonnets Cécité légale vers 40 ans avec CV central de moins de 20 Formes cliniques nombreuses et mutations génétiques nombreuses (au moins 39)
7 Analyse morphologique post-mortem de stades avancés de RP Photorécepteurs: 4,9% Cellules bipolaires: 78,4% Cellules ganglionnaires: 29,7%
8 Analyse morphologique post-mortem de stades avancés de DMLA DMLA atrophique: pas de différences significatives entre le groupe DMLA et le groupe contrôle pour la couche nucléaire interne DMLA exsudative: 93% de conservation des cellules ganglionnaires
9 Justification du projet: en cas de dégénérescence des photorécepteurs, les autres cellules de la rétine persistent!"#$%!
10 Un peu d histoire Foerster en 1929, neurochirurgien allemand: stimulation électrique du cortex occipital Brindley et Lewin en 1968: implantation chronique de 80 électrodes à la surface du cortex visuel Potts en 1968: production de phosphènes chez patients aveugles par stimulations électriques de la rétine (DMLA et RP) Humayun en 1999: stimulation «per-opératoire» de la surface rétinienne: localisation de phosphènes et détection grossière de lettres
11 Stimulation électrique per-opératoire (Humayun 1999)
12 Première implantation «chronique» épi-rétinienne en 2002 Hômme de 74 ans RP liée à l X Aveugle de l œil droit depuis 50 ans
13 Résultats (Humayun 2003) Perception de la lumière allumée/éteinte Perception de mouvements d objets à 40 cm Bonne stabilité et tolérance (suivi de 10 semaines)
14 Projet Second Sight (Humayun 2007) 6 patients implantés (RP) Distinction lumière, tasse, cuillère Mouvements de lumière
15 L approche sous-rétinienne 1 essai chez l homme: Chow (Optobionics) en 2000 the «Artificial Silicon Retina» Microphotodiodes «passives»: 5000 électrodes solaires Pas de dispositifs externes
16 Artificial Silicon Retina 30 patients implantés Pas de résultats objectifs
17 Actuellement 5 équipes ont implanté des implants chez des patients Une sixième équipe dans les 2 années à venir 23 dispositifs d implants en cours de développement Doublement du nombre des projets en 4 ans
18 Comment déterminer le design et la localisation rétinienne des implants? Les études psychophysiques
19 Nombre d électrodes par implant: études psychophysiques
20 Nombre d électrodes par implant: études psychophysiques Locomotion: 625 pixels soit une mosaïque de 25x25 Identification des visages: moins de pixels
21 La lecture (Sommerhalder et al, 2003) Matériels et méthodes:
22 Résultats: La lecture (Sommerhalder et al, 2003,2004)
23 Résultats: La lecture (Sommerhalder et al, 2003,2004) Mot de 4 lettres: fenêtre visuelle de 3,5 x 10 à 15 d excentricité, 286 pixels: taux de succès entre 60-70% Textes complexes: Fenêtre visuelle de 7 x 10 pour 572 pixels Lecture correcte à 90% Limite inférieure sur une prothèse rétinienne: 600 pixels (1 pixel = 1 carré de 100µ de côté)
24 Limites des études actuelles sur les prothèses rétiniennes Tests sur des animaux normaux Pas de prise en compte des phénomènes dégénératifs (seuil de stimulation plus haut chez patients avec rétine dystrophique) Seuils de toxicité des stimulations électriques non testés
25 Rétine artificielle: chirurgie, biocompatibilité et impédance des implants sous-rétiniens chez le rat P23H JL Guyomard ab, P Linderhom c, J Salzman d, M Simonutti a, M Paques ae, P Renaud c, JA Sahel ae, S Picaud a a- Laboratoire de physiopathologie cellulaire et moléculaire de la rétine, INSERM U-592 b- Service d ophtalmologie du CHU de Rennes c- Microsystems Unit. Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne d- Service d ophtalmologie, Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) e- Fondation Ophtalmologique A. de Rothschild
26 Faisabilité de la technique chirurgicale #! " #!! $ %!& '!(&$ ) *!$+, ' *
27 Suivi optique de l implant
28 Suivi optique de l implant
29 Suivi optique de l implant
30 Suivi optique de l implant
31 Suivi optique de l implant
32 Suivi optique de l implant
33 Le connecteur crânien permet d étudier, par la mesure des résistances, l interface implant-rétine Z Frequency (Hz) -100 theta Analyseur d impédance industriel «LCR meter» Données analysées avec Z-View Spectre d impédance (10 Hz-1 MHz) mesuré pour chaque paire d électrode Enregistrements post-opératoires puis hebdomadaires Frequency (Hz) 3 mesures d impédance d une seule électrode à temps 0 (ligne noire), 15 mn (ligne rouge) et 60 mn (ligne verte)
