UNE VICTOIRE ÉCLAIR. eric van den bergh

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1 1940 UNE VICTOIRE ÉCLAIR eric van den bergh

2 eric van den bergh 2

3 A Martine 3

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5 Préambule J ai effectué mes recherches à la façon d un juge d instruction, poste que j ai occupé jadis. Ainsi me suis-je attaché essentiellement aux documents authentiques contemporains ou antérieurs à la campagne. Les mémoires des protagonistes ont été traités avec la plus grande prudence. Ce ne sont que des témoignages sur des événements d un passé parfois lointain, et les intéressés étant morts, on ne peut satisfaire à l exigence de les entendre. En passant leurs affirmations au peigne fin, j ai constaté un certain nombre d inexactitudes, voire de mensonges, facilement démontrables. Un juge qui accepte stupidement comme preuves de tels témoignages commet une faute professionnelle. Cela vaut également pour un historien. Il existe plusieurs éditions de «Vom Kriege» de Carl von Clausewitz, aussi bien originales que traduites. J ai donc référencé mes citations en mentionnant successivement la partie, le livre et le chapitre, par exemple pour : partie 1., livre 2., chapitre 3. J ai traduit moi-même les textes allemands qui se trouvent tous au Service historique des Armées, dont l éloge n est plus à faire, et qui n ont jamais été traduits en français malgré leur grand intérêt comme notamment «Achtung Panzer!» de Guderian, les documents de Jacobsen et les journaux de Halder et de Jodl. Parfois, j ai ajouté le texte original entre parenthèses Pour «L art de la guerre» de Sun Tzu, j ai utilisé la traduction du général et sinologue Samuel B. Griffith, que je n ai pu contrôler étant donné mon ignorance totale du chinois classique. Comme plusieurs éditions de ce livre sont en circulation, j ai référencé les citations que j ai traduites en français par les numéros des chapitres et des paragraphes. Le présent ouvrage contenant plusieurs sujets en relation les uns avec les autres, il n est pas nécessaire de le lire de bout en bout. On peut l utiliser de façon aléatoire et le lire en discontinu en choisissant directement une partie, un livre ou un chapitre en fonction du sujet recherché. Sans le Service historique des Armées et sans mes deux correctrices, Martine Baruch ( ) et Marie-José Fabre, cette étude n aurait jamais vu le jour. Mai

6 Introduction Encore un ouvrage sur la campagne de 40, et encore une analyse a posteriori? Non. Cette fois il s agira d une analyse a priori. Ce ne sera pas la mienne, car à 11 ans je n avais pas tout prévu. Mais j ai voulu éviter de tomber dans le piège contre lequel Clausewitz met en garde : voir mon jugement influencé par le résultat de cette campagne. «Triompher au combat et être universellement applaudi comme expert n est pas le comble de la compétence» constatait déjà Sun Tzu (IV, 9). L art de la guerre est empirique. Pour comprendre ce qui se passe aujourd hui, il faut remonter dans le temps, dans l histoire militaire. Les armes nouvelles n ont pas changé les doctrines de jadis. La présente étude va donc s efforcer de faire une synthèse des critiques a priori de la campagne de 1940, en relation avec la 2 e guerre mondiale - dont elle n était «qu un moment furtif» (Delmas, L Europe en guerre, p.6) -, qu on peut trouver dans l œuvre de trois généraux. Le premier est le général chinois Sun Tzu, auteur du livre L art de la guerre, écrit il y a vingt-quatre siècles, première œuvre sur ce sujet autant qu on sache. Le second est le général allemand Carl von Clausewitz, qui a écrit Vom Kriege (De la guerre) édité à Berlin en 1832, qui a approfondi l œuvre de Sun Tzu. Le troisième est le général français Louis Chauvineau, dont le livre Une invasion estelle encore possible?, écrit dans la première moitié des annés 30, a été publié à Paris en mars En bonne logique, la réponse était «Oui» (p.212), parce que dans le cas contraire il ne se serait pas posé la question. Cet ouvrage contient une critique en règle de l organisation de l armée française, «aussi mal adaptée à l attaque d une grande armée qu à la protection de notre territoire» (p.205), ainsi que de toute la politique militaire et étrangère de la France après la Grande Guerre, jusqu à 1936, date de la fin de la rédaction de son manuscrit. Aucun de ses conseils n ayant été pris en compte par le Haut Commandement français, ce livre, écrit avec l intention de montrer les moyens de sortir les forces armées de leur marasme, est devenu une analyse des causes de la défaite a priori. Les analyses de Sun Tzu et de Clausewitz sont identiques. Et les trois généraux s accordent à vouer aux gémonies notamment le plan D adopté par les Alliés, sur les mêmes motifs, et ce avant son existence même. Le plan de campagne allemand, en revanche, existait depuis très longtemps. Certes, Chauvineau a correctement prévu ses principes. Certes, on le trouve dans ses moindres détails chez Clausewitz, parfois même à la lettre. Mais il est des doctrines militaires éternelles! Ce plan a été publié pour la première fois il y a vingt-quatre siècles par un général chinois. Si les généraux Sun Tzu et Clausewitz n ont pas besoin d être présentés, on verra au chapitre 4 qui était vraiment le général Chauvineau. Mais nous étudierons d abord, livre I, ses idées sur un éventuel conflit à venir avec l Allemagne. Il s attend à une guerre de masses. Celles-ci doivent donc être amplement pourvues d un armement moderne. Par conséquent, cette guerre sera une guerre totale. 6

7 Autre conséquence : ces masses vont occuper le théâtre des opérations dans sa totalité, comme durant la Grande Guerre, d où la naissance de fronts incontournables qu il appelle erronément fronts continus. Il prévoit ensuite que la vitesse l essence même de la guerre sera plus que jamais le mot-clé. Ce sera effectivement le cas pendant la campagne de Pologne en 1939, ce qui explique l appellation de Blitzkrieg que le grand public a adoptée à ce moment-là. Dans le chapitre ainsi intitulé, la légende selon laquelle ce fut une toute nouvelle stratégie est démentie. Les chapitres 5 à 9 exposent les raisons de la réponse affirmative de Chauvineau, ses propositions pour la réorganisation de l armée, ainsi que sa diplomatie active. Le chapitre 8, «Les ignorants», décrit comment naît une légende. Une trentaine d auteurs y ont collaboré à leur insu. La deuxième partie évoque comment l Europe est allée vers la guerre et comment elle aurait pu l éviter. La troisième partie se consacre à la genèse des plans de guerre. Le plan de guerre allié (Livre V) contient sa critique a priori par les trois généraux, ainsi que les bonnes raisons de la neutralité des Belges. Le plan de guerre allemand (Livre VI) contient le plan définitif et les trois directives qui l ont précédé. Dans cette partie est démentie la légende selon laquelle ce plan fut conçu par Manstein, un officier général subalterne, et ses mensonges ainsi que ceux de Liddell Hart y sont exposés. On y trouve les plans de Clausewitz et de Sun Tzu. La quatrième partie renferme un livre entier sur l avion. Il déborde le sujet de mon étude de toutes parts. La raison en est qu à certains égards, cette arme se distingue de toutes les armes au sol et sur mer. Son développement fulgurant depuis 1918 n a pas engendré une nouvelle stratégie mais a donné une autre dimension à la guerre : la population civile y est dorénavant impliquée dans sa totalité. J ai donc voulu présenter au lecteur un bref aperçu de son histoire et de son rôle en général. Après une brève évocation du cheval, de la fortification et du chemin de fer, suit la présentation de toutes les armes au sol, combinées dans un seul livre. La raison en est qu elles ont toujours été employées ensemble, appuyées par l aviation si besoin était, tant par les Allemands que par les Soviétiques, et ce suivant la doctrine de Clausewitz : concentration de toutes les forces. Puis on verra les absurdités écrites par de Gaulle sur la campagne, son mépris injustifié de l infanterie et le mauvais accueil de son livre, Vers l armée de métier, en Allemagne. Suivent les théories de Chauvineau et Guderian sur l emploi des armes combinées, ainsi que les règlements soviétiques. Char et fantassins s entraident. Le rôle indispensable du génie et de la logistique est également évoqué. Le dernier chapitre prépare le lecteur à l action proprement dite. La cinquième partie contient la campagne elle-même. L infanterie allemande a dû livrer des combats acharnés, parfois jusqu à l épuisement. Le lecteur suivra le déroulement de la campagne au jour le jour, illustrée par les cartes dressées chaque soir par le quartier général de l armée (L Atlas de Hitler). Celles-ci montrent les mouvements de toutes les divisions. On verra comment a été dirigée l offensive, et comment on a changé le livret au cours de la scène première de l acte premier de ce drame, en raison d une faute grave, lourde de conséquences à la fin de la scène II, totalement imprévisibles à ce moment-là. Quant à Chauvineau, après le baisser de rideau à la fin du drame, il était en droit de dire : «Je l avais bien prévu». 7

