C H A U D R O N N I E R S DESSIN INDUSTRIEL - 3

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "C H A U D R O N N I E R S DESSIN INDUSTRIEL - 3"

Transcription

1 COUPES ET SECTIONS Objectifs Sommaire Identifier et représenter une coupe et une section Coupes 2 Règles de représentation normalisées 2 Hachures 3 Sections 4 Sections sorties 4 Sections rabattues 4 Exercices 5 Documentation complémentaire Méthode active de dessin technique, Éditions Casteilla Dessin industriel en chaudronnerie, Éditions Eyrolles REPRODUC ODUCTION INTERDITE 1 / 8

2 COUPES Principe Dans ce mode de représentation, l'objet est coupé (analogie avec un fruit coupé au couteau). Les morceaux sont séparés. Le plus représentatif est choisi. L'observateur, le re g a rd tourné vers le plan coupé, dessine l'ensemble du morceau suivant les règles habituelles. L'intérieur, devenu visible, apparaît clairement en traits forts. Règle En général, dans les vues en coupe on ne dessine pas les contours cachés ou traits interrompus courts, sauf s il sont indispensables à la compréhension. Objet initial Plan de coupe Partie à conserver Regard ou sens d'observation Partie à enlever Principe des vues coupées - plan de coupe RÈGLES DE REPRÉSENTATION NORMALISÉES Plan de coupe Il est indiqué dans une vue adjacente. Il est matérialisé par un trait mixte fin («trait d'axe») renforcé aux extrémités par deux traits forts courts. Le sens d'observation est indiqué par deux flèches (en traits forts) orientées vers la partie à conserver. Les extrémités «touchent» les deux traits forts courts. Deux lettres majuscules (AA, BB ) servent à repérer à la fois le plan de coupe et la vue coupée correspondante. Ces indications sont particulièrement utiles lorsque le dessin comprend plusieurs vues coupées. S'il n'y a pas d'ambiguïté possible, elles sont parfois omises. REPRODUCTION INTE RDITE COUPES ET SECTIONS - 2 / 8

3 Représentation normalisée de l'objet coupé HACHURES Les hachures apparaissent là où la matière a été coupée. Elles sont tracées en trait continu fin et sont de préférence inclinées à 45 (dans le cas où un seul objet est coupé) par rapport aux lignes générales du contour. Elles ne traversent pas ou ne coupent jamais un trait fort. Elles ne s'arrêtent jamais sur un trait interrompu court. Le motif des hachures ne peut en aucun cas préciser la nature de la matière de l'objet coupé. Cependant, en l'absence de nomenclature, les familles de matériaux ( f e r reux, plastiques, alliages légers ) peuvent être différenciées par les motifs d'emploi usuel. Hachures - motifs usuels usage général tous métaux et alliages métaux et alliages légers (aluminium...) cuivre et ses alliages matières plastiques ou isolantes (élec.) é l a s t o m è r e s b o b i n a g e s é l e c r o - a i m a n t s a n t i f r i c t i o n verre, porcelaine, céramique... isolant thermique sol naturel b é t o n béton armé bois en coupe t r a n s v e r s a l e bois en coupe l o n g i t u d i n a l e R E PR ODUCT ION I NT ER DI TE COUPES ET SECTIONS - 3 / 8

4 SECTIONS On peut les considérer comme des vues complémentaires ou auxiliaires. Elles se présentent comme une variante simplifiée des vues en coupe et permettent de définir avec exactitude une forme, un contour, un profil en éliminant un grand nombre de tracés inutiles. Les sections sont définies de la même manière que les coupes : plan de coupe, flèches, etc. Principe Dans une coupe, normalement, toutes les parties visibles au-delà (en arrière) du plan de coupe sont dessinées. Dans une section, seule la partie coupée est dessinée (là où la matière est réellement coupée ou sciée). Principe des sections, comparaison avec les coupes SECTIONS SORTIES Elles sont dessinées, le plus souvent, au droit du plan de coupe si la place le permet. L'inscription du plan de coupe peut être omise. Exemples de sections sorties et principe de représentation SECTIONS RABATTUES Ces sections sont dessinées en traits continus fins (pas de traits forts), directement sur la vue usuelle (en superposition). Pour plus de clarté, il est préférable de gommer ou d'éliminer les formes de l'objet vues sous la section ; si ces formes sont nécessaires, il faut p r é f é rer une section sortie. L'indication du plan de coupe est en général inutile. REPR ODUCTION INTER DITE COUPES ET SECTIONS - 4 / 8

5 Exemples de sections rabattues et principe de représentation EXERCICES Établir la correspondance entre les dessins en perspective ci-dessous et les vues en projection de la page 6. RE PRODUC TION INTE RDITE COUPES ET SECTIONS - 5 / 8

6 Perspectives Vues en projection R EP RO DU CTI ON I NTE RD IT E COUPES ET SECTIONS - 6 / 8

7 D'après l'exe rcice 1, exécuter la coupe A-A et la section A-A pour les exe rcices 2, 3, 4. RE PRODUCTION INTE RDITE COUPES ET SECTIONS - 7 / 8

8 Pour chaque exe rcice, tracer la vue coupée manquante. Utiliser le plan de coupe indiqué. R EP RO DU CT ION I NTE R DIT E COUPES ET SECTIONS - 8 / 8

9 REPRODUCTION INTERDITE Août 2000 Association ouvrière des Compagnons du Devoir du Tour de France 82 rue de l'hôtel-de-ville Paris cedex 04 - Téléphone : Télécopie :

10 Perspectives Vues en projection 1 A 2 D 3 H 4 B 5 E 6 F R EPR ODUCTION INTER DITE COUPES ET SECTIONS - 6 / 8 (CORRIGÉ)

11 D'après l'exe rcice 1, exécuter la coupe A-A et la section A-A pour les exe rcices 2, 3, 4. R EPRO DU CT ION I NTE RD IT E COUPES ET SECTIONS - 7 / 8 (CORRIGÉ)

12 R EPR ODUCTION INTER DITE COUPES ET SECTIONS - 8 / 8 (CORRIGÉ)

Le plombier chauffagiste a aussi besoin de cette représentation pour savoir ce qu il y a à l intérieur de la maison au niveau des hauteurs.

