1. POLITIQUE NATIONALE EN MATIÈRE DE PPP
|
|
- Rémi Chassé
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 2 novembre 2005 Original : anglais PROGRAMME DE PARTENARIAT INDIVIDUEL ENTRE LA SUISSE ET L OTAN pour POLITIQUE NATIONALE EN MATIÈRE DE PPP Le Programme suisse de partenariat individuel (PPI) pour 2006 se fonde sur l invitation de l OTAN et sur le document de base paru le 10 janvier 1994, aussi bien que sur le document de présentation fourni par la Suisse, le 11 décembre Ces documents présentent le concept général, les objectifs du Partenariat pour la paix (PPP) et les termes concrets de la participation suisse. La Suisse voit le Partenariat pour la paix comme un pilier essentiel de l architecture de sécurité européenne et partage complètement son concept de base : la stabilité et la sécurité dans la sphère euro-atlantique ne peuvent être assurées qu à travers la coopération et des actions communes. Pour la Suisse, le Partenariat est une plate-forme essentielle pour la participation aux efforts visant une sécurité collective, ainsi qu un instrument de soutien utile dans la modernisation continue de ses forces armées. Le Partenariat reposant sur les principes de base du volontariat et de l autodétermination, il est dès lors parfaitement compatible avec la neutralité suisse. Du point de vue de la Suisse, le Partenariat reste un instrument important de la politique de sécurité européenne. Ces dernières années, l environnement sécuritaire euro-atlantique a connu un certain nombre de changements fondamentaux. Le Partenariat s est adapté à ces changements et poursuit ses efforts dans cette voie. Il en est résulté un renforcement sensible de la coopération avec l OTAN et un élargissement de la palette de ses thèmes. De nouveaux domaines thématiques, comme le terrorisme international, la réforme des structures nationales de sécurité et de défense, la protection et la sécurité des frontières, de même que la prolifération d armes de destruction massive complètent cette palette. La Suisse partage l approche faite actuellement du thème que sont les menaces auxquelles est soumise la région euro-atlantique et est également prête à apporter une contribution substantielle. Par ailleurs, dans sa participation au Partenariat, elle continue de s engager dans des domaines qui ont fait leurs preuves, comme l amélioration de l interopérabilité militaire, de la planification civile d urgence et de l aide en cas de catastrophe ou de la diffusion du droit international humanitaire. Pour que l importance du Partenariat soit reconnue à l avenir également, la Suisse s engage pour une approche souple de la coopération entre l OTAN et les Etats partenaires afin que les divers besoins et intérêts des Etats membres du PPP puissent être pris en considération. Les objectifs de la participation suisse dans le cadre du PPP comprennent : promotion du développement d une société internationale juste et pacifique se fondant sur - les règles du droit humanitaire, le respect des droits de l homme et des libertés fondamentales ; - la transparence et le contrôle démocratique des forces armées et de l ensemble du secteur de la sécurité ;
2 2 promotion des capacités des employés civils et des officiers collaborant à l élaboration et à l exécution des politiques de sécurité et de défense dans la gestion de crise ; promotion de l interopérabilité des forces armées lors d engagements de soutien à la paix mandatées par l ONU ou l OSCE ; soutien des efforts visant plus de stabilité régionale, principalement dans l Europe du Sud-Est ; coopération dans la lutte contre les menaces transfrontalières, comme le terrorisme international et la prolifération d armes de destruction massive ; établissement de procédures et de lignes directrices communes dans les pratiques d aide en cas de catastrophe, de recherche et de sauvetage, et d opérations humanitaires ; transmission de modules d instruction et échange de connaissances dans les domaines suivants : - droit international humanitaire, - contrôle des armements et désarmement, - armes légères et de petits calibres, - relations entre les domaines civils et les domaines militaires, - politique de sécurité globale; soutien des Etats partenaires dans leurs efforts de réforme par des conseils, des programmes d entraînement et d instruction, ainsi que par des livraisons de matériel n entrant pas dans la catégorie des techniques d armement. 2. RESSOURCES DISPONIBLES A. Forces armées La Suisse a déclaré des capacités spécifiques disponibles pour des opérations dans le contexte du PPP, mais ne tombant pas sous le coup des opérations liées à la défense collective de l Alliance («non-article 5 operations»). La participation d unités des forces armées suisses et la fourniture de compétences à des opérations du PPP demeurent néanmoins sujettes à une décision nationale sur la base du «cas par cas». La participation suisse, en dehors d un cas de défense collective de l Alliance, dépend, en tous les cas, d un mandat de l ONU ou de l OSCE, et exclut toute mission prévoyant, comme élément central du mandat, des combats au sens premier du terme ou le recours à la force armée. Aucune unité permanente n est prévue pour des engagements dépassant le cadre du cas de défense collective de l Alliance. Les capacités engagées au Kosovo peuvent sur la base d une décision nationale prise de cas en cas - être mises à disposition dans le cadre d un engagement (une compagnie logistique, un détachement moyen d appui aérien, un détachement de la police militaire et un détachement médical). Du personnel militaire spécialisé - unité de secours en cas de catastrophe, équipes de recherche et sauvetage, observateurs militaires, spécialistes de neutralisation des explosifs et munitions, et des unités de transport aérien (hélicoptères) - peut être
