BOT 1002: Diversité du monde végétal. Les champignons. BOT Hiver Cours 6 : les champignons (écologie, évolution) 1

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "BOT 1002: Diversité du monde végétal. Les champignons. BOT Hiver Cours 6 : les champignons (écologie, évolution) 1"

Transcription

1 BOT 1002: Diversité du monde végétal Cours 6: Les Champignons «vrais» - rôles écologiques Les champignons Rôle dans l écosystème (rappel): saprophages, ou saprophytes: se nourrissent de matière en décomposition symbiotes: e.g. lichens et mycorhizes aussi les endophytes parasites: se nourrissent de matière vivante (mycoses) prédateurs: capturent des proies (e.g. nématodes) 1 Les mycorhizes Les mycorhizes Définition : association symbiotique d un champignon avec les racines d une plante vasculaire (fougères à angiospermes), aussi associé à certaines bryophytes. L association est bénéfique pour les deux partenaires : Le champignon mycorhizien augmente la capacité d absorption racinaire de la plante (eau et éléments nutritifs) Les champignons mycorhiziens reçoivent de la plante des sucres simples (comme le glucose) et des vitamines essentiels à leur croissance Ectomycorhizes d une plantule de pin Autres bénéfices pour la plante: protection contre les organismes pathogènes. production de substances de croissance végétale par le champignon (auxines, gibbérellines, etc.). Coûts pour la plante: entre 10 et 35 % des sucres issus de la photosynthèse seraient utilisés par le champignon. L état de mycorhization est la règle chez les végétaux: >85% des espèces végétales ont montré la présence de mycorhizes, dont toutes les plantes ligneuses. milieux avec le moins de mycorhizes: les milieux ouverts. plusieurs espèces sans mycorhize chez certains groupes de plantes: Chénopodiacées, Brassicacées et Cypéracées. Cours 6 : les champignons (écologie, évolution) 1

2 Les mycorhizes, évolution: Symbiose ayant joué un rôle essentiel dans l évolution des plantes Passage à la vie terrestre (développement du sol), sur substrats meubles (alluvions) Daté à > 450MA Fossiles les plus vieux associés à Rhynia (400MA) avec structures presques identiques au mycorhizes arbusculaires actuelles. Structures typiques des mycorhizes arbusculaires retrouvées chez nombreux fossiles (tout au cours de l histoire géologique) Coévolution: amélioration de nutrition minérale mais aussi tolérance à la sécheresse, aux pathogènes et aux stress environnementaux Symbiose, moteur de l évolution Les mycorhizes, évolution: Apparition des ectomycorhizes au carbonifère (environ 300MA), Conditions environnementales + Évolution de la lignine développement de plantes vasculaires de grande taille (e.g. fougères arborescentes) Production de grande quantité de débris ligneux Spéciation des champignons saprophytes (basidiomycètes) Substrats grossiers de montagne et moraines glaciaires Lessivés (plus de précipitation) Pinacées (Pins, sapins, épinettes), formation de matière organique riche en phénols et tannins (peu attaqués par bactéries), Acidification du milieux par champignons saprophytes Efficacité des ectomycorhizes Vivre sans les mycorhizes: Certains groupes de plantes se sont affranchis de la symbiose mycorhizienne (plus récemment dans leur développement) On pense à des espèces comme le choux (Brassicacées), les bettraves et les épinards (Chénopodiacées). Veuillez notez que l évolution des symbioses fixatrices d azote (rappel des Rhizobia cours sur les cyanobactéries) est beaucoup plus récente (80 à 60 MA) et que des espèces fixatrices d azotes peuvent aussi avoir des mycorhizes leur donnant un avantage pour tolérer les sécheresses par exemple. Les mycorhizes Deux grandes catégories de mycorhizes : Endomycorhizes (endo: intérieur) Endomycorhizes à arbuscules Mycorhizes des orchidées Mycorhizes éricoïdes Éricales: rhododendron, azalée, bleuet Champignons: quelques clavaires et Pézizomycètes Ectomycorhizes (ecto: extérieur) Ectomycorhizes Mycorhizes arbutoïdes Arctostaphylos spp. Mycorhizes monotropoïdes Monotropacées (Monotrope) Cours 6 : les champignons (écologie, évolution) 2

