Institut des Reviseurs d Entreprises

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Institut des Reviseurs d Entreprises"

Transcription

1 Institut des Reviseurs d Entreprises Assemblée Générale 27 avril 2007 Jacques Potdevin 1. Je suis particulièrement heureux d être parmi vous ce jour et je voudrais avant tout rendre hommage aux contributions de la profession belge aux travaux de la FEE : Vice-présidence d André Kilesse Contribution active aux travaux de commission dans les domaines de la déontologie, audit, PME, reconnaissance des qualifications, accounting, assurance, etc. Accueil généreux de la profession belge dans son ensemble à chaque fois que l IFAC ou la FEE organise une manifestation d envergure en Belgique. 2. La FEE existe depuis vingt années mais ses antécédents remontent bien plus loin dans le passé. Le Groupe d Etude des Experts Comptables de la CEE, créé à la fin des années cinquante, s est réuni pendant plus de trente années dans les locaux de l Institut des Reviseurs d Entreprises. C est lui qui a influencé des textes fondateurs tels que la quatrième et la huitième directive. Peut-on aussi rappeler que son Secrétaire pendant toutes ces années était un éminent membre du Conseil de votre Institut, Monsieur Hendrick Block. 3. L époque des pionniers paraît bien lointaine et la FEE a pris ses marques non seulement auprès des Institutions européennes mais aussi internationalement. Nous sommes très attentifs au dialogue transatlantique, essentiel pour mener à bien la politique de convergence. 4. Il existe dans le monde professionnel comme dans le monde politique un grand problème de juste perception des affaires européennes. Où se prennent les décisions qui influencent notre avenir? Qui participe à la prise de décision? Mon objectif aujourd hui n est pas de me lancer dans des explications institutionnelles, forcément complexes, mais d illustrer le propos par quelques exemples liés à l actualité immédiate : La mise en œuvre de la directive audit, Le projet de la Commission en matière de simplification, Les IFRS pour PME, Les objectifs de convergence.

2 La Directive sur le Contrôle Légal 5. La directive comprend deux types de mesures. Les premières sont une harmonisation minimum qui doit se traduire dans la législation nationale. On doit se réjouir le plus souvent des textes européens qui représentent de bons compromis. Malheureusement, ce qu en font les Etats membres n est pas toujours aussi excellent. Certains se croient obligés de jouer les champions de la rigueur. C es rarement utile et cela ajoute des obstacles dans le marché intérieur. 6. Le second type de mesure a pour objectif une harmonisation plus poussée. Par exemple, l application des normes internationales d audit nous laisse très peu de place pour des déviations nationales par rapport à la norme. Si les pays européens veulent exister dans un tel contexte, ils n ont qu une seule solution : mettre tout en œuvre, notamment à travers la FEE, pour faire valoir leurs idées auprès des standard setters mondiaux. L utilité d un référentiel de normes d audit en Europe me paraît certaine. Comment pourrait-on aller de l avant dans l application des IFRS et continuer à certifier les comptes selon des normes nationales? Observons que les organismes de surveillance de la profession (oversight) développent rapidement leur coordination aux niveaux européen et mondial. Ceci est une bonne chose dans la mesure où il sera possible d éviter ainsi des procédures de surveillance redondantes. Nous devons aussi être conscients des risques de cette évolution qui au bout du chemin pourrait signifier la perte d influence des professionnels de terrain sur la normalisation. 7. D aucuns, j en suis certain, trouveront que la directive va trop loin dans l harmonisation en imposant l application des ISA. D autres jugeront que dans bien des domaines, la directive ne va pas assez loin (limitation de responsabilité ou formation). Il y a de nombreux espaces d autonomie nationale dans la directive et il est important que les instituts nationaux restent très attentifs à ce sujet. Nous avons aussi des problèmes nouveaux qui nous préoccupent et provoqueront sans doute des initiatives réglementaires. Les questions de concentration des cabinets et de liberté de choix des clients sont évidemment de ceux-là. 8. L existence d un choix suffisant pour les clients est devenue une vraie question. Les régulateurs qui imposent des règles de plus en plus sévères en matière de qualité devraient accepter que dans un tel contexte, tout cabinet qui satisfait aux contrôles de qualité doit être traité de façon équivalente. De plus, les régulateurs devraient prêter attention aux effets pervers de certaines règles en matière d incompatibilité par exemple. Le Projet Simplification 9. Nous sommes tous d accord pour dire que les contraintes administratives qui pèsent sur les PMEs sont excessives. La Commission européenne a proposé aux Etats membres de couper dans les formalités en réduisant la charge de 25%. Jusque là, nous pouvions ne pas avoir trop d inquiétudes. La suite révèlera le contraire. 2

