Réunion publique. 22 Février à 18 H 30. Diagnostic éclairage public

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Réunion publique. 22 Février 2011. à 18 H 30. Diagnostic éclairage public"

Transcription

1 1 VILLE DE CESSON SEVIGNE Réunion publique du 22 Février 2011 à 18 H 30 Diagnostic éclairage public

2 2 RAPPEL - ETATS GENERAUX DEVELOPPEMENT DURABLE Groupe «Energie et Eclairage public» En juin 2009, Le Ville de Cesson Sévigné à signé la convention des Maires «Notre signature de la Convention européenne des Maires (Association des autorités locales pour une politique énergétique locale durable) nous engage à agir pour améliorer l efficacité énergétique de nos équipements communaux. Elle nous engage à réduire les émissions de CO2, à développer et à encourager les énergies renouvelables sur le parc public et privé» explique Claude Gérard, Adjoint au Maire chargé du développement durable, de l environnement et des infrastructures. Les États généraux du développement durable se sont déroulés le samedi 27 mars Michel Bihan, maire de Cesson-Sévigné et Claude Gérard, 1er adjoint ont animé les Etats Généraux du développement Durable le 27 mars 2010 au lycée Sévigné. Les participants aux états généraux du développement durable ont travaillé en trois groupes de travail selon trois thématiques. - Compte rendu groupe «énergie et habitat neuf et ancien» - Compte rendu groupe «énergie et bâtiments communaux» - Compte rendu groupe «énergie et l'éclairage public»

3 3 ETATS GENERAUX DEVELOPPEMENT DURABLE Groupe «Energie et Eclairage public» Le défi : à Cesson-Sévigné, d ici 2020, il faut réduire d au moins 20% notre consommation d énergie ainsi que nos émissions de CO2 tout en produisant au moins 23% d énergies renouvelables. Groupe énergie et l éclairage public, animé par Yvon Basset et Claude Gérard. La réunion a débuté par un rappel des enjeux de l éclairage public pour la ville de Cesson-Sévigné : 5000 lampadaires qui consomment le quart des dépenses totales énergétiques de la ville soit autant de consommation électrique que tous les bâtiments communaux. Il s en est suivi une série de suggestions d interrogations et de remarques : Suggestions : - Modulation de l intensité de l éclairage en fonction de l heure. - Eclairage d un lampadaire sur deux - Eclairage autonome à partir de panneaux photovoltaïques. - Remplacement des «boules» qui éclairent plus le ciel que le sol. (Zone de Chatillon) - Maintenir l éclairage sur les passages piétons. - Eclairer les points dangereux. Ces suggestions nécessitent de l investissement et donc du temps pour les mettre en œuvre.

4 4 ETATS GENERAUX DEVELOPPEMENT DURABLE Groupe «Energie et Eclairage public» Problématiques : -La Sécurité des piétons et des automobilistes qui se déplacent dans un environnement pas éclairé est-elle assurée? - Le risque d agression ou le sentiment d insécurité lié à l obscurité. Pour certain «c est comme l interdiction de fumer, on s habitue». Remarques : - L exemple du lotissement de Tizé (commune de Thorigné) dont l éclairage est coupé la nuit. - La très faible fréquentation des rues de Cesson-Sévigné la nuit. - La pollution lumineuse nocturne qui empêche les observations du ciel par les astronomes. En conclusion : Le tour de table final ou chacun s est exprimé a permis de constater qu une large majorité du groupe s est prononcé en faveur de l expérimentation d une coupure totale de l éclairage public entre 1h et 5h du matin (calage sur les horaires des bus). Cette expérimentation devrait être conduite sur quelques mois pour permettre d établir un bilan. Elle devra faire l objet d une large communication auprès des habitants. Un diagnostic approfondi du réseau d éclairage public communal et de ses 113 points de commandes sera réalisé en parallèle. Ce diagnostic et les résultats de cette expérimentation devront être présentés aux habitants pour en débattre.

5 5 BILAN ET DIAGNOSTIC ECLAIRAGE PUBLIC Ville de Cesson Sévigné Document rédigé par B. Mellet (DGST) avec données Sogréah et DGST Voirie P. Goter

6 6 Bilan du diagnostic de l éclairage public de Cesson Sevigne Le patrimoine actuel est de luminaires luminaires en bon état (51%) 331 luminaires en état moyen (6%) luminaires en état vétuste (43%) luminaires ETAT DES LUMINAIRES BON 2573 MOYEN 331 VETUSTE % 51% 6%

7 7 Bilan du diagnostic de l éclairage public de Cesson Sevigne Un taux de luminaires équipés en ballon fluorescent de l ordre de 40 % (sources de faible rendement qui disparaissent en 2013)

8 8 Bilan du diagnostic de l éclairage public de Cesson Sevigne Un niveau d éclairement très faible dans le périmètre des luminaires vétustes malgré une puissance installée importante Objectif : Contrat de maintenance avec relamping tous les 4 voir 6 ans à terme (Réduit les coûts de maintenance et les consommations avec un éclairage de meilleure qualité).

9 9 Bilan du diagnostic de l éclairage public de Cesson Sevigne Un taux de luminaires générant de la pollution lumineuse très important (boules, Holophane LOV, etc.) : 30 % du patrimoine total

10 Bilan du diagnostic de l éclairage public de Cesson Sevigne Des problèmes de vétusté mécanique des supports 10

11 Bilan du diagnostic de l éclairage public de Cesson Sevigne Des problèmes de sécurité électrique sur les réseaux (absence de protection contre les contacts indirects par exemple) 11 D où nécessité d une reconstruction importante et rapide

12 Base de données et programme de reconstruction La restitution du diagnostic permet : La constitution d une base de données patrimoniale sur notre SIG (Système d information géographique). La hiérarchisation des programmes de reconstruction par priorités techniques, géographiques, exemple : 12

13 Prévision de reconstruction 13 Définition des priorités de reconstruction Supports VETUSTE MOYEN BON Façade Luminaires VETUSTE P1 P2 P3 P3 MOYEN P2 P4 P5 P5 BON P3 P5

14 Niveau d éclairement : schéma directeur Définition de la performance souhaitée : carte des niveaux d éclairement, Schéma directeur proposé par les services techniques. 14

