Copie-type Ceci n est pas une correction seulement un exemple de réponse. Partie I Le magmatisme en zone de subduction

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Copie-type Ceci n est pas une correction seulement un exemple de réponse. Partie I Le magmatisme en zone de subduction"

Transcription

1 Copie-type Ceci n est pas une correction seulement un exemple de réponse. Partie I Le magmatisme en zone de subduction Introduction : Les zones de subduction, domaine de convergence où la lithosphère océanique plonge dans l asthénosphère, sont marquées par une activité volcanique importante. Ces éruptions volcaniques produisent une grande diversité de roches typiques retrouvées en surface, mais aussi la formation de roches plutoniques. On se propose de voir comment dans ce contexte se met en place l activité magmatique et comment cette activité intervient dans la production de nouveaux matériaux continentaux. (plan détaillé) 1/ Origine du magmatisme dans les zones de subduction. - L étude au laboratoire montre que seule la péridotite hydratée placée dans les conditions de P/T du manteau de la plaque chevauchante peut fondre pour donner du magma. (Le basalte anhydre ou hydraté ne le peut pas, la péridotite anhydre non plus). Ainsi dans les zones de subduction, le magma a pour origine la fusion partielle des péridotites de la plaque chevauchante. - Cette fusion partielle n est possible qu en présence d eau qui abaisse le solidus c est -dire la température de fusion de la péridotite. Dans ce cas seulement les conditions de température et de pression sont réunies pour permettre l entrée en fusion partielle de la roche (Graphe possible) - L hydratation du manteau, indispensable à la fusion partielle, est liée au métamorphisme (hautes pressions, basses températures) que subissent les roches de la lithosphère océanique au cours de leur enfoncement dans l asthénosphère. Les roches de la plaque plongeante hydratées à proximité de la dorsale, vont subir des transformations minéralogiques (à l état solide). Ces roches qui au départ présentaient des minéraux hydroxylés (chlorite, actinote), vont peu à peu se déshydrater sous l effet des variations de pressions et de températures, pour devenir totalement anhydres (éclogites). L eau libérée par ces réactions percole dans le manteau de la plaque sus-jacente et hydrate les péridotites. 2/ Production de nouveaux matériaux continentaux dans les zones de subduction. - Le magma issu de la fusion partielle peut cristalliser en profondeur, formant au sein de la croûte continentale, des roches plutoniques (à structure grenue) comme le granite, la granodiorite ou la diorite. La structure grenue témoigne d un refroidissement lent du magma. La roche est entièrement cristallisée et les minéraux souvent observables à l œil nu. - Le magma peut aussi être émis en surface lors d éruptions volcaniques explosives et très violentes en raison de la viscosité de la lave. Il se forme alors des roches volcaniques dont la plus caractéristique est l andésite. La structure microlitique témoigne d un refroidissement rapide du magma. La roche présente des microlithes et du verre. en partenariat avec epicureweb.fr 1

2 - La majorité des magmas produits dans les zones de subduction cristallise en profondeur, produisant ainsi de nouveaux matériaux continentaux. Conclusion : Les zones de subduction sont donc un contexte géologique privilégié de fabrication de la croûte continentale. Cette production est compensée par des mécanismes importants qui participent à sa disparition, comme l érosion ou le recyclage par subduction. Partie II exercice 1 Brassages chromosomiques chez la drosophile Question : on cherche à comprendre lequel de ces deux mécanismes (brassage inter ou intra chromosomique) est mis en œuvre et quels sont les deux gènes impliqués. Seule la réponse juste est indiquée 1/ Le caryotype de la drosophile comprend 4 paires de chromosomes (4 ème proposition). 2/ L allèle responsable de la couleur claire du corps est dominant par rapport à l allèle responsable du corps noir (2 ème proposition). 3/ Ces croisements illustrent le brassage interchromosomique (3 ème proposition). 4/ Les gènes impliqués dans ce brassage sont indépendants (3 ème proposition). 5/ Les résultats du premier croisement (F1) permettent de déterminer quels sont les allèles dominants (2 ème proposition). en partenariat avec epicureweb.fr 2

