Etude et implémentation d un système de travail collaboratif entre le logiciel D-Sight et une plateforme web.

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1 UNIVERSITE LIBRE DE BRUXELLES Faculté des Sciences Appliquées Année académique Etude et implémentation d un système de travail collaboratif entre le logiciel D-Sight et une plateforme web. Directeur de Mémoire : Yves De Smet Mémoire de fin d études présenté par Alexandre Mathieu en vue de l obtention du diplôme d Ingénieur Civil Informaticien

2 Remerciements Ce travail n aurait pas été possible sans la présence de plusieurs personnes que je tiens spécialement à remercier : Le Professeur Yves De Smet, promoteur de ce mémoire, dont l exigence a été un moteur dans le cadre de mes projet ces deux dernières années et dont l accessibilité et la sympathie ont contribué à rendre cette dernière année universitaire particulièrement agréable. Quantin Hayez, co-gérant de Decision Sights, dont l enthousiasme et la bonne humeur constante ont égayé les réunions ayant parsemé l année. Je lui souhaite le meilleur pour le développement de Decision Sights et j espère sincèrement que ses projets rencontreront le succès qu ils méritent. Mes parents, toujours présents depuis 25 ans, et qui ont vu leur temps de sommeil réduit par les incessantes corrections orthographiques et les relectures successives des drafts de ce rapport. Pauline, mon amour, pour n avoir pas (trop) râlé face à mes horaires de travail parfois étranges. Elle a également contribué activement à certaines tournures de phrases présentes dans ce texte.

3 Résumé Un système collaboratif permet à plusieurs personnes de travailler simultanément sur un projet commun en mettant en oeuvre des moyens facilitant l échange d informations entre les intervenants. Ce travail va implémenter un tel système dans un logiciel de façon à permettre à ses utilisateurs de synchroniser, entre eux, automatiquement les données qu ils modifient. De plus, un service web connecté au système collaboratif permettra la gestion et la sauvegarde de ces projets. Ce rapport présente les raisons économiques qui ont encouragé la réalisation de ce projet ainsi que les questions stratégiques qui sont apparues lors de la mise au point du cahier des charges. L implémentation du système est présentée en trois parties distinctes. La première partie traite des modifications apportées au logiciel pour lui permettre d envoyer et de recevoir des informations via un réseau. La seconde partie présente l organisation de l entité chargée de superviser les échanges de messages. Enfin, la troisième partie présente les défis liés à la communication entre cette entité et le service web. Le rapport est clôturé par une analyse rétrospective du travail et par une présentation des possibilité de déploiement et du système implémenté. Abstract A collaborative system allows multiple people to simultaneously work on a common project by facilitating the exchange of information between stakeholders. This work will implement such a system in a software, allowing users to synchronize their data. In addition, a web service connected to the collaborative system will enable the management and persistence of these projects. This report describes the economic reasons that have encouraged this project and the different questions that arose during the development of the specification. The system implementation is presented in three distinct parts. The first part deals with the modification of the software to enable it to send and receive information through a network. The second part describes the organization of the entity responsible for overseeing the exchange of messages. The third part presents the challenges of communication between this entity and the web service. The report is ended by a retrospective analysis of the project and describes the possibility of deployment of the implemented system.

4 Table des matières Table des matières 4 I Présentation 6 1 Introduction Introduction Présentation des intervenants Le projet Intérêt du projet II Implémentation 16 2 Vue globale Architecture générale de D-Sight Architecture générale de la plateforme Le protocole HTTP L architecture REST Organisation du travail Communication entre D-Sight et le serveur collaboratif Informations à échanger Modifications apportées à D-Sight Protocole de communication Organisation du serveur Mécanismes de sécurité Communication entre le serveur collaboratif et la plateforme Modifications du serveur collaboratif Modification apportées à la plateforme Problématique d authentification Problématique de sécurité Le chargement Procédure générale connexion initale et authentification Sélection et chargement du projet