15 Définition des niveaux de priorités et investissements Rénovation complète Reconstruction immédiate (montants en euros HT) Chiffrage travaux éclairage public par priorité - Mâts et luminaires Priorité Priorité Priorité Priorité Priorité Priorité Total Remplacement des armoires de commande vétustes et moyennes Q PU Armoires à remplacer y compris dépose de l'existant Armoires à mettre aux normes Total Provision pour remplacement de câble 50 % de la longueur de cablage vétuste Total Provision pour travaux stades Provision pour travaux stades Total Total HT Total TTC

16 Définition des niveaux de priorités et investissements En plus de la rénovation des mâts et des lampadaires, nous devons gérer : Gestion des sinistres Provision annuelle : HT 16 Renouvellement des réseaux Provision annuelle : la reconstruction initiale ne tient compte que d une provision pour remplacement de 50% du linéaire des câbles vétustes, le renouvellement des autres 50% est à prévoir à moyen terme Illuminations festives Provision annuelle de HT

17 Energie : Puissance, temps de fonctionnement Optimisation des puissances installées Suppression des sources énergivores à faible rendement Prise en compte des technologies de sources et de luminaires à fort rendement 17 Optimisation des temps de fonctionnement Horloges astronomiques existantes Gradation et extinction Durée de vie des lampes Les lampes commercialisées aujourd hui ont une durée de vie de heures. Eclairage permanent (Toute la nuit) heures. Eclairage semi permanent (Coupure de 4 H 30 la nuit) heures.

18 Energie : Evolution Avant travaux Avant extinction partielle (Base 2009) Puissance installée totale (sans consommation des ballasts): 709 kw puissance moyenne au point lumineux : 140 W Consommation estimée : 3375 GWh Coût consommation réelle 2009 : TTC Part Fixe (Abonnement) Part variable Avant travaux Après extinction partielle Consommation estimée : 2206 GWh Coût consommation estimée 2011 : TTC soit d économie. Après travaux (économie réalisée principalement par le remplacement des Ballons Fluorescents par des sources plus performantes) Consommation estimée (2829 h/an) : 1718 GWh Coût estimé : TTC SOIT UNE ECONOMIE DE TTC / AN

19 Proposition d amélioration En 2011 : Fin du diagnostic d éclairage public, gestion du parc par le SIG (Système d information géographique). Remplacement des luminaires vétustes en fonction du budget Rédaction des dossiers de consultations des entreprises pour le programme pluriannuel d investissement et de fonctionnement. En 2012 : En investissement : Mettre en place à partir de 2012 un programme pluriannuel d investissement permettant une mise aux normes du parc des lampadaires 19 En fonctionnement : Mettre en place à partir de 2012 un contrat de maintenance pluriannuel permettant l amélioration du fonctionnement de notre parc avec renouvellement des lampes en fonction de leur durée de vie.

PRE-DIAGNOSTIC ECLAIRAGE PUBLIC SANTANS

PRE-DIAGNOSTIC ECLAIRAGE PUBLIC SANTANS PRE-DIAGNOSTIC ECLAIRAGE PUBLIC SANTANS 39502 Commune de SANTANS - SIDEC du Jura - Année 2011 SOMMAIRE 1. Résumé de l Eclairage Public de la Commune de SANTANS 2. Fiches Caractéristiques des Armoires d

Plus en détail

Maintenance des installations d éclairage public. Rapport annuel consolidé 2013. sur 163 communes. Syndicat Départemental d Energie

Maintenance des installations d éclairage public. Rapport annuel consolidé 2013. sur 163 communes. Syndicat Départemental d Energie Maintenance des installations d éclairage public Rapport annuel consolidé 2013 sur 163 communes Syndicat Départemental d Energie Sommaire Sommaire... 1 I Préambule... 2 L entretien préventif annuel...

Plus en détail

Le remplacement d un tube fluo T8 par un tube LED dans les écoles : la synthèse pour le directeur

Le remplacement d un tube fluo T8 par un tube LED dans les écoles : la synthèse pour le directeur Le remplacement d un tube fluo T8 par un tube LED dans les écoles : la synthèse pour le directeur Un tube fluo de 1.500 mm et de 58 W consomme 68 W avec son ballast. Dans certains cas, il pourrait être

Plus en détail

Les Certificats d économie d énergie. Éclairage Public

Les Certificats d économie d énergie. Éclairage Public Les Certificats d économie d énergie Éclairage Public Principe Obligation des fournisseurs d'énergie («obligés») à réaliser des actions d'ure ou acheter CEE, sinon pénalité Autres acteurs («éligibles»)

Plus en détail

vous souhaitez identifier les actions à mettre en œuvre pour promouvoir les ÉNERGIES RENOUVELABLES

vous souhaitez identifier les actions à mettre en œuvre pour promouvoir les ÉNERGIES RENOUVELABLES Vous êtes une commune rurale ou semi urbaine vous vous sentez concernée par la protection de l environnement et les économies d énergies vous souhaitez mettre en œuvre des actions pour un développement

Plus en détail

la solution sans fil de controle de l eclairage public par internet

la solution sans fil de controle de l eclairage public par internet la solution sans fil de controle de l eclairage public par internet PRESENTATION LUX MONITOR QU EST CE QUE C EST? LUX MONITOR EST UN SYSTÈME DE CONTRÔLE DE L ÉCLAIRAGE PUBLIC : Maîtrisez instantanément

Plus en détail

Séance du Conseil Municipal du 11/12/2012

Séance du Conseil Municipal du 11/12/2012 Direction Générale des Ressources / Direction des Achats et de la Commande Publique Question n 375 DACP REF : DACP2012059 Signataire : ED/ESP Séance du Conseil Municipal du 11/12/2012 RAPPORTEUR : Tedjini-Michel

Plus en détail

Monsieur le Président Syndicat Départemental d Energie du Cher Parc Esprit 1 Bâtiment 35 18021 BOURGES CEDEX

Monsieur le Président Syndicat Départemental d Energie du Cher Parc Esprit 1 Bâtiment 35 18021 BOURGES CEDEX CCTP Maintenance et Exploitation EP Marché 2011 / 2013 «RÉSEAUX D ÉLECTRICITÉ ET D ÉCLAIRAGE PUBLIC : TRAVAUX ET PRESTATIONS DE SERVICES» CAHIER DES CHARGES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P.) : MAINTENANCE

