Les cancers de la peau I N F O R M A T I O N & P R É V E N T I O N

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1 Les cancers de la peau I N F O R M A T I O N & P R É V E N T I O N

2 Les cancers de la peau Ce sont les cancers les plus fréquents, mais aussi les plus guérissables. Ils peuvent se révéler sous deux formes : les carcinomes cutanés et les mélanomes. En France, environ carcinomes et nouveaux cas de mélanomes sont diagnostiqués chaque année. En Europe, aujourd hui, parmi toutes les formes de cancer, les cancers de la peau sont, avec celui du poumon, ceux qui augmentent le plus vite. Leur progression est en Europe de 5 à 7 % par an. On distingue essentiellement 2 types de tumeurs cutanées > les carcinomes, développés au dépend de cellules de l épiderme : couche basale (baso-cellulaire) et inférieure (spinocellulaire) (voir schéma). Ce sont les plus fréquents : 90 % des cancers de la peau dont 70 % pour les baso-cellulaires et 20 % pour les spino-cellulaires. Les carcinomes surviennent la plupart du temps après la cinquantaine et sont facilement guérissables. Les carcinomes baso-cellulaires ne développent jamais de métastases* ; les spinocellulaires assez rarement, principalement dans les ganglions lymphatiques* proches de la tumeur. > les mélanomes, développés au dépend des cellules qui fabriquent les pigments mélaniques (les mélanocytes) d où leur nom (voir schéma). Ces cellules sont nombreuses dans certains grains de beauté ou naevus. Ces cancers sont beaucoup plus rares, mais peuvent survenir assez tôt dans la vie. Il faut les détecter et les traiter rapidement pour en assurer la guérison, car ils peuvent diffuser dans tout le corps et donner des métastases beaucoup plus difficiles à traiter. Les rayons solaires pénètrent profondément dans la peau UVB 4% UVA 3,9% Lumière visible 51,8% Infrarouge 43,9% 1 Couche cornée 2 Couche spino-cellulaire 3 Couche basale et mélanocytes 4 Derme Comment les reconnaître? 5 Tissu sous-cutané > Les carcinomes Le carcinome baso-cellulaire peut avoir l aspect une petite perle qui se développe lentement et progressivement ou d une petite zone blanchâtre, cicatricielle qui s agrandit petit à petit ou encore une ulcération* qui ne cicatrise pas. Le carcinome spino-cellulaire apparaît sous forme une croûte qui bourgeonne et peut ensuite saigner. Toute lésion cutanée qui ne cicatrise pas après 2 mois doit amener à demander un avis médical. Ces cancers apparaissent le plus souvent sur le visage, les épaules, les avant-bras et les mains. > Les mélanomes Ils apparaissent assez fréquemment sur le tronc chez l homme et sur les jambes chez la femme, mais aussi sur n importe quelle zone du corps. Ils se développent assez rapidement, souvent à partir d un grain de beauté plat, sans poil. est une lésion d aspect pigmenté qui s étend en superficie d abord, en épaisseur ensuite, change de forme et de couleur. Toute lésion de ce type se modifiant, ou d apparition récente, doit amener à demander un avis médical. * cf glossaire p

