SVT TS : Procréation Connaissances exigibles

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "SVT TS : Procréation Connaissances exigibles"

Transcription

1 SVT TS : Procréation Connaissances exigibles I Le sexe génétique détermine la mise en place du sexe phénotypique au cours du développement d un mammifère. A Le sexe est génétiquement défini à la fécondation par la présence des chromosomes sexuels : XX chez la femelle et XY chez le mâle. B la 1 ère étape de l expression du sexe génétique se caractérise par la mise en place d un appareil génital différencié. Chez le jeune embryon, la structure de l appareil génital est commune aux deux sexes. Les gonades sont indifférenciées. Les voies génitales présentent deux types d ébauches : les canaux de Wolff et les canaux de Müller. C Lors de la 2 ème étape, au cours du développement embryonnaire, les gonades se différencient. 1. L acquisition du sexe gonadique mâle est déterminée par l expression du gène Sry. Le gène Sry est localisé sur la portion spécifique du chromosome Y. Ce gène code pour la synthèse de la protéine TDF. Cette protéine déclenche l expression de nombreux gènes qui conduisent à la différenciation de la gonade en testicule. 2. Chez la femelle, en absence du gène Sry et donc de la protéine TDF, les gonades se différencient en ovaires. D Lors de la 3 ème étape, au cours du développement embryonnaire, les voies génitales se différencient. 1. Chez le mâle, les hormones testiculaires contrôlent la sexualisation des voies génitales. La testostérone stimule la masculinisation des canaux de Wolff à l origine des voies génitales mâles et des organes sexuels externes La testostérone est sécrétée par les cellules de Leydig ou cellules interstitielles. L hormone antimüllérienne, sécrétée par les cellules de Sertoli, entraîne la régression des canaux de Müller. 2. Chez la femelle, l absence d hormones testiculaires conduit à la féminisation des voies génitales. Les canaux de Wolff régressent et disparaissent. Les canaux de Müller persistent et évoluent en voies génitales femelles. E A la puberté, les appareils génitaux deviennent fonctionnels. 1. La concentration plasmatique des hormones sexuelles sécrétées par les gonades augmente considérablement. Les testicules sécrètent la testostérone. Les ovaires sécrètent les oestrogènes. 2. Les hormones sexuelles contrôlent le développement des caractères sexuels secondaires et l acquisition de la fonctionnalité de l appareil génital. F Les phénotypes sexuels sont définis par les caractères sexuels primaires et secondaires. Les caractères sexuels primaires correspondent aux organes génitaux internes et externes. Les caractères sexuels secondaires correspondent à des différences morphologiques et comportementales entre les deux sexes.

2 II Le fonctionnement des gonades est contrôlé par un système de régulation. A La concentration plasmatique des hormones sexuelles produites par les gonades détermine l aptitude à la procréation en modifiant l activité des cellules cibles des effecteurs. 1. Chez le mâle, le maintien de la concentration de la testostérone est indispensable à l entretien des caractères sexuels et au déroulement de la spermatogenèse. La testostérone est sécrétée par les cellules interstitielles des testicules, situées entre les tubes séminifères. La concentration plasmatique de testostérone résulte d un équilibre dynamique entre sécrétion continue d une part, dégradation puis excrétion d autre part. Dans l espèce humaine, la production de spermatozoïdes et de testostérone est continue de la puberté jusqu à la fin de la vie. 2. Chez la femelle, les variations cycliques de la concentration en oestrogènes et en progestérone sont indispensables à la fécondation et à la nidation. a L œstradiol et la progestérone, hormones sexuelles femelles, sont sécrétées de façon cyclique par des populations temporaires des ovaires. Cette activité est cyclique de la puberté à la ménopause chez la femme. b Pendant la phase folliculaire, 1 ère phase du cycle ovarien, la sécrétion d œstrogènes résulte de l activité de cellules du follicule. Les oestrogènes sont sécrétés en quantité croissante au cours de la maturation du follicule dominant. Les oestrogènes stimulent la prolifération des cellules de la muqueuse utérine, ce qui prépare à la nidation. La concentration croissante d œstrogènes, deux jours avant l ovulation, augmente la fluidité de la glaire cervicale, ce qui facilite le passage des spermatozoïdes. c Pendant la phase lutéale, 2 ème phase du cycle ovarien, oestradiol et progestérone sont sécrétés par les cellules du corps jaune. Le corps jaune est issu de la transformation du follicule qui a libéré le gamète femelle lors de l ovulation. La progestérone renforce la vascularisation de la muqueuse utérine : la muqueuse utérine devient apte à la nidation. La progestérone inhibe la contraction du myomètre, ce qui favorise l implantation éventuelle d un embryon. En l absence de nidation, le corps jaune régresse, les concentrations plasmatiques d œstrogènes et de progestérone diminuent. La diminution de la concentration plasmatique des hormones ovariennes entraîne la destruction d une grande partie de la muqueuse utérine, ce qui provoque la menstruation chez la femme. B La régulation de l axe gonadotrope se fait à trois niveaux : gonades, hypophyse et hypothalamus. 1. L hypothalamus commande la sécrétion des hormones hypophysaires Certains neurones de l hypothalamus ont une activité spontanée. Ce message nerveux commande une libération pulsatile de GnRH dans le sang par ces mêmes neurones : la GnRH est une neurohormone. La GnRH stimule la sécrétion d hormones hypophysaires, FSH et LH. 2. La variation de la concentration plasmatique des hormones hypophysaires constitue le message hormonal contrôlant l activité des organes effecteurs, les gonades. a Les hormones hypophysaires sont appelées gonadostimulines.