34 Les impédances d une même électrode varient sensiblement durant les 30 premiers jours Mesures d impédance de la même paire d électrodes in vivo. La courbe noire: enregistrement à J0. La courbe rouge: enregistrement à J2. La courbe bleue: enregistrement à J20. Évolution de l impédance durant les 80 premiers jours, en cas de fibrose rétinienne minime à modérée autour de l implant
35 Corrélation entre l impédance et le niveau de fibrose rétinienne Une corrélation est établie entre le niveau de fibrose et l impédance des tissus Évolution de l impédance durant les 80 premiers jours en cas d implantation vitréenne ou de fibrose rétinienne sévère
36 Conclusion le 20 siècle a vu le développement des implants cochléaires le 21 siècle connaitra la rétine artificielle en pratique quotidienne Actuellement en Europe: essai clinique «Second Sight» merci de votre attention
TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailun nouvel œil pour l analyse de mouvement
un nouvel œil pour l analyse de mouvement L entreprise EyeNetics La S.A.R.L. EyeNetics a pour objectif de simplifier l utilisation des systèmes d analyse de mouvement. Dans cette optique nous avons conçu
Plus en détailDégénérescence maculaire liée à l âge
Dégénérescence maculaire liée à l âge LUC-09-02/10-6087 - 1 - Dégénérescence maculaire liée à l âge Sommaire 1. Introduction 2. Qu est-ce que la dégénérescence maculaire liée à l âge? 3. Forme sèche et
Plus en détailBourses de. Recherche 014. Avancées scientifiques. cherche ophtalmologique. espoirs thérapeutiques. Recherche ophtalmologiqu.
he ophtalmologique Voir plus loin Avancées scienti espoirs thérapeutiques cherche ophtalmologique Avancées scientifiques Recherche opht Bourses de Recherche 014 espoirs thé Voir plus loin Avancées scientifiq
Plus en détailCharges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille
XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailLa malvoyance d un instant n est pas celle d une vie
La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie La malvoyance, un handicap grave Une personne malvoyante est une personne dont la vue est déficiente malgré le port de lunettes ou de lentilles, ou
Plus en détailAJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Wilfried Minvielle
AJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Service du Professeur E. Souied Ophtalmologie Centre Hospitalier Intercommunal de Creteil Objectif Déterminer l inocuité du laser diode micropulse transfovéolaire dans l'œdème
Plus en détailLes Applications industrielles et commerciales des cellules souches. Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises
Les Applications industrielles et commerciales s cellules souches Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises Matthieu COUTET, Responsable du Pôle Jean-François RAX, Business Analyst 1 Plan Cellules souches
Plus en détailHospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Plus en détailLa santé par la lumière Health by light
Health by light ventes Health by light Un mot du président Cher Client, Laboratoire LEDMA est une entreprise innovatrice, consciencieuse et soucieuse d offrir des produits de haute qualité. Nos produits
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailLes charges virales basses: constat et gestion
Les charges virales basses: constat et gestion Symposium inter-régional viro-clinique Hardelot 25-26 Mai 2011 Laurence Bocket --- Laboratoire de Virologie --- CHRU Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailEcran : Processeur : OS : Caméra : Communication : Mémoire : Connectique : Audio : Batterie : Autonomie : Dimensions : Poids : DAS :
SMARTPHONE - DUAL-CORE - NOIR 3483072425242 SMARTPHONE - DUAL-CORE - BLEU XXXX SMARTPHONE - DUAL-CORE - BLANC 3483072485246 SMARTPHONE - DUAL-CORE - ROSE 3483073704131 SMARTPHONE - DUAL-CORE - ROUGE XXXX
Plus en détailBOURSE DE RECHERCHE QUICK : SECURITE ET HYGIENE ALIMENTAIRE
BOURSE DE RECHERCHE QUICK : SECURITE ET HYGIENE ALIMENTAIRE Professionnels de la restauration rapide : Perception et mise en pratique des recommandations d hygiène pour une maîtrise du risque infectieux
Plus en détailSymposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones
Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio
Plus en détailLa maladie de Stargardt
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Stargardt.