3 Les Ministres réunis dans le Conseil compétitivité ont d abord fait observer qu ils n étaient pas concernés par ces 25%. Comme l essentiel des formalités pesant sur les PME, et d ailleurs toutes les entreprises, concerne les exigences des administrations fiscale et sociale, on peut dire que l objectif ne sera pas atteint. Deuxième problème, les services de la Commission ont adopté une approche linéaire, recherchant des simplifications dans toute forme de législation existante. Ceci les a conduits vers les directives comptabilité et audit. Le problème, c est que ces textes sont déjà très attentifs aux besoins des PME, au point que la plupart des Etats membres ne font pas usage de toutes les exemptions qu elles permettent. La comptabilité est un outil de gestion, et non une formalité administrative dont on pourrait se passer. 10. Dès que la FEE a été informée des projets de la Commission, nos groupes de travail ont étudié la question. Le problème en l espèce est qu il est difficile de faire des suggestions parce que les simplifications, si elles devaient se justifier, découleraient de la façon dont les Etats membres appliquent la directive, plus que de la directive elle-même. La définition de la PME et les conséquences que l on en tire sont des questions sensibles au plan national. Il n est pas clair qu elles soient nécessaires à l objectif de création d un marché intérieur européen. 11. La FEE a adopté une prise de position qui fut largement diffusée et présentée à la Commission et aux parlementaires européens. Nous ne sommes pas favorables à un système d audit à deux vitesses. Le risque de confusion pour les utilisateurs est évident. Par ailleurs, les tentatives faites dans plusieurs pays, dont les Etats Unis, ne sont pas convaincantes. Les Etats membres eux-mêmes ne semblent pas favorables aux mesures envisagées et qui auraient pour effet de restreindre le champ d application du contrôle légal ou de créer une exemption plus large pour les micro-entreprises. Nous devons cependant rester attentifs. Les IFRS pour SME 12. L IASB a publié récemment un exposé-sondage proposant un système de rapports financiers pour PME. Ce document a provoqué de nombreuses réactions négatives qui, dans une large mesure, découlent de mauvaises interprétations des besoins et des objectifs. Il n a jamais été question, à notre connaissance, de remplacer la quatrième directive par un nouveau référentiel comptable qui serait produit par l IASB. Par contre, il faut reconnaître qu il existe de nombreux pays dans le monde, et même en Europe, qui seraient intéressés par un référentiel comptable plus détaillé que la directive, sans pour autant être aussi développé que les IFRS. 13. Nous ne pouvons en rester à des questions de forme et de règlement. Le projet de l IASB doit être étudié au fond. La FEE s est toujours prononcée en faveur de normes fondées sur des principes. Les principes sont de plus en plus détaillés lorsqu on les décline dans le contexte de sociétés de plus grande taille. Cette approche «think small first» serait sans doute idéale si les normalisateurs étaient capables de s y plier. Une second observation doit cependant être faite. Les utilisateurs de l information financière préparée par les PME sont-ils les mêmes que les utilisateurs des états financiers 3

4 publiées par les grandes entreprises? Si la réponse devait être négative, quelles en sont les conséquences pour les règles d évaluation? L utilisation de la juste valeur n est pas seulement une difficulté technique. C est aussi une question de principe. 14. La profession ne peut pas être absente de ces débats. Nous devons tenir notre rang de professionnels de la comptabilité et ne pas abandonner le terrain aux théoriciens, qu ils soient normalisateurs ou académiques. Convergence 15. La politique suivie au plan européen et mondial depuis une dizaine d années découle d un même objectif : réduire autant que possible les divergences entre les systèmes de comptabilité et d audit, afin que les instruments de gestion des entreprises soient plus efficaces et moins coûteux. Le principal obstacle à cette évolution réside dans l action des normalisateurs nationaux. En conséquence, la solution réside aussi dans la convergence des principaux systèmes nationaux de normes, susceptibles d éliminer toute obligation de retraitement ou de réconciliation. 16. La convergence est un processus difficile. J indiquerai trois dangers : la convergence est parfois perçue comme un processus à sens unique. Il est logique de choisir le système le plus performant, mais les débats actuels sur les normes comptables révèlent que certaines susceptibilités politiques doivent être prises en compte. La convergence ne signifie par l uniformité. Dans un contexte international, il faut en effet que l information soit accessible et compréhensible pour les utilisateurs où qu ils soient établis. Ceci ne signifie pas que les normes doivent être identiques. Les réalités économiques ne sont pas les mêmes partout dans le monde. Ce point a été rappelé à plusieurs reprises par le Commissaire Charlie McCreevy. Un troisième danger est celui de débattre de la convergence dans le contexte des plus grandes sociétés, les seules qui sont dignes d intérêt aux yeux de certains, et notamment outre-atlantique, alors que l économie mondiale fonctionne grâce à un grand nombre de plus petites entités dont l organisation administrative et comptable ne peut supporter certaines sophistications. 17. La convergence est un processus difficile mais indispensable. Les négociations en cours entre la Commission Européenne et les autorités américaines déboucheront, nous l espérons, sur la reconnaissance mutuelle de l équivalence des systèmes. Ceci devrait intervenir en Le même exercice est en cours avec d autres grands pays, comme le requièrent la directive sur la transparence et la directive sur l audit. La FEE a joué un rôle actif en ces domaines ainsi qu en témoignent les conférences organisées en 2005 et 2006 sur ces sujets et les publications correspondantes. Conclusion 4

5 18. Dans tous ces grands débats, il est essentiel que la profession exprime des positions européennes communes. Dans une mesure limitée mais réelle, les institutions nationales se sont trouvées affaiblies face au développement de la mondialisation. Je ne voudrais pas exagérer le propos. Nous savons que toute directive ou règlement européen doit être approuvé par le Conseil des Ministres européens. De même, la FEE est d abord un conseil de représentants des instituts nationaux qui délibèrent par consensus. Toutefois, si nous voulons rester influents dans la politique professionnelle mondiale, nous devons le faire ensemble et après en avoir débattu entre nous. Nous devons définir des positions communes au sein de la profession et avec nos autorités de surveillance. 5

Considérations sur la crise et le marché intérieur 1

Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Auteurs : Jacques Potdevin : Président de la Fédération des Experts comptables Européens (FEE - Federation of European Accountants 2 ) de 2007 à 2008.

