État de santé des enfants de 3-4 ans en école maternelle dans l Yonne

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1 État de santé des enfants de 3-4 ans en école maternelle dans l Yonne Année scolaire Service de Protection Maternelle et Infantile Exploitation des données statistiques : Observatoire de la santé (ORS) Bourgogne Ce document a été réalisé avec l appui financier de l ARS de Bourgogne

2 2 Sommaire Introduction... 3 Données générales... 4 Couverture vaccinale... 7 Dépistage visuel... 8 Dépistage auditif...11 Dépistage dentaire...13 Dépistage des problèmes de poids...15 Orientations et conseils au sujet de l alimentation...17 Dépistage des troubles somatiques...19 Dépistage des troubles du langage...20 Orientations médico-sociales...22 Table des illustrations Graphique 1 : Nature et nombre des bilans en fonction de la zone d éducation de l école... 4 Graphique 2 : Fréquence des orientations vers un spécialiste... 6 Graphique 3 : Couverture vaccinale pour les principaux vaccins... 7 Graphique 4 : Évolution de la prévalence des troubles visuels dépistés depuis Graphique 5 : Troubles de l audition dépistés au cours du BSEM Graphique 6 : Évolution de la prévalence des troubles auditifs dépistés depuis Graphique 7 : Problème dentaire dépisté au cours du BSEM Graphique 8 : Évolution de la prévalence des anomalies bucco-dentaires dépistés depuis Graphique 9 : Prévalence du surpoids au cours du BSEM Graphique 10 : Évolution de la prévalence du surpoids et de la maigreur depuis Graphique 11 : Dépistage des déséquilibres de l alimentation au cours du BSEM Graphique 12 : Évolution des conseils et orientations par rapport à l alimentation depuis Graphique 13 : Fréquence des troubles somatiques, connus ou non Graphique 14 : Prévalence des troubles du langage dépistés et connus Graphique 15 : Évolution du dépistage du langage depuis Graphique 16 : Proportion d orientations vers des structures médico-sociales Carte 1 : Couverture par le bilan de santé en maternelle par unité territoriale... 5 Carte 2 : Troubles visuels dépistés au cours du BSEM par UTS... 8

3 3 Introduction Les services de Protection Maternelle Infantile (PMI) du Conseil Général sont responsables de l organisation de consultations et d actions de prévention médico-sociale en faveur des moins de 6 ans dans le cadre de leur rôle de protection sanitaire de l enfant et de la famille. Cette mission passe en particulier par la réalisation d un bilan de santé en école maternelle (BSEM) pour les enfants âgés de 3 à 4 ans. Ce bilan comprend des tests de dépistage d éventuels déficits sensoriels ou de troubles de l acquisition du langage, ainsi qu un entretien avec les parents, et un examen médical. Ce document présente les indicateurs de santé obtenus lors de ce bilan dans l Yonne (enfants de moyenne section) pour l année scolaire

4 4 Données générales Près de enfants vus en , soit un peu plus d un enfant sur deux de la classe d âge Au total, enfants ont été convoqués sur les inscrits en moyenne section de maternelle dans les écoles du département, soit un taux de convocation de 56,6 %. Parmi les enfants convoqués, 98,4 % (soit 2 196) ont effectivement eu un bilan de santé, ce qui représente une couverture par le bilan de santé de 55,7 % de l ensemble des 3-4 ans scolarisés, contre 40,2 % pour l année scolaire Ce bilan consistait pour tous en un bilan sensoriel réalisé par une infirmière, auquel s ajoutait pour d entre eux (53,1 %) un examen réalisé par un médecin. Dans les Réseaux d Éducation Prioritaire (REP) Zones d Éducation Prioritaire (ZEP), 466 enfants ont vu un médecin parmi les 646 qui ont eu un BSEM, soit 72,1 % de bilans complets. Graphique 1 : Nature et nombre des bilans en fonction de la zone d éducation de l école Source : BSEM Yonne

