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1 Y` Y` VÉÇáx Äá cü äxçà ÉÇA «Conseils, formations et suivis de projet». Le changement en question : Comment passer à l acte? Fabienne MICHELIK Dr. De Psychologie Sociale 18 juin 2015 «7 ème Rencontres Alsaciennes de l Environnementl» Région Alsace, Strasbourg.

2 Quelques éléments de résistances au changement Les individus se comparent entre eux (e.g. pessimisme comparatif). Peur d être une minoritéactive face àune majorité inactive ou passive. Faible perception des problèmes environnementaux entrainant une sousestimation ou un déni des problèmes réels. Complexitéde l écosystème.

3 Surinformation parfois contradictoire. Habitudes trop ancrées. Non conscience de l interdépendance humains/environnement : Le «Sauvons la planète!»est souvent synonyme de «sauvons les animaux et les arbres»plutôt que «faisons attention àla vie humaine aussi»= ignorance (volontaire ou non) des enjeux complets et réels. L environnement signifie pour beaucoup «extérieur à soi, à l humain» donc moins important.

4 la séduction : éphémère et superficielle. L autorité: efficace mais éphémère et superficielle. le pouvoir : efficace mais éphémère. La persuasion(sensibilisation) notamment grâce à l argumentation.

5 Toucher les idées pour atteindre les comportements. Communication Attitudes (opinions, croyances) Comportements Importance des arguments utilisés lors des communications. Exemple de persuasionclassique : les campagnes de prévention faisant appel à la peur.

6 Convaincre est de plus en plus difficile, les liens entre les opinions et les comportements ne sont plus systématiques : décalage entre les idées, les croyances et les actes. On peut être convaincu de quelque chose mais sans pour autant agir : changement d idées ou de croyances ne signifie pas nécessairement changement de comportement. La persuasion est nécessaire mais elle reste insuffisante.

7 Un modèle de changement individuel Prédire le comportement qu un individu aura en fonction du stade oùil se situe, àpartir de la connaissance de son intention initiale. Précontemplation Contemplation Préparation Action Maintien Modèle Transthéorique (Velicer, Prochaska, Fava, Norman et Redding, 1998).

8 Sphère des idées? Sphère des comportements

9 Un seul mot d ordre d : «Être Acteur de son changement»

10 Principe de base Un comportement réaliséest un tremplin vers l aspect cognitif de l individu (attitudes, opinions, croyances ) = Besoin de rationalisation. Agir pour favoriser une connexion entre «ce que je fais»et «pourquoi je le fais»/ «pourquoi j ai acceptéde le faire». L action réalisée pour favoriser une prise de conscience.

11 Rendre l individu l actif? Des exemples pratiques

12 Les actes préparatoires : * Remplir un questionnaire * Réfléchir à des slogans * Accepter de poser un autocollant * Discussion de groupe * Rendre l individu actif 1/ Rendent les individus sensibles et réceptifs aux nouvelles informations diffusées ultérieurement. 2/ Permettent d augmenter la probabilitéque les personnes acceptent de réaliser d autres actes plus importants (e.g. signer une carte d engagement).

13 «Il ne s agit plus de peser sur les idées pour modifier les comportements, mais de peser sur les comportements pour modifier les idées»joule & Beauvois(1998). Ce n est pas l individu qui s engage en fonction de ses caractéristiques personnologiques, mais la situation qui engage (plus ou moins) l individu en fonction de ses caractéristiques objectives.

14 Approche classique de la Persuasion / sensibilisation : passer des idées aux actes. Communication Attitudes (opinions, croyances) Comportements Approche de l Engagement : passer des actes aux idées. Un petit acte, Décision d action Comportements Attitudes (opinions, croyances) L engagement propose un renversement de l approche classique pour surmonter les résistances auxquelles cette approche se heurte en termes d informations, de sensibilisation ou de persuasion.