8 Table des Matières Première partie Livre I Quelques précisions p. 21 Ch.1 La guerre totale p. 22 Ch.2 Le soi disant «front continu» p. 25 Ch.3 Le soi disant «Blitzkrieg» p. 33 Livre II Le général Chauvineau p. 43 Ch.4 Biographie p. 44 Ch.5 «Une invasion est-elle encore possible?» p. 46 Ch.6 Erreurs d après guerre p. 50 Ch.7 Une étrange préface p. 54 Ch.8 La notoriété du livre. Les ignorants p. 59 Ch.9 La diplomatie p. 73 Deuxième partie Les préliminaires p. 81 Livre III L Allemagne p. 82 Ch.10 Le chef. «Mein Kampf» p. 83 Ch.11 L Ostpolitik L URSS p. 86 Ch.12 Les failles du «raisonnement» de Hitler p. 88 Ch.13 Hitler met en œuvre son programme p. 90 Livre IV Les Alliés p. 93 Ch.14 La fin de l Entente cordiale p. 94 Ch.15 La désastreuse politique étrangère et militaire britannique. p. 96 La France toute seule Ch.16 Un bel après-midi de septembre 1938 p. 100 Ch.17 La Pologne. «Une steppe inhabitée» p. 102 Ch.18 L Entente cordiale ressuscitée p. 105 Ch Le prétexte : Dantzig p. 106 Ch.20 L étrange été p. 110 Ch.21 Un faux début p. 114 Troisième partie La genèse des plans de guerre p. 120 Livre V Le plan de guerre allié. «La Belgique sera le champ de bataille» Ch.22 Le spectre de Monsieur le Comte de Schlieffen p. 121 Ch.23 Les plans E, D et A. Leurs failles communes p. 132 Ch.24 Faut-il entrer en Belgique? Les «Low Countries» p. 143 Ch.25 La (des)organisation alliée. Aller en Belgique, quand et où? p. 149 Ch.26 Apparition du plan D p

9 Ch.27 Le 17 novembre : le Conseil suprême interallié adopte la note de Gamelin comportant le plan D. Ses failles p. 165 Ch.28 Intermède hollandais. La variante Breda p. 171 Ch.29 Les événements de décembre 1939 à avril 1940 p. 174 Ch.30 La variante Breda officielle p. 179 Ch.31 Les derniers soubresauts. On va envahir la Belgique! p. 182 Ch.32 La Belgique complètement détruite p. 184 Ch.33 La Meuse p. 186 Ch.34 Une tombe en forêt p. 190 Livre VI Le plan de guerre allemand (Fall Gelb). Le plan Clausewitz p. 196 Ch.35 La «Gleichschaltung» de l Armée Le General-Feldmarschall et la putain p. 197 Ch.36 L organisation allemande en 1939 p. 201 Ch.37 La réalisation d un plan de campagne p. 203 Ch.38 Les directives 1,2 et 6 de l OKW et celle du 17 septembre de l OKH p. 205 Ch.39 Le mémorandum de Leeb, 11 octobre 1939 p. 206 Ch.40 Fall Gelb I octobre 1939 p. 209 Ch.41 Fall Gelb II 29 octobre janvier Le centre de gravité plus au sud. Boulogne ou Abbeville? p. 213 Ch.42 Liddell Hart et la légende Manstein. Leurs mensonges p. 220 Ch.43 Une série de leçons envoyées par Rundstedt-Manstein à l OKH p. 228 Ch.44 Le centre de gravité encore plus au sud. Un «Hauptstosz» sur Sedan? Autres leçons de Rundstedt-Manstein p. 232 Ch.45 L incident de Maasmechelen. Les Français se découvrent p. 237 Ch.46 Fall Gelb III, 30 janvier - 24 février 1940 p. 241 Ch.47 Kriegsspiele. Guderian, Chauvineau et Clausewitz unanimes p. 244 Ch.48 Hitler décide enfin. Le 13 février p. 245 Ch.49 Mensonges et suppositions de Manstein Une notice mal intentionnée p. 248 Ch.50 Que s est-il passé ce samedi 17 février chez Hitler? p. 249 Ch.51 Fall Gelb IV selon Clausewitz p. 257 Ch.52 Fall Gelb IV selon Brauchitsch et Halder Fall Gelb I à plus grande échelle p. 261 Ch.53 Les soucis de Sodenstern. L assurance de Brauchitsch et Halder p. 268 Ch.54 Fall Gelb IV selon Sun Tzu, le véritable auteur Son plan, son exécution, son Halt-Befehl p. 272 Quatrième partie Les armes Livre VII Les Airs p. 277 Ch.55 Introduction. La Grande Guerre p. 278 Ch.56 Douhet. Il dominio dell aria p. 280 Ch.57 Rougeron. Das Bombenflugwesen p. 288 Ch.58 Emploi stratégique ou tactique? Les deux p

