GUIDE DU FACILITATEUR ACAT en HAITI
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- Aline Viau
- il y a 7 ans
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1 GUIDE DU FACILITATEUR ACAT en HAITI Approche Communautaire pour l Assainissement Total GBBGGGGGGGGGGGGGGG MSPP
2 Avant-propos Haïti a le plus faible taux de couverture en assainissement sur le continent américain avec une moyenne nationale de 26 %. Les zones urbaines et rurales ont respectivement 48% et 16% de taux de couverture. Il apparait aussi que 49% de la population rurale pratique la défécation à l air libre (Joint Monitoring Programme UNICEF/WHO, 2012). Le séisme dévastateur de janvier 2010 ainsi que ses implications ont davantage détérioré la situation de la défécation à l air libre et a augmenté la dépendance des personnes à l aide extérieure, avec une attitude d attentisme qui n aide pas l auto-développement. L épidémie de choléra survenue en octobre 2010, avec ses 8,602 personnes décédées sur un total de 697,461 atteintes jusqu à septembre 2014 (DELR) renforce la pertinence d une approche conjointe d hygiène et d assainissement pour diminuer le risque et la vulnérabilité, d attraper le choléra et les autres maladies diarrhéiques. En réponse à ces faibles taux de couverture d assainissement et ces mauvaises pratiques d hygiène, UNICEF et Plan Haïti, en partenariat avec la DINEPA ont pris, en aout 2010, l initiative d expérimenter l approche ATPC en Haïti. Les résultats de cette approche n ont pas encore été évalués afin de prouver ses évidences et son passage à l échelle nationale. Mais, ses forces et faiblesses ont été analysées par différents acteurs qui l ont expérimenté. Dans ce contexte, la DINEPA, le MSPP et leurs partenaires proposent de mettre en œuvre une nouvelle approche basée sur les forces de l ATPC en Haiti, en y ajoutant des méthodologies relevant du contexte Haïtien. Il sera appelé l ACAT (Approche Communautaire pour l Assainissement Total). Cette Approche se complémentera avec les méthodologies de CCC (Communication pour le changement des comportements) et le marketing d assainissement. Cette Guide décrit principalement l ACAT compte tenu que les méthodologies de CCC (PHAST et autres) sont bien connues, et que le marketing d'assainissement est en voie de développement, raison pour laquelle nous l avons seulement l introduit comme annex (voir Annexe 1) L ACAT se cible sur la sensibilisation et la motivation de la population pour améliorer sa situation en matière d assainissement avec l accès aux toilettes appropriés, et introduise les méthodologies de CCC permettant d améliorer certaines habitudes d hygiène les plus efficaces pour la protection contre les maladies faeco-orales, telles que, la bonne utilisation/entretien des toilettes, le lavage des mains et le traitement et conservation de l eau à domicile. Le souci c est de former des personnes dans les localités qui, appuyés par des superviseurs externes à la localité, pourront travailler de manière participative avec les communautés pour améliorer leurs conditions d hygiène et d assainissement de manière soutenable. La troisième étape introduise le marketing de l assainissement pour améliorer l demande des latrines améliorées crée par ACAT et au même temps renforcer l offre. L approche globale demande un suivi d au moins deux ans par localité compte tenu que changer les normes sociales et les habitudes de manière soutenable prend du temps et de dévouement
3 Le guide de travail de terrain de cette approche, outil consolidant et capitalisant les réalités socio-économiques et culturelles haïtiennes, s adresse aux animateurs de terrain, aux responsables de programme d assainissement et à la société civile. Son objectif est de leur permettre de comprendre la philosophie et les principes de l ACAT et leur faciliter son utilisation pratique. Cette approche communautaire vise à accroitre la demande, à identifier des facteurs de motivation et de blocage à l auto-construction et utilisation des toilettes et à améliorer l offre de l assainissement. Cette offre se compose du choix des services et produits préférés par la population qui sont abordables, adéquats et facilement disponibles. Les remarques et les suggestions contribueront à améliorer les versions futures de ce guide qui peut être facilement adapté en fonction des résultats des différentes études formatives sur l assainissement en cours dans le pays. En effet, les études formatives actuellement en cours permettront une meilleure réponse du pays en assainissement et serviront pour compléter ce guide.
