LECTURE ANALYTIQUE N 1 «ART» (L EXPOSITION : LES 4 PREMIERES SCENES)
|
|
- Léon Auger
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LECTURE ANALYTIQUE N 1 «ART» (L EXPOSITION : LES 4 PREMIERES SCENES) Introduction Yasmina Reza est une femme de lettres française née en 1959 dont l œuvre théâtrale est internationalement connue. «Art», sa pièce la plus célèbre, est écrite et mise en scène pour la première fois en Les quatre premières scènes, auxquelles on pourrait ajouter la cinquième et la sixième, constituent l'équivalent de la scène ou de l'acte d'exposition du théâtre classique. S agit-il d une exposition conventionnelle et quelle est la fonction de ce prologue? Le début de l œuvre nous plonge dans un conflit qui revêt une tonalité comique (I) et révèle au lecteurspectateur le double enjeu de la pièce : celui de l art et celui de l amitié (II). I. Un antagonisme comique en guise d exposition Si la fonction première d une exposition est d informer, elle se doit aussi de susciter la curiosité et l intérêt. Pour ce faire, les enjeux de la pièce sont rapidement explicités. Il s agit d un désaccord à propos de l achat d un tableau. Désaccord qui se noue entre des amis et qui revêt une tonalité comique. A. Comique de mots - stichomythie + phrases non verbales «Cher? ( ) Alors? ( ) Peintre. Antrios.» - quiproquo sur Handtigton - ponctuation : les et «?!» hésitation, désaccord, incompréhension - exagération, redondance («Très, très! ( ) deux cent mille francs») - ironie : pour définir Marc (scène 3) ; le mot «prodigieux» - trivialité et familiarité : «connais pas», «merde», «ouais», «tu te fous de moi», «ris, vieux» - onomatopée : «hou hou» - accumulation (scène 3) - le silence entre les mots : didascalies («long temps», «silence» - cf. représentation et le rire occasionné par les silences) - nombreuses répétitions B. Comique de répétition Répétition du mot «blanc» absurdité de ce tableau «Lundi je suis allé voir le tableau que Serge avait acquis samedi» : redondance des jours de la semaine effet comique et ludique, comme une comptine.
2 Scène 2 : Marc répète exactement ce que dit Serge, mais en est très étonné, comme le montre le changement de ponctuation. Mais montrer son étonnement de cette façon rend comique la découverte du prix de l Antrios. «MARC : Cher? SERGE : Deux cent mille. MARC : Deux cent mille?... [ ] «MARC : Serge, tu n'as pas acheté ce tableau deux cent mille francs? SERGE : Mais mon vieux, c'est le prix. C'est un ANTRIOS! MARC : Tu n'as pas acheté ce tableau deux cent mille francs! SERGE : J'étais sûr que tu passerais à côté. MARC : Tu as acheté cette merde deux cent mille francs?!» On a une évolution dans la pensée de Marc. Tout d abord, il tente de nier l achat, par l usage de la négation et de la phrase interrogative. La négation est une forme de refus. Puis elle devient un réel rejet, quand la même phrase est reprise de façon exclamative. Puis finalement, il renonce à négation, pour affirmer que le tableau est une merde. La répétition de la même structure de phrase, à trois reprises, rend cette scène comique. Ainsi que le changement de ponctuation. En outre, le dialogue témoigne, à l instar du théâtre de l absurde, de la difficulté à écouter l autre, et de façon générale à communiquer. C. Comique de geste La rencontre entre Marc et le tableau, devant Serge, donne lieu à un comique de geste : une sorte de trio, où le tableau est le centre de l attention des deux personnages. «Serge regarde, réjoui, son tableau. Marc regarde le tableau. Serge regarde Marc qui regarde le tableau.» Certaines phrases, si elles sont comiques, le sont surtout car elles induisent un déplacement des personnages. Ce sont les didascalies internes. Dans cette scène, on l a compris, Marc veut persuader Serge de l importance du tableau. Aussi, quand celui-ci manifeste clairement son doute, Serge veut lui montrer autrement le tableau : «SERGE : Tu n'es pas bien là. Regarde-le d'ici. Tu aperçois les lignes?» Les deux adverbes de lieu, «là» et «ici», placés tous deux en fin de phrases donnent un rythme à la phrase. Mais sur scène, ces paroles doivent s accompagner de geste, et le déplacement de deux personnages, devant un tableau blanc, est certainement comique.
3 D. Comique de situation Tout tourne autour du tableau «C'est une toile d'environ un mètre soixante sur un mètre vingt, peinte en blanc. Le fond est blanc et si on cligne des yeux, on peut apercevoir de fins liserés blancs transversaux.» Description reprise plus loin par Serge. «Tu n'es pas bien là. Regarde-le d'ici. Tu aperçois les lignes?» Les personnages se présentent entre eux. Mais par le biais de sortes de monologues : ce n est pas le dialogue, pourtant nécessaire au théâtre qui les dévoile. Ce sont des apartés, des monologues, marquant encore d avantage l antagonisme. «C'est une toile d'environ un mètre soixante sur un mètre vingt, peinte en blanc.» : l adjectif épithète, «peinte en blanc» est détachée et rejetée en fin de phrase. L info la plus importante sur le tableau est attendue, et surprenante. Cela a un effet comique sur le lecteur. De plus, les fameux détails importants, les «lisérés blancs», paraissent difficilement visibles. Un dialogue in medias res : le dialogue commence par une question, «cher?» de Marc. Ce n est même pas une phrase interrogative, juste un adjectif. Après le silence, ce simple mot devient comique. Le contraste entre la fierté de Serge, qui est «réjoui» et l étonnement perpétuel de Marc rend cette scène comique. E. comique de caractère Deux tempéraments entiers face à face, chacun restant camper dans sa position : Serge = moderne, extravagant, enthousiaste, snob, élitiste, vaniteux Marc = rétif à l art (et à la modernité), veut faire accepter son avis (despote, intolérant, antipathique) II. L Antrios : révélateur de conflit et des limites de l amitié et de l art Les quatre premières scènes portent dans un premier temps sur l ANTRIOS. C est sur la différence de jugement à propos de cet objet d art d où le titre que va porter la dispute et le déséquilibre dans cette amitié. L antagonisme est exacerbé par l Antrios. Mais si l amitié est mise à mal, l art contemporain aussi. A. L Antrios, personnage à part entière Didascalie initiale «rien ne change sauf le tableau» : insiste sur l importance de l œuvre d art, elle semble refléter les personnages. La description du tableau par Marc : on remarque une grande précision dans les détails : «1m60 sur 1m20». De plus, ce tableau semble être tout d abord le problème de cette pièce. Il est le conflit. (Il sera aussi la solution du conflit.) Sa grande taille lui confère presque une caractéristique humaine.
