Préparation centralisée e : assurance qualité et bonnes pratiques. Sarah Djabarouti, MCU-PH Aude Berroneau,, PH

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1 Préparation centralisée e : assurance qualité et bonnes pratiques Sarah Djabarouti, MCU-PH Aude Berroneau,, PH

2 Préparation centralisée e : assurance qualité et bonnes pratiques Historique, aspect réglementairer Locaux- outils : ZAC, exemple de l isolateur. Process : validation pharmaceutique, préparation, paration, contrôles, gestion des non conformités.

3 Préparation centralisée: e: historique et aspect réglementairer Depuis + 20 ans : centralisation encadrement pharmaceutique, protection personnel et environnement, gestion efficiente des reliquats.

4 Préparation centralisée: e: historique et aspect réglementairer Obligation réglementaire r depuis le décret du 24/08/2005 relatif au CBU Confirmé par l arrêtl arrêté du 18/11/2013, qui fixe le contrat type : l article l 3 impose «la centralisation de la préparation paration et de la reconstitution des traitements anticancéreux sous la responsabilité d un pharmacien»

5 Préparation centralisée: e: historique et aspect réglementairer Critère re INCA pour l autorisation l du traitement par chimiothérapie «la préparation paration des anticancéreux est réalisée e sous la responsabilité d un pharmacien, dans des locaux dédid diés, sous isolateur ou sous une hotte à flux d air d laminaire vertical, avec évacuation vers l extérieur».

6 Préparation centralisée: e: historique et aspect réglementairer Dès s lors qu une une spécialit cialité pharmaceutique est reconstituée e dans une PUI, elle doit suivre les BPPH et les BPP. Selon l article l L du Code de la Santé Publique (CSP): «les médicaments m sont réalisr alisés s en conformité avec les bonnes pratiques»

7 Préparation centralisée: e: historique et aspect réglementairer 1 er texte : BPPH = Bonnes Pratiques de Pharmacie Hospitalière art. R du CSP Arrêté du 22 juin 2001n 2001-BOS 2 bis: Les PUI doivent respecter les recommandations des Bonnes Pratiques de Pharmacie Hospitalière ( arrêté signé par le ministre chargé de la santé).

8 Préparation centralisée: e: historique et aspect réglementairer Objectif des BPPH Les établissements de santé et médicom dico- sociaux disposant d une PUI définissent des règlesr d organisation et de moyen, opposables aux directions des établissements de santé,, dans le seul objectif est de garantir la qualité des missions conduites par les PUI.

9 Préparation centralisée: e: historique et aspect réglementairer Ce que demandent les BPPH : Mise en place d un d SAQ maîtrise de la non-conformit conformité : identification, action corrective et suivi autoévaluation : vérification v application et pertinence des procédures

10 Préparation centralisée: e: historique et aspect réglementairer Ce que demandent les BPPH : protection du personnel : visite médicale m d embauche, médecine m du travail, Formation initiale et continue adaptée, programme de formation

11 Préparation centralisée: e: historique et aspect réglementairer 2 ème texte : BPP =Bonnes Pratiques de Préparation Décision du 5 novembre 2007, publiée e au bulletin officiel n 2007/7bis n en janvier 2008: Applicables dans les officines de ville et dans les PUI des établissements de soins Opposables aux Directions des Établissements de soins, pour obtenir les mises en conformités s nécessaires n à l exercice de Préparation.

12 Préparation centralisée e : une gageure pharmaceutique Préparation magistrale nominative, effectuée e selon les BP Préparation injectable : contrainte de maintien de la stérilit rilité Substance dangereuse : contrainte de protection du personnel et de l environnementl Délai de préparation paration court : soumis au feu vert lié au bilan médical, m patient souvent en hospitalisation de jour. Préparation souvent couteuse : bon usage des MO, éviter le gaspillage.