4 Table de matière Table de matière Acronyms Définitions & abréviations CONTEXTE ET JUSTIFICATION DESCRIPTION DE L ACAT OBJECTIFS DE L ACAT DIFFERENTES ETAPES DE L ACAT... 4 VISITE DE COURTOISIE... 4 PRE-DECLENCHEMENT... 4 DECLENCHEMENT... 4 LE SUIVI POUR LA PROMOTION DE L ASSAINISSEMENT ET DE L HYGIENE... 6 DECLARATION DE L ETAT FDAL ET CELEBRATION D UNE LOCALITE FDAL... 8 ANNEXES...10 ANNEXE 1 LE CYCLE DE CREATION DE DEMANDE NOTIONS PRELIMINAIRES DE MARKETING D ASSAINISSEMENT ANNEXE 2 - COMMENT FACILITER LES SEANCES COMMUNAUTAIRES DE PRE- DECLENCHEMENT ET DECLENCHEMENT ANNEXE 3- COMPOSITION ET ROLE DE L EQUIPE ANNEXE 4- ETAPES DETAILLEES POUR LE PRE-DECLENCHEMENT LE DECLENCHEMENT ANNEXE 5 PLANNING INDICATIF DES ETAPES DE L ACAT ANNEXE 6 -FORMULAIRES COMMUNAUTAIRES ANNEXE 7 FICHES DE SUIVI... 1 ANNEXE 8- LISTE DE MATERIEL DE DECLENCHEMENT
5 Acronyms CCC DINEPA UNICEF WASH MSPP DAL FDAL CRS PHAST ATPC CRF ASCP APH : Communication pour le Changement des Comportement : Direction Nationale d Eau Potable et d Assainissement : Fonds des Nations Unies pour l Enfance : Water, Sanitation & Hygiene / Eau, Assainissement et Hygiène : Ministère de la Sante Publique et de la Population : Défécation a l Air Libre : Fin de Défécation a l Air Libre : Catholic Relief Services : Participation à la transformation de l hygiène et de l assainissement : Assainissement Total Piloté par la Communauté : Croix Rouge Française : Agent de Santé Communautaire Polyvalente : Agent Promoteur d Hygiène
6 Définitions & abréviations La Certification est la confirmation et la reconnaissance officielles de l état de Fin de la Défécation à l Air Libre (FDAL). ATPC correspond à l Assainissement Total Piloté par la Communauté (CLTS en anglais). Il s agit d une approche intégrée permettant la réalisation de la FDAL (Fin de la Défécation à l Air Libre) et le maintien de cet état. L ATPC consiste à encourager la communauté à analyser sa propre situation en matière d assainissement, ses pratiques en matière de défécation et leurs conséquences, suscitant ainsi une action collective visant à atteindre l état FDAL. ACAT (Approche Communautaire pour l Assainissement Total) correspond à une approche communautaire basée sur l ATPC intégrant la triade de l assainissement prônée en Haiti. Cette triade comprend : la sensibilisation, les services et la règlementation. Ces trois éléments constituent les piliers pouvant susciter la population haïtienne à une bonne utilisation des toilettes et/ou latrines familiales. CCC Communication pour le Changement de Comportements La communication pour le changement de comportement est l'ensemble des interactions participatives entre individus et au sein des groupes ou communautés ainsi que des actions de communication dirigées vers eux en vue d'opérer un changement volontaire du comportement individuel et des normes sociales, s'il y a lieu, dans le but d'améliorer le bienêtre de l'individu, de la communauté, de la société. Dans le secteur EPAH, la communication pour lechangement de comportements (CCC) appuie et favorise le changement de comportements généré par l ACAT. Alors que l ACAT met l accent sur les pratiques communautaires, la communication pour le changement de comportements vise à encourager un individu ou un ménage pour qu il adopte et perdure un comportement particulier, tel que l arrêt de la défécation à l'aire libre. Le Marketing d Assainissement C est l application de meilleures pratiques de marketing social et commercial permettant d élargir la demande et l offre pour un assainissement amélioré, en particulier parmi les plus démunis. Latrines et Toilettes - Alors qu une latrine désigne généralement un dispositif d assainissement doté d une simple fosse (ou trou), les toilettes comportent de façon générale un dispositif avec une chasse d eau. Dans ce manuel, le mot «latrine» est parfois utilisé dans les deux cas. Le mot «toilettes» est utilisé pour les zones où la chasse d eau est à priori plus couramment utilisée que la fosse simple. Les Leaders naturels (NC) (également appelés Chefs spontanés) sont des activistes et des enthousiastes qui se démarquent et assument un leadership au cours des processus de l Approche ATPC. Hommes, femmes, jeunes et enfants peuvent tous être des leaders ou chefs naturels. Certains chefs naturels deviennent des consultants communautaires, provoquant des actions de nature à encourager et à soutenir d autres communautés que la leur. DAL signifie Défécation à l Air Libre déféquer et laisser les déchets exposés à l air libre. «FDAL ou FDAL» renvoie à la Fin de la Défécation à l Air Libre, c est-àdire lorsque les matières fécales ne sont plus directement exposées à l air libre. Une latrine sans couvercle représente une
7 forme de Défécation à l Air Libre (Défécation à l Air Libre à un point fixe) ; si elle est munie d un couvercle empêchant les mouches d entrer en contact avec les matières fécales, (recouvertes ou non de cendre après la défécation), elle peut alors être qualifiée de FDAL. Le fait de déféquer dans une tranchée et de recouvrir les matières fécales peut constituer une transition du statut DAL vers celui de FDAL. La méthode PHAST pour la promotion d hygiène qui cherche d associer et d impliquer les populations dans la recherche de solutions satisfaisantes et durables en matière d hygiène et de santé La Vérification consiste en l inspection d une communauté dans le but d évaluer son état FDAL (certification de comparaison). 1. Contexte et justification 1-2- Ce guide de facilitateur d assainissement a été développé pour essayer de trouver une méthodologie de promotion, sensibilisation et mobilisation des ménages des zones rurales dans deux volets définis : l assainissement et l hygiène. Par rapport à l assainissement, cette approche cherche à inciter l auto-construction de toilettes familiales sans aucune subvention, le changement de comportements par rapport à l utilisation adéquate des toilettes de chaque membre de la famille et leur bon entretien et nettoyage. En question d hygiène l approche veut changer, de manière soutenable, les habitudes par rapport au lavage des mains aux moments clé et d une façon adéquate, ainsi que le traitement et conservation de l eau à domicile. 3- Les recherches montrent des évidences que ces trois pratiques sont les plus efficaces pour protéger les gens, surtout les enfants de maladies liés à l eau et l assainissement comme le choléra, parasitisme intestinal et les diarrhées, qui sont la deuxième cause principale de la mortalité infantile. Les recherches montrent aussi que quand les pathogènes fécaux sont bien éliminés dans l environnement d une localité, l incidence de diarrhées diminue dramatiquement. Raison pour laquelle l approche prône que chaque localité arrive à l état FDAL (de Fin de la Défécation à l air Libre). 4- Cette guide utilise en partie les méthodes ATPC et PHAST. Le guide est adapté au contexte Haïtien et sera éventuellement amélioré avec la méthodologie de marketing de l assainissement. Les deux premières méthodes servent à créer la demande naissante et la deuxième à renforcer cette demande et fournir les éléments nécessaires pour mettre à la disposition des usagers l offre de services. 5-