10 Ch.59 Clausewitz et l avion p. 291 Ch.60 La stratégie aéroterrestre de Chauvineau p. 293 Ch.61 J ai vu la première et unique offensive aéroportée stratégique de l histoire militaire p. 297 Ch.62 Parachutistes, suite. Crète p. 299 Ch.63 L avion dans le combat au sol p. 300 Ch.64 Le bombardement en piqué p. 302 Ch.65 La défense antiaérienne p. 304 Ch.66 La base aérienne p. 309 Ch.67 La Luftwaffe p. 312 Ch.68 La Royal Air Force p. 316 Ch.69 L Armée de l Air française p. 318 Ch.70 La guerre aéronavale p. 319 Livre VIII Le plancher des vaches p. 323 Ch.71 Le cheval p. 324 Ch.72 La fortification p. 330 Ch.73 Le chemin de fer p. 337 Livre IX Armes combinées p. 341 Ch.74 Introduction p. 342 Ch.75 Incompréhension du char et contrevérités de De Gaulle p. 343 Ch.76 Accueil glacial en Allemagne de Frankreichs Stoszarmee p. 346 Ch.77 Réalisme de Guderian et Chauvineau p. 348 Ch.78 Toujours continuité des fronts Action autonome de chars, «un rêve» p. 349 Ch.79 Forces et faiblesses du char. Attaque d une position défensive p. 351 Ch.80 Le génie p. 354 Ch.81 Le combat à l intérieur d une position Le corps à corps char-fantassin p. 355 Ch.82 Le corps à corps char-fantassin à l extérieur d une position p. 357 Ch.83 Un exemple en 2003 : l échec d un Blitzkrieg réalisé au moyen d un raid étendu autonome motorisé avec des forces d infanterie Ch.84 insuffisantes p. 359 L action après la percée d une position L infanterie avec son artillerie p. 360 Ch.85 La logistique p. 362 Ch.86 Comment la France a été battue : armes combinées p. 364 Cinquième partie La campagne vue du côté allemand. Drame en deux actes et quatre scènes Livret de Carl von Clausewitz Production : Adolf Hitler Livre X Fall Gelb IV p. 371 Ch.87 Prologue. Acte premier, scène première. Sedan p. 372 Ch.88 Acte premier, scène II. Dunkerque p. 395 Ch.89 Epilogue. Entracte p

11 Livre XI Fall Rot Ch.90 Deuxième Acte, scène première. Le baroud d honneur p. 412 Ch.91 Deuxième Acte, scène II. Poursuite et débandade p. 414 Ch.92 Epilogue : la chute p

12 SOMMAIRE PREMIÈRE PARTIE Livre I Quelques précisions Ch. 1 La guerre totale. Guerres de siège, guerres du cabinet, guerres du peuple Bonaparte - Toujours à la limite du possible Armées de masse : filles de la grande industrie Une guerre d usure - La Grande Guerre : retour à la guerre de siège «Incompris par quelques militaires» Ch. 2 Le soi-disant «front continu». Confusion Définition - Front incontournable Ni stratégie ni tactique - Le «front continu» de Chauvineau «The gallant Duke of York» La «ligne d eau» Protéger ses flancs pas de flancs Les fronts incontournables Les pauses inévitables entre deux offensives Les chars ne nous ont pas ramenés à une guerre courte. Ch. 3 Le soi-disant «Blitzkrieg». L Allemagne ne peut supporter une guerre de longue durée - Blitzsieg par Blitzkrieg? (1938) Pas de «binôme char-avion» - Un radotage journalistique Blitzkrieg chez Sun Tzu, Clausewitz, Bonaparte, Chauvineau Définitions bonnes et farfelues Blitzkriege ratés et réussis Rapidité dans la défensive La Marne Offensive et défensive , la stratégie méthodique française. Ch. 4 Biographie. Livre II Le général Chauvineau Polytechnique e Corps d armée Deux citations, Légion d honneur à Verdun. Grèce École supérieure de guerre Cours de fortification. Original. Commandant de l École du génie. Besançon livre achevé. Octobre cadre de réserve la «ligne Chauvineau». Ch. 5 «Une invasion est-elle encore possible?» «Oui.» Vétusté inquiétante de l organisation de l armée incapable d attaquer et de protéger notre territoire Réorganisation de fond en comble. Propositions. Armée blindée, motorisation, divisions de choc. Préparer offensive et défensive. Stratégie pour les premiers jours d un conflit. Défensive terrestre, offensive aérienne Le maximum de moyens à l aviation - Aérochimique «Une attaque brusquée, blindée, par surprise» Une longue guerre de masse et d usure. Le suicide de Hitler. La soi-disant «guerre froide». Ch. 6 Erreurs d après-guerre : «Le plus rude coup de l après-guerre» Le moment où la guerre aurait pu être évitée - La ligne Maginot mauvais rapport qualité-prix. Notre infanterie «ne pourrait guère attaquer avec succès que des nègres». Notre organisation militaire «une erreur colossale». - «Notre fortification rappelle celle de César». «Nous avons organisé la destruction des Français au début d une prochaine guerre». Organiser une solide position sur la frontière belge. Gamelin n a pas compris la guerre moderne - La responsabilité de Pétain.- Le procès de Riom. Ch. 7 Une étrange préface. Une énigme Premier falsificateur de Chauvineau «Quelques chars cuirassés» au lieu de «toutes les unités de chars» «Il n envisage que la défensive». Antithèse entre les doctrines de Pétain et de Cbauvineau. Le dernier est clausewitzien. Le «Blitzkrieg» de Pétain avec le paysan. Ch. 8 La notoriété du livre. Les ignorants. Marc Bloch Comment peut-on écrire des phrases dignes parmi les Heils! des Barbares? La haine de l occupant et de ses collabos. Faire rejaillir la haine du traître sur l auteur du livre. Erreur de Marc Bloch. A-t-il lu le livre jusqu à la fin? Quelques comptes rendus. Les ignorants. Comment naît une légende. Critiquer un livre que l on n a pas lu. Citations hors contexte, amputées, tronquées, falsifiées. La petite taille de Reynaud. Parjures de Gamelin. Une trentaine d autres. Ch. 9 Diplomatie. La politique et le soldat. Sun Tzu. De Gaulle. Marc Bloch. Clausewitz. Le «front continu» de Chauvineau garantit la paix. La France une nation armée. Pas besoin d alliés. «Le désarmement c est la guerre.» La débandade. Une organisation militaire comme moyen d intimidation et d une diplomatie étrangère active. Une aviation puissante. «L Alliance anglaise la plus intéressante pour nous». Une alliance française n a aucun intérêt pour la Belgique Antagonisme russo-allemand persistant. Pas de victoire rapide allemande. Lâcheté française et stupidité britannique. DEUXIÈME PARTIE LES PRÉLIMINAIRES Livre III L Allemagne Ch. 10 Le chef. Mein Kampf. «Madness, and there is no method in t». Racisme, haine, lebensraum. La cause de la Grande Guerre. Sa politique étrangère. Basée sur la violence. «Jeter le traité de Versailles dans une mer de flammes ardentes». «Les frontières des États sont faites et modifiées par l homme». «Alliances avec la Grande-Bretagne et l Italie». - Admiration de la brutalité et du bellicisme des Britanniques. «La France toujours l inexorable ennemi mortel». «Peuple de plus en plus négroïde Un règlement de comptes nécessaire». 12