3 b Chez l homme, la production continue de gonadostimulines entretient l activité des testicules. La LH stimule la production de testostérone. La FSH stimule indirectement la spermatogenèse en agissant sur les cellules de Sertoli. c Chez la femme, la sécrétion cyclique de gonadostimulines détermine l activité des ovaires. La sécrétion de FSH permet la croissance des follicules ovariens. Le pic de LH déclenche l ovulation. L importante sécrétion de LH permet la mise en place d un corps jaune fonctionnel. 3. Le complexe hypothalamo-hypophysaire capte les variations de la concentration plasmatique des hormones produites par les gonades et adapte en conséquence la sécrétion des gonadostimulines. a Chez l homme, une rétroaction négative suffit à ramener à sa valeur de référence la concentration de testostérone. Cette valeur de référence constitue la grandeur de consigne de l homéostat. Une augmentation de la concentration de testostérone entraîne une diminution de la sécrétion de LH. La réponse des cellules cibles (cellules interstitielles) diminue l activité des cellules qui les commandent (cellules du complexe hypothalamo-hypophysaire) : c est une rétroaction négative. Une diminution de la concentration plasmatique de la testostérone lève la rétroaction négative, ce qui entraîne une augmentation de la sécrétion de LH. b Chez la femme, l alternance des rétroactions négatives et positive est responsable des cycles sexuels. Au cours d un cycle sexuel, les grandeurs de consigne, constituées par les concentrations plasmatiques d œstrogènes et de progestérone, varient. Au cours de la phase folliculaire, de faibles concentrations d œstradiol exercent une rétroaction négative sur le complexe hypothalamo-hypophysaire qui diminue la production de gonadostimulines. En fin de phase folliculaire, la mise en jeu d un servomécanisme transforme le sens de la rétroaction : elle devient positive, grâce à une sécrétion importante d oestradiol. La réponse des cellules cibles (les cellules folliculaires) augmente alors l activité des cellules qui les commandent (complexe hypothalamo-hypophysaire) : rétroaction positive. En phase lutéale, l œstradiol et la progestérone exercent conjointement une rétroaction négative, diminuant la production des gonadostimulines. En fin de phase lutéale, en absence de fécondation, la diminution des concentrations plasmatiques des hormones ovariennes entraîne la production accrue de FSH, ce qui permet le début d un nouveau cycle. III L activité hormonale assure le synchronisme des phénomènes physiologiques et comportementaux, conditions du succès de la procréation. A La rencontre des gamètes résulte d un comportement sexuel caractéristique de chaque espèce. 1. Chez les mammifères non hominidés, le comportement sexuel est étroitement lié à des facteurs hormonaux et environnementaux. a Chez le mâle, l état physiologique qui conduit au rut est déterminé par l augmentation de la sécrétion de testostérone et par l existence de stimuli émis par une femelle réceptive. b Chez la femelle, l état physiologique qui conduit à l acceptation du mâle est déterminé par l augmentation de la sécrétion d œstrogènes. Cet état physiologique est appelé oestrus. Le synchronisme de l œstrus et de l ovulation augmente les chances de fécondation.