Le plombier chauffagiste a aussi besoin de cette représentation pour savoir ce qu il y a à l intérieur de la maison au niveau des hauteurs. Les informations du plan Vous connaissez trois types de représentation d un pavillon : 1 : La perspective 2 : Les façades (page 2 ) 3 : La vue en plan (page 3) Observer attentivement la vue de la page

Plus en détail

L.T.Mohammedia CHAINE D ENERGIE - DESSIN TECHNIQUE S.CHARI

L.T.Mohammedia CHAINE D ENERGIE - DESSIN TECHNIQUE S.CHARI I. Introduction Pourquoi le dessin technique? Le Dessin Technique est une façon de représenter des pièces réelles (donc en 3 dimensions) sur une feuille de papier (donc en 2 dimensions) que l on appelle

Plus en détail

Salle de technologie

Salle de technologie Prénom : Nom : Classe : Date : Salle de technologie Séquence Le dessin technique Définition du dessin technique : Le dessin technique est un ensemble de règles pour représenter des objets ; ces règles

Plus en détail

RÈGLEMENT SUR LE COMITÉ D'INSPECTION PROFESSIONNELLE DU COLLÈGE DES MÉDECINS DU QUÉBEC

RÈGLEMENT SUR LE COMITÉ D'INSPECTION PROFESSIONNELLE DU COLLÈGE DES MÉDECINS DU QUÉBEC Loi médicale (L.R.Q., c. M-9, a. 3) Code des professions (L.R.Q., c. C-26, a. 90) SECTION I COMITÉ D'INSPECTION PROFESSIONNELLE 1. Le Conseil d'administration nomme 11 médecins pour agir à titre de membres

Plus en détail

SINE QUA NON. Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases

SINE QUA NON. Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases SINE QUA NON Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases Sine qua non est un logiciel «traceur de courbes planes» mais il possède aussi bien d autres fonctionnalités que nous verrons tout

Plus en détail

Chapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION

Chapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION Chapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION Rappel d u c h api t r e pr é c é d en t : l i de n t i f i c a t i o n e t l e s t i m a t i o n de s y s t è m e s d é q u a t i o n s s i m u lt a n é e s r e p o

Plus en détail

Cahier des charges pour la fourniture d éléments numériques. version 2014

Cahier des charges pour la fourniture d éléments numériques. version 2014 Cahier des charges pour la fourniture d éléments numériques version 2014 Despesse Imprimerie 58 rue de la Forêt - 26000 Valence Tél. 04 75 42 43 21 - Fax 04 75 42 15 49 - E.mail : imprimerie@despesse.fr

Plus en détail

LES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol.

LES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol. LES ESCALIERS I. DÉF I NIT I O N Un escalier est un ouvrage constitué d'une suite de marches et de paliers permettant de passer à pied d'un niveau à un autre. Ses caractéristiques dimensionnelles sont

Plus en détail

Projet de raccordement au réseau de transport de gaz naturel EXPRESSION PRELIMINAIRE DE BESOIN SITE :..

Projet de raccordement au réseau de transport de gaz naturel EXPRESSION PRELIMINAIRE DE BESOIN SITE :.. Projet de raccordement au réseau de transport de gaz naturel EXPRESSION PRELIMINAIRE DE BESOIN SITE :.. Document type : expression préliminaire de besoin client final Version / Révision Date de publication

Plus en détail

Saint Jean Industries labellisé fournisseur majeur de PSA - Automobile

Saint Jean Industries labellisé fournisseur majeur de PSA - Automobile Saint Jean Industries labellisé fournisseur majeur de PSA - Automobile http://www.usinenouvelle.com/article/saint-jean-industries-labellise-fournisseur-maje... Page 1 sur 1 04/04/2012 Saint Jean Industries

Plus en détail

LA SOCIÉTÉ. Le site web MUTUELLIA SANTE est édité par : LG ASSUR société de courtage d'assurances siège social :

LA SOCIÉTÉ. Le site web MUTUELLIA SANTE est édité par : LG ASSUR société de courtage d'assurances siège social : LA SOCIÉTÉ Le site web MUTUELLIA SANTE est édité par : LG ASSUR société de courtage d'assurances siège social : 56 Bld Michelet SGE DOMICILIATION 13008 MARSEILLE. Code APE 6622Z R.C professionnelle et

Plus en détail

La SEM Energies POSIT IF, un outil au service de la rénovation énergétique des logements collectifs

La SEM Energies POSIT IF, un outil au service de la rénovation énergétique des logements collectifs Promouvoir, Organiser, Soutenir, Inventer la Transition en Ile de France La SEM Energies POSIT IF, un outil au service de la rénovation énergétique des logements collectifs Mme Hélène GASSIN, Vice-présidente

Plus en détail

Construction de la bissectrice d un angle

Construction de la bissectrice d un angle onstruction de la bissectrice d un angle 1. Trace un angle. 1. 2. Trace un angle cercle. de centre (le sommet de l angle) et de rayon quelconque. 1. 2. 3. Trace Le cercle un angle cercle coupe. de la demi-droite

Plus en détail

INSTRUCTION INTERMINISTÉRIELLE SUR LA SIGNALISATION ROUTIÈRE du 22 octobre 1963

INSTRUCTION INTERMINISTÉRIELLE SUR LA SIGNALISATION ROUTIÈRE du 22 octobre 1963 INSTRUCTION INTERMINISTÉRIELLE SUR LA SIGNALISATION ROUTIÈRE du 22 octobre 1963 3 ème PARTIE : Intersections et régimes de priorité Approuvée par l arrêté du 26 juillet 1974 relatif à la signalisation

Plus en détail

Recherche dans un tableau

Recherche dans un tableau Chapitre 3 Recherche dans un tableau 3.1 Introduction 3.1.1 Tranche On appelle tranche de tableau, la donnée d'un tableau t et de deux indices a et b. On note cette tranche t.(a..b). Exemple 3.1 : 3 6

Plus en détail

UEO11 COURS/TD 1. nombres entiers et réels codés en mémoire centrale. Caractères alphabétiques et caractères spéciaux.