5 III Conclusions 80 6 Analyses personnelles Analyse rétrospective Perspectives de déploiement Conclusions Bibliographie 93

6 Première partie Présentation

7 CHAPITRE 1 Introduction

8 1.1. Introduction Introduction Durant des années, l explosion des capacités de calcul des ordinateurs a permis l utilisation de l informatique dans un nombre croissant de domaines. Cette évolution est maintenant accompagnée par une amélioration sensible de la qualité et de la vitesse des connexions entre ces machines, permettant d adapter ces technologies à de nouveaux usages. Au cours de ce mémoire, ces perspectives seront mises en application sur un logiciel commercial en lui ajoutant une fonctionnalité permettant à plusieurs utilisateurs de travailler simultanément, et de façon interactive, sur un projet commun. Ce travail est couplé avec un stage, réalisé dans la même entreprise durant l été 2010 et intégré dans le cursus de la faculté. Au cours de ce stage, l étudiant a pris l initiative, après accord du corps académique et de Decision Sights, d orienter son travail de fin d études vers ce sujet. Les problématiques techniques abordées sont typiquement rencontrées lorsqu on tente de gommer la frontière existant entre les applications destkop et les services web. Or, avec le développement rapide de l informatique dans les nuages, cette distinction tend à disparaitre sous l impulsion de l industrie qui souhaite profiter de cette nouvelle souplesse. Ce mémoire s inscrit donc naturellement dans ce mouvement et permet à Decision Sights de proposer rapidement une solution aux nouveaux besoins de ses clients. Ce rapport présente, en trois parties distinctes, l ensemble du projet. Il rassemble les réflexions nées durant les phases d analyse et les défis techniques relevés durant l implémentation. Il permet également au mémorant d exprimer son point de vue sur certaines technologies et de donner son avis sur certaines décisions d ordre plus stratégique. Cet aspect est fondamental dans la mesure où la définition précise du cahier des charges a été un élément clef sur lequel a pu être conçu le plan d implémentation. La première partie présentera les deux éléments centraux de ce projet : le logiciel propriétaire (nommé D-Sight) et la plateforme. Cette présentation sera suivie d un compterendu des discussions ayant eu lieu entre le mémorant et Decision Sights pour aboutir à une définition plus claire des objectifs du projet. Ces discussions montrent que le travail n est pas resté cantonné à un cadre purement technique, mais que des questions d ordre stratégique ont été soulevées dès l élaboration du sujet, sollicitant des compétences d ingénieur pour y répondre efficacement. La seconde partie concernera l implémentation du cahier des charges défini durant la première section. L ensemble des défis techniques relevés et des problématiques rencontrées sera présenté de la façon la plus générique possible afin d isoler et d exposer une difficulté avant d explorer ses solutions. La complexité principale concerne le contournement des limitations du protocole HTTP dans le cadre de multiples connexions concurrentes liées par une session de travail commune. Enfin, la troisième partie offrira un regard critique sur le travail en analysant rétrospectivement les choix effectués. Elle permettra également de présenter les moyens de distribution du projet en détaillant les contraintes supplémentaires inhérentes à la phase de mise en production. Ceci démontre une volonté de produire un système utilisable, répondant à un besoin concret, aspect fondamental de la faculté des sciences appliquées.