13 Exemples Yervoy 200 mg : euros Soliris 300 mg : 3722 euros Mabthera 500 mg : 1428 euros Erbitux 500 mg: 885 euros Irinotecan 500 mg : 53 euros Endoxan 1g : 21 euros Carboplatine 450 mg : 15 euros

14 Préparation centralisée e : une gageure pharmaceutique Locaux : Préparation en ZAC Personnel qualifié SAQ Process : Validation pharmaceutique, préparation, paration, contrôles.

15 Préparations stériles en ZAC : Descriptif Salles à atmosphère contrôlée(zac) Flux d air d laminaire Isolateur Conception et plan Contrôles et maintenance

16 TRAITEMENT DE L AIR DES ZAC Les FILTRES 3 types de filtres pré-filtre - efficacité 70-90% filtre HEPA (Filtre Haute Efficacité pour les Particules de l Air High Efficiency Particulate Arrestance Air Filter) µm efficacité 99.97% très s efficace contre les bactéries assez efficace contre les virus filtre ULPA (Ultra Low penetration Air) µm - efficacité %

17 TRAITEMENT DE L AIR L DES ZAC Zac, Classification particulaire : qualité d air requise Nombre Max. de Particules/m 3 (de taille égale ou supérieure à) Classe BPF au repos en activité 0.5 µm 5 µm 0.5 µm 5 µm A * * B * C D Non défini Non défini BPP 2008 CHAP 6 paragraphe 6.4 LOCAUX ET EQUIPEMENTS Tableau 1

18 TRAITEMENT DE L AIR DES ZAC Classification particulaire : qualité d air requise selon les Normes ISO Nombre maximal admissible de particules/ m 3 de taille égale ou supérieure à 0,1 µm 0,2 µm 0,3 µm 0,5 µm 1 µm 5 µm ISO / / / / ISO / / ISO / ISO / ISO ISO ISO 7 / / / ISO 8 / / / ISO 9 / / /

19 TRAITEMENT DE L AIR DES ZAC salle à atmosphère contrôlée sas personnel lavage des mains

20 TRAITEMENT DE L AIR DES ZAC salle à atmosphère contrôlée zone de stockage

21 TRAITEMENT DE L AIR DES ZAC salle à atmosphère contrôlée sas produit double porte ouverture alternée contrôlée par un système mécanique ou électronique

22 TRAITEMENT DE L AIR DES ZAC salle à atmosphère contrôlée zone de fabrication

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24 Préparation des Médicaments M stériles en ZAC: choix des procédés Doit être mise en œuvre pour tout médicament m stérile pour lequel la stérilisation dans le conditionnement final est impossible. Deux procédés sont utilisables: La filtration stérilisante La préparation paration aseptique

25 Préparation Aseptique des Médicaments sous flux d air laminaire Système clos : exemples automates de fabrication prélèvements manuels

26 Isolateur Principales caractéristiques ristiques Barrière re physique étanche Enceinte stérile Double filtration de l air sur filtres HEPA (entrée e et sortie) Système de ventilation en pression positive Système de ventilation en pression négative Système de transferts étanches (entrée e et sortie) Flux d air turbulent

27 Isolateur Hémiscaphandres

28 Isolateur Isolateur sans hémiscaphandre

29 Isolateur système de ventilation- filtration Tuyau évacuation de l air à l extérieur du bâtiment Régulateur pression positive Pré-filtre Filtre HEPA (entrée) Filtre HEPA (sortie)

30 Isolateur flux d air turbulent schema de l aéraulique Isolateur de transfert

31 Isolateur système de stérilisation vaporisation d un d gaz stérilisant : acide peracétique (APA) peroxyde d hydrogd hydrogène (H 2 O 2 ) stérilisation de l ambiance l et des surfaces

32 Isolateur système de stérilisation Méthode générale g : exemple de l APAl Chauffage à basse température (45 C) de la solution d agent d stérilisant Vapeurs obtenues véhiculv hiculées dans l enceinte l par de l air l comprimé Élimination en continu des vapeurs par le système d éd évacuation vers l extl extérieur du bâtiment Une ventilation de l enceinte l est nécessaire n après s la stérilisation (rinçage).