4 Dans la deuxième didascalie, le jeu de regard avec le tableau, et entre les personnages, montre bien que l Antrios va être l un des centres d attention du public. Il peut d ailleurs être perçu comme un personnage à part entière puisque en majuscule (ANTRIOS : comme le nom des personnages). Le nom du peintre éclipsera d ailleurs pendant toute la pièce le titre de l œuvre. Ce tableau pose questions pour plusieurs raisons : - Il est blanc, ce qui n est pas commun pour un tableau - Il est grand - Il est cher - Son peintre est inconnu du public. Ces différentes raisons font que le public comme Marc, doute sur l utilité de cet achat. Finalement, après l avoir appelé «tableau», à deux reprises, et avoir marqué clairement son étonnement face à cet achat absurde, Marc l appelle «cette merde». Le lexique familier peut choquer, surtout vu la somme engagée pour l obtenir. D ailleurs, le dialogue est rompu après cette dernière remarque. Or, appeler ce tableau, qui a coûté si cher, «une merde» devant celui qui l a acheté, n est-ce pas un peu insulter son ami? B. L amitié Anaphore de «c est un ami depuis longtemps» : quel sens donner à cette répétition. Est-ce pour insister le fait que Serge tient à cette amitié, ou pour émettre un doute sur cette amitié? - Le contraste entre Marc et Serge Marc est, dans toute cette scène, celui qui s étonne, «MARC : Qui est-ce?», «MARC : La galerie Handtington te le reprend à vingt-deux?...», ou «MARC : Et pourquoi ce n'est pas Handtington qui l'a acheté?» Marc n arrive pas à montrer son enthousiasme : il doute sur le bien-fondé de cet achat. Dès le départ, la 2ème didascalie annonce, par une périphrase, un long silence : «Un long temps où tous les sentiments se traduisent sans mot.» Puis, Serge demande réellement son avis à Marc : MARC : Ouais... SERGE : Alors? MARC :... Entre le lexique familier «ouais» et les points de suspension, c est-à-dire un silence, le public ressent très vite que Marc n est pas enthousiaste, et doute. Serge, au contraire, est fier de son achat. Aussi, il n hésite pas à user de l argument d autorité, pour donner plus de valeur encore à son tableau. «SERGE : Handtington me le reprend à vingt-
5 deux.» S en suit un moment d incompréhension profonde entre les personnages, puisque Marc ne comprend pas ce que Serge lui dit à propos de ce Hangtington : «SERGE : Handtington me le reprend à vingt-deux. MARC : Qui est-ce? SERGE : Handtington?! MARC : Connais pas. SERGE : Handtington! La galerie Handtington! MARC : La galerie Handtington te le reprend à vingt-deux?... SERGE : Non, pas la galerie. Lui. Handtington lui-même. Pour lui. MARC : Et pourquoi ce n'est pas Handtington qui l'a acheté?» Toujours dans le questionnement, Marc cherche à comprendre, (comme le montre les adverbes interrogatifs : «pourquoi, qui») alors que Serge argumente «parce que». L amitié entre Serge et Marc vient surtout du fait qu ils se connaissent «depuis longtemps». Cette longue amitié leur permet de s analyser, comme le montrent les deux semi-monologues en début et fin du texte. (D ailleurs l antagonisme est souligné par la structure même : monologue Marc dialogue monologue Serge dialogue. Les scènes 5 et 6 sont deux monologues marqués du sceau de la rupture, de l incompréhension. Yvan étant perçu comme une possible sortie de crise.) Les deux monologues (scènes 1 et 3) s opposent dans la structure. Le texte de Marc débute d abord par la présentation de l œuvre, puis la présentation du personnage de Serge. A l inverse, Serge présente d abord Marc, puis évoque le rapport de Marc avec l art contemporain Si au départ, Marc ne semblait pas très critique, il semble que le mot «merde» oriente son propos. De plus ; Serge devient très critique à l égard de Marc dans son monologue : «ennemis de la modernité en tirent une vanité incompréhensible.» Il y a depuis peu, chez l'adepte du bon vieux temps, une arrogance vraiment stupéfiante.» On retrouve un lexique péjoratif : «ennemi ; incompréhensible», mais aussi des défauts de caractère : vanité, arrogance» Le croisement entre séquences de dialogue et séquences de monologue met déjà en scène le cœur de la pièce : la place de l'intersubjectivité et l importance du conflit dans les rapports humains. Ainsi ; il semble que le tableau ait causé un désaccord entre les deux amis. Un désaccord à propos de l art. C. Satire de l art contemporain 2 raisons de la dispute autour de l Antrios : le prix et l esthétisme.
