Portrait de la main-d œuvre Préposés aux bénéficiaires. Par Nancy Grenier

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1 Portrait de la main-d œuvre Préposés aux bénéficiaires Par Nancy Grenier Direction générale du personnel réseau et ministériel Direction du personnel de la santé Octobre 2008

2 Table des matières INTRODUCTION... 3 FAITS SAILLANTS Projection du nombre de préposés aux bénéficiaires disponibles pour les quinze prochaines années Effectif en emploi Profil des préposés aux bénéficiaires exerçant dans le RSSS Attrition de l effectif en emploi au 31 mars Taux d arrivées et taux de départs observés Congés parentaux Projection des diplômés disponibles Inscriptions Taux d obtention du diplôme Taux d intégration à la pratique Attrition des diplômés disponibles Calcul de l effectif projeté Projection du nombre de préposés aux bénéficiaires requis pour les quinze prochaines années Pénurie initiale Facteur lié à l évolution démographique Calcul de l effectif requis Comparaison de l effectif projeté avec l effectif requis Augmentation des heures travaillées par les préposés aux bénéficiaires Évolution de la proportion des emplois à temps complet Niveau d activité des préposés aux bénéficiaires à temps partiel Augmentation des heures supplémentaires Comparaison des sources de l augmentation des heures travaillées Main-d œuvre indépendante et heures supplémentaires par région Main-d œuvre indépendante Heures supplémentaires par région CONCLUSION ANNEXES Annexe 1 : Projection détaillée par année Annexe 2 : Ventilation des heures travaillées et des heures de congé pour un préposé aux bénéficiaires à temps complet /28

3 INTRODUCTION Ce document présente le portrait de la main-d œuvre des préposés aux bénéficiaires (PAB) et s inscrit dans le cadre du travail du groupe de pilotage de ces derniers. Ce rapport présente les données statistiques sur les effectifs et en fait une comparaison dans le temps. La projection des préposés aux bénéficiaires pour les quinze prochaines années est également proposée, ainsi que les méthodes et hypothèses ayant servi à celle-ci. Enfin, les sources d augmentation des heures travaillées par PAB ainsi que les heures faites en main-d œuvre indépendante seront présentées. 3/28

4 FAITS SAILLANTS Au 31 mars 2007, le réseau compte PAB, parmi lesquels 29 % sont à TCR, 39 % à TPR et 31 % à TPO. Cet effectif a augmenté en moyenne de 1,4 % annuellement depuis cinq ans. Parmi l effectif, 21 % sont des hommes, 79 % des femmes. L âge moyen est de 42 ans, ce qui laisse entrevoir un nombre grimpant de retraites dans un proche avenir. La proportion des moins de 40 ans est toutefois aussi importante (~ 40 %), ce qui peut avoir un impact sur la prise de congés parentaux. En , la proportion du nombre de départs parmi les arrivées en cours d année se situe à près de 1/4. De plus, le nombre de départs chez les moins de 30 ans se chiffrent à près de 2/5. On remarque donc dans chacun des cas un problème de rétention. Le nombre d inscriptions au programme de formation est d environ en Ce nombre a augmenté considérablement depuis 2000 (778). Toutefois, selon la projection, on est presque à un sommet. Les inscriptions commenceront à diminuer à partir de Le taux d obtention du diplôme est de 86 % après deux ans. Le taux d activité moyen lui est de 88 %. La «pénurie initiale» est le résultat de la conversion en nombre de PAB moyen des heures supplémentaires excédentaires à un pourcentage moyen d heures supplémentaires basé sur un historique de cinq ans ( à ). Ainsi, le nombre requis pour combler les besoins actuels serait de 445 PAB. Le pourcentage d heures supplémentaires effectué en est de 3 %. Trois régions se démarquent particulièrement avec un taux plus élevé, soit les régions de la Côte-Nord, de l Outaouais, de la Montérégie et de Montréal. En , un PAB travaille en moyenne heures (tous statuts confondus), alors qu un PAB à TCR fait en moyenne heures. La moyenne des heures supplémentaires effectuées par un PAB est de 34 heures. Moins de 2 % de l effectif effectuent plus de 300 heures par année. Les heures travaillées ont augmenté d environ 8 % depuis cinq ans. Cette augmentation représente PAB en «équivalent ». 63 % de cette augmentation est attribuable à l augmentation de l effectif. La main-d œuvre indépendante est un phénomène présent chez les PAB. En , la proportion de MOI était de 2 %, soit une augmentation de 0,4 % par rapport à Deux régions se démarquent principalement par un taux plus élevé : la Capitale-Nationale (2,6 %) et Montréal (3,6 %). 4/28