33 Isolateur système de stérilisation Les temps de stérilisation et de ventilation post-st stérilisation doivent être qualifiés Ils dépendent : - du gaz stérilisant - du stérilisateur - de l enceinte à stériliser - de la charge

34 Isolateur, principe de la stérilisation : traitement uniquement des surfaces externes entrée des produits et dispositifs préalablement stérilisés au coeur (chaleur, oxyde d éthylène, rayonnements ionisants) assurer la libre circulation du gaz pendant le procédé

35 Sortie : système ouvert sas de sortie : ventilation en surpression filtration HEPA pas de risque de contamination microbiologique Isolateur

36 Isolateur- contrôles Pression obligatoirement positive : préparations parations aseptiques négative : conçue pour la protection des manipulateurs (produits toxiques)

37 Isolateur Environnements des isolateurs Pression Zone de préparation paration Environnement immédiat Isolateur en surpression Classe A Classe D Préparation des médicaments stériles

38 Environnements des isolateurs Isolateur zone propre, facilement nettoyable climatisée accès contrôlé : sas personnel

39 Isolateur- [contrôles et QUALIFICATION] Quand? à l installation (QI,QO,QP n 1) n régulièrement (autres QP) lors de changements dans l installation (exemple : filtres HEPA )

40 Isolateur- [contrôles et maintenance] Programme de contrôle A définir d : fréquence des contrôles types de contrôles sites contrôlés niveaux d alerte d et d actiond mesures à prendre si spécifications dépassd passées

41 Isolateur- [contrôles et maintenance] Contrôles de la biocontamination Air Surfaces Personnel : gants

42 Isolateur- [contrôles et maintenance] Objectif : Contrôle de l aérobiocontamination recherche du taux de microorganismes revivifiables Méthode biocollecteur (turbine à ailettes + milieu de recueil) sédimentation plusieurs points de prélèvement

43 Isolateur- [contrôles et maintenance] Contrôle des surfaces et des Objectif : recherche du taux de gants microorganismes revivifiables Méthode : boites de pétri p (géloses contact) écouvillon plusieurs points de prélèvement Résultats en classe A : < 1UFC/plaque < 1UFC/gant

44 Process

45 Les PROCESS Les processus Process 1 : de la prescription nominative à la validation pharmaceutique. Process 2 : de la fiche de fabrication au produit fini, et à la livraison. Process 3 : gestion des non conformités

46 Process 1 Prescription nominative, validation pharmaceutique, édition de fiches de fabrication

47 Prescription, validation pharmaceutique, fiche fabrication Chimiothérapies prescrites conformément ment à des protocoles : existence d un d thésaurus validé. Protocole: Dci Doses, Jours de traitement Intervalles entre les cures Annexes

48 AVASTIN / FOLFIRI Indication : Première ligne du cancer colorectal métastatique m (AMM 2007) Référence : Hurwitz, N Eng J Med 2004 Rythme : J1=J15 Durée : jusqu à progression ou intolérance Heure de perf. DCI Posologie Solvant Volume Durée e de perfusion Schéma du traitement H0 H0 Irinotécan (CAMPTO) Acide folinique (LEDERFOLINE) H+ 90 min FLUOROURACILE «bolus» H+2 Bevacizumab (AVASTIN) H+2 à H min avant Chimio Remarques FLUOROURACILE «continu» Adjuvants ZOPHREN 180 mg/m² 400 mg/m² G 5% ou NaCl 0,9% G 5% ou NaCl 0,9% 250 ml 90 min J1 500 ml 90 min en Y avec Campto J1 400 mg/m² G5% 100 ml min J1 5 mg/kg NaCl 0,9% 2400 mg/m²/48h /48h NaCl 0.9% 8 mg NaCl 0.9% 100 ml 90 min (1 ère perf.) * J1 230 ml 44 heures De J1àJ2 J2 (44 h) 100 ml 15 minutes J1 (*) La 1ère 1 perfusion d AVASTINd est à passer sur 90 minutes. En cas de bonne tolérance, la 2 ème perfusion (J15) est à passer sur 1 heure. En cas de bonne tolérance, la 3 ème et les suivantes sont à passer sur 30 minutes. ECG, Protéinurie systématique avant chaque cure TA avant et après s chaque perfusion d Avastind Anticoagulants et/ou aspirine > 325 mg/jour contre-indiqu indiqués s avec Avastin Délai minimum de 28 jours entre Chirurgie et Avastin et inversement. En cas de diarrhée e précoce lié au Campto, l utilisation l de Sulfate d Atropine d 0,25 à 0,5 mg en SC (curatif ou préventif) est possible sauf en cas de contre- indication aux atropiniques (glaucome )