13 Ch. 11 L Ostpolitik L URSS. Acquérir des terres en Russie, «pourrie et dissoute, prête à l effondrement». «Une alliance avec la Russie serait la fin de l Allemagne». «Ses dirigeants sont des criminels ignobles, couverts de sang, la lie de l humanité». Le premier plan quinquennal de l URSS (1928) Mécanisation et motorisation de l armée, aviation en plein essor Chars modernes, doctrines hardies Industrialisation Crise capitaliste, croissance soviétique Coopération soviétoaméricaine Staline modernise l industrie Base de la victoire de l Armée Rouge - Point de 35 heures, point de stockoptions. «Système capitaliste d État» «carried out with ruthless force» Des matières premières illimitées. Ch. 12 Les failles du «raisonnement» de Hitler. Sa politique étrangère un plan de guerre. Ignorant de l art de la guerre. La mauvaise voie d un flambeur. Comportement agressif. Deux centres de gravité. Deux grands empires à conquérir. Aucun État ne doit admettre que son destin dépend d une seule bataille. La défaite pas définitive. Hitler commet la faute de Bonaparte. Ch. 13 Hitler met en œuvre son programme. «Führer und Reichskanzler» Veut les pleins pouvoirs. Comment il modifie la Constitution. Le centre change de casaque. Chef suprême de l État et chef suprême des forces armées Réarmement subreptice. Versailles jeté aux flammes. 1935, service militaire et Luftwaffe - Traité naval avec la Grande-Bretagne. L Italie et le Japon. Hitler a joué gros : pari gagné. -L Autriche. La Tchécoslovaquie tout entière. Prêt que pour une guerre courte. Suicide prévu par Chauvineau. Livre IV Les Alliés. Ch. 14 La fin de l Entente cordiale. «Splendid isolation» et incompréhension de l intérêt d une alliance française. Chauvineau explique les avantages d une alliance franco-britannique pour les deux pays. Sa critique sévère de leur politique étrangère et militaire. Le moment où on aurait pu arrêter Hitler sans une guerre. Ch. 15 La désastreuse politique étrangère et militaire britannique. La France toute seule. Les conséquences du rétablissement du service militaire allemand pas comprises. Plus de «guerre de mouvement» par de petites armées de métier. «Le traité naval anglo-allemand néfaste. Violation brutale et unilatérale du traité de Versailles. Prestige de Hitler à l étranger. Guerres à but limité, guerres en vue de la destruction totale de l ennemi. Les Anglais pour deux sous aux premières loges. En soldats continentaux et Britanniques. La politique insulaire inopérante par l entrée en scène de l avion. Les inconvénients du traité naval pour la Grande-Bretagne. La Kriegsmarine dans la Baltique. Utiliser l Allemagne contre l URSS. Responsabilité britannique dans la Deuxième Guerre mondiale. - La France toute seule en «Bâtir une sécurité nouvelle». «Quelle politique réussit quand les armes succombent?» L imbécillité monumentale du général Maurin. Ch. 16 Un bel après-midi en L Anschluss. Munich La trahison française. Pas de commémoration 70 ans plus tard. Inquiétude à Moscou. L origine de la guerre soviéto-finlandaise Staline-Ribbentrop la conséquence de Hitler- Chamberlain-Daladier. Ch. 17 La Pologne. «Une steppe inhabitée». Description peu enthousiaste par Clausewitz. «Une pomme de discorde entre ses voisins». «Une vie politique dissolue». «Incapable d organiser sa défense» fin de son existence. «Impossible de garantir l intégrité de ce soi-disant État» Sympathie en France. «Vive la Pologne, Monsieur!» Alliance avec le tsar plus importante. Polonia ressuscita. «Le gouvernement corrompu des colonels de Pologne». Toujours une steppe sans défense. Ch. 18 L Entente cordiale ressuscitée. Les Britanniques deviennent anti-allemands. La Kristallnacht. «Déclaration» Bonnet-Ribbentrop. Une rumeur infondée ressuscite l Entente cordiale. Hitler commet une faute grave. Prague. Chamberlain dans le train à Birmingham. Conversations militaires anglo-françaises. Service militaire en Grande-Bretagne, enfin! Ch Le prétexte : Dantzig. Hitler veut libérer encore plus d Allemands. Dantzig le prétexte. Négociations polono-allemandes. Rejet polonais. Plan de guerre allemand. Encore une fausse rumeur. Les Alliés garantissent la Pologne. Pactiser avec un dictateur de gauche? Faire tirer les marrons du feu par l URSS. Sans Staline, point de salut! Délégation militaire part pour Moscou. Doumenc et Old Plunk. Pas un soldat soviétique sur le sol polonais. La situation vue par Moscou : un pacte avec les Alliés une stupidité grossière. Tirer les marrons du feu pour le seul profit des pays capitalistes. Ch. 20 L étrange été. A partir de juin mobilisation en Allemagne. Avertissements de Coulondre. Dégel relations germanosoviétiques. Coulondre part en vacances. Célébration du cent cinquantenaire de la Révolution. Cinquantenaire de la tour Eiffel. Garden-parties, soirées, Le Défilé. Time Magazine : «The good grey General».- «La réponse à la question que tout le monde se pose» «Sombre tableau de l armée». Le Tour de France. On part en vacances. - «À Paris, le 15 août, le quai d Orsay est désert». «To wish Dantzig out of existence» Première phase de la mobilisation. «Mais il y a la moisson». «Seit vier Uhr fünftundvierzig wird jetzt zurück geschossen!» Manœuvres de Bonnet pour un nouveau «Munich». «Empêché par une campagne de presse communiste et juive». 13