Plus en détail

RENOVER LES FEUX TRICOLORES

RENOVER LES FEUX TRICOLORES Matinale de l Energie RENOVER LES FEUX TRICOLORES Pourquoi le faire, Comment, A quel prix Matinales 2014 Page 1 sommaire 1. UN CADRE JURIDIQUE CONTRAINT 2. LE FONCTIONNEMENT DES FEUX 3. LA MAINTENANCE

Plus en détail

Consommez moins, éclairez bien! Lubio, solution tout en un de commande, protection et régulation d éclairage

Consommez moins, éclairez bien! Lubio, solution tout en un de commande, protection et régulation d éclairage Consommez moins, éclairez bien! Lubio, solution tout en un de commande, protection et régulation d éclairage Lubio est parfaitement conforme à la directive RoHS qui prévoit la restriction des substances

Plus en détail

Concours de l Affiche d Or - 10 ème édition. à lire attentivement

Concours de l Affiche d Or - 10 ème édition. à lire attentivement Concours de l Affiche d Or - 10 ème édition Brief & Règlement à lire attentivement Toute affiche ne respectant pas l un des points de ce règlement ne pourra être retenue. Les affiches ne respectant pas

Plus en détail

La mise en œuvre de cet arrêté du 25 janvier 2013 fait de la France l un des pionniers en Europe dans ce domaine.

La mise en œuvre de cet arrêté du 25 janvier 2013 fait de la France l un des pionniers en Europe dans ce domaine. 1 Delphine BATHO rappelle l entrée en vigueur à partir du 1 er juillet 2013, d une nouvelle réglementation qui s applique à l éclairage nocturne des bureaux, des magasins, des façades de bâtiments. L arrêté

Plus en détail

Energies. D ambiance REFERENCES : ACTIONS MENEES : CONTACT : DESCRIPTION TECHNIQUE DES ACTIONS ENGAGEES : GAINS OU BENEFICES DEGAGES : renouvelables

Energies. D ambiance REFERENCES : ACTIONS MENEES : CONTACT : DESCRIPTION TECHNIQUE DES ACTIONS ENGAGEES : GAINS OU BENEFICES DEGAGES : renouvelables REFERENCES : Entreprise : ELEC-EAU 47 Rue de la petite vitesse 72300 Sablé sur Sarthe Tél. : 02 43 95 07 22 Effectif : 11 salariés Activité : Electricité, plomberie, chauffage et climatisation Energies

Plus en détail

L énergie durable Pas que du vent!

L énergie durable Pas que du vent! L énergie durable Pas que du vent! Première partie Des chiffres, pas des adjectifs 9 Lumière S éclairer à la maison et au travail Les ampoules électriques les plus puissantes de la maison consomment 250

Plus en détail

Schréder partenaire des villes et communes. Nivelles grand place

Schréder partenaire des villes et communes. Nivelles grand place Schréder partenaire des villes et communes Nivelles grand place Une réalisation Schréder où convivialité de l espace public rime avec économie d énergie Mise en lumière de la Grand Place de Nivelles Nivelles,

Plus en détail

Éclairage efficace : quoi choisir parmi les équipements sur le marché?

Éclairage efficace : quoi choisir parmi les équipements sur le marché? Éclairage efficace : quoi choisir parmi les équipements sur le marché? Patrick Martineau, ing. Colloque des gestionnaires techniques du logement social et communautaire 12 mars 2014 CONTENU DE LA PRÉSENTATION

Plus en détail

Réseau de chaleur Cantagrelh. Commune d Onet-le-Château

Réseau de chaleur Cantagrelh. Commune d Onet-le-Château Réseau de chaleur Cantagrelh Commune d Onet-le-Château Maître d ouvrage : Mairie d Onet-le-château 12, rue des Coquelicots BP 5-12850 Onet le Château Télécopie : 05 65 78 00 91 - www.onet-le-chateau.fr

Plus en détail

Etude des Consommations Electriques et Mesures de Températures dans les bureaux d AMOES

Etude des Consommations Electriques et Mesures de Températures dans les bureaux d AMOES Etude des Consommations Electriques et Mesures de Températures dans les bureaux d AMOES 22/04/2011 AMOES Vincent Laniesse - SOMMAIRE - 1. Objectifs... 2 2. Description des bureaux... 2 3. Métrologie mise

Plus en détail

Réhabilitation du domaine Melchior Philibert à CHARLY (69390) - Phase 2 : Pôle économique ELECTRICITE. INTITULE U Qtité

Réhabilitation du domaine Melchior Philibert à CHARLY (69390) - Phase 2 : Pôle économique ELECTRICITE. INTITULE U Qtité LOT 10 ELECTRICITE INTITULE U Qtité 10.1. DEPOSE 10.1.1. Consignation des installations électriques 10.1.2. Dépose de l'ensemble des installations électriques 10.2. PREPARATION DE CHANTIER 10.2.1. Installation

Plus en détail

Auteur : Muriel DUPRET. Juin 2006

Auteur : Muriel DUPRET. Juin 2006 Notes techniques et réflexions Confort d été : comment réduire les apports internes dans les bâtiments de bureaux Auteur : Muriel DUPRET Juin 2006 Ingénierie énergétique 26160 FELINES S/RIMANDOULE TEL

Plus en détail

Eco. Plus chères à l'achat, les ampoules faible consommation se révèlent très économiques au bout de quelques mois...

