Stress oxydatif et réponse antioxydante
|
|
- Noëlle Paul
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Université Paris Saclay, Master 1 Biologie santé, Parie Biologie cellulaire Partie II : Stress et réponses cellulaires Stress oxydatif et réponse antioxydante Hind Guenou hind.guenou@inserm.fr Vivre avec l'oxygène et la chimie redox Les sources du stress oxydant Les réponses aux stress oxydant
2 Vivre avec l'oxygène et la chimie redox Le paradoxe de l oxygène étant que c est un poison auquel la vie s est adaptée.
3 Les sources du stress oxydant Définition : Toutes les cellules aérobies produisent en permanence des espèces réactives de l oxygène qui sont neutralisées immédiatement par les antioxydants Un radical ou radical libre désigne un atome ou une molécule qui possède un électron non apparié. Quelle sont ces espèces réactives? Formes réactives d oxygen (FRO) ou Reactive Oxygen Species (ROS) Certains ROS, pas toutes, sont des radicaux libres 3
4 Les sources du stress oxydant Les responsables du stress oxydant (espèce réactives de l oxygène et de l azote) ROS-dérivés d oxygène RNS-dérivés d azote dioxygène : O 2 superoxyde : 2O 2 - Radical hydroxyle : OH O 2 peroxynitrite : ONOO - Monoxyde d azote: NO Peroxyde d hydrogène : H 2 O 2 Acide hypochloreux : HOCl 4
5 2-1 Les principaux oxydants Réactions de transformation Réduction d O 2 à H 2 O liée au métabolisme cellulaire Fuite d e produisant superoxyde par enzyme oxydase Production de peroxyde d hydrogene par SOD Réaction de Fenton pour production du radical hydroxyle Dismutation par Catalase avec 2 molécules de H2O2 Ou reduction par gluthation avec 1 molécule de H2O2 Les membranes cellulaires sont perméables au H 2 O, à l aide d aquaporines 5
6 2-2 Les principaux sources de stress oxydant et leur activation Produits secondaires du métabolisme cellulaire Chaîne respiratoire : Fuite d e produisant superoxyde par enzyme oxydase Mitochondrie (respiration cellulaire) O 2 -
7 2-2 Les principaux sources de stress oxydant et leur activation Produits secondaires du métabolisme cellulaire Métabolisme de l'acide urique
8 2-2 Les principaux sources de stress oxydant et leur activation Produits secondaires du métabolisme cellulaire Synthèse des prostaglandines et des leukotriènes Cycloxygenase 8
9 2-2 Les principaux sources de stress oxydant et leur activation Produits secondaires du métabolisme cellulaire Métabolisme des xénobiotiques 9
10 2-2 Les principaux sources de stress oxydant et leur activation Produits (EROS, ENOS) par des enzymes Spécifiques d un type cellulaire. Nitric oxide synthase - NOS NO synthase endotheliale enos (NOS3) NO synthase neuronale nnos (NOS1) nombreux tissues activité régulée Calcium/calmodulin dépendante NO synthase inductible inos (NOS2) système immunitaire Constitutivement active, régulation transcriptionnelle Cytosolique ou attaché aux membranes 10
11 2-2 Les principaux sources de stress oxydant et leur activation Produits (EROS, ENOS) par des enzymes Spécifiques des types cell. Nitric oxide synthase - NOS NOS composition, régulation, fonction NH 2 Oxygenase domain Reductase domain BH 4 Fe Kalyanaraman Redox Biology 2013 CAM C-SH HS-C Zn C-SH HS-C CAM FMN e - e - Fe BH 4 NADP + FAD e - O 2 NADPH COOH Yves Gorin, 11 Texas
12 2-2 Les principaux sources de stress oxydant et leur activation Produits (EROS, ENOS) par des enzymes Spécifiques des types cell. NADPH oxydases (NOX) p22 phox gp91phox p22 phox gp91 phox La NADPH oxydase des phagocytes : assemblage des sous-unités, activation, production de ROS pour détruire des pathogènes 12