6 1. L art contemporain est indissociable de sa valeur pécuniaire. «Serge regarde Marc qui regarde le tableau.» Cette didascalie témoigne de l un des enjeux de l art, de l achat d œuvres d art. On achète, on possède des œuvres d art pour soi autant que pour exprimer quelque chose à autrui. Le tableau, ici, n échappe pas à la règle en ceci qu il est un marqueur social. Fierté et vanité sont les deux piliers de Serge, lequel jouissant d une situation socio-professionnelle aisée (médecin dermatologue) peut s enorgueillir de dépenser deux cent mille franc ( d après le convertisseur Insee) pour acquérir un tableau. (L expression «Deux cent mille» est reprise 4 fois.) L art est donc appréhendé tout d abord, dans sa dimension financière, mercantile. «Cher» est le premier mot prononcé lors du dialogue. Le champ lexical de l argent est très présent dans le prologue. Les guillemets dans le titre et l italique lorsque Marc prononce pour la première fois le mot «art» montrent que, selon lui, décréter qu un monochrome blanc relève de l art ne va pas de soi. Le mot «peintre» se refuse à son propos. Serge, qui doute sans cesse sur le tableau, a même du mal à lui reconnaitre un «peintre», comme le montre l aposiopèse 1 : «Comment s appelle le» Peut-on parler de peintre pour un monochrome blanc, qui, dans la représentation (Patrice Kerbrat), d ailleurs, n est même pas peint en blanc mais semble juste une toile vierge? L œuvre d art est révélatrice de celui qui l a possède (cf. présentation des personnages à chaque tableau correspond un des trois personnages.). Serge veut montrer par cet achat, qu il a de l argent et qu il connait bien le marché de l art contemporain. «Serge. Parce que tous ces gens (les galeries comme celle de Handtington nom à consonance anglo-saxonne) ont intérêt à vendre à des particuliers. Il faut que le marché circule.» 2. La valeur de l art contemporain est indissociable de la connaissance que l on a dans l art contemporain et du discours qui entoure une œuvre. La dispute entre Marc et Serge nous ramène à la sempiternelle «Querelle des Anciens et des Modernes 2» (scène 3). Serge est un moderne qui considère son ami comme un vieux con, un réac («ennemis de la modernité» «adepte du vieux temps»). Il utilise les mots «vanité» et «arrogance», mais n est-ce pas l art contemporain qui est «vaniteux» et «arrogant»? En outre, pour apprécier une œuvre d art contemporaine, il est nécessaire d avoir une certaine culture dans le domaine. «SERGE. Tu ne t intéresses pas à la peinture contemporaine, tu ne t y es jamais intéressé. Tu n as aucune connaissance dans ce domaine, donc comment peux-tu affirmer que tel objet, obéissant à des lois que tu ignores, est une merde?» 1 L'aposiopèse est une figure de style qui consiste à suspendre le sens d'une phrase en laissant au lecteur le soin de la compléter. 2 Polémique qui agite le monde littéraire et artistique de la fin du XVIIe siècle. Les Classiques ou Anciens menés par Boileau, soutiennent une conception de la création littéraire qui repose sur l'imitation des auteurs de l Antiquité. Les Modernes, représentés par Charles Perrault, soutiennent le mérite des auteurs du siècle de Louis XIV, et affirment au contraire que les auteurs de l Antiquité ne sont pas indépassables, et que la création littéraire consiste à innover.
7 Pour aimer, il faut connaître. On n aime pas ce que l on ne comprend pas. (On n aime pas celui que l on ne comprend pas?) La valeur artistique, esthétique d une œuvre d art est indexée sur sa valeur pécuniaire mais aussi sur la culture de celui qui la regarde. Conclusion Les personnages de Serge et Marc sont introduits et le nœud autour duquel l'intrigue se construit est présenté, symboliquement, sur scène, à travers la figure de l'antrios. Si Yvan est absent des quatre premières scènes (mais bel et bien présent de la scène 6 qui pourrait tout aussi bien appartenir à l exposition), c'est que son rôle sera défini par rapport à ce qui se joue dans ces premières séquences : pour être sollicité en tant que médiateur, il faut qu'éclate un conflit. Les quatre scènes remplissent les fonctions d une exposition : Qui? Où? Amis, milieu bourgeois (ou classe moyenne supérieure), probablement urbain, contemporain à l auteur. Quoi? Art, amitié, antagonisme : peut-on aimer quelqu un qui n aime pas ce que l on aime? Comment? Tonalité comique mais une certaine gravité en filigrane. Exposition néanmoins originale car importance de l aparté (qui pourrait toutefois faire songer au chœur antique dans sa fonction narratrice et explicative) qui rompt la dynamique de l action.
TÂCHE 1 - INTERACTION FICHE Nº 1
TÂCHE 1 - INTERACTION FICHE Nº 1 Temps de préparation : 1 minute Intervention par couple : 4-5 minutes CANDIDAT A CADEAU D ANNIVERSAIRE Votre collègue et vous allez acheter un CADEAU D ANNIVERSAIRE pour
Plus en détailFICHES DE REVISIONS LITTERATURE
Fiche n 1 : Les 4 types de texte Fiche n 2 : La situation d énonciation 1- Le texte narratif qui sert à raconter 2- Le texte descriptif qui sert à faire voir 3- Le texte explicatif qui sert à faire comprendre
Plus en détailThomas Dutronc : Demain
Thomas Dutronc : Demain Paroles et musique : Thomas Dutronc Mercury / Universal Music Thèmes La conception de la vie, la joie de vivre, l insouciance. Objectifs Objectifs communicatifs : Donner son avis,
Plus en détailCe document a été mis en ligne par le Canopé de l académie de Montpellier pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel.