3 Partie II exercice 2 Obligatoire Mode d action du Botox Introduction : On cherche à expliquer comment les toxines botuliques agissent et comment ces molécules toxiques peuvent être également utilisées à des fins médicales. 1/ Mode d action des toxines botuliques. - A l échelle de l organisme (doc. 1). Ces toxines sont produites par une bactérie appartenant au genre Clostridium. Il s agit de neurotoxines qui agissent essentiellement sur les muscles dont elles empêchent la contraction. Tous les muscles de l organisme peuvent être touchés. Il s en suit une paralysie qui peut être mortelle si elle touche les muscles respiratoires. La contraction musculaire étant commandé par le système nerveux et plus précisément induite par un message nerveux moteur. Nous allons voir maintenant le mode d action de ces toxines à l échelle du neurone. - A l échelle du neurone (doc. 2 et 3) Les fibres musculaires d un muscle se contracte suite à l arrivée d un message nerveux moteur sous la forme de potentiels d action dans le neurone pré-synaptique. - Dans le cas normal, l arrivée de ces potentiels d action au niveau du bouton synaptique (du neurone pré-synaptique), provoque l exocytose des vésicules contenant le neuromédiateur, l achétylcholine. Le neuromédiateur est alors libéré dans la fente synaptique puis va se fixer sur les récepteurs spécifiques de la cellule musculaire post-synaptique, entraînant un potentiel d action et la contraction des fibres musculaires. - En présence de toxines botuliques, l exocytose des vésicules est bloquée. En effet, les neurotoxines dégradent les protéines permettant l accrochage et donc la fusion des vésicules avec la membrane plasmique du nerone pre-synaptique. C est ainsi que les toxines botuliques A et E agissent sur la protéine SNAP empêchant ainsi sa liaison avec la synaptobrévine. Les toxines botuliques B et F agissent sur la synaptobrévine, empêchant ainsi sa liaison avec la syntaxine. Ces liaisons rendues impossibles, les vésicules ne peuvent se fixer à la membrane plasmique, l exocytose est empéchée. Par conséquent, le message nerveux (sous forme de potentiels d action) n est pas transmis du neurone pré-synaptique au neurone post-synaptique : la contraction des fibres musculaires n a pas lieu. Le muscle est paralysé. 2/ L utilisation en médecine des toxines botuliques. Le principe d action des toxines est intéressant et utilisé en médecine car il permet de contrôler la contraction de certains muscles. En chirurgie esthétique, il limite ainsi la contraction de certains muscles du visage, limitant l apparition des rides. En médecine générale, il permet par exemple de traiter certains types d incontinence en inhibant certains muscles trop actifs de la vessie, ou encore de limiter les battements incontrôlés des paupières dans le cas du blépharospasme. en partenariat avec epicureweb.fr 3

4 L utilisation en médecine est réglementée et stricte : on utilise la toxine botulique de type A seulement, purifiée et à des doses infimes (bien inférieures à celles provoquant le botulisme). Les effets n étant cependant que temporaires, des injections répétées dans le temps sont nécessaires. Conclusion : Par le blocage que les toxines botuliques induisent au niveau synaptique, celles sont utilisées actuellement à des fins thérapeutiques intéressantes. L Homme a su ainsi «maîtrisé» un poison bactérien mortel pour soigner. en partenariat avec epicureweb.fr 4

