X X X X X X X X X X X X X X [k] [o] [m] [p] [u] [t] [a] [r] [e] [ + - ] [ + ] [ + ]
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- Martin Lepage
- il y a 7 ans
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1 A) VOYELLES Localisation géographique : Nord de la Gaule Agent responsable du changement : accent d intensité Types de voyelles concernées : initiales, prétoniques, posttoniques et finales Positions de faiblesse vocalique (1). Seule position de faiblesse du III e siècle au VII e siècle : voyelles associées à la partie [ - ] d un pied syllabique binaire (sommet faible) syncope. Exemple : computare > compter σ1 σ2 σ3 σ [k] [o] [m] [p] [u] [t] [a] [r] [e] [ + - ] [ + ] [ + ] La syncope des voyelles dites pré / posttoniques obéit à un changement paramétrique au début de la période romane. Ainsi : Paramètre du roman (III e siècle) Sommet faible? NON (modification de la valeur paramétrique en vigueur de la syllabe concernée). Conséquence de cette altération de la valeur paramétrique : suppression (syncope) de la voyelle associée au sommet faible : σ1 σ2 σ3 σ [k] [o] [m] [p] [t] [a] [r] [e] [ + - ] [ + ] [ + ] 1
2 Positions de faiblesse vocalique (2). Au VII e siècle, la valeur paramétrique du pied syllabique de la syllabe finale change : Pied syllabique final fort? NON. [ + ] [ - ] Conséquence : affaiblissement, puis syncope de toutes les voyelles finales de mot (muru > mur), sauf : [a] > [e ] (an(i)ma > âme) ; toute voyelle précédée d une double attaque passe aussi à [e ] (duplu > double ; fratre > frère) ; toute voyelle finale de mot servant d appui articulatoire (as(i)nu > âne ; com(i)te > comte). B) CONSONNES Positions de faiblesse consonantique (1) : la consonne fait partie d une syllabe à «sommet vide». Après la syncope des voyelles (III e siècle), la position sommet reste vide, mais il est possible que l origine d un sommet vide ne soit pas toujours la syncope d une voyelle aux IIIe et IVe siècles (le latin autorisait les «sommets vides» : voir la structure syllabique de factu ci-dessous). En tout cas, la valeur paramétrique de ce type de sommets est [ - ] en roman (= refus des syllabes à «sommet vide»). Paramètre du latin jusqu au III e siècle: Sommets vides? OUI. Exemple : factu(m). σ1 σ2 σ [f] [a] [k j ] [t] [u] [m] Conséquence : réassociation des éléments de la consonne (tous ou en partie) à «gauche» ou à «droite» ou élimination de la consonne. En tout cas : suppression de la syllabe et reconstruction des pieds syllabiques. 2
3 Les éléments de [k j ] : (..h.ɂ. ) = consonne dorsale, occlusive, non voisée, palatalisée. De tous ces éléments, seul j a la sonorité requise pour s associer à la position 3, étant donné sa composition en éléments : [j] = (. ). Conséquence : formation d un yod qui s associe à la position 3 : σ1 σ2 σ [f] [a] [j] [k j ] [t] [u] Sauf l élément (qui passe à la position 3), le reste d éléments se dissocie de la position 1 et la syllabe 2 est éliminée : 1. Propagation de l élément (palatal) «à gauche» et association à la position 3 du modèle précédent : σ 1 σ h Ɂ [ j ] [ k j ] 3
4 2. Dissociation d éléments (perte de la position syllabique et élimination) : σ 1 σ h Ɂ [ j ] [ k j ] 3. Perte de la syllabe σ2 : σ 1 σ 2 3 [ j ] 4
5 Positions de faiblesse consonantique (2) : Consonnes en position 3. La position 3 étant fort contraignante, l accès à cette position est restreint exclusivement aux segments ayant une sonorité minimale équivalente à celle d une consonne sonante : {S c, r, l, s, N} 1 Voici les éléments dont sont composés ces segments : [j] (. ) = semi-consonne pré palatale [w] (Uv.) 2 = semi-consonne, labio-vélaire [ł] 3 (Uv, l) = (sonante), latérale, vélaire [r] (R, r) = (sonante), coronale, vibrante [s] (R, h) = coronale, obstruante, non-voisée [z] (R, h, L) = coronale, obstruante, voisée (provenant de la sonorisation de [s] [n] (R, h, N) = (sonante) coronale, nasale [m] (U, h, N) = (sonante) labiale, nasale [E] (Uv, h, N) = (sonante) vélaire, nasale (dialectale ou empruntée à l anglais) La position 3 s est montrée comme une position d extrême faiblesse pour les consonnes et elle a été responsable de bon nombre de changements. Ces changements ont abouti à a) l élimination d une position syllabique (la position 3) ; b) à la propagation d éléments «à gauche» (nasalisation des voyelles) et c) à la formation de diphtongues de sonorité descendante (type voyelle + semi- 1 Semi-consonnes, vibrantes, latérales et nasales. 2 Ou bien : (.U). 3 Il s agit du [l] dit «vélaire». Dès l époque impériale, cette consonne était articulée, en position 3, avec un recul de la racine de la langue qui produisait un glissement latéral de l air vers l arrière, dans la zone des voyelles vélaires (voile du palais). La différence entre le [l] non vélaire et le [l] «vélaire» est que cette dernière consonne a gagné l élément Uv (labio-vélaire) au détriment, en partie, de l élément l (coronal). 5