UEO11 COURS/TD 1. nombres entiers et réels codés en mémoire centrale. Caractères alphabétiques et caractères spéciaux. UEO11 COURS/TD 1 Contenu du semestre Cours et TDs sont intégrés L objectif de ce cours équivalent a 6h de cours, 10h de TD et 8h de TP est le suivant : - initiation à l algorithmique - notions de bases

Plus en détail

Directives sur les relations avec les gouvernements de fait

Directives sur les relations avec les gouvernements de fait Directives sur les relations avec les gouvernements de fait Lors de sa 100ième session (septembre 2010), le Conseil d'administration, conformément à l'article 52 des Principes et critères en matière de

Plus en détail

I. Introduction aux fonctions : les fonctions standards

I. Introduction aux fonctions : les fonctions standards Chapitre 3 : Les fonctions en C++ I. Introduction aux fonctions : les fonctions standards A. Notion de Fonction Imaginons que dans un programme, vous ayez besoin de calculer une racine carrée. Rappelons

Plus en détail

Championnat de France de Grilles Logiques Finale 7 juin 2014. Livret d'instructions

Championnat de France de Grilles Logiques Finale 7 juin 2014. Livret d'instructions Championnat de France de Grilles Logiques Finale 7 juin 0 Livret d'instructions Épreuve Thème Horaires Durée Points Déjà vu? h h minutes 0 Medley international h h 0 minutes 00 Futur proche? h h0 minutes

Plus en détail

Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966

Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966 Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966 MON VISAGE A LA MANIERE DE JEAN DUBUFFET OBJECTIFS - utiliser son expérience sensorielle visuelle pour produire une œuvre picturale. - réaliser une œuvre s'inspirant

Plus en détail

Europâisches Patentamt European Patent Office Office européen des brevets. Numéro de publication: 0 388 307 A1 DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

Europâisches Patentamt European Patent Office Office européen des brevets. Numéro de publication: 0 388 307 A1 DEMANDE DE BREVET EUROPEEN Europâisches Patentamt European Patent Office Office européen des brevets Numéro de publication: 0 388 307 A1 DEMANDE DE BREVET EUROPEEN Numéro de dépôt: 90400700.2 Int. Cl.5-. B60N 3/00 @ Date de dépôt:

Plus en détail

BUNKER STOCKAGE RADIOACTIF A PREVESSIN BSRP 954. Utilisation des dipôles comme blindage. - Rapport -

BUNKER STOCKAGE RADIOACTIF A PREVESSIN BSRP 954. Utilisation des dipôles comme blindage. - Rapport - CERN ST-CE/MP BUNKER STOCKAGE RADIOACTIF A PREVESSIN Utilisation des dipôles comme blindage - Rapport - M. Poehler Version : 1.1 novembre 99 1. Etudes d avant-projet En août de cette année, le groupe de

Plus en détail

TD/TP PAC - Programmation n 3

TD/TP PAC - Programmation n 3 Université Paris Sud Licence d informatique/iup-miage2 Année 2004-2005 Auteur : Frédéric Vernier Semaine : 11-16 octobre 2004 Conditions : sur machine avec les outils standards java web: http://vernier.frederic.free.fr/indexpac.html

Plus en détail

201-105-RE SOLUTIONS CHAPITRE 1

201-105-RE SOLUTIONS CHAPITRE 1 Chapitre1 Matrices 1 201-105-RE SOLUTIONS CHAPITRE 1 EXERCICES 1.2 1. a) 1 3 Ë3 7 3 2 Ë 1 16 pas défini d) 16 30 17 3 e) Ë 7 68 22 16 13 Ë 5 18 6 2. a) 0 4 4 4 0 4 Ë4 4 0 Ë 0 4 32 4 4 0 4 32 32 4 0 4 4

Plus en détail

PRISE EN MAIN DU SPECTROPHOTOMETRE UV-VISIBLE SHIMADZU U.V. 240

PRISE EN MAIN DU SPECTROPHOTOMETRE UV-VISIBLE SHIMADZU U.V. 240 I.N.S.. DE ROUEN Laboratoire de Chimie nalytique U.V. N PRISE EN MIN DU SPECTROPHOTOMETRE UV-VISIBLE SHIMDZU U.V. 240. OBJECTIFS - Choix des paramètres nécessaires pour un tracé de spectre. - Utilisation

Plus en détail

Définition du compte courant

Définition du compte courant Définition du compte courant Un compte courant n est pas un compte bancaire, mais un simple compte dans le système comptable de l Office (SAP/R3), qui est inclus dans le grand livre des comptes clients.