3 3 engagé, dans un court délai, pour des évacuations médicales («Medical Evacuation» - MEDEVAC) et d autres opérations humanitaires. B. Ressources civiles Le pool d experts suisses pour des missions civiles d établissement de la paix compte, pour des missions à court et à long terme, des observateurs d élections, des observateurs des droits de l homme, des officiers de police civils, des experts des douanes et des médecins légistes. Le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) peut autoriser le déploiement d unités civiles d aide en cas de catastrophe pour des opérations humanitaires appuyant les efforts du Centre euro-atlantique de coordination des réactions en cas de catastrophe (EADRCC). Le DFAE peut déléguer du personnel civil pour participer à des opérations, des entraînements et des exercices à caractère humanitaire, y compris des opérations d aide en cas de catastrophe et de recherche et sauvetage. Ce personnel est soit issu du contingent standard de la Division Aide humanitaire et de l aide en cas de catastrophe, soit recruté dans le vivier de 1'500 personnes des membres du Corps suisse d aide humanitaire. Certains éléments peuvent être engagés en l espace de quelques heures. C. Installations d instruction Peuvent être utilisées dans le cadre d activités du PPP les installations d instruction suivantes : Installations militaires Centre pour l information et la communication de l armée, à Berne Centre d instruction pour le combat en montagne, à Andermatt Swiss International Training Centre (SWISSINT), à Stans Centre d entraînement tactique du Centre d instruction de l armée, à Lucerne Installations civiles Centre de politique de sécurité Genève (GCSP), comme centre d entraînement certifié PPP Centre international de déminage humanitaire Genève (GICHD) Centre pour le contrôle démocratique des forces armées Genève (DCAF) International Relations and Security Network (ISN - Réseau de données sur les relations internationales et la sécurité) 3. CHAMP D APPLICATION DU PPI La Suisse définit les domaines thématiques primordiaux de sa coopération ( areas of cooperation") dans le plan de coopération du Partenariat ("Euro-Atlantic Partnership Work Plan" - EAPWP) en fonction des objectifs formulés dans le cadre de sa politique nationale à l égard du PPP. Les domaines prioritaires sont les suivants : Sécurité et protection des frontières (BSC) : soutenir les Etats en phase de transformation dans la restructuration d organisations militaires de protection des
4 4 frontières qui passent sous la coupe des autorités civiles, tout en assurant un contrôle démocratique et juridique efficace ; améliorer l entraînement et l équipement des troupes de protection des frontières ; soutenir l implémentation des aspects relevant de la sécurité et de la protection des frontières dans le cadre du plan d action du Partenariat contre le terrorisme (PAP-T) et du plan d action du Partenariat concernant le développement d institutions de défense (PAP-DIB). Direction, systèmes de communication et d information (C3) : atteindre le niveau le plus élevé dans les affaires de direction et de communication pour assurer l interopérabilité internationale et pour éviter les solutions individuelles ; approfondir les connaissances sur la doctrine des CIS («Communications and Information Systems»), ainsi que sur leurs lignes directrices, les concepts et leurs procédures. Planification civile en cas d urgence (CEP) : renforcer les capacités nationales et internationales existantes pour pouvoir répondre aux demandes d assistance en cas de catastrophe ; établir une doctrine, des procédures et des lignes directrices communes dans le domaine de l aide en cas de catastrophe. Gestion des crises (CRM) : améliorer les connaissances et l expérience de l administration et de l armée en matière de CRM ; concrétiser l interopérabilité en approfondissant les connaissances issues d'une participation à la CRM dans la définition de sa doctrine, dans l établissement de ses procédures et dans l affermissement de son expertise, ainsi qu en participant à des consultations et à des exercices politico-militaires. Contrôle démocratique des forces armées et des structures de défense (DCF): soutenir les Etats en phase de transformation dans le développement efficace et transparent de structures de sécurité et de défense, en contrôlant démocratiquement et juridiquement ce processus ; soutenir l implémentation du "Code de conduite de l OSCE. Droit international humanitaire (IHL) : favoriser l établissement de normes communes dans le domaine du droit international (IHL), en ayant pour objectif de concrétiser "l interopérabilité juridique ; améliorer la formation nationale en matière d IHL ; garantir que les doctrines, les planifications et les procédures nationales ne contreviennent pas aux obligations liées à l IHL. Logistique (LOG) : acquérir et approfondir les connaissances dans le cadre des doctrines, des lignes directrices, des questions de procédures et des concepts communs dans le domaine de la logistique; développer des capacités et des structures logistiques nationales plus efficaces et mieux interopérables ; instruire le personnel en vue d assumer des fonctions logistiques sur le plan international. Défense et protection ABC (NBC): renforcer les consultations et les échanges en ce qui concerne les armes de destruction massives et leurs vecteurs ; renforcer les consultations et les échanges en ce qui concerne les mesures de protection contre les menaces ABC ; améliorer les capacités et les mesures de protection nationales contre les menaces ABC, tant au niveau civil que militaire. Lutte contre le terrorisme (RTT): renforcer l échange d informations sur la lutte contre le terrorisme ; soutenir les efforts consentis, tant sur le plan international que régional, dans le cadre du plan d action du Partenariat contre le terrorisme (PAP-T). Armes légères et de petit calibre (SLW) : atteindre l objectif de l ONU fixé dans son "Program of Action to Prevent and Eradicate the Illicit Trade in Small Arms and Light