13 2-2 Les principaux sources de stress oxydant et leur activation Produits (EROS, ENOS) par des enzymes Spécifiques des types cell. Les NADPH oxydases des mammifères NOX1-5 et DUOX1/2 O O 2 O 2 - O 2 O - 2 O 2 - H 2 O 2 NOX1/3 p22 NOX2 p22 NOX4 p22 NOXO1 NOXA1 rac O 2 O 2 - NOX5 EF p67 rac p47 p40 Constitutive? O 2 H 2 O 2 Perox DUOX A1/A2 DUOX1/2 EF Ca 2+ NOX dans les plantes : RBOH A-F (respiratory burst oxydase homologues) NOX dans les champignons : NOX1-3 et NOX A,B,RAdapté de Lambeth AnnRevPathMechDis2014 NOX dans les procaryotes : peut-être Ca 2+ 13
14 2-2 Les principaux sources de stress oxydant et leur activation Fonctions des NADPH oxydases Destruction de pathogènes par les phagocytes, en cas de déficiences => Granulomatose Septique Chronique (CGD), caractérisé par infections sévères et récurrentes Stasia SeminImmunopath O Neill Redox Biol 2015
15 2-2 Les principaux sources de stress oxydant et leur activation Les mutations de NOX2 identifiés dans les patients de CGD Stasia Seminimmunopath 2008 L analyse des mutants de chaque patient est une source d information sur la relation structure fonction de NOX2 15
16 2-2 Les principaux sources de stress oxydant et leur activation Exemple des fonctions des NADPH oxydases Cas de DUOX et la synthèse des hormones thyroïdiens Iodure +thyroglobuline (TG), sous l influence de la TPO (thyroperoxydase), en présence de H2O2 synthétisé par le système NADPH-oxydase ou Duox-2. Grüters, A. & Krude, H. (2011) Nat. Rev. Endocrinol. 16
17 2-2 Les principaux sources de stress oxydant et leur activation Produits (EROS, ENOS) par energie exogene Scission homolytique des liaisons covalentes A _ B A + B (Nécéssite de l énergie).
18 2-3 Les conséquences d'un stress oxydant Oxydations de biomolécules Sucres, lipides, protéines, et acides nucléiques peuvent être oxydés. Changement de structure et fonction Peroxydation des lipides 18
19 2-3 Les conséquences d'un stress oxydant Oxydations de biomolécules Sucres, lipides, protéines, et acides nucléiques peuvent être oxydés. Changement de structure et fonction Peroxydation des lipides 19
20 2-3 Les conséquences d'un stress oxydant Oxydations de biomolécules Oxydation de cystéine, une conséquence majeure du stress oxydant Produits d oxydation: Sulfenic (Cys-SOH), sulfinic (Cys-SO 2 H), sulfonic acids (Cys-SO 3 H), and disulfide bond (Cys-SS-Cys)
21 2-3 Les conséquences d'un stress oxydant Oxydations de biomolécules Modifications oxydatives des protéines Hamanaka Trends Biochem Sci
22 2-3 Les conséquences d'un stress oxydant Oxydations de biomolécules Modification réversible des groupements thiols des cystéines des protéines Rôle de messagers secondaires H 2 O 2 NO Phosphatases : Inactivées Kinases : activées ou inactivées Ex:Caspases (Inhibition par H 2 O 2 et NO) Ex: Métalloprotéinases (activées par H 2 O 2 et NO) Protéases : activées ou inactivées Régulation des facteurs de Transcription NK B activé par H2O2, inactivé par NO 22
23 2-3 Les conséquences d'un stress oxydant Effets biologiques - Très variées entre cellules et tissus, forte variation en fonction de la dose Hamanaka Trends Biochem Sci
24 2-3 Les conséquences d'un stress oxydant Effets biologiques Les effets cellulaires des ERO et ERN dépendent de leur concentration dans les cellules 24
25 2-3 Les conséquences d'un stress oxydant l'état redox des compartiments cellulaires Le RE est oxydant afin de permettre la formation de ponts disulfures 25 Kojer K BBA 2014