15 Comment obtenir un engagement? Obtention d un acte préparatoire engageant en jouant sur plusieurs facteurs de la situation, par exemple : Le contexte de liberté dans lequel l acte est réalisé: rappeler àl individu qu il est libre d agir, de choisir, de réfléchir, par une simple phrase «Vous êtes libre d accepter ou de refuser ce comportement». Le caractère public de l acte : plus l individu réalise un comportement de manière visible plus il est engagé par ce comportement.

16 Les raisons internes : «Je le fais parce que je suis responsable parce que je le décide etc.». Les raisons externes désengagent : «Je le fais parce qu on me le demande parce que j y suis obligé(e) etc.». L importance de l acte : plus l acte a un coût pour l individu, plus il l engage. Sauf en ce qui concerne l acte préparatoire : il doit être de moindre coût. Mais le principe de libertéest LEprincipe de l Engagement à ne jamais oublier! Il s agit d amener l individu à coopérer, et non à le forcer à agir contre son gré ou sans qu il ne s en rende compte : Induction comportementale. Aucune pression ne doit être exercée.

17 Exemple d engagement, Cobern (1995) Test de recyclage sur 4 semaines. Condition contrôle : aucun contact direct avec le public. Condition 1: signature d une carte de participation au recyclage pour 4 semaines. Condition 2 : les individus signent la carte (engagement) et présentent le programme àleurs voisins (persuasion/diffusion).

18 Taux de participation (en %) pour chaque condition Condition contrôle Aucun contact Condition 1 Engagement (Acteur simple) Condition 2 Engagement + persuasion / diffusion (Acteur impliqué envers autrui) 9 % 24 % 48 %

19 ENGAGEMENT & PERSUASION «(Avec) quel soubassement comportemental?» «Qui dit quoi? Àqui? Dans quel canal?»

20 Quels actes préparatoires peut-on demander aux individus concernés? ENGAGEMENT Quel est le public? Quelles sont les bonnes informations à transmettre? PERSUASION Quels sont les meilleurs canaux, outils, médias à utiliser?

21 La communication engageante (Joule, Girandola et Bernard, 2007) Penser et analyser le lien entre action et communication : - En privilégiant l action. -Tabler sur l obtention d actes préparatoires engageants. Campagne de communication : faire agir les personnes concernées.

22 Exemple de Communication Engageante (Joule, Bernard, Laganne & Girandola, 2007). Recherche réalisée sur la plage du Prado à Marseille divisée en 3 zones comparables en surface et en fréquentation : Zone 1: contrôle (aucune action réalisée). Zone 2: persuasion classique (diffusion d informations à partir de stands). Zone 3: communication engageante (2 questionnaires + carte d engagement + informations).

23 Pour la partie CE: 1. Questionnaire 1= connaître les habitudes des personnes + les amener àse projeter sur la plage idéale (sans déchets et sans mégots de cigarettes). 2. Proposer la signature de la carte d engagement. 3. Questionnaire 2, uniquement pour les personnes engagées = connaître le résultat de l engagement (qu ont-ils réellement fait? + projection dans l avenir : que vont-ils faire?).

24 Exemple de résultats sur la variable «Mégots» : Les expérimentateurs ont trouvésur le sable en moyenne : - 90 mégots / jour dans la zone de communication engageante mégots / jour dans la zone de communication classique mégots / jour dans la zone contrôle. Inefficacité de la sensibilisation classique. Intérêt d adopter des engagements dans une démarche de communication, lorsque le but est d obtenir des changements comportementaux.

25 Le changement de comportement

26 Informer sert au fil du temps àmodifier les savoirs, les opinions, àprovoquer des prises de conscience. Informations et argumentations sont donc nécessaires mais pas suffisantes. Il faut donc aller plus loin pour passer des idées aux actes. Tout outil redonnant àl individu conscience de sa capacitéd agir (= rendre acteur) positivement pour lui, pour les autres et pour son environnement, est un outil à considérer. Surtout s il fait prendre conscience de la place de l individu au sein même de son environnement.

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