14 Ch. 21 Un faux début. «La mobilisation, c est la paix». Contre-attaquer à l ouest. Éliminer l Italie. Comment justifier la «drôle de guerre»? La note du Deuxième Bureau. Une offensive alliée possible? Faire la guerre en évitant de la faire. Dicter sa loi à l adversaire. Deux erreurs d appréciation contradictoires. Un plan de guerre catastrophique. TROISIÈME PARTIE LA GENÈSE DES PLANS DE GUERRE Livre V Le plan de guerre allié : la Belgique sera le champ de bataille. Ch. 22 Le spectre de M. le comte de Schlieffen plane sur Vincennes. Son plan (1914) impossible «Anticiper sur une attaque brusquée par des blindés et l aviation» à travers les Ardennes Un contournement stratégique devenu possible - La Belgique se débarrasse de ses obligations vis-à-vis de la France. Décision justifiée. La Hollande Pas de «plan B», uniquement «le plan D» - Se défendre sur notre propre sol. «The washing on the Siegfried line» - Sun Tzu, Clausewitz et Chauvineau unanimes. Ch. 23 Les plans E, D et A. Leurs failles communes. Reposer tout son salut sur des fleuves. Absence de réserve stratégique, de concentration de forces, de position en profondeur. Une donnée capitale ignorée. La supériorité de la défensive. Marcher sous le canon ennemi. Ch. 24 Faut-il pénétrer en Belgique? Les «Low Countries» Conversations militaires interalliées. L invraisemblable attaque des Pays-Bas seuls. «The Low Countries» ne sont pas les Pays-Bas. Un accord préalable avec le gouvernement belge. Le plan E(scaut) apparaît. «Une attaque brusquée et une exploitation profonde». Éviter une bataille de rencontre dans des positions non préparées. «Se servir des Polonais pour couvrir notre mobilisation». Ch. 25 La (dés)organisation alliée. Aller en Belgique quand et où? Mauvaise coordination du coordinateur. Une lettre perfide de Gamelin. «Les Belges ne disent toujours rien. Ils risquent gros car leur pays sera le champ de bataille». Conseil suprême interallié. Le guérillero Gamelin. «Sans vouloir intervenir en rien» - Les Britanniques rejettent le plan E. Cburchill : «Laissons les Belges en tête à tête avec le fauve». Avancer en Belgique à la rencontre des Allemands doit être exclu. Le plan A(lbert). «En temps utile». Ch. 26 Octobre. L apparition du plan D. On va en Hollande. Courage et abnégation du général Deslaurens et de son escouade de braves - «On ne peut rien pour la Hollande. Elle ne tiendrait pas». Présenter notre décision aux Britanniques. «Avec méthode, mais rapidement». Les Britanniques ne vont pas aux îles zéelandaises de triste mémoire. Ch. 27 Le 17 novembre : le Conseil suprême interallié adopte la note de Gamelin, comportant le plan D. Ses failles. La note de Gamelin du 16 novembre. Adoptée sans discussion. La poignée de main d adieu à la Hollande - Daladier s en prend à la Belgique. «Sa neutralité égoïste». «Un effort désespéré». Instruction de Georges. Les failles du plan Gamelin. Ch. 28 Intermède néerlandais. La variante Breda. Les Hollandais découvrent l Instruction personnelle et secrète n 8 de Gamelin. - Autres informations obtenues. Gamelin veut aller à Breda. Sa «suggestion». Refus belge et néerlandais. Faiblesse de la position Peel-Raam. Observations sur le terrain de deux généraux français.- Confusion à La Haye. Commandant en chef limogé. Quel geste! Mais quelle sottise! Les Pays-Bas pourraient «attirer une partie importante de la Luftwaffe». Ch. 29 Les événements de décembre 1939 à avril Un flot de réfugiés. La situation militaire en Belgique. - «Un effort allemand secondaire aux Ardennes le plus probable». L incident de Maasmechelen. Georges ne veut plus aller en Belgique. La stratégie supérieure de Gamelin. Les réserves aux Alpes et en Afrique. Pas de coopération hollando-belge. Appréciation générale sur l armée belge. Gamelin fera de nouveau la Grande Guerre. Ch. 30 La variante Breda officielle. IPS n 11 de Gamelin. Les défenses belges. Entretien Gamelin-attaché militaire néerlandais. Note du commandant en chef néerlandais: la position Peel-Raam ne sera pas défendue. Coup mortel à la variante Breda. Mais Gamelin persiste Ce qui sera servi aux Anglais avec leur early morning tea. Ch. 31 Les derniers soubresauts. On va envahir la Belgique! Georges s inquiète, Gamelin s obstine. «On va en Belgique de toutes façons». Georges ouvre son cœur à Villelume. Trois réunions du Conseil suprême interallié. On va envahir la Norvège. «Quoi qu il arrive, une attaque de la Hollande seule, de la Belgique seule, ou de toutes les deux, on va envahir la Belgique». «La lourde responsabilité qui incomberait au gouvernement belge!». Ch. 32 La Belgique entièrement détruite. Si les Alliés avaient réussi à «endiguer» l ennemi en Belgique. - Anvers, Louvain, Gembloux, Namur tombées en ruine «Lille, Roubaix, Tourcoing épargnées». 14

15 Ch. 33 La Meuse. Gamelin ne s en occupe pas. Front, mais aussi couverture du flanc droit du corps de bataille. «Solidement» Une division sur 15 km! La topographie du fleuve. Les 9 e et 2 e Armées. Destructions en Belgique très bien conçues En France position sans profondeur. La manœuvre de la cavalerie. Pas de coopération avec les Belges. Pas de destructions préparées en France. Ch. 34 Une tombe en forêt. Les «maisons fortes», une hérésie militaire. Le rapport Taittinger. Un mélo de Julien Gracq. La vérité émouvante. Jugement impitoyable : stupidité, lâcheté, égoïsme. Livre VI Le plan de guerre allemand Fall Gelb Le plan Clausewitz Ch. 35 La Gleichschaltung de l armée. Le General-Feldmarschall et la putain. Mademoiselle Erna Gruhn Le journal de Jodl Götterdämmerung. Hitler généralissime, 4 février Brauchitsch commandant de l armée de terre, Göring de la Luftwaffe. Halder chef d état-major, Manstein renvoyé dans la troupe. Ch. 36 L organisation allemande en L OKW et l OKH. - La paternité des décisions de Hitler inconnue. Ch. 37 La réalisation d un plan de campagne. Le travail d un état-major. Jodl cite Clausewitz en prison. Ignorance du grand public. Manstein écrit une belle histoire, devenue légende et qui plaît au grand public. Ch. 38 Les directives n 1, 2 et 6 de l OKW et celle du 17 septembre de l OKH. Annotations après la guerre par Nehring. - Début de l offensive contre la Pologne 1 er septembre 1939, 4h45. À l ouest dormir sur ses deux oreilles. «Le gouvernement français n a rien d héroïque», 17 septembre, Transmutation de l armée en vue de la guerre défensive à l ouest. Hitler veut l offensive tout de suite. Ses raisons. 9 octobre 1939 : directive n 6. Offensive d un but limité pour le 25 novembre Ch. 39 Le mémorandum de Leeb, 11 octobre Graves inquiétudes. Surestimation des Français. Deux centres de gravité ennemis. Peur des Soviétiques. Pertes en Pologne très mal supportées. Profond désir de paix par le peuple entier. Peur d une guerre économique. Les avantages d attendre. Ch. 40 Fall Gelb I 19 octobre-29 octobre Le dispositif ennemi. Action contre un flanc selon Clausewitz. 19 octobre : directive de l OKH. Éliminer les Néerlandais. S emparer de la côte belge. Couvrir contre une attaque française. Préparatifs contre la Grande-Bretagne et défense de la Ruhr - But limité. Rapidité. La directive puisée dans Clausewitz. Ch. 41 Fall Gelb II 29 octobre janvier Centre de gravité plus au sud. Boulogne ou Abbeville? Nouveau dispositif allié. 25 octobre conférence chez Hitler. Un plan d attaque tout nouveau. 29 octobre: directive de l OKH. Offensive à but décisif. Détruire les forces alliées au nord de la Somme. Foncer jusqu à la côte de la Manche. La différence entre Fall Gelb I et Fall Gelb II. Le Ludendorff offensif en Traverser la Meuse à un point quelconque. Réaction de Leeb. Ch. 42 Liddell Hart et la légende Manstein. Leurs mensonges. Manstein. «Victoires perdues» Liddell Hart. Ses volte-faces. Description caricaturale de la campagne de Sa connivence avec Guderian, «son élève». Mensonges de celui-ci. Mensonges de Manstein. Contre-vérités dans l Histoire de la Deuxième Guerre mondiale de Liddell Hart. Dénigrement de Brauchitsch par Manstein - L armée aurait perdu le pouvoir à cause du premier. «And, sure, he is an honourable man». Haine de Rundstedt et Manstein envers Brauchitsch. Autres mensonges. Ch. 43 Une série de leçons envoyées par Rundstedt/Manstein à l OKH. Tonalité brutale. Menacer les Belges d un bombardement de terreur. Contraindre la Grande-Bretagne à passer à l offensive terrestre. Se défendre offensivement : une faute selon Clausewitz. Un plan à jeter. Ch. 44 Le centre de gravité encore plus au sud. Un Hauptstosz sur Sedan? Autres leçons de Rundstedt/Manstein. V. Schell propose unités rapides dans la 12 e Armée. Mauvais rapports Brauchitsch-Hitler. 9 novembre: le nom de Sedan apparaît la première fois. 11 novembre : un groupement rapide sur Sedan. Lettre stupide de Rundstedt/Manstein. 20 novembre: directive n 8 de l OKW. Préparer transfert du centre de gravité de la H.Gr.B à la H.Gr.A. Lettres de Manstein, réponse de Halder. Former le centre de gravité pendant les opérations. Ch. 45 L incident de Maasmechelen. Un avion en panne. Documents secrets. Gamelin prêt à déclencher le plan D. Les Allemands s en aperçoivent. Une action contre le flanc et les arrières possible. Le centre de gravité avant le début des opérations? Sedan en tête des priorités. Conférence chez Hitler. Un nouveau plan. 15