26 2-4 le méthodes de détection du stress oxydant Par définition, les ROS sont réactives donc peu stable, pour les détecter il faut une mesure instantanée ou transformer les ROS en molécules plus stables Les enjeux de la techniques : sensibilité, spécificité, localisation, échelle de temps, détecteur de ROS ou d'état redox 26
27 2-4 Méthodes de détection du stress oxydant RPE - résonance paramagnétique électronique electron spin resonance (ESR) Détection de radicaux (électrons non appariés) Le radical dans l échantillon est piégé (spin trap) par un molécule spécifique qui forme un complexe «adduct» avec le radical L échantillon est placé dans un fort champ magnétique dont on varie la force et exposé à une onde électromagnétique de très haute fréquence L appareil mesure l absorption de cette onde par l échantillon DEPMPO Spectre RPE de DEPMPO-O 2 - Dérivé de l absorption en fonction de la force du champ Site Enzo 27
28 2-4 le méthodes de détection du stress oxydant Chemiluminescence Oxidation de luminol et émission de lumière ROS N 2 + lumière (λ max 460 nm) Mesure des ROS présent à l instant Chémiluminescence (ua) 100 [Ca 2+ ] o = 1 mm [Ca 2+ ] o = temps (min) Phagocytes (HL60) stimulation avec peptide microbien 28
29 2-4 le méthodes de détection du stress oxydant Fluorescence, exemple DCFH 2 oxydation 2- hydrolyse ester Couplage covalent DCFH2- ROS levure protéine 2',7'-dichlorodihydrofluorescein diacetate, succinimidyl ester (OxyBURST Green H2DCFDA, SE) 1- couplage aux amines Fluorescence 29
30 2-4 le méthodes de détection du stress oxydant La GFP comme détecteur d HOCl Neutrophil Bleaching of GFP-Expressing Staphylococci: Probing the Intraphagosomal Fate of Individual Bacteria Schwartz J J Immunol 2009 GFP GFP 30
31 2-4 le méthodes de détection du stress oxydant Le blanchiment de la GFP bleaching est corrélée à la mort des bactéries Schwartz J J Immunol
32 2-4 le méthodes de détection du stress oxydant Nature Methods 2008 Human glutharedoxin1 (GRX1) Redox sensitive GFP (rogfp2) fluorescence GRX1-roGFP2 ER/cytosol ER + DTT cytosol ER HEK293 cells expressing GRX1-roGFP2 ER or GRX1-roGFP2 cytosol Agnes Delaunay, CEA, Saclay excitation (nm) Ratio F405/F480 oxydation 32
33 2-4 le méthodes de détection du stress oxydant Le biosenseur peut être dirigé spécifiquement dans un compartiment cellulaire Exemple GRX1-roGFP2 dans cytosol ou RE Cellules HEK293T cytosol ER 33
34 3 Les réponses aux stress oxydant 3-1 les antioxydants Des molécules antioxydant se trouvent dans de nombreux aliments Des compléments alimentaires sont proposés Vitamine C 34
35 3-1 les antioxydants les système glutathion (GSH) et son recyclage Le tripeptide GSH Oxydation et réduction de GSH ox 2 GSH GSSG red Le recyclage enzymatique du GSH : 35 Kalyanaraman Redox Biology 2013
36 3-1 les antioxydants les enzymes détoxifiants Superoxyde Dismutase (SOD) 2O H + --> H 2 O 2 + O 2 Chez l homme SOD 1,2,3 CuZn-SOD cytosolique, SOD1 Mn-SOD mitochondriale, SOD2 CuZn-SOD extracellulaire, SOD3 Catalase 2 H 2 O 2 --> 2 H 2 O + O 2 Homotetramère, 4 x 500 acides aminées V max = /s Chez les eucaryotes, Catalase A dans peroxysomes Catalase T dans cytosol Peroxidase RH 2 + H 2 O 2 --> R + 2 H 2 O Divers enzymes dans procaryotes et eucaryotes 36
37 3-1 les antioxydants les anti-oxydants alimentaires (vitamines, carotènes, phénols ) Kalyanaraman Redox Biology
38 3-2 l'adaptation de la cellule aux stress oxydant (exemples) le système Nrf2 Kalyanaraman Redox Biology 2013 activation de Nrf2 par un stress oxydant conduit à l expression de multiples gènes de la réponse antioxydante 38