3 L ABCDE Conçue par les médecins américains, la règle de l ABCDE récapitule les caractéristiques devant faire craindre un mélanome. Si vous remarquez une lésion pigmentée présentant un ou plusieurs de ces signes, vous devez consulter rapidement : > une Asymétrie, > des Bords irréguliers > une Couleur non homogène, polychrome* > un Diamètre égal ou supérieur à 6 mm > une Évolution : changement de taille, de forme, épaisseur, de couleur ablation* chirurgicale de la lésion permettra de analyser au microscope, de s assurer du diagnostic et de la traiter. Comment les traiter? Pour les carcinomes, chirurgie et/ou radiothérapie sont efficaces. Pour les mélanomes, le traitement repose essentiellement sur la chirurgie. En fonction de leur épaisseur, il sera nécessaire de refaire une ablation complémentaire de peau autour de la lésion enlevée, constituant ainsi une marge de sécurité qui sera d autant plus importante que le mélanome sera plus épais. Il faudra parfois enlever les ganglions lymphatiques* situés dans la région de la tumeur. Dans tous les cas, une surveillance régulière est indispensable : une personne ayant eu un carcinome présente un risque élevé d en refaire un second et, de même, une personne ayant eu un mélanome risque de voir apparaître une récidive qui pourra nécessiter un traitement rapide. * cf glossaire p.13 Comment les prévenir? Toutes les études réalisées montrent que exposition au soleil est un facteur important dans le développement des cancers de la peau, quels qu ils soient. Pour les spino-cellulaires, les risques augmentent avec le nombre d heures d exposition. A ce titre, les sujets travaillant en permanence à l extérieur (marins, cultivateurs, etc.) constituent une population dite à risque. Les sujets les plus à risque sont ceux ayant une peau de type blond ou roux, ne bronzant pas ou peu et ne se protégeant pas. Pour les baso-cellulaires et les mélanomes, il apparaît aujourd hui que des coups de soleil reçus pendant l enfance (avant 10 ans) représentent un facteur majeur de risque. D où l importance de protéger tout particulièrement les enfants! Là aussi les sujets bronzant peu représentent un groupe à plus haut risque. Mais d autres caractéristiques interviennent comme, pour le mélanome, le nombre de grains de beauté, par exemple. Votre peau au soleil La peau est une barrière et un lieu d échanges. Elle permet l élimination des déchets (sueur) et régularise la température. Elle est une barrière imperméable grâce à la couche superficielle cornée, barrière immunologique pour rejeter les agresseurs extérieurs bactériens, viraux ou chimiques, barrière pigmentée pour protéger contre le soleil. Dépendant de la nature de la peau, le phototype permet de déterminer l importance des protections nécessaires et les risques liés à l exposition solaire. Plus le phototype est faible, plus le sujet doit se protéger du soleil. 3 4

4 Identifiez votre phototype pour connaître votre sensibilité aux U.V. PHOTOTYPE 1 > Coups de soleil constants, peau très claire, de type roux, taches de rousseur se développant rapidement.. Ne cherchez pas à bronzer.. Il faut une protection maximale dès la toute petite enfance et l exposition solaire est tout à fait déconseillée.. Crème à utiliser : écran absolu. PHOTOTYPE 2 > Peau très claire, coups de soleil constants, possibilité d un léger hâle, apparition de taches de rousseur.. Ne cherchez pas à bronzer.. Il faut une protection maximale et s exposer le moins possible.. Crème à utiliser : écran d un indice supérieur à 30. PHOTOTYPE 3 > Coups de soleil occasionnels, bronzage facile.. Protection moyenne et expositions prudentes.. Crème à utiliser : écran un indice supérieur à 15. PHOTOTYPE 4 > Coups de soleil exceptionnels, bronzage extrêmement rapide.. Exposition progressive.. Crème hydratante, écran un indice supérieur à 10 les premiers jours. PHOTOTYPE 5 > Peau naturellement pigmentée claire.. Exposition progressive.. Crème hydratante. PHOTOTYPE 6 > Peau noire.. Exposition progressive.. Crème hydratante. UVA et UVB ont une action différente > Les UVA stimulent l oxydation de la mélanine qui accroît temporairement la pigmentation de la peau : à dose élevée, ils provoquent le vieillissement prématuré de la peau (rides). > Les UVB stimulent également la production de mélanine, mais d une manière plus lente que les UVA. Les UVB provoquent les coups de soleil. Ils entraînent également un vieillissement prématuré de la peau (taches pigmentées), en cas exposition trop importante. On sait aujourd hui que les UVA comme les UVB peuvent entraîner des cancers cutanés. L index U.V. est une échelle de mesure indiquant les risques encourus en fonction de : intensité du rayonnement solaire épaisseur de la couche d ozone les conditions atmosphériques (nuages) le lieu (altitude, latitude...) le moment de la journée. Plus l index est élevé, plus les risques de coup de soleil augmentent (pour une même durée d exposition). Il faut donc diminuer sa durée d exposition lorsque l index augmente, comme l indique les tableaux ci-après. 5 6