Plus en détail

5 ème Chapitre 4 Triangles

5 ème Chapitre 4 Triangles 5 ème Chapitre 4 Triangles 1) Médiatrices Définition : la médiatrice d'un segment est l'ensemble des points équidistants des extrémités du segment (cours de 6 ème ). Si M appartient à la médiatrice du

Plus en détail

Dérivation : Résumé de cours et méthodes

Dérivation : Résumé de cours et méthodes Dérivation : Résumé de cours et métodes Nombre dérivé - Fonction dérivée : DÉFINITION (a + ) (a) Etant donné est une onction déinie sur un intervalle I contenant le réel a, est dérivable en a si tend vers

Plus en détail

Avec la collaboration des Instituts du C.S.N LA REVISION DU LOYER COMMERCIAL. Textes. Articles L. 145-33 à 145-39 du code de commerce

Avec la collaboration des Instituts du C.S.N LA REVISION DU LOYER COMMERCIAL. Textes. Articles L. 145-33 à 145-39 du code de commerce Avec la collaboration des Instituts du C.S.N LA REVISION DU LOYER COMMERCIAL Textes Loi LME du 4 août 2008 Loi MURCEF du 11 décembre 2001 Article L. 145-3 du code de commerce Article L. 145-5 du code de

Plus en détail

N 1 2 1 L a R e v u e F r a n c o p h o n e d u M a n a g e m e n t d e P r o j e t 2 è m e t r i m e s t r e 2 0 1 3

N 1 2 1 L a R e v u e F r a n c o p h o n e d u M a n a g e m e n t d e P r o j e t 2 è m e t r i m e s t r e 2 0 1 3 Du côté de la Recherche > Managemen t de projet : p1 L intégration des systèmes de management Qualité -Sécurité- Environnement : résultats d une étude empirique au Maroc Le co ntex te d es p roj et s a

Plus en détail

Notre expertise au service de votre entreprise

Notre expertise au service de votre entreprise Code Apporteur : s Conformément à l article 27 de la loi du 6 Janvier 1978 N 78.17 relative à l informatique, aux fichiers et aux libertés, le proposant peut demander à l assureur, communication, rectification

Plus en détail

Complétez, signez la Convention ci-après et paraphez les conditions générales,

Complétez, signez la Convention ci-après et paraphez les conditions générales, Réservé à la vente à distance C o m m e n tt s o u s c rr i rr e? Si vous n êtes pas déjà client du Crédit Coopératif 1 2 3 4 complétez la demande d'ouverture de compte veillez à bien remplir toutes les

Plus en détail

LA QUALITE DES CROQUANTES OU NOUGATINES:

LA QUALITE DES CROQUANTES OU NOUGATINES: DOSSIER NOUGATINE LA QUALITE DES CROQUANTES OU NOUGATINES: La qualité des nougatines, est variable en fonction de la quantité d'amandes par rapport aux matières édulcorantes(saccharose, glucose, fondant,

Plus en détail

Revenu net 2,509,803 101,280 113,506 115,765 119,401

Revenu net 2,509,803 101,280 113,506 115,765 119,401 Propr. VPN 2011 2012 2013 2014 C 49 50 51 52 S 47 48 49 50 C 0 100,000 116,555 134,383 153,941 S 0 0 6,536 13,778 21,811 C 0 35,000 39,869 39,859 33,783 C 5,000 10,931 S 0 35,000 37,869 35,694 27,739 S

Plus en détail

LOT 1 - PARIS. Salles de Bureaux. Circulations Ascenseurs dépôts à réunion l'étage (740 m²) (80 m²) (200 m²) (4 m²) (10 m²) (12 m²) (70m²) 1

LOT 1 - PARIS. Salles de Bureaux. Circulations Ascenseurs dépôts à réunion l'étage (740 m²) (80 m²) (200 m²) (4 m²) (10 m²) (12 m²) (70m²) 1 Ref. Ares(2014)4124941-09/12/2014 SN : si nécessaire - : 1x par jour - : 1 x par semaine - 2M : 2 x par mois - : 1 x par mois - 4A : 1 x par trimestre - 2A : 1 x tous les six mois - 1A : 1 x par an techni

Plus en détail

Conditions pour la location de matériel de chantier (Les présentes conditions ont été élaborées par des délégations de VSBM et SBI/SSE)

Conditions pour la location de matériel de chantier (Les présentes conditions ont été élaborées par des délégations de VSBM et SBI/SSE) Conditions pour la location de matériel de chantier (Les présentes conditions ont été élaborées par des délégations de VSBM et SBI/SSE) 1. Généralités Les conditions énoncées ci-après sont valables pour

Plus en détail

La mise en oeuvre de la réforme du droit des sols. Laurent LEBON DDE 59 SUCT/ADS 1

La mise en oeuvre de la réforme du droit des sols. Laurent LEBON DDE 59 SUCT/ADS 1 La mise en oeuvre de la réforme du droit des sols Laurent LEBON DDE 59 SUCT/ADS 1 Les textes de référence : ordonnance n 2005-1527 du 8 décembre 2005 relative au permis de construire et aux autorisations

Plus en détail

TEPZZ 5 5 _9A_T EP 2 535 219 A1 (19) (11) EP 2 535 219 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

TEPZZ 5 5 _9A_T EP 2 535 219 A1 (19) (11) EP 2 535 219 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (19) TEPZZ 5 5 _9A_T (11) EP 2 535 219 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 19.12.2012 Bulletin 2012/51 (21) Numéro de dépôt: 12171697.1 (51) Int Cl.: B60L 5/20 (2006.01) B60L 5/42

Plus en détail

Tableau 1 Routes nouvelles ou modifiées : les infrastructures concernées

Tableau 1 Routes nouvelles ou modifiées : les infrastructures concernées Codes l'environnement Décret 95-22 du 9 janvier relatif à la limitation du bruit des aménagements et transports terrestres mai relatif au bruit des 97-110 du 12 relative à la prise en compte du bruit dans

Plus en détail

La médiatrice d un segment

La médiatrice d un segment EXTRT DE CURS DE THS DE 4E 1 La médiatrice d un segment, la bissectrice d un angle La médiatrice d un segment Définition : La médiatrice d un segment est l ae de smétrie de ce segment ; c'est-à-dire que

Plus en détail

Généralités sur le Langage Java et éléments syntaxiques.