5 5 Une couverture territoriale exhaustive dans le Jovinien-Migennois, le Tonnerrois et la Puisaye-Forterre Tous les enfants de 3 Unités Territoriales de Santé (le Jovinien-Migennois, le Tonnerrois et Puisaye- Forterre) sur les 6 qui composent le département, ont bénéficié d un bilan de santé, soit respectivement 635, 232 et 310 bilans. Dans les 3 autres unités, 523 enfants ont bénéficié du bilan dans l Auxerrois (47 %), 416 dans le Sénonais (32 %) et 80 dans l Avallonnais (27 %). On note un déficit en médecins de PMI sur ces trois territoires. Carte 1 : Couverture par le bilan de santé en maternelle par unité territoriale Ensemble du département N= (56 %) Source : BSEM Yonne

6 6 De fréquentes orientations vers d autres professionnels de santé à l issue du bilan, en particulier en ZEP À l issue du bilan de santé, 12,6 % des enfants ont été orientés vers un ophtalmologue (17 % des enfants scolarisés en ZEP), 8,9 % vers un dentiste (14,2 % des enfants en ZEP), 6,4 % vers un ORL (8,1 % en ZEP), 7,2 % vers leur médecin traitant (8,2 % en ZEP), 10,3 % vers un orthophoniste (11,8 % en ZEP) et 1,1 % vers d autres spécialistes (1,7 % en ZEP). Graphique 2 : Fréquence des orientations vers un spécialiste Source : BSEM Yonne

7 7 Couverture vaccinale Le taux de couverture pour les vaccins obligatoires atteint presque les recommandations nationales Les trois vaccins obligatoires chez l enfant sont la diphtérie, le tétanos, et la poliomyélite. La couverture vaccinale des enfants de 3-4 ans du département atteint 94,7 % pour la vaccination combinée de la diphtérie, du tétanos, de la poliomyélite, de la coqueluche et de l Haemophilus influenzae. Le taux de couverture recommandé est de 95 %. 90 % des enfants ayant eu un bilan sont vaccinés pour la tuberculose, ce qui est un léger recul par rapport à l année précédente (92,1 %). La couverture vaccinale contre la rougeole, les oreillons et la rubéole est de 93,6 %. Pour l hépatite B, la vaccination a été réalisée chez 44,4 % d entre eux. La couverture est plus faible dans 3 unités territoriales : 22,5 % pour le Tonnerrois, 31,9 % en Puisaye et 39,5 % pour l Avallonnais. Graphique 3 : Couverture vaccinale pour les principaux vaccins Source : BSEM Yonne

8 8 Dépistage visuel Un enfant sur cinq présente un trouble de la vision connu ou nouvellement dépisté. Le dépistage visuel au cours du BSEM a permis de mettre en évidence des troubles de la vision chez 439 enfants soit 20 % d entre eux. Les troubles étaient déjà connus chez 160 d entre eux (7,3 %) alors que c était un premier diagnostic pour 279 enfants (12,7 %). Par comparaison la moyenne nationale en 2002 (données DREES) était de 13 % de déficits connus, et 5,5 % de diagnostics initiaux. En zone ZEP-REP, la proportion de déficits connus est plus basse qu ailleurs : 5,1 %, c est à dire 33 enfants, contre un taux dans les autres écoles de 8,2 % (127 enfants). À l inverse, la proportion des déficits orientés est plus élevée (17 %, soit 110 enfants contre 10,9 % dans les zones non-zep-rep, soit 169 enfants). C est dans l Avallonnais qu on note le plus de troubles visuels : presque 30 % des enfants toutes écoles confondues. Carte 2 : Troubles visuels dépistés au cours du BSEM par UTS Déficit connu

9 9 Déficit orienté Sources : BSEM Yonne et DREES 2002

10 10 En ce qui concerne l évolution des troubles visuels observés au cours du BSEM, on note une tendance à la baisse pour les déficits orientés depuis 2006 (15 % pour l année scolaire , contre 12,7 % en ). Cependant le taux de troubles de la vision déjà connus avant la visite reste stable, de l ordre de 7,5 % chaque année. Graphique 4 : Évolution de la prévalence des troubles visuels dépistés depuis 2006 Source : BSEM CG 89