6 voyelle). Les consonnes associées à la position 3 ne se sont pas toutes affaiblies dans la même période. En plus, il y a une exception : la vibrante [r] laquelle, grâce à un surplus de sonorité, s est maintenue associée à la position 3 (elle deviendra dorso-uvulaire, puis dorso-vélaire). Période d amuïssement Exemple [j] : gallo-roman [faktu] > [fajtu] > [fai tu] [w] : ancien français moyen français [altŭ] > [awto] > [au t] [l] : ancien français moyen français [s] / [z] : ancien français [ís(u)la] > [isle ] > [izle ] > [ile ] [n] / [m] : moyen français [kantat] > [GSnte ] > [GStZ] Positions de faiblesse consonantique (3) : Consonnes en position finale de mot. La syllabe finale devient faible à partir du VII e siècle, suite à une modification de la valeur paramétrique concernant les pieds syllabiques finaux : Syllabe finale [+]? NON. Ce changement paramétrique produit l affaiblissement progressif des consonnes finales ou devenues finales à conséquence de la syncope d une voyelle (ancien français-moyen français). Toute consonne finale est supprimée de la prononciation (très souvent pas de la graphie!) à la fin du III e siècle. 1 er cas : la consonne finale est une obstruante d origine latine (cantat) σ 1 σ 2 σ [k] [a] [n] [t] [a] [t] [ + ] [ + ] [ - ] *Paramètre : Sommets vides? NON. Conséquence : [t] ne peut pas s associer «à gauche» et est supprimée (fr. chante). 6
7 2 ème cas : la consonne finale est une obstruante d origine romane devenue finale à conséquence de la syncope de la voyelle finale (cantát(u)) σ 1 σ 2 σ [k] [a] [n] [t] [a] [t] [u] [ + ] [ + ] [ - ] *Paramètre : Sommets vides? NON. Conséquence : après la syncope de [u] est, [t] ne peut pas s associer «à gauche» et est supprimée (fr. chanté). 3 ème cas : la consonne finale est une sonante d origine romane devenue finale à conséquence de la syncope de la voyelle finale (cantár(e)) σ 1 σ 2 σ [k] [a] [n] [t] [a] [r] [e] [ + ] [ + ] [ - ] Conséquence : d abord, [e] est syncopé, ensuite [r], qui est une sonante, peut s associer «à gauche» mais finalement elle est supprimée aussi de la position 3 finale de mot (fr. chanter). 7
8 Positions de faiblesse consonantique (4) : Consonnes placées entre deux voyelles (date retenue pour l affaiblissement : IV 2 ). 4.1 Pourquoi la position intervocalique est affaiblissante pour une consonne (Type : [baka] «baca») L L L V C V Propagation «à droite» et «à gauche» de l élément L («sonorité») : IV 2 status de la consonne «sonorisée» : consonne non-voisée placée entre deux voyelles ; toutes les voyelles contiennent l élément L (sonorité) : il s agit de segments très «sonores» et très «ouverts» par opposition aux consonnes qui sont des segments peu «sonores» et très «fermés» ; la propagation de L vers la consonne en position 1 se fait à partir de deux sommets adjacents au IV 2 ; la «sonorisation» produit un effet «ouvrant», voire affaiblissant sur la consonne, ce qui amorce un processus conduisant à l amuïssement de celle-ci ; si la consonne «sonorisée» contient l élément (comme c est le cas des consonnes vélaires romanes), celle-ci perd ses éléments consonantiques et va s associer à la position 3 de la syllabe précédente pour former un yod. Si, au contraire, il s agit d une consonne qui ne peut pas avoir l élément (par exemple, les consonnes labiales), tous les éléments se dissocient et la consonne est supprimée. 8
9 Exemple : évolution de [k j ] dans baca > baie h h I ʔ L h L ʔ [k j ] [g j ] [ɣ j ] [ j ] [ i ] III e IV 2 VI e VII e départ sonorisation spirantisation et yod dépalatalisation [bak j a] > [bag j a] > [baɣ j a] > [baja] > [bai e ] (fr. baie [bd]) 9
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