39 3-2 l'adaptation de la cellule aux stress oxydant (exemples) le système HIFa (hypoxia induced factor) L hypoxie augmente la production de ROS par les mitochondries Les ROS bloquent l hydroxylation de HIF1α et la stabilisent HIF1α entre dans le noyau est active la transcription de gènes d adaptation à l hypoxie Hamanaka Trends Biochem Sci
40 3-2 l'adaptation de la cellule aux stress oxydant (exemples) la réponse d'un microorganisme aux stress oxydant induit par le système immunitaire Source ROS endogènes et exogènes Imlay AnnRev Bioch
41 3-2 l'adaptation de la cellule aux stress oxydant (exemples) Les cibles des ROS dans E. coli Imlay CurrOpinMicrob
42 3-2 l'adaptation de la cellule aux stress oxydant (exemples) Signalisation redox dans les plantes => La signalisation redox est très localisée pour certains ROS PitzschkeAntioxRedSign
43 Intégration des signaux dans le temps et l espace BaxterJExpBot
44 Enhanced HR cell death in transgenic tobacco plants expressing antisense RNA for capx. Ron Mittler et al. PNAS 1999;96: by National Academy of Sciences HR = «hypersensitive response» capx = peroxidase cytosolique Leakage = mort cellulaire progammé 44
45 Antioxidants and an inhibitor of ROI generation during the HR suppress bacteria-induced cell death in transgenic plants with reduced capx protein. Ron Mittler et al. PNAS 1999;96: DPI = inhibiteur de Rboh Asc, GSH = antioxydant by National Academy of Sciences
46 3-2 l'adaptation de la cellule aux stress oxydant (exemples) Etats pathologiques impliquant le stress oxydant chez l homme Pathologies Chroniques Pathologies Aigues 46
47 Les oxydations des LDL à l origine de l initiation de l athérosclérose. 47
48 Marqueur de peroxydation lipidique ISOPROSTANES 48
49 Relation entre facteur de risques de la maladie coronarienne et le taux d isoprostane Facteurs de risques Taux d Isoprostane élevé 49
50 4 Conclusion Anti-Oxydant Pro-Oxydant Helmut Sies (1985) Déséquilibre de la balance prooxydants/antioxydants en faveur des premiers qui entraîne des dommages oxydatifs des biomolécules Dean Jones (2006) Perturbation de la signalisation redox et une perte du contrôle de l homéostasie 50 redox
51 Lecture - «Chimie et biochimie radicalaires» C Houée-Levin, C Sicard-Roselli, J Bergès, Editions Belin «Molecular Biology of the Cell» Alberts et coll Garland Science 5th ed 51
Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailLe stress oxydant provoqué par l'exercice : une fatalité?
Le stress oxydant provoqué par l'exercice : une fatalité? L e métabolisme aérobie est un moyen très efficace de produire de l'énergie en oxydant la matière organique, mais l'utilisation d'oxygène entraîne
Plus en détailINTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE
INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs
Plus en détailConditions de culture Consommation d O 2 (nmoles O 2 /min)
5.2.4. Effets de l anoxie/ré-oxygénation sur les chondrocytes équins 5.2.4.1. Respiration cellulaire (fonction mitochondriale) des chondrocytes équins Pour les essais en oxymétrie, 10 7 chondrocytes articulaires
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une
Plus en détailTEST SUR LA CLASSIFICATION DES ANTIOXYDANTS. Répondez par oui ou non en cliquant sur la case correspondante :
TEST SUR LA CLASSIFICATION DES ANTIOXYDANTS Question 1 Les caroténoïdes : Ce sont des pigments végétaux Hydrophile contenant une chaîne centrale hautement polyinsaturée pouvant comporter une structure
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détail1. Principes de biochimie générale. A. Bioénergétique et dynamique. a) Intro: Les mitochondries passent leur temps à fabriquer de l énergie.