Plus en détail7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision.
7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7.1 Pour la myopie (mauvaise vue de loin) : Test de vision de loin Sur le mur d un pièce, fixez l illustration ci-dessous que vous
Plus en détailMONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013
MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailL opération de la cataracte. Des réponses à vos questions
L opération de la cataracte Des réponses à vos questions Qu est-ce que la cataracte? Quel objectif? Cette brochure vous donne toutes les informations utiles concernant l opération de la cataracte. Définition
Plus en détailConsensus Scientifique sur. les. Champs statiques
page 1/8 Consensus Scientifique sur Source : OMS (2006) les Champs statiques Résumé & Détails: GreenFacts Contexte - Les équipements d imagerie médicale par résonance magnétique (IRM), les trains et les
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détailDIPLÔME UNIVERSITAIRE DE DENTISTERIE ESTHÉTIQUE
UNIVERSITAT DE LES VALLS FACULTÉ DE MÉDECINE DENTAIRE PRINCIPAUTÉ D'ANDORRE DIPLÔME UNIVERSITAIRE DE DENTISTERIE ESTHÉTIQUE Les diplômes de l Universitat de les Valls sont reconnus par l Union Européenne
Plus en détailDéfibrillateur Cardiaque Automatisé
Défibrillateur Cardiaque Automatisé Décret n 2007-705 du 4 mai 2007 : autorise toute personne, même non médecin, à utiliser un défibrillateur pour sauver des vies. Def-i Accessible au grand public, ce
Plus en détailDIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h
ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme
Plus en détailSPVIE SANTé TNS. Professions libérales, Gérants de société, Indépendants Travailleurs Non Salariés au RSI. Brochure
SPVIE SANTé TNS Professions libérales, Gérants de société, Indépendants Travailleurs Non Salariés au RSI Brochure L offre MUTUELLE SANTé des PROFESSIONNELS 1 Vos avantages SPVIE SANTé TNS. Aucune sélection
Plus en détailElectrochirurgie Principes, Applications et Risques. S Roncé nov. 2013
Electrochirurgie Principes, Applications et Risques S Roncé nov. 2013 INTRODUCTION L'utilisation de la chaleur pour arrêter le saignement remonte à plusieurs centaines d'années. Au fil des ans, les chercheurs
Plus en détailMODE D EMPLOI Boitier de programmation SKY300046-01
MODE D EMPLOI Boitier de programmation SKY300046-01 INTRODUCTION Merci d avoir fait l acquisition du Boitier de programmation SkyRc (SKY300046-01). Veuillez lire complètement et attentivement ce manuel
Plus en détailDEMANDE DE SOUTIEN POUR L ENTRETIEN D UNE INFRASTRUCTURE COMMUNE RÉSEAU DE RECHERCHE EN SANTÉ DE LA VISION DU FRQS Concours 2015-2016
DEMANDE DE SOUTIEN POUR L ENTRETIEN D UNE INFRASTRUCTURE COMMUNE RÉSEAU DE RECHERCHE EN SANTÉ DE LA VISION DU FRQS Concours 2015-2016 Objectif Le but du programme des infrastructures communes est d offrir
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailFICHE TECHNIQUE CARACTERISTIQUES TECHNIQUES DE L'AEDPLUS
RENSEIGNEMENTS GENERAUX La réponse aux questions suivantes n'est pas valorisée Nom commercial du produit ZOLL AEDPlus Lieu(x) de fabrication pays U.S.A. Date de la 1ère commercialisation mois/année Juin
Plus en détailDIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE. Responsables de l enseignement :
DIU de rééducation pelvi-périnéale DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE Responsables de l enseignement : Pr. Gérard AMARENCO (UPMC), Pr. Michel COSSON (CHU Lille), Pr. Gilberte ROBAIN (UPMC) 1. Cible La
Plus en détailet de suivi de la corpulence des enfants
CALIMCO Logiciel d'évaluation et de suivi de la corpulence des enfants version 2.0 1 / 8 1.Introduction En 2004, un logiciel, CalIMCo, produit dans le cadre du PNNS, a été diffusé sous forme de CD Rom
Plus en détailConneCtez-vous au soleil. au soleil
ConneCtez-vous au soleil ConneCtez-vous au soleil «L éclairage intérieur est un trait de caractère majeur de l ambiance d un bâtiment. Une lumière naturelle engendre une sensation de bien-être et de confort
Plus en détailEVOLUTION DE CESSIONS DES PSL ET OBJECTIFS 2013 EN AQUITAINE-LIMOUSIN
REHAL : actualités et perspectives; 10 ème journée 22 novembre 2012 EVOLUTION DE CESSIONS DES PSL ET OBJECTIFS 2013 EN AQUITAINE-LIMOUSIN Dr Azzedine ASSAL Directeur EFS-AQLI LA RÉGION AQUITAINE-LIMOUSIN
Plus en détailSONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014
1 SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014 Document d information Le 2 décembre 2014. Le Sondage national des médecins est un important projet de recherche continu qui permet de recueillir les opinions de médecins,
Plus en détailJean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966
Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966 MON VISAGE A LA MANIERE DE JEAN DUBUFFET OBJECTIFS - utiliser son expérience sensorielle visuelle pour produire une œuvre picturale. - réaliser une œuvre s'inspirant
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT Les étapes du don de rein DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT concerner CHACUN le don du vivant 3 /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. Exposition temporaire «Très toucher»
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Exposition temporaire «Très toucher» Du 7 juillet au 7 décembre 2012 à L Arche des Métiers L ARCHE DES MÉTIERS - CCSTI de l Ardèche Place des Tanneurs BP 55-07160 LE CHEYLARD Tél.
