Gilles Huguet. Réunion de familles. Publibook

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5 Introduction En 1997, A. Bruel Président du Tribunal pour Enfants de Paris écrivait dans l introduction de son rapport 1 : «Il existe une contradiction entre une domination masculine qui imprègne encore fortement nos mentalités et un effacement apparent de l homme moderne dans sa propre famille avec un rôle éducatif devenu inconsistant au point de ne plus même susciter d opposition.» Cette ambiguïté était déjà au sein des débats sur l éducation et la société. Alors que les derniers textes sur l autorité parentale redonnent au père une place plus importante en cas de concubinage et repositionnent le couple à part égale dans son rôle éducatif, E. Badinter tentait, déjà en 1992, d analyser l évolution de la paternité et la place de l homme dans la société occidentale, partagée entre ses valeurs passées et son présent. En mai 1998, M. André dans son rapport sur La vie quotidienne des familles, 2 parlait de l évolution des mentalités et des représentations, et disait : «il convient d aider les parents, et plus particulièrement les pères, à assurer leur rôle parental et notamment la fonction d autorité qui lui est attachée.» 1 Bruel, A., Un avenir pour la paternité? Jalons pour une politique de la paternité. Rapport présenté au Ministère de l Emploi et de la Solidarité, 24/06/97. 2 Rapport à Madame la Ministre de l emploi et de la solidarité, Conférence de la famille, La vie quotidienne des familles,

6 Le danger de ce qui est dit dans ces rapports, comme dans les livres qui ont traité ce sujet, est la généralisation. On y lit que les pères n assurent plus leur rôle parental et par conséquent que tous les hommes ont perdu leur place dans la société, qu ils n assurent plus ni leur rôle, ni leur fonction et s en remettent aux femmes, qui doivent tout assumer. Il est vrai cependant que les rapports entre les hommes et les femmes ont changé, mais de là à affirmer que l apparition de ce nouveau concept a entraîné une perte du rôle de l homme, n est-ce pas conclure un peu vite? Le père réunionnais ne s occupe pas ou que très peu de son enfant ; cette tache est celle de la mère. Les structures familiales réunionnaises font que le père est souvent absent du domicile, absent parce que manquant ou absent symboliquement. Les familles monoparentales sont nombreuses. Souvent la présence d un homme au foyer n est pas synonyme de structure familiale stable, car l absence de reconnaissance de l homme fait que ce dernier ne peut prétendre à avoir une place à part entière au sein du domicile maternel. «De toute évidence le père n occupe plus la place qui lui revient dans notre société moderne. En conséquence il ne peut, ou ne veut, pas remplir la fonction naturelle qui est la sienne.» 3 Telles, sont les réflexions et les idées reçues que l on entend le plus souvent sur l homme réunionnais. Même si les mentalités ont évolué, l approche de la paternité reste à mon sens problématique encore aujourd hui dû à la différence entre la réalité et sa représentation. 3 Raymond CAZAL, in En vie de famille. Au nom du père? Au nom de la mère? Aux noms d ici et d ailleurs, Actes du colloque international, Saint-Denis, Université de la Réunion, ARSPY, 1994, p

7 La société réunionnaise du fait de sa diversité géographique, ethnique et humaine ne peut se réduire qu à un seul fonctionnement, et la plupart des travaux effectués sur ce sujet ne permettent pas de généraliser leurs conclusions. Ce que E. Wolf (1989) a mis en évidence dans Quartier de vie 4, n est valable que pour la population du Chaudron au moment où elle l a étudiée. Les conclusions de B. Biros (1979) ou C. Petit (1995) ne sont valables que pour la population qu ils ont observée, à savoir une population suivie dans le cadre de la cure thérapeutique. «Depuis la départementalisation chez les cafres et les métis, l image dominante de la femme-mère persiste en face du père, ancien esclave «sous homme» et est valorisée par le renforcement de sa valeur économique dans le couple, en particulier par la perception directe par la mère des allocations familiales.» 5 Ces réflexions, qui sont valables pour un type de population, ont cependant été généralisées par les médias ; ces derniers ayant fait en général du père réunionnais un homme absent, démissionnaire Cependant, même si les idées sur ce sujet évoluent, l absence et surtout le manque d étude globale concernant la famille réunionnaise ou les familles réunionnaises, ne permettent pas de dresser un tableau exhaustif de la réalité du fait de la diversité de cette île au niveau culturel. L évolution que la Réunion a connue à partir des années , a amené des bouleversements dans ses structures économiques, sociales et familiales. Aujourd hui, nous pouvons mettre en opposition les villes, qui connaissent une urbanisation et une modernisation 4 Wolf, E., Quartiers de vie, ARCA/CIIRF, Université de la Réunion, Saint-André, Graphica, Biros, B., Essai sur l identité créole à l Ile de la Réunion, Thèse de doctorat en médecine, 1979, p