11 11 Dépistage auditif Les troubles de l audition affectent près de 9 % des enfants L examen auditif a retrouvé des problèmes d audition chez 191 des enfants vus, soit 8,7 % d entre eux. La prévalence des troubles auditifs dépistés est de 9,9 % en ZEP, et de 8,2 % en écoles non-zep. Là encore, c est dans le territoire de l Avallonnais que les troubles auditifs sont les plus fréquents, (16,3 % des enfants). Dans le reste des territoires, la proportion de troubles de l audition varie de 3,9 % (Sénonais) à 12,5 % (Tonnerrois). Graphique 5 : Troubles de l audition dépistés au cours du BSEM Source : BSEM Yonne

12 12 L évolution des troubles auditifs retrouvés lors du bilan, est similaire à celle des troubles visuels : depuis 2006, on observe une décroissance de la proportion d enfants présentant des problèmes d audition découverts lors de l examen (6,6 % pour l année ), alors que le taux de déficits déjà connus reste relativement stable, autour de 2 %. Graphique 6 : Évolution de la prévalence des troubles auditifs dépistés depuis 2006 Source : BSEM CG 89

13 13 Dépistage dentaire Près de 15 % des enfants de ZEP orientés vers un dentiste 200 enfants ont été adressés à un dentiste à l issue de leur bilan, c est à dire 9,1 %. Cependant la proportion observée dans les écoles situées en ZEP est de 14,2 % (92 enfants), et celle des écoles non-zep de 7 % (108 enfants). Cette différence entre écoles en ZEP et non-zep est retrouvée dans toutes les unités territoriales possédant des ZEP. Graphique 7 : Problème dentaire dépisté au cours du BSEM Source : BSEM Yonne

14 14 Depuis 2006, le taux d enfants adressés à un dentiste dans les suites du bilan de santé oscille entre 8 et 11 %. Graphique 8 : Évolution de la prévalence des anomalies bucco-dentaires dépistés depuis 2006 Source : BSEM CG 89

15 15 Dépistage des problèmes de poids Le surpoids concerne 6 % des enfants de 3-4 ans dans l Yonne L indice de masse corporelle (IMC) est considéré comme normal chez l enfant de 4 ans lorsqu il est compris entre 13,5 et 18 kg/m 2. Sur l ensemble du département, 8,4 % des enfants ont un IMC qui n est pas situé entre ces valeurs : 6,3 % des enfants (139) sont au-dessus du seuil, et 2,1 % (46) sont en-dessous. Parmi les enfants scolarisés en ZEP, 2,8 % ont un IMC inférieur à la norme, et 7,9 % ont un IMC trop élevé. Pour comparaison à l échelle de la France, le taux d enfants de 6 ans en surpoids en France était globalement de 14,5 % en 2002 (données Enquête en santé scolaire DREES) et de 17,2 % en ZEP. En Puisaye-Forterre, la proportion d enfants en surcharge pondérale (4,5 %) est plus basse que dans les autres unités territoriales. Dans le Sénonais elle est plus importante (9,6 %). C est aussi dans les écoles en ZEP de cette unité territoriale qu on trouve le taux de surpoids le plus élevé : 11,3 %. Graphique 9 : Prévalence du surpoids au cours du BSEM Sources : BSEM Yonne

16 16 L évolution des IMC relevés lors du BSEM montre une très légère diminution de la surcharge pondérale, passée de 7 % en , à 6,3 % en L évolution des IMC < 13,5 kg/m 2 suit la même progression (2,9 % en contre 2,1 % cette année). Graphique 10 : Évolution de la prévalence du surpoids et de la maigreur depuis 2006 e : BSEM CG 89 Sourc