3 Les deux principaux types de mycorhizes en bref: Endomycorhizes à arbuscules (ou vésiculaires-arbusculaires, VA) les hyphes pénètrent dans les cellules des radicelles mycorhizes les plus communes: >70 % des plantes vasculaires, nombreuses mousses et hépatiques ( espèces) champignons impliqués: Gloméromycètes (environ 200 espèces) Ectomycorhizes les hyphes pénètrent dans les radicelles mais ne pénètrent PAS les cellules vivantes: réseau d hyphes intercellulaires qui enveloppent les cellules (réseau de Hartig) mycorhizes presque uniquement d espèces ligneuses (environ espèces) champignons impliqués: surtout des basidiomycètes, ainsi que des ascomycètes Cinq formes de mycorhizes (note de labo p. 61) A) endomycorhizes à arbuscules (qui forment parfois des vésicules) B) endomycorhizes des orchidées C) endomycorhizes éricoïdes D) ectendomycorhizes E) ectomycorhizes D C E B A les hyphes pénètrent dans les cellules du cortex des racines et forment des structures très ramifiées, les arbuscules, et des renflements terminaux, les vésicules arbuscules n entrent pas dans le protoplaste invagination de la membrane cytoplasmique lieu des échanges entre le champignon et la plante vésicules: espace de stokage (lipides) pour le champignon Gloméromycète (Glomus versiforme) se développant en association avec des racines de poireau hyphes s étendent dans le sol sur plusieurs cm (réseau lâche) la morphologie des racines ne change pas endomycorhizes VA invisibles à l oeil nu plantes-hôtes: la plupart des plantes herbacées beaucoup d arbustes et d arbres érable, frêne, orme, noyer, cerisier; thuya, genévrier, etc. chez plusieurs plantes importantes économiquement: légumineuses, tomates, pommiers, fraisiers, pêcher, caféier, etc. présence obligée ou non des endomycorhizes VA selon les espèces E.g. chez les carottes arbuscules et vésicules arbuscules Cours 6 : les champignons (écologie, évolution) 3

4 Endomycorhizes VA très répandues V A S régions arctiques, tempérés et tropicales habituellement dans les premiers cm du sol Champignons symbiotes: D Section transversale d une endomycorhize VA montrant des hyphes pénétrantes (PH), des arbuscules (A), des vésicules (V), des arbuscules en digestion par la plante (D) et des sporocarpes (S) Sporocarpe : terme général désignant un organe contenant des spores PH Embranchement Glomeromycota (anc. Zygomycota) < 200 sp. sont endomycorhiziennes (genre Glomus : > 50 sp.) ne vivent pas indépendamment de leur hôte en nature les spores sont uniques ou dans des sporocarpes; elles sont souvent produites sous la surface du sol et dispersées par des animaux co-évolution avec leur hôte ancienne: > 350 millions d années Les endomycorhizes des orchidées Les orchidées doivent obligatoirement s associer à des champignons pour réaliser leurs premiers stades de développement produisent une quantité énorme de graines de très petite taille l embryon est minuscule réserves de la graine épuisées après quelques divisions cellulaires avant d être autotrophe: la plante s associe à un champignon pour son alimentation elle est alors saprophyte Les mycorhizes des orchidées Infestation des racines en développement par des hyphes forment des pelotons fongiques dans l ensemble des cellules corticales les hyphes externes (saprophytes) absorbent des molécules organiques et alimentent en sucres l orchidée association complexe impliquant en milieux naturel champignons différents entre phase juvénile et adulte Certaines orchidées sans mycorhize à l état adulte, d autres parasites? champignons impliqués: des basidiomycètes et des espèces du genre Rhizoctonia (sans sporulation). Encore beaucoup de recherches nécessaires! Cours 6 : les champignons (écologie, évolution) 4

5 Les endomycorhizes éricoïdes Interactions avec les plantes éricacées Les Éricacées poussent communément dans des habitats pauvres en éléments nutritifs (e.g. Finbos), parfois acides (e.g. tourbières, forêt boréale). Environ 5% des espèces actuelles ont ce type de mycorhizes. Les champignons impliqués sont des Ascomycètes aux sporophores de petites dimensions (peuvent être cultivés en laboratoire) Les hyphes forment un réseau lâche, pelotons confinés au cortex Hyphes n augmentent pas directement la surface d échange mais produisent des enzymes qui: dégradent la matière organique du sol augmentent la disponibilité des éléments nutritifs Cinq formes de mycorhizes (note de labo p. 59) A) endomycorhizes à arbuscules (qui forment parfois des vésicules) B) endomycorhizes des orchidées C) endomycorhizes éricoïdes D) ectendomycorhizes E) ectomycorhizes les ectendomycorhizes - Association plus rare, en champignons asexués et pins. - manchons (comme ecto-) et pelotons (comme endo-) - certains considèrent que ce type d interaction traduit un déséquilibre entre l hôte et le champignon et correspondrait à une forme dégradée d ectomycorhize. Les ectomycorhizes associations d origine évolutive plus récente (environ 250 MA) caractéristiques des arbres forestiers (régions boréales et tempérées): espèces de plantes vasculaires ligneuses (e.g. pin, sapin, épinette, pruche, mélèze; chêne, hêtre, bouleau, saule, peuplier, ostryer, noisetier, aulne, tilleul, caryer, etc). certaines espèces sont obligées de former des ectomycorhizes (e.g. pin, épinette, chêne, hêtre), d autres pas (e.g. saules) Implique >5000 espèces de champignons souvent des basidiomycètes à chapeau (russules, amanites, bolets...) aussi des ascomycètes (truffes, morilles) Les ectomycorhizes L étude de certaines forêts de conifères révèle: presque tous les sporophores sont de champignons mycorhiziens Spécificité de l hôte variable selon les espèces (e.g. Truffes!) certains champignons peuvent être facilement cultivés sans la plante hôte e.g. bolets, amanites (contrairement aux Gloméromycètes des VAM) D autres sont difficiles (e.g. chanterelles, lactaires, truffes) voir impossibles à cultiver sans la plante hôte (e.g. russules) NB : dans la nature, certaines plantes peuvent avoir plusieurs types de mycorhizes en même temps! Cours 6 : les champignons (écologie, évolution) 5