9 1.2. Présentation des intervenants Présentation des intervenants D-Sight D-Sight est le nom du logiciel sur lequel va se dérouler ce mémoire. C est lui qui va recevoir les fonctionnalités de travail collaboratif qui seront réalisées dans le cadre de ce travail. Il s agit d un logiciel d aide multicritère à la décision basé sur la méthodologie PRO- METHEE - GAIA[4] développée au sein du Service des Mathématiques de la Gestion (SMG) de l ULB depuis D un point de vue pratique, le logiciel est commercialisé sous la forme d un exécutable qui permet d installer le logiciel sur la machine des clients et de l utiliser. Le développement de D-Sight a commencé en 2007 dans le cadre d une bourse First Spin-off offerte par la région Wallonne. Après trois ans de recherche, la société Decision Sights a été fondée afin de commercialiser le logiciel. En tant que logiciel d aide à la décision multicritère, D-Sight a pour objectif d aider un décideur qui fait face à un problème complexe, dont la solution ne semble pas évidente. Un cas d utilisation typique de D-Sight se déroule en trois phases 1 : L utilisateur entre les alternatives qu il doit départager ainsi que les critères sur lesquels elles sont comparées. Il évalue ensuite chaque alternative en fonction de chaque critère. Il va modifier les paramètres de chaque critère (par exemple son poids qui mesure l importance relative de ce critère). De nombreux outils visuels et interactifs permettent de modifier aisément ces paramètres et surtout d évaluer la conséquence des changements effectués. Il est important de noter que, même si D-Sight peut établir un ranking des alternatives en fonction des paramètres rentrés (c est-à-dire un classement de la meilleure alternative jusqu à la moins bonne ), D-Sight a surtout pour vocation d aider le décideur en lui offrant un maximum d informations. Un exemple concret d utilisation permet au lecteur d appréhender l utilisation de D- Sight. Une entreprise YYY oeuvrant dans le transport de marchandises souhaite acheter une flotte de camions pour développer son activité. Elle passe donc un appel d offre auquel cinq sociétés répondent. La réponse contient les caractéristiques techniques du véhicule proposé, le prix unitaire et le délai de livraison. Le décideur de la société YYY va utiliser D-Sight pour faire son choix : il va lister les cinq modèles proposé ainsi que les critères qu il juge importants. Par exemple, le prix, le délai de livraison, la consommation, le volume transportable et le tonnage maximum. Il va ensuite évaluer chacun des camions selon les critères énoncés, ce qui consiste dans ce cas-ci à recopier la valeur présente dans la réponse à l appel d offre. Enfin, le décideur va modifier les caractéristiques de chaque critère : il peut changer l importance du critère ou encore indiquer qu un volume transportable trop important n est pas souhaitable dans la mesure ou le prix d entretien 1. Ces trois étapes sont données à titre indicatif : en pratique, le logiciel n impose pas de suivre l ordre donné en exemple

10 1.2. Présentation des intervenants 10 du camion augmente. A chaque modification, le décideur peut voir le ranking des véhicules se mettre à jour. Figure 1.1: Capture d écran de D-Sight La plateforme La plateforme est le nom donné à un projet interne de Decision Sights. Il s agit d une version web de D-Sight : l objectif est de permettre aux clients de la plateforme de profiter d un système d aide à la décision sous forme d un site internet. L accès à la plateforme n est pas actuellement commercialisé car elle n existe que sous la forme de Proof of Concept 2 (POC). Pour Decision Sights, comme pour ses clients, le format site internet peut être plus avantageux pour différentes raisons qui sont propres à l informatique dans les nuages (on parle, en anglais, de Cloud Computing). Ce Cloud Computing consiste à déplacer toute la partie logicielle depuis le client vers le prestataire qui loue alors l accès à ses services. On passe ainsi d un business model basé sur la vente de licence, vers un business model basé sur la location de services (également connu sous le nom de SaaS : Software as a Service). Il peut être intéressant de lister les avantages du Cloud Computing, tant pour le client que pour le prestataire de service (Decision Sights dans le cas de la plateforme). 2. Un Proof of Concept est un logiciel informatique destiné à prouver la faisabilité d un concept. Il n a pas pour objectif d être utilisable au quotidien et le temps de développement est donc largement raccourci.

