Diagnostic des Escarres: Classification des escarres

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1 Diagnostic des Escarres: Classification des escarres Tom Defloor Lisette Schoonhoven Thérèse Van Durme Micheline Gobert La classification des escarres est une méthode qui permet d évaluer, d une part, la sévérité d une lésion d escarre et, d autre part, de pouvoir constater si une lésion cutanée est une lésion d escarre ou non. Un système de classification décrit un nombre de s (ou de stades). Cette division numérique est réalisée en se fondant sur la sévérité de la lésion tissulaire. Au plus que le est élevé, au plus importante la lésion tissulaire. 1 - La classification selon epuap L European Pressure Ulcer Advisory Panel (EPUAP) répartit les escarres en 4 s, sur base de la sévérité de la lésion : érythème ne disparaissant pas à la (vitro)pression (1 er ), phlyctène ou desquamation (2 ième ), escarre superficielle (3 ième ) et escarre profonde (4 ième ) (voir tableau 1 et figure 1). (European Pressure Ulcer Advisory Panel). Tableau 1 : Classification des escarres (European Pressure Ulcer Advisory Panel) 1 er Erythème cutané sur une peau apparemment intacte, ne disparaissant pas à la pression, accompagnée d une décoloration de la peau, de chaleur, d un œdème ou d une induration. 2 ième 3 ième 4 ième Perte de substance impliquant l épiderme et /ou le derme. La lésion est superfielle, se présente comme une phlyctène (ouverte ou non). Perte de substance ou nécrose impliquant le tissu sous-cutané. Elle peut impliquer le fascia, mais pas davantage. Atteinte étendue, nécrose tissulaire et/ou lésion musculaire, osseuse ou des tissus conjonctifs, avec ou sans lésion de l épiderme ou du derme.

2 1er : Erythème ne disparaissant pas à la levée de la pression 2ième : Phlyctène 3 ième : Escarre superficielle 4ième : Escarre profonde Figure 1: Exemples des s d'escarres différentes Problèmes lors de la classification Plusieurs problèmes peuvent survenir lors de l observation et la classification des escarres : fiabilité de la classification, distinction entre l érythème disparaissant ou non à la vitropression et l observation de l érythème chez les patients ayant une peau foncée. Fiabilité La fiabilité inter-codeurs pour la classification des escarres a été étudiée par différentes études (Allcock et al 1994, Healey 1995, Buntinx et al 1996, Nixon et al 1998, Bours et al 1999, Russell & Reynolds 2001, Defloor & Schoonhoven 2004, Pedley, 2004, Defloor et al 2006). La fiabilité inter-codeurs est la mesure par laquelle deux ou plusieurs observateurs indépendants attribuent le même à une lésion cutanée (Polit, 2001). Ces études portent aussi bien sur la classification effectuée à partir de photos qu en situation d observation de patients et permettent de constater des résultats très divergents. Elles rapportent parfois une bonne fiabilité du système de classification, mais le plus souvent une fiabilité basse à très basse. Le résultat semble dépendre principalement de la manière dont les infirmiers ont été formés à l observation des escarres (Defloor, 2006). Observation de l érythème