16 Ch. 46 Fall Gelb III, 30 janvier-24 février Quelques changements importants - «Une victoire rapide et décisive». H.Gr.B jusqu à Anvers-Namur. Centre de gravité chez H.Gr.A. La transition pour Fall Gelb IV. Ch. 47 Kriegsspiele. Guderian, Chauvineau et Clausewitz unanimes. «À vive allure, avec un fort appui de chars, sans artillerie» : Chauvineau, Guderian et Clausewitz (ce dernier sans chars) - Ou méthodiquement avec de l artillerie lourde, à la française. Le premier jour ou le cinquième. Hitler réfléchit. Ch. 48 Hitler décide enfin, le 13 février. Entretien avec Jodl. Centre de gravité au sud de Namur possible. Les journaux de Jodl. Halder rédige un nouveau plan. Discussion chez Hitler. Centre de gravité flanc sud. Avantages du secteur Sedan-Mézières. 4 e Armée à H.Gr.A. Panzergruppe en tête de l infanterie. Ch. 49 Mensonges et hypothèses de Manstein. Une notice malintentionnée. Ses «impressions» Ses insinuations. Ordres mal lus. Accuse Brauchitsch de haute trahison. Ch. 50 Que s est-il passé ce samedi 17 février chez Hitler? Manstein et d autres généraux présents. Leur promotion. Pas de témoignages d un entretien en privé avec Hitler. Une histoire dont les témoins sont décédés. Henning von Tresckov et Schmundt, des amis véritables? - Un document pour la postérité, écrit quand? Deux erreurs de Manstein, signalées par Clausewitz. Ch. 51 Fall Gelb IV selon Clausewitz. Centre de gravité avant l opération. Plus de problème, tout se trouve dans «Vom Kriege». Identique au plan Sun Tzu - Trois combinaisons très simples : action contre un flanc, diversion, surprise. Vitesse - Le plus grand nombre possible au point décisif. Exploiter la victoire Protéger la logistique. Ch. 52 Fall Gelb IV selon Brauchitsch et Halder. Fall Gelb I à plus grande échelle. Attirer des parties aussi fortes que possible de l ennemi. Jeter l ennemi derrière la ligne Anvers-Namur. Occuper rapidement les Pays-Bas. Marcher sur Abbeville. Protéger les flancs. Infanterie talonne à toute allure les forces rapides. Séparer les Alliés et les battre en deux grandes batailles, avec toutes ses forces. L exécution. La composition des forces. L infanterie effectue 30 à 40 km de marche par jour. Résumé : est-ce que ce fut «le plan Manstein»? NON. Ch. 53 Les soucis de Sodenstern et l assurance de Brauchitsch et Halder. Faut-il mettre en avant, au début de l offensive, l infanterie ou les blindés? Trop prudent - «Des doutes graves». Pas de sous-estimation des Belges. Surestimation des Français. L infanterie doit marcher en avant et forcer la Meuse. Halder donne «une très bonne leçon» à Sodenstern et balaie tous ses soucis. Employer des moyens extraordinaires, courir des risques. Confiance en nos troupes. Sous-estimation des barrages belges. «L arme blindée doit être en avant dans sa totalité pour un emploi opérationnel après le forcement de la traversée de la Meuse». Approbation de Nehring. Ch Fall Gelb IV selon Sun Tzu, le véritable auteur. Son plan, son exécution, son Halt-Befehl. Plan copié par Clausewitz - Infanterie et chars. Bonnes transmissions. Armes combinées. Chars en avant. Action contre le flanc. Diversion. Surprise. Vitesse. Diviser les forces ennemies. Le terrain. Marcher sur des routes inattendues. Opération orthodoxe par H.Gr.B et forces extraordinaires dans H.Gr.A Huntziger pas le tigre. L attaque d I Ling. Le Halt-Befehl. Vieille doctrine militaire chinoise. QUATRIÈME PARTIE Livre VII Les airs Ch. 55 Introduction. La Grande Guerre. Pas une arme comme les autres. Sa vitesse. Il passe toujours. Pas de fronts. «Negata all azione difensiva». L intérêt tôt compris par les militaires. «Un nuovo campo d azione». L invention de Fokker. Développement de l avion d observation jusqu au bombardier lourd. Popularité du chasseur. Ch. 56 Douhet. Il dominio dell aria. «Cittadino e fascista». Aviation stratégique indépendante. «Partout où deux hommes se rencontrent la lutte est inévitable». «Empêcher l ennemi de voler». L avion uniquement offensif. Bombardiers très lourds. «Les oiseaux, leurs nids et leurs œufs». Destruction totale. Employer en masse. Pas de défense possible. «Animo virile». Armée et marine superflues. La Méditerranée «Mare nostro». L ivraie et le bon grain. Bombarder les villes militairement justifié. Le «deuxième front» d abord dans les airs. Pourquoi ne pas tuer Hitler? Deux bombes nouvelles. Ch. 57 Rougeron. Das Bombenflugwesen. L avion de bombardement, Das Bombenflugwesen, «unique en son genre», «prophète de la guerre aérienne». Admiré des Allemands, inconnu des Français. «Renseignements aériens de la guerre d Espagne». Préconise le piqué. L avion ne peut pas gagner une guerre à lui seul, mais on ne peut vaincre sans lui. La production aéronautique d abord, ce qui reste pour l armée et la marine. Rejette le bombardier lourd de Douhet DCA lourde. 16