4 c les facteurs de l environnement peuvent influencer l activité du complexe hypothalamohypophysaire. Le complexe hypothalamo-hypophysaire intègre des messages nerveux et hormonaux provoqués par les stimuli d origine externe. Cette intégration se traduit par des pulses de GnRH. 3. Chez les hominidés, la relation entre les sécrétions hormonales et le comportement sexuel est moins étroite. Le développement de la libido à partir de la puberté est lié à l augmentation des concentrations plasmatiques des hormones sexuelles. Dans l espèce humaine, les individus sont capables de dissocier au moins partiellement leur comportement sexuel de leur état hormonal. B Chez les mammifères, la rencontre des gamètes a lieu dans les voies génitales femelles : la fécondation est interne. 1. La fécondation a lieu dans le tiers supérieur des trompes. Elle implique la migration des spermatozoïdes dans les voies génitales femelles après l accouplement. 3. La survie limitée des gamètes dans les voies génitales femelles réduit la période de fécondité à quelques jours par cycle. C La gestation nécessite des modifications des sécrétions hormonales 1. Lorsqu il y a gestation, la concentration plasmatique de progestérone augmente. Cela est dû au maintien de l activité du corps jaune. Ainsi la muqueuse ne se détruit pas. 2. Le maintien de l activité du corps jaune est assuré par une hormone : l HCG. Cette hormone est sécrétée par des cellules embryonnaires dès le début de la nidation. La présence de cette hormone dans l urine de la femme permet de diagnostiquer une grossesse. IV Les connaissances acquises sur la physiologie de la reproduction permettent des applications médicales dans la maîtrise de la procréation. A Des méthodes de régulation des naissances facilitent le choix du moment de la procréation. 1. La contraception hormonale chez la femme est fondée sur des modifications des équilibres hormonaux ayant des conséquences sur les structures reproductrices. a Elle utilise des hormones de synthèse : oestrogènes et progestagènes (ont la même action que la progestérone). b Ces hormones bloquent le développement folliculaire, donc l ovulation. Cela est dû à la rétroaction négative exercée sur le complexe hypothalamo-hypophysaire c Ces hormones agissent aussi sur la glaire cervicale la rendant impénétrable aux spermatozoïdes. d Ces modifications sont réversibles après l arrêt de la prise d hormones. 2. Des méthodes d urgence peuvent être utilisées après un rapport sexuel sans contraception. a La pilule du lendemain agit grâce à la forte dose d œstrogènes et / ou de progestagènes. Elle engendre une perturbation hormonale qui empêche l ovulation ou la nidation si l ovulation a déjà eu lieu.

5 b La RU 486 est une molécule antagoniste de la progestérone. Elle a une structure proche de celle de la progestérone, mais provoque une action différente. Elle entre en compétition avec elle sur les cellules cibles de la muqueuse utérine. Cette muqueuse ne répond plus à l action de la progestérone : la grossesse devient impossible. 3. La contraception hormonale masculine est encore à l état de recherche. 4. Des méthodes non hormonales peuvent être utilisées. B L aide médicalisée à la procréation permet de traiter certains cas d infertilité 1. Des oestrogènes et des progestagènes de synthèse permettent de stimuler l ovulation et de préparer la nidation. 2. Ces hormones sont utilisées dans différents cas : IA, FIVETE, ICSI. L IA est l insémination artificielle. La FIVETE est la fécondation in vitro et le transfert d embryon. L ICSI est l injection intra cytoplasmique du spermatozoïde. C La surveillance de la grossesse repose sur des examens cliniques réalisés sur la femme et son fœtus. Les échographies permettent de dépister certaines malformations. Des examens sanguins permettent de détecter certains marqueurs biochimiques. En cas de doute, des prélèvements de cellules fœtales permettent de diagnostiquer des anomalies chromosomiques ou géniques. Après un diagnostic estimé défavorable, une interruption thérapeutique de grossesse peut être proposée. D Ces techniques médicales et le risque de dérive qui y sont liés posent de nombreux problèmes éthiques. Expressions et mots-clés : Aide médicalisée à la procréation Glaire cervicale Ovulation (PMA) Axe gonadotrope GnRH Phase folliculaire Canaux de Müller Gonades Phase lutéale Canaux de Wolff Gonadostimulines Progestérone Contraception Hormone antimüllérienne (AMH) Puberté Corps jaune HCG Rétroaction Cycles sexuels Hypophyse Sexe génétique Fécondation Hypothalamus Sexe gonadique Follicule LH Sexe phénotypique FSH Neurohormone Surveillance de grossesse Gène Sry Nidation Testostérone gestation Oestrogènes