5 1 Projection du nombre de préposés aux bénéficiaires disponibles pour les quinze prochaines années 1.1 Effectif en emploi Parmi les effectifs préposés aux bénéficiaires au 31 mars 2007, travaillent dans le réseau de la santé. Cela représente une augmentation moyenne annuelle de 1,4 % depuis , alors qu on dénotait à ce moment PAB. Le graphique qui suit présente l évolution, au cours des cinq dernières années, du nombre de préposés dans le réseau de la santé. On y remarque que le nombre d effectifs est demeuré quasi identique en et Graphique 1 Évolution du nombre de préposés aux bénéficiaires exerçant la profession dans le réseau Le tableau qui suit montre la répartition de l effectif en selon la région. Régions Effectif PAB Proportion Tableau 1 Répartition des préposés aux bénéficiaires du réseau de la santé par région Effectif PAB Proportion Évolution annuelle moyenne ,4% 916 2,6% 2,7% ,7% 811 2,3% 7,9% ,8% ,1% 2,0% ,0% ,6% 0,1% ,3% ,5% 2,1% ,9% ,3% 0,5% ,7% ,9% 2,1% ,9% 748 2,1% 3,7% ,9% 332 0,9% 1,8% ,1% 32 0,1% 5,1% ,0% 386 1,1% 3,3% ,4% ,4% 1,7% ,9% ,6% -0,1% ,6% ,9% 3,1% ,4% ,3% 1,1% ,3% ,4% 1,5% ,5% 236 0,7% 5,6% ,2% 63 0,2% -2,4% Total ,0% ,0% 1,4% 5/28

6 La proportion des effectifs par région est demeurée presque inchangée. Seules deux régions ont diminué leur effectif, soit les régions de Laval et des Terres-Cries-de-la-Baie-James. La région du Saguenay-Lac-Saint-Jean a quant à elle augmenté son effectif sur cinq ans à raison d environ 50 %, ce qui est considérable. Le tableau 2 quant à lui montre la répartition de l effectif selon la catégorie d établissement. Plus de 6 PAB sur 10 travaillent dans les CSSS, alors qu environ 2/10 travaillent en CHSGS. Tableau 2 Répartition des PAB du réseau de la santé par catégorie d'établissement au 31 mars 2007 Catégorie d'établissement Nombre Proportion CHSGS ,0% CHPSY 819 2,3% CR Déficience physique 255 0,7% CR Déficience intellectuelle 339 1,0% CR Alcoolisme et toxicomanie 3 0,0% CR Privé 186 0,5% CHSLD ,6% CHSLD privé heures et plus ,8% CHSLD privé Moins de heures 801 2,3% CSSS avec CH > 30% 2 millions d'heures et plus ,0% CSSS avec CH > 30% De 1 à 2 millions d'heures ,2% CSSS avec CH > 30% Moins de 1 million d'heures ,9% CSSS avec CH < 30% 1 million d'heures et plus ,2% CSSS avec CH < 30% Moins de 1 million d'heures ,2% Centre à missions multiples pour les régions nordiques 331 0,9% Centre jeunesse 166 0,5% Total ,0% 1.2 Profil des préposés aux bénéficiaires exerçant dans le RSSS Les préposés aux bénéficiaires travaillant dans le réseau de la santé sont répartis selon les titres d emplois suivants : Tableau 3 Titres d'emploi utilisés pour les préposés aux bénéficiaires Titre d'emploi Nombre Préposé ou préposée (certifié "A") aux bénéficiaires 22 Préposé ou préposée aux bénéficiaires Préposé ou préposée en établissement nordique 270 Total Les hommes représentent en ,3 % des effectifs, et cette proportion tend à légèrement diminuer avec le temps. En effet, en , les hommes formaient 23,8 % des PAB. Bien que cette proportion puisse sembler faible, elle est plutôt élevée si on compare le groupe des PAB au personnel affecté aux soins 1, où les hommes représentent 13,1 % de l effectif. 1 En plus des PAB, le personnel affecté aux soins est formé des infirmières, des infirmières auxiliaires ainsi que des externes en soins infirmiers. À partir de , les commis ne peuvent plus quant à eux être extraits des données. 6/28