5 Valeur de l index Protection Peau sensible (phototypes I et II) Temps pour coup de soleil 1 à 3 Lunettes Plus d une heure Lunettes, chapeau, 4 à 6 30 minutes teeshirt, crème Lunettes, 7 à 9 chapeau, tee-shirt, 20 minutes crème, parasol 10 + Ombre de 15 minutes Valeur de l index Peau moins sensible (phototypes III et IV) Protection Temps pour coup de soleil 1 à 3 Lunettes Plus d une heure 4 à 6 Lunettes, chapeau, crème 1 heure Lunettes, 7 à 9 chapeau, crème, 40 minutes vêtements Lunettes, 10 + chapeau, crème, + de 30 minutes vêtements, ombre En France, l index U.V. est donné par la METEO SOLAIRE, de juin à septembre (3615 SECURITE SOLAIRE ou Toute exposition doit être évitée entre 12 heures et 16 heures (heure légale d été). A retenir > Préparation au soleil Il n existe pas de préparation efficace au soleil : les autobronzants ne servent à rien. Ils ne font que colorer la peau sans la protéger, s ils ne contiennent pas de filtre solaire. > Durée d exposition Nous ne sommes pas égaux devant le soleil : la durée d exposition raisonnable est fonction de la nature de la peau de chacun. Pour connaître votre phototype*, référez-vous aux pages 5 et 6. > Ecrans solaires Les écrans solaires ne sont jamais totaux. Ils laissent toujours passer une certaine quantité d U.V. Ils protègent seulement contre les coups de soleil! Pour une protection à la fois contre les UVB et UVA, il faut un indice au moins égal à 25. Mais surtout utiliser un écran solaire ne doit pas vous inciter à vous exposer plus longtemps. Dans tous les cas, pensez à renouveler son application régulièrement (toutes les deux heures au minimum) et après le bain, en couche épaisse (2mg/cm 2!). > Protection Les vêtements secs (T-shirt, chapeau à larges bords, pantalon, etc.) constituent la meilleure protection contre le soleil. A la plage, ne vous croyez pas totalement à l abri sous un parasol, celui-ci n arrête pas les rayons réfléchis par le sable. > Nuages, vent et baignades Nuages, vent et baignades ont un effet trompeur : en vous procurant une sensation de fraîcheur, ils vous donnent l impression de ne pas être trop exposé. En réalité, même les nuages ne filtrent qu une partie des rayons ultraviolets. > Sable, neige et plans d eau Sable, neige et plans d eau augmentent le danger, quelle que soit la température extérieure. En effet, ces milieux réfléchissent le soleil ; vous êtes donc doublement exposé! > Rayonnement UV Non seulement lors de vos bains de soleil, mais également en pratiquant un sport de plein air ou tout simplement en marchant au soleil, vous êtes soumis au rayonnement UV. * cf glossaire p

6 Le cancer Le cancer se caractérise par un développement anarchique et ininterrompu de cellules anormales dans l'organisme qui aboutit à la formation d'une tumeur ou grosseur. Cette population de cellules agresse et détruit l'organe dans lequel elle est implantée et peut migrer dans d'autres parties du corps (on parle alors de métastases). Si la prolifération n'est pas stoppée, le cancer se généralise plus ou moins rapidement. Quelques chiffres En France, le cancer est la seconde cause de mortalité après les maladies cardio-vasculaires et plus de décès lui sont imputables chaque année. C'est la première cause de décès prématuré (avant 65 ans) et la première cause de mortalité chez l'homme. Environ nouveaux cas de cancer sont diagnostiqués chaque année. Actuellement, un cancer sur deux en moyenne (toutes localisations confondues) peut être guéri. Le cancer n'est pas contagieux. Le cancer n'est pas héréditaire, sauf dans de très rares cas, mais il existe des terrains (prédispositions familiales) qui fragilisent le sujet vis-à-vis des facteurs toxiques, notamment ceux liés au mode de vie, qui peuvent le favoriser. Environ 70 % des cancers (plus de 85 % des cancers du poumon) sont attribuables à des modes de vie et aux comportements. La prévention et le dépistage sont donc essentiels. Le rôle du médecin Le médecin généraliste a un rôle fondamental dans les stratégies de prévention et de dépistage. N'hésitez pas à le consulter. Il est là pour vous informer sur les facteurs de risque, les moyens de dépistage et de prévention. En général, plus un cancer sera décelé tôt, plus vite il sera soigné et aura des chances de guérir. Prévention et dépistage La prévention des cancers tend à diminuer ou supprimer l'exposition à des facteurs de risques. Les actions de prévention ont souvent un caractère éducatif et collectif comme par exemple la lutte contre le tabagisme, l'alcoolisme, les expositions professionnelles... Le dépistage consiste à détecter des lésions précancéreuses ou cancéreuses à un stade très précoce, avant même que le patient n'en ressente les premiers symptômes. Par exemple, le cancer du sein peut être dépisté au moyen d'examens tels que la mammographie ; le cancer du col de l'utérus par le frottis cervical ; le cancer du côlon-rectum par le test Hémocculte II. Plus le diagnostic est précoce, moins les traitements sont lourds et plus les chances de guérison sont grandes. Les connaissances s'améliorent en permanence, il faut donc s'informer régulièrement auprès d'un médecin, en consultant des brochures ou le site sur les facteurs de risques, les examens à pratiquer, les signes d'alarme qui peuvent révéler la maladie. Les signes d alarme 1. La peau : apparition ou modification de forme, de couleur, d'épaisseur d'un grain de beauté ou d'une tache ocrée. 2. Changements dans le fonctionnement des intestins (constipation, diarrhée) ou de la vessie (fréquente envie d'uriner). 3. Persistance d'une voix enrouée ou de toux. 4. Troubles permanents pour avaler de la nourriture. 5. Une enflure ou une boule non douloureuse et qui ne disparaît pas (dans le sein, au cou, dans l'aine, dans les testicules). 6. Apparition de sang dans les urines, les selles, en dehors des règles chez les femmes. 7. Perte de poids, anémie, fatigue inhabituelle. 9 10