49 Prescription, validation pharmaceutique, fiche fabrication Validation pharmaceutique Protocole déjàd validé Vérification de la concordance de la prescription : au protocole princeps, aux caractéristiques ristiques du patient.

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52 Prescription, validation pharmaceutique, fiche fabrication Validation pharmaceutique Vérification des paramètres du patient Continuité des cures précédentes, Poids, taille, clairance, Vérification de la prescription des annexes si nécessairen Validation des prescriptions hors AMM hors PTT

53 Prescription, validation pharmaceutique, fiche fabrication Edition des fiches de fabrication Compatibilités s (matériaux, solvant, concentration) à vérifier si non défini d dans un logiciel. Choix des spécialit cialités Eventualité d une préparation paration à l avance

54 Prescription, validation pharmaceutique, fiche fabrication Relecture de la fiche de fabrication imprimée e avant transmission Vérification rapide du volume calculé par le logiciel. Vérification de la concordance entre la voie d abord d et le DM choisi. Vérification de la péremptionp

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56 Prescription, validation pharmaceutique, fiche fabrication Transfert de la fiche de fabrication à la zone de production,

57 Process 2 Préparation des plateaux, fabrication, contrôle, libération

58 Préparation des plateaux Les flacons de produit sont disponibles dans une salle conforme aux BPP Les produits à conserver au froid ne sont pas sortis à l avance Produits sortis de leur emballage et capsule retirée e (espace entre le «flip off» et le bouchon non stérile) Tout le matériel nécessaire n est disponible et rangé conformément ment aux BPP Pas de déconditionnement d abusif à l avance

59 Préparation des plateaux Définir l agent l qui prépare pare le plateau (différent du manipulateur ) Si personnel non habilité (stagiaire, personnel en formation), vérification v de l acte. l

60 Préparation des plateaux Suivre la fiche de fabrication, un plateau par préparation. paration. Spécialit cialité à utiliser : nom, dosage, forme (essai clinique? fourni?) Numéro de lot Solvant de reconstitution et de dilution Consommable : seringue, bouchon, dispositif spécifique, tube de prélèvement Etiquette Noter sur la fiche de fabrication toute non- conformité et avertir le pharmacien.

61 Préparation des plateaux Désinfection selon procédure locale, ou stérilisation de contact si isolateur.

62 Process 2 Préparation des plateaux, fabrication, contrôles, libération

63 Fabrication Plan de travail Éventuel champ Espace dégagd gagé (pas de risque de confusion) Tout le matériel nécessaire n à portée e de main, (fiche de fabrication, évacuation des déchets, d etc)

64 Fabrication Technique de manipulation Vise à éliminer deux risques Contamination chimique de l environnementl Contamination microbienne de la préparation paration

65 Fabrication Technique de manipulation Existe risque de dispersion de produit dans l environnement à chaque fois qu un système clos est rompu. Éviter ceci même sous isolateur : des études montrent une contamination extérieure des poches de fabrication parfois supérieure dans le cas d une d préparation paration sous isolateur.