7 En date du 31 mars 2007, la moyenne d âge des préposés aux bénéficiaires du réseau est de 42 ans, soit l équivalent de l âge moyen du personnel aux soins (41,8 ans) de même que du personnel de l ensemble du réseau de la santé (42,3 ans). Le graphique 2 montre la distribution de cet effectif par âge et par sexe. Graphique 2 Distribution des préposés aux bénéficiaires du réseau de la santé selon l'âge et le sexe 31 mars Femmes Hommes Moins de et + À la lecture de ce graphique, on constate que la prise de retraite n est pas à court terme un enjeu critique. En effet, la proportion des PAB âgés de 50 ans et plus est de 27,6 %, alors que la proportion des moins de 40 ans est de 39,7 %. Cela indique donc que réseau doit se préparer pour répondre aux remplacements des futurs retraités, mais également à ceux dus à des congés de maternité. 1.3 Attrition de l effectif en emploi au 31 mars 2007 En octobre 2007, les actuaires de la Commission administrative des régimes de retraite et d assurances (CARRA) déposaient une nouvelle évaluation actuarielle du Régime de retraite des employés du gouvernement et des organismes publics (RREGOP) en date du 31 décembre Les taux de départ à la retraite et les taux de décès établis pour la présente projection sont les mêmes que ceux qui ont servi à cette évaluation. Le graphique qui suit présente la projection des départs à la retraite pour les préposés aux bénéficiaires. Tel que mentionné ci-haut, le nombre de prises de retraite, à court terme, n est pas majeur. On prévoit qu il atteindra un plateau en , pour recommencer à augmenter significativement en Cela correspond bien à la distribution de l effectif actuel vu précédemment. En effet, on peut supposer que les effectifs du groupe des 45 ans, qui sont en proportion la plus importante, prendront en effet leur retraite d ici 10 à 15 ans, ce qui nous mène en Toutefois, avant que cela ne se produise, on prévoit que le nombre de départs à la retraite augmentera à un rythme annuel moyen de 7,6 % d ici à ce qu il atteigne le plateau de /28

8 Graphique 3 Projection des départs à la retraite chez les préposés aux bénéficiaires proj Les cessations d emploi sont définies ici comme étant tous les départs pour causes autres que la retraite et le décès. Afin de bien cibler le comportement du groupe des préposés aux bénéficiaires, les taux de cessation provenant de la CARRA, mais cette fois pour le secteur de la santé, et non pas de l ensemble du RREGOP comme pour les décès et la retraite, ont été utilisés. Il est considéré comme hypothèse que les taux de décès et de retraite pour l ensemble du RREGOP représentent le comportement chez l effectif du secteur de la santé, mais qu il en est autrement pour les cessations. 8/28

9 Le tableau 4 présente la projection des départs à la retraite, des décès et des cessations d emploi de l effectif au 31 mars Tableau 4 Projection de l'attrition de l'effectif PAB au 31 mars 2007 Année Retraites Décès Cessations Total Total % du total de l'attrition 79,4% 2,5% 18,1% 100,0% % de l'effectif au 31 mars ,3% 1,4% 10,3% 57,0% Tel qu on le constate avec ce tableau, environ 6 préposés aux bénéficiaires sur 10 auront quitté leur emploi d ici La majorité de ces départs, soit 79,4 %, seront dus à la prise de retraite. Cela représente environ la moitié de l effectif au 31 mars À l opposé, une minorité de l effectif à cette même date, soit 1,4 %, décèderont d ici les quinze prochaines années, ce qui représente 2,5 % de l ensemble des départs. Le graphique 4 illustre ces projections. Graphique 4 Projection de l'attrition de l'effectif PAB au 31 mars Retraites Décès Cessations /28