6 Les ectomycorhizes les radicelles sont recouvertes d un manchon d hyphes (visible à l oeil nu) réseau mycélien interne: les hyphes envahissent l épiderme et le cortex des racines mais ne pénètrent jamais l endoderme ni l intérieur des cellules réseau mycélien externe: prospection du sol et augmentation de la surface d absorption de la radicelle Champignons pathogènes Mycoses maladies causées par les champignons chez les animaux e.g. maladie de la peau, des cheveux, des ongles... maladies des voies respiratoires Aspergillus sp. et Mucorales spécificité parasitaire de certaines espèces lutte biologique Racines de plantules de pin avec (à gauche) et sans ectomycorhize (à droite) Champignons pathogènes Champignons toxiques champignons vénéneux (e.g. Amanite-tue-mouche) champignons hallucinogènes (e.g Psilocybe sp.) moisissures toxigéniques systèmes de ventilation! Champignons pathogènes Champignons pathogènes pour les végétaux Mildiou (attention due aux oomycètes), chancre, rouille, ergot, charbon maladie hollandaise de l orme Cours 6 : les champignons (écologie, évolution) 6

7 Impact des activités humaines Usage de fongicides lutte contre champignons pathogènes risque de développement de champignons résistants affecte aussi champignons mycorhizateurs et décomposeurs (les fertilisants aussi!) Retombées radioactives (et autres polluants!) champignons accumulent toxines dans leurs tissus risques pour la consommation humaine et animale! Utilisations industrielles... Une grande variété de rôles: alimentation consommation directe fabrication de fromage, pain, boissons alcolisées! pharmaceutique antibiotiques contrôle de pestes lutte biologique digestion de la cellulose production de nourriture ou de combustible recherche scientifique! théorique et appliquée RAPPEL: Champignons asexués Identification des champignons Impact: Parasites : Certaines espèces pathogènes végétaux Utiles : Penicillium : fromages Roquefort, bleu danois, stilton, gorgonzola Aspergillus : Miso, sauce soya, saké Trichoderma : présent dans les sols, dégradation de la cellulose Jeans, détergents, contrôle biologique Antibiotiques Toxiques : Aflatoxine: mycotoxine cancérigène Dermatophytes : maladies fongiques de la peau (e.g. pied d athlète) 33 Cours 6 : les champignons (écologie, évolution) 7

ÉTUDE STRUCTURALE ET FONCTIONNELLE DES INTERFACES ENTRE LE CHAMPIGNON ET LA PLANTE-HÔTE

ÉTUDE STRUCTURALE ET FONCTIONNELLE DES INTERFACES ENTRE LE CHAMPIGNON ET LA PLANTE-HÔTE ÉTUDE STRUCTURALE ET FONCTIONNELLE DES INTERFACES ENTRE LE CHAMPIGNON ET LA PLANTE-HÔTE J. DEXHEIMER Le phénomène symbiotique joue un rôle majeur dans les biocénoses et il est admis qu il aété un facteur

Plus en détail

Végétaux Exemples d individus

Végétaux Exemples d individus Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»

Plus en détail

Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs)

Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) 105 Annexe 3 Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) On trouvera ci-après une description succincte des NIMP adoptées. Le texte intégral des NIMP peut être consulté sur le Site

Plus en détail

ne définition de l arbre.

ne définition de l arbre. LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement

Plus en détail

LA A RESPIRATION CELLULAIRE

LA A RESPIRATION CELLULAIRE Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles

Plus en détail

Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu

Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu (TP multiposte : groupes de 4 élèves qui se répartissent sur les 4 postes une fois chaque poste travaillé, un bilan sera établi

Plus en détail

Principe de précaution! 8 Catégorie de produits TYPE A partir du 1/1/2010 g/l prêt à être utilisé Revêtements mats pour murs et plafonds Revêtements brillants pour murs et plafonds Murs extérieurs

Plus en détail

Règlement type relatif à l abattage d arbres

Règlement type relatif à l abattage d arbres Règlement type relatif à l abattage d arbres INTRODUCTION «Une municipalité ou une MRC peut régir ou restreindre la plantation ou l'abattage d'arbres afin d'assurer la protection du couvert forestier et