66 Fabrication Technique de manipulation visant à assurer une RECONSTITUTION ASEPTIQUE Système clos :«Système permettant le prélèvement et le transfert d un d produit stérile vers un autre contenant stérile dans lequel les systèmes de fermeture des contenants et le matériel de transfert restent en place pendant toute la durée du processus de transfert, uniquement assuré par une aiguille stérile, une tubulure stérile ou tout autre dispositif de transfert stérile».

67 manipulation : principes volume de la seringue supérieur d'au moins 25% au volume à prélever : pour éviter la désolidarisation d du piston. l'aiguille est désolidarisd solidarisée e et jetée e sans être recapuchonnée e (?) ou tordue, dans un conteneur à large ouverture adapté à cet usage.

68 manipulation : principes la surpression est compensée soit en utilisant une prise d'air hydrophobe, soit en utilisant un dispositif de transfert muni d'un filtre, soit en aspirant un volume d'air égal au volume de solvant transvasé.

69 manipulation : principes Ajustement du volume dans le flacon dans une compresse stérile dans le capuchon.

70 manipulation : principes Présentation des produits: Solution prête à l emploi en ampoules ou en flacons À diluer avec solvant spécifique avant dilution finale. (bicnu,, muphoran,, etc ) Lyophilisat à reconstituer

71 préparations parations en ampoules par simple percussion, tout le médicament situé dans la pointe est descendu dans le corps de l'ampoule. la pointe de l'ampoule est désinfectd sinfectée la pointe de l'ampoule est entourée e d'une compresse afin d'éviter au moment de la brisure, la projection de médicament m ou une coupure.

72 préparation paration en flacon type p mise en solution des poudres: type pénicilline bouchon du flacon désinfectd sinfecté quantité de solvant utile prélev levée e dans une seringue. solvant transvasé lentement dans le flacon en entourant l'aiguille et le bouchon d'une compresse stérile afin d'éviter toute dispersion d'aérosol médicamenteux.

73 préparation paration en flacon type p mise en solution des poudres type pénicilline le flacon est agité (sauf principes actifs fragiles!) pour dissoudre totalement la poudre. les médicaments m ne sont pas chauffés (sauf spécificit cificité,, ex : myocet )

74 préparation paration en flacon type pénicillinep prélèvement Prélèvement du volume de solution nécessaire l'aiguille solidaire de sa seringue est retirée e avec précaution en plaçant ant une compresse stérile autour du goulot.

75 DILUTION Si dilution dans un soluté: désinfection du bouchon du flacon/poche de perfusion contenu seringue transvasé en entourant aiguille et bouchon d une compresse stérile, ++ lors du retrait de l'aiguille. Pour les flacons si volume à transvaser important : prise d'air hydrophobe utilisée.

76 Produit fini mélange, mirage, étiquetage.

77 Prélèvement : détailsd

78 Produit prêt à l emploi Poudre reconstitution Produit reconstitué : solution ou suspension dilution Produit fini

79 Volumes à prélever Solution prête à l emploi Les industriels sur remplissent légèrement l les flacons : calculer le volume nécessaire n et prélever ce volume. Ex: prescription :mabthera 500mg Flacon 500mg/50ml : dose totale Il faut prélever 50ml Il ne faut pas prélever tout le flacon!

80 Volumes à prélever Solution prête à l emploi. Ex: prescription :mabthera 450mg Flacon 500mg/50ml : dose partielle Il faut prélever 45ml

81 Volumes à prélever Lyophilisat à reconstituer Les industriels fournissent le flacon avec la dose annoncée. Ex: prescription : zavedos 10mg Flacon 10 mg : dose totale Le volume d Eppi d peut être approximatif Il faut tout prélever

82 Volumes à prélever Lyophilisat à reconstituer Les industriels fournissent le flacon avec la dose annoncée. Ex: prescription : zavedos 8mg Le volume d Eppi d utilisé pour la reconstitution de la poudre doit être exact : ici 10ml. Calcul de la concentration obtenue Prélèvement du volume exact : 8ml.