Eco. Plus chères à l'achat, les ampoules faible consommation se révèlent très économiques au bout de quelques mois... Eco consommation La mairie ou la société de remontée mécanique veillent à limiter et à réduire leur consommation d énergie pour l éclairage des locaux et de la station. Grâce à des gestes simples et les

Plus en détail

HIGH INTENSITY DISCHARGER KIT XENON KIT XENON - EQUIPO XENON - SATZ XENON TARIF ET DOCUMENTATION TECHNIQUE

HIGH INTENSITY DISCHARGER KIT XENON KIT XENON - EQUIPO XENON - SATZ XENON TARIF ET DOCUMENTATION TECHNIQUE HIGH INTENSITY DISCHARGER KIT XENON KIT XENON - EQUIPO XENON - SATZ XENON TARIF ET DOCUMENTATION TECHNIQUE HIGH INTENSITY DISCHARGER KIT XENON KIT XENON - EQUIPO XENON - SATZ XENON LES AVANTAGES En comparant

Plus en détail

Guide de l éclairage 1to1 energy Efficacité énergétique, confort et esthétique

Guide de l éclairage 1to1 energy Efficacité énergétique, confort et esthétique Guide de l éclairage to energy Efficacité énergétique, confort et esthétique Sommaire Pour y voir plus clair 3 L essentiel en bref 4 Comparatif anciennes/nouvelles ampoules 6 Ampoules basse consommation

Plus en détail

COMMUNE DE NIEDERSCHAEFFOLSHEIM

COMMUNE DE NIEDERSCHAEFFOLSHEIM COMMUNE DE NIEDERSCHAEFFOLSHEIM SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 12 DECEMBRE 2003 A 20 HEURES Convocation en date du 8 décembre 2003 Sous la présidence de M. VIERLING Fernand, Maire Membres présents : M.

Plus en détail

TECHNIQUE. Cahier. Guide d application de la norme européenne Éclairage public EN 13201

TECHNIQUE. Cahier. Guide d application de la norme européenne Éclairage public EN 13201 Cahier TECHNIQUE Guide d application de la norme européenne Éclairage public EN 13201 > Partie 1 : Sélection des classes d éclairage > Partie 2 : Exigences de performance DOSSIER RÉALISÉ PAR CHRISTIAN

Plus en détail

CONSEIL MUNICIPAL DU MARDI 13 SEPTEMBRE 2005 A 18h30 NOTE DE SYNTHESE

CONSEIL MUNICIPAL DU MARDI 13 SEPTEMBRE 2005 A 18h30 NOTE DE SYNTHESE CONSEIL MUNICIPAL DU MARDI 13 SEPTEMBRE 2005 A 18h30 NOTE DE SYNTHESE En préalable, Mr Mély donne lecture des actes et contrats signés lors des derniers mois A remarquer un nombre de transactions toujours

Plus en détail

Réserve Internationale de Ciel Etoilé du Pic du Midi. Informations et chiffres essentiels

Réserve Internationale de Ciel Etoilé du Pic du Midi. Informations et chiffres essentiels Réserve Internationale de Ciel Etoilé du Pic du Midi Informations et chiffres essentiels 2014 La Réserve Internationale de Ciel Etoilé du Pic du Midi Informations et chiffres essentiels Initié en 2009

Plus en détail

éclairage public et réglementation

éclairage public et réglementation éclairage public et réglementation 1 1. définition du sujet éclairage public (EP) : Il n existe pas de définition légale de la notion «d éclairage public», celle-ci peut recouvrir non seulement l éclairage

Plus en détail

Point n 5 de l ordre du jour. Monsieur le président, Mesdames et Messieurs les conseillers généraux,

Point n 5 de l ordre du jour. Monsieur le président, Mesdames et Messieurs les conseillers généraux, Point n 5 de l ordre du jour Rapport du Conseil communal au Conseil général relatif à une demande de crédit de CHF 348 000.- pour le remplacement des lampadaires à la vapeur de mercure par un éclairage

Plus en détail

Délibération N 2013-10-02 création poste adjoint administratif territorial suite au transfert agent de la Communauté de Communes

Délibération N 2013-10-02 création poste adjoint administratif territorial suite au transfert agent de la Communauté de Communes Le dix octobre deux mil treize à 20h30 s est réuni le Conseil Municipal sous la présidence de Monsieur MORIN Loïc Maire Etaient présents : Ms ALIX PICHOUX REBILLARD Mme POULAIN (Adjoints) Ms KPALMA KRUGLER-

Plus en détail

Une APPROCHE DE LA VILLE INTELLIGENTE

Une APPROCHE DE LA VILLE INTELLIGENTE Programme Smart Cities Projet Ville de Demain Une APPROCHE DE LA VILLE INTELLIGENTE Pour le grand CASABLANCA Enjeux, actions & opportunités Casablanca, le 23 Septembre 2014 CASABLANCA, SMART CITY 1. Enjeux

Plus en détail

COMPTE RENDU du CONSEIL MUNICIPAL DU MERCREDI 29 OCTOBRE 2014

COMPTE RENDU du CONSEIL MUNICIPAL DU MERCREDI 29 OCTOBRE 2014 COMPTE RENDU du CONSEIL MUNICIPAL DU MERCREDI 29 OCTOBRE 2014 L'an deux mille quatorze, le vingt-neuf octobre à dix-neuf heures, le Conseil Municipal de Saint Didier sous Riverie, régulièrement convoqué

Plus en détail

MUNICIPALITE DE GLAND

MUNICIPALITE DE GLAND MUNICIPALITE DE GLAND Préavis municipal n 56 relatif à l octroi d un crédit pour financer la rénovation des installations de chauffage des vestiaires sis au centre sportif "En Bord". Madame la présidente,

Plus en détail

consommations d énergie

consommations d énergie Comprendre ses consommations d énergie pour mieux les gérer Boulangers Pâtissiers Consommations maîtrisées dans l Artisanat L épuisement des énergies fossiles entraine une augmentation des coûts de l énergie

Plus en détail

ALE Montpellier le 29 septembre 2009

ALE Montpellier le 29 septembre 2009 ALE Montpellier le 29 septembre 2009 Agir en optimisant son parc existant et bien concevoir ses nouvelles installations Plan d'efficacité Energétique Commande à l'armoire, et ou Commande au Point Lumineux

Plus en détail

Plan lumière : «Lausanne, c est du gris, du vert et du bleu» Crédit-cadre 2014-2023 pour le remplacement et l extension de l éclairage public

Plan lumière : «Lausanne, c est du gris, du vert et du bleu» Crédit-cadre 2014-2023 pour le remplacement et l extension de l éclairage public Services industriels Plan lumière : «Lausanne, c est du gris, du vert et du bleu» Crédit-cadre 2014-2023 pour le remplacement et l extension de l éclairage public Réponse aux postulats de M. Yves Ferrari

Plus en détail

Contrôle de l utilisation de l énergie électrique Maison 8 pièces, chauffage électrique