Fécondation in vitro avec don d ovocytes

Fécondation in vitro avec don d ovocytes Fécondation in vitro avec don d ovocytes Ref. 155 / abril 2009 Service de Médecine de la Reproduction Gran Vía Carlos III 71-75 08028 Barcelona Tel. (+34) 93 227 47 00 Fax. (+34) 93 491 24 94 international@dexeus.com

Plus en détail

Exploration et Prise en charge d un couple infertile

Exploration et Prise en charge d un couple infertile Exploration et Prise en charge d un couple infertile Florence LESOURD Pôle d Obstétrique, Gynécologie et Médecine de la Reproduction CHU Paule de Viguier - Toulouse DIU de Médecine de la Reproduction-Gynécologie

Plus en détail

GUIDE D INFORMATION À L INTENTION DES RÉCIPIENDAIRES DE DON D OVULES DES RÉPONSES À VOS QUESTIONS

GUIDE D INFORMATION À L INTENTION DES RÉCIPIENDAIRES DE DON D OVULES DES RÉPONSES À VOS QUESTIONS GUIDE D INFORMATION À L INTENTION DES RÉCIPIENDAIRES DE DON D OVULES DES RÉPONSES À VOS QUESTIONS Cette brochure a été conçue dans le but de répondre à vos questions et vous aider à prendre une décision

Plus en détail

GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral intramusculaire

GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral intramusculaire ésumé des Caractéristiques du Produit 1 sur 5 21/09/2010 14:31 Mis à jour : 16/02/2010 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral

Plus en détail

info ROACCUTANE Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane Roaccutane

info ROACCUTANE Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane Roaccutane Roaccutane isotrétinoïne Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane info ROACCUTANE RM SM MANAGEMENT Programme de prévention de la grossesse SOMMAIRE 3.

Plus en détail

Mais pourquoi je ne suis pas enceinte?

Mais pourquoi je ne suis pas enceinte? Mais pourquoi je ne suis pas? On a beau vouloir très fort un bébé, la nature ne nous obéit pas toujours au doigt et à l œil Ce qu il faut savoir pour être au top de sa fertilité et tomber plus facilement!...

Plus en détail

SERVICE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE - CLINIQUE DE FERTILITE

SERVICE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE - CLINIQUE DE FERTILITE 1 TABLE DES MATIERES 1. Un petit mot d introduction 2. En quoi consiste le don d ovocyte? 3. A qui s adresse le don d'ovocyte? 4. Les différents types de don d ovocyte A. Le don anonyme B. Le don dirigé

Plus en détail

Préface. Les étudiants de l Association des Médecins et Pharmaciens du Coeur (AMPC)

Préface. Les étudiants de l Association des Médecins et Pharmaciens du Coeur (AMPC) Préface Notre association regroupe les énergies bénévoles d étudiants en médecine et en pharmacie, avec pour objectif d aider et accompagner enfants, adolescents et jeunes adultes confrontés à la maladie.

Plus en détail

INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE

INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Partie 1, Chapitre 4 INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Constat : à l'exception des jumeaux, chaque individu est unique. Ses caractères héréditaires dependent des info génétiques (allèles) portées

Plus en détail

Brochure d information

Brochure d information Centre de stérilité masculine et Centre d Études et de Conservation des Œufs et du Sperme humain CECOS Midi-Pyrénées Hôpital Paule de Viguier 330 avenue de Grande-Bretagne CHU de Toulouse 2005 Brochure

Plus en détail

Bienvenue à la Clinique de Fertilité de Mons

Bienvenue à la Clinique de Fertilité de Mons Bienvenue à la Clinique de Fertilité de Mons Le centre hospitalier Ambroise Paré collabore depuis de nombreuses années avec les Cliniques Universitaires de Bruxelles Hôpital Erasme pour vous permettre

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail

Vivez votre féminité sans souffrir.

Vivez votre féminité sans souffrir. Vivez votre féminité sans souffrir. PERDOFEMINA (lysinate d ibuprofène) est un médicament pour les adultes et les enfants à partir de 12 ans. Pas d utilisation prolongée sans avis médical. Ne pas administrer

Plus en détail

L endométriose. souvent méconnue. Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes

L endométriose. souvent méconnue. Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes L endométriose une maladie gynécologique évolutive, souvent méconnue Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes intéressées Groupe d experts de l endométriose de la Société d