8 6- Ce guide se cadre avec la triade de l assainissement prônée par la stratégie de l assainissement développé par le gouvernement qui s articule autour de la sensibilisation, les services et la réglementation. Ce guide suit aussi les lignes du Plan Stratégique Intersectoriel de Promotion d Hygiène DESCRIPTION DE L ACAT 8- L approche commence par déclencher dans chaque localité présélectionnée une envie d améliorer sa situation sanitaire et de travailler ensemble pour arriver à un objectif commun : une localité FDAL. Les activités de suivi, avec le temps, vise à introduire de manière très participative de nouvelles pratique liés à l hygiène et l assainissement et à motiver les personnes d une localité à commencer à les pratiquer, pour éventuellement devenir des habitudes ancrées, pas seulement au niveau individuel mais aussi dans les normes sociales de la localité. 9- Diverses tactiques et philosophies sont employées comme les démonstrations pratiques, les séances de réflexion, la communication en groupe et interpersonnel, les visites domiciliaires, l utilisation de media (radio rurale) et des leaders d opinion pour susciter un changement d attitudes et éventuellement d habitudes. Un promoteur d hygiène, agent de santé ou animateur doit être responsable des autres volontaires communautaires (leaders ou chefs naturels) qui pourront aider le processus La sensibilisation à l assainissement implique la facilitation d un processus qui inspirera les communautés et leur donnera le pouvoir de mettre fin à la défécation à l air libre, et cela sans offrir de subventions externes pour acheter du matériel L ACAT doit déclencher une décision collective de ne plus déféquer à l air libre, inspirant dans un premier temps un sentiment de gêne dans la communauté quand celle-ci se rend compte de sa situation sanitaire. Cette réalisation mobilise les ménages et leur permet d'initier des actions pour améliorer la situation sanitaire de la communauté. Cette émotion est ultérieurement remplacée par des sentiments de dignité, fierté, et solidarité quand ils arrivent ensemble à l objectif souhaite : une communauté sans défécation à l air libre. Elle suscite également un sentiment de confiance collective au niveau de la communauté et accroit la cohésion sociale Si cette approche est appliquée adéquatement, elle peut déclencher une action menée par la communauté pour mettre fin à la défécation à l air libre, et ceci sans subvention ou prescriptions de modèles de toilettes provenant d un programme d assainissement externe. 16- Une fois initié, l ACAT déclenche une action immédiate des communautés qui commencent à creuser des fosses pour la construction de toilettes familiales. Les familles construisent des toilettes selon leurs moyens, ou partagent des toilettes afin de devenir une localité sans défécation à l air libre à 100%. Une fois ce statut atteint, la communauté peut fièrement afficher
9 son statut et mettre un panneau à l entrée de la localité qui indique que personne dans ce village ne défèque dans la nature et que personne n a le droit de le faire. L ACAT va plus loin que la sensibilisation pour l auto construction des toilettes. Elle serve de porte d entrée pour l amélioration des autres pratiques d hygiène et d assainissement qui sont introduits pendant les séances de suivi durant la période d intervention avec les méthodologies CCC et marketing d assainissement. 3. OBJECTIFS DE L ACAT C est une approche intégrée qui consiste à encourager la communauté à analyser sa propre situation en matière d hygiène et d assainissement, ses pratiques en matière de défécation et leurs conséquences. Pour commencer, la réflexion se situe autour des pratiques de défécation. Cette réflexion suscitant ainsi une action collective visant à atteindre et maintenir un état de Fin de la Défécation à l Air Libre (FDAL) par la construction de toilettes par la communauté sans subvention extérieure, sa bonne utilisation et son entretien. L ACAT remet en question le manque d hygiène par les localités, et en particulier la défécation à l air libre. Ces initiatives encouragent la localité à analyser elles-mêmes les failles et les menaces de leur situation sanitaire et promeut de façon substantielle les solutions locales pour réduire et, à terme, éliminer la défécation à l air libre. Ainsi, même si l objectif UNICEF/Haiti2011/Dormino UNICEF/Haïti2010/SUCO premier de l ACAT est l auto-construction de toilettes et leur bonne utilisation, il aide par la suite aussi la localité et les individus à comprendre les risques sanitaires liés à la défécation à l air libre et au manque d hygiène pour changer ses comportements (bonne utilisation de toilettes, lavage des mains, traitement et conservation de l eau) pour arriver à une meilleure santé. Cette approche permet alors de «Passer de l enseignement et l instruction des communautés à la facilitation de leur propre analyse»; «Passer de nous devons subventionner les pauvres à les communautés peuvent le faire»; «Passer d une standardisation hiérarchisée de haut en bas à la valorisation d une diversité dont la source est à la base ( ils conçoivent )» ; «Passer de budgets et d objectifs de dépenses de plus en plus gros à des budgets plus affinés qui permettent d accomplir davantage» ; «Passer