Plus en détailPARTENAIRES SPVIE SANTE T.N.S. Brochure
SPVIE SANTE T.N.S. Brochure Valable à compter du 1 er Janvier 2015 Vos AVANTAGES SPVIE SANTÉ TNS 1. Aucune sélection médicale à l entrée.. Une couverture immédiate à la souscription, sans délai de carence..
Plus en détailJeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur
PROJET JANUS Jeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur Contact : alain.gaboriaud@cnes.fr OBJECTIFS Satellites Etudiants
Plus en détailLe logiciel EduAnatomist.
Le logiciel EduAnatomist. Les travaux de l équipe ACCES (Actualisation Continue des Connaissances des Enseignants en Sciences) de l INRP restent, hélas, largement méconnus des enseignants de SVT. Pourtant,
Plus en détailmedical vision group
medical vision group «Nos clients et partenaires sont pour nous des êtres humains, avec leurs attentes, concrètes et professionnelles, et leurs sentiments. Aller à leur rencontre est notre force.» medicalvision
Plus en détailFaculté des Sciences d ORSAY
Université Paris-Sud 11 Faculté des Sciences d ORSAY Personnes ressources des disciplines représentées : Département de Biologie Vice-Président : Hervé DANIEL Secrétaire : Malika DERRAS Université Paris-Sud
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailFeedbacksystem Monitoring de la marche en appui partiel avec cannes anglaises
Feedbacksystem Monitoring de la marche en appui partiel avec cannes anglaises L APPUI PARTIEL MESURER AU LIEU D ÉVALUER Après chirurgie orthopédique ou d urgence, l indication médicale est souvent ordonnée
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailIPL SHR MED-120C+ Super Hair Removal, dépilation permanente
IPL SHR MED-120C+ Super Hair Removal, dépilation permanente M o d e d ' e m p l o i La dernière version de cette brochure est disponible sur notre site www.ophethom.com dans l espace professionnel Traduction
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailUn comparatif de rétinographes non mydriatiques
Un comparatif de rétinographes non mydriatiques Xavier Zanlonghi L es rétinographes non mydriatiques (RNM), qui, dans leur conception d origine n étaient pas destinés aux ophtalmologistes, ont depuis fait
Plus en détailQu est-ce que la PACES?