Ce document a été mis en ligne par le Canopé de l académie de Montpellier pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Ce fichier numérique ne peut être reproduit, représenté,
Plus en détailPARTICIPER À UNE VENTE AUX ENCHÈRES D ŒUVRES D ART
Activités éducatives pour les élèves de 10 à 11 ans PARTICIPER À UNE VENTE AUX ENCHÈRES D ŒUVRES D ART NIVEAU : PRIMAIRE GROUPE D ÂGE : ÉLÈVES DE 10 À 11 ANS SOMMAIRE DE L ACTIVITÉ Les élèves observent
Plus en détailNON MAIS T AS VU MA TÊTE!
La compagnie Lucamoros présente NON MAIS T AS VU MA TÊTE! et autres images (portrait volé, face à face) Spectacle sans paroles et en 3 tableaux pour un peintre-clown et sa toile Compagnie Lucamoros 1 Premier
Plus en détailLES RESEAUX SOCIAUX SONT-ILS UNE MODE OU UNE REELLE INVENTION MODERNE?
LES RESEAUX SOCIAUX SONT-ILS UNE MODE OU UNE REELLE INVENTION MODERNE? Hugo Broudeur 2010/2011 2ieme année Télécom SudParis SOMMAIRE Introduction... 3 A) Des réseaux sociaux pour tout le monde... 4 1)
Plus en détaileduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel
eduscol Ressources pour la voie professionnelle Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel Français Présentation des programmes 2009 du baccalauréat professionnel Ces documents
Plus en détailObjectifs (socio-) culturels : découvrir l univers d un dramaturge ; sensibiliser les apprenants à l univers du spectacle vivant.
Scènes de théâtre Thèmes Cinéma, littérature, musique, théâtre Concept Dans cette fiche, vous trouvez des activités autour d une ou plusieurs scènes de théâtre choisies, des pistes d exploitations pédagogiques
Plus en détailN 39 Du 3 déc au 7 déc 2012
N 39 Du 3 déc au 7 déc 2012 LA SÉANCE D ACTU DE LA SEMAINE L article choisi de la semaine : 5 décembre 2012 par Pauline Martineau Où peut-on voir ce célèbre tableau? FICHE ÉLÈVE LES MOTS DE LA SEMAINE
Plus en détailCorrection sujet type bac p224
Correction sujet type bac p224 Tragique : ne peut pas échapper à son destin. Pathétique : inspire la compassion, la pitié du lecteur envers le personnage. Poignant. Méthode : Pour la question, être synthétique,
Plus en détailFiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique)
1 Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) La programmation neurolinguistique (PNL) fournit des outils de développement personnel et d amélioration de l efficacité relationnelle dans
Plus en détailLE PROGRAMME DES CLASSES DE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EN FRANÇAIS
A. Armand IGEN lettres avril 2009-1 LE PROGRAMME DES CLASSES DE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EN FRANÇAIS Cette présentation du programme de français pour les classes de seconde, première, et terminale du
Plus en détailLIVRET DU CANDIDAT LES DEUX OPTIONS FACULTATIVES DANSE AU BACCALAURÉAT
LIVRET DU CANDIDAT LES DEUX OPTIONS FACULTATIVES DANSE AU BACCALAURÉAT EPS / DANSE ART / DANSE Elèves du lycée Bréquigny à Rennes, Avril 2014 1 Les deux options facultatives danse au BAC Ce livret a été
Plus en détailCAP TERTIAIRE/INDUSTRIEL
Session : 2005 Code : Page : 1/4 CAP TERTIAIRE/INDUSTRIEL Epreuve de Français SESSION 2005 SUJET Ce sujet comporte 4 pages : de la page 1/4 à la page 4/4. Assurez-vous que cet exemplaire est complet. Si
Plus en détailNOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2
NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 Résultats aux évaluations nationales CM2 Annexe 1 Résultats de l élève Compétence validée Lire / Ecrire / Vocabulaire / Grammaire / Orthographe /
Plus en détailDOSSIER de présentation
Projet d Habitat Participatif intergénérationnel et écologique DOSSIER de présentation 2015 Sommaire Mots d Ecoravissants Présentation d Ecoravie Donnez du sens à votre argent Chiffres et dates Contact
Plus en détailLES CONSEILS CRÉATIFS DE DOUG HARRIS ET DAN O DAY
D O S S I E R libérez- LES CONSEILS CRÉATIFS DE DOUG HARRIS ET DAN O DAY La VAR organisait le 27 mars 2003 un séminaire consacré à la créativité et à la pub radio. A cette occasion, elle avait invité deux
Plus en détailDiapo 1. Objet de l atelier. Classe visée. Travail en co-disciplinarité (identité et origine académique des IEN)
COMMENTAIRE Séminaire national Réforme de la série Gestion-administration Lyon 10 et 11 mai 2012 Vendredi matin Martine DECONINCK (IEN EG), Michèle SENDRE (IEN L), Isabelle VALLOT (IEN EG) Diapo 1. Objet
Plus en détailDocuments mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr. Attention
Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr Attention Ce document est un travail d étudiant, il n a pas été relu et vérifié par Marketing-etudiant.fr. En conséquence croisez vos
Plus en détailFiche d animation n 1 : Pêle-mêle
Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle Cette animation permet au participants de découvrir les différents pièges du crédit à la consommation et plus particulièrement des ouvertures de crédit. Elle suscite également
Plus en détailRappels. Prenons par exemple cet extrait : Récit / roman
Les genres littéraires d un texte (1) Rappels Les genres littéraires sont une classifi cation qui permet de distinguer les textes en fonction de certaines caractéristiques d écriture. Voici les principaux
Plus en détailStromae Alors on danse
Chanson Stromae Alors on danse Alors on danse (x 3) Qui dit études dit travail, Qui dit taf 1 te dit les thunes 2, Qui dit argent dit dépenses, Qui dit crédit dit créance 3, Qui dit dette te dit huissier
Plus en détailFrançais langue étrangère Savoir-faire - Actes de paroles - Supports d apprentissage -Tâches
Niveau C1 Descripteur global Français langue étrangère Savoir-faire - Actes de paroles - Supports d apprentissage -Tâches La personne peut : comprendre en détail de longs discours et des échanges complexes
Plus en détailLES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION
LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement
Plus en détailJe et Nous. Projet. Campement Urbain. Fondation Evens / janvier 200 2
Je et Nous Projet Fondation Evens / janvier 200 2 Campement Urbain " Je " et " Nous" Dans nombre de métropoles, l appartenance communautaire et la reconnaissance par la communauté, sont les conditions
Plus en détailQu est-ce qu une problématique?
Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?
Plus en détailPROGRAMME D ETUDE LECTURE/DECHIFFRAGE PIANO
PROGRAMME D ETUDE LECTURE/DECHIFFRAGE PIANO Avril 2012 Commissariat à l enseignement musical Téléphone : 247-86629/86618/86638/86611 2, rue Sosthène Weis Téléfax: 26 12 32 15 L-2722 Luxembourg e-mail :
Plus en détailBig data : vers une nouvelle science des risques?
Big data : vers une nouvelle science des risques? Serge Abiteboul INRIA et ENS Cachan Conseil national du numérique et Académie des sciences Big data et science des risques 1 Organisation Big data en bref
Plus en détailL E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s
L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s Stéphane Safin Psychologue - Ergonome Lucid Group -
Plus en détailPatrick Fischer et les «boursicoteurs» de TTC
< 28 octobre 2008 > Patrick Fischer et les «boursicoteurs» de TTC Reçu de Patrick Fischer un courriel qu il m autorise à mettre en ligne, un commentaire de mes remarques en partie négatives sur le concours
Plus en détailAffirmation de soi, confiance en soi, estime de soi
Affirmation de soi, confiance en soi, estime de soi Estime de soi MOI Affirmation de soi AUTRES Confiance en soi ACTION Contexte Règles fondamentales de la communication 1) On ne peut pas décider, par
Plus en détailLes Cahiers de la Franc-maçonnerie
Les Cahiers de la Franc-maçonnerie N O 25 : QU EST-CE QU UNE «PLANCHE», À QUOI SERT-ELLE, QU EXIGE-T-ELLE DE CELUI QUI LA PRÉSENTE? Par le «Collectif des cahiers» «La planche» : l angoisse! Un ami, brillant
Plus en détailLa notion de besoin peut décrire : La notion de besoin peut décrire :
La notion de besoin peut décrire : une expérience vécue dont la personne est parfaitement consciente : Exemple : «J ai besoin de me divertir»; La notion de besoin peut décrire : 2. «une exigence née de
Plus en détailNOTE D INTENTION EXTRAIT DE PRESSE
NOTE D INTENTION L'idée de ce spectacle hors du commun, par sa forme de pseudo- conférence d'abord, par son sujet ensuite, est né de la rencontre entre Peggy D'Argenson, galeriste, critique d'art, qui
Plus en détailNi tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer
Ni tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer BUT : Etudier les synthèses additives et soustractives Comprendre la notion de couleur des objets COMPETENCES : Rechercher et trier des informations
Plus en détailAbd Al Malik: Ça c est du lourd!
Abd Al Malik: Ça c est du lourd! Paroles et musique : Fayette-Mikano, Jouannest Polydor, Universal music Thèmes L immigration, la banlieue, la réussite sociale, le respect. Objectifs Objectifs communicatifs
Plus en détailmajuscu lettres accent voyelles paragraphe L orthographe verbe >>>, mémoire préfixe et son enseignement singulier usage écrire temps copier mot
majuscu conjugaison >>>, L orthographe singulier syllabe virgule mémoire lettres et son enseignement graphie suffixe usage accent ; écrire féminin temps voyelles mot point Renforcer l enseignement de l
Plus en détail4.1. Exercice pour mieux se connaître
Fiche de travail 4.1 4.1. Exercice pour mieux se connaître Objectif: Trouver ou retrouver qui vous êtes. Identifier ce que vous aimez chez vous. 1 ère étape Compléter les phrases suivantes: 1. Ce que j'aime
Plus en détailAttestation de maîtrise des connaissances et compétences au cours moyen deuxième année
Attestation de maîtrise des connaissances et compétences au cours moyen deuxième année PALIER 2 CM2 La maîtrise de la langue française DIRE S'exprimer à l'oral comme à l'écrit dans un vocabulaire approprié
Plus en détailDossier de Presse 5 juin 2008 20. L Oeuvre de Vauban à Besançon
Dossier de Presse 5 juin 2008 20 L Oeuvre de Vauban à Besançon Dossier de Presse 5 juin 2008 21 Besançon : des défenses façonnées par un méandre dominé > 21 27 La citadelle Historique La position stratégique
Plus en détailJUSTE DEBOUT SCHOOL PROGRAMME DE FORMATION PROFESSIONNELLE
JUSTE DEBOUT SCHOOL PROGRAMME DE FORMATION PROFESSIONNELLE Présentation de la formation... 4 I- Les Modules de Danse... 5 A- La formation du danseur module long... 5 B- La formation du danseur module
Plus en détailEt avant, c était comment?