11 1.2. Présentation des intervenants 11 Pour les clients L accès au site est facturé mois par mois. En entreprise, il est largement plus facile de justifier une petite dépense régulière nécessaire au bon fonctionnement d un service que l achat d une licence relativement onéreuse. Le site internet est, à priori, accessible partout : il n est pas nécessaire d installer un logiciel sur une ou plusieurs machines, opération qui peut nécessiter la validation du service informatique de l entreprise. Les mises à jour sont disponibles automatiquement et sans suppléments. Tant que l utilisateur paye l accès au site, il profite des dernières nouveautés sans devoir installer une nouvelle version. La gestion des fichiers et des sauvegardes est confiée au prestataire de services. Tous ces avantages permettent au client de ne pas devoir se soucier de toute la partie technique du logiciel qui est située dans le nuage que représente internet. Pour le prestataire L accès au site est loué et non pas vendu. Les rentrées d argent sont donc plus régulières et il est donc plus aisé d effectuer des prévisions et des plans. Les avantages de l informatique dans les nuages sont des éléments marketing forts vis-à-vis des clients. Le coût d entrée est largement plus faible : un client peut profiter d une version très complète d un produit durant une durée très faible si le besoin s en fait sentir. La somme de tous ces petits clients qui n utilisent le service que durant un mois ou deux et qui n auraient pas acheté une licence du logiciel pour le peu d utilisation qu ils en auraient eu peut représenter une rentée d argent supplémentaire significative. On peut voir cela comme une application supplémentaire de l effet longue traine[3]. Outre ses limitations techniques (bande passante, quantité de calculs,...), le Cloud Computing présente également des désavantages, principalement pour le client qui perd la maîtrise de ses données et le contrôle sur l architecture technique. Dans certaines industries (par exemple, le domaine militaire ou la recherche de pointe), il peut s agir d un réel frein à l utilisation de l informatique dans les nuages. Pour cela, certaines grosses entreprises mettent sur pied un cloud privé : les logiciels utilisés par leurs employés sont placés dans un cloud entièrement contrôlé par le service informatique de la compagnie. Enfin, avoir un accès à internet (de préférence de haut débit) est une condition nécessaire pour pouvoir utiliser un tel service. Ces accès internet ne sont pas toujours disponibles partout, notamment en situation de mobilité. La démocratisation des accès haut débit via le réseau GSM (technologie 3G) est un des éléments à l origine de la montée en puissance du Cloud Computing et les problèmes d accessibilité sont de moins en moins souvent mis en avant.

12 1.3. Le projet Le projet L objectif du projet Afin de permettre au lecteur de suivre ce rapport, il semble nécessaire de définir clairement les objectifs du projet ainsi que les limites de celui-ci. Ce chapitre montrera que ce cadre est le fruit d une réflexion prenant en compte les intérêts de Decision Sights et du mémorant. Ce mémoire traite de la mise en place d un système de travail collaboratif entre D- Sight et la plateforme. La première étape majeure dans la définition du cadre du travail semble être de comprendre ce que l on entend par travail collaboratif. A ce titre, une définition du mot collaborer semble être un bon point de départ : Collaborer, c est travailler de concert avec quelqu un d autre, l aider dans ses fonctions ; participer avec un ou plusieurs autres à une oeuvre commune. Lexis Cette définition introduit trois concepts fondamentaux : 1. La notion de travail simultané. 2. Le fait qu il y ait plusieurs intervenants. 3. L importance d une oeuvre commune. Dans le cadre de D-Sight, la mise en place d un système de travail collaboratif doit donc permettre à plusieurs utilisateurs de travailler ensemble sur le même projet. Pour cela, l ensemble des modifications qui seront effectuées par chaque utilisateur sur le projet en cours doivent être envoyées à tous les participants. De plus, pour des raisons d ergonomie, on permettra à des participants supplémentaires de se joindre au travail collaboratif à n importe quel moment. Dans ce cadre de travail collaboratif, D-Sight sera l outil principal employé par les utilisateurs pour modifier leurs projets. La plateforme quant à elle servira à définir les différents projets sur lesquels prendront part les utilisateurs de D-Sight ainsi que les droits qui leur sont attribués (cette notion de permission n existe pas dans D-Sight). Les utilisateurs de D-Sight se connecteront au système collaboratif en utilisant un login et un mot de passe correspondant à leur identifiant sur la plateforme et pourront charger dans le logiciel les différents projets auxquels ils ont accès le site internet. Toute modification apportée à l un de ces projets sera répercutée sur la plateforme et sera automatiquement transmise aux autres utilisateurs travaillant sur le même projet. Cette séparation claire du rôle de la plateforme (création et management des projets) et de D-Sight (travail collaboratif sur les projets) fait suite à un choix effectué au cours du mémoire. Initialement, il était prévu que des utilisateurs de D-Sight puissent travailler sur le même projet que des utilisateurs de la plateforme, de façon collaborative.