10 On remarque bien sur ce dernier un phénomène inverse entre les cessations et les retraites. Les cessations, plus nombreuses en début de projection, diminuent jusqu en à un rythme annuel moyen de 17,3 %, pour ensuite se stabiliser. 1.4 Taux d arrivées et taux de départs observés Le tableau 5 présente le nombre d arrivées et de départs ayant eu lieu au cours de l année À la lecture de ce dernier, on constate que les départs représentent 6,3 % de l effectif en poste en début d année ainsi que 24,2 % des effectifs arrivés au cours de l année. Cela indique l importance des départs chez les nouvelles recrues, donc un faible taux de rétention. Il en est de même pour les PAB de moins de 30 ans. En effet, le taux de départs de ces derniers est de 37,6 %, alors qu il est de 26,7 % chez les plus de 50 ans. Le problème de rétention prend donc plus d envergure que les départs à la retraite. D ailleurs, on remarque que les régions plus éloignées (Abitibi-Témiscamingue, Côte-Nord, Nunavik) ont encore plus de difficulté à retenir leurs jeunes, avec des taux supérieurs à 50 %. Les arrivées en cours d année quant à elles représentent 11,2 % de l effectif en emploi en fin d année. Tableau 5 Arrivées et départs des PAB au cours de la période , par région % Départs moins de 30 ans % Départs plus de 50 ans % Départs parmi les arrivées dans l'année % Départs parmi l'effectif déjà en poste Nom région Effectif début de période Arrivées Départs Effectifs fin de période 01 Bas-Saint-Laurent ,8% 31,5% 32,1% 6,6% 02 Saguenay-Lac-Saint-Jean ,7% 17,9% 19,8% 4,2% 03 Capitale-Nationale ,8% 22,4% 19,4% 5,8% 04 Mauricie et Centre-du-Québec ,3% 25,0% 28,9% 5,2% 05 Estrie ,7% 35,3% 21,3% 5,0% 06 Montréal ,8% 29,6% 23,8% 5,9% 07 Outaouais ,2% 17,4% 20,7% 8,6% 08 Abitibi-Témiscamingue ,2% 16,0% 33,1% 6,5% 09 Côte-Nord ,0% 17,5% 35,9% 5,5% 10 Nord-du-Québec ,0% 100,0% 0,0% 9,1% 11 Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine ,0% 25,0% 12,7% 3,7% 12 Chaudière-Appalaches ,3% 36,4% 24,9% 6,4% 13 Laval ,7% 22,6% 26,8% 7,2% 14 Lanaudière ,1% 20,5% 31,6% 6,4% 15 Laurentides ,1% 30,4% 24,1% 6,4% 16 Montérégie ,0% 27,8% 24,6% 7,7% 17 Nunavik ,6% 7,1% 12,5% 20,8% 18 Terres-Cries-de-la-Baie-James ,0% 66,7% 0,0% 5,3% Total ,6% 26,7% 24,2% 6,3% 10/28

11 1.5 Congés parentaux Le problème de rétention que l on remarque chez les effectifs PAB de moins de 30 ans peut être expliqué en partie par la prise de congés parentaux. Le graphique qui suit montre en effet que chez les PAB, ce sont les 30 ans et moins qui prennent le plus de congés parentaux, ce qui est réaliste si l on considère l âge à l entrée à la profession chez les PAB. Aussi, malgré que la prise de congés parentaux ne soit pas négligeable chez les ans, rappelons que l effectif est plus nombreux chez les moins de 30 ans que dans le groupe des ans. Graphique 5 Heures travaillées et heures de congés parentaux par préposé aux bénéficiaires selon l'âge femmes TCR, Hres travaillées Hres congés parentaux Total des deux Projection des diplômés disponibles La projection des diplômés est établie, d une part, sur la base du nombre attendu d inscriptions dans les programmes de formation à la profession de préposé aux bénéficiaires puis, d autre part, sur les taux attendus d obtention du diplôme. Par la suite, la proportion du nombre de diplômés disponibles pour l emploi est estimée Inscriptions Les inscriptions au programme d études professionnelles en assistance à la personne en établissement de santé ont augmenté de façon considérable depuis 2001, soit à raison de 15,3 % par année en moyenne. Toutefois, selon les projections du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport, quelques augmentations, mais beaucoup moins importantes, sont à venir les deux prochaines années. Après quoi, les inscriptions commenceront à diminuer, toutefois à un taux beaucoup plus faible (en moyenne 3,3 % annuellement entre 2009 et 2017) que celui auquel il a augmenté entre 2001 et aujourd hui. 11/28

12 Tableau 6 Inscriptions au programme de formation en assistance à la personne en établissement de santé Année Nombre * * Donnée préliminaire Pour les besoins de la présente projection, on utilisera les données du MELS quant aux projections d inscriptions jusqu en Celles-ci sont basées sur la méthode des taux de passage appliqués aux élèves actuellement aux ordres d enseignement primaire et secondaire. Pour les années subséquentes, on suppose que les inscriptions au niveau collégial suivront l évolution démographique prévue pour la population des jeunes de 15 à 19 ans. Le graphique 6 présente le résultat de ces projections. Le nombre d inscriptions à venir atteindra donc un sommet en 2009 pour diminuer de façon quasi constante jusqu en 2017, puis se stabiliser. Graphique 6 Évolution des inscriptions au programme de formation à la profession de PAB Observation Projection * /28