RESPIRATION MITOCHONDRIALE 1. Principes de biochimie générale. A. Bioénergétique et dynamique. a) Intro: Les mitochondries passent leur temps à fabriquer de l énergie. b) Rappels: L énergie chimique sert
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailCOUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux
COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection
Plus en détail2 C est quoi la chimie?
PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc
Plus en détailC. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2
C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) - JANVIER 2008 INTRODUCTION La fabrication de semi-conducteurs nécessite un environnement de production extrêmement stable en température et hygrométrie.
Plus en détailL eau de Javel : sa chimie et son action biochimique *
N 792 BULLETIN DE L UNION DES PHYSICIENS 451 L eau de Javel : sa chimie et son action biochimique * par Guy DURLIAT Département de biochimie ENS de Cachan - 61, avenue du Président Wilson - 94235 Cachan
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailMolécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détail------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE
CNCURS SUR ÉPREUVES UVERT AUX CANDIDATS TITULAIRES D UN DIPLÔME U TITRE CNFÉRANT LE GRADE DE MASTER U D'UN DIPLÔME U TITRE HMLGUÉ U ENREGISTRÉ AU RÉPERTIRE NATINAL DES CERTIFICATINS PRFESSINNELLES AU NIVEAU
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailRespiration Mitochondriale
Université Pierre et Marie Curie Respiration Mitochondriale Objectifs au cours de Révisions Biochimie PCEM2 Révisions Biochimie Métabolique 2004-2005 Pr. A. Raisonnier (alain.raisonnier@upmc.fr) Mise à
Plus en détailLABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage
LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration
Plus en détailLes cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli
Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailBurette TITRONIC Titrateurs TitroLine
Burette TITRONIC Titrateurs TitroLine 22 rue de l'hermite 33520 BRUGES Tél. 05 56 16 20 16 - Fax 05 56 57 68 07 info-devis@atlanticlabo-ics.fr - www.atlanticlabo-ics.fr Un pas en avant pour la titration
Plus en détailTP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie
Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailFonctionnalisation de surfaces de carbone nanostructuré et son effet sur la réponse électrochimique
Fonctionnalisation de surfaces de carbone nanostructuré et son effet sur la réponse électrochimique Méthodes d analyses chimiques et microbiologiques dites alternatives ou rapides : Biocapteurs Utilisation
Plus en détailEffets électroniques-acidité/basicité
Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir
Plus en détailTravaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015
Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne
Plus en détailLes plantes et la lumière
Les plantes et la lumière Première partie : la lumière comme source d énergie Pierre.carol@upmc.fr http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/photosynthese-cours/index.htm 1. Introduction La lumière est la source
Plus en détailDM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique
DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite
Plus en détailVitesse d une réaction chimique
Chimie chapitre itesse d une réaction chimique A. Avancement d un mobile et vitesse de déplacement Soit un mobile supposé ponctuel P se déplaçant le long d un axe x [Doc. ] : sa position instantanée est
Plus en détailTITRONIC et TitroLine. Les nouveaux titrateurs et burettes
TITRONIC et TitroLine Les nouveaux titrateurs et burettes Un pas en avant pour la titration Si vous cherchez l innovation: SI Analytics vous propose ses nouveaux TitroLine 6000 et 7000 et ses nouvelles
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailPartie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés
Molécules et matériaux organiques Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés bjectifs du chapitre Notions à connaître
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détail2D-Differential Differential Gel Electrophoresis & Applications en neurosciences
2D-Differential Differential Gel Electrophoresis & Applications en neurosciences Jean-Etienne Poirrier Centre de Neurobiologie Cellulaire et Moléculaire Centre de Recherches du Cyclotron Université de
Plus en détailVisite à l ICV. En 2009, la création du GIE ICV-VVS permet de franchir un cap en regroupant toutes les ressources disponibles aux filiales ICV et VVS.