Qu est-ce que la PACES? Depuis la rentrée 2010, et selon l arrêté du 28 octobre 2009 publié au journal offi ciel du 17 novembre 2009, les premières années de médecine et de pharmacie, ainsi que celles
Plus en détailUn centre de simulation : pourquoi et comment? Conférence Management, CHU Toulouse Anne-Claude Allin 9 avril 2014
Un centre de simulation : pourquoi et comment? Conférence Management, CHU Toulouse Anne-Claude Allin 9 avril 2014 Plan de présentation 2 Vous avez dit simulation? La simulation est une technique d enseignement
Plus en détaildes banques pour la recherche
ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs
Plus en détailL indépendance à chaque pas de la vie. Groupe. Votre meilleur allié. Visitez notre site : www.groupe-g2m.com
L indépendance à chaque pas de la vie. Votre meilleur allié. Groupe Visitez notre site : www.groupe-g2m.com : Votre meilleur allié. Dispositif médical unique Le système WalkAide est une neuro-orthèse de
Plus en détailPROGRESSONS MAIN DANS LA MAIN EN IMPLANTOLOGIE
PROGRESSONS MAIN DANS LA MAIN EN IMPLANTOLOGIE Institut de Formation en Parodontologie et Implantologie Orale Véritable formation à la fois clinique & théorique basée sur la transmission des connaissances
Plus en détailSimulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE
Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE LAURENT Rémy laurent@clermont.in2p3.fr http://clrpcsv.in2p3.fr Journées des LARD Septembre 2007 M2R
Plus en détailLe DMP en Bretagne. Assemblée générale ANIORH. Vendredi 7 Décembre 2012
Le DMP en Bretagne Assemblée générale ANIORH Vendredi Ordre du Jour 1- Présentation du DMP 2- Déploiement du DMP en Bretagne 3- Présentation de la démarche en établissement 4- Présentation de la démarche
Plus en détailAnalyse des bruits de clavier d ordinateur
Analyse des bruits de clavier d ordinateur Introduction 1 Enregistrement des bruits de clavier 2 Analyse des bruits de clavier 3 Analyse du niveau de pression acoustique vs. temps 4 Sonie vs. temps 4 Acuité
Plus en détailLES ETUDES DE MASSO-KINESITHERAPIE
0-0 LES ETUDES DE MASSO-KINESITHERAPIE Admission Pour être admis en première année de masso-kinésithérapie, les étudiants doivent remplir les quatre conditions suivantes: - être titulaire du baccalauréat
Plus en détailOrigine du courant électrique Constitution d un atome
Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité
Plus en détailTuméfaction douloureuse
Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire
Plus en détailPrévenir... les accidents des yeux
Prévenir... les accidents des yeux 19 Ce qui peut venir troubler notre vision Chaque année, des milliers de personnes perdent la vue ou ont une importante baisse de la vision, à la suite d un accident
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailIntroduction à l informatique temps réel Pierre-Yves Duval (cppm)
Introduction à l informatique temps réel Pierre-Yves Duval (cppm) Ecole d informatique temps réel - La Londes les Maures 7-11 Octobre 2002 -Définition et problématique - Illustration par des exemples -Automatisme:
Plus en détailBases de données des mutations
Bases de données des mutations CFMDB CFTR2 CFTR-France / Registre Corinne THEZE, Corinne BAREIL Laboratoire de génétique moléculaire Montpellier Atelier Muco, Lille, 25-27 septembre 2014 Accès libre http://www.genet.sickkids.on.ca/app
Plus en détailUn laboratoire d auto-immunité paperless : mythe ou réalité? L.Lutteri Laboratoire d auto-immunité Service de Chimie Clinique CHU Liège
Un laboratoire d auto-immunité paperless : mythe ou réalité? L.Lutteri Laboratoire d auto-immunité Service de Chimie Clinique CHU Liège Immunofluorescence Dépistage Aspect Titre Cellules Hep 2: Connectivites
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailVue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies
Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies DIAPOSITIVE 1 Cette présentation fournit une vue d ensemble de l Office of Cellular, Tissue, and Gene Therapies (bureau des thérapies cellulaires,
Plus en détailFÊTE DE LA SCIENCE 2005 (Village des Sciences)
FÊTE DE LA SCIENCE 2005 (Village des Sciences) Présentation des applications de réalité virtuelle et augmentée présentées par le Laboratoire LISA les samedi 15 et dimanche 16 octobre 2005 à l Ecole Supérieure
Plus en détailLes défis de l éducation en ligne
Session APF, Berne 10 juillet 2015 Les défis de l éducation en ligne Patrick Aebischer Formation en ligne: l avènement des MOOCs Rien de fondamentalement nouveau sur le fond Nouveauté: changement d échelle,
Plus en détailChapitre 6 Test de comparaison de pourcentages χ². José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 6 Test de comparaison de pourcentages χ² José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Nature des variables
Plus en détailPrix communication jeunes chercheurs JFR 2010
Prix communication jeunes chercheurs JFR 2010 Télé échographie abdominale et fœtale en temps différé * Toussaint Kokou ADAMBOUNOU Objectif : Mise au point d un système de télé échographie entre sites «non
Plus en détail1S9 Balances des blancs
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.