3 Et avant, c était comment? Objectifs de l unité Tâche La première partie de l évaluation comprend une tâche, QUELS CHANGEMENTS!, divisée en quatre phases. Dans la première phase, il s agit d écouter
Plus en détailBrevet de français Mémento
Brevet de français Mémento Livret de révisions pour préparer le Brevet Présentation de l épreuve L épreuve dure trois heures et comporte deux parties. Première partie (1h30) Etude de texte (15 pts), réécriture
Plus en détailZazie : Être et avoir
Zazie : Être et avoir Paroles et musique : Zazie / Philippe Paradis Mercury / Universal Music Thèmes La consommation, le bonheur. Objectifs Objectifs communicatifs : Décrire une pièce. Donner une définition
Plus en détailLes enfants malentendants ont besoin d aide très tôt
13 CHAPITRE 2 Les enfants malentendants ont besoin d aide très tôt Pendant les premières années de leur vie, tous les enfants, y compris les enfants malentendants, apprennent rapidement et facilement les
Plus en détailCOLLECTIVITÉS ET MÉDIAS SOCIAUX ENTRE INTÉRET MANAGÉRIAL ET CRAINTES PERSISTANTES
COLLECTIVITÉS ET MÉDIAS SOCIAUX ENTRE INTÉRET MANAGÉRIAL ET CRAINTES PERSISTANTES par Camille LASTENNET Master 2 sciences politiques spécialité Management du Risque Université Paris Ouest Nanterre-La Défense
Plus en détailGESTION DE LA RELATION CLIENT (CRM) Etat actuel et perspectives du marché suisse en 2002
GESTION DE LA RELATION CLIENT (CRM) Etat actuel et perspectives du marché suisse en 2002 CONSULTING KPMG Consulting SA La «gestion de la relation client» (ou, en anglais, Customer Relationship Management,
Plus en détailI/ CONSEILS PRATIQUES
D abord, n oubliez pas que vous n êtes pas un enseignant isolé, mais que vous appartenez à une équipe. N hésitez jamais à demander des idées et des conseils aux autres collègues (linguistes et autres)
Plus en détailZAZA FOURNIER, La vie à deux (2 56)
(2 56) PAROLES Ne fais pas comme ceci, Moi je fais comme cela, C est ma manière à moi Moi je dis comme cela, Mais on dit comme ceci Et c'est plus juste ainsi, Ne va pas par ici, Moi je vais par là, Passe
Plus en détail«Longtemps, j ai pris ma plume pour une épée : à présent, je connais notre impuissance.»
Métonymie : image désuète de l instrument servant à écrire. Représentation traditionnelle et glorieuse du travail de l écrivain. Allusion à une époque révolue. Idée de durée, de permanence. edoublée dans
Plus en détailCOMMENT CITER OU PARAPHRASER UN EXTRAIT DE DOCUMENT SELON INFOSPHÈRE
COMMENT CITER OU PARAPHRASER UN EXTRAIT DE DOCUMENT SELON INFOSPHÈRE Pourquoi et quand citer ses sources? Ajouter une valeur à son travail de recherche tout en respectant le droit d'auteur En se référant
Plus en détailAcadémie de Créteil. Projet présenté autour de l album «Trois souris peintres» d Ellen Stoll Walsh
Projet académique 2013-2014 «Des boîtes à histoires» Comment créer un outil au service de la mise en mémoire et de la compréhension des textes littéraires Académie de Créteil Projet présenté autour de
Plus en détail5 clés pour plus de confiance en soi
ASSOCIATION JEUNESSE ET ENTREPRISES Club SEINE-ET- MARNE 5 clés pour plus de confiance en soi Extrait du guide : «Vie Explosive, Devenez l acteur de votre vie» de Charles Hutin Contact : Monsieur Jackie
Plus en détailLe droit de préemption en matière immobilière
Le droit de préemption en matière immobilière C est le truc le plus grave à louper. I Le preneur à bail rural C est surement le texte le plus ancien dans notre droit positif actuel. Cela date de 1945.
Plus en détailVI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires
21 VI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires 22 PROJET I : Séquence 3 ORAL (Réception) Compréhension orale : Activité d écoute : 1 ère fiche pédagogique L objectif de cette séance est
Plus en détailL Illusion comique. De Corneille. L œuvre à l examen oral. Par Alain Migé. Petits Classiques Larousse -1- L Illusion comique de Corneille
L Illusion comique De Corneille L œuvre à l examen oral Par Alain Migé Petits Classiques Larousse -1- L Illusion comique de Corneille PREMIÈRE QUESTION : L ÊTRE ET LE PARAÎTRE Le titre même de L illusion
Plus en détailMéthodologie du dossier. Epreuve d histoire de l art
Méthodologie du dossier Epreuve d histoire de l art Fiche d identité de l oeuvre Nature de l oeuvre : Huile sur toile Auteur Eugène Delacroix (1798-1863) Titre : La liberté guidant le peuple : le 28 juillet
Plus en détailEl Tres de Mayo, GOYA
Art du visuel / «Arts, ruptures, continuités» Problématique : «Comment l expression du sentiment surgit-elle dans l art au XIX è siècle?» El Tres de Mayo, GOYA Le Tres de Mayo, Francisco Goya, huile sur
Plus en détailFébronie Tsassis Se présenter et convaincre en 2 33
Fébronie Tsassis Se présenter et convaincre en 2 33 Entrée en scène: Acteur et trac Transpiration, rougeurs, gorge nouée Peur: trou de mémoire, bafouiller Le trac nécessaire? A gérer! CORPS Respect Révision
Plus en détailUtopia, tous des barbares
Utopia, tous des barbares compagnie émile saar «Je dois vous dire que je ne sais pas parler» extrait de La langue vulgaire, P.P Pasolini Un spectacle sur la langue. Notre expérience de l oralité, faire
Plus en détailIdées reçues et autres contre-vérités
Idées reçues et autres contre-vérités "Juger, c'est de toute évidence, ne pas comprendre ; si l'on comprenait, on ne pourrait plus juger." Citation d'andré Malraux A l occasion des prochaines manifestations
Plus en détailSéminaires, workshops et formations sur mesure. animés par Pierre-André Blandenier
Séminaires, workshops et formations sur mesure animés par Pierre-André Blandenier Présentation personnelle De formation commerciale, j ai fait mes études de base à l'ecole Supérieure de Commerce de La
Plus en détailMickael Miro : Ma scandaleuse
Mickael Miro : Ma scandaleuse Paroles et musique : Mickaël Miro Universal Music France Thèmes L amour, le portrait de l être aimé. Objectifs Objectifs communicatifs : Émettre des hypothèses à partir des
Plus en détailAssises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007
Assises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007 Quand je pense à ces nouveaux Chefs d établissement qui me disaient récemment avoir
Plus en détail1. Qu est-ce que la conscience phonologique?
