Module I COMPRENDRE L ENJEU, POLITIQUE, PRINCIPES ET CONTEXE DE LA GESTION AXEE SUR LES RESULTATS DU DEVELOPPEMENT
|
|
- Oscar Michel
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LA GESTION AXEE SUR LES RESULTATS DU DEVELOPPEMENT Module I COMPRENDRE L ENJEU, POLITIQUE, PRINCIPES ET CONTEXE DE LA GESTION AXEE SUR LES RESULTATS DU DEVELOPPEMENT 1
2 Les valeurs à partager pendant l atelier Simplicité, nous n'avons plus de responsabilité ni casquette Ce qui va se passer et se dire ici restera entre nous. Il n'y aura pas de compte rendu des discussions. Chacun peut exprimer ses opinions sans contrainte; Ouverture, esprit critique, tolérance; Participer activement afin que chacun soit à la fois acteur et bénéficiaire de ces quelques jours de travail en commun; Se centrer sur les expériences et les préoccupations concrètes des participants, garder les pieds sur terre; 2
3 Gestion axée sur les Résultats du développement C est une méthode de gestion concentrée sur la réalisation des résultats et non d objectif Elle responsabilise pour atteindre les résultats souhaités et dans la transparence. Elle permet de suivre les progrès pour atteindre les résultats Elle mesure la performance Elle permet de rendre compte
4 la GARD Principaux éléments de la présentation Définition de la GARD La GARD dans le contexte mondial et national Cycle de la GARD Concepts fondamentaux, outils et principes Quand la GARD peut faire la différence Présentation du cadre logique et du cadre des résultats 24 janvier 2014 Page 4
5 Enjeu mondial de la GARD La GRD dans le contexte mondial. Les gouvernements sont mis au défi de réagir devant l urgence des besoins de leurs citoyens et de faire preuve d une plus grande transparence envers ces derniers; Les nouvelles exigences des citoyens et des communautés, obligent les gouvernements à démontrer qu ils assurent une saine gestion des ressources publiques. La gestion axée sur les résultats de développement (GRD) s intéresse avant toute chose aux effets réels obtenus, et ce, à toutes les étapes du processus de développement national. Aujourd hui il s agit de savoir si les politiques, programmes et projets ontils abouti aux résultats attendus? il importe davantage de savoir non pas combien de centres de santé ont été construits, mais si la santé des citoyens s est améliorée; non pas combien d écoles ont été inaugurées, mais combien de filles et de garçons sont mieux instruits; non pas la somme prêtée à un pays, mais si ce pays est dorénavant moins pauvre.
6 Enjeu mondial de la GARD A partir des années 1990, le développement international est entré dans une ère de réforme,d alignement et d harmonisation. Les dirigeants mondiaux, comme les Nations Unies et d autres institutions multilatérales, ont reconnu qu il fallait prendre des mesures draconiennes pour veiller à ce que les fonds d aide au développement soient efficacement utilisés et façon transparente avec obligation de rendre compte. 6
7 Enjeu mondial de la GARD Déclaration de Paris sur l efficacité de l aide au développement En 2005 à Paris, tous ces efforts déployés conjointement par les pays et les organismes multilatéraux en vue de mieux cibler les résultats de développement et de trouver de nouveaux moyens d améliorer l efficacité de l aide ont fait l objet de déclarations portant sur l harmonisation, l alignement et les résultats. 7
8 Enjeu mondial de la GARD: Déclaration de Paris Principes: Appropriation : Les pays partenaires exercent une réelle maîtrise sur leurs politiques et stratégies de développement et assurent la coordination de l action publique à l appui du développement. Alignement : Les donneurs font reposer l ensemble de leur soutien sur les stratégies nationales de développement, les institutions et les procédures des pays partenaires. 8
9 Enjeu mondial de la GARD: Déclaration de Paris(suite) Principes: Harmonisation : Les actions des donateurs sont mieux harmonisées et plus transparentes, et permettent une plus grande efficacité collective. Gestion axée sur les résultats de développement : Gérer les ressources et améliorer le processus de décision en vue d obtenir des résultats de développement. Responsabilité mutuelle : Les donateurs et les pays partenaires sont responsables des résultats obtenus en matière de développement. 9
10 La GARD dans le contexte de l efficacité de l aide la GRD est au cœur du programme d action en matière d efficacité de l aide. Dans la GRD, les parties prenantes demandent aux gouvernements des pays partenaires et aux organismes donateurs de rendre compte des résultats et, partant, de l efficacité de l aide. Donateurs et bénéficiaires s imposent mutuellement de montrer qu ils honorent leurs engagements et promesses. La recevabilité des gouvernements des pays partenaires et des organismes donateurs à l égard de leurs publics respectifs se double donc d une responsabilité mutuelle des donateurs et des bénéficiaires et la GARD est le noyau indispensable qui permet de concrétiser cette relation mutuelle. Dans les principes de gestion et d efficacité de l aide la GARD entretient donc des liens étroits avec l appropriation (prise en charge), l alignement et l harmonisation
11 La GARD dans le contexte de la gestion du secteur public Améliorer l efficacité de la gestion publique: Dans ce cadre, la GRD vise à : mobiliser les ressources humaines, financières, technologiques et naturelles intérieures et étrangères, en vue d atteindre les résultats de développement souhaités(changement), au lieu de privilégier les intrants «combien d argent vais-je recevoir, combien puis-je dépenser?» la GARD vise également à rassembler des informations fiables pour améliorer la prise de décisions(suivi-évaluation). Il s agit: de suivre les progrès et de gérer les activités en fonction d éléments concrets, de manière à favoriser au mieux l obtention de résultats. La GARD suppose l existence de d objectifs clairs, mesurables, concrets et limités en nombre, assortis de cibles échelonnées dans le temps(indicateurs).