Contrôle de l utilisation de l énergie électrique Maison 8 pièces, chauffage électrique Contrôle de l utilisation de l énergie électrique Maison 8 pièces, chauffage électrique Après l isolation de la maison, l ECS solaire, la production photovoltaïque, la ventilation double flux, le split

Plus en détail

DEFI «MISE EN VEILLE»

DEFI «MISE EN VEILLE» DEFI «MISE EN VEILLE» La consommation de nuit et de week end dépasse souvent 25% de la facture électrique de l école Quel gaspillage énergétique, écologique et financier! Le défi à relever est de découvrir

Plus en détail

Le projet de révision du Règlement sur l éclairage extérieur de la Ville de Sherbrooke. 11 décembre 2012

Le projet de révision du Règlement sur l éclairage extérieur de la Ville de Sherbrooke. 11 décembre 2012 Le projet de révision du Règlement sur l éclairage extérieur de la Ville de Sherbrooke 11 décembre 2012 Sherbrooke, ville sous les étoiles HISTORIQUE 2003 Création du Comité de lutte contre la pollution

Plus en détail

LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL

LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL Economisons notre énergie et sauvons la planète Présentation générale 2013 PRESENTATION I. Principes de fonctionnement d une ampoule basse

Plus en détail

Guide pratique de l éclairage domestique pour un éclairage efficace et confortable

Guide pratique de l éclairage domestique pour un éclairage efficace et confortable Guide pratique de l éclairage domestique pour un éclairage efficace et confortable Table des matières Pour y voir plus clair Applications classiques 3 Comparatif anciennes/nouvelles lampes 4 Lampes économiques

Plus en détail

SERVICE PATRIMOINE CONSULTATION POUR DEMANDE DE DEVIS

SERVICE PATRIMOINE CONSULTATION POUR DEMANDE DE DEVIS SERVICE PATRIMOINE CONSULTATION POUR DEMANDE DE DEVIS CAHIER DES CHARGES RELATIF A UN AUDIT DE PERFORMANCE ENERGETIQUE DE L'INSTITUT FRANÇAIS DE MECANIQUE AVANCEE Date limite d envoi de l'offre : 30 avril

Plus en détail

GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE

GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE Politique Environnementale du Groupe UNILOGI 70.000 personnes logées au sein de notre patrimoine dans 210 communes sur 7 départements et 3 régions, xxx entreprises fournisseurs

Plus en détail

SAMEDI 13 SEPTEMBRE 2014 L ORGANISATION LES PARTENAIRES LA SECURITÉ.

SAMEDI 13 SEPTEMBRE 2014 L ORGANISATION LES PARTENAIRES LA SECURITÉ. TECHNO PARADE SAMEDI 13 SEPTEMBRE 2014 GUIDE DU CHARISTE. L ORGANISATION LES PARTENAIRES LA SECURITÉ. LA DECORATION LES SPONSORS LES ASSURANCES LES RÉGISSEURS TECHNOPOL LA PROGRAMMATION. SONORISATION LA

Plus en détail

EXTRAIT DU COMPTE RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 6 FEVRIER 2015

EXTRAIT DU COMPTE RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 6 FEVRIER 2015 EXTRAIT DU COMPTE RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 6 FEVRIER 2015 Le compte-rendu de la réunion précédente est lu et approuvé. Désignation des délégués à Evolis 23 Le Maire rappelle au Conseil Municipal que

Plus en détail

D i a g n o s t i q u e u r I m m o b i l i e r Tél. 04 94 19 18 39 Port. 06 60 96 06 83 Fax 04 94 19 22 50

D i a g n o s t i q u e u r I m m o b i l i e r Tél. 04 94 19 18 39 Port. 06 60 96 06 83 Fax 04 94 19 22 50 A DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE Logement (6.2) Décret n 2006-1114 du 5 septembre 2006, Décret n 2006-1147 du 14 septembre 2006, Arrêtés du 15 septembre 2006 INFORMATIONS GENERALES N de rapport

Plus en détail

Prévention des risques professionnels Date : Classe : Séquence 5 : Les risques professionnels dans l activité de travail.

Prévention des risques professionnels Date : Classe : Séquence 5 : Les risques professionnels dans l activité de travail. Nom : Prénom : Prévention des risques professionnels Date : Classe : Séquence 5 : Les risques professionnels dans l activité de travail. Objectif : Analyser une situation de travail à partir des dangers

Plus en détail

degré d humidité ou à hautes concentrations de poussière

degré d humidité ou à hautes concentrations de poussière K2 1 2 Sans risque dans des lieux publics Sans risque dans les environnements à haut degré d humidité ou à hautes concentrations de poussière Sans risque pour des applications extérieures 3 Robuste et

Plus en détail

Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I.

Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I. Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés Le Code du Travail R 232-1-13: La signalisation relative à la sécurité et à la santé au travail doit être conforme à des modalités déterminés par

Plus en détail

Rencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014. Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés

Rencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014. Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés Rencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014 Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés Sommaire Domaine Sécurité et sanitaire Mise en sécurité des

Plus en détail

Marché public d assurances Passé selon la procédure adaptée Article 28 du CMP. Cahier des charges

Marché public d assurances Passé selon la procédure adaptée Article 28 du CMP. Cahier des charges Marché public d assurances Passé selon la procédure adaptée Article 28 du CMP Cahier des charges 1. Assurance dommages aux biens 2. Assurance responsabilité civile 3. Assurance protection juridique 4.

Plus en détail

Réunion du 20 février 2014. Le vingt février deux mil quatorze à 20h30 s est réuni le Conseil Municipal sous la présidence de Loïc MORIN Maire.