8 accélérées et les écarts qui n ont connu les avances de la modernité que plus tardivement. Si cela a permis à la population rurale de conserver des valeurs qui semblent avoir disparu chez les citadins ou du moins être en régression, ce décalage est de moins en moins visible du fait de l accélération des déplacements. Le père, compte tenu des diversités ethniques et des situations géographiques, n a pas le même rôle, la même place et de ce fait, la famille n a pas le même fonctionnement. De nos jours il existe encore des familles qui ont gardé une structure «traditionnelle», ce pour diverses raisons. Ainsi, le sud sauvage de l île qui a connu un développement moins rapide que le nord, semble avoir préservé ces valeurs. Ainsi, si nous pouvons trouver à la Réunion des familles où l absence physique ou symbolique du père entraîne des dysfonctionnements, cependant il existe des familles qui ont gardé une structure équilibrée où chacun occupe une place définie au sein du foyer, répondant à des facteurs externes et/ou internes. Dans un premier temps, nous étudierons la famille à travers différentes approches complémentaires que sont l anthropologie, l histoire, la sociologie, la psychologie et la psychanalyse. Cela nous permettra de prendre en compte le rôle de chacun des membres de cette structure sociale et ainsi de voir les rapports existants entre eux au fil des siècles. Cette approche historique nous informe sur la famille qui n est pas figée et se situe dans une évolution dynamique, même si certaines fonctions symboliques mises en avant par la psychologie et la psychanalyse sont immuables. L étude des pères évoque le rôle des membres de la famille avec plus de précision et complète l approche globale de la famille. 12

9 Après cet apport général sur la famille et ses membres, nous évoquerons la Réunion et l origine de ses premiers habitants. Cela permettra de situer les bases de la culture créole, car elle s est construite des premiers apports de ses habitants, même si elle a évolué avec le temps. Parmi les notions abordées, la Kour est un terme qui revient souvent dans les échanges concernant la famille. Si elle est proche de la notion de clan, elle a quand même une particularité. L étude des différentes ethnies de la Réunion dans leur migration et leur culture familiale nous aidera à comprendre de la complexité de la société réunionnaise. Ce texte n est pas un travail achevé face à la complexité de la famille. Cette dernière évolue et elle amène la société à changer, cependant les deux cheminent simultanément. Du fait de la départementalisation, la Réunion a connu une «accélération» de son temps qui jusque-là pouvait être qualifié d agricole et de colonial. Elle est aujourd hui une société tertiaire informatisée qui connaît les mêmes évolutions que la métropole, avec cependant encore des particularités locales. 13

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11 La famille C est une évidence que la famille se trouve au cœur de toutes les sociétés. Cependant en fonction des lieux et des périodes de l histoire elle n a pas la même forme, ne répond pas aux mêmes règles sociales, montrant ainsi non seulement son universalité dans le concept, mais en même temps sa spécificité par rapport à son groupe d appartenance. Nous pouvons observer à travers les études réalisées sur ce sujet la part de plus en plus importante de la prise en compte de l individu face au groupe. La famille est formée de deux, trois, voire plusieurs personnes, mais l individu reste au milieu de cette structure, répondant à des règles de fonctionnements, mais les faisant également évoluer. Ainsi, le père n existe qu à travers la famille, qui lui donne son statut social, tout comme la mère et ce statut est généré par l apparition de l enfant. En fonction des disciplines, nous n observons pas les mêmes faits, mais toutes permettent de mieux comprendre l évolution et la spécificité de cette structure sociale de base de la société. 15

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13 Anthropologie Aborder la famille en anthropologie implique de s interroger sur les types d alliances, les règles de choix du conjoint ou plus simplement la notion et la définition de la cellule familiale. Les approches peuvent donc être multiples. Les dénominations des membres de la famille À partir des noms que les Iroquois utilisaient pour dénommer leurs parents, L. Morgan a élaboré le premier système de parenté. Par la suite, il recueillit le même type de données à travers le monde et put ainsi établir les 5 grands types de dénominations familiales à partir desquels nous pouvons classer tous les autres. Aujourd hui ces types sont toujours utilisés. Le type hawaïen. Le même terme désigne les hommes et femmes d un même degré de parenté. Ainsi toutes les personnes de la génération des parents seront dénommées «père ou mère», ceux de la génération d Ego (c est-à-dire de la personne à partir de laquelle nous nous situons) seront «frère ou sœur», ceux des enfants d Ego seront «fils ou fille». Ce système de parenté classe non pas les individus en fonction de leur position par rapport à Ego, mais par 17

14 rapport à la génération. Ce système permet non seulement une filiation indifférenciée, puisque les côtés maternel et paternel ont autant d importance, mais également une prise en compte de la famille étendue. Le type eskimo Pour les Eskimos, il y a une distinction entre les sœurs et les cousins croisés 6 ou parallèles, ces derniers ayant la même dénomination. En anthropologie, le type eskimo est la référence pour la famille dite nucléaire, c est-à-dire un père, une mère, et un enfant ou plusieurs. Ce système implique une filiation indifférenciée. Le type iroquois Chez les Iroquois, où il y a filiation matrilinéaire, il existe une assimilation entre les individus. En effet, tous les enfants assimilent les sœurs de leur mère à leur mère, et de même pour les frères de leur père. Cependant une distinction existe entre les cousins parallèles et croisés. Les enfants de la sœur de la mère auront la même dénomination que les sœurs réelles, tandis qu une distinction sera faite pour les filles des oncles maternels. En résumé, nous pouvons dire que la règle de dénomination est d appliquer le même terme de parenté pour tous les membres de même sexe, d un même groupe, excluant ainsi les cousins croisés du côté maternel et paternel. 6 Cousin croisé : fils de la sœur du père ou du frère de la mère. Cousin parallèle : fils de la sœur de la mère ou du frère du père. 18

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