12 La GARD dans le contexte de la gestion publique(suite) Répondre aux nouvelles réalités: Les nouvelles réalités: Le besoin de démontrer la valeur des interventions aux parties prenantes L obligation de réaliser le maximum avec le minimum tout en préservant la qualité Les contraintes budgétaires La responsabilité vis-à-vis des parties prenantes. ont appelé une réponse mondiale Les gestionnaires de programme à travers le monde, lesquels sont tenus de fournir la preuve que leurs programmes ont atteint leurs résultats, ont adopté la gestion axée sur les résultats comme réponse. La Banque mondiale, l USAID, l ACDI, la FAO, le PNUD et les autres doivent fournir les preuves tangibles des résultats obtenus. 24 janvier
13 La GARD dans le contexte de la gestion publique (suite) définir avec beaucoup plus de rigueur les objectifs poursuivis par les projets/programmes de développement; d améliorer la performance de l'aide au développement; L'introduction de la GARD devrait assurer une meilleure évaluation des retombées de l'aide et accroître nos capacités d'informer le bailleur, le public et le Gouvernement; 24 janvier
14 La GARD dans le contexte de la gestion du secteur public(suite) de réduire notre dette; d'être plus efficace et responsable vis-à-vis de la production de résultats de qualité; de rendre davantage compte de l'utilisation des fonds publics 24 janvier
15 La GARD dans le contexte de la gestion publique (suite) La gestion axée sur les résultats du développement vise à fournir un cadre cohérent de planification stratégique et de gestion fondée sur l apprentissage et la responsabilité dans un environnement décentralisé. C est en premier lieu un système de gestion et en second lieu un système d information sur les résultats 24 janvier
16 La GARD dans le contexte de la gestion du secteur public(suite) L adoption d une telle approche dans le contexte public vise: à accroître l efficacité et la responsabilisation des gestionnaires par «la définition des résultats escomptés réalistes», le suivi des progrès en vue de l obtention des résultats attendus, (suivi évaluation) l intégration des leçons apprises dans le processus de décisions (évaluation rétrospective), l établissement de rapports sur les résultats réalisés (rapport final) 24 janvier
17 Le cycle de la GARD Ce cycle comprend cinq grandes étapes : 1. fixer les objectifs et s entendre sur les cibles et les stratégies; 2. affecter les ressources disponibles aux activités qui permettront d atteindre les résultats souhaités; 3. faire un suivi et une évaluation pour déterminer si les ressources allouées produisent les résultats voulus; 4. rendre compte de la performance au public; 5. prendre en compte l information ainsi dégagée dans le processus décisionnel.
18 Concepts fondamentaux et outils du système de la GARD 1. Les concepts fondamentaux du système sont : le Cadre de résultats stratégiques (CRS), qui permet de déterminer les orientations et résultats stratégiques visés par l'organisation, les effets et produits attendus les plus importants de l'intervention dans un contexte donné. le suivi-évaluation des résultats sur la base d'outils de monitoring et d'évaluation des effets aussi bien au niveau des projets, qu'à celui du programme, et au niveau décisionnel et d'orientation stratégique. l'évaluation de la performance : a. performance par rapport aux délais, aux résultats ciblés, en terme d'efficacité dans la gestion des ressources (humaines et financières et informationnelles) b. performance individuelle en terme de contribution à l'atteinte des résultats. La GAR sert d instrument de dialogue et de négociation avec les partenaires.