7 Qu est-ce que La Ligue? Créée en 1918, La Ligue Contre le Cancer est une association à but non lucratif, régie par la loi de 1901 et reconnue d utilité publique. Elle est organisée en une fédération de 102 comités départementaux. Leurs missions? Informer et accompagner toutes personnes susceptibles d être concernées par le cancer : malades, anciens malades et leurs proches, grand public, responsables de santé publique, médecins et chercheurs. L activité de La Ligue et de ses comités s exerce dans trois directions : - La recherche - L information, la prévention et le dépistage - L accompagnement des malades et de leur famille. LA RECHERCHE La recherche, prioritaire pour accroître demain le nombre de guérisons, représente plus de 60 % des fonds attribués par La Ligue. Elle s organise autour de différents pôles : recherche fondamentale, recherche clinique (amélioration des traitements) et recherche épidémiologique (étude des facteurs de risque pour amélioration des conditions de prévention et de dépistage). Elle est pilotée par un Conseil scientifique national et des Conseils scientifiques départementaux et régionaux. L ACCOMPAGNEMENT DES MALADES ET DE LEUR FAMILLE Les comités de La Ligue apportent leur soutien aux malades, aux anciens malades et à leur famille : un soutien matériel, moral et psychologique. En organisant les Etats Généraux des malades atteints de cancer, La Ligue a donné en 1998 et en 2000 une très forte impulsion pour que les malades soient mieux pris en charge. En donnant la parole aux malades, La Ligue a permis que soient connus et pris en compte leurs attentes et leurs besoins pour l amélioration de la qualité des soins et de la qualité de vie. DEVENEZ LIGUEUR L action de La Ligue repose sur la générosité des Français et leur engagement dans le cadre du bénévolat. Vous pouvez vous aussi nous aider à lutter contre le cancer : - en adhérant au comité départemental de La Ligue le plus proche de chez vous ; - en participant à des opérations organisées par votre comité départemental ; - en soutenant notre effort par vos dons ; - en faisant une donation ou un legs (La Ligue est habilitée à recueillir dons, donations et legs, exonérés de tous droits de succession). L INFORMATION, LA PRÉVENTION ET LE DÉPISTAGE Second volet de l action menée par La Ligue : information du public pour la prévention et le dépistage. L objectif est triple : sensibiliser chacun au danger de certaines pratiques (consommation de tabac, d alcool, exposition prolongée au soleil...) ; alerter sur les facteurs de risques ; informer sur identification de certains symptômes. De nombreux moyens de communication adaptés aux publics concernés sont mis en place. Un sérieux et une transparence reconnus La Ligue adhère au Comité de la Charte de déontologie des organisations sociales et humanitaires faisant appel à la générosité du public, depuis sa création

8 Glossaire Ablation : action d enlever totalement ou partiellement un organe ou une tumeur. Ganglions lymphatiques : nodules de relais du système lymphatique, répartis dans différentes régions du corps. Ils contribuent au système de défense immunitaire de l organisme. Métastase : localisation à distance d une tumeur cancéreuse propagée par voie sanguine ou lymphatique. Phototype : classification des différents types de peau en fonction de leur sensibilité aux U.V. Polychrome : qui présente plusieurs couleurs. Ulcération : lésion de la peau ou des muqueuses. Brochure réalisée avec la collaboration des Professeurs Hélène Sancho-Garnier (Ligue contre le Cancer) et Louis Dubertret (Hôpital Saint-Louis) Septembre mise à jour février

9 La Ligue vous aide et vous informe :. Ecoute Cancer (Service d'écoute anonyme). Internet 83.net Votre comité départemental Recherche Prévention Action pour les malades

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