5 Partie II exercice 2 Spécialité La limace solaire L élysie est un mollusquue qui arbore une couleur verte identique à celle des algues parmi lesquelles il se camoufle. Il peut rester plusieurs mois sans se nourrir. On se propose d expliquer le fait que cet animal ne prenne qu un seul repas en quelques mois. Plan détaillé 1/ Une limace kleptomane!! - L élysie appartient au groupe des animaux dans lequel il n y a pas d organismes chlorophylliens. Pourtant ce mollusque brun au départ, arbore une couleur verte suite à la consommation d algues vertes de type Vaucheria, comme l indique son cycle de vie (doc. 3). Ce changement de couleur n est pas une caractéristique génétique mais est lié à son régime alimentaire. - Plus curieux encore, ses cellules intestinales possèdent des chloroplastes (doc. 1), organites présents uniquement chez les organismes chlorophylliens. On peut penser que les cellules intestinales de l élysie ont internalisé les chloroplastes présents dont se nourrit la limace. Cela explique d ailleurs sa couleur verte. On peut supposer que la photosynthèse réalisée par les chloroplastes de la vauchérie permet à l élysie de s approvisionner en matière organique comme un végétal autotrophe, ce qui lui permet de survivre sans apport alimentaire pendant plusieurs mois. Pour vérifier cette hypothèse, nous analyserons les résultats d expériences menées chez le mollusque. 2/ Un métabolisme original et surprenant pour un animal. - Lorsque l intensité lumineuse est importante (100%), l élysie produit plus de dioxygène qu elle n en consomme (+17 ml d O 2 par mg), comme le montre les résultats présentés dans le document 2. Dons ces résultats prouvent que cet animal peut, sous fortes lumières, réaliser la photosynthèse. - L intensité de la photosynthèse est directement proportionnelle à l intensité lumineuse. Si bien qu à l obscurité (0% intensité lumineuse), il n y a pas de photosynthèse, l élysie absorbe dioxygène (-7 ml d O 2 par mg). Elle réalise uniquement la respiration. En période de jeûne, la matière organique produite par photosynthèse sera utilisée par le mollusque. - Dans l expérience (doc. 4) portant sur les échanges de dioxygène de l élysie au cours de sa vie, nous constatons que durant les 5 premiers mois, l intensité de la photosynthèse est élevée (citer des valeurs) : les chloroplastes sont fonctionnels. Puis avec le temps, leur capacité photosynthétique diminue, si bien qu au 7 ème mois, le bilan respiration/photosynthèse devient en partenariat avec epicureweb.fr 5

6 presque nul (par respiration le mollusque consomme presque tout le dioxygène produit par photosynthèse). Cette diminution de l activité photosynthétique peut être expliquer par l altération des chloroplastes provenant de l algue. Ce qui explique son besoin de se nourrir de nouveau. Au bout de quelques mois de jeûne, l élysie est obligée de s alimenter pour renouveler «ses» chloroplastes. Conclusion : L élysie peut survivre sans apport alimentaire à condition qu elle soit correctement éclairée (et en présence de CO 2 ). En effet ses cellules contiennent les chloroplastes qu elle a «volé» aux algues consommées. C est ainsi qu elle bénéficiera des produits de la photosynthèse pendant les quelques mois où les chloroplastes sont fonctionnels. en partenariat avec epicureweb.fr 6

Thème Le domaine continental et sa dynamique

Thème Le domaine continental et sa dynamique Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels

Plus en détail

L E BILAN DES ACTIVITÉS

L E BILAN DES ACTIVITÉS L E BILAN DES ACTIVITÉS Activité 1 Des volcans en éruption Mots-clés Il existe deux types d éruptions volcaniques : les éruptions explosives, caractérisées par des explosions plus ou moins importantes,

Plus en détail

Végétaux Exemples d individus

Végétaux Exemples d individus Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»

Plus en détail

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe? Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment

Plus en détail

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes

Plus en détail

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la

Plus en détail

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des

Plus en détail

L ÉNERGIE C EST QUOI?

L ÉNERGIE C EST QUOI? L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.

Plus en détail

1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :

1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire : La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

TP N 3 La composition chimique du vivant

TP N 3 La composition chimique du vivant Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre

Plus en détail

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. 1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises

Plus en détail

Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt

Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Notice MESURACOLOR Colorimètre à DEL Réf. 22020 Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Indicateur Etalonnage Bouton Marche/Arrêt Indicateur de sélection de la longueur d'onde Indicateur de mode chronomètre

Plus en détail

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail

JOURNÉE D ANIMATION TERMINALE S

JOURNÉE D ANIMATION TERMINALE S JOURNÉE D ANIMATION TERMINALE S 16 /01/2013 PROGRAMME DE LA JOURNEE Matinée à l ISTO : 9h-12 h, Accueil par Gaëlle Prouteau Maître de conférences et les IA- IPR, Michel Khairallah et Guy Lévêque Conférence

Plus en détail

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds

Plus en détail

Géodynamique. Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1

Géodynamique. Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1 Géodynamique 2014 Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1 Pré-requis: Bases en cinématique des plaques, géophysique, géologie sédimentaire,

Plus en détail

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance

Plus en détail

Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique?

Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement

Plus en détail

Séquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.

Séquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment. Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications

Plus en détail

LA A RESPIRATION CELLULAIRE

LA A RESPIRATION CELLULAIRE Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles

Plus en détail

La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S.

La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S. La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S. Activité proposée : La notion de croissance est abordée en classe de 6 ème et elle est traitée en première S. Montrez sur cet exemple qu

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)

Plus en détail

Séquence 1. Le domaine continental et sa dynamique : caractéristiques et évolution de la lithosphère continentale. Sommaire. Chapitre 1.

Séquence 1. Le domaine continental et sa dynamique : caractéristiques et évolution de la lithosphère continentale. Sommaire. Chapitre 1. Séquence 1 Le domaine continental et sa dynamique : caractéristiques et évolution de la lithosphère continentale Objectifs Cette séquence permettra de caractériser la croûte continentale du point de vue

Plus en détail

1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme

1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline

Plus en détail

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification

Plus en détail

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration

Plus en détail

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases

Plus en détail

Maladies neuromusculaires

Maladies neuromusculaires Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de

Plus en détail

Séquence 5. Modéliser la surface de la Terre : frontières et déplacement des plaques lithosphériques

Séquence 5. Modéliser la surface de la Terre : frontières et déplacement des plaques lithosphériques Séquence 5 Modéliser la surface de la Terre : frontières et déplacement des plaques lithosphériques Sommaire 1. Le recyclage de la lithosphère océanique 2. Le premier modèle de la tectonique des plaques

Plus en détail

Que sont les sources d énergie renouvelable?

Que sont les sources d énergie renouvelable? Que sont les sources d énergie renouvelable? Comme leur nom l indique, il s agit de sources qui se renouvellent et ne s épuiseront donc jamais à l échelle du temps humain! Les sources non renouvelables

Plus en détail

PIL Décembre 2009. Autres composants: acide tartrique, macrogol 4000, macrogol 1000, macrogol 400, butylhydroxyanisol.

PIL Décembre 2009. Autres composants: acide tartrique, macrogol 4000, macrogol 1000, macrogol 400, butylhydroxyanisol. Notice publique MOTILIUM Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant d utiliser ce médicament. Gardez cette notice, vous pourriez avoir besoin de la relire. Si vous avez d autres questions,

Plus en détail

La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?

La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est

Plus en détail

Epreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9

Epreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9 Epreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9 Travaux pratiques de biologie... 17 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 26 Travaux d initiative personnelle encadrés

Plus en détail

Information génétique

Information génétique chapitre 3 Information génétique et division cellulaire L étude de la division cellulaire est abordée pour découvrir comment est transmise et conservée l information génétique portée par les chromosomes.

Plus en détail

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant

Plus en détail

Table des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche

Table des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche Table des matières Introduction! *! Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse! 1.1!Les!matériaux! 1.2!Solides,!liquides!et!gaz 1.3!Gaspiller!de!l énergie! 1.4!Le!carburant!du!corps! Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l

Plus en détail

LES MASSAGES POUR BÉBÉ

LES MASSAGES POUR BÉBÉ LES MASSAGES POUR BÉBÉ La philosophie et les engagements du LABORATOIRE HÉVÉA Des produits 100% naturels élaborés exclusivement à partir de plantes en provenance des cinq continents et récoltées dans le

Plus en détail

INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE

INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Partie 1, Chapitre 4 INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Constat : à l'exception des jumeaux, chaque individu est unique. Ses caractères héréditaires dependent des info génétiques (allèles) portées

Plus en détail

le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor

le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester

Plus en détail

ne définition de l arbre.

ne définition de l arbre. LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement

Plus en détail

Granulés anti-limaces : pas sans risques!