13 1.3. Le projet 13 Au cours du développement, il est apparu que cette fonctionnalité ne serait pas implémentée, pour les raisons suivantes : Si les fonctionnalités de gestion de projet de la plateforme étaient déjà implémentées, la partie decision restait en chantier. Dans l optique d une commercialisation rapide de la fonctionnalité de travail collaboratif, le fait de limiter le rôle de la plateforme est donc un atout. Decision Sights souhaite continuer à vendre D-Sight en tant que produit principal durant quelques années encore. Il serait donc maladroit de vendre aux entreprises la fonctionnalité de travail collaboratif en mettant en avant que cela leur permettra d utiliser une autre version de D-Sight (cela donne l impression de payer deux fois pour le même service). A ce titre, séparer clairement les possibilités et les rôles de chaque intervenant est donc un atout. D une point de vue ergonomique, une page internet est perçue par les utilisateurs comme un élément statique, contrairement à l interface d un client lourd (un logiciel desktop). S il est techniquement possible de rendre une page internet dynamique (c est à dire, la faire bouger sans action de l utilisateur), cela a tendance à perturber les utilisateurs. Il faut donc être particulièrement attentif à la façon d organiser les pages et offrir des retours visuels plus importants que dans le cas d une application desktop classique. Dans la suite de ce rapport, la plateforme sera donc essentiellement vue comme un outil de management et de stockage des projets plutôt que comme une version web de D-Sight. Notons cependant que rien n empêche un utilisateur de travailler sur un projet via la plateforme en même temps qu un utilisateur qui est connecté sur le même projet via D-Sight. Ils ne profiteront simplement pas de la fonctionnalité de travail collaboratif et donc leurs écrans respectifs ne se modifieront pas automatiquement en fonction des modifications apportées par l autre intervenant.

14 1.4. Intérêt du projet Intérêt du projet Le point de vue académique D un point de vue académique, ce mémoire est une opportunité de développer un système à vocation commerciale basé sur des éléments existants. La phase d analyse du projet nécessitera donc de prendre en compte les contraintes techniques qu ils imposent : Les langages de programmation utilisés. L organisation des structures de données. Les limitations des fonctionnalités implémentées. En plus de ces contraintes techniques, le projet sera cadré par les intérêts de Decision Sights et l ensemble des fonctionnalités implémentées correspond à une plus-value commercialisable pour D-Sight. De plus, le fait que le résultat du projet puisse être utilisé par des entreprises en cas de mise en production, oblige à prendre en compte certains aspects supplémentaires, comme par exemple, la sécurité. Enfin, du point de vue des technologies utilisées, ce projet sera centré autour des communications réseau, et des services web. Le protocole HTTP, fondement même du web, sera présenté et les limitations qu il impose seront analysées. Ces technologies sont actuellement en pleine croissance, comme en témoigne le buzz qui entoure les technologies dites in the cloud. Les compétences acquises durant ce mémoire sont donc typiques de celles d un ingénieur. Sa réussite s appuie à la fois sur une étude réfléchie de la solution à appliquer en fonction des contraintes techniques et des besoins du commanditaire et fait appel à une bonne maîtrise et une bonne compréhension des technologies sous-jacentes Le point de vue de Decision Sights Pour Decision Sights, ce mémoire est une opportunité d apporter une fonctionnalité supplémentaire à D-Sight. De par sa nature, cette fonctionnalité vise principalement les entreprises possédant des équipes de plusieurs personnes dédiées aux problématiques de la décision. Ces entreprises sont une cible privilégiée pour Decision Sights puisqu elles achètent plusieurs licences du logiciel. Le travail collaboratif offre donc deux avantages : 1. Il s agit d une fonctionnalité optionnelle payante pour ces entreprises. Cela représente donc une source de revenus supplémentaire pour Decision Sights. 2. Ce module est utile à ces entreprises dans la mesure où elle permet d intégrer D- Sight beaucoup plus facilement dans le workflow d une équipe. Cela constitue donc un argument marketing supplémentaire. Comme elles le seront présentées dans la suite de ce rapport, certaines modifications seront apportées à D-Sight. Il sera démontré que ces modifications ont des apports positifs pour D-Sight, même en dehors du cadre du projet de travail collaboratif : elles apportent des fonctionnalités supplémentaires dont peuvent profiter tous les utilisateurs de D-Sight. Enfin, ce projet permet à Decision Sights de faire découvrir la plateforme à ses clients avant de la déployer en tant qu alternative à D-Sight. Cela permet d obtenir des premiers