Plus en détail

PLAN GÉNÉRAL D AMÉNAGEMENT FORESTIER SEIGNEURIE DE PERTHUIS RÉSUMÉ NOTE AU LECTEUR

PLAN GÉNÉRAL D AMÉNAGEMENT FORESTIER SEIGNEURIE DE PERTHUIS RÉSUMÉ NOTE AU LECTEUR NOTE AU LECTEUR Dans le cadre de notre certification forestière à la norme du Forest Stewardship Council de la Seigneurie de Perthuis, nous vous présentons un résumé du plan général d aménagement forestier

Plus en détail

MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques

MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques E. MARENGUE ( LDA22 ) et S. HULOT ( IDAC ) PLAN 1) La problématique 2) Les évolutions règlementaires 3) L échantillonnage : étape clé 4) Les techniques

Plus en détail

RÉSUMÉ. Mots-clés: blé variété microflore des semences, combat

RÉSUMÉ. Mots-clés: blé variété microflore des semences, combat RÉSUMÉ Mots-clés: blé variété microflore des semences, combat Importance de la récolte de blé a entraîné attention sur la recherche sur la santé des plantes et, en particulier, mycose affectant la récolte

Plus en détail

Qualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle

Qualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25 Laitues d hiver Moins de pe Les laitues pommées bio se révèlent exemptes de pesticides. Plus «Bonne nouvelle: toutes les salades sont conformes et

Plus en détail

Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux

Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux Comment font les végétaux pour s installer dans un nouveau milieu alors qu ils ne peuvent pas se déplacer? I/ L installation des végétaux dans un nouveau milieu

Plus en détail

Quelques données : Domaines & Patrimoine. Accord de partenariat avec le Groupe LAFORET Franchise. Membre de l ASFFOR.

Quelques données : Domaines & Patrimoine. Accord de partenariat avec le Groupe LAFORET Franchise. Membre de l ASFFOR. 1 2 Quelques données : Domaines & Patrimoine Membre de Adhérent à : l ASFFOR Membre de l ASFFOR Accord de partenariat avec le Groupe LAFORET Franchise 10 11 salariés 7000 8 500 ha ha gérés 12 13 groupements

Plus en détail

Comment utiliser les graines de soja à la cuisine

Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire

Plus en détail

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler

Plus en détail

Vivons au Potager UN CAPITAL DE VITALITÉ POUR TOUTE LA FAMILLE POUR UNE MEILLEURE QUALITÉ DE VIE

Vivons au Potager UN CAPITAL DE VITALITÉ POUR TOUTE LA FAMILLE POUR UNE MEILLEURE QUALITÉ DE VIE POUR UNE MEILLEURE QUALITÉ DE VIE Vivons au Potager UN CAPITAL DE VITALITÉ POUR TOUTE LA FAMILLE BIEN CONNAÎTRE LES LÉGUMES SANTÉ - Les vitamines - Les minéraux - Les fibres COMMENT RÉCOLTER DES LÉGUMES

Plus en détail

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes

Plus en détail

Auxiliaires. Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels

Auxiliaires. Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels Auxiliaires Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels Mouches Blanches L un des ravageurs les plus communs dans de nombreuses cultures. Lors d une forte attaque, la mouche blanche peut s avérer

Plus en détail

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et

Plus en détail

>Si j ai réussi, je suis capable de

>Si j ai réussi, je suis capable de Fiche 10 Rechercher des informations sur Internet La plupart des informations disponibles sur Internet sont gratuites à la consultation. Elles sont présentées par des personnes ou des organisations qui

Plus en détail

ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION

ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus

Plus en détail

Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de :

Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de : GUIDE EXPLICATIF POUR LES CITOYENS RÈGLEMENT SUR L UTILISATION DES ENGRAIS ET DES PESTICIDES Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de : Réduire l apport par ruissellement

Plus en détail

Bulletin n 6 LA MALADIE DU ROND

Bulletin n 6 LA MALADIE DU ROND MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE ADMINISTRATION DES EAUX ET FORETS COMMISSION D'ÉTUDES DES ENNEMIS DES ARBRES, DES BOIS ABATTUS ET DES BOIS MIS EN ŒUVRE Bulletin n 6 LA MALADIE DU ROND On appelle «maladie du

Plus en détail

FASCICULE DES 10 ESPECES D'ARBRES URBAINS ENIGME V - A LA DECOUVERTE DE LA NATURE

FASCICULE DES 10 ESPECES D'ARBRES URBAINS ENIGME V - A LA DECOUVERTE DE LA NATURE FASCICULE DES 10 ESPECES D'ARBRES URBAINS ENIGME V - A LA DECOUVERTE DE LA NATURE INTRODUCTION La nature est incroyablement diversifiée. Elle regroupe la Terre avec ses zones aquatiques telles que les

Plus en détail

CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT

CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT 1 Relations alimentaires entre les êtres vivants 1 1 Les chaines alimentaires. Une chaine alimentaire est constituée par une succession d êtres vivants