17 Ch. 58 Emploi stratégique ou tactique? Les deux! «L armée réfractaire aux changements. Impossible de tirer des leçons du passé. Incapable de prévoir le futur. Hauts-commandements français et allemand ne pensent pas à une offensive aérienne stratégique. Von Eimannsberger. Reconnaissance aérienne tactique. Question de vie et de mort. Forces tactiques et stratégiques toutes deux indispensables. 400 bombardiers modifient l équilibre politique en Europe. Ch. 59 Clausewitz et l avion. L avion ne change pas le concept de la stratégie. Coup principal contre le centre de gravité ennemi. Deux centres de gravité: deux guerres séparées. L impossibilité de mener les deux à la fois. La Luftwaffe incapable d être la force déterminante. Aviation stratégique britannique. Quatre propos de Clausewitz, applicables à la stratégie aéroterrestre. Ch. 60 La stratégie aéroterrestre de Chauvineau. Il s imagine le début des hostilités - Basé sur Clausewitz, Douhet et Rougeron. Défense sur terre, offensive violente dans les airs. Bombardement stratégique. Aviation puissante. Aussi tactique. Bombes à gaz. Défense organisée. DCA lourde. Les Allemands deux offensives à la fois. L une affaiblit l autre. Ce que Chauvineau approuve et désapprouve chez Douhet. Son pronostic pour Ch. 61 J ai vu la première et unique offensive aéroportée stratégique de l histoire militaire. Mon journal intime du 10 mai L attaque sur La Haye un échec total. Exécution désastreuse. Gaffe de Göring. J ai quêté pour l achat de canons antiaériens. Bon nombre d avions abattus. La reine et le gouvernement à Londres afin de poursuivre la guerre. Bombardement de Rotterdam et capitulation. «La Hollande est indéfendable, on ne peut rien pour elle». Ch. 62 Parachutistes, suite. Crète. 1918, William Mitchell. Un sport national pour filles et garçons en URSS. France, deux groupes d infanterie de l air. Chauvineau : «menaces constantes pour les arrières». Crète. Dernière action de parachutistes allemands. Ch. 63 L avion dans le combat au sol. «La Luftwaffe assiste les forces au sol de toutes sortes». Rougeron - Deux qualités du bombardier qui manquent à l artillerie. À Guadalajara les chars n ont pas arrêté les avions. Dispersion - L infanterie la moins vulnérable. Profondeur de la défense. Pas d actions indépendantes de chars. Isolé ou en groupe le char impuissant contre l avion. Dien Bien Phu. L avion un concurrent du char d assaut. Il passe là où le char ne passe pas. Ch. 64 Le bombardement en piqué. Le «véritable Stuka» pas imaginé par des Français. Le piqué, une façon d attaquer infiniment supérieure au bombardement horizontal. Peut être exécuté par tout avion rapide, appareil spécial pas nécessaire. Le chasseur en surcharge. Le «faucheur» de Fokker. Le Stuka. Ce que le général Armengaud a vu en Pologne. Ch. 65 La défense antiaérienne. La défense passive. Dispersion de l industrie, bases aériennes, population. Dresden. Camouflage. La défense passive de La Haye. Le bac à sable du chat. La défense active. L artillerie. La chasse. Le radar. Comment Fighter Command a gagné la Battle of Britain. La défense allemande. - Double mission de la Flak. La défense française «illusoire». Le rapport du général Aubé. Radars britanniques pour la France. Ch. 66 La base aérienne. «L élément de puissance d une aviation militaire». Logistique lourde, beaucoup de personnel au sol hébergé sur la base. Dispersion - Une entreprise, pas une caserne. L officier de renseignement. Quand une escadrille change de base. Raisonnement bizarre du général Armengaud. Demandes ridicules de Reynaud et Weygand. Ch. 67 La Luftwaffe. Le chef, un des meilleurs pilotes de la Grande Guerre. Udet, Lörzer. Organisation et missions. Coopération avec l armée de terre. Manuel pour la conduite de la guerre aérienne n 16. Pas de «Binôme char/avion». Pas de stratégie aérienne. Arme tactique de coopération. Pas de bombardiers stratégiques. Incapable d être l arme déterminante. Surclassée par les trois Alliés. Missions dans Fall Gelb. Angriffsschlag. Les directives des Luftflotten 2 et 3. Ch. 68 La Royal Air Force. Organisation. Missions des «commands». Bombardement stratégique. Attaques de la Ruhr empêchées par les Français. Peur de représailles. «La ligne Maginot» britannique. Pas de commandement unique des forces aériennes alliées. Ch. 69 L Armée de l air française. Périmée dès fin Incompétences à tous les étages. Un outil inoffensif - Pas de bombardiers modernes. Aucune stratégie possible. Organisation défaillante. «Cavalieri erranti dell aria». Ch. 70 La guerre aéronavale. La controverse avion-cuirassé. L emploi par l avion de la torpille et de la bombe. La Marine a besoin d une couverture aérienne. Exemples. Flottes au mouillage et au large. Rougeron avait tout prévu. Taranto. Pearl Harbour, une hérésie militaire. Aucune dispersion. Roosevelt calomnié. Mauvaise exécution de l attaque. Le but manqué. Le cuirassé remplacé par le porte-avions. 17

18 Livre VIII Le plancher des vaches Ch. 71 Le cheval. «Audet et ignoto sese committere ponto» - La bataille de Haelen. «Cannon to the right of them» - En 1940 les armées peu motorisées. La machine à vapeur. Le moteur. «Les races de chevaux merveilleuses». Brécard. Citations fantaisistes. Divisions légères mécaniques. Divisions légères de cavalerie. Le jugement de Guderian. Cavalerie nombreuse en Europe de l Est. Le carburant. Caoutchouc. Démotorisation en Allemagne. Mésaventure de la cavalerie allemande aux Pays-Bas. À l Est : l URSS, la Pologne, l Allemagne. Ch. 72 La fortification. Clausewitz. «Grands et excellents soutiens de la défense». À quels endroits les construire? Le plan de Chauvineau pour la défense des frontières. Considérations générales. La fortification est un moyen, non un but. De dimensions restreintes. Trois fronts, selon le terrain. La région de France au nord de la Somme et de l Aisne sera le champ de bataille. La trouée de la Sambre. La destruction totale aux Ardennes. Fortification de campagne en béton. Pas question de la construire de Dunkerque à Bâle. Les défauts de la ligne Maginot et des «nouveaux fronts». De Gaulle un bon élève de Chauvineau. Ch. 73 Le chemin de fer. La Belgique. Théophile Gautier. Les trains de luxe, le Trans-Europ-Express, les trains aujourd hui à la mode. Friedrich List. Utilisation militaire. L intérêt de l État et des actionnaires. Le général Pellet. Intérêt de l État. Chauvineau. «La Marne». Manœuvre stratégique. Mobilisation. Logistique. L avion un ennemi du train. La vitesse en faveur de la défense. Livre IX Armes combinées Ch. 74 Introduction. Les spécificités du cheval et de l avion. La naissance du char. «Agir aussi vite que possible et aussi concentré que possible». Concentration de toutes les forces. Pas compris par les Français. Ch. 75 Incompréhension du char et contrevérités de De Gaulle. Surestimation des capacités du char. Vers l Armée de métier. Quelques unes de ses fautes. Ses Mémoires. Contrevérités. Abbeville. Citation tronquée. Une position tenue par l infanterie contre une attaque blindée. 1917, Flesquières : Chauvineau, Nehring, Guderian. Compte rendu des combats en Belgique complètement faux. Insulte scandaleuse pour ceux qui se sont battus courageusement. Stupide mépris des «masses». Naissance d une légende - L apparition d un «maître». Ch. 76 Accueil glacial en Allemagne de Frankreichs Stoszarmee. Série de sept livres de poche. Traduction abrégée de Frankreichs Stoszarmee : l armée de métier. Nehring : pas de raids de chars. Côté politique critiqué, idées militaires rejetées. «Prend ses désirs pour des réalités». Ch. 77 Réalisme de Chauvineau et Guderian. De grandes chevauchées de chars isolés un «rêve». Achtung Panzer! de Guderian, 1937 A étudié les batailles de la Grande Guerre. Tire des leçons. Haut-commandement allemand pas hostile aux chars. Mémoires pas toujours fiables. Ch. 78 Toujours continuité des fronts. Actions autonomes de chars, «un rêve» Chauvineau et Guderian: une guerre de masse. Attaques de front. Quelle position de Gaulle attaque-t-il? Les trois conceptions existantes. Guderian et Chauvineau: actions de chars isolément «un rêve». «Toutes les armes doivent agir ensemble». Ch. 79 Forces et faiblesses du char. Attaque d une position défensive. Conditions très favorables pour le char pendant la Grande Guerre. Depuis armes et méthodes de défense antichar améliorées. Le char voit mal. L attaque d une position selon Guderian. Chars avant, avec ou après l infanterie. La percée d une position. La vitesse en faveur du défenseur. Guderian et Chauvineau unanimes. Ch. 80 Le génie. Les Pionniere. Troupes combattantes.- Exercice après un ouragan - Construire et détruire. Toujours au plus près de l ennemi. Ch. 81 Le combat à l intérieur d une position. Le corps à corps char-fantassin. Sun-Tzu. Clausewitz. Guderian. Chauvineau. Les Soviétiques. Les dépêches du général Palasse.- Divisions d infanterie et de chars s accompagnent. «Père, gardez-vous à gauche, père, gardez-vous à droite!» Séparer l infanterie des chars. Le char ne peut pas se battre tout seul - Armes combinées! Instruction du fantassin en combat antichar en URSS et en Allemagne, mais pas en France.- Film d instruction. Ch. 82 Le corps à corps char-fantassin à l extérieur d une position. La Finlande. Défaillances soviétiques. Clausewitz : «En terrain difficile, la supériorité décisive de l infanterie sur toutes les autres armes est incontestable». Que valent les chars contre des «terroristes»? Le «cocktail Molotov». «Note sur la campagne de Finlande» du Deuxième Bureau. Gamelin n est pas intéressé. «Note sur la lutte contre les engins blindés» du 4 juin Tactique des Polonais. Dessin dans un hebdomadaire néerlandais. Ch. 83 Un exemple en 2003 : l échec d un Blitzkrieg réalisé au moyen d un raid étendu autonome motorisé avec des forces d infanterie insuffisantes hommes ne suffisent pas pour conquérir un grand pays. Le «raid» un échec. La victoire pas préparée. En millions d hommes pour mener l offensive «de bout en bout». 18