15 1.4. Intérêt du projet 15 retours d utilisateurs vis-à-vis des fonctionnalités de gestion de projet. Il sera ainsi plus aisé de déterminer l organisation des pages et la structure générale du site, en fonction des premiers commentaires.

16 Deuxième partie Implémentation

17 CHAPITRE 2 Vue globale Avant de passer aux détails d implémentation, ce chapitre présentera une vue légèrement plus détaillée et plus technique des différents intervenants du projet. A partir de ces informations, le plan global d implémentation du travail sera établi. Ce plan restera très général, et les chapitres suivants permettront de comprendre comment ce schéma général a pu être mis en oeuvre. Ce chapitre présentera donc successivement : L architecture générale de D-Sight. L architecture générale de la plateforme. Les spécificités du protocole HTTP et de l architecture REST. La dernière section présentera le plan global du travail et les raisons techniques ou économiques qui justifient les choix effectués.

18 2.1. Architecture générale de D-Sight Architecture générale de D-Sight Comme indiqué précédemment, D-Sight est une application desktop, c est-à-dire installable sur un ordinateur et utilisable sans connexion internet. Il a été programmé en utilisant le langage de programmation Java. L organisation du code source de D-Sight suit une optique de séparation entre : Le code constituant la vue Le code constituant le modèle Le code correspondant aux algorithmes La vue La vue est le nom donné à l ensemble du code responsable de l affichage. L interface de D-Sight est architecturée autour d une fenêtre principale servant de conteneur à un ensemble de panels aux rôles précis. On retrouvera ainsi des panels dédiés à l affichage des résultats obtenus par le logicel, et d autres permettant à l utilisateur de modifier certains paramètres. Figure 2.1: Capture d écran de deux panels de D-Sight La gestion (positionnement, redimensionnement, fermeture) de ces panels est dédiée à la libraire InfoNode 1. La majorité du code de cette couche est constitué par l ensemble des panels mis à la disposition de l utilisateur. Dans le cadre de ce projet, l interface de D-Sight ne sera pratiquement pas modifiée, il semble donc peu utile de décrire ces éléments plus en profondeur Le modèle Le modèle est le nom donné à l ensemble des classes permettant à D-Sight de stocker en mémoire l état du problème posé par l utilisateur. On peut voir le modèle comme la base de données du logiciel, ou le conteneur d informations. Chaque panel de D-Sight est lié au modèle (ou à une partie de celui-ci) : pour afficher une valeur, le panel interroge le modèle qui lui renvoie la valeur qu il stocke. Plusieurs panels peuvent être liés à la même valeur et, lorsque celle-ci est modifiée, l ensemble des 1. http ://