Plus en détail

grande simple microscope microscope inventé années 1825. biologie = cellule) et (logos de plus en Anglais. Utilise un La microscopie, 1665,

grande simple microscope microscope inventé années 1825. biologie = cellule) et (logos de plus en Anglais. Utilise un La microscopie, 1665, Cours de Biologie Cellulaire Présentés par Mr CHELLI A. FSNV 2012/ /2013 CHAPITRE I : INTRODUCTION A LA BIOLOGIE CELLULAIRE A- Introduction et définitionn de la biologie cellulaire : Il était difficile

Plus en détail

Jeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur

Jeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant

Plus en détail

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance

Plus en détail

Quelques éléments de bibliographie :

Quelques éléments de bibliographie : Quelques éléments de bibliographie : La plupart des données et schémas sont issus des travaux de recherche du Laboratoire d Ecologie du Sol et de Biologie des Populations, Université de Rennes 1 (Cluzeau

Plus en détail

Gamme de produits écologiques certifiés, distribuée par Multifonction. produits certifiés

Gamme de produits écologiques certifiés, distribuée par Multifonction. produits certifiés Gamme de produits écologiques certifiés, distribuée par Multifonction produits certifiés Une nouvelle marque de produits éco-conçus et responsables Fabrication 100% française Une vraie fabrication française

Plus en détail

Biomasse forestière et bioénergie: Danger ou solution?

Biomasse forestière et bioénergie: Danger ou solution? C est correct. La scie mécanique fonctionne au biocarburant. Biomasse forestière et bioénergie: Danger ou solution? Evelyne Thiffault David Paré Jacques Morissette Sébastien Dagnault Ressources naturelles

Plus en détail

L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se

L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se PHYTOREM S.A. L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se Le BAMBOU-ASSAINISSEMENT Le Procédé Sol EFFLUENTS EXPORTATION VERS LA TIGE Chaume ou tige Pollution organique et minérale

Plus en détail

Fiche technique. Comment lutter contre les nématodes parasites des cultures maraichères par la solarisation?

Fiche technique. Comment lutter contre les nématodes parasites des cultures maraichères par la solarisation? Institut National de la Recherche Agronomique du Niger Réseau National des Chambres d'agriculture du Niger Fiche technique RECA Réseau National des Chambres N d Agriculture du Niger iger Comment lutter

Plus en détail

Marteloscope Gounamitz 2

Marteloscope Gounamitz 2 Marteloscope Gounamitz 2 Description du dispositif Michel Soucy et André Cyr Faculté de foresterie, Université de Moncton, Campus d Edmundston Jean-Martin Lussier Centre canadien sur la fibre de bois,

Plus en détail

L'écologie. Introduction à l écologie des communautés. Différents types de niveau d organisation correspondent à différents domaines de l écologie

L'écologie. Introduction à l écologie des communautés. Différents types de niveau d organisation correspondent à différents domaines de l écologie Introduction à l écologie des communautés L'écologie! Ecologie : des mots grecs "Oikos", maison / habitat, et "logos", discours / étude! Ecologie : Science qui étudie les organismes (leur distribution

Plus en détail

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»

Plus en détail

SERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière

Plus en détail

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY «Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration

Plus en détail

MAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES

MAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES MAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES Par Marie-Christine Parent, stagiaire en diététique AU MENU Retour sur le sondage Vision de la saine alimentation Qu est-ce que l étiquetage nutritionnel?

Plus en détail

BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL PAYS DE LA LOIRE >>> MARAICHAGE

BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL PAYS DE LA LOIRE >>> MARAICHAGE BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL 2 AOÛT 2012 Retrouvez le Bulletin de santé du végétal sur le Web! www.draaf.pays-de-la-loire.agriculture.gouv.fr www.agrilianet.com - www.fredonpdl.fr Les maladies du feuillage

Plus en détail

2 C est quoi la chimie?

2 C est quoi la chimie? PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc

Plus en détail

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule

Plus en détail

Partie 3 Mise au point des solutions d aménagement. Rapport du Groupe de travail sur la diversité forestière et l approvisionnement en bois

Partie 3 Mise au point des solutions d aménagement. Rapport du Groupe de travail sur la diversité forestière et l approvisionnement en bois Partie 3 Mise au point des solutions d aménagement Rapport du Groupe de travail sur la diversité forestière et l approvisionnement en bois La collecte de renseignements utiles aux prises de décisions au

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Le rôle des haies dans le maintien et le développement des auxiliaires de culture et les pollinisateurs

Le rôle des haies dans le maintien et le développement des auxiliaires de culture et les pollinisateurs Le rôle des haies dans le maintien et le développement des auxiliaires de culture et les pollinisateurs A LES INSECTES UTILES : LES POLLINISATEURS Ce sont essentiellement les insectes de l ordre des Hyménoptères

Plus en détail

La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S.

La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S. La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S. Activité proposée : La notion de croissance est abordée en classe de 6 ème et elle est traitée en première S. Montrez sur cet exemple qu

Plus en détail

Le réchauffement climatique, c'est quoi?