Plus en détail

Plan d action de l Institut des Réviseurs d Entreprises concernant l application de la norme ISQC-1 11.08.2014

Plan d action de l Institut des Réviseurs d Entreprises concernant l application de la norme ISQC-1 11.08.2014 Plan d action de l Institut des Réviseurs d Entreprises concernant l application de la norme ISQC-1 11.08.2014 Considérations générales 1. Le Conseil de l IRE est soucieux des difficultés rencontrées par

Plus en détail

Norme ISA 510, Audit initial Soldes d ouverture

Norme ISA 510, Audit initial Soldes d ouverture IFAC Board Prise de position définitive 2009 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 510, Audit initial Soldes d ouverture Le présent document a été élaboré et approuvé par le Conseil des normes internationales

Plus en détail

Objet : Nouvel exposé-sondage ES/2011/6, Produits des activités ordinaires tirés de contrats avec des clients

Objet : Nouvel exposé-sondage ES/2011/6, Produits des activités ordinaires tirés de contrats avec des clients Le 5 mars 2012 Affiché sur le site Web http://www.iasb.org/ Objet : Nouvel exposé-sondage ES/2011/6, Produits des activités ordinaires tirés de contrats avec des clients Madame, Monsieur, L Association

Plus en détail

3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES

3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES 3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES Considérant que la révision des comptes consolidés doit s exercer conformément aux normes générales de révision; que ses caractéristiques

Plus en détail

1 - Quels sont les principaux obstacles rencontrés à la mise en accessibilité?

1 - Quels sont les principaux obstacles rencontrés à la mise en accessibilité? 1 Audition de Claire-Lise Campion C.E.S.E. 30 avril 2014 Seul le prononcé fait foi 1 - Quels sont les principaux obstacles rencontrés à la mise en accessibilité? Rappel : la loi du 11 février 2005 prévoit

Plus en détail

Norme ISA 200, Objectifs généraux de l auditeur indépendant et réalisation d un audit conforme aux Normes internationales d audit

Norme ISA 200, Objectifs généraux de l auditeur indépendant et réalisation d un audit conforme aux Normes internationales d audit IFAC Board Prise de position définitive 2009 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 200, Objectifs généraux de l auditeur indépendant et réalisation d un audit conforme aux Normes internationales

Plus en détail

devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable

devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable VERSION DÉFINITIVE Allocution prononcée par Anthony Ariganello, CGA Président-directeur général CGA-Canada devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable Toronto (Ontario) Le 20 octobre

Plus en détail

QUALIFICATION PROFESSIONNELLE. Audition du 21 février 2011 Consultation publique Bruxelles. La perspective des Médecins. Professeur Robert NICODEME

QUALIFICATION PROFESSIONNELLE. Audition du 21 février 2011 Consultation publique Bruxelles. La perspective des Médecins. Professeur Robert NICODEME QUALIFICATION PROFESSIONNELLE Audition du 21 février 2011 Consultation publique Bruxelles La perspective des Médecins Professeur Robert NICODEME 1 Conseil National de l Ordre des Médecins Le Conseil National

Plus en détail

La gouvernance dans les grandes associations et fondations

La gouvernance dans les grandes associations et fondations La gouvernance dans les grandes associations et fondations Institut Français des Administrateurs Evaluer son Conseil d administration 7 rue Balzac 75008 PARIS Tel. : 01 55 65 81 32 - email : contact@ifa-asso.com

Plus en détail

Intervention de Marisol Touraine. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes

Intervention de Marisol Touraine. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes 1 Intervention de Marisol Touraine Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Conseil d administration du régime social des indépendants Jeudi 25 juin 2015 Monsieur le Ministre,

Plus en détail

Norme ISA 260, Communication avec les responsables de la gouvernance

Norme ISA 260, Communication avec les responsables de la gouvernance IFAC Board Prise de position définitive 2009 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 260, Communication avec les responsables de la gouvernance Le présent document a été élaboré et approuvé par le

Plus en détail

Bonsoir, Mesdames et Messieurs,

Bonsoir, Mesdames et Messieurs, Bonsoir, Mesdames et Messieurs, Tout d abord je souhaiterais remercier les organisateurs de ce symposium, la Division de la Population des Nations Unies et la Fondation Roselli, pour leur invitation de

Plus en détail

Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière

Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière IFRS 1 Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière Objectif 1 L objectif de la présente Norme est d assurer que les premiers

Plus en détail

Introduction à la comptabilité financière

Introduction à la comptabilité financière PARTIE 1 Introduction à la comptabilité financière Chapitre 1 Chapitre 2 Chapitre 3 Chapitre 4 D une approche patrimoniale et juridique à une approche économique et financière... 3 Les tableaux de synthèse

Plus en détail

Projet de loi n o 102. Loi modifiant la Loi sur les régimes complémentaires de retraite

Projet de loi n o 102. Loi modifiant la Loi sur les régimes complémentaires de retraite FÉDÉRATION DE L ÂGE D OR DU QUÉBEC AVIS PRÉSENTÉ À LA COMMISSION DES AFFAIRES SOCIALES Projet de loi n o 102 Loi modifiant la Loi sur les régimes complémentaires de Mai 2000 Introduction Fondée en 1970,

Plus en détail

Intergovernmental Working Group of Experts on International Standards of Accounting and Reporting (ISAR)

Intergovernmental Working Group of Experts on International Standards of Accounting and Reporting (ISAR) Intergovernmental Working Group of Experts on International Standards of Accounting and Reporting (ISAR) 31st SESSION 15-17 October 2014 Room XVIII, Palais des Nations, Geneva Friday, 17 October 2014 Morning

Plus en détail

PRESENTATION DU CADRE DE REFERENCE 2010 A LA COMMISSION DE DROIT COMPTABLE 12 Juillet 2010

PRESENTATION DU CADRE DE REFERENCE 2010 A LA COMMISSION DE DROIT COMPTABLE 12 Juillet 2010 COMMISSION DES MISSIONS COMPTABLES PRESENTATION DU CADRE DE REFERENCE 2010 A LA COMMISSION DE DROIT COMPTABLE 12 Juillet 2010 Joëlle LASRY/Guy ZERAH CREATIVE WORK Page 1 PRESENTATION GENERALE Le Conseil