5 5 Weapons in All its Aspects" ; assurer l entreposage adéquat des stocks nationaux d armes et la destruction des surplus, ainsi que des armes récoltées ; contribuer au développement de modules d instruction du PPP pour des problèmes spécifiques dans le domaine des armes légères et de petit calibre. Aspects opérationnels, matériels et administratifs de la standardisation (STD) : améliorer l interopérabilité internationale en atteignant un niveau minimum en matière de compatibilité, d interchangeabilité et de normalisation dans le domaine de l équipement et des systèmes de l armée et des forces aériennes ; établissement et implémentation de normes matérielles/techniques communes et de critères dans les biens d armement. Exercices militaires et instruction (TEX) : améliorer les connaissances et l expérience de l armée dans les activités d états-majors multinationaux dans le contexte des opérations de réponse aux crises ne relevant pas de l art. 5 et dans les opérations humanitaires; favoriser la coopération dans le développement, l implémentation et l adaptation des structures et des procédures de conduite ; développer un concept commun de relation entre les domaines civils et les domaines militaires. Pédagogie militaire, instruction et doctrine (TRD) : échanger des notions relatives aux concepts, aux doctrines, aux procédures et aux structures militaires ; favoriser l expérience dans les activités d états-majors multinationaux et les connaissances linguistiques techniques au niveau des officiers et sous-officiers en vue d engagement dans des opérations de réponse aux crises ne relevant pas de l art. 5 et dans des opérations humanitaires; développer et implémenter des normes communes dans le cadre de l instruction militaire. 4. ACTIVITÉS PRINCIPALES La Suisse a prévu quelque 250 activités dans le programme Ces activités reflètent les objectifs prioritaires décrits plus haut. Ces derniers impliquent plus particulièrement la participation du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE), du Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS) et de l armée. A. Exercices OTAN/PPP Exercices OTAN/PPP - COOPERATIVE LANCER 06 - COOPERATIVE LONGBOW 06 - NOBLE INTENT 06 - STEADFAST JAW 06 Exercices "dans l esprit du PPP" - CENTRIFUGAL FORCE / COMBINED ENDEAVOUR 06 B. Processus de planification et d examen du PPP (PARP) Depuis 1999, la Suisse prend part au processus de planification et d examen du PPP (PARP). En 2004, la Suisse et l OTAN se sont accordées sur un nouveau paquet d objectifs
6 6 du PPP («Partnership Goals» - PGs). Ces objectifs révisés du Partenariat sont au nombre de 29, dont 17 sont de portée générale, 5 concernent le domaine des forces terrestres et 7 celui des forces aériennes. En 2005, la Suisse a procédé à l évaluation de l état de concrétisation des objectifs, en tant que premier pas dans la voie de la définition des objectifs du Partenariat pour Ils servent d instruments à la mise au point des objectifs de planification pour la période s étendant jusqu en 2010 et devraient aider la Suisse à développer le concept d interopérabilité de ses troupes et les capacités qu elle pourrait mettre à disposition pour des engagements de soutien à la paix et, dès lors aussi, pour les modules d instruction et les entraînements qui en dépendent. Le principe fondamental du Partenariat en matière de volontariat s applique également au PARP. C. Offres suisses dans le cadre du plan de coopération du Partenariat ( Euro- Atlantic Partnership Work Plan" - EAPWP) CEP SWI.2805 UNCMCC UN-Civil-Military Co-ordination Course DCF SWI.2691 KOMKA PfP 1 Basic Media Training Course (2) DPS SWI.2735 ETC European Security Policy Training Course DPS SWI.2760 NISC New Issues in International Security Course DPS SWI.2761 ISF 7th International Security Forum DPS SWI.2767 ITC International Security Training Course HMA SWI.2772 IMSMA Course on Information Management System for Mine Action (2) IHL SWI.2720 COC Implementation of the OSCE Code of Conduct Course IHL SWI.2803 MILMED Course on International Humanitarian Law (IHL) IHL SWI.2804 SLAC/CENTROC Seminar on the Law of Armed Conflicts MED SWI.2757 EDMA Emergency and Disaster Medicine Advanced Course (2) MED SWI.1815 NBCMED Emergency and Disaster Medicine in Respect to NBC Events Basic Course NBC SWI.2745 CWCVERI Workshop on NBC Defence and the Chemical Weapons Convention NBC SWI.2807 NBC TL Course on Handling with Nuclear, Biological and Chemical Emergencies on Tactical Levels PKG SWI.2702 SUNMOC Training Course for Military Observers for UN and OSCE Missions PKG SWI.2814 PSOBC Peace Support Operations Basic Course (2) TRD SWI.2697 WMC Winter Mountain Training Course TRD SWI.2698 SMC Summer Mountain Training Course TRD SWI.2765 AVC Avalanche Course TRD SWI.2766 NCO Leadership Development for NCOs (2) TRD SWI.2791 Negotiation Training TRD SWI.2800 STC Ski Training Course TRD SWI.2810 BCSRC Course on Boarder Control, Search and Rescue in Mountain Areas D. Activités civiles de la Suisse - EAPC/PfP workshop "Critical Infrastructure Protection/Civil Emergency Planning", Suisse, septembre 2006 (basé sur le workshop "Critical Infrastructure Protection and Civil
7 7 Emergency Planning: Interdependencies and Vulnerabilities of Energy, Transportation and Communication", Zurich, 2005) - EAPC/PfP workshop "PfP-relevant issues in the fight against terrorism" Offre bilatérale de la Suisse "in the spirit of PfP": - Cours "Security Policy and International Humanitarian Law for Iraqi Civil servants", Genève, automne 2006 (basé sur le cours 2005 à Genève) Remarque : Des informations détaillées sur le PPI 2006 pour la Suisse sont disponibles dans le "Partnership Real-time Information Management and Exchange System" (PRIME) une des banques de données développées sur le 'Web' par la Suisse et gérant toutes les activités réalisées dans le cadre du PPP.
Rapport annuel 2004. du Conseil fédéral sur la participation de la Suisse au Conseil de partenariat euro-atlantique et au Partenariat pour la paix
Rapport annuel 2004 du Conseil fédéral sur la participation de la Suisse au Conseil de partenariat euro-atlantique et au Partenariat pour la paix Berne, le 9 mars 2005 EIDGENÖSSISCHES DEPARTEMENT FÜR AUSWÄRTIGE
Plus en détailCOMPRENDRE CE QU EST L OTAN
COMPRENDRE CE QU EST L OTAN LES ORIGINES DE L ALLIANCE Au lendemain de la seconde guerre mondiale, l Europe de l Est et l Europe de l Ouest se sont trouvées séparées par les divisions idéologiques et politiques
Plus en détailCes efforts ont déjà contribué significativement à l atteinte des objectifs de l OTAN depuis 2014.