19 2.1. Architecture générale de D-Sight 19 panels qui l affichaient (et seulement ceux-là) sont mis à jour. Le mécanisme permettant cela sera exposé plus loin dans ce rapport. Séparer ainsi clairement le code responsable de l affichage du code responsable de la conservation en mémoire des données permet de faciliter la création d applications maintenables en forçant le développeur à créer des classes aux rôles précis et aux dépendances limitées. A ce titre, une règle de bonne pratique stipule que le modèle ne doit pas dépendre de la vue pour fonctionner. En conséquence, introduire de nouveaux panels (et donc potentiellement des bugs au niveau de la vue), n a normalement aucune influence sur l intégrité des données stockées en mémoire. Si la vue est architecturée autour de la fenêtre principale, le modèle s organise autour de la classe DataManager. Comme indiqué précédemment, on peut résumer (grossièrement) D-Sight à un logiciel permettant à des utilisateurs de donner des évaluations à différentes alternatives (nommées actions) en fonction de différents critères dont ils peuvent modifier les propriétés (appelées préférences). A partir de ces informations, la couche algorithme de D-Sight va générer des résultats (principalement sous la forme de scores). La couche de modèle doit donc refléter la présence de ces éléments et les liens qui les unissent. Le schéma UML suivant décrit l organisation grossière du modèle ainsi que les attributs principaux de chaque élément : Figure 2.2: Schéma UML simplifié du modèle de D-Sight On peut voir sur ce schéma que le DataManager est avant tout, une liste de User, Action et Criterion. Il possède également un lien direct vers le ResultManager qui est responsable de la gestion des résultats et qui ne sera pas détaillé ici. Chaque objet Action possède un ensemble d Eval : une par User et par Criterion. Chaque PreferenceStructure stocke quant à elle l ensemble des préférences d un User pour un Criterion donné. La partie modèle est responsable de maintenir sa propre intégrité. Par exemple, lorsqu une alternative est ajoutée, c est le modèle qui va prendre en charge la création des objets Eval pour chaque critère et chaque utilisateur. Le DataManager expose ainsi une

20 2.1. Architecture générale de D-Sight 20 interface composée d un ensemble de méthodes aux noms évocateurs et qui masquent la complexité du maintien d un modèle cohérent au reste de l application. La couche modèle possède également un ensemble de classes (non représentées sur le schéma ci-dessus) permettant la persistance, c est-à-dire la sauvegarde du modèle dans un fichier et la restauration du modèle à partir de ce même fichier. C est ce qui permet à D-Sight de proposer à l utilisateur d enregistrer son travail pour le réouvrir plus tard ou le transmettre à un autre utilisateur La partie algorithme Tout comme la vue, la partie algorithmique (également appelée couche applicative) repose sur le modèle. Elle a pour rôle de prendre les données entrées par l utilisateur (évaluations, préférences,...) afin de produire les résultats qui sont ensuite injectés dans le ResultManager. Figure 2.3: Utilisation de la couche algorithme de D-Sight. Comme indiqué précédemment, cette couche applicative est une implémentation en java de la méthodologie PROMETHEE - GAIA. Dans le cadre de ce projet, il n est pas utile de détailler cette couche et son organisation dans la mesure où ce sont les données brutes qui doivent être échangées plutôt que les moyens de générer les résultats La gestion des plugins En plus de cette organisation, D-Sight possède un module permettant la gestion de plugins. Ces plugins se présentent sous la forme de fichiers.jar qu il est possible de charger depuis un menu spécifique de D-Sight. En chargeant ces plugins, on peut ainsi ajouter des fonctionnalités à D-Sight ou modifier son comportement. Certains de ces plugins sont vendus par Decision Sights, tandis que d autres sont mis à disposition gratuitement. D un point de vue plus technique, ces plugins sont des bundles OSGI 2. Le module de D-Sight dédié au support des plugins met à disposition de ces derniers un service leur permettant d accéder, via un pointeur, aux deux couches principales de D-Sight : 1. Un pointeur permet d accéder au DataManager, élément central de la couche modèle 2. OSGI : http ://

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