10 de dépenses pour l équipement à un investissement dans les ressources humaines» ; «Passer d une approche prescriptive à une approche participative». 4. DIFFERENTES ETAPES DE L ACAT Visite de Courtoisie Cette visite, préliminaire aux visite pour prendre un rendez- vous c est simplement une visite pour introduire l Organisme (ONG, OCB, CAEP/OREPA, ASCP/MSPP ) qui va faire le travail de sensibilisation et pour être introduit aux notables et autorités de la localité. Des personnes clés de l Organisme en question peuvent expliquer pourquoi la localité a été choisie, ou sera choisie, le type des initiatives auquel nous voulons impliquer la localité, et répondre aux questions des membres de la localité. Pré-déclenchement Il s agit de la première étape consistant à annoncer le déclenchement et convenir d un rendez-vous avec le groupe cible à sensibiliser. On commence avec une ou deux courtes visites dans la localité identifiée pour : Annoncer la visite d une délégation en précisant que son objectif est de prendre connaissance des comportements hygiéniques et de comprendre les problèmes d assainissement et de santé. Convenir d une date et d un horaire de passage de la délégation en s assurant qu au moment de la rencontre, un maximum de personnes soit disponible (hommes, femmes et enfants, jeunes et vieux). Eviter de faire coïncider le Déclenchement avec un jour de marché, de fête (mariage, funérailles ) Déclenchement Le déclenchement est une série d animations soigneusement préparées qui constituent une des étapes fondamentales de l approche. Un bon déclenchement c est la clé de la réussite des activités futures. Il doit être réalisé par une équipe de facilitation d au moins 3 à 5 facilitateurs au cours d une seule journée (durée = souvent entre 2 et 3 heures). Ceci pour respecter le temps des gens qui ont des activités à mener durant la journée. Le déclenchement est basé sur la stimulation d un sentiment collectif parmi les membres de la communauté alors qu ils sont confrontés à la réalité représentée par la défécation à l air libre et les impacts sur la communauté toute entière. Le rôle du facilitateur est simplement d aider les membres de la communauté à exprimer par eux-mêmes (i) ce que la défécation à l air libre peut provoquer, en particulier la contamination faeco-orale et (ii) quelles sont les solutions pour y remédier. C est alors à la communauté de se rendre compte par soi-même de sa situation sanitaire et de décider comment régler ce problème et de prendre des mesures. Voici la liste des principales étapes :
11 1. Introduction : se présenter, se saluer, présenter de façon simple le but de la visite dans la localité («prendre connaissance des comportements hygiéniques et de comprendre les problèmes d assainissement et de santé»). 2. Elaboration d une cartographie de la localité. 3. Calcul de la quantité d excrément produit par jour, par mois ou par année par l ensemble de la communauté (estimation) 4. Calcul du montant des dépenses de santé effectuées par mois ou par année dans la localité (estimation) situation sanitaire 5. Animation visant à démontrer les mécanismes de la contamination fécoorale (avec les mouches / avec un cheveu / avec de la nourriture / de la boisson.). 6. Marche transversale pour apprécier la 7. Susciter l engagement de la communauté : faire parler tout haut celui qui se prononce en premier sur la construction d une latrine pour sa famille, demander qui souhaiterait suivre son exemple 8. Identification des leaders ou chefs naturels parmi les premiers volontaires qui veulent se construire une toilette et validés par la communauté. 9. Développement du plan d action (nombre de toilettes, critères à atteindre, délais). Il s agit plus particulièrement : a. D amener la communauté à dresser un plan de la localité sur une grande feuille et sur lequel chaque ménage sera localisé, b. De dresser une liste des ménages qui s engagent à construire une latrine, c. Discuter les types de latrine qui seront construites et les conseils techniques les plus basiques d. De fixer les délais de réalisation. Enfin, quelle que soit la situation, il convient de jouer le rôle de facilitateur dans un esprit d ouverture, sans préjugés sur la réussite du déclenchement. Quitter les lieux joyeusement, même si, pour une raison ou pour une autre, le déclenchement n aboutit pas à une action locale collective.
12 Le suivi pour la promotion de l assainissement et de l hygiène Le suivi devra être réalisé par une équipe locale qui aura participé aux formations préalables (Agents Promoteurs d Hygiène APH et les ASCP s ils existent dans la localité) et autres comme les leaders naturels. Ils seront supervisés par les Superviseurs d hygiènes externes à la localité qui viendront 1 ou 2 fois par semaine jusqu à l atteinte de l état FDAL. Après l état FDAL au moins une fois par mois pour continuer avec la promotion de l hygiène et la bonne utilisation et l entretien des toilettes. La localité sera aussi supervisée de temps en temps par les TEPACs, les techniciens sanitaires, les agents de santé et en dernier recours par les officiers sanitaires. Sa durée doit s étaler entre trois mois et six mois pour arriver à une localité FDAL, mais le suivi pour la promotion de l hygiène et de bonnes habitudes d assainissement pourront durer au moins deux ans, compte tenu que le changement des comportements prend un temps considérable pour s ancrer dans l esprit des gens et devenir des normes sociales. Les activités de suivi sont divisées en deux périodes, le suivi avant FDAL et le suivi post- FDAL. Les évidences montrent que après une localité arrive à l état FDAL les personnes se sentent fières et capables, en tant qu individus et collectivité, d entamer d autres projets et de réussir, étant donnant qu ils ont déjà atteint un objectif commun. C est un concept qui s appelle «effectivité personnelle» et «effectivité communautaire». Cette «effectivité» augmente la confiance et facilite la réussite de la promotion d hygiène des autres pratiques, objet du suivi post-fdal. Pour cette raison, ce guide divise le suivi en deux périodes avec des stratégies différentes : Le suivi avant FDAL Objectif : D amener la population d une localité à devenir FDAL et au même temps commencer à introduire les autres pratiques d hygiène. Au cours de chaque visite, l agent de suivi : Fera le point avec les leaders traditionnels et les habitants sur l avancée des progrès vers le FDAL, ménage par ménage. Pour stimuler la communauté, l agent de suivi pourra : - Rappeler les engagements pris par la communauté et préciser qu ils ont été communiqués aux médias, aux autorités locales, aux autres localités ; - Témoigner des progrès réalisés dans d autres localités voisines, - Appuyer les leaders communautaires pour la mobilisation et les techniques de construction, - Mobiliser les enfants (chanter des slogans, etc.). Les facilitateurs et la localité délimitent la zone géographique et les familles dans cette localité, Un plan cartographique de chaque maison est fait avec les familles qui ont et n ont pas de toilette Véhiculer le message que ni l état, ni les projets ne supportent la subvention des toilettes familiales