83 Calculs de concentration dose = concentration *volume Ex : Dose prescrite : 140 mg flacon à 200 mg de PA Reconstitué avec 20 ml d d eau PPI Concentration : 10mg/ml volume à prélever : 140/10 = 14ml

84 Calculs de concentration Autre ex : Flacon de 200 mg mais poudre volumineuse Reconstitution avec 18 ml d eau d PPI Volume final : 20ml (et non pas 18) Concentration : 10 mg/ml (et non pas 11.1) Ex : dose 100mg, prélever :10ml (et non pas 9 ml)

85 Marge d erreurd On admet généralement g 5% de marge d erreur Dose prescrite 1.35 mg Peut on mettre 1.3mg? 1.3*100/1.35 =96,3 (donc <4%)

86 Marge d erreurd On admet généralement g 5% de marge d erreur Dose prescrite 540 mg Peut on mettre 500mg? 500*100/540 =92,3 (donc >5%) Pas en routine, mais si nécessaire, n on peut le discuter avec le prescripteur

87 Fin de la préparation paration Nettoyage du plan de travail : compresse humide, ou vaporisation d un détergent d adapté. Changement de gants toutes les 20 minutes minimum.

88 Process 2 Préparation des plateaux, fabrication, contrôle, libération

89 Contrôles 2.1. Contrôles en cours de fabrication

90 Contrôles en cours de fabrication Définir et former le personnel habilité à réaliser ce contrôle Connaissance des couleurs des produits Connaissance des spécificit cificités s : solvant spécifique, produit qui mousse, jamais de vincristine en seringue.;

91 Contrôles en cours de fabrication Points à contrôler, double contrôle. Etiquette correspond au plateau Solvant de reconstitution : nature et volume Volume prélev levé Solvant de dilution : nature et volume Suivi du mode opératoire figurant sur la fiche de fabrication (précautions spécifiques, temps de repos etc) Etiquetage Mise sous sachet (stérile) Éventuelles mentions sur les modalités s de conservation Traçabilit abilité

92 Contrôle gravimétrique in process : le système cato Assistance à la fabrication. Pesée e assistée e par ordinateur à chaque étape de la fabrication Reconnaissance par le poids des flacons Enregistrement automatique de toutes les étapes Impression d éd étiquettes pour la préparation paration et pour le reliquat généré. g

93 2.2. Les contrôles qualité du produit fini Contrôles visuels Contrôle par pesée Contrôles analytiques : identification et dosages du produit fini: i: HPLC+détecteur à barette de diodes Infrarouge et spectrophotométrie trie UV Spectrophotométrie trie RAMAN

94 Contrôles visuels Contrôles visuels en fin de préparation paration Contrôle non exhaustif : Réconciliation des produits utilisés s et du produit fini, Simple visualisation du produit fini, contrôle de l él étiquette.

95 Contrôles par pesée Pesée e du produit fini : le contrôle du poids en fin de préparation paration par comparaison avec le poids théorique (PT) de la préparation paration Poids en fin de préparation paration : pesée e du produit fini PT = poids poche avant supplémentation + poids du perfuseur + poids de l'emballage + poids de l'étiquette + poids de 5-FU 5 ajouté. Le poids du 5-FU 5 est calculé à partir du volume de solution (densité = 1) Les poids moyens de l'emballage, du perfuseur et de l'étiquette détermind terminés s par calcul de la moyenne des pesées de 10 éléments

96 Contrôles analytiques Rappels d optique d : Lumière Absorbée e : détection d UV et IR: mesure de l absorbance, à des longueurs d onde d différentes, spectre caractéristique ristique d une d substance Absorption caractéristique ristique de la concentration Diffusée e : spectroscopie RAMAN (Réfl fléchie)

97 Spectrophotomètre tre multispec de chez microdom Principe: UV visible IR à transformée e de fourier Le spectre infrarouge d'un échantillon est établi en faisant passer un faisceau de lumière infrarouge au travers de cet échantillon. L'examen de la lumière transmise indique la quantité d'énergie absorbée à chaque longueur d'onde. On peut le faire avec un faisceau monochromatique,, avec une modification de la longueur d'onde dans le temps, ou en utilisant un instrument à transformée e de Fourier afin de mesurer toutes les mesures d'onde simultanément. ment.