Plus en détail

P.S.E. 1 ère situation d évaluation

P.S.E. 1 ère situation d évaluation Lycée X Ville Session 201 P.S.E. 1 ère situation d évaluation Première Bac Professionnel Spécialité du diplôme Académie de Nancy-Metz Durée : 55 minutes NOM :. Prénom :. NOTE : / 18 NOTE : / 09 FOLIO :

Plus en détail

Reproduction et environnement

Reproduction et environnement Expertise collective Synthèse Reproduction et environnement ISBN 978-2-85598-891-8 www.inserm.fr Expertise collective Reproduction et environnement Expertise collective Synthèse Reproduction et environnement

Plus en détail

Le fonctionnement de l'organisme

Le fonctionnement de l'organisme Seconde partie Le fonctionnement de l'organisme 1 Le système cardio-pulmonaire...2 1.1 Anatomie et fonctionnement du coeur...2 1.2 La distribution du sang aux organes...4 2 Communication et intégration

Plus en détail

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin. Lévonorgestrel

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin. Lévonorgestrel NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin Lévonorgestrel Ce médicament fait l objet d une surveillance supplémentaire qui permettra l identification rapide

Plus en détail

Item 30 : Assistance Médicale à la Procréation (AMP)

Item 30 : Assistance Médicale à la Procréation (AMP) Item 30 : Assistance Médicale à la Procréation (AMP) Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF) Date de création du document 2010-2011 Table des matières Pré-Requis... 4 OBJECTIFS...

Plus en détail

ETUDE DE MARCHE : LA CONTRACEPTION

ETUDE DE MARCHE : LA CONTRACEPTION ETUDE DE MARCHE : LA CONTRACEPTION INTRODUCTION Autrefois, l'avortement était prohibé par l'apanage des familles nombreuses et par l'influence de l'église qui classaient la contraception au rang de délit.

Plus en détail

La puberté avant l âge Nouveaux aspects

La puberté avant l âge Nouveaux aspects La puberté avant l âge Nouveaux aspects Catherine Pienkowski Sophie Grandjean Unité d Endocrinologie et Gynécologie Médicale Hôpital des Enfants - Toulouse La puberté avant l âge Nouveaux aspects Introduction

Plus en détail

F us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou

F us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant

Plus en détail

introduction & sommaire

introduction & sommaire introduction & sommaire 3 MT* - MALE TO SOMETHING est une brochure pour les personnes assignées hommes par les sciences biomédicales et qui sont en transition vers une identité fluide ou féminisée et toutes

Plus en détail

Fécondation In Vitro «La bourse ou la vie?»

Fécondation In Vitro «La bourse ou la vie?» Rapportd Immersion encommunauté FécondationInVitro «Labourseoulavie?» CharelConstantin Julie VanessaDaverio CoralieZermatten Tuteurs:AndreaCarlinoetAstridStuckelberger Facultédemédecine UniversitédeGenève

Plus en détail

Les INSÉMINATIONS INTRA-UTÉRINES

Les INSÉMINATIONS INTRA-UTÉRINES 1 Équipe AMP La Sagesse Rennes DOSSIER GUIDE Les INSÉMINATIONS INTRA-UTÉRINES COMPOSITION DE L'EQUIPE DE FECONDATION IN VITRO 2 L'équipe de Fécondation in vitro est multidisciplinaire et son bon fonctionnement

Plus en détail

Contraception après 40 ans

Contraception après 40 ans Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception

Plus en détail

Patient Diagnostics Tests Rapides Désir d Enfant

Patient Diagnostics Tests Rapides Désir d Enfant Enceinte ou non? Patient Diagnostics Tests Rapides Désir d Enfant Les tests uniques en leur genre d aide à la planification familiale à utiliser chez soi Test d ovulation Test de grossesse précoce Test

Plus en détail

AVIS N 75. Questions éthiques soulevées par le développement de l'icsi

AVIS N 75. Questions éthiques soulevées par le développement de l'icsi Comité Consultatif National d Ethique pour les Sciences de la Vie et de la Santé AVIS N 75 Questions éthiques soulevées par le développement de l'icsi Le CCNE a été saisi par Claire Brisset, Défenseure

Plus en détail

Les tests thyroïdiens

Les tests thyroïdiens Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur

Plus en détail

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés

Plus en détail

Extrait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique

Extrait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique COLLÈGE NATIONAL DES GYNÉCOLOGUES ET OBSTÉTRICIENS FRANÇAIS Président : Professeur M. Tournaire Extrait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique Tome XXII publié le 2.12.1998 VINGT-DEUXIÈMES JOURNÉES