13 Sensibiliser les membres de la localité sur la loi en vigueur (une maison = une latrine) Conseils techniques pour une toilette améliorée Formation sur la bonne utilisation et l entretien des toilettes Introduction des messages de lavage de mains, trois à quatre semaines après le déclenchement ainsi que la construction de tippy taps Introduction de pratiques pour la conservation et traitement de l eau à domicile une fois la construction du système d eau a commencé. Sélection et formation des maçons faisant parti de la structure de la localité (OCB, Groupement jeunes, groupement femmes, etc.) Sensibilisation de la population sur les choix de toilettes disponibles sur le marché local, leurs coûts et les fournisseurs de service Discussion sur les difficultés rencontrées et les solutions pour les relever. Pour chaque famille qui atteint les 3 critères (: pas de défécation à l aire libre touvé dans la localité, chaque famille à accès et utilise une latrine, et il y a une dispositif de lavage des mains avec eau et savon ou ceindre prêt de la latrine).de l état de Fin de Défécation à l Air Libre (FDAL), organiser une visite d évaluation de ce ménage avec les leaders communautaires de la localité, et si le ménage concerné a effectivement atteint les critères FDAL, marquer l emplacement de ce ménage de façon très visible sur le plan réalisé au cours du déclenchement et célébrer cette réussite. Le suivi post FDAL va commencer formellement dès qu une localité devienne FDAL. Néanmoins, certains de ces éléments peuvent être introduits avant, comme par exemple les démonstrations pratiques pour la construction de tippy taps. Le suivi post FDAL en appliquant les méthodologies CCC Objectif : De motiver la localité de continuer à être FDAL, en améliorant progressivement ces pratiques d hygiène : lavages de mains, traitement et conservation de l eau à domicile et bonne utilisation et entretien de toilettes. Le suivi post-fdal aidera les gens aussi à monter l échelle de l assainissement, en améliorant ses toilettes pour les rendre moins précaires, plus nettoyables et plus agréables et permanents. Pour la promotion de l hygiène l agent de suivi commence avec une seule pratique, par exemple lavage des mains, et doucement introduit, au cours de mois successives le traitement et conservation de l eau à domicile. Il veille aussi à s assurer que les conseils sur la bonne utilisation des toilettes et son entretien soient pris en compte par les familles. Il est conseillé d introduire en même temps que la localité commence à auto-construire les toilettes, parce que c est plus facile de commencer avec une bonne pratique, que s habituer à mal utiliser les toilettes et après changer les habitudes. Pour changer les habitudes d hygiène, divers techniques doivent être employés pour promouvoir des interactions participatives entre individus et au sein des groupes ou communautés, ainsi que promouvoir des messages directs à travers différents canaux (discussions de groupe, démonstrations pratiques, visites domiciliaires, foires de marché, élèves qui apprennent à l école et influencent les parents, conseils de leaders
14 d opinion, programmes et messages dans la radio local, affiches et dépliantes etc). Pour changer les habitudes l agent de suivi devra aussi traiter de changer les normes sociales, ça veut dire, la manière que les gens d une localité pensent d une habitude ou bien les attitudes de la société qui changent, exemple : ce n est plus acceptable dans cette localité de pas se laver les mains après la défécation, parce que je sais que tes mains sales, pleines de microbes vont me toucher ou toucher ma nourriture et ça peut me donner des maladies. Au cours des visites, l agent de suivi va : Vérifier l état FDAL et félicite, encourage la localité Continuer la formation sur la bonne utilisation et l entretien des toilettes Promouvoir les messages de lavage de mains, et de construction des tippy taps et les discussions participatives sur ces thèmes. Introduction de pratiques pour la conservation et traitement de l eau à domicile une fois la construction du système d eau a commencé. Continuer la sensibilisation des populations sur les choix de toilettes disponibles sur le marché local, ses coûts et les fournisseurs de service, de cette manière les gens pourront doucement améliorer ces toilettes (marketing d assainissement) Utilisation des stratégies de promotion de toilettes, résultant des études formatives en cours (Université Quisqueya, Helvetas et autres). (marketing d assainissement) Promotion des services et produits d assainissement préférés par la population, qui sont abordables, adéquats et facilement disponibles. (marketing d assainissement) Les agents de suivi seront aidés par des volontaires et leaders naturels qui travailleront sans aucun paiement parce qu ils se rendent compte que en diffusant des messages d hygiène, ils sauvent de vies surtout celles des enfants et ils sont motivés à le faire de manière gratuite. Les leaders d opinion comme les leaders naturels, les maitres d école, les prêtres et pasteurs, les présidents des Associations, les ASEC, CASEC et autres seront aussi sensibilises sur la stratégie nationale de l assainissement. Déclaration de l état FDAL et célébration d une localité FDAL Une fois que les communautés ont éliminé la pratique de la DAL et parviennent à maintenir cet état pendant plusieurs semaines sans revenir à la pratique de la DAL, des procédures rigoureuses de vérification et de certification sont mises en route avant la déclaration de l état FDAL. Les communautés concernées, les Chefs naturels des villages voisins ayant atteint l état FDAL le cas échéant, ainsi que les organismes liés au processus de déclenchement, de suivi, de vérification et de certification se mettent d accord sur la déclaration de l état FDAL avant toute célébration. Le jour de la déclaration, une grande célébration est organisée et à laquelle sont invités les Chefs des villages voisins et les membres des institutions impliquées dans l assainissement. Les Chefs naturels organisent les célébrations et offrent leur soutien aux communautés
15 désireuses d atteindre l état FDAL. Si cela est possible, les médias électroniques et écrits sont invités pour couvrir l évènement. La raison d être de cette fête de célébration est importante : le Renforcement de l état FDAL, le témoignage envers les autorités et les chefs des localités voisines, le renforcement de l état FDAL chez la localité, et le plaidoyer vers les localités avoisinantes pour devenir FDAL