Généralités sur le Langage Java et éléments syntaxiques. Généralités sur le Langage Java et éléments syntaxiques. Généralités sur le Langage Java et éléments syntaxiques....1 Introduction...1 Genéralité sur le langage Java....1 Syntaxe de base du Langage...

Plus en détail

Convention en matière de l'obtention de confirmations bancaires

Convention en matière de l'obtention de confirmations bancaires Instituut der Bedrijfsrevisoren ~~8S~:eurs d'entreprises ~ --":I......::::Fe~be;::lfin~ L' ABB est membre de la Fédération Financière Beige Convention en matière de l'obtention de confirmations bancaires

Plus en détail

Le multiplicateur monétaire (de crédit) : hier et aujourd'hui

Le multiplicateur monétaire (de crédit) : hier et aujourd'hui 23 février - N 27-72 Le multiplicateur monétaire (de crédit) : hier et aujourd'hui Le multiplicateur monétaire (de crédit) est la théorie qui explique quel montant de crédit (de masse monétaire) peut être

Plus en détail

C H API T R E I. 1 Assuré(e) avec enfants : 148. 2 Assurés : 173. 2 Assurés : 203

C H API T R E I. 1 Assuré(e) avec enfants : 148. 2 Assurés : 173. 2 Assurés : 203 R E G L E M E N T M U T U A L IST E D E L A M U T U E L L E F A M I L I A L E D ES T R A V A I L L E URS DU G R O UPE SA F R A N M F T GS - SIR E N 785 196 155 C H API T R E I OBLIGATIONS DE LA MUTUELLE

Plus en détail

netzevent IT-MARKT REPORT 2013 Infrastructure ICT en Suisse: Le point de vue des entreprises utilisatrices

netzevent IT-MARKT REPORT 2013 Infrastructure ICT en Suisse: Le point de vue des entreprises utilisatrices netzevent IT-MARKT REPORT 2013 Infrastructure ICT en Suisse: Le point de vue des entreprises utilisatrices Résultats exclusifs de l'étude systématique des 10 000 plus grandes entreprises en Suisse à leur

Plus en détail

Maintenabilité d un parc applicatif

Maintenabilité d un parc applicatif 1 Maintenabilité d un parc applicatif Une méthode pour évaluer les charges de maintenance 13/06/01 Jean-François Bailliot 2 Maintenabilité d un parc applicatif Maintenance / Développement importance relative

Plus en détail

Un exemple d étude de cas

Un exemple d étude de cas Un exemple d'étude de cas 1 Un exemple d étude de cas INTRODUCTION Le cas de la Boulangerie Lépine ltée nous permet d exposer ici un type d étude de cas. Le processus utilisé est identique à celui qui

Plus en détail

La santé de votre entreprise mérite notre protection.

La santé de votre entreprise mérite notre protection. mutuelle mclr La santé de votre entreprise mérite notre protection. www.mclr.fr Qui sommes-nous? En tant que mutuelle régionale, nous partageons avec vous un certain nombre de valeurs liées à la taille

Plus en détail

RECUEIL DES RÈGLES DE GESTION RÈGLEMENT RELATIF À LA NOMINATION ET AU RENOUVELLEMENT DE MANDAT DU DIRECTEUR GÉNÉRAL ET DU DIRECTEUR DES ÉTUDES (R-02)

RECUEIL DES RÈGLES DE GESTION RÈGLEMENT RELATIF À LA NOMINATION ET AU RENOUVELLEMENT DE MANDAT DU DIRECTEUR GÉNÉRAL ET DU DIRECTEUR DES ÉTUDES (R-02) RECUEIL DES RÈGLES DE GESTION RÈGLEMENT RELATIF À LA NOMINATION ET AU RENOUVELLEMENT DE MANDAT DU DIRECTEUR GÉNÉRAL ET DU DIRECTEUR DES ÉTUDES (R-02) RECUEIL DES RÈGLES DE GESTION RÈGLEMENT RELATIF À LA

Plus en détail

CPII DOM/ED 20/11/2014 LAGORA IMPORT RIU. Manuel utilisation

CPII DOM/ED 20/11/2014 LAGORA IMPORT RIU. Manuel utilisation CPII DOM/ED 20/11/2014 LAGORA IMPORT RIU Manuel utilisation Historique des versions du document Version Date Commentaire 1 20/11/2014 2 21/11/2014 Prise en compte des remarques DIRCE Affaire suivie par

Plus en détail

L ERP global et proactif des Entreprises Moyennes

L ERP global et proactif des Entreprises Moyennes p r o A L P H A L ERP global et proactif des Entreprises Moyennes L'ERP global et proactif des Entreprises Moyennes Nous avons donc développé une solution globale et intégrée, pour optimiser l'ensemble

Plus en détail

Elargissez l horizon de votre gestion. www.mercator.eu

Elargissez l horizon de votre gestion. www.mercator.eu www.mercator.eu Elargissez l horizon de votre gestion Mercator se profile comme la solution de gestion commerciale et de comptabilité alliant simultanément les avantages de la solution informatique standard

Plus en détail

MABioVis. Bio-informatique et la

MABioVis. Bio-informatique et la MABioVis Modèles et Algorithmes pour la Bio-informatique et la Visualisation Visite ENS Cachan 5 janvier 2011 MABioVis G GUY MELANÇON (PR UFR Maths Info / EPI GRAVITE) (là, maintenant) - MABioVis DAVID

Plus en détail

Cours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie

Cours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie Cours d électricité Introduction Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Le terme électricité provient du grec ἤλεκτρον

Plus en détail

TP n 2 Concepts de la programmation Objets Master 1 mention IL, semestre 2 Le type Abstrait Pile