17 17 Orientations et conseils au sujet de l alimentation L alimentation de plus d un enfant de ZEP sur deux a nécessité des conseils ou l orientation vers un spécialiste Des conseils alimentaires ont été donnés aux accompagnants de 697 des enfants (soit 31,7 %), et 104 enfants ont été adressés à un spécialiste (soit 4,7 % d entre eux). En ZEP, ces conseils alimentaires ont concerné près d un enfant sur 2 (48,3 %), et 46 ont été orientés (7,1 %). En écoles non situées en ZEP, ils ont concerné un enfant sur 4 (24,8 %), et 58 ont été orientés (3,7 %). La part de conseils donnés varie de 15,2 % à 44,2 % selon les unités territoriales, et celle des orientations de 0 % à 9,9%. Les recommandations sont les plus nombreuses dans le Sénonais. Elles le sont encore plus dans les écoles en ZEP de ce territoire : 51,1 % de conseils, et 11,9 % d orientations. Il n y a eu aucune orientation dans l Avallonnais, par refus parental ou par existence d une prise en charge par le médecin traitant. Graphique 11 : Dépistage des déséquilibres de l alimentation au cours du BSEM Source : BSEM Yonne

18 18 Depuis 2006, la proportion d enfants dont l alimentation nécessite des conseils est assez variable d une année sur l autre, de 21,1 % en 2006 à 31,7 % en Cependant le taux d enfants adressés à un spécialiste reste plutôt stable (4,7 % ces deux dernières années). Graphique 12 : Évolution des conseils et orientations par rapport à l alimentation depuis 2006 e : BSEM CG 89 Sourc

19 19 Dépistage des troubles somatiques Un trouble somatique (non-connu auparavant) chez presque 5 % des enfants Le bilan de santé permet de rechercher la présence de problèmes de santé, qu ils soient connus ou non. Ainsi 127 enfants (6,9 %) dans le département présentaient un trouble somatique au moment de l examen. Pour 21 d entre eux (3,3 %) il était déjà connu, alors que pour les autres (106 enfants, soit 4,8 %) c était un premier diagnostic. En ZEP 21 enfants (3,3 %) étaient suivis avant l examen pour problème somatique, mais pour 13 autres enfants (2 %), l examen a permis le dépistage d une maladie non-connue. Tous les enfants n ayant pas été examinés par un médecin, le taux de dépistage est très variable entre les différentes unités. Graphique 13 : Fréquence des troubles somatiques, connus ou non Source : BSEM Yonne

20 20 Dépistage des troubles du langage Les troubles du langage affectent 17 % des enfants de 3-4 ans La prévalence des troubles du langage concerne 378 enfants (17,2 %), dont 118 avec des troubles déjà connus (5,4 %), alors qu ils ne l étaient pas pour les 260 autres (11,8 %). Ce taux est légèrement plus élevé en ZEP, avec 18,2 % d enfants ayant des problèmes de langage, soit 118 enfants, dont 4,6 % connus (soit 30 enfants), et 13,6 % nouvellement diagnostiqués (88 enfants). Dans le Tonnerrois, les troubles du langage sont plus élevés que dans les autres territoires : 22 % sur l ensemble des écoles, dont 7,8 % de troubles connus. Graphique 14 : Prévalence des troubles du langage dépistés et connus Source : BSEM Yonne

21 21 Les troubles du langage dépistés lors du BSEM restent stables depuis En revanche on observe une tendance à la hausse de la proportion d enfants déjà suivis pour trouble du langage (4,3 % en , en augmentation progressive jusqu à 5,4 % ). Graphique 15 : Évolution du dépistage du langage depuis 2006 e : BSEM CG 89 Sourc

22 22 Orientations médico-sociales Certains enfants ont été orientés vers des structures d action médico-sociale à l issue du bilan de santé : Centres Médico-Psycho Pédagogiques (CMPP), Centres d Action Médico-Sociale Précoce (CAMSP), Réseaux d Aides Spécialisées Aux Enfants en Difficulté (RASED), Protection Maternelle et Infantile (PMI). À l issue du bilan, 2,3 % des enfants ont été orientés vers un CMPP ou un CAMSP ; 1,5 % y étaient déjà suivis. À noter que de nombreuses familles n ont pas bénéficié d une orientation sur le service de PMI car elles y étaient déjà suivies. Graphique 16 : Proportion d orientations vers des structures médico-sociales Source : BSEM Yonne

23 23 Document de synthèse réalisé avec l'appui de l'observatoire régional de la santé de Bourgogne. ORS Bourgogne 14 H rue Pierre de Coubertin DIJON Courriel : i.millot@wanadoo.fr ; ors.brg@wanadoo.fr Site internet :

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