1. Qu est-ce que la conscience phonologique? Définition La conscience phonologique est définie comme la connaissance consciente et explicite que les mots du langage sont formés d unités plus petites, à
Plus en détailLa danse contemporaine à la maternelle
La danse contemporaine à la maternelle «Quand une image présente ne nous fait pas penser à des milliers d images absentes, il n y a pas d imagination» G.Bachelard Danse et Arts visuels-a partir de Matisse-Ecole
Plus en détailLivret personnel de compétences
Livret personnel de compétences Grilles de références pour l évaluation et la validation des compétences du socle commun au palier 2 Janvier 2011 MENJVA/DGESCO eduscol.education.fr/soclecommun LES GRILLES
Plus en détailASSURER DES FORMATIONS DE QUALITE: Quelques pistes l expérience d UPLiFT, partenaire d Inter Aide à Manille, Philippines (anciennement appelé NBA)
ASSURER DES FORMATIONS DE QUALITE: Quelques pistes l expérience d UPLiFT, partenaire d Inter Aide à Manille, Philippines (anciennement appelé NBA) Paul Hibon * Donner aux bénéficiaires envie d acquérir
Plus en détailAvant-propos Le problème de la spécificité du texte dramatique... 7 Genres du dramatique et descriptions linguistiques... 12 Conclusion...
Table des matières Avant-propos Le problème de la spécificité du texte dramatique... 7 Genres du dramatique et descriptions linguistiques... 12 Conclusion... 41 PREMIÈRE PARTIE Aspects sémio-linguistiques
Plus en détailTIM S.A., une aventure d Homme
Comité d entreprise 1 Sommaire Edito de M. Hans-Jürgen Hellich, Directeur Général de Tim SA p. 9 Edito de Cyril Terrière, Secrétaire du Comité d Entreprise Tim SA p. 11 Itinéraires croisés d une entreprise
Plus en détailPLAN D ÉTUDES DU PIANO
PLAN D ÉTUDES DU PIANO INTRODUCTION La formation permet aux élèves d acquérir progressivement une autonomie musicale et instrumentale liée au développement artistique de leur personnalité à travers la
Plus en détailETES-VOUS PRET.ES A ALLER MIEUX?
ETES-VOUS PRET.ES A ALLER MIEUX? Projet formulé à partir de ma pratique de terrain: Constats Public défavorisé Plus le niveau d instruction est bas plus plus le risque est grand de développer des troubles
Plus en détailGestion Participative Territoriale :
!!" #!#$ # % #% Touiza Solidarité Evaluation ex post et externe Gestion Participative Territoriale : François Durand Consultant ITG Paris Foued Chehat Expert associé 1 Le cadre de l évaluation Le projet
Plus en détailLe compte épargne temps
2010 N 10-06- 05 Mi à jour le 15 juin 2010 L e D o i e r d e l a D o c 1. Définition Sommaire 2. Modification iue du décret n 2010-531 3. Principe du compte épargne temp Bénéficiaire potentiel Alimentation
Plus en détailRèglement du concours d expressions citoyennes Aux encres citoyens! Aux encres et cetera
Règlement du concours d expressions citoyennes Aux encres citoyens! Aux encres et cetera Chapitre 1. Le concours ART. 1. Le but de ce concours est de stimuler l engagement des jeunes dans la société, de
Plus en détailNouveau sondage sur les perspectives des Canadiens à propos des changements climatiques et de la crise économique
Nouveau sondage sur les perspectives des Canadiens à propos des changements climatiques et de la crise économique 45% des Canadiens sont d accord pour dire que les actions sérieuses en matière de changements
Plus en détailMon aide mémoire traitement de texte (Microsoft Word)
. Philippe Ratat Mon aide mémoire traitement de texte (Microsoft Word) Département Ressources, Technologies et Communication Décembre 2006. Sommaire PRÉSENTATION DU DOCUMENT 1 Objectif principal 1 Deux
Plus en détailLa rue. > La feuille de l élève disponible à la fin de ce document
La rue Grandir, qu est-ce que cela signifie vraiment? Un jeune qui a vécu isolé dans les rues de Paris témoigne. Cette fiche pédagogique propose de découvrir une réalité peu connue de la France d aujourd
Plus en détail1. La famille d accueil de Nadja est composée de combien de personnes? 2. Un membre de la famille de Mme Millet n est pas Français. Qui est-ce?
1 LA FAMILLE 1.1 Lecture premier texte Nadja va passer quatre mois de la prochaine année scolaire en France. Aujourd hui, elle a reçu cette lettre de sa famille d accueil. Chère Nadja, Je m appelle Martine
Plus en détailVotre conférencier. Christian Martineau
Votre conférencier Christian Martineau Immédiatement après l obtention d un diplôme de deuxième cycle (MBA exécutif à l'université de Sherbrooke), M. Martineau entreprend une formation de 3 ans en synergologie.