19 2.Outil visant à améliorer la planification et le suivi des effets ELEMENTS DU SUIVI DE L EXECUTION (utilisés traditionnellement pour les projets) ELEMENTS DU SUIVI DES EFFETS (appliqués à une série d interventions et stratégies) 24 janvier 2014 Description du problème ou de la situation avant l intervention; Critères pour mesurer les activités et produits immédiats Collecte de données au sujet des apports, activités et produits immédiats. Information systématique au sujet de la fourniture d apports Lien direct avec une intervention ponctuelle (ou une série d interventions) Données de référence décrivant le problème ou la situation avant l intervention; Indicateurs d effets; Collecte de données au sujet des produits et de leur contribution à la réalisation des effets L accent est mis davantage sur la manière dont le changement est perçu par les parties prenantes. Information systématique, plus qualitative et quantitative, au sujet des progrès liés aux effets. Opérer de concert avec les partenaires stratégiques; Recueil des informations au sujet de l efficacité de la stratégie de partenariat du dans la réalisation des effets recherchés. Page 19
20 PRINCIPES :La GARD repose sur sept grands principes 1. Partenariat Pour que la GARD soit un succès, il est essentiel que les résultats soient conjointement définis, négociés et acceptés; Une acceptation conjointe des résultats assure une implication et un engagement des parties prenantes dès les premières étapes du projet et tout au long du projet (suivi, évaluation continue, rapports annuels) La participation peut améliorer la qualité, l efficacité et la durabilité des initiatives développementales; 24 janvier
21 PRINCIPES :La GARD repose sur sept grands principes(suite) 2. Responsabilité La participation des partenaires constitue l'élément clé pour que chacun accepte sa responsabilité dans le cadre de la mise en œuvre d'un projet. Les intervenants accepteront d'autant mieux cette responsabilité s'ils se sentent investis d'un pouvoir de gestion et de décision. 24 janvier
22 La GARD repose sur sept grands principes(suite) 3.Transparence Il est jugé nécessaire à l'heure actuelle d'accroître la transparence des rapports sur les résultats. Il importe de définir clairement les résultats et les indicateurs correspondants, de façon à ce que les résultats soient facilement mesurables. La mise en place d'un cadre de résultat basé sur une telle prémisse permettra de générer des données qui serviront à la préparation de rapports mieux documentés, ce qui améliorera la prise de décision et l apprentissage. 24 janvier
23 PRINCIPES :La GARD repose sur sept grands principes(suite) 4. Simplicité L'approche GARD doit être facile à comprendre et à appliquer, sa mise en œuvre simple à exécuter et à suivre. Il a été prouvé que la trop grande complexité du système de collecte de données et de mesure des résultats est le plus gros obstacle à l'application efficace de la GARD. Il est préférable de limiter au départ le nombre d'énoncés de résultats et d'indicateurs pour mesurer et suivre les résultats. 24 janvier
24 La GARD repose sur sept grands principes(suite) 5. Apprentissage sur le tas La méthode GARD doit être appliquée de façon progressive et les apprenants se perfectionneront au fur et à mesure qu ils acqueriront de l'expérience. Il faut considérer l'expérience pratique, comme un exercice nécessaire au développement des capacités et à l'amélioration des méthodes et outils de la GARD. 24 janvier
25 PRINCIPES :La GARD repose sur sept grands principes 6.Apprentissage continu : la mise en œuvre du projet/programme doit suivre un processus itératif d apprentissage et de perfectionnement graduels. 7.Application étendue : l application de la GAR doit être étendue à tous les autres projets/programmes lorsque cela est possible. 25
26 Quand la GARD peut-elle faire une différence? Les résultats sont définis de façon consensuelle. Une approche participative assure l adhésion, l engagement et une compréhension commune de ce qu un projet ou un programme essaie de réaliser. La flexibilité permet de changer des stratégies à mi-parcours pour assurer que les résultats du développement soient atteints. 24 janvier
27 La GARD: Principales étapes Cette étape Fait ceci Formulation des objectifs et détermination d une stratégie Définit les résultats que nous essayons d atteindre et la stratégie que nous entendons suivre pour les obtenir Identification des indicateurs Identifie ce que nous devons mesurer pour savoir si nous obtenons les résultats que nous recherchons Fixation des cibles Suivi des résultats Examen des résultats et préparation de rapports Intégration de l évaluation Utilisation des informations sur les performances Définit les progrès que nous devons accomplir et dans quels délais Rassemble les données nécessaires pour mesurer les progrès accomplis Compile, analyse et présente les données d une façon répondant aux besoins des différents niveaux de l organisation Utilise les évaluations pour comprendre pourquoi les performances sont supérieures ou inférieures aux anticipations Utilise les informations sur la performances que nous avons rassemblées afin d améliorer cette dernière 24 janvier 2014 Page 27
28 PRESENTATION DU CADRE LOGIQUE: LA MATRICE Logique d intervention Indicateurs objectivement vérifiables Sources de vérification Hypothèses Objectif général Objectif spécifique Extrant /produit Intrants Moyens Coûts Conditions préalables 24 janvier
29 Présentation du cadre logique axé sur les résultats Résultats escomptés Indicateurs objectivement vérifiables Sources de vérification Hypothèses/ Risques Objectif Impact global Objectifs spécifiques Effets Extrants produits Intrants Activités Moyens Coûts Conditions préalables 24 janvier