Granulés anti-limaces : pas sans risques! Granulés anti-limaces : pas sans risques! Conseils pratiques pour une utilisation et un stockage corrects et sans danger pour vos animaux domestiques Comment utiliser et stocker sans danger les granulés

Plus en détail

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Table des matières. Introduction....3 Mesures et incertitudes en sciences physiques

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. Volume 9

TABLE DES MATIÈRES. Volume 9 Sciences et mécanique Guide d apprentissage Évaluations Corrigé des exercices Corrigés des évaluations Sciences Et Mécanique TABLE DES MATIÈRES Volume 9 Volume 9 : Sciences et mécanique Guide d apprentissage

Plus en détail

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3 Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.

Plus en détail

Préparation Physique CPLM Gabriel Currat 1/7

Préparation Physique CPLM Gabriel Currat 1/7 1/7 Avant la compétition Détends-toi, le soir avant la compétition, avec de la relaxation (voir fiche en annexe) Le matin mange un petit déjeuner équilibré: Fruits, Laitage, Pain ou céréales (ex: crème

Plus en détail

1- LES CHUTES DE PERSONNES...

1- LES CHUTES DE PERSONNES... 7 1-1- LES CHUTES DE PERSONNES... sont la cause de plusieurs accidents de travail Les chutes n ont pas de cible. Qui n est pas tombé dans un stationnement, en sortant de sa voiture, en se rendant à sa

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE 1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES

Plus en détail

La santé par la lumière Health by light

La santé par la lumière Health by light Health by light ventes Health by light Un mot du président Cher Client, Laboratoire LEDMA est une entreprise innovatrice, consciencieuse et soucieuse d offrir des produits de haute qualité. Nos produits

Plus en détail

Bleu comme un Schtroumpf Démarche d investigation

Bleu comme un Schtroumpf Démarche d investigation TP Bleu comme un Schtroumpf Démarche d investigation Règles de sécurité Blouse, lunettes de protection, pas de lentilles de contact, cheveux longs attachés. Toutes les solutions aqueuses seront jetées

Plus en détail

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier

Plus en détail

Séquence 4. La nature du vivant. Sommaire. 1. L unité structurale et chimique du vivant. 2. L ADN, support de l information génétique

Séquence 4. La nature du vivant. Sommaire. 1. L unité structurale et chimique du vivant. 2. L ADN, support de l information génétique Séquence 4 La nature du vivant Sommaire 1. L unité structurale et chimique du vivant 2. L ADN, support de l information génétique 3. Synthèse de la séquence 4. Exercices Devoir autocorrectif n 2 Séquence

Plus en détail

HUMI-BLOCK - TOUPRET

HUMI-BLOCK - TOUPRET FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET

Plus en détail

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN 21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de

Plus en détail

Banque Agro-Veto Session 2014 Rapport sur les concours A filière BCPST

Banque Agro-Veto Session 2014 Rapport sur les concours A filière BCPST 1 Épreuve de biologie Épreuve non prise en compte au concours PC BIO Concours Nb cand. Moyenne Ecart type Note la plus basse Note la plus haute A BIO 2158 11,94 4,10 1 20 A ENV 883 13,54 3,69 1,5 20 Ce

Plus en détail

3: Clonage d un gène dans un plasmide

3: Clonage d un gène dans un plasmide 3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par

Plus en détail

Capteur optique à dioxygène

Capteur optique à dioxygène Capteur optique à dioxygène Référence PS- 2196 Connectique de la sonde mini DIN Tête de la sonde Embout de protection et stockage Port mini DIN du capteur Eléments inclus 1. Capteur à dioxygène optique

Plus en détail

Galerie de photos échantillons SB-910

Galerie de photos échantillons SB-910 Galerie de photos échantillons SB-910 Ce livret présente différentes techniques du flash SB-910 et des exemples de photographies. 1 Fr Franchissez un cap dans l univers de l éclairage créatif Révélez les

Plus en détail

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un

Plus en détail

Fluorescent ou phosphorescent?