Plus en détail

TAFTA: Une attaque camouflée sur la démocratie et les normes de règlementation

TAFTA: Une attaque camouflée sur la démocratie et les normes de règlementation TAFTA: Une attaque camouflée sur la démocratie et les normes de règlementation La coopération réglementaire, une menace pour la capacité démocratique des pouvoirs publics à régule Il y a de bonnes raisons

Plus en détail

Art. 2. Les vérificateurs environnementaux, tels que définis à l article 2, point 20) du règlement (CE), relèvent du régime suivant :

Art. 2. Les vérificateurs environnementaux, tels que définis à l article 2, point 20) du règlement (CE), relèvent du régime suivant : Projet de loi portant certaines modalités d application et sanction du règlement (CE) no 1221/2009 du Parlement européen et du Conseil du 25 novembre 2009 concernant la participation volontaire des organisations

Plus en détail

Évolution du processus de normalisation en ce qui a trait à la présentation de l information financière Vivons-nous un changement d environnement?

Évolution du processus de normalisation en ce qui a trait à la présentation de l information financière Vivons-nous un changement d environnement? Évolution du processus de normalisation en ce qui a trait à la présentation de l information financière Vivons-nous un changement d environnement? Le processus de normalisation de l IASB auparavant Proposition

Plus en détail

Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché

Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché XXIII ème Assemblée régionale Europe Erevan, Arménie 3 au 7 mai 2010 Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché Section Belgique/Communauté

Plus en détail

THÉORIE ET PRATIQUE DE L AUDIT INTERNE

THÉORIE ET PRATIQUE DE L AUDIT INTERNE Jacques RENARD THÉORIE ET PRATIQUE DE L AUDIT INTERNE Préface de Louis GALLOIS Président de la SNCF Prix IFACI 1995 du meilleur ouvrage sur l audit interne Cinquième édition, 1994, 1997, 2000, 2002, 2004

Plus en détail

F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S. sur

F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S. sur F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S sur L AVANT-PROJET DE PLAN D ACTION EN MATIERE DE RESPONSABILITE SOCIETALE DES ENTREPRISES EN BELGIQUE *** 2 Dans sa lettre du 10 juillet

Plus en détail

Solvabilité 2, pour une meilleure protection des assurés européens

Solvabilité 2, pour une meilleure protection des assurés européens Solvabilité 2, pour une meilleure protection des assurés européens Solvabilité II, contrats responsables, normes IFRS, fiscalité : conséquences de ces normes sur le devenir des opérateurs et des couvertures

Plus en détail

22 avril 2009. l investissement responsable de la maif

22 avril 2009. l investissement responsable de la maif Charte 22 avril 2009 l investissement responsable de la maif objectifs considération sur l investissement responsable les axes d engagement l investissement responsable de la maif /// Préambule La MAIF

Plus en détail

PME Finance 29 avril 2014

PME Finance 29 avril 2014 PME Finance 29 avril 2014 http://www.pmefinance.org/9587-crowdfunding-analyse-du-projet-d-ordonnance.html Crowdfunding : le projet d'ordonnance se précise Très attendu, le projet d'ordonnance de simplification

Plus en détail

Mémoire. CTE 003M C.P. P.L. 48 Véhicules automobiles. Rehausser la performance environnementale de notre parc automobile.

Mémoire. CTE 003M C.P. P.L. 48 Véhicules automobiles. Rehausser la performance environnementale de notre parc automobile. Rehausser la performance environnementale de notre parc automobile CTE 003M C.P. P.L. 48 Véhicules automobiles Mémoire Présenté par l Association des recycleurs de pièces d autos et de camions du Québec

Plus en détail

Nouvelle Directive comptable européenne Quels changements? Quels impacts sur le droit comptable français?

Nouvelle Directive comptable européenne Quels changements? Quels impacts sur le droit comptable français? Nouvelle Directive comptable européenne Quels changements? Quels impacts sur le droit comptable français? La directive européenne relative aux états financiers annuels, aux états financiers consolidés

Plus en détail

Les objectifs de l Autorité de Contrôle prudentiel

Les objectifs de l Autorité de Contrôle prudentiel Les objectifs de l Autorité de Contrôle prudentiel Le 8 mars 2010, la Ministre de l Economie de l Industrie et de l Emploi Christine Lagarde a installé la nouvelle Autorité de Contrôle Prudentiel (ACP).

Plus en détail

Commission de Surveillance du Secteur Financier

Commission de Surveillance du Secteur Financier COMMUNIQUE DE PRESSE 13/20 PUBLICATION DU RAPPORT D ACTIVITES 2012 DE LA COMMISSION DE SURVEILLANCE DU SECTEUR FINANCIER (CSSF) Même si cela peut paraître surprenant par des temps aussi mouvementés, l

Plus en détail

Allocution de Monsieur le Ministre à l occasion du 1 er meeting sur l information financière

Allocution de Monsieur le Ministre à l occasion du 1 er meeting sur l information financière Royaume du Maroc المملكة المغربية Direction du Trésor et des finances Extérieures مديرية الخزينة و المالية الخارجية Allocution de Monsieur le Ministre à l occasion du 1 er meeting sur l information financière

Plus en détail

Formation «IFRS et US GAAP : points communs et divergences»

Formation «IFRS et US GAAP : points communs et divergences» Formation «IFRS et US GAAP : points communs et divergences» REFERENCE : 108 1. Objectif général Comprendre les principales différences entre les IFRS et les US GAAP. Savoir identifier et retraiter les