Le réchauffement climatique, c'est quoi? LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre

Plus en détail

Compléments et commentaires liés à l outil d initiation à la biodiversité à destination du secteur privé

Compléments et commentaires liés à l outil d initiation à la biodiversité à destination du secteur privé Compléments et commentaires liés à l outil d initiation à la biodiversité à destination du secteur privé Afin de parfaire la présentation «Initiation à la biodiversité à destination du secteur privé»,

Plus en détail

L ÉNERGIE C EST QUOI?

L ÉNERGIE C EST QUOI? L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.

Plus en détail

ANNEXE 13 10-1-1 ANNEXE 13 : Documents d adhésion pour les entreprises/validé par AGE du 03.01.2012 183

ANNEXE 13 10-1-1 ANNEXE 13 : Documents d adhésion pour les entreprises/validé par AGE du 03.01.2012 183 ANNEXE 13 1011 183 ANNEXE 13 DOCUMENTS D ADHÉSION POUR LES ENTREPRISES FORMULAIRE DE DEMANDE D ADHÉSION AU SYSTÈME PEFC (Entreprise hors exploitation forestière) Lettre à établir sur papier à entête du

Plus en détail

SECTION 1- Identification de la substance/du mélange et de la société / entreprise

SECTION 1- Identification de la substance/du mélange et de la société / entreprise Famille : AMENDEMENT MINERAL BASIQUE ENGRAIS AVEC ADDITIF AGRONOMIQUE NF U 44-204 Amendement calcaire, dolomie et gypse NFU 44-203 avec préparation microbienne : RHIZOCELL (AMM n 1110014) AGRI-BIOTECH

Plus en détail

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la

Plus en détail

En vue de l obtention du. Délivré par l Université Paul-Sabatier, Toulouse III Discipline ou spécialité : Interaction plantes - microorganismes

En vue de l obtention du. Délivré par l Université Paul-Sabatier, Toulouse III Discipline ou spécialité : Interaction plantes - microorganismes THÈSE En vue de l obtention du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délivré par l Université Paul-Sabatier, Toulouse III Discipline ou spécialité : Interaction plantes - microorganismes Présentée et soutenue

Plus en détail

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?

Plus en détail

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les

Plus en détail

Taillis à courte ou très courte rotation (TTCR) : gestion des pratiques d implantation

Taillis à courte ou très courte rotation (TTCR) : gestion des pratiques d implantation PRATIQUES N 12 Taillis à courte ou très courte rotation (TTCR) : gestion des pratiques d implantation Définition générale de la pratique TTRC de saule Les taillis à courte ou très courte rotation (TCR

Plus en détail

Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011

Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Brigitte Duval, agronome (MAPAQ Nicolet) et Geneviève Labrie, Ph.D. (CÉROM) en collaboration avec Joëlle Cantin, stagiaire, Mathieu

Plus en détail

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015 Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence

Plus en détail

Ventilation : Mesure et réglage des débits

Ventilation : Mesure et réglage des débits Ventilation : Mesure et réglage des débits Samuel Caillou Division Climat, Equipements et Performance Energétique CSTC - Pourquoi régler les débits? Pour avoir le bon débit au bon endroit Qualité d air

Plus en détail

Haute-Normandie. Livret jeune public

Haute-Normandie. Livret jeune public Haute-Normandie Livret jeune public 1 RENDEZ-VOUS AUX JARDINS Du vendredi 0 mai au dimanche 1er juin a lieu la 1e édition «Renz vous aux jardins»! Cette gran fête t invite à visiter les plus beaux jardins

Plus en détail

Semis direct: de l essai à la pratique

Semis direct: de l essai à la pratique Travail du sol - Semis direct 2.4.3 Semis direct: de l essai à la pratique Expériences acquises dans un système de semis direct en continu A. Chervet 1, L. Gubler 1, P. Hofer 1, C. Maurer-Troxler 1, M.

Plus en détail

Transfusions sanguines, greffes et transplantations

Transfusions sanguines, greffes et transplantations Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222

Plus en détail

Traits fonctionnels : concepts et caractérisation exemples des prairies Marie-Laure Navas, Eric Garnier, Cyrille Violle, Equipe ECOPAR

Traits fonctionnels : concepts et caractérisation exemples des prairies Marie-Laure Navas, Eric Garnier, Cyrille Violle, Equipe ECOPAR Traits fonctionnels : concepts et caractérisation exemples des prairies Marie-Laure Navas, Eric Garnier, Cyrille Violle, Equipe ECOPAR Ecole Chercheurs AgroEcologie 5-8 Juin 2012 1 Diversité spécifique

Plus en détail

INTRODUCTION GENERALITES SUR LA SYMBIOSE MYCORHIZIENNE. Par Duponnois R. 1, Sanon A. 1, 3, Hafidi M. 2, Ndoye I. 3, 4, Bâ A. M. 3