Réunion du 20 février 2014. Le vingt février deux mil quatorze à 20h30 s est réuni le Conseil Municipal sous la présidence de Loïc MORIN Maire. Réunion du 20 février 2014 Le vingt février deux mil quatorze à 20h30 s est réuni le Conseil Municipal sous la présidence de Loïc MORIN Maire. Etaient présents : Ms PICHOUX REBILLARD Mme POULAIN (adjoints)

Plus en détail

en toute sécurité Votre habitation La sécurité repose sur

en toute sécurité Votre habitation La sécurité repose sur ma solution TRANQUILLITÉ LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE Votre habitation en toute sécurité Pour vivre en toute sérénité et vous protéger contre tous risques électriques, votre installation doit respecter quelques

Plus en détail

Mission Madagascar 2012 Compte-rendu d un projet hors du commun

Mission Madagascar 2012 Compte-rendu d un projet hors du commun Mission Madagascar 2012 Compte-rendu d un projet hors du commun Jeudi 21 avril : Arrivée à l aéroport de Tamatave vers 16h 28 Accueil et prise de contact avec : Jean Pierre, CCS Tamatave Alain Lefèvre,

Plus en détail

1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE

1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE CONFERENCE DERBI 1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE 1er SYSTEME SOLAIRE COMBINE La climatisation Le chauffage L eau chaude sanitaire HISTORIQUE Fin 2003 : Lancement du projet Début 2005 : 1er prototype opérationnel

Plus en détail

station service économies (durables) Green up Borne de recharge pour e-mobility

station service économies (durables) Green up Borne de recharge pour e-mobility station service économies (durables) Green up Borne de recharge pour e-mobility Infrastructure de chargement La borne Green up Pour des véhicules éléctro et hybrid Les particuliers, entreprises et fournisseurs

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE ENERGIE «ECLAIRAGE»

FICHE TECHNIQUE ENERGIE «ECLAIRAGE» FICHE TECHNIQUE ENERGIE «ECLAIRAGE» Sources : syndicat de l éclairage et CNIDEP A. ETAT DE L ART 1. Caractéristiques générales L éclairage a pour vocation : - D assurer de bonnes conditions de travail,

Plus en détail

14.01 14.71. 6 fonctions 1 NO Montage sur rail 35 mm (EN 60715) 16/30 (120 A - 5 ms) 16/30 (120 A - 5 ms) Tension nom./tension max.

14.01 14.71. 6 fonctions 1 NO Montage sur rail 35 mm (EN 60715) 16/30 (120 A - 5 ms) 16/30 (120 A - 5 ms) Tension nom./tension max. Série 14 - Minuteries cage d escalier 16 A SERE 14 Caractéristiques 14.01 14.71 Gamme de minuteries cage d'escalier Largeur un module 17.5 mm lage de temps de 30s à 20min Commutation zéro crossing réavis

Plus en détail

COMPTE RENDU DU CM du 25 JANVIER 2011. Le P. V. de la précédente séance est approuvé à l'unanimité et Mr le Maire, ouvre la séance.

COMPTE RENDU DU CM du 25 JANVIER 2011. Le P. V. de la précédente séance est approuvé à l'unanimité et Mr le Maire, ouvre la séance. COMPTE RENDU DU CM du 25 JANVIER 2011 Convocation du : 18/01/2011 Etaient présents : MM BOISSARD Pascal PONSOT Gérard BOUVERET Michel Mr COMMUN André Mmes CHABAS Florence BOUTON Nicole BRET Annick MM COMMARET

Plus en détail

Bien choisir son éclairage

Bien choisir son éclairage L habitat AGIR! Bien choisir son éclairage Meilleur pour l environnement, moins coûteux pour vous et efficace partout Édition : février 2015 sommaire glossaire introduction De la lumière sans gaspillage....

Plus en détail

Comment optimiser la performance énergétique de son logement?

Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Janvier 2014 AHF / J.M. VOGEL Plan de la présentation Contexte Objectifs Faire un premier bilan énergétique Les différents travaux d économies

Plus en détail

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...

Plus en détail

Electricité Générale - Courants Faibles - Climatisation - Maintenance QUALIFELEC - E2-2 / TH1

Electricité Générale - Courants Faibles - Climatisation - Maintenance QUALIFELEC - E2-2 / TH1 ARTICLE 1 - OBJET DU CONTRAT La maintenance des équipements d'éclairage des parties communes Le présent contrat a pour objet de définir les obligations de SARL EG : - La périodicité des visites des installations

Plus en détail

Aides financières 2008

Aides financières 2008 Aides financières 2008 Classification des communes COMMUNES A ARGENCES, BAYEUX, BRETTEVILLE SUR ODON, CABOURG, CAEN, COLOMBELLES, CONDE SUR NOIREAU, CORMELLES LE ROYAL, DEAUVILLE, DIVES SUR MER, DOUVRES

Plus en détail

Lighting. Tubes LED. Avec les tubes LED Philips, prenez une LED d avance

Lighting. Tubes LED. Avec les tubes LED Philips, prenez une LED d avance Lighting Tubes LED Avec les tubes LED Philips, prenez une LED d avance 2 gammes de tubes LED pour répondre à tous vos besoins Les tubes LED Philips, MASTER LEDtube et CorePro LEDtube, une solution simple,

Plus en détail

GLEIZE ENERGIE SERVICE

GLEIZE ENERGIE SERVICE GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 1 sur 17 #/ -#0/.1# 2 1# 11 - " 1 GLEIZE ENERGIE SERVICE -1 " " #/ / &3 %$". 1! "#$$ %" & "# '%# () *+, -". GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 2 sur 17 SOMMAIRE 1. Introduction - Rappel...

Plus en détail

Les aides moyennes publiques en faveur du logement social pour l acquisition amélioration (AA) 1

Les aides moyennes publiques en faveur du logement social pour l acquisition amélioration (AA) 1 Les aides moyennes publiques en faveur du logement social pour l acquisition amélioration (AA) 1 Ce document est un outil qui permet de déterminer les aides en faveur du logement social, qu il s agisse

Plus en détail

Délibération n 2013/24 Renouvellement des contrats d'assurance de la Ville. Procédure d'appel d'offres Ouvert (AOO).