Dès le début de la crise ukrainienne et compte tenu de la menace potentielle perçue par ses alliés d Europe centrale et du Nord à leurs frontières, l OTAN a pris un ensemble de mesures politiques et militaires
Plus en détailEngagement actif, défense moderne
«Concept stratégique pour la défense et la sécurité des membres de l Organisation du Traité de l Atlantique Nord» adopté par les chefs d État et de gouvernement à Lisbonne Engagement actif, défense moderne
Plus en détailCOURS D INSTITUTIONS EUROPEENNES Mme Catherine SCHNEIDER, Professeur, Chaire Jean Monnet. PLAN dossier 2 : LES INSTITUTIONS DE DEFENSE ET DE SECURITE
1 LICENCE 2 ième année DROIT COURS D INSTITUTIONS EUROPEENNES Mme Catherine SCHNEIDER, Professeur, Chaire Jean Monnet PLAN dossier 2 : LES INSTITUTIONS DE DEFENSE ET DE SECURITE SECTION 1 - L'OTAN, ORGANISATION
Plus en détailETAT-MAJOR DES ARMÉES III e DIVISION POLITIQUE MILITAIRE ET PLANIFICATION BUREAU RELATIONS INTERNATIONALES
ETAT-MAJOR DES ARMÉES III e DIVISION POLITIQUE MILITAIRE ET PLANIFICATION BUREAU RELATIONS INTERNATIONALES Catalogue des principaux cours de formation ouverts aux personnels militaires étrangers pour les
Plus en détailQu est-ce que l OSCE?
Résoudre les différences, renforcer la confiance Qu est-ce que l OSCE? L OSCE, qui compte 57 États participants en Amérique du Nord, en Asie et en Europe, est la plus grande organisation de sécurité régionale
Plus en détailSYSTÈMES DE ROQUETTES À INDUCTION Lance-roquettes Roquettes. www.tda-armements.com
SYSTÈMES DE ROQUETTES À INDUCTION Lance-roquettes Roquettes www.tda-armements.com Intégration : un précieux savoir-faire Dialogue avec les roquettes Conforme à toutes les normes OTAN Intégré sur LH10 ELLIPSE
Plus en détailACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ
INSTITUT DE MANAGEMENT PUBLIC ET GOUVERNANCE TERRITORIALE 21 RUE GASTON DE SAPORTA 13100 AIX EN PROVENCE DIPLOME UNIVERSITAIRE (DU) ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ OBJECTIFS Faire comprendre
Plus en détailSécurité nucléaire. Résolution adoptée le 26 septembre 2014, à la neuvième séance plénière
L atome pour la paix Conférence générale GC(58)/RES/11 Septembre 2014 Distribution limitée Français Original : anglais Cinquante-huitième session ordinaire Point 14 de l ordre du jour (GC(58)/22) Sécurité
Plus en détailSoldat de métier au Détachement de reconnaissance de l armée 10
Soldat de métier au Détachement de reconnaissance de l armée 10 1 2 3 4 5 6 7 8 Engagement & mission I Processus de sélection & profil exigé I Instruction I Vie quotidienne au travail I Contact Le détachement
Plus en détailDU ROLE D UN BUREAU MILITAIRE AU SEIN D UNE MISSION PERMANENTE
DU ROLE D UN BUREAU MILITAIRE AU SEIN D UNE MISSION PERMANENTE Capitaine de vaisseau Ndome Faye, Conseiller Militaire à la Mission Permanente du Sénégal auprès des Nations unies à New York Dans certains
Plus en détailPlanification d urgence et gestion de crise en Belgique
Planification d urgence et gestion de crise en Belgique Planification d urgence La sécurité s'exprime par plusieurs aspects : maintien de la tranquillité et de l'ordre public, sauvegarde de la sécurité
Plus en détailPIA 3.6. Politique de la guerre électronique. Publication interarmées. Division Emploi 1
PIA 3.6 Publication interarmées Politique de la guerre électronique Division Emploi 1 N 1812/DEF/EMA/EMP.1/NP du 23 décembre 2008 PIA 3.6 POLITIQUE DE LA GUERRE ELECTRONIQUE En attendant sa révision par
Plus en détailStratégie nationale en matière de cyber sécurité
Stratégie nationale en matière de cyber sécurité 1 INTRODUCTION Le fonctionnement de notre société est aujourd hui étroitement lié aux infrastructures et systèmes de communication et de traitement de l
Plus en détailà l'école des Officiers de la Gendarmerie Nationale
GENDARMERIE NATIONALE Commandement des écoles DE LA GENDARMERIE NATIONALE CENTRE de production multimédia de la gendarmerie nationale Préparation au concours d'admission à l'école des Officiers de la Gendarmerie
Plus en détailComment le terme «conflit armé» est-il défini en droit international humanitaire?
Comment le terme «conflit armé» est-il défini en droit international humanitaire? Comité international de la Croix-Rouge (CICR) Prise de position, mars 2008 Les États parties aux Conventions de Genève
Plus en détailS engager à agir pour le développement durable dans une période de changement
Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015
Plus en détailREVUE DE LA DEFENSE DU BURUNDI : LEÇONS TIREES
REVUE DE LA DEFENSE DU BURUNDI : LEÇONS TIREES Juin 2014 TABLE DES MATIERES REMERCIEMENTS... iii CARTE DU BURUNDI... iv SIGLES ET ABREVIATIONS... v RESUME EXECUTIF... vii CHAPITRE I : INTRODUCTION...
Plus en détailPlanification d urgence et gestion de crise en Belgique
Planification d urgence et gestion de crise en Belgique Noodplanning en crisisbeheer_fr.indd 1 21/01/2013 10:29:57 Noodplanning en crisisbeheer_fr.indd 2 21/01/2013 10:29:57 Planification d urgence La sécurité
Plus en détailLA REFORME DU SECTEUR DE LA SECURITE
UNION AFRICAINE CADRE D ORIENTATION SUR LA REFORME DU SECTEUR DE LA SECURITE COMMISSION DE L UNION AFRICAINE ADDIS ABEBA, ETHIOPIE PREAMBULE La Conférence des Chefs d Etat et de Gouvernement de l Union
Plus en détailFORMATION À LA CERTIFICATION CBCP (CERTIFIED BUSINESS CONTINUITY PROFESSIONAL) BCLE 2000
FORMATION À LA CERTIFICATION CBCP (CERTIFIED BUSINESS CONTINUITY PROFESSIONAL) BCLE 2000 Les pratiques professionnelles de la Continuité Métier sont définies comme les aptitudes, connaissances et procédures
Plus en détailCe projet de loi fixe un plafond pour le budget de la Défense et un plancher pour le budget de l Aide internationale.