30 Conclusion: Le pouvoir de la mesure de résultats Si vous ne mesurez pas les résultats, vous ne pouvez pas faire la distinction entre succès et échec; Si vous ne reconnaissez pas le succès, vous ne pouvez pas le répliquer ; Si vous ne reconnaissez pas le succès, vous ne pouvez le récompenser; Si vous ne distinguez pas l échec, vous ne pouvez le corriger. Si vous ne récompensez pas le succès, vous récompensez surement l échec ; Si vous ne pouvez pas montrer les résultats, vous ne pouvez avoir le soutien du public;
31 24 janvier 2014 Page 31
MODULE II:Le cadre logique, et cadre de résultat comme outil de planification et de gestion axée sur les résultats du développement
MODULE II:Le cadre logique, et cadre de résultat comme outil de planification et de gestion axée sur les résultats du développement 1 la GARD-Le cadre logique et cadre de résultat Principaux éléments de
Plus en détailLa culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT
La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT SOMMAIRE Introduction... 2 I. Aperçu sur le fondement de la gestion axée sur les résultats... 3 1.1. De nouveaux
Plus en détailLettre de mission. Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours de la Stratégie de l UIP 2012-2017
UNION INTERPARLEMENTAIRE INTER-PARLIAMENTARY UNION 5, CHEMIN DU POMMIER CASE POSTALE 330 1218 LE GRAND-SACONNEX / GENÈVE (SUISSE) Lettre de mission Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours
Plus en détailInstructions standard pour les pays souhaitant adopter l initiative «Unis dans l action»
Instructions standard pour les pays souhaitant adopter l initiative «Unis dans l action» Élaboré par le Groupe de haut niveau du GNUD 20 août 2013 Page 1 of 48 Table des matières Page 1. Introduction 3
Plus en détailVers l amélioration continue
Vers l amélioration continue Devis d évaluation et planification des travaux sur l assurance qualité Document recommandé par le comité de suivi du Plan stratégique, le comité de Régie interne et la Commission
Plus en détailMise en Ouvre Nationale par les Gouvernements des Projets Appuyés par le PNUD: Manuel des Normes et Procédures
PROGRAMME DES NATIONS UNIES POUR LE DEVELOPPEMENT Mise en Ouvre Nationale par les Gouvernements des Projets Appuyés par le PNUD: Manuel des Normes et Procédures 7/1/2011 Le 1 juillet 2011 - Pour Gouvernement
Plus en détailPROMISAM - II. Formation en Suivi /Evaluation des Plans de Sécurité Alimentaire 2009
Présidence de la République Commissariat à la Sécurité Alimentaire APCAM/MSU/USAID Projet de Mobilisation des Initiatives en matière de Sécurité Alimentaire au Mali Phase II (PROMISAM - II) PROMISAM -
Plus en détailTraduction de la lettre d introduction. 23 janvier 2015. Chères Mme. Peters et Mme. Moreno Fernandez,
Traduction de la lettre d introduction 23 janvier 2015 Chères Mme. Peters et Mme. Moreno Fernandez, Au nom de l Entité des Nations Unies pour l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes (ONU ),
Plus en détailConseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR
Plus en détailConférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé
Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres
Plus en détailCHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD
CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE
Plus en détailOrganisation des Nations Unies pour le développement industriel
Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre
Plus en détailBureau du surintendant des institutions financières. Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration
Bureau du surintendant des institutions financières Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration Avril 2014 Table des matières 1. Contexte... 3 2. Objectif, délimitation
Plus en détailSuivi et Évaluation participatifs fondés sur les résultats
Suivi et Évaluation participatifs fondés sur les résultats Préparé par : Françoise Coupal Mosaic.net International, Inc. Septembre 2000-1- Suivi et Évaluation participatifs fondés sur les résultats L adoption
Plus en détailGUIDE POUR LE SUIVI ET
Observatoire Economique et Statistique d Afrique Subsaharienne Document de travail n 2013 001 GUIDE POUR LE SUIVI ET EVALUATION AXES SUR LES RESULTATS DES STRATEGIES NATIONALES DE DEVELOPPEMENT DE LA STATISTIQUE
Plus en détailCommentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2
Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO concernant le suivi de la mise en œuvre des engagements de CONFINTEA VI Le 19 janvier 2012 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne
Plus en détailGestion axée sur les résultats
LES CAHIERS 1 DE LUXDEV Gestion axée sur les résultats Un exemple d intégration de l approche Gestion axée sur les Résultats (GAR) dans une planification de projet de type classique Projet RWA/23 Appui
Plus en détail1. Contexte. 2. Dresser le bilan : expériences et nouveaux développements
Renforcer la redevabilité mutuelle pour améliorer l efficacité et les résultats en matière de développement pour la santé : accords conclus à Nairobi par les signataires du IHP+ sur la future approche
Plus en détailCERTIFICATION DES INSTITUTIONS APPLIQUANT LE CASE MANAGEMENT CRITÈRES DE QUALITÉ ET INDICATEURS DE CONTRÔLE
CERTIFICATION DES INSTITUTIONS APPLIQUANT LE CASE MANAGEMENT CRITÈRES DE QUALITÉ ET INDICATEURS DE CONTRÔLE 1 INTRODUCTION Le présent document a été rédigé par le groupe de travail «Certification» du Réseau
Plus en détailCharte du tourisme durable
Annexes Charte du tourisme durable Annexe 1 Les participants de la Conférence mondiale du Tourisme durable, réunis à Lanzarote, îles Canaries, Espagne, les 27 et 28 avril 1995, Conscients que le tourisme
Plus en détailOFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne
OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base NATIONS UNIES Vienne, 2010 Résolutions
Plus en détailsolutions Investir dans des Plan stratégique 2015-2020
International Development Research Centre Centre de recherches pour le développement international Investir dans des solutions Plan stratégique 2015-2020 LE MOT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL Je suis très fier
Plus en détailINVESTIR DANS LA DÉMOCRATIE LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD
INVESTIR DANS LA DÉMOCRATIE LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD Programme des Nations Unies pour le développement LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD Les élections
Plus en détailECVET GUIDE POUR LA MOBILITÉ
ECVET GUIDE POUR LA MOBILITÉ 2 GUIDE POUR LA MOBILITÉ ECVET «Le système européen de crédits d apprentissage pour l enseignement et la formation professionnels (ECVET) est un cadre technique pour le transfert,
Plus en détailUN NEW DEAL POUR L ENGAGEMENT DANS LES ÉTATS FRAGILES
UN NEW DEAL POUR L ENGAGEMENT DANS LES ÉTATS FRAGILES LE CONSTAT 1,5 milliards de personnes vivent dans des États fragiles ou en conflit. Environ 70 % des États fragiles ont été affectés par un conflit
Plus en détailPrincipes de liberté d'expression et de respect de la vie privée
L'Initiative mondiale des réseaux Protéger et faire progresser la liberté d'expression et le respect de la vie privée dans les technologies de l information et de la communication Principes de liberté
Plus en détail4 e SONDAGE SUR LA RESPONSABILITÉ MUTUELLE NATIONALE EN PRÉPARATION DU FORUM POUR LA COOPÉRATION EN MATIÈRE DE DÉVELOPPEMENT 2016
4 e SONDAGE SUR LA RESPONSABILITÉ MUTUELLE NATIONALE EN PRÉPARATION DU FORUM POUR LA COOPÉRATION EN MATIÈRE DE DÉVELOPPEMENT 2016 SONDAGE 2015 SUR LA RESPONSABILITÉ MUTUELLE NATIONALE Le quatrième sondage
Plus en détailS engager à agir pour le développement durable dans une période de changement
Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015
Plus en détailFormat de rapport pour la notation finale (REF. 4)
Processus 1 : Rassembler les parties prenantes autour d'un même espace Donner une note à chaque étape : 0 (ne s'applique pas), 1 (lancé), 2 (en cours), 3 (presque terminé), 4 (terminé) ÉTAPE 1. Choisir
Plus en détailPLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE
PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE 37 ème Assemblée Générale de la FANAF YAOUDE (CAMEROUN) 23-28 Février 1 ASSURANCE MALADIE 2 - Un des principaux
Plus en détailExamen du réseau d'électricité. de la Nouvelle-Écosse Résumé
Examen du réseau d'électricité de la Nouvelle-Écosse Résumé Examen du réseau d'électricité de la Nouvelle-Écosse Résumé RÉSUMÉ À l automne 2013, le gouvernement de la Nouvelle-Écosse a adopté la loi
Plus en détailGUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES
REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE LA DECENTRALISATION, DE LA GOUVERNANCE LOCALE, DE L ADMINISTRATION ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES Elaboré par la Direction Générale
Plus en détailWorkshop Gestion de projet- IHEID- MIA- Décembre 2008 Cas Colombie Cucuta
PROJET FORMATION DE LEADERS POUR LA DEMOCRATISATION ET LE DEVELOPPEMENT LOCAL DANS LA MUNICIPALITE DE SAN JOSE DE CUCUTA COLOMBIE. 1. CADRE D'INSERTION DU PROJET Les conditions de vie de la population,
Plus en détailNOTE D ORIENTATION 2015
NOTE D ORIENTATION 2015 Introduction 1. Le Fonds de l OIM pour le développement, créé en 2001, vient en aide aux Etats Membres en développement et à ceux dont l économie est en transition en vue de l élaboration
Plus en détailStratégie de sécurité grâce au logiciel libre. Frédéric Raynal <pappy@miscmag.com> Cédric Blancher <blancher@cartel-securite.fr>
Stratégie de sécurité grâce au logiciel libre Frédéric Raynal Cédric Blancher 1 Agenda du workshop Introduction Le logiciel libre et la sécurité GNU/Linux
Plus en détailNations Unies. Compétences. pour. l avenir
Nations Unies Compétences pour l avenir «Je veux espérer que la grille des compétences nous apportera le langage commun nécessaire pour parler concrètement de l optimisation de l efficacité et de la productivité.
Plus en détailDéveloppement rural 2007-2013. Document d orientation
Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES
Plus en détail2.5. Pacte mondial des Nations Unies
2.5. Pacte mondial des Nations Unies Priorité stratégique : soutenir les principes du Pacte Nous sommes l un des signataires du Pacte, la plus importante initiative au monde dans le domaine de la responsabilité
Plus en détailL intégration des TIC chez les futurs enseignants : votre point de vue
L intégration des TIC chez les futurs enseignants : votre point de vue Réservé à l administration Associés Questionnaire - Enseignants associés 1 QUESTIONNAIRE ENSEIGNANTS ASSOCIÉS Ce questionnaire permettra
Plus en détailL i s t e b i b l i o g r a p h i q u e REFERENCES. G e s t i o n a x é e s u r l e s r é s u l t a t s. E t u d e G C P
L i s t e b i b l i o g r a p h i q u e REFERENCES G e s t i o n a x é e s u r l e s r é s u l t a t s E t u d e G C P Document de travail Nathalie Wilbeaux COTAasbl Actualisée en Juillet 2007 Bibliographie
Plus en détailDéclaration des Parlementaires africains sur les Objectifs du Millénaire pour le développement et l'ordre du jour du développement post 2015
Déclaration des Parlementaires africains sur les Objectifs du Millénaire pour le développement et l'ordre du jour du développement post 2015 Les parlementaires africains Reconnaissant que les parlements
Plus en détailConférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone
Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone Hôtel Teranga, Saly, Sénégal, du 18-19 Octobre 2011 Note de cadrage Contexte et justification L importance que revêt
Plus en détailRéunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014
Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Déclaration finale de la Réunion mondiale sur l EPT 2014 Accord de Mascate Préambule 1. Nous, ministres, chefs de délégations,
Plus en détailCOMPILATION D APPRENTISSAGE POUR LA COMMUNICATION SOCIALE ET DE COMPORTEMENT
COMPILATION D APPRENTISSAGE POUR LA COMMUNICATION SOCIALE ET DE COMPORTEMENT Les C Modules : Documents d Apprentissage pour la Communication pour le Changement social et comportemental (CCSC) Projet de
Plus en détailGhana, de l Inde, de la Jordanie, du Kenya, du Mexique, de New Zélande, du Portugal, de Serbie et du Royaume Uni.