Plus en détail

INFLUENCE D UN TRAITEMENT MYOFASCIAL ABDOMINO-PELVIEN SUR LA MIGRAINE CATAMÉNIALE

INFLUENCE D UN TRAITEMENT MYOFASCIAL ABDOMINO-PELVIEN SUR LA MIGRAINE CATAMÉNIALE INFLUENCE D UN TRAITEMENT MYOFASCIAL ABDOMINO-PELVIEN SUR LA MIGRAINE CATAMÉNIALE Mémoire de fin d études pour l'obtention du Diplôme Français d Ostéopathe (DFO) Juin 2008 Sonia BOGLIOTTI Maître de Mémoire

Plus en détail

Information génétique

Information génétique chapitre 3 Information génétique et division cellulaire L étude de la division cellulaire est abordée pour découvrir comment est transmise et conservée l information génétique portée par les chromosomes.

Plus en détail

Stratégie de don d'ovocytes : expérience Belge

Stratégie de don d'ovocytes : expérience Belge Stratégie de don d'ovocytes : expérience Belge B. Lejeune Le don d'ovocytes existe depuis une vingtaine d'années : la première grossesse obtenue par cette méthode date de 1984 et avait été obtenue par

Plus en détail

Migraine et mal de tête : des "casse-tête"

Migraine et mal de tête : des casse-tête Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,

Plus en détail

Migraines, céphalées et statut hormonal

Migraines, céphalées et statut hormonal Migraines, céphalées et statut hormonal Vincent Cahagne, service de neurologie et équipe mobile d accompagnement et de soins palliatifs, Chu Rennes Migraine et puberté Le début de la migraine Le début

Plus en détail

La Symptothermie complète

La Symptothermie complète La Symptothermie complète La contraception ou conception écologique pour tous! R. Harri Wettstein & Christine Bourgeois Nouvelle version du manuel SymptoTherm Basic (Première édition : 2006 ) «Le présent

Plus en détail

Ce dont on ne parle pas

Ce dont on ne parle pas 1 2 Pour de nombreux jeunes gens, l entrée dans l âge adulte s accompagne de profondes transformations. Il en résulte de nombreuses possibilités nouvelles, mais aussi bien des incertitudes, tout aussi

Plus en détail

1 les caractères des êtres humains.

1 les caractères des êtres humains. Quelques rappels des classes précédentes ACTIVITÉ livre pages 8 et 9 : apprendre le bilan de la page 9 Les êtres vivants sont répartis en espèces. Chaque être vivant est formé de cellules. schéma d une

Plus en détail

LA RECHERCHE EN REVUE

LA RECHERCHE EN REVUE LA CONTRACEPTION AU CANADA : DES PREMIÈRES MÉTHODES AUX POSSIBILITÉS FUTURES La disponibilité de méthodes contraceptives sûres et efficaces a toujours été une question importante pour les Canadiens. Cependant,

Plus en détail

La migraine : quelle prise de tête!

La migraine : quelle prise de tête! La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également

Plus en détail

19 thèmes dans 10 villes

19 thèmes dans 10 villes SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie

Plus en détail

L assistance médicale à la procréation en France en 2010. Dossier de presse

L assistance médicale à la procréation en France en 2010. Dossier de presse L assistance médicale à la procréation en France en 2010 Dossier de presse Mars 2010 1 SOMMAIRE Communiqué de synthèse page 3 PARTIE I AMP : ce qu il faut retenir page 5 Fiche 1 - L AMP : une réponse possible

Plus en détail

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Section 8 REPRODUCTION

Section 8 REPRODUCTION REPRODUCTION Quelle est la saison naturelle de reproduction des brebis?... 90 Quelle est la durée de l œstrus d une brebis au cours de la période d ovulation?... 91 Quels sont les signes du cycle œstral?...

Plus en détail

La grossesse. UE 2.2 cycles de la vie et grandes fonctions. Corinne Velly Infirmière Puéricultrice Cadre de Santé 13 mars 2014

La grossesse. UE 2.2 cycles de la vie et grandes fonctions. Corinne Velly Infirmière Puéricultrice Cadre de Santé 13 mars 2014 La grossesse UE 2.2 cycles de la vie et grandes fonctions Corinne Velly Infirmière Puéricultrice Cadre de Santé 13 mars 2014 Plan La fécondation Le diagnostique de la grossesse La vie embryonnaire et foetale

Plus en détail

Les différentes maladies du coeur

Les différentes maladies du coeur Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par