NOTES EXPLICATIVES Ce projet de loi crée les Forces d autodéfense du Québec. Il vise à modifier la politique québécoise de défense nationale dans le sens d une renonciation au droit de belligérance, sauf
Plus en détailDéclaration des droits sur Internet
Déclaration des droits sur Internet 1 Préambule Internet a décisivement contribué à redéfinir l espace public et privé, à structurer les rapports entre les personnes et entre celles-ci et les institutions.
Plus en détailLes Principes fondamentaux
Les Principes fondamentaux DU MOUVEMENT INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE ET DU CROISSANT-ROUGE Christoph von Toggenburg/CICR Les Principes fondamentaux du Mouvement international de la Croix-Rouge et du
Plus en détailLe Ministre Pieter De Crem prend la parole
Le Ministre Pieter De Crem prend la parole Monsieur Pieter De Crem, Ministre de la Défense nationale, a donné un exposé le 21 mai 2008 à l Institut royal Supérieur de Défense (IRSD) Pendant cette conférence,
Plus en détailDéfense & médias sociaux La perspective belge
ROLE OF SOCIAL MEDIA IN OMBUDS INSTITUTIONS FOR THE ARMED FORCES Défense & médias sociaux La perspective belge 6 ICOAF 27 octobre 2014 Lieutenant-Colonel Dominique PEETERS 1 CONTENU Introduction La Défense
Plus en détailétude La mise en œuvre d un Traité sur le commerce des armes et son suivi P. LE MEUR
étude La mise en œuvre d un Traité sur le commerce des armes et son suivi P. LE MEUR SOMMAIRE INTRODUCTION... 4 1 ASSEOIR L AUTORITE DE LA NORME DE REGLEMENTATION AU NIVEAU NATIONAL... 5 1.1 Création d
Plus en détailLe Groupe consultatif international de la recherche et du sauvetage (INSARAG)
Le Groupe consultatif international de la recherche et du sauvetage (INSARAG) Qu est INSARAG? Le Groupe consultatif international de la recherche et du sauvetage (connu sous son sigle en anglais, INSARAG)
Plus en détail520.1 Loi fédérale sur la protection de la population et sur la protection civile
Loi fédérale sur la protection de la population et sur la protection civile (LPPCi) du 4 octobre 2002 (Etat le 12 juillet 2005) L Assemblée fédérale de la Confédération suisse, vu l art. 61 de la Constitution
Plus en détailAFRICAN UNION UNIÃO AFRICANA SÉCURITÉ RAPPORT CRISES» EW/rt
AFRICAN UNION UNION AFRICAINE UNIÃO AFRICANA AddisAbéba, Éthiopie, B.P.: 3243 Tél.: (251 11) 5513 822 Télécopie: (251 11) 5519 321 Courriel: situationroom@africa union.org 6 ÈME RÉUNION ORDINAIRE DU COMITÉ
Plus en détailCréation d une agence de communication interne _Au cours de ces dernières années, l équipe Marketing-Communication de Galexis a dû faire face à d
Création d une agence de communication interne _Au cours de ces dernières années, l équipe Marketing-Communication de Galexis a dû faire face à d importants changements. Dans le cadre de la gestion du
Plus en détailBUSINESS CONTINUITY MANAGEMENT. Notre plan C pour situations d'urgence et de crise
BUSINESS CONTINUITY MANAGEMENT I PLANZER I 2010 BUSINESS CONTINUITY MANAGEMENT Notre plan C pour situations d'urgence et de crise La sécurité n'est pas une valeur absolue. Une gestion de risque peut éventuellement
Plus en détailCommission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine
Commission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine La politique nationale et le soutien de la Communauté internationale au développement de la Réforme du Secteur de
Plus en détailCentres d Urgence et. Stephane Delaporte Global Account Director Alcatel-Lucent Enterprise
Centres d Urgence et Sécurité Publique Stephane Delaporte Global Account Director Alcatel-Lucent Enterprise Agenda 1.Alcatel-Lucent & Sécurité Publique 2.Ecosystème 112/911 Integré 3.Approche112/911 Personnalisée
Plus en détailLE MANAGEMENT PUBLIC : NOUVELLES APPROCHES, MÉTHODES ET TECHNIQUES. Sous la direction des Professeurs Martial Pasquier et Jean-Patrick Villeneuve
MASTER OF Ouvert aux participant-e-s extérieur-e-s MPAPUBLIC ADMINISTRATION LE MANAGEMENT PUBLIC : NOUVELLES APPROCHES, MÉTHODES ET TECHNIQUES Sous la direction des Professeurs Martial Pasquier et Jean-Patrick
Plus en détailOTA O N ne présentation de l Alliance atlantique www.nato.int/a-z
OTAN OTAN Une présentation de l Alliance atlantique Focus sur OTAN OTAN w Avant-propos 5 w Aperçu 6 w S adapter aux changements 11 w Un acteur de premier plan dans les situations de crise 17 w Étendre
Plus en détailLa Mobilière. L assurance suisse qui privilégie la relation personnelle.