13 Voici, sous forme de tableau, les données qui sous-tendent ce graphique. Tableau 7 Inscriptions au programme de formation PAB : observations et projections Observations Projections Année Nombre Année Nombre * * Donnée préliminaire Source : MELS, mai Taux d obtention du diplôme Pour la présente projection, le taux de réussite est évalué en comparant le nombre de diplômés deux ans après le moment de leur inscription. Il s avère donc que le taux de diplômation moyen est de 86,1 2 % dans le programme Assistance à la personne en établissement de santé Taux d intégration à la pratique Selon l étude Enquête Relance menée par le MELS, il apparait que la proportion de finissants du programme d assistance à la personne en établissement de santé tend à diminuer. En effet, le taux est de 92,1 % en 2005, alors qu il diminue à 86,0 % en Ainsi, le taux retenu est le taux moyen pondéré des trois dernières années, soit 88,1 % Attrition des diplômés disponibles On pose comme hypothèse que les diplômés ont le même comportement que l effectif déjà en fonction, donc que les hypothèses de décès, de retraite et de cessation retenues s appliquent aux nouvelles recrues. On comprendra ainsi que le nombre de départs parmi les effectifs préposés aux bénéficiaires nouvellement recrutés augmentera chaque année au fil de la période de projection, puisque le groupe qu ils constituent depuis le début de la période de projection grossit annuellement. 2 Donnée du MELS, mai /28

14 1.7 Calcul de l effectif projeté L effectif projeté pour une année donnée se compose de l effectif de l année précédente, auquel s ajoutent les préposés aux bénéficiaires recrutés pendant l année, moins l attrition de l année en cours. Cette attrition est constituée de l attrition du personnel en place au début de la projection (soit, ici, au 31 mars 2007) à laquelle s ajoute l attrition du personnel recruté depuis le début de la projection, tel que mentionné ci-haut. Le tableau 8 présente l effectif projeté pour les quinze prochaines années. Année Tableau 8 Effectif projeté jusqu'au 31 mars 2023 Départs Nouvelles Départs des attendus recrues recrues Effectif projeté Projection du nombre de préposés aux bénéficiaires requis pour les quinze prochaines années 2.1 Pénurie initiale Avant de déterminer, au moyen de la projection, le nombre de PAB requis au cours des prochaines années, il faut d abord vérifier si l effectif en place est suffisant pour répondre aux besoins actuels. Il semble qu au cours des dernières années, les PAB ne formaient pas un groupe en pénurie. Par contre, l utilisation des portraits régionaux de semblent indiquer qu il commencerait à manquer un peu d effectifs. Le moyen de calculer ces besoins de main-d œuvre actuels est de faire la conversion en nombre de PAB moyen du temps supplémentaire travaillé par les PAB du réseau en au-delà d un pourcentage moyen d heures supplémentaires correspondant à celui de la moyenne des années à , où l on ne dénotait pas de pénurie et où les heures supplémentaires augmentaient de façon moins importante que par les années suivantes. Ce nombre «excédentaire» d heures supplémentaires est ensuite divisé par les heures travaillées par 14/28

15 emploi par un PAB moyen. On obtient ainsi le nombre d individus «moyens» qu il faudrait ajouter pour ramener le temps supplémentaire au taux de la période de référence retenue, qui est de 1,77 %, ce qui constitue en soi notre «pénurie». Ainsi, au 31 mars 2007, on a évalué à 445 le nombre de PAB requis pour combler les besoins présents. Le graphique 7 présente l évolution du pourcentage d heures supplémentaires travaillées par les PAB depuis Graphique 7 Pourcentage d'heures supplémentaires travaillées par les PAB du RSSS 3,5% 3,0% 3,0 % 2,5% 2,0% 1,5% 1,0% 0,5% 0,0% Facteur lié à l évolution démographique La population du Québec vieillit. Les personnes âgées de 65 ans et plus représentaient 13 % de la population du Québec en 2001 ; cette proportion atteindra presque 25 % en La première cause de ce vieillissement est la baisse importante de la natalité depuis 1965 et son maintien à un faible niveau depuis ce temps. La réduction importante du taux de mortalité par âge est la seconde cause du vieillissement. Pour tenir compte de cette situation, un facteur annuel de l augmentation des besoins en services de préposés aux bénéficiaires liée à l évolution démographique de la population est ajouté au modèle de projection. Ce facteur a été estimé à 0,88 % pour les quinze prochaines années. Cette augmentation est estimée en appliquant les coûts per capita actuels selon l âge à la structure démographique projetée pour Les coûts per capita retenus tiennent compte du degré relatif d utilisation des ressources selon les programmes pour les populations cibles. Le calcul est effectué en considérant le volume d heures travaillées par les préposés aux bénéficiaires dans chaque catégorie d établissement où sont dispensés ces services. 15/28