19 Ch. 84 L action après la percée d une position. L infanterie avec son artillerie. «Le char ne peut pas conquérir et tenir le terrain. Il passe. Génie et l arme du train. Élargir le terrain conquis. Chars démarrent, infanterie motorisée suit, infanterie suit. La division d infanterie allemande dans la guerre de mouvement. Quand on est dans le dos de l ennemi, on a l ennemi dans le dos. Éviter le vide. L infanterie attaque, défend et marche. La Hitlerjugend. Les quatre jours de Nimègue. La moyenne par heure. Pas de vides entre chars et infanterie. Embouteillages comme un premier août. - Pas de guérilla. Ch. 85 La logistique. Par la route, non «par monts et par vaux». Le réseau routier déterminant pour l emploi de divisions blindées. Elles ne sont pas un organisme indépendant. La consommation des blindés. L article du commandant Albord. L offensive début 1917 : le corps de cavalerie à Montcornet. Pas assez de camions. Le ravitaillement en essence d une division de De Gaulle. L OKH de la Wehrmacht prépare la logistique. Camions et chevaux. Locomotives, voitures et wagons. Beaucoup de pannes. Les chars Tigre et le Dodge de mon grand-père. Ch. 86 Comment la France a été battue : armes combinées. «La directive pour le commandement de Groupements rapides». Un jugement en faveur du succès. Intérêt pour l historien. Troupes rapides pas groupées dans une armée indépendante, séparée des «masses». Composition adaptée à la mission. Peut changer pendant la campagne. - Services dans l arrière-garde. Partie de l armée de terre. Sous commandement de l OKH ou d un groupe d Armées ou d une Armée. L état-major se déplace rapidement. Commandement très strict. Liaison avec Luftwaffe. Bureau circulation. Pendant la marche. Plusieurs routes en bon état. Préparatifs très étendus. Panzerstrassen. Stricte discipline dans la circulation. L échelonnement. Au combat. Emploi autonome contre petits États ou guerres coloniales. L emploi conjoint avec l infanterie la règle. Où l employer et où ne pas employer. Einbruch, Durchbruch, exploitation. Protection des flancs. Coopération avec l infanterie. «Importance déterminante». Quatre possibilités. L infanterie doit aider la S.Gr. Coopération avec la Luftwaffe. Souvent la condition du succès. Un Fliegerkorps et un Flakkorps. Pas de subordination, travailler ensemble. Contact personnel déterminant. La Logistique. Très importante, organisation difficile. Indépendante de l infanterie. Bureau transports dans l état-major de la S.Gr. Organisation vers les arrières. Panzerselbstversorgung et Normalversorgung. La «valise». Le Rollbahn. Aide généreuse de l infanterie. Vivre sur le pays. Santé, blessés, prisonniers. Conclusion. CINQUIÈME PARTIE LA CAMPAGNE VUE DU CÔTÉ ALLEMAND DRAME EN DEUX ACTES ET QUATRE SCÈNES Livret de Carl von Clausewitz Production : Adolf Hitler Livre X Fall Gelb IV Ch. 87 Prologue. Acte premier, scène première. Sedan. Une erreur de casting. - Les chars. Les «cartes de Hitler». Une balade sur le Rhin. La concentration. Le jeudi avant la Pentecôte. Événements inquiétants. Permissions supprimées aux Pays-Bas, accordées en France. On part pour Waterloo. Deux couacs. Chauvineau prévoit le combat de Martelange. Une compagnie de fantassins belges arrête une division blindée - Les DLC en Belgique. Forcer la Meuse le 11 mai. Ardennes pénétrables. Destructions belges. Trois jours trop tard à la Meuse.- 13 mai : franchissement de la Meuse par l infanterie selon plan. Liaison étroite infanterie/chars. Entretien Rundstedt/Guderian sur la situation à la tête de pont. Mensonge de Guderian. 14 mai : Kleist sous les ordres de la 12 e Armée. 15 mai : peur pour le flanc sud. Intrigues de Rundstedt? - Capitulation de l armée néerlandaise. Durs combats en Belgique contre 29 divisions allemandes. 16 mai : franchir l Oise? 17 mai : marcher sur Paris? Sécuriser le flanc sud. Gros soucis du Führer. 18 mai: Halt- Befehl pour les chars donné et révoqué. Halt-Befehl pour l infanterie. Kleist séparé de la 12 e Armée. Faute grave de Hitler et Rundstedt 19 mai : durs combats sur le flanc nord. Pas d ennemi en face de Kleist. Deux groupements rapides formés. 20 mai : Kleist à Abbeville. Encerclement atteint. Ch. 88 Acte premier, scène II. Dunkerque. 21 mai : Infanterie mal répartie, trop d unités oisives. Critique de Clausewitz : «Gaspiller ses forces». Jonction entre H.Gr.A et H.Gr.B tardive. La décision à Arras par l infanterie. Durs combats. Kleist «risque d être encerclé à son tour». 22 mai : troupes rapides à l ouest, infanterie à l est d Arras. Kleist arrive devant Dunkerque sans infanterie. Pertes de chars. Trop de prisonniers. 23 mai : «Très grande confiance de Hitler en Rundstedt» - H.Gr.A : 71 divisions. Une nouvelle Armée, la 9 e. Brauchitsch veut attaquer à partir du sud. 24 mai : «Halt- Befehl». L infanterie attaque à partir du nord, les chars sur la défensive, ils ne franchissent pas le Rubicon. Ordre de Hitler : «Destruction des forces ennemies». «Supériorité alliée dans les airs». Kleist : grand entretien, manque de 19

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