Table des matières. Introduction
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1 Baptiste BERTHOME Benjamin LEGRAND Célien CHEVALLAY Maxence ARNAUD uiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmq wertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvb nmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklz xcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfg hjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopa sdfghjklzxcvbnmrtyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopa sdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyu iopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwe rtyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnm qwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmrtyuiopasdfghjklzxcvbnm qwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcv bnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjkl zxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdf ghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiop asdfghjklzxcvbnmrtyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiop ETUDE TOPOGRAPHIQUE asdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwerty uiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmq wertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvb nmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmrtyuiopasdfghjklzxcvb nmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklz xcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfg hjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopa sdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyu iopasdfghjklzxcvbnmrtyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyu iopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwe rtyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnm qwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcv bnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmrtyuiopasdfghjklzxcv bnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjkl zxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdf ghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiop asdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmaqwert yuiopasdfghjklzxcvbnmrtyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwert yuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmq
2 Table des matières Introduction I. Présentation du protocole de mesure... 4 II. Données nivellement Relevés topographique (tableau n 1) Mesures et calculs... 7 III. Présentation des résultats Profil en long Profil en travers... 8 IV. Analyse des résultats et limites des mesures en vue de l'utilisation en modélisation hydraulique Analyse des distances et des dénivelés Analyse des hauteurs d eau et des largeurs du cours d eau Analyse des hauteurs de pont Limites des mesures en vue de l utilisation en modélisation hydraulique... 9 Conclusion 2
3 TP : TOPOGRAPHIE Introduction Objectifs du TP : Le but de ce TP est de réaliser un profil en long en calculant la dénivelé par nivellement direct d une série de point en vue de l utilisation de ce profil en modélisation hydraulique. Matériels utilisés : voici la liste du matériel utilisé Figure 1 : Niveau (source : topographielaser.eu) Figure 2 : La mire (source : m2pro.mom.fr) Figure 4 : Le trépied (source : chapin matériel) Figure 3 : mode de lecture sur la mire (source : source : m2pro.mom.fr) Figure 5 : Le décamètre (source : leboutte.be) 3
4 I. Présentation du protocole de mesure Figure 6: schémas du protocole de mesure par nivellement direct (source : univ-valencinnes) Explications : Le nivellement direct sert à calculer la différence d altitudes à partir de visées horizontales. On utilise un niveau qui permet de matérialiser une ligne horizontale (voir figure 3) et une mire (voir figure 4) pour la ligne verticale. Exemple d application (voir figure 6) : l altitude du point A connue, en notant LAR et LAV les lectures sur les 2 mires, on obtient l altitude du point B par la formule théorique suivant : avec l altitude au point B en m, l altitude au point A en m, la lecture arrière au point A en m et la lecture avant au point B en m. Plan du site et des ouvrages rencontrés avec emplacement des mesures : 4
5 Figure 7: Plan du site et des ouvrages rencontrés avec emplacement des mesures 5
6 Voici le protocole de mesure utilisé pour tous les calculs bruts réalisés pour cette étude : - Mise en place du trépied : choisir une station pour que le trépied soit stable, enfoncer les points du trépied dans le sol. - Mise en place du niveau : introduire le niveau dans la vis centrale du trépied et visser. - Calage à la verticale : centrer la bulle en visant les deux vis calantes dans des sens opposés et corriger l erreur avec la troisièmes vis. - Mise au point du réticule de la lunette : tourner l oculaire pour que les traits du réticule soit nets et noirs - Mise au point de l'image vers la mire : on vise ce que l on souhaite mesurer, grâce au bouton latéral on met l image au point, on vise la mire. - On peut procéder à la lecture. II. Données nivellement 1. Relevés topographique (tableau n 1). Résultat bruts : LAR LAV Angle Station Points FH FN FB FH FN FB Grade Rad A 3,31 2,91 2,53 1 B 5,592 5,34 4, , B 4,301 4,192 4,081 2 C 5,59 5,37 5, ,98452 C 1,47 1,335 1,2 3 D 2,6 2,37 2, , D 3,688 3,622 3,558 4 E 3,88 3,8 3, ,3562 E 3,75 3,628 3,49 5 F 4,35 4,21 4, ,82744 F 2,889 2,761 2,638 6 G 4,278 4,15 4, ,2 1, ,448 25,240-6,792 Tableau n 1 : Relevés topographique. Le tableau ci-dessus présente les mesures prises lors de l étude. On y retrouve les points de station (1 à 6), les points de mesure (A à G), la lecture avant et arrière, les 3 fils stadimétriques et afin 6