3 Lors de l observation de l érythème, il faut faire la distinction entre la rougeur disparaissant ou non à la vitropression. Pour faire cette distinction, des méthodes d observation différentes peuvent être utilisées. Erythème disparaissant à la vitropression Lorsqu après avoir été soumis à la pression, cette dernière est levée, on peut observer une hyperémie réactionnelle ou un érythème disparaissant à la vitropression. Cette augmentation de la perfusion tissulaire constitue un mécanisme d autorégulation protecteur pour rétablir l hypoxie tissulaire (Michel & Gillot 1992, Bliss 1998, Nixon & Mc Gough 2001). Cet érythème est appelé érythème disparaissant à la vitropression parce qu il peut blanchir lorsqu une pression sur la peau est exercée à l aide d un doigt ou d un petit morceau de plastique transparent. L érythème disparaissant à la vitropression n est pas considéré comme une escarre et n est, par conséquent, pas repris dans le système de classification de l EPUAP. Erythème ne disparaissant pas à la vitropression Lorsque l hyperémie ne blanchit pas lorsqu une pression est exercée à l aide d un doigt ou d un petit morceau de plastique transparent (voir figure 2), elle est considérée comme un érythème ne disparaissant pas à la vitropression (1 er ) (Derre 1998, Halfens et al 2001). Ceci peut être le signe d appel d une lésion clinique visible, consécutive à la pression et au cisaillement (Witkowski & Parish 1982, Parish et al 1997). Figure 2: petits plastiques transparents En principe, l érythème ne disparaissant pas à la vitropression est réversible si l on procède immédiatement à la levée de la pression et du cisaillement (Maklebust 1987, Smith 1995, Halfens et al 2001,Vanderwee et al 2006). Il existe une discussion à l heure actuelle quant à savoir si l érythème qui ne disparait pas à la levée de la pression doit être considéré comme une escarre ou non. Il constitue un signe d appel, un moment où il faut absolument démarrer les mesures préventives (Vanderwee et al., 2007). L EPUAP conseille d enregistrer séparément l érythème ne disparaissant pas à la levée de la pression et ne pas le compter avec les autres s d escarres (Defloor et al, 2005). Dans tous les cas, il est primordial d observer attentivement la peau au niveau des points de pression et de mobiliser immédiatement des mesures préventives envers les escarres dès l apparition d escarres. L importance d observer l érythème

4 Il est important d identifier correctement l érythème ne disparaissant pas à la levée de la pression, afin de pouvoir distinguer à temps la lésion liée à la pression, d une réaction normale à la pression et pour pouvoir démarrer à temps les mesures préventives (Bliss, 1998, Collier 1999). Un patient peut présenter un érythème ne disparaissant pas à la levée de la pression, malgré les mesures préventives utilisées ; cela peut être le signe que la prévention utilisée n était pas assez efficace ou pas assez intensive. Il est probable que ce même patient développera une escarre du 2 ième ou plus grave si des mesures préventives plus intenses ne sont pas utilisées. Une identification rigoureuse de l érythème ne disparaissant pas à la vitropression est donc essentielle dans le cadre de la prévention des escarres (Vanderwee, 2006). Les échelles de risque qui essaient de déterminer si le patient risque de développer une escarre, ne le prédisent souvent pas de manière assez précise (Schoonhoven et al., 2002). Bien que certains patients ne soient pas identifiés comme à risque par les échelles de risque, ils développeront tout de même des escarres. Il est important de dépister ces patients à temps, de manière à pouvoir commencer à temps les mesures préventives et thérapeutiques. Vanderwee et al. (2007) ont conclu dans leur étude que le fait d initier des mesures préventives au moment de l apparition d un érythème ne disparaissant pas à la vitropression, nécessitait l utilisation des mesures préventives chez beaucoup moins de patients, avec des résultats similaires à ceux chez qui la prévention avait été commencée au moment de la détermination du risque à l aide d une échelle. La peau foncée L érythème ne disparaissant pas à la vitropression est la caractéristique principale d une escarre du 1 er (Panel for the Prediction and Prevention of Pressure Ulcers in Adults, 1992). Chez les personnes à la peau claire, cela se marque cliniquement par une zone bien délimitée avec un érythème permanent. Chez les personnes à la peau foncée, cette zone délimitée peut prendre des reflets rouges, bleus ou violets. Ceci est cependant nettement moins visible. Cette modification de la couleur s accompagne d une modification d un ou deux autres éléments (Panel for the Prediction and Prevention of Pressure Ulcers in Adults, 1992): - la température cutanée (plus élevée ou plus basse que la peau environnante) - la consistance de la peau (plus dure ou plus molle) - la sensibilité (douleur, démangeaisons) Conclusion L observation et la classification correcte des escarres sont très importantes dans le cadre de la prévention des escarres. L EPUAP recommande de classifier les escarres en 4 catégories différentes : érythème ne disparaissant pas à la vitropression, phlyctène ou desquamation, escarre superficielle et escarre profonde. Ces s permettent d évaluer

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