Plus en détailACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE. Dr JF Gravié FCVD
ACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE Dr JF Gravié FCVD CONTEXTE (1) Risques électriques de 0,1 à 0,4% Enquête de pratique * 506 chirurgiens: 18% expérience personnelle, 54% connaissaient un
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailNom : Prénom :. Date :..Classe : 2 TECHNIQUES DE MODIFICATION DE LA COULEUR DES CHEVEUX
2 TECHNIQUES DE MODIFICATION DE LA COULEUR DES CHEVEUX Objectif : Indiquer les règles de base de colorimétrie en coiffure (échelle de tons, reflets) LA COLORIMETRIE Du soleil nous parvient la lumière du
Plus en détailSite Professionnel Opticiens : http://espaceprofessionnel.apgis.com
apgis Institution de prév oyance 12 rue Massue 94684 Vincennes cedex Site Professionnel Opticiens : http://espaceprofessionnel.apgis.com QUELQUES EXPLICATIONS Institution de Prévoyance agréée par le Ministère
Plus en détailInvestissements socialement responsables à Retraites Populaires, un axe majeur de la politique de développement durable de l entreprise
Investissements socialement responsables à Retraites Populaires, un axe majeur de la politique de développement durable de l entreprise Perry Fleury, responsable RH et DD Forum durable Suisse romande 2
Plus en détailL INSUFFISANCE CARDIAQUE
L INSUFFISANCE CARDIAQUE EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS À BASE DE CELLULES SOUCHES POUR L INSUFFISANCE CARDIAQUE? Bien qu aucun traitement à base de cellules souches pour l insuffisance cardiaque n ait encore
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailPositionnement de l implant
HORS SÉRIE Hors série - 2009 Positionnement de l implant Déterminants biologiques et précision NobelActive NobelGuide Chirurgie à minima et esthétique ESTHÉTIQUE ET CHIRURGIE GUIDÉE AVEC NOBELACTIVE PAR
Plus en détailRetrouver une qualité de vie. Les implants dentaires : la meilleure solution naturelle. Education des patients
Retrouver une qualité de vie. Les implants dentaires : la meilleure solution naturelle. Education des patients Les implants dentaires : la meilleure option de traitement. Qu est-ce qu un implant dentaire?
Plus en détailA la découverte du Traitement. des signaux audio METISS. Inria Rennes - Bretagne Atlantique
A la découverte du Traitement des signaux audio METISS Inria Rennes - Bretagne Atlantique Les conférences scientifiques au Lycée Descartes Imagerie médicale et neuronavigation par Pierre Hellier Le respect
Plus en détailCarnet de bord. www.mfbco.fr COMPLÉMENTAIRE SANTÉ. La Mutuelle de la mer
Carnet de bord www.mfbco.fr COMPLÉMENTAIRE SANTÉ La Mutuelle de la mer INFOS PRATIQUES Comment vous faire indemniser? Vos frais de santé sont directement transmis par l ENIM et les CPAM conventionnées.
Plus en détailVentilateur pulmonaire pour soins intensifs, réanimation et premier secours. 360 x 245 x 300 mm (sans moniteur) Cycle à temps et volume constant
SIARETRON 3000 ICU Ventilateur pour soin intensif code: 960136 Rev. 1-01/01/2009 CARACTERISTIQUES PRINCIPALES Destination d usage Ventilateur pulmonaire pour soins intensifs, réanimation et premier secours.
Plus en détailNeurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE
La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée
Plus en détailLeica MZ FLIII. Stéréomicroscope pour fluorescence un exemple lumineux de la technologie innovatrice de Leica.
Leica MZ FLIII Stéréomicroscope pour fluorescence un exemple lumineux de la technologie innovatrice de Leica. Leica MZ FLIII Observer en 3 dimensions L étude des organismes vivants, de leurs fonctions
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailTPE Artema IP. Manuel de l'utilisateur
TPE Artema IP Manuel de l'utilisateur TPE Artema IP - Manuel utilisateur.docx Page 1 / 27 SOMMAIRE 1. Historique... 3 2. Mise en route du TPE... 4 2.1. Présentation du Matériel... 4 2.2. Déballage et connexion
Plus en détailIMMED Monitoring vidéo porté
IMMED Monitoring vidéo porté L indexation vidéo au service du soin des personnes Projet financé par PEPS S2TI CNRS et des bourses BQR de l Université Bordeaux 1 1 Contexte Maladies et dépendances liées
Plus en détail