16 ANNEXES Annexe 1 Le cycle de création de demande notions préliminaires de marketing d assainissement Les étapes de la mise en place d un projet pour l amélioration de l accès à l assainissement et les pratiques d hygiène commencent avec l ACAT, suivi de CCC (Communications pour le Changement de Comportements) et du Marketing de l Assainissement Dans les localités rurales d Haïti, on pourra commencer avec l ACAT. Néanmoins, nous estimons que ses résultats ne seront pas suffisants, dû au manque de définition géographique exacte d une localité et sa manque de cohésion sociale, qui se traduise en une manque de travail en commune des familles individuels pour achever un but collective, et finalement, dû à l attitude d attentisme dont les familles attendent recevoir une latrine du projet. Cette approche servira pour déclencher la localité et avoir certaines familles acheminées sur la bonne voie. L ACAT initial sera suivi par les méthodologies de CCC (Communication pour le Changement de Comportement) que continueront d améliorer l accès à l assainissement, mais aussi la bonne utilisation et l entretien des latrines même les enfants, le lavage des mains et le traitement de l eau à domicile. La méthodologie PHAST et autres comme les programmes radio rurales, les groupes focaux, les démonstrations pratiques et les visites aux ménages seront utilisés. Finalement la phase finale, après les études formatives et le identification des produits et le développement de l offre de la chaine d approvisionnement de biens et services sanitaires, nous introduirons la partie amélioration de la demande à travers le marketing d une gamme des produits pré-identifiés bon marché, légères et faciles à transporter, aspirationnels et utiles, ainsi que la promotion du mêmes. Compte tenu que c est fort possible que certains de ces produits ne sont pas encore fabriqués en Haïti, le projet va travailler avec cet aspect. Il va essayer de trouver une gamme de produits pour donner aux clients le choix des produits par rapport à ses besoins, gouts, et possibilités économiques. Il pourra introduire aussi de technologies pour la fabrication de nouveaux produits chez les usines en plastic déjà existantes au pays. Certain produits envisagés seront : dalles en béton ou en bois ou fibre de vitre. Sièges préfabriqués en plastique ou fibre de vitre avec chaise d eau manuelle ou mécanique, ou bien chaises sèches en béton, bois fibre de vitre ou plastique. Bols en plastique pour monter sur une chaise en plastique, béton ou bois. Le projet essayera de trouver matériel local pour le revêtement des fosses et pour la superstructure, normalement fait du même matériel que la maison. Tous les produits offerts seront abordables et désirables par la plupart de la population. Les maçons seront formés sur les manières d identifier des fosses ayant besoin de revêtement partiel ou total, et des conseils techniques pour donner aux familles qui désirent auto-construire une partie de ces latrines. Ils seront aussi formés sur comment construire les latrines avec les familles (dalles, chaises en béton et superstructures) et pour au même temps montrer aux autres comment les faire. L idée sera d apprendre les familles comment s auto-construire ses propres latrines pour éviter le coût additionnel du travail complet d un maçon qui semble être autour de $15. Les latrines à chaise d eau pourront se construire avec la fosse derrière la latrine pour éviter la peur
17 d effondrement du siège dans la fosse. Un tuyau de deux puces et 60cm de longueur en pente sera suffisante pour décaler la fosse et c est moi chère que la construction d une dalle bétonnée. Une possibilité dans certains projets sera d acheter une moto chez les fournisseurs pour l acheminement des matériels aux localités de manière plus durable et bon marché. Résume de pas principaux : a) Déclencher la création de la demande avec ACAT, continuer avec la CCC b) Découvrir les produits idéals et les fabriquer en Haïti à un prix abordable c) Développer la chaine d approvisionnement pour rendre les produits disponibles et accessibles à niveau local d) Continuer à créer la demande avec la promotion des produits bien identifiés et abordables, disponibles et aspirationnels e) Former les maçons à niveau village pour compléter la chaine d approvisionnement Annexe 2 - Comment faciliter les séances communautaires de prédéclenchement et déclenchement Dès l arrivée dans la localité, expliquer l objectif de la visite, à savoir que votre équipe s intéresse aux réalités sanitaires des villages de la zone, pour évaluer dans combien de villages les gens pratiquent la défécation à l air libre (DAL), quels en sont les effets et se présenter à tour de rôle Insister sur le fait que l équipe vient apprendre auprès d eux et pas du tout pour promouvoir la construction de toilettes, ni apporter une subvention en matériel Remercier l assemblée pour sa présence et sa disponibilité, l inviter à une participation active et constante jusqu à la fin de la rencontre, car cela renforcera les capacités de chacun Eviter d enseigner; poser plutôt des questions et faire confirmer/discuter les réponses des uns par les autres pour permettre d avancer ensemble Il n est pas donné à quiconque d être un bon facilitateur. Ce qui marche le mieux est une combinaison d audace, d empathie, d humour et de jeux. L attitude à adopter est une attitude non interventionniste, qui n enseigne ni ne donne de leçon, mais qui permet plutôt aux gens de se confronter à leur désagréable réalité. En situation d apprentissage, il est instructif d expérimenter tous les outils pour en acquérir la maîtrise, et d évaluer la pertinence, l acceptabilité et l efficacité de chacun pour le milieu considéré L ordre de déroulement des outils n est pas rigoureusement pré défini, mais dépend des circonstances et du savoir-faire du facilitateur. Il y a plusieurs manières de lancer une discussion sur la DAL et l assainissement d une localité. On peut commencer la discussion avec un petit groupe de la communauté lors d une promenade informelle dans la localité. Dans le cadre des ateliers où les populations sont mobilisées pour accueillir les visiteurs, la cartographie des zones de défécation peut constituer le premier exercice. Elle