Principes de Belgrade sur la relation entre les Institutions nationales des droits de l Homme et les Parlements (Belgrade, Serbie, les 22-23 février 2012) Le séminaire international de février 2012 sur
Plus en détailModèles de profils de poste et de termes de référence pour les principales tâches de suivi-évaluation
Annexe E Modèles de profils de poste et de termes de référence pour les principales tâches de suivi-évaluation Pour une gestion orientée vers l'impact Guide pratique de S&E des projets Table des matières
Plus en détailDES SUPERVISEURS DES SERVICES A BASE COMMUNAUTAIRE (AC/SBC) EN GESTION DES INFORMATIONS DE LA PLANIFICATION FAMILIALE ET DE LA SANTE MATERNELLE
MSHP MODULE D ORIENTATION DES SUPERVISEURS DES SERVICES A BASE COMMUNAUTAIRE (AC/SBC) EN GESTION DES INFORMATIONS DE LA PLANIFICATION FAMILIALE ET DE LA SANTE MATERNELLE Réalisé en mai 2012 avec l appui
Plus en détailD = Taux d actualisation par période = ( (1+I) (1/A) ) - 1 NR = Nombre total de remboursements = A * DR = (1+I) INT = (1+I) DR.
$11(;($1$/
Plus en détailConseil économique et social
NATIONS UNIES E Conseil économique et social Distr. GÉNÉRALE ECE/TRANS/WP.30/AC.2/2009/6 27 juillet 2009 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE Comité de gestion de la Convention
Plus en détailHarmonisation pour la santé en Afrique (HHA) Cadre d action
Bureau régional pour l Afrique Harmonisation pour la santé en Afrique (HHA) Cadre d action - 2 - Historique 1.1 En Afrique, sous l effet conjugué de la pauvreté et des faibles investissements dans la santé,
Plus en détailIndicateurs de performance de l UNCT relatifs à l égalité des sexes. Guide de l utilisateur
Indicateurs de performance de l UNCT relatifs à l égalité des sexes Guide de l utilisateur Élaboré par l'équipe spéciale du GNUD pour l égalité des sexes Contact : Astrid Marschatz, DOCO (astrid.marschatz@undg.org)
Plus en détailL évaluation et l amélioration de l expérience patient en milieu hospitalier : impact du Comité des usagers
L évaluation et l amélioration de l expérience patient en milieu hospitalier : impact du Comité des usagers Dieudonné Soubeiga, expert en sondages Marie-Suzanne Lavallée, directrice de la qualité Annie
Plus en détail1. ANTÉCÉDENTS ET JUSTIFICATION
REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION DES ARCHIVES INFORMATION DOCUMENTATION ET RELATIONS PUBLIQUES TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN ASSISTANT TECHNIQUE
Plus en détailSUIVI, EVALUATION ET REVUE DES STRATEGIES SANITAIRES NATIONALES
SUIVI, EVALUATION ET REVUE DES STRATEGIES SANITAIRES NATIONALES PLATEFORME DE PAYS POUR L INFORMATION ET LA REDEVABILITE + Related Initiatives Plateforme de pays pour l information et la redevabilité A
Plus en détailLe cycle de projet à la Banque Africaine de Développement
Fiche Technique n 3 Le cycle de projet à la Banque Africaine de Développement Cycle du projet De manière générale, depuis l identification jusqu à l approbation d un projet, il existe un dialogue constant
Plus en détailExpert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc
Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société
Plus en détailRAPPORT ANNUEL DU COMITE D AUDIT ET DES RISQUES AU CONSEIL D ADMINISTRATION EXERCICE 2012
RAPPORT ANNUEL DU COMITE D AUDIT ET DES RISQUES AU CONSEIL D ADMINISTRATION EXERCICE 2012 Avril 2013 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION.2 AUDIT INTERNE 2 AUDIT EXTERNE.4 GESTION DES RISQUES..5 OPINION GLOBALE
Plus en détailSuivi des Programmes VIH/SIDA GUIDE DU FORMATEUR Une Ressource de l USAID pour la Prévention, les Soins, et le Traitement
Suivi des Programmes VIH/SIDA GUIDE DU FORMATEUR Une Ressource de l USAID pour la Prévention, les Soins, et le Traitement Module de Base 3: Le Développement d un Plan de Travail de Suivi et d Evaluation
Plus en détailCOMMISSARIAT À LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE DU CANADA. Vérification de la gestion des ressources humaines
COMMISSARIAT À LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE DU CANADA Vérification de la gestion des ressources humaines 13 mai 2010 Préparée par le Centre de gestion publique Inc. TABLE DES MATIÈRES 1.0 Sommaire...