La Mobilière. L assurance suisse qui privilégie la relation personnelle. Assumer les risques ensemble La Mobilière a une longue tradition de coopérative. A ses yeux, c est d ailleurs la forme juridique
Plus en détailCentre d etudes. strategiques de l Afrique. E t a b l i r d e s p a r t e n a r i a t s p o u r l a v e n i r d e l A f r i q u e
Centre d etudes strategiques de l Afrique E t a b l i r d e s p a r t e n a r i a t s p o u r l a v e n i r d e l A f r i q u e Séminaire pour hauts responsables - Lisbonne, Portugal Le premier événement
Plus en détailSONJA KORSPETER ET ALAIN HERMANN *
Les nouvelles technologies et la maîtrise des données personnelles comment l Allemagne et la France abordent-elles l impact de l évolution technologique sur la protection des données? SONJA KORSPETER ET
Plus en détailNPT/CONF.2010/PC.III/WP.39
Comité préparatoire de la Conférence des Parties chargée d examiner le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires en 2010 NPT/CONF.2010/PC.III/WP.39 15 mai 2009 Français Original : anglais Troisième
Plus en détailLes métiers du ministère des Affaires étrangères. m ti. é er. Direction des ressources humaines 2013
Les métiers du ministère des Affaires étrangères m ti s é er Direction des ressources humaines 2013 Les métiers du ministère des Affaires étrangères Introduction Les agents diplomatiques et consulaires
Plus en détailVers la cohérence des politiques au service d un développement durable
Vers la cohérence des politiques au service d un développement durable Web : www.oecd.org/development/policycoherence Plateforme CPD : https://community.oecd.org/community/pcd @OECD_PCD Ebba Dohlman Unité
Plus en détailApplication Management Services pour le secteur de l assurance vie : optimiser votre patrimoine applicatif
IBM Global Services Application Management Services pour le secteur de l assurance vie : optimiser votre patrimoine applicatif Introduction Avec la prudence qu impose le climat économique actuel, la croissance
Plus en détailApproches macroéconomique et fiscale. Introduction à la première partie... 14
TABLE DES MATIERES Préface... 5 Avant- propos... 9 Partie 1 Approches macroéconomique et fiscale Introduction à la première partie... 14 CHAPITRE 1 La politique budgétaire est- elle encore efficace pour
Plus en détailLe terrorisme et les groups de criminalité organisée présentent tous deux des menaces sérieuses pour la sécurité nationale et globale.
Strasbourg, 2 mai 2014 CODEXTER (2014) 5 COMITE D EXPERTS SUR LE TERRORISME (CODEXTER) COMITE EUROPEEN POUR LES PROBLEMES CRIMINELS (CDPC) CONFERENCE INTERNATIONALE SUR LE TERRORISME ET LE CRIME ORGANISE
Plus en détailCLUB DE REFLEXION SUR LE MALI (CRM)
Club de Réflexion sur le Mali (CRM) En collaboration avec Enda Tiers Monde et Institut Panafricain de Stratégies (IPS) Organise le Forum sur la crise malienne et ses répercussions sur la stabilité, la
Plus en détailEnergisez votre capital humain!
Energisez votre capital humain! Nos outils, notre conseil et nos méthodologies permettent à nos clients «d Energiser leur Capital Humain». Qualintra est l un des leaders européens pour la mesure et le
Plus en détailAperçu des 37 principes directeurs
Département fédéral des finances DFF Administration fédérale des finances AFF Gouvernement d entreprise de la Confédération Aperçu des 37 principes directeurs Principe n o 1 En principe, il convient d
Plus en détailCertif icat Exécutif en Management etaction Publique Certificate of Advanced Studies (CAS) in Public Administration
Certif icat Exécutif en Management etaction Publique Certificate of Advanced Studies (CAS) in Public Administration Formation destinée aux cadres des secteurs public et parapublic - L ESSENTIEL EN BREF
Plus en détailTable des matières. PARTIE 1 Contexte des activités spatiales
Table des matières Biographie des auteurs... 5 PARTIE 1 Contexte des activités spatiales Le droit international de l espace... 13 SECTION 1 Règles relatives au statut de l espace extra-atmosphérique...
Plus en détailSéminaire de préparation à la retraite Lundi 23 mars 2015
Séminaire de préparation à la retraite Lundi 23 mars 2015 1. Assurance complémentaire santé 2. Assurance accidents, capitaux décès et invalidité 3. Assurance perte de salaire 4. Formalités de départ Assurance
Plus en détailPAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE
Note Conceptuelle PAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE La Tunisie renouvelle son engagement pour le développement et la prospérité de l'afrique et des pays arabes, par l'organisation de la 8ème édition de
Plus en détailMémorandum d accord et Matériel appartenant aux contingents
Mémorandum d accord et Matériel appartenant aux contingents Pierre Léveillé, (leveille@un.org) Section des mémorandum d accord et demandes de remboursement/division de la gestion financière et d appui/département
Plus en détailL Europe en marche vers la défense antimissiles?
L Europe en marche vers la défense antimissiles? Bruno Gruselle Chargé de recherche (24 novembre 2005) L existence d une menace balistique fait l objet d un consensus entre les pays européens. Les deux
Plus en détailREFORME DES SERVICES DE SECOURS ET DE LUTTE CONTRE L INCENDIE ANNEXE 12A PROJET DE PLAN NATIONAL D ORGANISATION DES SERVICES DE SECOURS
REFORME DES SERVICES DE SECOURS ET DE LUTTE CONTRE L INCENDIE ANNEXE 12A PROJET DE PLAN NATIONAL D ORGANISATION DES SERVICES DE SECOURS Juillet 2012 Annexe 12A : Besoin en personnel du SNIS 1. Besoin en
Plus en détailT R A N S F R O N TA L I E R S
GLOSSAIRE DES TERMES T R A N S F R O N TA L I E R S ACRONYMES CSXT Intermodal fournit aux expéditeurs de précieux outils pour mieux comprendre et naviguer dans le monde des expéditions transfrontalières.