TP n 2 Concepts de la programmation Objets Master 1 mention IL, semestre 2 Le type Abstrait Pile TP n 2 Concepts de la programmation Objets Master 1 mention IL, semestre 2 Le type Abstrait Pile Dans ce TP, vous apprendrez à définir le type abstrait Pile, à le programmer en Java à l aide d une interface

Plus en détail

CCAS DE PLEURTUIT LOT N 3

CCAS DE PLEURTUIT LOT N 3 CCAS DE PLEURTUIT LOT N 3 ASSURANCE "AUTOMOBILE ET RISQUES ANNEXES" DOSSIER DE PROCEDURE ADAPTEE Le présent dossier comporte : 1/ Fiche de demande de renseignements... 1 page 2/ Acte d'engagement... 10

Plus en détail

----------------------------------------

---------------------------------------- REGULATION DU SECTEUR DES JEUX D ARGENT ET DE HASARD EN LIGNE COMMISSION DES SANCTIONS instituée par l article 35 de la loi n 2010-476 du 12 mai 2010 relative à l'ouverture à la concurrence et à la régulation

Plus en détail

Indications pour une progression au CM1 et au CM2

Indications pour une progression au CM1 et au CM2 Indications pour une progression au CM1 et au CM2 Objectif 1 Construire et utiliser de nouveaux nombres, plus précis que les entiers naturels pour mesurer les grandeurs continues. Introduction : Découvrir

Plus en détail

Guide pratique 2 3.11-1

Guide pratique 2 3.11-1 3.11 LA TABLE DES RÉGIMES D'ABSENCE Cette table est principalement utilisée pour : # définir les différents régimes d'absence en vigueur; # définir les paramètres régissant le régime d'assurance-salaire;

Plus en détail

Module : Informatique Générale 1. Les commandes MS-DOS

Module : Informatique Générale 1. Les commandes MS-DOS 1 Les commandes MS-DOS I. Introduction Le DOS est le système d'exploitation le plus connu, sa version la plus commercialisée est celle de Microsoft, baptisée MS-DOS (Microsoft Disk Operating Système).MS-DOS

Plus en détail

Utilisation du logiciel GALAAD

Utilisation du logiciel GALAAD 1 Sommaire: Présentation du logiciel GALAAD 1. Démarrer le programme........ 2. Présentation de l écran du logiciel....... Les barres d'outils, sauvegarder... 3. Créer un nouveau fichier........ 4. Préparer

Plus en détail

O, i, ) ln x. (ln x)2

O, i, ) ln x. (ln x)2 EXERCICE 5 points Commun à tous les candidats Le plan complee est muni d un repère orthonormal O, i, j Étude d une fonction f On considère la fonction f définie sur l intervalle ]0; + [ par : f = ln On

Plus en détail

Ywood Les Docks Libres à Marseille

Ywood Les Docks Libres à Marseille Ywood Les Docks Libres à Marseille S. Bouquet 1 Ywood Les Docks Libres à Marseille Stéphane Bouquet NEXITY / YWOOD FR-Paris, Marseille 2 Ywood Les Docks Libres à Marseille S. Bouquet 5 ème Forum International

Plus en détail

CABINES TÉLÉPHONIQUES

CABINES TÉLÉPHONIQUES CABINES TÉLÉPHONIQUES 3e C ATALOGUE DU M OBILIER U RBAIN I N F O R M A T I O N MOBILIERS PUBLICITAIRES F3 9 mupi senior mât et poutre acier - caisson a l u m i n i u m bleu RAL 5004 gris RAL 9007 gris

Plus en détail

M e s s a g e d e s F o n d a t e u r s

M e s s a g e d e s F o n d a t e u r s M e s s a g e d e s F o n d a t e u r s Lo rs de l introduction de BVRP Software au Nouve a u M a rché de la Bourse de Pa r is en décembre 1996, le plan de d é veloppement soumis aux actionnaires prévoyait

Plus en détail

Tp 1 correction. Structures de données (IF2)

Tp 1 correction. Structures de données (IF2) Tp 1 correction Structures de données (IF2) Remarque générale : compilez et exécutez le code au-fur-et-à mesure de son écriture. Il est plus facile de corriger une petite portion de code délimitée que

Plus en détail

Cartes de bruit stratégiques

Cartes de bruit stratégiques Département de la Sarthe Cartes de bruit stratégiques Grandes infrastructures de transports Réseau autoroutier COFIROUTE Résumé non technique Article R 572-5 du code de l environnement Vu pour être annexé

Plus en détail

Evolutions du Relevé de Compte 120 caractères pour les opérations de virements et de prélèvements SEPA

Evolutions du Relevé de Compte 120 caractères pour les opérations de virements et de prélèvements SEPA Evolutions du Relevé de Compte 120 caractères pour les opérations de virements et de prélèvements SEPA MARS 2010 Version Validée : 2.0 Objet : l objet de ce document est de présenter les évolutions nécessaires

Plus en détail

Dossier de candidature Masterclass TVA 2014

Dossier de candidature Masterclass TVA 2014 . Afin de permettre un traitement échelonné des demandes, nous vous remercions de transmettre votre dossier de candidature dans les meilleurs délais et sans attendre la date limite. Ne sont examinés que

Plus en détail

Notre expertise au service de votre entreprise

Notre expertise au service de votre entreprise Code Apporteur : Note de présentation - Promoteur Conformément à l article 27 de la loi du 6 Janvier 1978 N 78.17 relative à l informatique, aux fichiers et aux libertés, le proposant peut demander à l

Plus en détail

MERLIN GESTION PATRIMONIALE. Groupe GESTION PATRIMONIALE. Définition d un programme de renouvellement