Fluorescent ou phosphorescent? Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester

Plus en détail

Panneau solaire ALDEN

Panneau solaire ALDEN SOMMAIRE 1. Présentation... 1.1. Mise en situation... 1.2. Analyse du besoin... 4 1.. Problématique... 4 1.4. Expression du besoin... 5 1.5. Validation du besoin... 5 2. Analyse fonctionnelle... 2.1. Définition

Plus en détail

C3. Produire de l électricité

C3. Produire de l électricité C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres

Plus en détail

Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»

Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

RDP : Voir ou conduire

RDP : Voir ou conduire 1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle

Plus en détail

SKW. Les enzymes dans la technologie des détergents. Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband

SKW. Les enzymes dans la technologie des détergents. Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband SKW Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband Association suisse des cosmétiques et des détergents The Swiss Cosmetic and Detergent Association Les enzymes dans la technologie des détergents Les enzymes

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production

Plus en détail

Desclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques. Catherine Jeandel Des clés pour comprendre l océan :

Desclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques. Catherine Jeandel Des clés pour comprendre l océan : Desclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques 1 Un cycle de la matière qui conditionne la chimie des océans et le climat La Terre, notre planète bleue (Figure 1), est constituée

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES

DEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES Cette fiche d'information est un document remis aux patients avant une intervention chirurgicale. Les chirurgiens sont aujourd'hui tenus à fournir une information objective et compréhensible sur les risques

Plus en détail

Comment faire disparaître une Cicatrice de façon Naturelle. Une Peau au Naturel

Comment faire disparaître une Cicatrice de façon Naturelle. Une Peau au Naturel Comment faire disparaître une Cicatrice de façon Naturelle Une Peau au Naturel Pourquoi est-il important de faire disparaître une cicatrice? Parce que votre Peau est Ce que vous voyez de Vous Ce que les

Plus en détail

ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION

ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus

Plus en détail

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines

Plus en détail

APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX

APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX Hôpital Privé d Antony APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX Livret d information Hôpital Privé d Antony OPC/KINE/297 Page 1 sur 6 Intervenants Rédigé par : Nom Profession Le Visa C.DUPUY

Plus en détail

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par

Plus en détail

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées

Plus en détail

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important

Plus en détail

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le

Plus en détail

Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015

Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne

Plus en détail

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 % 24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.

Plus en détail

QUI PEUT CONTRACTER LA FA?

QUI PEUT CONTRACTER LA FA? MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du

Plus en détail

IRBMS. Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM. Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT»

IRBMS. Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM. Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT» IRBMS http://www.irbms.com Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT» Auteur(s) : J.-D. Guieu Catégorie : Sport Santé

Plus en détail

KIT SOLAIRE EVOLUTIF DE BASE

KIT SOLAIRE EVOLUTIF DE BASE PARALLELE ENERGIE KIT SOLAIRE EVOLUTIF DE BASE Ce kit solaire est un système solaire facile à utiliser. Il s agit d un «générateur solaire» qui convertit la lumière du soleil en électricité, et qui peut

Plus en détail

Les rôles de l oxygène en phase post fermentaire

Les rôles de l oxygène en phase post fermentaire CONTRIBUTION SCIENTIFIQUE Les rôles de l oxygène en phase post fermentaire De Dominique Delteil, consultant L article a été publié sur le site Internet de l Institut Coopératif du Vin- ww.icv.fr- Flash

Plus en détail

Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID. Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues.

Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID. Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues. Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues. Date de présentation : 2014 Lieu : Roubaix. Mis à disponibilité sur le site

Plus en détail

www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E

www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E Solutions pour l analyse de l eau en ligne AnaSense Analyseur en ligne d AGV, des bicarbonates

Plus en détail

Bien voir pour bien conduire

Bien voir pour bien conduire Bien voir pour bien conduire Bien voir pour sa sécurité Que signifie avoir une bonne vue? Voir bien donne plus d assurance sur la route. Diverses études récentes prouvent qu une bonne vue et une perception

Plus en détail

Parasites externes du chat et du chien

Parasites externes du chat et du chien Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?

Plus en détail

Mesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu.

Mesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu. Mesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu. Auteur : Dr. Wulfran FORTIN Professeur Agrégé de Sciences Physiques TZR -

Plus en détail

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes

Plus en détail

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire

Plus en détail