Plus en détail

Thèmes et situations : Renseignements et orientation. Fiche pédagogique

Thèmes et situations : Renseignements et orientation. Fiche pédagogique Ressources pour les enseignants et les formateurs en français des affaires Activité pour la classe : CFP Crédit : Joelle Bonenfant, Jean Lacroix Thèmes et situations : Renseignements et orientation Objectifs

Plus en détail

ASSOCIATION DES COMPTABLES GÉNÉRAUX ACCRÉDITÉS DU CANADA. Norme de formation Professionnelle continue Version 1.1

ASSOCIATION DES COMPTABLES GÉNÉRAUX ACCRÉDITÉS DU CANADA. Norme de formation Professionnelle continue Version 1.1 ASSOCIATION DES COMPTABLES GÉNÉRAUX ACCRÉDITÉS DU CANADA Norme de formation Professionnelle continue Version 1.1 Association des comptables généraux accrédités du Canada 100 4200 North Fraser Way Burnaby

Plus en détail

Harmonisation comptable et mondialisation Alain B urlaud, Professeur au Conservatoire national des arts et metiers

Harmonisation comptable et mondialisation Alain B urlaud, Professeur au Conservatoire national des arts et metiers Harmonisation comptable et mondialisation Alain B urlaud, Professeur au Conservatoire national des arts et metiers Christian Hoarau, Professeur a l'institut d'administration des entreprises de Paris La

Plus en détail

Présentation de la consolidation

Présentation de la consolidation Chapitre I Présentation de la consolidation Établir les comptes consolidés d un groupe consiste à présenter son patrimoine, sa situation financière et les résultats de l ensemble des entités qui le constituent

Plus en détail

Avril. L essentiel de la proposition de directive sur les services. Un choix technique. qui est aussi politique

Avril. L essentiel de la proposition de directive sur les services. Un choix technique. qui est aussi politique Avril L essentiel de la proposition de directive sur les services L E S S E N T I E L D E L A P R O P O S I T I O N D E D I R E C T I V E S U R L E S S E R V I C E S Présenté par la Commission européenne

Plus en détail

Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables

Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables Séminaire relatif à la pertinence des IPSAS et normes comptables européennes Cour des comptes 25 mars 2013 Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables

Plus en détail

Base d argumentaire experts-comptables

Base d argumentaire experts-comptables Document interne à l Atelier Communication Version 1.0 Document validé Base d argumentaire experts-comptables Argumentaire THETIS experts_v1.0.doc Page 1 sur 8 12/09/03 Sommaire 1 Objet. 3 2 Qu est ce

Plus en détail

En bref : que fait Amnesty International?

En bref : que fait Amnesty International? En bref : que fait Amnesty International? Amnesty International est l une des plus importantes organisations internationales de défense des droits humains. Des individus ordinaires, bénévoles et professionnels,

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. Introduction CHAPITRE CHAPITRE

TABLE DES MATIÈRES. Introduction CHAPITRE CHAPITRE TABLE DES MATIÈRES Introduction 1 Le diagnostic financier des sociétés et des groupes... 1 I. L analyse du risque de faillite... 2 A. L analyse fonctionnelle... 2 B. L analyse dynamique du risque de faillite

Plus en détail

Groupe JPA. Jacques Potdevin & Associés DOSSIER DE PRESSE 2011-2012

Groupe JPA. Jacques Potdevin & Associés DOSSIER DE PRESSE 2011-2012 DOSSIER DE PRESSE 2011-2012 Groupe JPA Jacques Potdevin & Associés 1 L'objectif du groupe JPA est de participer au développement harmonieux et à la pérennité de ses clients en les accompagnant dans leur

Plus en détail

The Promotion of Employee Ownership and Participation

The Promotion of Employee Ownership and Participation The Promotion of Employee Ownership and Participation Study prepared by the Inter-University Centre for European Commission s DG MARKT (Contract MARKT/2013/0191F2/ST/OP) Final report October 2014 French

Plus en détail

Par Me Eric Théroux. Directeur général Affaires multilatérales et Engagements internationaux Ministère des Relations internationales du Québec

Par Me Eric Théroux. Directeur général Affaires multilatérales et Engagements internationaux Ministère des Relations internationales du Québec Par Me Eric Théroux Directeur général Affaires multilatérales et Engagements internationaux Ministère des Relations internationales du Québec L Entente France-Québec sur la reconnaissance mutuelle des

Plus en détail

Étude sur la monnaie numérique

Étude sur la monnaie numérique Étude sur la monnaie numérique Allocution de Darren Hannah Vice-président intérimaire, Politiques et Opérations Association des banquiers canadiens Prononcée devant le Comité sénatorial des banques et

Plus en détail

Synthèse de la réunion de l IASB du mois de Décembre 2013

Synthèse de la réunion de l IASB du mois de Décembre 2013 Synthèse de la réunion de l IASB du mois de Décembre 2013 Sommaire 1. Revue post-application de la norme IFRS 3 sur les regroupements d entreprises... 2 2. Mise en équivalence : part dans les variations

Plus en détail

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir

Plus en détail

Projet de loi n o 20

Projet de loi n o 20 Loi édictant la Loi favorisant l accès aux services de médecine de famille et de médecine spécialisée et modifiant diverses dispositions législatives en matière de procréation assistée Mémoire présenté

Plus en détail

Une nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits

Une nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits Une nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits Les répercussions pour le secteur des logiciels et des services infonuagiques Novembre 2014 L International Accounting Standards Board (IASB)

Plus en détail

Un autre signe est de blâmer «une colère ouverte qui débute par le mot TU».