18 implique tous les membres de la communauté dans une analyse pratique et visuelle de la situation sanitaire locale. Il faut faire attention à la gestion du temps durant cet exercice car on a tendance à aller dans les détails des maisons, des familles, Or, perdre du temps à collecter des informations inutiles peut réduire considérablement le temps nécessaire au stade crucial du Déclenchement. L approche se focalise sur l éradication de la Défécation à l Air Libre comme premier pas significatif et point de départ du changement des comportements. Le fait d évaluer et d analyser leurs propres pratiques choque et gêne. Le rôle du facilitateur est déterminant pour susciter le changement de comportement à travers un modèle de facilitation dans lequel le terme local pour «caca» est toujours utilisé de préférence au vocabulaire poli. Il est à noter que, le but du facilitateur est purement d aider les membres de la communauté à voir par eux-mêmes que la défécation à l air libre a des conséquences dégoutantes et crée un environnement où il ne fait pas bon vivre. À partir de ce point, il revient aux membres de la communauté de décider comment gérer ce problème et passer à l action. UNICEF/Haiti2011/Dormino
19 Annexe 3- Composition et rôle de l équipe Chaque membre de l équipe doit bien connaître son rôle en complémentarité de ses coéquipiers et d être à l écoute des autres membres pour pouvoir bien travailler en équipe. Facilitateur Le facilitateur principal doit, de préférence, avoir une maîtrise de la langue du milieu Le co-facilitateur, il peut y en avoir deux dans les zones où le facilitateur principal ne parle pas la langue locale; - Etre le porte-parole du groupe ; - Donner les nouvelles et préciser l objectif de la visite dans la localité; - Conduire la mise en œuvre du processus et des outils ; - Faciliter la réalisation de la carte du village en vue d aboutir à l identification des zones de défécation sur la carte; - Donner aux communautés les consignes relatives au plan d action communautaire et à la journée de partage Rapporteur ou secrétaire - Le(s) secrétaire(s) de séance enregistre(nt) le contenu et les processus en vue de finaliser le rapport de l équipe; - Travailler en collaboration avec les facilitateurs sans interférence directe; - Recueillir le maximum d infos ; o Nombre de toilettes et de ménages qui en disposent o Pratiques en matière d hygiène ; o Prévalence des maladies liées au péril fécal ; - Relater tout le processus du déclenchement - Noter les interactions entre les membres de la communauté - Faire la mise en commun avec les autres membres de l équipe en vue de la restitution en plénière Ce n est pas nécessaire de finaliser avec cette exercice le jour même du déclenchement mais laisser la tâche aux leaders naturels pour l achever. Agent d ambiance ou gestionnaire de l environnement (Un ou plusieurs): - Assurer un environnement favorable (pas de téléphone portable qui sonne) - Choisir un endroit qui s y prête pour l organisation de la cartographie - Suivre attentivement et signaler les activistes et les marginalisés - Concourir au respect des comportements / attitudes clés pour éviter que la séance ne ressemble à un cours magistral - Maintenir la mobilisation du groupe / Prévenir ou mettre fin à toute perturbation Facilitateurs des enfants: (N être pas seul de préférence) - Demander à travailler avec les enfants
20 - Faire la mise en train, demander aux enfants de se présenter - Pratiquer des outils à la portée des enfants - Effectuer sur leurs indications la visite des zones de DAL - Demander s ils aiment déféquer en plein air et si c est pour eux une bonne ou une mauvaise pratique - Susciter la prise d initiatives ou d engagements concrets contre la DAL - Formuler des slogans ou des refrains faciles à assimiler contre la pratique de la DAL - Faire la restitution devant les adultes et demander leur aval Annexe 4- Etapes détaillées pour le pre-déclenchement le déclenchement Etape 1 - Pré-déclenchement - Identification de la communauté conjointement avec le Comité d Approvisionnement d Eau Potable et d Assainissement DINEPA /CAEPA et l Unité Communale de Santé (UCS) de la région (carte de vulnérabilité d assainissement, données épidémiologiques) - Planification d une visite de prospection : contacts avec les leaders communautaires, notables, élus locaux (KAZEK, ASEK) - Rencontrer les leaders de la zone ciblée - Choix des localités suivant la fiche d analyse des communautés - Etablissement et validation du plan de travail du facilitateur - Se mettre d accord sur le jour et le lieu du déclenchement (éviter les jours de marché, funérailles, fête champêtre, jour de konbit etc.) Etape 2 - Déclenchement Avant le déclenchement - Préparation du matériel de déclenchement voir liste de matériel- Annexe 8 - Répartition des rôles de chaque membre - Revue de l équipe des différents outils de déclenchement - Rencontre préliminaire avec les leaders de la communauté Le Déclenchement en soi Jour 1 1) Présentation du groupe de déclenchement aux membres de la communauté 2) Présenter les objectifs de la visite dans la communauté 3) Déroulement des différents outils - Cartographie (focaliser sur les lieux de défécation) 45 mns - Marche d investigation de la situation sanitaire (visite des DAL et de quelques toilettes) 45 mns - Calcul des matières fécales 15 mns - Calcul des dépenses - 15 mns - Chaine de contamination 45 mns
21 4) Identification et choix des leaders naturels qui émergent au sein de la communauté / Formation d un comité d assainissement 5) Explication sur l élaboration du plan d action par la communauté 10 mns 6) Elaboration conjointe du plan d action, par les membres de la communauté et le comité d assainissement Jour 2 7) Restitution / Evaluation, entre facilitateurs, du déclenchement 1 hre 8) Séance de restitution du déclenchement, présentation et validation du plan d action communautaire par le comité / Discussion (focalisé sur le FDAL) - 1 hre 30 9) Elaboration d un rapport final du déclenchement par l équipe de facilitateurs 1 hre Etape 3 - Post-déclenchement suivi pour arriver à l état FDAL 1) Actualisation du plan d accompagnement de la communauté 2) Identification des ressources humaines et matérielles 3) Appui technique dans l identification de modèles appropriés d assainissement (toilettes, dispositif de lavage de mains, etc.) 4) Séance de travail sur l entretien et l utilisation de toilettes 5) Formation / orientation des membres du comité d assainissement en mobilisation communautaire 6) Echange d expériences similaires au niveau communautaire / Rencontres de capitalisation 7) Soumission de rapports périodiques sur l évolution vers le FDAL au sein de la communauté 