Délibération n 2013/24 Renouvellement des contrats d'assurance de la Ville. Procédure d'appel d'offres Ouvert (AOO). Délibération n 2013/24 Renouvellement des contrats d'assurance de la Ville. Procédure d'appel d'offres Ouvert (AOO). Nombre de conseillers municipaux en exercice : 45 Nombre de conseillers municipaux présents

Plus en détail

Département de l Aisne

Département de l Aisne Département de l Aisne Commune de Montreuil aux Lions COMPTE RENDU DES DECISIONS DU CONSEIL MUNICIPAL Séance du 21 avril 2008 L an deux mil huit, le vingt et un du mois d avril, les membres composant le

Plus en détail

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation

Plus en détail

B U R E A U X, É C O L E S Mieux s éclairer À C O Û T S M A Î T R I S É S

B U R E A U X, É C O L E S Mieux s éclairer À C O Û T S M A Î T R I S É S B U R E A U X, É C O L E S Mieux s éclairer À C O Û T S M A Î T R I S É S Éclairage tertiaire : l efficacité à portée de main Objectifs : ergonomie et développement durable Dans les espaces de bureaux

Plus en détail

Introduction à la finance d'entreprise. Université Paris XIII

Introduction à la finance d'entreprise. Université Paris XIII Introduction à la finance d'entreprise Université Paris XIII GENILUM BE éclairage et conception lumière Nicolas Mangin @: nmangin@genilum.fr Tel: 06 63 39 18 40 Pourquoi tenir une comptabilité Une obligation

Plus en détail

quartier.lamartinette@fonsorbes.fr

quartier.lamartinette@fonsorbes.fr Composition du bureau : Présidente : Samira Didi Vice-Présidente : Sandrine Lemaistre Secrétaire : Laurence Frassetto Composition du bureau : Président : Philippe Serre Vice-Président : Gregory Montalban

Plus en détail

LOCAUX COMMUNS CREATION D'UNE PEPINIERE D'ENTREPRISES ESQUISSE N 2 RDC R+1 R+2 R+3 TOTAL Accueil 47 473 m2 Bureau administration 15 Local repro/archives 12 Petite salle de réunion 35 Salle de conférence

Plus en détail

be tween Un design épuré pour une colonne LED polyvalente et raffinée Caractéristiques - luminaire options

be tween Un design épuré pour une colonne LED polyvalente et raffinée Caractéristiques - luminaire options Design: Pearl Creative Caractéristiques - luminaire Etanchéité du bloc optique: IP 65 (*) Résistance aux chocs (verre): IK 08 (**) Tension nominale: 230V 50Hz Classe électrique: I ou II (*) Poids (module):

Plus en détail

RAPPORT RAPPORT D ENQUÊTE D ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE DE QUÉBEC

RAPPORT RAPPORT D ENQUÊTE D ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE DE QUÉBEC EN003495 RAPPORT D ENQUÊTE D ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE DE QUÉBEC ACCIDENT MORTEL SURVENU À UN TRAVAILLEUR LE 15 JANVIER 2004, À QUÉBEC, SUR UN CHANTIER DE CONSTRUCTION DE TELUS. PAR : MONSIEUR JEAN

Plus en détail

LE TOTEM SOLAIRE AUTONOME MULTI-USAGE. Nous amenons de l énergie pour vos applications, partout où brille le soleil.

LE TOTEM SOLAIRE AUTONOME MULTI-USAGE. Nous amenons de l énergie pour vos applications, partout où brille le soleil. 1 LE TOTEM SOLAIRE AUTONOME MULTI-USAGE Nous amenons de l énergie pour vos applications, partout où brille le soleil. Trois puissances disponibles : 135Wc / 270Wc / 405Wc Le TOTEM SOLAIRE MULTI-USAGE développé

Plus en détail

Les avancées dans le domaine de l éclairage

Les avancées dans le domaine de l éclairage Les avancées dans le domaine de l éclairage Patrick Martineau, ing. 27 e congrès de l AQME 9 mai 2013 CONTENU DE LA PRÉSENTATION Avancées technologiques Survol des technologies Évolution des normes en

Plus en détail

ET LA DOMOTIQUE VOUS SIMPLIFIE LA VIE

ET LA DOMOTIQUE VOUS SIMPLIFIE LA VIE ET LA DOMOTIQUE VOUS SIMPLIFIE LA VIE PILOTAGE À DISTANCE Je commande mes volets, mes éclairages, mon alarme et mon chauffage à distance PILOTAGE CHAUFFAGE Je fais des économies sur le poste chauffage

Plus en détail

Lumières Publiques. Directeur commercial de la société Forclum (Force et Lumière). ENTRETIEN AVEC ROGER BEGOC

Lumières Publiques. Directeur commercial de la société Forclum (Force et Lumière). ENTRETIEN AVEC ROGER BEGOC Lumières Publiques ENTRETIEN AVEC ROGER BEGOC Directeur commercial de la société Forclum (Force et Lumière). CAHIERS DE MÉDIOLOGIE : Une ou deux heures ont suffi, lors des tempêtes des 26 et 27 décembre

Plus en détail

PRÉAVIS N 53 AU CONSEIL COMMUNAL

PRÉAVIS N 53 AU CONSEIL COMMUNAL PRÉAVIS N 53 AU CONSEIL COMMUNAL Patrimoine immobilier communal Demande d un crédit de CHF 892 000.- TTC pour l établissement d une expertise technique systématique Délégué municipal : M. Claude Uldry

Plus en détail

TARIF BLEU - OPTION BASE ET OPTION HEURES CREUSES pour clients domestiques

TARIF BLEU - OPTION BASE ET OPTION HEURES CREUSES pour clients domestiques PAGE 1 TARIF BLEU - OPTION BASE ET OPTION HEURES CREUSES pour clients domestiques Option Base Code tarif. variante Réglage Abonnement Prix de l'énergie Puissance Souscrite disjoncteur annuel ( ch ) PS

Plus en détail

w w w. e p - p a r i s. f r

w w w. e p - p a r i s. f r www.ep-paris.fr Secteurs d Activités EP s adresse particulièrement au secteur Tertiaire. > Banques et Assurances > Cabinets d Architectes > Foncières d immobilier locatif > Sociétés de services de biens

Plus en détail

RAPPORT D'ENQUÊTE RAPPORT D ENQUÊTE. Direction régionale de Montréal-1

RAPPORT D'ENQUÊTE RAPPORT D ENQUÊTE. Direction régionale de Montréal-1 EN003649 RAPPORT D ENQUÊTE Direction régionale de Montréal-1 Accident mortel survenu à un travailleur, le 17 août 2006 à l'entreprise Samuels Signs & Lighting, au magasin Zellers de la plaza Côte-des-Neiges