98 Spectrophotomètre tre multispec de chez microdom Caractéristiques ristiques Identification et quantification Temps d analyse d inférieur à 90 secondes Volume min de prélèvement : 1. 2 ml Manque de spécificit cificité pour les Ac, pour certaines anthracyclines

99 Spectroscopie Raman Sir Chandrasekhra Venkata RAMAN (7/11/ /11/1970) Nationalité: indien. Prix Nobel de physique en 1930 pour la découverte de l'effet Raman.

100 Spectroscopie raman Principe : envoyer une lumière monochromatique (laser) sur l'échantillon à étudier et analyser la lumière diffusée. (les photons incidents sont détruits d et leur énergie sert à créer des photons diffusés s et à créer ou détruire d des vibrations dans l'échantillon étudié).

101 Spectroscopie raman Caractéristiques: ristiques: Méthode non destructrice : identification et dosage à travers la poche ou la seringue Analyse de la diffusion émise par une solution traversée e par une source laser. Les sels de platine n ont n pas de diffusion raman

102 HPLC ou FIA couplée à une détection d UV Principe Séparation de l él échantillon à doser par CLHP: nécessaire n pour les molécules absorbant aux mêmes longueurs d onde d que les solvants, FIA (injection directe) pour les autres molécules. Identification et dosage par détection d UV à barette de diodes

103 HPLC couplée à une détection UV ou FIA Caractéristiques ristiques Identification et quantification Taille de l échantillon : 0.2 µl Temps d analyse d : 2 à 7 minutes Ac non dosés, s,

104 Les robots

105 Assistance de production automatisée Exemples: Health robotics : cytocare CFM de MDS Diana ou Medoc de ICU

106 Cytocare Système de préparation paration Bras robotisé Agitateur rotatif Système de prélèvement Système de contrôle Identification vidéo o des médicamentsm Identification datamatrix des solvants Contrôles gravimétriques Contrôles code barre de l él étiquetage final

107 Cytocare Essayé par le CHU de Poitiers, Arrêt du projet pour productivité insuffisante (dénoncement du marché)

108 CFM (cytotoxics formulating machine), développé à l institut Curie Structure 120*90*90cm Agitation, prélèvement, injection automatiques Système RFID : identification et traçabilit abilité des produits Contrôles gravimétriques Intervention humaine pour purge du perfuseur, chargement et déchargement d

109 Process 2 Préparation des plateaux, fabrication, contrôle,, libération

110 Libération du produit fini Contrôle non conforme Si contrôle analytique : deuxième contrôle, si toujours non conforme, reprélèvement. Contrôle conforme Libération du produit fini Éventuel stockage Expédition vers l unitl unité de soin, Avec les mentions de conservation Les dispositifs spécifiques s il s y a lieu traçabilit abilité

111 Process 3 Gestion des non conformités

112 GESTION DES NON CONFORMITES TYPE DE NON CONFORMITE Unité thérapeutique Accidents de préparation paration Dysfonctionnements de l isolateurl Dysfonctionnement des ZAC Dysfonctionnement logistique Dysfonctionnement informatique

113 Unités s thérapeutiques Défauts majeurs Erreur de Principe Actif Erreur de concentration/patient Erreur de solvant Erreur d éd étiquetage/patient Erreur de PéremptionP Erreur de suremballage Erreur de température de stockage,.