Un autre signe est de blâmer «une colère ouverte qui débute par le mot TU». Le besoin de contrôler Le comportement compulsif de tout vouloir contrôler n est pas mauvais ou honteux, c est souvent un besoin d avoir plus de pouvoir. Il s agit aussi d un signe de détresse; les choses

Plus en détail

Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur DOCUMENT DE TRAVAIL

Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur DOCUMENT DE TRAVAIL PARLEMENT EUROPÉEN 2009-2014 Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur 3.3.2010 DOCUMENT DE TRAVAIL sur la proposition de directive relative aux droits des consommateurs - COM(2008)614/3-2008/0196(COD)

Plus en détail

Nous avons réuni les recommandations

Nous avons réuni les recommandations Plan par étapes Recommandations aux fondateurs d un nouvel assureur mutuel La Banque Nationale a quatre mois pour délibérer sur la demande. Nous avons réuni les recommandations qui suivent à l intention

Plus en détail

RECOMMANDATIONS COMMISSION

RECOMMANDATIONS COMMISSION L 120/20 Journal officiel de l Union européenne 7.5.2008 RECOMMANDATIONS COMMISSION RECOMMANDATION DE LA COMMISSION du 6 mai 2008 relative à l assurance qualité externe des contrôleurs légaux des comptes

Plus en détail

Rémunération des Professionnels du Capital Investissement Lignes Directrices

Rémunération des Professionnels du Capital Investissement Lignes Directrices Rémunération des Professionnels du Capital Investissement Lignes Directrices 1. Contexte Les travaux du groupe de travail de place constitué au début de l année 2009 à la demande des pouvoirs publics ont

Plus en détail

L EXTERNALISATION. Quels sont les enjeux stratégiques de l externalisation pour l entreprise actuellement?

L EXTERNALISATION. Quels sont les enjeux stratégiques de l externalisation pour l entreprise actuellement? L EXTERNALISATION Au sein des entreprises, l'heure est à la rationalisation des coûts. Pour parvenir à cet objectif, les stratégies sont nombreuses. Parmi elles, l externalisation est aujourd'hui considérée

Plus en détail

L Espagne est un pays qui bénéficie des

L Espagne est un pays qui bénéficie des Accords préalables de prix "intra- groupe" avec l'administration fiscale : une nouvelle frontièr ontière de l'audit? José Maria Bove L Espagne est un pays qui bénéficie des investissements en provenance

Plus en détail

Objet : Commentaires relatifs à l exposé-sondage IES 6, Évaluation de la compétence professionnelle (Assessment of Professional Competence)

Objet : Commentaires relatifs à l exposé-sondage IES 6, Évaluation de la compétence professionnelle (Assessment of Professional Competence) Le 27 juillet 2011 Affiché sur le site Web : http://www.ifac.org/ Monsieur David McPeak Directeur technique Conseil des normes internationales de la formation comptable International Accounting Education

Plus en détail

Comportements addictifs

Comportements addictifs Comportements addictifs Les cyberdépendances Addictions comportementales, Qu est-ce que c est? L addiction, au sens général, peut se définir par une envie incontrôlable et répétée, de consommer un produit

Plus en détail

Qu'est-ce que la normalisation?

Qu'est-ce que la normalisation? NORMALISATION 1 Qu'est-ce que la normalisation? La normalisation est un outil élémentaire et efficace des politiques européennes, ses objectifs étant de : contribuer à la politique visant à mieux légiférer,

Plus en détail

JOURNAL OFFICIEL DU SENEGAL

JOURNAL OFFICIEL DU SENEGAL 1 sur 6 12.11.2010 16:41 JOURNAL OFFICIEL DU SENEGAL LOI D ORIENTATION n 2008-29 du 28 juillet 2008 LOI D ORIENTATION n 2008-29 du 28 juillet 2008 relative à la promotion et au développement des petites

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE PROTECTION SOCIALE

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE PROTECTION SOCIALE PROTECTION SOCIALE ASSURANCE MALADIE, MATERNITÉ, DÉCÈS MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION PUBLIQUE ET DE LA RÉFORME DE L ÉTAT MINISTÈRE

Plus en détail

Colloque Prévention et gestion de la fraude aux cartes bancaires 17 janvier 2008. Discours d ouverture par M. Noyer, Gouverneur de la Banque de France

Colloque Prévention et gestion de la fraude aux cartes bancaires 17 janvier 2008. Discours d ouverture par M. Noyer, Gouverneur de la Banque de France Colloque Prévention et gestion de la fraude aux cartes bancaires 17 janvier 2008 Discours d ouverture par M. Noyer, Gouverneur de la Banque de France Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, Je suis

Plus en détail

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ ET DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS 1. Introduction Placer la «bonne personne au bon endroit» représente

Plus en détail

Le Fonds de solidarité FTQ : Partie prenante à la solution pour l industrie du capital de risque au Canada

Le Fonds de solidarité FTQ : Partie prenante à la solution pour l industrie du capital de risque au Canada Le Fonds de solidarité FTQ : Partie prenante à la solution pour l industrie du capital de risque au Canada Rôle clé dans la structuration de l industrie du CR Modèle de création d emplois de qualité et

Plus en détail

CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE

CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université

Plus en détail

Récapitulatif: Du 17 au 28 Août 2015. Mesures de développement de la place de Paris. Retard dans l implémentation du format SWIFT au Maroc.