MERLIN GESTION PATRIMONIALE. Groupe GESTION PATRIMONIALE. Définition d un programme de renouvellement Groupe MERLIN Une tradition d innovations au service des hommes GESTION PATRIMONIALE GESTION PATRIMONIALE Définition d un programme de renouvellement Indépendance - Expériences - Expertises - Proximité

Plus en détail

RÈGLEMENT INTÉRIEUR DE LA SAML ÉDITION DU 1er SEPTEMBRE 2013

RÈGLEMENT INTÉRIEUR DE LA SAML ÉDITION DU 1er SEPTEMBRE 2013 SOCIÉTÉ ASTRONOMIQUE DE LA MONTAGNE DE LURE RÈGLEMENT INTÉRIEUR DE LA SAML ÉDITION DU 1er SEPTEMBRE 2013 ARTICLE 1 - Statuts et règlement intérieur Le règlement intérieur est établi en complément des statuts

Plus en détail

MT940-MultiLine. Formats. Version 3.02 du 17/01/2013. Sommaire: Extraits de compte (Formats utilisés) 2

MT940-MultiLine. Formats. Version 3.02 du 17/01/2013. Sommaire: Extraits de compte (Formats utilisés) 2 MT940-MultiLine ormats Version 3.02 du 17/01/2013 Sommaire: Extraits de compte (ormats utilisés) 2 1. Structure de l extrait de compte < ormat MT940 > 3 2. Structure de l extrait de compte < ormat étendu

Plus en détail

Description du procédé de remplacement des appareils. Description du procédé de remplacement des appareils. 1) Choix de l appareil de remplacement B

Description du procédé de remplacement des appareils. Description du procédé de remplacement des appareils. 1) Choix de l appareil de remplacement B Migration de Emax à Emax 2 en conservant la certification ) ayant c) des ayant caractéristiques des caractéristiques d installation d installation dans la même dans la disposition physique tion Fiche physique

Plus en détail

Evolution du pouvoir d'achat du point d'indice net majoré (INM) depuis le 1er janvier 2000

Evolution du pouvoir d'achat du point d'indice net majoré (INM) depuis le 1er janvier 2000 Evolution du pouvoir d'achat du net majoré (INM) depuis le 1er janvier 2000 Indices INSEE : Valeur du au 1er juillet 2010 = 4,6303 perte de pouvoir d'achat depuis le 1er janvier 2000 du sur l'indice des

Plus en détail

Il n'existe pas de contrat "type", mais des types de contrat. Nous pouvons instruire ensemble ces différents types de contrat.

Il n'existe pas de contrat type, mais des types de contrat. Nous pouvons instruire ensemble ces différents types de contrat. Les contrats Il n'existe pas de contrat "type", mais des types de contrat. Nous pouvons instruire ensemble ces différents types de contrat. Les points essentiels d'un Contrat de Collaboration sont: le

Plus en détail

BAREME sur 40 points. Informatique - session 2 - Master de psychologie 2006/2007

BAREME sur 40 points. Informatique - session 2 - Master de psychologie 2006/2007 BAREME ur 40 point Informatique - eion 2 - Mater de pychologie 2006/2007 Bae de donnée PRET de MATERIEL AUDIO VISUEL. Remarque : Le ujet comporte 7 page. Vérifier qu il et complet avant de commencer. Une

Plus en détail

COTISATION FONCIÈRE DES ENTREPRISES COTISATION SUR LA VALEUR AJOUTÉE DES ENTREPRISES

COTISATION FONCIÈRE DES ENTREPRISES COTISATION SUR LA VALEUR AJOUTÉE DES ENTREPRISES COTISATION FONCIÈRE DES ENTREPRISES COTISATION SUR LA VALEUR AJOUTÉE DES ENTREPRISES SUPPRESSION DE L EXONÉRATION EN FAVEUR DES CRÉATIONS OU EXTENSIONS D ÉTABLISSEMENTS SITUÉS DANS LES QUARTIERS PRIORITAIRES

Plus en détail

Série T modèle TES et TER

Série T modèle TES et TER 6-8 rue des Casernes Tél. : 03.84.29.55.55 F 90200 GIROMAGNY Fax : 03.84.29.09.91 E-mail : ultralu@ultralu.com http://www.ultralu.com NOTICE DE MONTAGE ET D UTILISATION ECHAFAUDAGE ROULANT ALUMINIUM Série

Plus en détail

D'une demande d'amélioration aux

D'une demande d'amélioration aux D'une demande d'amélioration aux indicateurs de l'action Auteurs : Philippe Meslage, Philippe Di Driat, Gérard Maigné, Jean-François Bergamini, Dominique Dubois Picard, Dominique Leuxe 31 ème journées

Plus en détail

Les BRMS Business Rules Management System. Groupe GENITECH

Les BRMS Business Rules Management System. Groupe GENITECH Les BRMS Business Rules Management System 1 Présentations Emmanuel Bonnet ebonnet (at) genigraph.fr Responsable Dpt Conseil Consultant, Expert BRMS Formateur IBM/Ilog JRules / JBoss Rules Génigraph SSII

Plus en détail

Compression Compression par dictionnaires

Compression Compression par dictionnaires Compression Compression par dictionnaires E. Jeandel Emmanuel.Jeandel at lif.univ-mrs.fr E. Jeandel, Lif CompressionCompression par dictionnaires 1/25 Compression par dictionnaire Principe : Avoir une

Plus en détail

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement

Plus en détail

Chapitre 3 : outil «Documents»

Chapitre 3 : outil «Documents» Chapitre 3 : outil «Documents» L outil «Documents» fonctionne comme le gestionnaire de fichiers de votre ordinateur. Vous pouvez y transférer des documents de tous types (html, Word, Powerpoint, Excel,

Plus en détail

Les chaînes de caractères

Les chaînes de caractères Les chaînes de caractères Dans un programme informatique, les chaînes de caractères servent à stocker les informations non numériques comme par exemple une liste de nom de personne ou des adresses. Il