Plus en détailMinistère de la Défense nationale. Rapport sur les plans et les priorités
Ministère de la Défense nationale Rapport sur les plans et les priorités 2007 2008 Page laissée en blanc intentionnellement Message du Ministre À titre de ministre de la Défense nationale, j'ai l'honneur
Plus en détailPrésentation générale de la formation
Présentation générale de la formation et des modules du Certificate of Advanced Studies (CAS) Formation créée et gérée par les Hautes écoles HEP VD, IDHEAP, IFFP, UNI-GE 1. CONTEXTE La profession de directeur
Plus en détailProposition d'attribution d un contrat pour l assurance des biens du CERN
CONFIDENTIEL CERN/FC/5294 Original: anglais 4 novembre 2008 ORGANISATION EUROPÉENNE POUR RECHERCHE NUCLÉAIRE CERN EUROPEAN ORGANIZATION FOR NUCLEAR RESEARCH POUR APPROBATION PROCÉDURE DE VOTE: Majorité
Plus en détailCommission de la défense nationale
Commission de la défense nationale RÈGLEMENT XII e LÉGISLATURE CHAPITRE I Dénomination, composition et attributions Article 1 er (Dénomination) 1. La Commission de la défense nationale est la commission
Plus en détailForum Suisse pour le Droit de la Communication. Séminaire du 28 novembre 2008
Forum Suisse pour le Droit de la Communication Université de Genève Séminaire du 28 novembre 2008 Devoirs et responsabilités des organes de sociétés en matière de sécurité informatique Wolfgang Straub
Plus en détailChapitre 6. Les ministères de la défense
Chapitre 6 Les ministères de la défense Atlas comparatif de la Défense en Amérique latine / Édition 2008 80 Conduite institutionnelle Pays Les militaires, peuvent-ils être ministres de la Défense? Quantité
Plus en détailsommaire dga maîtrise de l information...6 2 LA CYBERDéFENSE
La cyberdéfense sommaire LE PACTE DéFENSE CYBER...3 La cyberdéfense au ministère de la Défense...4 L organisation opérationnelle de la Cyberdéfense...5 l expertise technique en cyberdéfense dga maîtrise
Plus en détailContrôle de gestion des participations de la ville de Lucerne
Contrôle de gestion des participations de la ville de Lucerne Exposé à la conférence spécialisée AFCP du 11 avril 2008 à Berne Bruno Schmidiger, licencié en économie HSG Collaborateur en économie d entreprise
Plus en détailStratégie de Défense Le canada d abord
Stratégie de Défense Le canada d abord Message du Premier ministre Le présent gouvernement a pris le pouvoir avec l engagement ferme de défendre le Canada. Pour respecter cet engagement, nous devons assurer
Plus en détailBUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la sécurité des technologies de l information (TI) Rapport final
Il y a un astérisque quand des renseignements sensibles ont été enlevés aux termes de la Loi sur l'accès à l'information et de la Loi sur la protection des renseignements personnels. BUREAU DU CONSEIL
Plus en détailUniversité de Genève, Uni Mail. Colloque " L idée d Europe - L identité solidaire européenne en question " 7 mai 2015
1 Université de Genève, Uni Mail Colloque " L idée d Europe - L identité solidaire européenne en question " 7 mai 2015 Discours de Monsieur l Ambassadeur Henri Gétaz Directeur de la Direction des affaires
Plus en détailEvaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo
Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537
Plus en détailLa cyberdéfense : un point de vue suisse
La cyberdéfense : un point de vue suisse UNIDIR - Séminaire Cybersécurité et conflits 19.11.12, Palais des Nations Gérald Vernez Del CdA CYD NON CLASSIFIE Un gros potentiel de dommages Financiers Pertes
Plus en détailRÉÉVALUATION DE LA RÉPONSE À LA RECOMMANDATION EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ AÉRONAUTIQUE A09-02. Formation en gestion des ressources de l équipage
RÉÉVALUATION DE LA RÉPONSE À LA RECOMMANDATION EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ AÉRONAUTIQUE A09-02 Contexte Formation en gestion des ressources de l équipage Le 7 janvier 2007, le Beech A100 King Air (immatriculation
Plus en détailSommaire. Message du Président 3. Les 7 enjeux du développement durable 5. Notre Politique, nos actions. Partager une même éthique des affaires 6
Sommaire Message du Président 3 Les 7 enjeux du développement durable 5 Notre Politique, nos actions Partager une même éthique des affaires 6 Garantir et toujours renforcer la sécurité des collaborateurs,
Plus en détailCODIFICATION CONSOLIDATION. Current to August 30, 2015. À jour au 30 août 2015. Last amended on December 12, 2013
CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Order Transferring to Shared Services Canada the Control and Supervision of Certain Portions of the Federal Public Administration in each Department and Portion of the
Plus en détailNations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011
Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011 Initiatives montrant des bonnes pratiques ainsi que des pratiques efficaces dans l adoption d une approche fondée sur les droits
Plus en détailAllocution de Monsieur le Ministre à l occasion du 1 er meeting sur l information financière
Royaume du Maroc المملكة المغربية Direction du Trésor et des finances Extérieures مديرية الخزينة و المالية الخارجية Allocution de Monsieur le Ministre à l occasion du 1 er meeting sur l information financière
Plus en détailProcédure normalisée de fonctionnement du RCBT Systèmes de sauvegarde des bases de données. 3.1.002 Version f1.0
Numéro de PNF: Remplace: Objet: Procédure normalisée de fonctionnement du RCBT Systèmes de sauvegarde des bases de données 3.1.002 Version f1.0 Notification de découvertes significatives et pertinentes
Plus en détailAnnée charnière pour l économie de la défense et de la sécurité
1 Groupe Romand pour le Matériel de Défense et de Sécurité News Bulletin 2/2015 Année charnière pour l économie de la défense et de la sécurité Mesdames et Messieurs, 2015 restera dans les annales de l
Plus en détailZurich Invest SA. Le placement de vos valeurs patrimoniales est une activité exigeante et délicate. Confiez-la à des professionnels.