8) Rappel des engagements pris par la communauté et préciser qu ils ont été communiqués aux médias, aux autorités locales, aux autres localités ; 9) Témoignage des progrès réalisés dans d autres localités voisines, Faire le point sur les difficultés rencontrées et les solutions pour les relever. Pour chaque famille qui atteint les 3 critères de l état de Fin de Défécation à l Air Libre (FDAL), organiser une visite d évaluation de ce ménage avec les leaders communautaires de la localité, et si le ménage concerné a effectivement atteint les critères FDAL, marquer l emplacement de ce ménage de façon très visible sur le plan Certification d une localité FDAL Etape 4 - suivi post- FDAL pour arriver à l amélioration des pratiques d hygiène : Vérification de l état FDAL et suivi pour encourager à le maintenir Continuation de la promotion des autres pratiques d hygiène et de la bonne utilisation et entretien de toilettes o Lavage de mains dans les moments clé o Lavage de mains avec de l eau propre et du savon ou ceindre o Construction de tippy taps o Conservation de l eau propre
22 o Traitement de l eau à domicile avec le chlore ou sodis o Utilisation d une latrine sans la salir o Nettoyage et entretien d une latrine Continuer la sensibilisation des populations sur les choix de toilettes disponibles sur le marché local, ses coûts et les fournisseurs de service, de cette manière les gens pourront doucement améliorer ces toilettes Utilisation des stratégies de promotion de toilettes, résultantes des études formatives en cours (Université de Quisqueya, Helvetas et autres). Promotion des services et produits d assainissement sélectionnés étant qu aspirationels, abordables, adéquates et facilement disponibles. Annexe 5 Planning indicatif des étapes de l ACAT Etape Planning indicatif Personnel et autres besoins Remarques Préparations du Déclenchement Entre une demi-journée et une semaine. Dans les communautés où il y a des programmes d intervention d ONG/Institutions, quelques visites devraient suffire. Normalement, au moins un à deux agents de terrain visitent la communauté 1 à 2 fois pour fixer l heure, le lieu de la rencontre, expliquer les objectifs, etc. Rencontrer les leaders, les autorités locales (ASEC, CASEC), visiter les Localités, se faire une idée de la taille de la communauté, de la population, localiser les zones les plus insalubres et se renseigner sur les subventions s il y en a eu. Evaluer si la localité présente des conditions favorables ou difficiles pour le Déclenchement. Eviter de faire coïncider le Déclenchement avec le jour de marché, un mariage ou la présentation des condoléances dans la communauté, etc. Déclenchement Après- Déclenchement Une seule journée (souvent entre 3 et 5 heures) L état FDAL est atteint entre trois semaines et trois mois. Six mois ou un an, c est trop long. Apres le déclenchement, tout le monde est en général prêt à faire des efforts pour sortir de cette situation. Une équipe d au moins 3 à 4 facilitateurs, 5 tout au plus, mais il peut y en avoir plus dans un atelier pratique de formation sur l ACAT. Selon le contexte local, 1 à 2 membres du personnel visitent la communauté où le Déclenchement a eu lieu au rythme d 1 à 2 fois la première semaine. Ensuite, les intervalles peuvent être plus longs ; les visites, pas trop Jouer le rôle de facilitateur dans un esprit d ouverture, sans préjugés sur la réussite du Déclenchement. Quitter les lieux joyeusement, même si, pour une raison ou pour une autre, le Déclenchement n aboutit pas à une action locale collective. Etre un soutien, encourager, mais ne pas dominer. Si nécessaire, organiser des visites de Leaders Naturels ou de membres de la communauté des localités où le Déclenchement a été un succès. Inviter des LN des localités FDAL comme
23 Continuation du suivi Après la certification planning en fonction d avancement des autres questions d hygiène fréquentes, doivent juste viser à encourager et à soutenir. Se souvenir qu il s agit d une approche pilotée par la communauté et non par une institution extérieure. Visites du superviseur externe au moins une fois par mois pour au moins deux ans. personnes ressources pour des démonstrations de toilettes économiques. Annexe 6 -Formulaires communautaires 1. Fiche synthétique de compte rendu d un déclenchement Date du déclenchement: Membres du Groupe de déclenchement: Communauté visitée : DECISION COMMUNAUTAIRE Comité formé : Oui [ ] Non [ ] Planification de la préparation d un plan d action Oui [ ] Non [ ] Points d action (rencontre du comité, rencontre communautaire etc.) :.. Remarque générale (niveau de motivation de la communauté): Très motivé Motivé Pas du tout motivé 2 Formulaire pour la première visite de suivi Localité : Date : INTITULE DESCRIPTION OBSERVATIONS Brève description de la localité Nombre de ménages
24 Population Personnes ressources (CASEC, ASEC, Notables, Curé, Pasteur.) Coordonnées GPS X : Y : Nombre d écoles Lieux de culte Marchés publics Structures organisées (organisation de femmes, de jeunes, CAEPAS, ONG) Accessibilité de la zone ONG en place Expérience de projet communautaire Profil d assainissement SAEP existant ou un projet d eau en cours Projet d assainissement antérieur ou en cours Nombre de ménages dotés de toilettes Nombre de toilettes /avec ou sans couvercle Types de toilettes (VIP, fosses perdues, fosse simple, etc.) Pratiques locales d hygiène (Lavage des mains, utilisation des toilettes, gestion des déchets, traitement d eau à domicile, etc.) Excrétas déposés à l air libre Profil de santé Prévalence des maladies féco-orales (cholera, typhoïde, dysenterie, parasitoses intestinales, diarrhée,) Autres maladies (dermatoses, conjonctivites, malaria, etc.) 3. Plan d action indicative de la communauté Activités Responsables Echéances Moyens
25 4. Critères de sélection des communautés pour le déclenchement Localités Conditions favorables Géographiques Socio-culturelles Environnementales Pratiques actuelles et conditions de sante Taille de la communauté (Petite ou moyenne) Zones reculées des villes et grandes routes Homogénieté culturelle et sociale Existence de leaders motives Environnement insalubre et pollué, Sources d eau non protégées et vulnérables Conditions et pratiques actuelles (contamination par la matière fécale flagrante) Taux élevé de maladies diarrhéiques et/ou choléra Latrinisation Absence ou très peu de toilettes Geo-physiques Sols stables et faciles à creuser Niveau nappe phréatique Pas en surface
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