Récapitulatif: Du 17 au 28 Août 2015. Mesures de développement de la place de Paris. Retard dans l implémentation du format SWIFT au Maroc. Du 17 au 28 Août 2015 Récapitulatif: Mesures de développement de la place de Paris. Retard dans l implémentation du format SWIFT au Maroc. Accord de partenariat entre la Bourse de Casablanca et London

Plus en détail

Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé

Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé Cabinet du ministre Communiqué de presse BUDGET 2013-2014 COMMUNIQUÉ N 2 BUDGET 2013-2014 Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé Québec, le 20 novembre 2012 «Pour accélérer la croissance

Plus en détail

Une gestion dynamique du spectre pour l innovation et la croissance

Une gestion dynamique du spectre pour l innovation et la croissance Une gestion dynamique du spectre pour l innovation et la croissance 12 ème Réunion annuelle FRATEL 30 septembre 1 er octobre 2014 Marrakech, Maroc Mercredi, 1 octobre 2014 Sommaire Rappel de la mission

Plus en détail

S E F F. Sécurité dans les entreprises forestières formatrices. Former dans le cadre d un réseau d entreprises

S E F F. Sécurité dans les entreprises forestières formatrices. Former dans le cadre d un réseau d entreprises S E F F Sécurité dans les entreprises forestières formatrices Former dans le cadre d un réseau d entreprises documentation à l intention des entreprises formatrices Sommaire 1 Introduction 2 1.1 Contexte

Plus en détail

Peut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr

Peut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr Peut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr Actualités en Médecine Gériatrique, Paris 17 juin 2015 Conflit d intérêt Remerciements au Dr O. Faraldi Une réponse triviale?

Plus en détail

Services en ligne : Leader du conseil SICAV & FCP sur internet, Compte-titres, Assurance-vie

Services en ligne : Leader du conseil SICAV & FCP sur internet, Compte-titres, Assurance-vie Choisir l avenir Distribution de produits financiers : Conseil et optimisation du patrimoine privé et professionnel Ingénierie Financière pour PME : Introduction en Bourse, levées de fonds, LBO Private

Plus en détail

RÈGLES DE CONDUITE DE L ENTREPRISE D ASSURANCES

RÈGLES DE CONDUITE DE L ENTREPRISE D ASSURANCES RÈGLES DE CONDUITE DE L ENTREPRISE D ASSURANCES 3 AVANT-PROPOS Le présent code de bonne conduite définit les règles auxquelles les entreprises d assurances ont souscrit à l égard de leurs nombreux interlocuteurs:

Plus en détail

Projet de loi de régulation et de séparation des activités bancaires Intervention générale

Projet de loi de régulation et de séparation des activités bancaires Intervention générale Nom du sénateur Eric Bocquet Groupe Communiste Républicain Citoyen Sénateur du Nord Paris, le 19 mars 2013 Projet de loi de régulation et de séparation des activités bancaires Intervention générale Monsieur

Plus en détail

Les obstacles : Solutions envisageables :

Les obstacles : Solutions envisageables : 1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un

Plus en détail

Rapport annuel commun. Système belge de supervision publique des réviseurs d entreprises

Rapport annuel commun. Système belge de supervision publique des réviseurs d entreprises Rapport annuel commun Système belge de supervision publique des réviseurs d entreprises Le Conseil supérieur des Professions économiques tient à remercier le SPF Economie, P.M.E., Classes moyennes et Energie

Plus en détail

La Qualité de SFR Business Team

La Qualité de SFR Business Team La Qualité de SFR Business Team au service de ses clients Faire équipe avec vous est la promesse de SFR Business Team faite à son marché. Présent et performant sur l ensemble des segments, de la TPE au

Plus en détail

SEQUENCE 06 THEME 1 : LES REPONSES DU DROIT DU TRAVAIL AU PROBLEME DE L EMPLOI... 292 I. EMPLOI : PERCEPTION DE LA SITUATION...

SEQUENCE 06 THEME 1 : LES REPONSES DU DROIT DU TRAVAIL AU PROBLEME DE L EMPLOI... 292 I. EMPLOI : PERCEPTION DE LA SITUATION... P9703-F1/2 291 SEQUENCE 06 THEME 1 : LES REPONSES DU DROIT DU TRAVAIL AU PROBLEME DE L EMPLOI... 292 I. EMPLOI : PERCEPTION DE LA SITUATION... 292 II. L URGENCE : LEGIFERER PAR ORDONNANCES... 295 III.

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1

Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1 Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion Introduction 2 Contrôle de gestion : fonction aujourd hui bien institutionnalisée dans les entreprises Objectif : permettre une gestion rigoureuse et une

Plus en détail

Une vision claire des IFRS

Une vision claire des IFRS Juillet 2014 Secteur de la distribution et du commerce de détail et de gros Une vision claire des IFRS Perspectives sectorielles sur IFRS 15 La nouvelle norme sur les produits des activités ordinaires

Plus en détail

Groupe de travail. Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT

Groupe de travail. Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT Groupe de travail Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT Les participants ont tous reçu une copie du rapport particulièrement riche du précédent groupe de travail. A l issue des rapports des représentantes

Plus en détail

MANIFESTE DE L AUTO-NOTATION ET DE L AUTO-EVALUATION DES TPE-PME

MANIFESTE DE L AUTO-NOTATION ET DE L AUTO-EVALUATION DES TPE-PME MANIFESTE DE L AUTO-NOTATION ET DE L AUTO-EVALUATION DES TPE-PME Pour des relations Banque-Entreprise et Investisseur-Entreprise mieux équilibrées et apaisées Définition d un Manifeste : «Proclamation

Plus en détail

CHAPITRE 1 : LA PROFESSION COMPTABLE

CHAPITRE 1 : LA PROFESSION COMPTABLE CHAPITRE 1 : LA PROFESSION COMPTABLE I. Organisation de la profession comptable Profession comptable Comptable s salariés Comptable s libéraux Comptable s publics A. Comptables salariés 1. La profession

Plus en détail

Nouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés)

Nouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés) Nouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés) INTRODUCTION Historique 1. Le 6 octobre 1989, le Conseil de l IRE a approuvé une recommandation de révision

Plus en détail

L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse

L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse Institut de la jeunesse Madrid Les débuts de toute chose sont toujours petits. Cicéron La

Plus en détail

CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION «Pour un meilleur partenariat Banques/Petites et moyennes entreprises au service du Développement Humain»

CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION «Pour un meilleur partenariat Banques/Petites et moyennes entreprises au service du Développement Humain» CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION «Pour un meilleur partenariat Banques/Petites et moyennes entreprises au service du Développement Humain» ALLOCUTION INAUGURALE DE MONSIEUR ABDELLATIF JOUAHRI GOUVERNEUR

Plus en détail

RAPPORT SUR LE RESPECT DES NORMES ET CODES («RRNC/ROSC 1») COMPTABILITE ET AUDIT

RAPPORT SUR LE RESPECT DES NORMES ET CODES («RRNC/ROSC 1») COMPTABILITE ET AUDIT RAPPORT SUR LE RESPECT DES NORMES ET CODES («RRNC/ROSC 1») COMPTABILITE ET AUDIT GABON Avril 2011 1 Report on the Observance of Standards and Codes. RAPPORT SUR L APPLICATION DES NORMES ET CODES «ROSC»

Plus en détail

International Financial Reporting Standards (IFRS) Mise en place et Impacts. 2 février 2005

International Financial Reporting Standards (IFRS) Mise en place et Impacts. 2 février 2005 International Financial Reporting Standards (IFRS) Mise en place et Impacts 2 février 2005 QUE SONT LES IFRS? Les IFRS ont été élaborées par l International Accounting Standards Board (IASB) en vue de

Plus en détail

Réussir sa vie ce n est pas toujours réussir dans la vie.

Réussir sa vie ce n est pas toujours réussir dans la vie. Réussir sa vie 1. Réussir sa vie ce n est pas toujours réussir dans la vie. 2. Pour certaines personnes avoir une fonction importante, un poste à responsabilités, c est le signe de la réussite. 3. Pour

Plus en détail

Redressement et stabilisation du cadre. Reformes structurelles de l économie Reformes des finances publiques Bonne gouvernance

Redressement et stabilisation du cadre. Reformes structurelles de l économie Reformes des finances publiques Bonne gouvernance Avant - Économie congolaise caractérisée par un tissu industriel délabré - Infrastructures socio-économiques de base détruites - Inflation galopante - Monnaie chancelante Après - Ambitieux programme de

Plus en détail

Cadre Stratégique Commun 2014-2020

Cadre Stratégique Commun 2014-2020 Assemblée des Régions d Europe Cadre Stratégique Commun 2014-2020 Contribution de l ARE au document de travail des services de la Commission Juillet 2012 Cadre Stratégique Commun 2014-2020 Assemblée des

Plus en détail

PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE

PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE 37 ème Assemblée Générale de la FANAF YAOUDE (CAMEROUN) 23-28 Février 1 ASSURANCE MALADIE 2 - Un des principaux

Plus en détail

Interdiction des GSM spécialement conçus pour les enfants et autres mesures: frequently asked questions

Interdiction des GSM spécialement conçus pour les enfants et autres mesures: frequently asked questions Interdiction des GSM spécialement conçus pour les enfants et autres mesures: frequently asked questions I. Les mesures... 2 Quelles sont les obligations imposées?... 2 Pourquoi ces mesures?... 2 Quel est

Plus en détail

La Commission européenne

La Commission européenne La Commission européenne Représentation en France Conférence - débat «Le Partenariat pour le Commerce et l Investissement entre les Etats-Unis et l'europe» Olivier Coppens, Attaché économique Représentation

Plus en détail

Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France. Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012"

Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France. Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012 Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012" SOMMAIRE 1 Structure de l échan0llon p. 3 4 2 Acteurs comptables p. 5 6 3 Organisa0on et ou0ls de

Plus en détail

Le Pacte de responsabilité et de solidarité

Le Pacte de responsabilité et de solidarité Le Pacte de responsabilité et de solidarité La France est à un moment décisif. Depuis plus de dix ans, l appareil de production s est affaibli, la compétitivité s est détériorée et le niveau de chômage

Plus en détail

Coopération. Assurance externe versus assurance interne : Comment créer une coopération? Institut des Réviseurs d Entreprises.

Coopération. Assurance externe versus assurance interne : Comment créer une coopération? Institut des Réviseurs d Entreprises. Coopération Assurance externe versus assurance interne : Comment créer une coopération? Institut des Réviseurs d Entreprises Institut royal Le présent document a été rédigé par un groupe de travail composé

Plus en détail

LE PROGRAMME DE RECHERCHE POUR LE SCN 2023. François Lequiller Insee

LE PROGRAMME DE RECHERCHE POUR LE SCN 2023. François Lequiller Insee LE PROGRAMME DE RECHERCHE POUR LE SCN 2023 François Lequiller Insee Vers le SCN 2023 Le SCN 2008 n est pas encore fini mais on prépare déjà le SCN 2023 (2023 = 2008 + 15 comme 2008 = 1993 +15) Futur chapitre

Plus en détail

L activité financière des sociétes d assurances

L activité financière des sociétes d assurances L activité financière des sociétes d assurances Les marchés boursiers ont repris au cours de l année 2003. Par conséquent, les plus-values latentes sur actifs des sociétés d assurances augmentent. Les

Plus en détail

Assurance protection juridique

Assurance protection juridique Assurance protection juridique Assurance protection juridique Depuis plus de 20 ans, nous aidons nos clients à protéger et à défendre ce qui est essentiel grâce à ce produit unique dans le marché! Offerte

Plus en détail