16 2.3 Calcul de l effectif requis Le nombre de préposés aux bénéficiaires requis tout au long de l horizon sur lequel porte la projection est calculé à partir de l effectif actuel auquel on ajoute la pénurie initiale. On le fait ensuite progresser par l effet du facteur de l augmentation des besoins liés à la démographie de la population (0,88 %). Le graphique 8 présente la courbe d évolution des besoins pour les années à venir. Graphique 8 Projection du nombre de PAB requis Comparaison de l effectif projeté avec l effectif requis L écart entre le nombre de PAB disponibles pour exercer la profession (l effectif projeté) et le nombre de PAB requis pour répondre aux besoins de la population (l effectif requis) détermine la pénurie, ou le surplus, de PAB tout au long de l horizon sur lequel porte la projection. Le tableau 9 présente l évolution annuelle de l effectif projeté, de l effectif requis et de la pénurie résultante. On constate, à la lecture, que la situation actuelle tend à s accroitre progressivement pour atteindre dans quinze ans, soit à la fin de l année Le taux annuel moyen d augmentation des besoins sur cette période est de 18,4 %. Notons cependant que l augmentation annuelle moyenne est plus accrue au cours des cinq premières années de projection (27,5 %) qu elle ne l est au cours des dix dernières années (14,1 %). 3 Les données relatives à la pénurie sont exprimées dans le texte et dans les graphiques par des nombres arrondis à la centaine près. Toutefois, dans le tableau 9, on présente les résultats à l unité près pour une meilleure compréhension des calculs. 16/28

17 Année Tableau 9 Évolution annuelle des besoins de main-d'œuvre pour préposés aux bénéficiaires Effectif projeté Effectif requis (693) (948) (1 199) (1 504) (1 897) (2 331) (2 819) (3 325) (3 874) (4 507) (5 150) (5 859) (6 558) (7 253) (7 948) (8 747) * Une valeur négative indique un besoin à combler Le graphique 9 illustre les résultats du tableau précédent. La pénurie est identifiée par la distance entre les deux courbes, à l endroit où la courbe de l effectif requis est plus élevée que la courbe de l effectif projeté Graphique 9 Évolution des besoins de main-d'oeuvre pour PAB anticipés, selon la projection (toutes choses étant égales par ailleurs) Pénurie : 445 Pénurie dans 5 ans : Pénurie dans 10 ans : Pénurie dans 15 ans : Besoins de maind'œuvre* Effectif projeté Effectif requis 17/28

18 3 Augmentation des heures travaillées par les préposés aux bénéficiaires Les heures travaillées par les PAB ont augmenté de 7,9 % depuis cinq ans. L augmentation des heures travaillées peut être attribuable à plusieurs sources. Par exemple, une hausse du nombre d emplois à temps complet, du niveau d activité des PAB à temps partiel, de même qu une augmentation des heures travaillées sont tous des facteurs qui font en sorte d augmenter le nombre d heures travaillées. Voyons, dans le cas des PAB, quels éléments ont un impact sur ces heures. 3.1 Évolution de la proportion des emplois à temps complet Tel que l on peut le constater sur le graphique qui suit, la proportion de PAB à temps complet est relativement stable depuis les dernières années et se situe à 29,3 % pour Ceci dit, ce phénomène aura peu d impact sur l augmentation du volume d heures travaillées par PAB. Graphique 10 Préposés aux bénéficiaires Évolution des proportions par statut (en individus) 100% 90% 80% 34,1% 34,4% 33,7% 32,1% 31,0% 31,4% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% 37,6% 37,5% 38,1% 39,2% 39,9% 39,2% 28,3% 28,1% 28,3% 28,7% 29,1% 29,3% TPO TPR TCR 18/28

19 3.2 Niveau d activité des préposés aux bénéficiaires à temps partiel Le tableau 10 permet de constater que les PAB qui occupent un emploi à temps partiel régulier travaillent en moyenne l équivalent de 86,9 % des heures travaillées par les PAB à temps complet 4. Cette proportion est de 72,7 % pour les PAB qui occupent des emplois à temps partiel occasionnel. Cela indique donc un niveau d activité important, notamment des TPR, par rapport aux PAB à TCR. Tableau 10 Heures travaillées par les PAB selon le statut, Statut Hres trav. / personne % p/r au TCR moyen TCR 1 349,9 100,0% TPR 1 172,6 86,9% TPO 981,3 72,7% Total 1 186,0 87,9% On trouvera en annexe 2 une ventilation du nombre d heures travaillées (1 349,9) et des heures de congé pour un PAB à temps complet en poste toute l année en Le graphique 11 qui suit illustre le niveau d activité des PAB selon le statut d emploi. Graphique 11 Évolution des heures moyennes travaillées par les PAB en emploi toute l'année TCR TPO TPR Tous On remarque sur ce graphique un comportement inverse chez les TCR et les TPO au cours des deux dernières années, bien que les heures moyennes soient relativement stable pour chacun des statuts. 4 Pour les besoins de ce tableau et du suivant, on tient compte seulement des préposés aux bénéficiaires qui ont travaillé toute l année. Ainsi, ceux qui sont arrivés ou partis en cours d année ne sont pas inclus dans ces statistiques. 19/28