Plus en détail

PHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1

PHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente

Plus en détail

Initiation à la programmation en Python

Initiation à la programmation en Python I-Conventions Initiation à la programmation en Python Nom : Prénom : Une commande Python sera écrite en caractère gras. Exemples : print 'Bonjour' max=input("nombre maximum autorisé :") Le résultat de

Plus en détail

Plans de prévention des risques technologiques :

Plans de prévention des risques technologiques : Plans de prévention des risques technologiques : Autorisations d urbanisme et contrôle des constructions Jeudi 4 décembre 2014 136 avenue des Champs-Elysées 75008 Paris - Tél. : +33 (0)1 53 93 30 00 Fax

Plus en détail

SIEL 2013 Salon International de l Edition et du Livre Casablanca, du 29 mars au 7 avril 2013 l O.F.E.C. Office des Foires et Expositions

SIEL 2013 Salon International de l Edition et du Livre Casablanca, du 29 mars au 7 avril 2013 l O.F.E.C. Office des Foires et Expositions Agenzia per la promozione all estero e l internazionalizzazione delle imprese italiane MAROC Calendrier des Foires & Salons Internationaux au Maroc 2013 MEDICAL EXPO 13 Edition du Salon International de

Plus en détail

SCP d Architecture et d Aménagement du Territoire DESCOEUR F & C 49 rue des Salins, 63000 Clermont Fd. 7 juin 2010

SCP d Architecture et d Aménagement du Territoire DESCOEUR F & C 49 rue des Salins, 63000 Clermont Fd. 7 juin 2010 SCP d Architecture et d Aménagement du Territoire DESCOEUR F & C 49 rue des Salins, 63000 Clermont Fd Commune de Coulandon CONTRATT COMMUNAL D AMENAGEMENT DE BOURG FICHE ACTION 1 Aménagement de la route

Plus en détail

Jeux de caracte res et encodage (par Michel Michaud 2014)

Jeux de caracte res et encodage (par Michel Michaud 2014) Jeux de caracte res et encodage (par Michel Michaud 2014) Les ordinateurs ne traitent que des données numériques. En fait, les codages électriques qu'ils conservent en mémoire centrale ne représentent

Plus en détail

Séjours - Missions - Études - Stages - WHV. www.asfe-expat.com. ASFE, l'assurance santé sans frontières

Séjours - Missions - Études - Stages - WHV. www.asfe-expat.com. ASFE, l'assurance santé sans frontières Séjours - Missions - Études - Stages - WHV www.asfe-expat.com ASFE, l'assurance santé sans frontières L'assurance Jeunes Loin de votre pays, en mission, en stage / études, vous vous posez naturellement

Plus en détail

28 MAI 1956 - O.R.U. nº 41/78. Etablissements dangereux, insalubres ou incommodes. (B.O.R.U., 1956, p. 442).

28 MAI 1956 - O.R.U. nº 41/78. Etablissements dangereux, insalubres ou incommodes. (B.O.R.U., 1956, p. 442). 28 MAI 1956 - O.R.U. nº 41/78. Etablissements dangereux, insalubres ou incommodes. (B.O.R.U., 1956, p. 442). Article: 1 Les établissements repris dans la liste annexée à la présente ordonnance et rangés

Plus en détail

TIEN DES DROITS DES TRAVAILLEURS EN CAS DE CHANGEMENT D'EMPLOYEUR DU FAIT D'UN TRANSFERT CONVENTIONNEL D'ENTREPRISE ET REGLANT LES

TIEN DES DROITS DES TRAVAILLEURS EN CAS DE CHANGEMENT D'EMPLOYEUR DU FAIT D'UN TRANSFERT CONVENTIONNEL D'ENTREPRISE ET REGLANT LES CONVENTION COLLECTIVE DE TRAVAIL N 32 BIS DU 7 JUIN 1985 [CONCERNANT LE MAIN- TIEN DES DROITS DES TRAVAILLEURS EN CAS DE CHANGEMENT D'EMPLOYEUR DU FAIT D'UN TRANSFERT CONVENTIONNEL D'ENTREPRISE ET REGLANT

Plus en détail

INTRODUCTION AU LEAN MANUFACTURING

INTRODUCTION AU LEAN MANUFACTURING INTRODUCTION AU LEAN MANUFACTURING p.1 Les principes de l entreprise lean 1) Spécifier la valeur pour le client 2) Ne transférer que des produits bons 3) Eliminer le gaspillage, par une remise en cause

Plus en détail

MODE D EMPLOI HAA51 DETECTEUR PASSIF D INTRUSION A INFRAROUGE INTRODUCTION

MODE D EMPLOI HAA51 DETECTEUR PASSIF D INTRUSION A INFRAROUGE INTRODUCTION MODE D EMPLOI HAA51 DETECTEUR PASSIF D INTRUSION A INFRAROUGE INTRODUCTION Le HAA51 est un détecteur passif d'intrusion à infrarouge conçu pour un usage intérieur dans des systèmes de sécurité en site

Plus en détail

TD/TP PAC - Programmation n 3

TD/TP PAC - Programmation n 3 Université Paris Sud Licence d informatique/iup-miage2 - Année 2004-2005 auteur : Frédéric Vernier semaine : 11-16 octobre 2004 conditions : sur machine avec les outils standards java web: http://vernier.frederic.free.fr/indexpac.html

Plus en détail

Fonctionnalités d Acronis :

Fonctionnalités d Acronis : Sommaire Introduction... 2 Fonctionnalités d Acronis :... 2 Concepts de base d'acronis True Image Home... 3 Version d Acronis... 4 Configuration requise pour Acronis True Image Home 2015... 4 Systèmes

Plus en détail