114 Unités s thérapeutiques : Mesure corrective Contrôles en cours de Préparation Contrôle du Produit fini par une méthode analytique

115 Unités s thérapeutiques :Autres mesures correctives...les robots de préparation paration ( à améliorer) les caméras (!) le respect de la concentration des personnes prévenir la fatigue éviter le travail solitaire

116 Accidents de Préparation Les majeurs Défaut d intd intégrité de l unitl unité thérapeutique Défaut des DMS nécessaire n à l administration sécuriss curisée e de l UTl Surpression non maitrisée e lors du remplissage de l UTl Nébulisation visible lors d un d transfert à l aiguille ou lors d un d ajustement au bon volume

117 Accidents de Préparation Les bloquants Bris d un d flacon ou d une d ampoule Piqûre de gant Piqûre de manchette Ouverture d un d sas de sortie Nécessite un arrêt de préparation paration en raison de la contamination chimique et ou de la rupture de l intl intégrité de l isolateurl

118 Dysfonctionnement de l Isolateur Les bloquants Panne électrique, avec arrêt des flux d air, et arrêt des sécurits curités s de dépression d Panne informatique de la commande des ouvertures et fermetures des sas entrée Matières Défaut de stérilisation Décollement de l isolateurl

119 Dysfonctionnement des ZAC Les bloquants Pannes électriques avec arrêt des surpression Bris de flacons Fuite d APA d lors de stérilisation

120 Mesures correctrices BRIS de flacons: Procédure avec KIT DE PREMIERE URGENCE, suivi de déclaration d d accident d et envoi de la personne au service de médecine m du travail Procédure de nettoyage permettant d éd éponger, de circonscrire le bris et le contenu : KIT D URGENCE D dans le sas habillage : surblouse et manchette,masque à gaz ou à charbon, gants,coiffe, lunette pour habiller la personne de nettoyage Container de DASRI Technique de nettoyage Temps de décontamination d

121 Mesures correctrices Procédures dégradd gradées pré établies Appel des services techniques Biomédical ST électricien ou de climatisation ventilation SAV, selon contrat avec intervention téléphonique, puis si besoin, intervention sous délai établi.

122 Gestion des non conformités Traçabilit abilité avec mesure corrective Détermination et enregistrement des causes Réflexion sur les conduites à tenir aboutissant à une Procédure évitant les décontenancementsd

123 Gestion des non conformités Argumentaire à l encontre du fabricant : Exemple du décollement, d imprévisible pour nous et du à un défaut d fabricant d un d lot de «colle» permettant de souder entre elles deux structures de plexiglas. INTERVENTION SOUS 24H, travaux 2 jours sur l isolateur défectueux d et sur un second de même age, à titre préventif.

124 Conclusion La préparation paration centralisée e des chimiothérapies dans les PUI est obligatoire et doit suivre les BPPH et BPP. La diversité et la dangerosité des produits prépar parés, la spécificit cificité des contrôles et la haute cadence de production impliquent l appel à du personnel qualifié : PPH, parfois IDE, encadrés s par des pharmaciens spécialis cialisés s dans la validation, la production et le contrôle.

125 Conclusion Le personnel doit recevoir une formation initiale et continue spécifique. Le personnel doit se conformer aux protocoles en place, tous en gardant un esprit critique sur chacune de ses actions. Le double contrôle est maintenant bien accepté et même demandé par les manipulateurs. Les contrôles mis en place ne dispensent pas de s autocontrôler à chaque étape!

126 Conclusion À réception de la préparation, paration, l IDE l doit : Manipuler le sachet extérieur de préférence rence avec des gants non stériles. S assurer que la préparation paration est bien destinée à un patient de son service, Conserver la préparation paration conformément ment aux indications portées sur l él étiquette, dans son sachet protecteur.

127 Conclusion Avant administration, l IDE l doit vérifier que les mentions portées sur l él étiquette : correspondent à la prescription correspondent à la préparation paration Vérifier la péremption p et s assurer s que les conditions de conservation ont été respectées. es. Suivre les bonnes pratiques d administrationd

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130 Merci de votre attention. Remarques, questions?

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