Plus en détail

Coordinateur Roland Calderon

Coordinateur Roland Calderon SVT-3 e -/Sciences de la Vie et de la Terre-/ erre-/-programme 2008 LIVRE DU PROFESSEUR Coordinateur Roland Calderon Les auteurs Vincent Béranger Professeur à Paris Louis-Marie Couteleau Professeur à Paris

Plus en détail

AUTOUR DE LA MISE BAS

AUTOUR DE LA MISE BAS AUTOUR DE LA MISE BAS Un vêlage ou un agnelage est une des périodes les plus importantes dans la conduite d un élevage. De sa réussite dépendra l entrée d argent quelques mois plus tard. Il est donc impératif

Plus en détail

AMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine

AMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du

Plus en détail

Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype

Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chaque chromosome est en double exemplaire Donc chaque gène (situé sur son locus) est en double exemplaires : et peut être sous différente

Plus en détail

La mienne est. La mienne est. en comprimés

La mienne est. La mienne est. en comprimés La mienne est dans mon bras La mienne est au cuivre La mienne est en latex La mienne est sans ordonnance La mienne dure 3 ans La mienne n est pas contraignante La mienne est remboursée La mienne est en

Plus en détail

Focus. Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés.

Focus. Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés Focus Juillet 2007 Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Conception et réalisation

Plus en détail

Cordarone et Thyroïde par François Boustani

Cordarone et Thyroïde par François Boustani Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir

Plus en détail

Etnoka.fr. De la démocratie en France

Etnoka.fr. De la démocratie en France Etnoka.fr De la démocratie en France Partie 1 : UN SIÈCLE DE TRANSFORMATIONS SCIENTIFIQUES, TECHNOLOGIQUES, ÉCONOMIQUES ET SOCIALES Séquence 1 : LES GRANDES INNOVATIONS SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES

Plus en détail

ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE

ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation

Plus en détail

Qu est-ce que la maladie de Huntington?

Qu est-ce que la maladie de Huntington? Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée

Plus en détail

PARTIE I Compte pour 75 %

PARTIE I Compte pour 75 % PARTIE I Compte pour 75 % Instructions : Noircissez la lettre correspondant à la bonne réponse sur la feuille de réponse fournie. 1. Dans le diagramme, quelles structures font partie du système nerveux

Plus en détail

LA CONTRACEPTION SUR L INFORMATION REÇUE EN

LA CONTRACEPTION SUR L INFORMATION REÇUE EN LA CONTRACEPTION 1 SATISFACTION DES PATENTES SUR L INFORMATION REÇUE EN POST PARTUM INTRODUCTION Contexte : 2 Élargissement des compétences de SF (contraception & gynécologie de prévention) (1) Rôle dans

Plus en détail

Gènes du développement et structuration de l organisme

Gènes du développement et structuration de l organisme 03-Gènes du développement_00/maquette imports 19/01/10 10:45 Page99 Revue des Questions scientifiques, 2010, 181 (1) : 99-110 Gènes du développement et structuration de l organisme René Rezsohazy Unité

Plus en détail

Toxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup

Toxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.

Plus en détail

Hyperplasie congénitale des surrénales par déficit en 21-hydroxylase

Hyperplasie congénitale des surrénales par déficit en 21-hydroxylase Hyperplasie congénitale des surrénales par déficit en 21-hydroxylase GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE PNDS Cliquez ici LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Cliquez ici GUIDE MÉDECIN

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Dysfonctionnements sexuels et VIH

Dysfonctionnements sexuels et VIH Dysfonctionnements sexuels et VIH Vus par le médecin hospitalier F. Borsa-Lebas Inter-COREVIH Nord/ Nord-Ouest Hardelot, 21 et 22 mars 2014 Les dysfonctionnements sexuels recouvrent les troubles: de la

Plus en détail

Pourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors?

Pourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors? Pourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors? elle va pour cela créer des éléments chargées de transmettre un message à son corps (les hormones) : la «relaxine»

Plus en détail

Informations avant insémination

Informations avant insémination LISEZ CES INFORMATONS PLUSIEURS FOIS Informations avant insémination Bienvenue à StorkKlinik Nous nous réjouissons de parler avec vous durant l entretien préliminaire enregistré, qu il se déroule à StorkKlinik

Plus en détail

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents

Plus en détail

Les débuts de la génétique

Les débuts de la génétique HPITRE 9 DES DÉBTS DE L ÉNÉTIQE X ENJEX TELS DES BIOTEHNOLOIES 1 Les débuts de la génétique est avec les travaux de regor Mendel vers la fin du XIX e siècle que furent posées les bases de la génétique.