Plus en détailDotation en personnel, location et couverture des bureaux décentralisés
Groupes de travail I, II et III du CoC-EEI 23 juillet 2009 Dotation en personnel, location et couverture des bureaux décentralisés 1. La présente note rend compte des travaux en cours concernant la décentralisation,
Plus en détailRÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE
9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,
Plus en détailOeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté aux Comores
Oeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté aux Comores La pauvreté rurale aux Comores Depuis leur indépendance en 1975, les Comoriens ont souffert de l instabilité politique
Plus en détailREVUE DE LA DEFENSE DU BURUNDI : LEÇONS TIREES
REVUE DE LA DEFENSE DU BURUNDI : LEÇONS TIREES Juin 2014 TABLE DES MATIERES REMERCIEMENTS... iii CARTE DU BURUNDI... iv SIGLES ET ABREVIATIONS... v RESUME EXECUTIF... vii CHAPITRE I : INTRODUCTION...
Plus en détailMerci beaucoup de votre collaboration
QUESTIONNAIRE ENSEIGNANTS ASSOCIÉS Ce questionnaire permettra de recueillir des informations sur l intégration des technologies de l information et de la communication (TIC) chez les futurs enseignants
Plus en détailListe de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale
Équipes de santé familiale Améliorer les soins de santé familiale Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale Juillet 2009 Version 2.0 Table des matières Introduction...3
Plus en détailGUIDE POUR LE SUIVI DES PROJETS, L ÉTABLISSEMENT DE RAPPORTS, LA RÉVISION ET LA PROLONGATION DE PROJETS
GUIDE POUR LE SUIVI DES PROJETS, L ÉTABLISSEMENT DE RAPPORTS, LA RÉVISION ET LA PROLONGATION DE PROJETS Pour tous les modèles de rapports, veuillez visiter le site du FNUD : http://www.un.org/democracyfund/information-grantees
Plus en détailÉcole de la fonction publique du Canada 2014-2015. Rapport sur les plans et les priorités
École de la fonction publique du Canada 2014-2015 Rapport sur les plans et les priorités Version originale signée par : L honorable Tony Clement Président du Conseil du Trésor Sa Majesté la Reine du chef
Plus en détailRenforcement des systèmes de santé
SOIXANTE-QUATRIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A64/13 Point 13.4 de l ordre du jour provisoire 7 avril 2011 Renforcement des systèmes de santé Tendances et défis actuels Rapport du Secrétariat POUR
Plus en détailLE MANAGEMENT PUBLIC : NOUVELLES APPROCHES, MÉTHODES ET TECHNIQUES. Sous la direction des Professeurs Martial Pasquier et Jean-Patrick Villeneuve
MASTER OF Ouvert aux participant-e-s extérieur-e-s MPAPUBLIC ADMINISTRATION LE MANAGEMENT PUBLIC : NOUVELLES APPROCHES, MÉTHODES ET TECHNIQUES Sous la direction des Professeurs Martial Pasquier et Jean-Patrick
Plus en détailPlan Stratégique 2008-2013
Plan Stratégique 2008-2013 Version finale Adopté le 26 septembre par le Conseil d administration Septembre 2008 Mission La Société Santé en français est un chef de file national qui assure, en étroite
Plus en détailPROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO
PROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO ELABORATION D UN PLAN DE DEVELOPPEMENT COMMUNAL Par : LEGONOU François, Directeur SYDEL AFRIQUE, Consultant En guise d introduction La décentralisation
Plus en détailCompte Rendu de l Atelier. Participation du Secteur Privé dans les Infrastructures d Eau au Liban : Le Rôle des Banques. Le 9 décembre 2010
Compte Rendu de l Atelier Participation du Secteur Privé dans les Infrastructures d Eau au Liban : Le Rôle des Banques 1. Contexte Le 9 décembre 2010 Beyrouth - Liban Les besoins en investissement pour
Plus en détailOrganisation des Nations Unies pour le développement industriel
Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre
Plus en détailAvant de parler de projet commun, il est important de rappeler ce qu est un projet à travers quelques indicateurs :
2. Qu est-ce qu un projet commun? Avant de parler de projet commun, il est important de rappeler ce qu est un projet à travers quelques indicateurs : le projet a un début et une fin et se structure en
Plus en détailAppel à candidatures. Experts individuels en Monitoring / Suivi-évaluation
Appel à candidatures auprès d Experts individuels en Monitoring / Suivi-évaluation en vue d un Appui à l actualisation du système de monitoring et à la formation des équipes de Lux-Development A. Contexte
Plus en détailCent huitième session. Rome, 10 14 octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL
Août 2011 F COMITÉ DU PROGRAMME Cent huitième session Rome, 10 14 octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL Résumé Le présent document fait suite à une demande formulée
Plus en détailL ANALYSE COUT-EFFICACITE
L ANALYSE COUT-EFFICACITE 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L analyse coût-efficacité est un outil d aide à la décision. Il a pour but d identifier la voie la plus efficace, du point de vue
Plus en détailAnimateur et organisateur : Christian Duchesne (PMO-Performance)
5 sociétés représentées à l atelier : ALSTOM GMF MAIF Parnasse SMABTP VALLOUREC Animateur et organisateur : Christian Duchesne (PMO-Performance) Excusés en cette période budgétaire : représentants BNP