20 3.3 Augmentation des heures supplémentaires La question de l augmentation des heures supplémentaires a déjà été évoquée dans la première partie du présent document à la section portant sur le calcul de la pénurie initiale. La proportion des heures travaillées en temps supplémentaire par rapport au total des heures travaillées (heures régulières et supplémentaires) par les PAB a augmenté au cours des deux dernières années de façon plus importante qu auparavant. Cela se traduit par une pente plus prononcée illustrée au graphique 7. Le taux d heures supplémentaires est ainsi passé de moins de 0,9 % en , à 2,0 % en pour enfin se chiffrer à 3,0 % en Il faudra voir dans les années à venir quelle tangente prendra cette proportion. Le graphique 12 présente la distribution des PAB, par statut, selon le nombre d heures supplémentaires effectuées en Il apparaît qu en moyenne, un PAB a effectué 34 heures de temps supplémentaire au cours de cette année et que la moitié d entre eux en ont fait moins de 4 heures. De plus, le graphique montre que seule une petite partie de l effectif (1,7 %) a travaillé plus de 300 heures en temps supplémentaire, ce qui représente moins de 7 heures par semaine 5. Graphique 12 Distribution des PAB selon le nombre d'heures supplémentaires en PAB Moyenne : 34,3 heures Médiane : 3,8 heures TCR Moyenne : 36,9 heures Médiane : 1,7 heure 90,1 % de l'effectif à moins de 100 heures TCR : 89,1 % et + Heures supplémentaires 1,7 % de l'effectif à plus de 300 heures TCR : 2,4 % TPO TPR TCR 5 Pour une année, 48 semaines de travail sont comptées étant donné que nous considérons qu un PAB a en moyenne 4 semaines de vacances par année. 20/28

21 3.4 Comparaison des sources de l augmentation des heures travaillées Globalement, pendant la période de cinq ans qui s étend de à , la majeure partie (63 %) de l augmentation des heures travaillées par les PAB est attribuable à l accroissement du nombre d emplois. Le reste s explique à part égale par l augmentation des heures supplémentaires par statut ainsi que l augmentation de la proportion de TCR. Le graphique et le tableau qui suivent donnent la répartition des sources d augmentation des heures travaillées pendant la période. Graphique 13 Sources d'augmentation des heures travaillées par les préposés aux bénéficiaires depuis 5 ans ( à ) Augm. des heures régulières par statut -1% Augm. des heures suppl par statut 20% Augm. de la proportion de TCR 18% Augm. de l'effectif 63% Tableau 11 Répartition selon les sources de l'augmentation des heures travaillées entre et poids de la source équivalent PAB de taux cumul 5 Source de variation des heures annuel ans * Augm. de l'effectif 1,22% 4,98% 63% Augm. de la proportion de TCR 0,34% 1,38% 18% 517 Augm. des heures régulières par statut -0,01% -0,04% -1% -15 Augm. des heures suppl par statut 0,36% 1,45% 20% 554 Total: 1,93% 7,93% 100% * facteurs multiplicatifs et non additifs Notons que l augmentation des heures régulières par statut amène une baisse de l effectif «équivalent ». Celle-ci est due au fait que pour les TCR, on remarque une diminution des heures moyennes travaillées entre et Cela n est par contre pas majeur. Globalement, depuis cinq ans, l augmentation des heures travaillées par PAB, c est-à-dire en ne considérant pas l impact de l augmentation des effectifs, représente l équivalent de emplois. 21/28