Zurich Invest SA Le placement de vos valeurs patrimoniales est une activité exigeante et délicate. Confiez-la à des professionnels. Zurich Invest SA à l écoute des investisseurs. Zurich Invest SA, filiale
Plus en détailPourquoi et comment le monde se divise-t-il après 1945? I/DEUX BLOCS FACE A FACE ( p90/91)
LA GUERRE FROIDE p82 à 89 Fiche d objectifs/plan détaillé Pourquoi et comment le monde se divise-t-il après 1945? I/DEUX BLOCS FACE A FACE ( p90/91) Comment à partir de 1947, Etats-Unis et l URSS s affrontent-ils
Plus en détailAbréviations Préambule Art. 1 Nom, siège Art. 2 Buts Art. 3 Tâches
Statuts Abréviations AD Assemblée des délégués CAS Club Alpin Suisse (association centrale) CC Comité central CG Commission de gestion CP Conférence des présidents CSFA Club Suisse des femmes alpinistes
Plus en détailNormes de formation au pré-déploiement pour la Police des Nations Unies
Normes de formation au pré-déploiement pour la Police des Nations Unies Introduction et raison d être 1. La Police des Nations Unies fut déployée pour la première fois dans les années 1960 au sein d une
Plus en détailSuccès commercial avec la Russie Les 10 Principes de Base
Succès commercial avec la Russie Les 10 Principes de Base Les 10 Principes de Base Introduction Tout d abord, une bonne nouvelle: vendre en Russie n exige en général pas plus de préparation ni d informations
Plus en détailLAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES
LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES Tout à l heure, le Président de la République m a demandé, avec le Premier ministre, de vous apporter un certain nombre d éléments sur le contexte dans
Plus en détailOrdonnance sur l engagement d entreprises de sécurité privées par la Confédération
Ordonnance sur l engagement d entreprises de sécurité privées par la Confédération (Ordonnance sur l engagement d entreprises de sécurité, OESS) du 31 octobre 2007 Le Conseil fédéral suisse, vu l art.
Plus en détailMust Today s Risk Be Tomorrow s Disaster? The Use of Knowledge in Disaster Risk Reduction
Must Today s Risk Be Tomorrow s Disaster? The Use of Knowledge in Disaster Risk Reduction Website: https://dce.yorku.ca/crhn/ Submission information: 11th Annual Canadian Risk and Hazards Network Symposium
Plus en détailTremblements de terre : comment limiter les dégâts?
Tremblements de terre : comment limiter les dégâts? Le 17 août 1999, la population du nord-ouest de la Turquie a soudainement senti la terre trembler violemment. Ce tremblement de terre allait causer la
Plus en détailLes marchés Security La méthode The markets The approach
Security Le Pôle italien de la sécurité Elsag Datamat, une société du Groupe Finmeccanica, représente le centre d excellence national pour la sécurité physique, logique et des réseaux de télécommunication.
Plus en détailPlan de mise en œuvre du concept national maladies rares
Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Assurance maladie et accidents Etat 4 mai 2015 Plan de mise en œuvre du concept national maladies rares
Plus en détailAllianz Suisse. Une stratégie de numérisation claire et une communication clients novatrice ouvrent la voie vers le leadership en termes de service
Allianz Suisse Une stratégie de numérisation claire et une communication clients novatrice ouvrent la voie vers le leadership en termes de service Qualité de service élevée et orientation conséquente vers
Plus en détailLe soutien financier des projets sur les budgets prévention des conflits et diplomatie préventive
Service Consolidation de la Paix (S3.1) Le soutien financier des projets sur les budgets prévention des conflits et diplomatie préventive Introduction Pour exécuter et renforcer la politique étrangère,
Plus en détailPré-requis Diplôme Foundation Certificate in IT Service Management.
Ce cours apporte les connaissances nécessaires et les principes de gestion permettant la formulation d une Stratégie de Services IT ainsi que les Capacités organisationnelles à prévoir dans le cadre d
Plus en détailBureau du commissaire du Centre de la sécurité des télécommunications
Bureau du commissaire du Centre de la sécurité des télécommunications 2009-2010 Rapport sur les plans et les priorités L honorable Peter Gordon MacKay, C.P., député Ministre de la Défense nationale TABLE
Plus en détailL application du concept de vulnérabilité aux infrastructures critiques : quelles implications pour la gestion territoriale des risques?
L APPLICATION DU CONCEPT DE VULNÉRABILITÉ AUX INFRASTRUCTURES CRITIQUES 35 L application du concept de vulnérabilité aux infrastructures critiques : quelles implications pour la gestion territoriale des
Plus en détailwww.pwc.ch/careers Progresser avec PwC Possibilités de formation et de perfectionnement dans l Audit
www.pwc.ch/careers Progresser avec PwC Possibilités de formation et de perfectionnement dans l Audit L union fait la force Parce qu ils sont essentiels pour la qualité de votre travail, nous accordons
Plus en détailLes paiements de détail : enjeux stratégiques
Les paiements de détail : enjeux stratégiques Sean O Connor L e système de paiement des transactions de détail joue un rôle crucial dans l activité commerciale au Canada. Grosso modo, ce système regroupe
Plus en détailLES EMBARGOS SUR LES ARMES : MISE EN ŒUVRE, DÉFIS ET PERSPECTIVES
C O M P T E - R E N D U RAPPORT DE SYNTHÈSE DU SÉMINAIRE LES EMBARGOS SUR LES ARMES : MISE EN ŒUVRE, DÉFIS ET PERSPECTIVES JANVIER 2014 COMPTE-RENDU DU SÉMINAIRE ORGANISÉ PAR L IRIS AVEC LE SOUTIEN DE
Plus en détailAssemblée générale Saint-Cyrienne
Assemblée générale Saint-Cyrienne La grande école du commandement forme des chefs capables de décider en situation difficile, des chefs en vue du combat, quelle que soit sa nature Projet éducatif ciblé
Plus en détail