INTRODUCTION GENERALITES SUR LA SYMBIOSE MYCORHIZIENNE. Par Duponnois R. 1, Sanon A. 1, 3, Hafidi M. 2, Ndoye I. 3, 4, Bâ A. M. 3 INTRODUCTION GENERALITES SUR LA SYMBIOSE MYCORHIZIENNE Par Duponnois R. 1, Sanon A. 1, 3, Hafidi M. 2, Ndoye I. 3, 4, Bâ A. M. 3 1 IRD. UMR 113 CIRAD/INRA/IRD/AGRO-M/UM2. Laboratoire des symbioses tropicales

Plus en détail

En primeur chez. La collection «Jardinier urbain» pour aménagements comestibles, petits jardins potagers et jardins en pots. p.7

En primeur chez. La collection «Jardinier urbain» pour aménagements comestibles, petits jardins potagers et jardins en pots. p.7 En primeur chez Semences et grains à germer disponibles en magasin à 4,99 $ le sachet. p.7 p.10 p.12 La collection «Jardinier urbain» pour aménagements comestibles, petits jardins potagers et jardins en

Plus en détail

Introduction au Monde VégétalV. Les Champignons. Les Algues. Introduction au Monde Animal. Les Invertébr. (Les Lichens)

Introduction au Monde VégétalV. Les Champignons. Les Algues. Introduction au Monde Animal. Les Invertébr. (Les Lichens) Enseignement de Biologie des Organismes 11 ère ère année de de Licence DEUG STS STPIBGS Introduction au Monde VégétalV Les Champignons Les Algues Introduction au Monde Animal Les Invertébr brés (Les Lichens)

Plus en détail

La production énergétique à partir de la biomasse forestière : le devenir des nutriments et du carbone

La production énergétique à partir de la biomasse forestière : le devenir des nutriments et du carbone La production énergétique à partir de la biomasse forestière : le devenir des nutriments et du carbone Jessica François, Mathieu Fortin et Anthony Dufour Journées CAQI les 8 et 9 avril 2014, Gembloux,

Plus en détail

SKW. Les enzymes dans la technologie des détergents. Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband

SKW. Les enzymes dans la technologie des détergents. Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband SKW Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband Association suisse des cosmétiques et des détergents The Swiss Cosmetic and Detergent Association Les enzymes dans la technologie des détergents Les enzymes

Plus en détail

L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.

L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie. 1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les

Plus en détail

Sciences de la vie et de la Terre

Sciences de la vie et de la Terre Sciences de la vie et de la Terre Thème 2 B Enjeux planétaires contemporains - La plante domestiquée Table des matières 1 : La plante cultivée : le Maïs...Erreur! Signet non défini. 2 : Les variétés de

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE. Vers de terre Architectes des sols fertiles. Présence et mode de vie. N de commande 1619, Édition Suisse, 2013.

FICHE TECHNIQUE. Vers de terre Architectes des sols fertiles. Présence et mode de vie. N de commande 1619, Édition Suisse, 2013. FICHE TECHNIQUE Vers de terre Architectes des sols fertiles Introduction Entre un et trois millions de vers de terre vivent dans la terre en bonne santé d un hectare de prairie. Plus il y en a plus le

Plus en détail

Tâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.

Tâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive. 13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser

Plus en détail

Une nouvelle écologie des parcs et des jardins

Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Patrimoine vert bordelais et politique de développement et de gestion Ecologie : grands principes et applications

Plus en détail

Avec quel bois. se chauffer?

Avec quel bois. se chauffer? Avec quel bois se chauffer??? Pourquoi choisir l énergie bois? Le bois énergie est bon marché Contrairement aux prix des énergies fossiles, celui du bois est stable. Le faible coût de ce combustible, associé

Plus en détail

Qu est-ce qu un arbre?

Qu est-ce qu un arbre? Qu est-ce qu un arbre? Définir un arbre permet d aborder différentes notions et perspectives. Si la définition d un arbre est d abord biologique, elle doit être complétée par la façon dont il est perçu

Plus en détail

L ARBRE DE NOS BOURGS. carnet de santé. environnement. architecture environnement. architecture

L ARBRE DE NOS BOURGS. carnet de santé. environnement. architecture environnement. architecture L ARBRE DE NOS BOURGS carnet de santé architecture architecture environnement environnement L ARBRE DE NOS BOURGS CARNET DE SANTÉ SOMMAIRE PRÉAMBULE 5 L ARBRE JEUNE : LES QUINZE PREMIÈRES ANNÉES 7 LA

Plus en détail

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources

Plus en détail

Qui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité.

Qui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité. Pedro Tamacha 9 Normalement, Pedro devrait consommer 3 100 kcal/jour pour être en bonne santé et avoir une activité normale, il lui manque 800 calories. 9 Son régime alimentaire est composé de riz, pommes

Plus en détail

Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol?

Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Introduction La vie végétale et animale, telle que nous la connaissons, n'existerait pas sans la terre fertile qui forme à la

Plus en détail

Allégations relatives à la teneur nutritive

Allégations relatives à la teneur nutritive Allégations relatives à la teneur nutritive Mots utilisés dans les allégations relatives à la teneur nutritive Ce que le mot signifie Exemples Sans Faible Réduit Source de Léger Une quantité insignifiante

Plus en détail

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;

Plus en détail

Plate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière

Plate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière Plate-forme énergie Filière de la biomasse forestière Mars 2013 Table des matières 1. Principes généraux... 0 2. Ce qu on entend par économie d énergie... 1 3. Réflexion sur les sources d énergie à privilégier...

Plus en détail

Mise en place d un réseau d Arboretums pour une valorisation coordonnée des ressources ligneuses ex situ

Mise en place d un réseau d Arboretums pour une valorisation coordonnée des ressources ligneuses ex situ ENGREF. Mise en place d un réseau d Arboretums pour une valorisation coordonnée des ressources ligneuses ex situ Stéphanie BRACHET Chargée des missions scientifiques ENGREF - Arboretum national des Barres

Plus en détail

Mise à jour Évaluation et Rapport de situation du COSEPAC. l adiante cheveux-de-vénus Adiantum capillus-veneris

Mise à jour Évaluation et Rapport de situation du COSEPAC. l adiante cheveux-de-vénus Adiantum capillus-veneris Mise à jour Évaluation et Rapport de situation du COSEPAC sur l adiante cheveux-de-vénus Adiantum capillus-veneris au Canada ESPÈCE EN VOIE DE DISPARITION 2000 COSEPAC COMITÉ SUR LA SITUATION DES ESPÈCES

Plus en détail

Le ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.

Le ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment

Plus en détail

Note nationale BSV. Hannetons et vers blancs

Note nationale BSV. Hannetons et vers blancs Note nationale BSV Note rédigée par la DGAl-SDQPV. Version 2013 Hannetons et vers blancs Situation des hannetons sur le territoire Depuis le début des années 2000, des dégâts de plus en plus fréquents

Plus en détail

Information destinée aux patients et aux proches. Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile

Information destinée aux patients et aux proches. Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile Information destinée aux patients et aux proches Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile Qu est-ce que la diverticulite? Cette brochure vous informe

Plus en détail

Développement de la saveur et caractéristiques des sirops d exception

Développement de la saveur et caractéristiques des sirops d exception Développement de la saveur et caractéristiques des sirops d exception Stéphane Guay, biologiste responsable R&D chez Dominion & Grimm Martin Picard, chef du Pied de Cochon Qu est-ce qu un sirop d exception?

Plus en détail

Est-elle bonne à boire?

Est-elle bonne à boire? Environnement et Travail Gestion de l environnement et des aires naturelles L eau de votre puits Est-elle bonne à boire? 1 Cette série de brochures décrit ce que les propriétaires de puits privés peuvent

Plus en détail

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.

Plus en détail

MASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE)

MASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE) MASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : STIC POUR L'ECOLOGIE

Plus en détail

Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval. Le chapitre 3. Les rédacteurs

Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval. Le chapitre 3. Les rédacteurs La gestion du ph du sol Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval Le chapitre 3 Les rédacteurs Anne Vanasse (responsable) Marc Hébert Lotfi Khiari Sébastien Marchand Abdo Badra Hélène Moore 1 Introduction

Plus en détail

Le compost. Un petit écosystème au jardin

Le compost. Un petit écosystème au jardin Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème

Plus en détail

Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires

Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME Vendredi 9 Décembre 2011 Pontaumur La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Emilie CHANSEAUME Lucile AUMOINE Céline

Plus en détail

Veloci Tea. Ce merveilleux Thé détoxifiant. Des personnes ont été traitées avec, pour des problèmes comme:

Veloci Tea. Ce merveilleux Thé détoxifiant. Des personnes ont été traitées avec, pour des problèmes comme: Ce merveilleux Thé détoxifiant VelociTea est un mélange unique de plantes médicinales avec la sécurité que tous les ingrédients sont 100% naturels, conçu pour nettoyer en douceur le système digestif et

Plus en détail

Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis

Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis Asian longhorned beetle (ALB) Longicorne asiatique Photo LNPV DRAAF - SRAL ALSACE Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora

Plus en détail

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS

Plus en détail

LA RECHERCHE AU CENTRE DE FORESTERIE DES LAURENTIDES DE RESSOURCES NATURELLES CANADA. biomasse forestière

LA RECHERCHE AU CENTRE DE FORESTERIE DES LAURENTIDES DE RESSOURCES NATURELLES CANADA. biomasse forestière LA RECHERCHE AU CENTRE DE FORESTERIE DES LAURENTIDES DE RESSOURCES NATURELLES CANADA La biomasse forestière Mention de source De haut en bas et de gauche à droite Page 1 J. Morissette (RNCan) Page 2 N.

Plus en détail