Plus en détailBureau du commissaire du Centre de la sécurité des télécommunications
Rapport sur les plans et les priorités Bureau du commissaire du Centre de la sécurité des télécommunications 2015-2016 L honorable Jason Kenney, c.p., député Ministre de la Défense nationale Sa Majesté
Plus en détailUne école adaptée à tous ses élèves
PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS
Plus en détailMécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base
Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base NATIONS UNIES Office DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne Mécanisme d examen
Plus en détailSAM/TES Samenwerken voor een meer rechtvaardige maatschappij Travailler ensemble pour une société plus juste
DESCRIPTIF DE VISION SAM/TES Samenwerken voor een meer rechtvaardige maatschappij Travailler ensemble pour une société plus juste Un centre d expertise en tant que balise pour le huissier de justice soucieux
Plus en détailSÉMINAIRE CONCLUSIONS
RBB (2012) Conclusions SÉMINAIRE SUR LES BUDGETS BASÉS SUR DES RÉSULTATS: OBJECTIFS RÉSULTATS ATTENDUS ET INDICATEURS DE PERFORMANCE Strasbourg, 25 septembre 2012 CONCLUSIONS A l initiative du Comité du
Plus en détailQUESTIONS D ORGANISATION. Ordre du jour provisoire annoté INTRODUCTION
CBD Distr. GÉNÉRALE UNEP/CBD/WG-ABS/7/1/Add.1/Rev.1 25 mars 2009 FRANÇAIS ORIGINAL : ANGLAIS GROUPE DE TRAVAIL SPÉCIAL À COMPOSITION NON LIMITÉE SUR L'ACCÈS ET LE PARTAGE DES AVANTAGES Septième réunion
Plus en détailFormation Conseil - Recrutement
Gobbelsrode 42, 3220 HOLSBEEK. Tél: 016/62.35.22 info@amvr.be www.amvr.be Formation Conseil - Recrutement Formation Points de départ : Notre objectif principal est de contribuer au succès de votre entreprise.
Plus en détailÉTUDES PROFESSIONNELLES ET TECHNOLOGIQUES
ÉTUDES PROFESSIONNELLES ET TECHNOLOGIQUES RAISON D ÊTRE ET PHILOSOPHIE DU PROGRAMME Par son programme d Études professionnelles et technologiques (ÉPT), l enseignement au secondaire en Alberta relève de
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT. accompagnant la
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 4.10.2012 SWD(2012) 291 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT accompagnant la proposition de règlement du Parlement européen
Plus en détailla pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment
Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier
Plus en détailCode déontologique à l attention des professionnels de l information - Projet
VVBAD Beroepscode voor informatieprofessionnals - Ontwerp http://www.vvbad.be/views/beroepscode proposition de traduction - K. Bergé - 07.06.2010 -----------------------------------------------------------------------------------------------
Plus en détailEVALUATION FINALE MLI/016. Programme d Appui à la Santé de Base
EVALUATION FINALE MLI/016 Programme d Appui à la Santé de Base FICHE SYNTHETIQUE Pays Titre long du projet Titre court du projet Code LuxDev Mali Programme d Appui à la Santé de Base PASAB MLI/016 Version
Plus en détailCOMPOSANTE 3 Objectif 3.C
TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CABINET POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA PLATEFORME DE GESTION DES CONNAISSANCES POUR LA REFORME DE LA GOUVERNANCE COMPOSANTE 3 Objectif 3.C Sous-objectif 3.C.02
Plus en détailVotre coach en gestion des opérations avec l'approche Lean
Votre coach en gestion des opérations avec l'approche Lean Complice de votre succès! Serge Bouchard, ASC, C.Dir. serge@bouchard.com 819-473-4248 Coach de gestion & Formateur agréé Emploi-Québec 052793
Plus en détailInitiative allemande BACKUP pour l éducation en Afrique
Initiative allemande BACKUP pour l éducation en Afrique Un partenaire pour assurer une éducation de qualité pour tous en Afrique «Je n ai jamais encore rencontré de donateur comme celui-ci : il écoute
Plus en détailDOCUMENT DE CONSULTATION
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 10.4.2015 C(2015) 2303 final DOCUMENT DE CONSULTATION Première phase de consultation des partenaires sociaux au titre de l article 154 du TFUE concernant une consolidation
Plus en détailNotice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013
Notice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013 Date: 15 Février 2013 Pays Intitulé de la mission : République Démocratique du Congo RDC Sélection d un consultant Chef d équipe pour l élaboration
Plus en détailMaster Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage. Organisation de la formation
Master Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage Organisation de la formation Ce document a pour objet de présenter le contenu des cours des deux années du Master Audit Contrôle Finance d entreprise
Plus en détailOrganisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive
Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question
Plus en détailLa qualité pour et par la pédagogie : exemple d animation du SMQ du Master QHSE de Valenciennes (France)
La qualité pour et par la pédagogie : exemple d animation du SMQ du Master QHSE de Valenciennes (France) Jean-Luc Menet (ENSIAME-UVHC) Responsable Pédagogique Master QHSE Éric Winter (ENSIAME-UVHC) Responsable
Plus en détail