Plus en détailFiche pédagogique : ma famille et moi
Fiche pédagogique : ma famille et moi Tâche finale de l activité : Jouer au «Cluedo» Niveau(x) Cycle 3 Contenu culturel : - jeux de sociétés Connaissances : Connaissances requises : - cf séquences primlangue
Plus en détailLIVRET PERSONNEL DE COMPÉTENCES
Nom... Prénom... Date de naissance... Note aux parents Le livret personnel de compétences vous permet de suivre la progression des apprentissages de votre enfant à l école et au collège. C est un outil
Plus en détailLes outils de communication
FICHE DE SYNTHÈSE Module 8 Les outils de communication - MODULE SEMAINE 8 - SOMMAIRE : I) Les différents média de communication...2 II) Savoir tirer parti des réseaux sociaux...2 1/6 I) LES DIFFÉRENTS
Plus en détailListe des formations : Développement personnel
Liste des formations : Développement personnel Gamme de formation 06 LES 5 OUTILS ESSENTIELS DE DEVELOPPEMENT PERSONNEL POUR... 7108 DEVELOPPER SA PRESENCE POUR MIEUX COMMUNIQUER http://www.cegos.fr/formation-ameliorer-ses-relationsprofessionnelles/p-0106-
Plus en détailAutoportraits photographiques. Il s agit de se photographier soi-même (ce n est pas un portrait pris par un autre)
Autoportraits photographiques Il s agit de se photographier soi-même (ce n est pas un portrait pris par un autre) 1-pratique photographique : en se montrant jouer sur les notions propres à la photographie
Plus en détailManque de reconnaissance. Manque de contrôle
CONTRE-VALEURS 7 octobre 2014 Les contre-valeurs représentent ce que l on cherche à fuir. Elles nous motivent négativement en ce sens où elles incarnent des situations que nous évitons ou que nous cherchons
Plus en détailRéception de Montréal Secteur des valeurs mobilières. Discours d ouverture
Réception de Montréal Secteur des valeurs mobilières Discours d ouverture Andrew J. Kriegler Président et chef de la direction Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières 25
Plus en détailRemise de l Ordre National du Mérite à M. David LASFARGUE (Résidence de France 7 novembre 2014) ----------
Remise de l Ordre National du Mérite à M. David LASFARGUE (Résidence de France 7 novembre 2014) ---------- Cher David Lasfargue, Mesdames, Messieurs, C est toujours un honneur et un plaisir pour un Ambassadeur
Plus en détailSociété Louis GRAMA Tentes et Toiles S.A. Capital 1.700.000 FF
La lettre commerciale Exemple Généralités Conventions Conseils Liens Exemple Société Louis GRAMA Tentes et Toiles S.A. Capital 1.700.000 FF Tél.: 01.45.88.98.32. 5 rue de la Liberté SIREN 455.239.666.00045
Plus en détailIndications pédagogiques C3-15
à la Communication Objectif général Indications pédagogiques C3-15 C : comprendre un message Degré de difficulté 3 Objectif intermédiaire 1 : Analyser un message Objectif opérationnel 5 : Reconnaître les
Plus en détailMerci de suivre les indications suivantes afin de créer votre compte membre :
Merci de suivre les indications suivantes afin de créer votre compte membre : La base de données a été mise à jour, toutefois si vous n arrivez pas à vous connecter ou si vous constatez une erreur dans
Plus en détailEN 2015, CRÉEZ L ÉVÉNEMENT
EN 2015, CRÉEZ L ÉVÉNEMENT La Philharmonie de Paris vue du parc de la Villette Philharmonie de Paris - Ateliers Jean Nouvel - Jean Nouvel LA PHILHARMONIE DE PARIS UN PROJET FÉDÉRATEUR L année 2015 sera
Plus en détailTechniques d accueil clients
Techniques d accueil clients L accueil est une des phases capitales lors d un entretien de vente. On se rend tout à fait compte qu un mauvais accueil du client va automatiquement engendrer un état d esprit
Plus en détailÉcole : Maternelle. Livret de suivi de l élève. Nom : Prénom : Date de naissance : Année d entrée à l école maternelle :
École : Maternelle Livret de suivi de l élève Nom : Prénom : Date de naissance : Année d entrée à l école maternelle : Livret de suivi de l élève à l école maternelle Chaque compétence est évaluée selon
Plus en détailJE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE!
rétablissement et psychose / Fiche 1 JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! JJérôme s énerve : «Je ne suis pas psychotique! Vous ne dites que des conneries! Je suis moi, Jérôme, et je ne vois pas le monde comme vous,
Plus en détailTapori France ATD Quart Monde 2014 1/5
1/5 Les enfants, acteurs essentiels du combat contre les idées reçues. Prendre en compte leur parole et les actes concrets qu ils posent. Réfléchir et débattre ensemble PROPOSER UN DEBAT PHILO Il s'agit
Plus en détailEpreuve de Sciences économiques et sociales
Epreuve de Sciences économiques et sociales Sujet zéro 1 1/ Question d analyse microéconomique ou macroéconomique (6 points) Expliquer et représenter graphiquement les gains à l échange. 2/ Conduite d
Plus en détailClément ALBRIEUX (69)
Pratique 20 : Une nouvelle identité entrepreneuriale 287 Le témoin : Clément ALBRIEUX (69) 30 collaborateurs Comment est définie et gérée l innovation dans votre cabinet? Les collaborateurs du cabinet
Plus en détailVendre. PANdOre INTRODUCTION. But du vendeur : faire en sorte que tout se passe au mieux entre l entreprise et les clients/les partenaires.
Vendre PANdOre INTRODUCTION But du vendeur : faire en sorte que tout se passe au mieux entre l entreprise et les clients/les partenaires. Historique de la relation client-fournisseur : 1955-1965 : le fournisseur
Plus en détail