Visite à l ICV Cette entreprise analyse les échantillons que les viticulteurs leur transmettent de toute la région PACA (départements 13, 83, 84 et un peu du 06, ce sont en général des coopératives viticoles
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailDémonstra*on du concept de détec*on
Démonstra*on du concept de détec*on Enzyme Peroxydase de raifort (HRP) Chromogène (ABTS) Peroxyde d'hydrogène (H 2 O 2 ) Démonstra*on du concept de détec*on Enzyme Peroxydase de raifort (HRP) Chromogène
Plus en détailPolymer Nanoparticles in Life Science Compte-Rendu d un atelier européen de prospective
Polymer Nanoparticles in Life Science Compte-Rendu d un atelier européen de prospective Christian Pichot, Denis Labarre et Jean-Claude Daniel Un atelier européen de prospective sur le sujet «Polymer nanoparticles
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailUniversité de Montréal
Université de Montréal Identification et caractérisation de gènes différemment exprimés dans les tubules proximaux de reins diabétiques et impliqués dans le développement de la néphropathie diabétique
Plus en détailRôle de la PTOX dans la tolérance au stress lumineux chez les plantes alpines Etude d écotypes alpins chez Arabidopsis thaliana
Rapport de stage 1 ère année de Master Environnement Spécialité Ecologie, Biodiversité, Evolution (EBE) Valérie GUITTET Soutenance : 7-8 juin 2010 Rôle de la PTOX dans la tolérance au stress lumineux chez
Plus en détailMesures in situ et sur site
Mesures in situ et sur site Avantages de la mesure in-situ pas de perturbation du milieu pas d échantillonnage (prélèvement, conditionnement, stockage) mesure en temps réel Senseurs chimiques Biocapteurs
Plus en détailComment suivre l évolution d une transformation chimique? + S 2 O 8 = I 2 + 2 SO 4
Afin d optimiser leurs procédés, les industries chimiques doivent contrôler le bon déroulement de la réaction de synthèse menant aux espèces voulues. Comment suivre l évolution d une transformation chimique?
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailBiologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr
Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailPLATE-FORME DE MICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À TRANSMISSION
PLATE-FORME DE MICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À TRANSMISSION Dr. Mohamed SENNOUR Responsable de la plate-forme JOURNÉE PLATES-FORMES EVRY, GÉNOCENTRE 25 juin 2013 Contexte et historique 2000 : constitution du
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailRÉPERTOIRE RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE DES ENTREPRISES AGROALIMENTAIRES. 2 e édition
RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE 2 e édition Juin 2011 Réalisé par : Partenaire financier du CQVB : Objectif : Ce répertoire vise à faciliter le maillage entre les étudiants-chercheurs universitaires et
Plus en détail- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites
LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les
Plus en détailLa reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006
La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel En 1890 Emil Fisher a proposé le modèle "serrure et clé" pour expliquer la façon de fonctionner des systèmes biologiques. Un substrat rentre et
Plus en détail1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.
Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailLe potentiel phénolique du Cabernet franc
Le potentiel phénolique du Cabernet franc Synthèse de 8 années dʼexpérimentations Yves Cadot INRA, UE 1117 Vigne et Vin, F-49070 Beaucouzé, France Avec la collaboration de : Michel Chevalier INRA, UMR
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailPortrait du Groupe Roquette
Portrait du Groupe Roquette «Servir les femmes et les hommes en offrant le meilleur de la nature» Vision Devenir, sur des marchés identifiés, un acteur leader à l échelle mondiale en solutions et produits
Plus en détailNouvelles techniques d imagerie laser
Nouvelles techniques d imagerie laser Les chimistes utilisent depuis longtemps les interactions avec la lumière pour observer et caractériser les milieux organiques ou inorganiques. La présence, dans la
Plus en détailBAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures 30
Terminales S1, S2, S3 2010 Vendredi 29 janvier BAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES Durée : 3 heures 30 Toutes les réponses doivent être correctement rédigées et justifiées. Chaque exercice sera traité sur une
Plus en détailDe l effet Kondo dans les nanostructures à l électronique de spin quantique. Pascal SIMON
De l effet Kondo dans les nanostructures à l électronique de spin quantique Pascal SIMON Activités de recherche Etude de systèmes d électons fortement corrélés à l'échelle méso-nano Transport dans les
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1
TRAVAUX PRATIQUESDE BICHIMIE L1 PRINTEMPS 2011 Les acides aminés : chromatographie sur couche mince courbe de titrage Etude d une enzyme : la phosphatase alcaline QUELQUES RECMMANDATINS IMPRTANTES Le port
Plus en détailBioélectrodes enzymatiques pour des applications en biocapteurs et en biopiles
ECOLE NATIONALE SUPERIEURE DE CHIMIE DE MONTPELLIER THESE DE DOCTORAT Pour obtenir le grade de DOCTEUR DE L ECOLE NATIONALE SUPERIEURE DE CHIMIE DE MONTPELLIER Discipline : Ecole Doctorale : Chimie Sciences
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailFACULTE DE MEDECINE DE TOURS
Académie d Orléans-Tours Université François-Rabelais FACULTE DE MEDECINE DE TOURS Année 2011 N MEMOIRE DU DIPLOME D ETUDES SPECIALISEES DE BIOLOGIE MEDICALE Conformément à l arrêté du 10 septembre 1990,
Plus en détailDomaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire
Contexte Domaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire Fédération des spécialités de Master des 5 pôles universitaires partenaires de la région Nord-Pas-de-Calais
Plus en détailQu'est-ce que la biométhanisation?
Qu'est-ce que la biométhanisation? La biométhanisation consiste en une série d'opérations de dégradations biologiques de matières organiques qui se produisent en l'absence d'oxygène. Les produits résultants
Plus en détailGénéralités. Chapitre 1
Chapitre 1 Généralités Les complexes des métaux de transition sont des molécules constituées d un ou de plusieurs centre(s) métallique(s) (Ti, Fe, Ni, etc.) lié(s) à un certain nombre de «ligands». Ceux-ci
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailComment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER
Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique Yves LEROYER Enjeu: réaliser physiquement -un système quantique à deux états 0 > ou 1 > -une porte à un qubitconduisant à l état générique α 0 > +
Plus en détailListe des matières enseignées
Liste des matières enseignées Domaine : Sciences de la Nature et de la Vie Filière : Biologie Parcours : Tronc Commun Semestre1 VHG Coefficient Cours TD/TP Crédits/s. unité crédits U.E fondamental : 13
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailREACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION
CHIMIE 2 e OS - 2008/2009 : Cours et exercices -19- CHAPITRE 5 : REACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION Chacun d entre nous a déjà observé l apparition de rouille sur un objet en fer, ou de «vert-degris»
Plus en détailFormavie 2010. 2 Différentes versions du format PDB...3. 3 Les champs dans les fichiers PDB...4. 4 Le champ «ATOM»...5. 6 Limites du format PDB...
Formavie 2010 Les fichiers PDB Les fichiers PDB contiennent les informations qui vont permettre à des logiciels de visualisation moléculaire (ex : RasTop ou Jmol) d afficher les molécules. Un fichier au
Plus en détailFiche professeur. L analyse spectrale : spectroscopies IR et RMN
Fiche professeur L analyse spectrale : spectroscopies IR et RMN Thème : Observer, ondes et matières Analyse spectrale Type de ressource : Documents de formation en spectroscopies IR et RMN, pistes d activités
Plus en détailSophie Guézo Alexandra Junay
Sophie Guézo Alexandra Junay sophie.guezo@univ-rennes1.fr alexandra.junay@univ-rennes1.fr Unité Mixte de Recherche (UMR) Université Rennes I et CNRS Physique moléculaire Matière molle Matériaux Nanosciences
Plus en détailLe monde nano et ses perspectives très prometteuses.
Le monde nano et ses perspectives très prometteuses. I/ Présentation du monde nano. Vidéo «Science Suisse : Christian Schönenberger, nano-physicien», 12 min. «Christian Schönenberger conduit le Swiss Nanoscience
Plus en détail