Plus en détail

A - Nomenclature des préjudices de la victime directe

A - Nomenclature des préjudices de la victime directe ANNEXE NOMENCLATURE DES PREJUDICES RESULTANT D UNE ATTEINTE A LA PERSONNE A - Nomenclature des préjudices de la victime directe 1 ) Préjudices patrimoniaux a) Préjudices patrimoniaux temporaires (avant

Plus en détail

Infection par le VIH/sida et travail

Infection par le VIH/sida et travail Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage

Plus en détail

Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.

Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de

Plus en détail

Protéger notre environnement et notre santé des perturbateur endocriniens

Protéger notre environnement et notre santé des perturbateur endocriniens Protéger notre environnement et notre santé des perturbateur endocriniens Nous vivons une crise sanitaire silencieuse. Depuis plusieurs décennies, les maladies chroniques progressent de manière inquiétante.

Plus en détail

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division

Plus en détail

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.

Plus en détail

Sommaire de la rubrique «Faire un don du sang» Site Internet des villes région Pays de la Loire FAIRE UN DON

Sommaire de la rubrique «Faire un don du sang» Site Internet des villes région Pays de la Loire FAIRE UN DON Sommaire de la rubrique «Faire un don du sang» Site Internet des villes région Pays de la Loire FAIRE UN DON Page d accueil de la rubrique avec un point sur les besoins en sang de la région Page 2 Pourquoi

Plus en détail

Les irrégularités du cycle en préménopause

Les irrégularités du cycle en préménopause Fiche 3.2.2 Les irrégularités du cycle en préménopause Je suis déjà rendue là? Saviez-vous que... La majorité des femmes connaîtront des changements dans leur cycle menstruel pendant une période de quatre

Plus en détail

Professeur Diane GODIN-RIBUOT

Professeur Diane GODIN-RIBUOT UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

AVIS N 112. Une réflexion éthique sur la recherche sur les cellules d origine embryonnaire humaine, et la recherche sur l embryon humain in vitro

AVIS N 112. Une réflexion éthique sur la recherche sur les cellules d origine embryonnaire humaine, et la recherche sur l embryon humain in vitro Comité Consultatif National d'éthique pour les Sciences de la Vie et de la Santé AVIS N 112 Une réflexion éthique sur la recherche sur les cellules d origine embryonnaire humaine, et la recherche sur l

Plus en détail

Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones

Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio

Plus en détail

Le programme complémentaire santé le plus complet: Meuhedet See

Le programme complémentaire santé le plus complet: Meuhedet See Le programme complémentaire santé le plus complet: Meuhedet See Chers adhérents, Le programme de la complémentaire santé Meuhedet See est à la fois complet et révolutionnaire, il a pour but de procurer

Plus en détail

Génétique et génomique Pierre Martin

Génétique et génomique Pierre Martin Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée

Plus en détail

Il importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au

Il importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au Il importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au 15 août 2011. Toutefois, ces recommandations n ont aucunement

Plus en détail

Donner naissance au Canada. Les coûts

Donner naissance au Canada. Les coûts Donner naissance au Canada Les coûts Le contenu de cette publication peut être reproduit en totalité ou en partie pourvu que ce ne soit pas à des fins commerciales et que l Institut canadien d information

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010

Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur

Plus en détail

La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation

La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation PAR Alireza MOGHADDAM TUTEUR : Guy HÉDELIN Laboratoire d Épidémiologie et de Santé publique, EA 80 Faculté de Médecine de Strasbourg

Plus en détail

Transfusions sanguines, greffes et transplantations

Transfusions sanguines, greffes et transplantations Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

Les avantages du programme complémentaire santé Meuhedet Adif

Les avantages du programme complémentaire santé Meuhedet Adif Les avantages du programme complémentaire santé Meuhedet Adif Chers adhérents, C est avec le souci de procurer un mieux-être à ses adhérents que Meuhedet a mis au point son programme complémentaire santé

Plus en détail

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. 1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises

Plus en détail

Bilans : tableau de conversion des unités

Bilans : tableau de conversion des unités ANNEXES Bilans : tableau de conversion des unités Il est difficile de résumer dans un tableau les normes biologiques des bilans hormonaux, car la plupart d entre elles sont variables en fonction des laboratoires.

Plus en détail

La filtration glomérulaire et sa régulation

La filtration glomérulaire et sa régulation UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

Infection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet

Infection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule

Plus en détail