Plus en détail

Sciences physiques Stage n

Sciences physiques Stage n Sciences physiques Stage n C.F.A du bâtiment Ermont 1 Activité 1 : Vous disposez des 4 appareils électriques suivants : 1 radiateur de puissance P R = 1000 W. 2 lampes halogènes de puissances P L = 500

Plus en détail

L énergie. chapitre 3

L énergie. chapitre 3 L énergie Jusqu'à présent dans notre société, c est surtout la dimension économique de l énergie qui a eu la priorité, négligeant la dimension environnementale. L utilisation rationnelle de l énergie (en

Plus en détail

ELEGANT ET COMPACT. Pièces frontales décoratives ETAP

ELEGANT ET COMPACT. Pièces frontales décoratives ETAP K1 ELEGANT ET COMPACT 2 K1 ETAP K1 possède une forme élégante et compacte qui s intègre aux environnements les plus variés. La gamme très complète utilise différentes sources lumineuses et des possibilités

Plus en détail

CONSEIL PERSONNALISE POUR LA REALISATION D'UNE CHAUFFERIE AUTOMATIQUE AU BOIS POUR LA COMMUNE DE BREITENBACH

CONSEIL PERSONNALISE POUR LA REALISATION D'UNE CHAUFFERIE AUTOMATIQUE AU BOIS POUR LA COMMUNE DE BREITENBACH CONSEIL PERSONNALISE POUR LA REALISATION D'UNE CHAUFFERIE AUTOMATIQUE AU BOIS POUR LA COMMUNE DE BREITENBACH DEMANDEUR DE LA PRE-ETUDE Commune de Breitenbach 4, place de l église 67220 BREITENBACH Tél

Plus en détail

RÈGLEMENT D UTILISATION DES LOCAUX COMMUNAUX

RÈGLEMENT D UTILISATION DES LOCAUX COMMUNAUX RÈGLEMENT D UTILISATION DES LOCAUX COMMUNAUX Utilisation des locaux et des environs Art. 1 Art. 2 Art. 3 Locaux à disposition 1 Les salles et annexes communales, à l exception des locaux définis en alinéa

Plus en détail

Conseil Municipal du 29 novembre 2011 DÉLIBÉRATIONS

Conseil Municipal du 29 novembre 2011 DÉLIBÉRATIONS Conseil Municipal du 29 novembre 2011 DÉLIBÉRATIONS N d'ordre Objet 1 Travaux appartement au 1 er étage de la Mairie Remplacement chauffe eau salle de bain 2 Conseil Général des Yvelines Programme triennal

Plus en détail

Procès-verbal du Conseil Municipal de la Commune de Chouday en date du samedi 21 février 2015 à 10h00

Procès-verbal du Conseil Municipal de la Commune de Chouday en date du samedi 21 février 2015 à 10h00 Procès-verbal du Conseil Municipal de la Commune de Chouday en date du samedi 21 février 2015 à 10h00 Présents, excusés: Mrs et Mmes BRANCHEREAU Carole, BARDON Louis-Patrick BONNEFOY Joëlle, CHARPENTIER

Plus en détail

NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES

NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur

Plus en détail

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1.

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1. Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1 Juin 2015 NOTICE D HYGIENE ET DE SECURITE P. 2 sur 8 SOMMAIRE 1 Hygiène...

Plus en détail

Habitations Pied-à-terre

Habitations Pied-à-terre [ Habitation ] Particulier 2007 Votre demande d adhésion Habitations Pour votre [ pied-à-terre ] ou celui de vos enfants Un contrat fonctionnel parfaitement adapté à vos résidences sans mobilier de valeur

Plus en détail

Cahier des Clauses Techniques Particulières Solutions pour les locaux industriels

Cahier des Clauses Techniques Particulières Solutions pour les locaux industriels Cahier des Clauses Techniques Particulières Solutions pour les locaux industriels 1. Lot n 1 : Electricité 2 1.1 Description des ouvrages... 2 1.2 Tableau général basse tension... 3 1.3 Tableaux divisionnaires

Plus en détail

Série 12 - Horloges 16 A. Caractéristiques SERIE 12 12.01 12.11 12.31

Série 12 - Horloges 16 A. Caractéristiques SERIE 12 12.01 12.11 12.31 Série - Horloges 16 A SERE Caractéristiques.01.11.31 Horloges à segments - rogramme journalier * - rogramme hebdomadaire ** Type.01-1 contact inverseur 16 A Type.11-1 contact NO 16 A largeur 17.6 mm Type.31-0000

Plus en détail

Système d alarme sans fil. guide SOMFY

Système d alarme sans fil. guide SOMFY Système d alarme sans fil guide SOMFY Le système d alarme sans fil Somfy veille sur votre tranquillité d esprit La motorisation et l automatisation des ouvertures de la maison (volets roulants, porte de

Plus en détail

Vers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE

Vers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE Vers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE 1 Le nombre de logements dont la SWL et ses sociétés agréées sont propriétaires s élève à 101.242 ; le montant annuel des investissements

Plus en détail

COMMUNE DE ST-GERMAIN-LES-VERGNES. COMPTE RENDU DES DELIBERATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 3 décembre 2012

COMMUNE DE ST-GERMAIN-LES-VERGNES. COMPTE RENDU DES DELIBERATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 3 décembre 2012 REPUBLIQUE FRANÇAISE Département de la Corrèze Arrondissement de Tulle Canton de Tulle Campagne Nord COMMUNE DE ST-GERMAIN-LES-VERGNES COMPTE RENDU DES DELIBERATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 3 décembre

Plus en détail

01-APPROBATION DU COMPTE RENDU DE LA SEANCE DU 10 JANVIER 2014 02-DECISIONS PRISES PAR DELEGATION DECLARATIONS D INTENTION D ALIENER

01-APPROBATION DU COMPTE RENDU DE LA SEANCE DU 10 JANVIER 2014 02-DECISIONS PRISES PAR DELEGATION DECLARATIONS D INTENTION D ALIENER EXTRAIT DU REGISTRE DES DÉLIBÉRATIONS SÉANCE DU 21 Février 2014 Nombre de conseillers en exercice... : 15 Nombre de présents... : 12 Vote par procuration... : 2 Nombre de votants... : 14 Date de convocation

Plus en détail