7 l angle entre la lecture arrière et avant qui nous permet de calculer la distance entre les points. Le décamètre ici nous permet de vérifier cette distance afin d avoir une valeur de comparaison Points Hauteur d'eau ( cm ) Largueur du cours d'eau ( m ) Hauteur de pont ( m ) A 8 3,9 1,96 B 6 3,7 2,22 C ,64 D 12 2,5 / E ,42 F 10 3 /. G 8 2 3,33 Tableau n 2 : hauteur d eau, largueur du cours d eau et hauteur de pont On retrouve ici les valeurs de hauteur d eau, de largeur de cours d eau et de hauteur de pont qui permette de réaliser les profils en travers pour chaque point de mesure (voir fichier Excel). 2. Mesures et calculs 1. Distances - dénivelés (tableau n 2). Dénivelé DistanceAR (m) DistanceAV (m) Distance PP Négatif 78,0 151,1 212, ,430 22,0 43,0 64, ,178 27,0 46,5 72, ,035 13,0 16,0 26, ,178 26,0 27,0 52, ,582 25,1 25,3 41, ,389 Dénivelé total -6,792 Tableau n 3 : Résultats dénivelé et distance. Le tableau ci-dessus présente les résultats de dénivelé et de distances déduit des mesures prises lors de l étude. Les 6 valeurs de distances et de dénivelés correspondent aux 6 stations de mesures. On y retrouve la dénivelé total entre le point A et G (en m). Pour voir les détails les calculs voir la fichier Excel ci-joint. III. Présentation des résultats 1. Profil en long Sur le graphique ci-dessus on retrouve le profil en long du sonnant réalisé grâce aux valeurs calculées dans le tableau n 2, on y retrouve aussi la hauteur d eau. 7
8 Dénivelé (m) 236 Profil en long du Sonnant et Hauteur d'eau 235, , , , ,5 Profil en long Sonnant Hauteur d'eau , , , Longueur (m)) Graphique 2 : profil en long du sonnant avec la lame d eau. 2. Profil en travers Figure 8 : Profil en travers des points de mesure. 8
9 Voici les profils en travers de chaque point de mesures. On y retrouve la largeur, calculée avec le décamètre et la hauteur d eau calculée avec les graduations de la mire ( pour connaître les valeurs voir tableau 3). IV. Analyse des résultats et limites des mesures en vue de l'utilisation en modélisation hydraulique 1. Analyse des distances et des dénivelés On a calculé les distances et les dénivelés afin de réaliser un profil en long du cours d eau. Ce profil en long va nous permettre de connaître le linéaire et la pente du tronçon étudié. On utilisera ces valeurs comme données de bases pour le logiciel de modélisation. Ce qui nous permettra par la suite de connaître les vitesses d écoulement et le régime du cours d eau pour chaque point de mesures. Ces valeurs sont indispensables pour toutes modélisations de cours d eau. (HEC-RAS) 2. Analyse des hauteurs d eau et des largeurs du cours d eau On a mesuré les hauteurs d eau et la largeur du cours d eau en chaque point de mesures. Ces valeurs vont nous permettre de connaitre les valeurs de débit et de vitesses en chaque points. On utilisera ces données pour la modélisation afin de connaître et de comprendre le fonctionnement du cours d eau. 3. Analyse des hauteurs de pont Les valeurs de hauteurs de pont vont nous permettre d avoir un limite en cas d inondation. Lors de la modélisation, si on fait varier le débit à son maximum (pour prévenir des crues), les valeurs de hauteurs de pont nous permettrons de connaître la hauteur d eau à ne pas dépasser et à quel moment on doit avoir recours à des actions pour éviter ce risque d inondation (ex : manœuvrer une vanne, ou réduire le débit par des aménagements hydraulique). 4. Limites des mesures en vue de l utilisation en modélisation hydraulique Les mesures ne sont que des les mesures expérimentales, ce ne sont que des calculs approximatif. Les hauteurs d eau représentent des hauteurs d eau à un instant t. Les valeurs de dénivelés et de distances ne sont pas totalement exactes, il peut y avoir des erreurs du à des erreurs de lectures ou à des mauvaises manipulations lors de l étude sur le terrain. La modélisation ne reflètera donc pas ce qui se passe exactement dans le cours d eau, mais les valeurs seront quand même significatives. 9
10 Conclusion L'ensemble des données recueillis durant le tp permettent de déterminer les coordonnées dans l'espace de l'ensemble des points du cheminement. Il est donc possible de dessiner à l'aide d'un logiciel de dao le cheminement réalisé (ce que nous devrions faire avec Philippe Beleudy) Il est à noter que les points de coordonnées les plus précises sont les points de départ et d'arrivée du cheminement, qui fait l'objet d'un nivellement direct avec un relèvement. Pour plus de précision au niveau de données, il faudrait retourner sur le terrain afin de vérifier l exactitude 10
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