22 4 Main-d œuvre indépendante et heures supplémentaires par région 4.1 Main-d œuvre indépendante Le recours à la main-d œuvre indépendante (MOI) chez les PAB, comme pour d autres professions, augmente au fil du temps. En effet, alors que l utilisation de la MOI pour les PAB se faisait dans une proportion de 1,6 % en , celle-ci s est chiffré à 2,0 % en Le tableau 12 montre la répartition du recours à la MOI en par région. Tableau 12 Répartition de l'utilisation de la MOI chez les préposés aux bénéficiaires, par région Région Hres MOI Hres MOI (%) Hres totales PAB Hres totales (%) % Hres MOI / hres totales 01 Bas-Saint-Laurent ,5% 02 Saguenay-Lac-Saint-Jean ,1% 03 Capitale-Nationale ,9% ,9% 2,6% 04 Mauricie-Centre-du-Québ 112 0,0% ,6% 0,0% 05 Estrie 64 0,0% ,4% 0,0% 06 Montréal ,4% ,1% 3,6% 07 Outaouais ,1% ,8% 1,1% 08 Abitibi-Témiscamingue 43 0,0% ,9% 0,0% 09 Côte-Nord ,9% ,9% 2,0% 10 Nord-du-Québec ,1% 11 Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine ,0% 12 Chaudière-Appalaches ,2% ,3% 0,1% 13 Laval ,0% ,5% 1,7% 14 Lanaudière ,5% ,0% 0,3% 15 Laurentides ,3% ,0% 0,5% 16 Montérégie ,6% ,3% 1,6% 17 Nunavik ,4% 18 Terres-Cries-de-la-Baie-James ,2% Total ,0% ,0% 2,0% À la lecture de ce tableau, on constate que les régions de la Capitale-Nationale et de Montréal sont les régions les plus problématiques et ont donc une proportion d heures en MOI supérieure à la moyenne nationale. Par ailleurs, la Montérégie a également un nombre d heures élevé en MOI (10,6 % du total), la plaçant ainsi en troisième position. 22/28

23 4.2 Heures supplémentaires par région Tel que mentionné précédemment dans le présent document, la proportion d heures supplémentaires effectuées par les PAB au cours de la période est de 3,0 %. Le graphique qui suit illustre quelles régions se démarquent en ce qui a trait aux heures supplémentaires effectuées. Graphique 14 Pourcentage d'heures supplémentaires effectuées au cours de la période , par région 4,5% 4,0% 3,5% Moyenne : 3,0 % 3,0% 2,5% 2,0% 1,5% 1,0% 0,5% 0,0% Comme on le constate, outre la région de la Côte-Nord, les régions de l Outaouais, de la Montérégie et de Montréal sont celles dont le pourcentage d heures supplémentaires est le plus élevé en comparaison avec les heures régulières travaillées. 23/28

24 CONCLUSION Avec les données observées au cours des dernières années, on anticipe un besoin de maind œuvre progressif chez les préposés aux bénéficiaires. À court terme, la prise de retraite n est pas un facteur qui a un impact majeur sur les départs chez les préposés aux bénéficiaires. Celle-ci se fait davantage sentir à long terme. Étant donné la courbe d âge de l effectif, la prise de congés de maternité est davantage un élément vers lequel il faudra se pencher et trouver des solutions de remplacement. Aussi, le taux de rétention observé chez les jeunes étant plutôt faible, il faudra travailler à ce niveau. Le recours à la main-d œuvre indépendante chez les préposés aux bénéficiaires est un phénomène qui a pris de l ampleur au cours de la dernière année. Il faudra l observer de près dans un proche avenir pour tenter de trouver des solutions qui vont le restreindre. Ayant observé des données sur l organisation du travail et les sources d augmentation des heures travaillées, il y a ouverture à changements chez les PAB, permettant ainsi une meilleure optimisation de l effectif. 24/28

25 25/28

26 ANNEXES 26/28

27 Projection détaillée par année (révision de septembre 2008) Population de départ : préposés aux bénéficiaires au 31 mars 2007 Pénurie initiale : 445 préposés aux bénéficiaires au 31 mars 2007 année retraites décès départs attendus cessations accroissement des besoins calcul intermédiaire du recrutement (brut) Annexe 1 recrutement requis diplômées disponibles écart annuel de recrutement écart cumulatif effectif requis effectif projeté déficit cumulatif de PAB Total /28

28 Annexe 2 Ventilation des heures travaillées et des heures de congé pour un préposé aux bénéficiaire à temps complet, en emploi toute l année, en Sommaire par poste TCR Heures Jours (/7,25) Heures régulières 1 291,1 178,1 Vacances, fériés et maladies 277,4 38,3 Autres congés avec solde 202,4 27,9 Congés sans solde 102,4 14, ,2 258,4 Heures travaillées par individu TCR Heures régulières 1 291,1 178,1 Heures supplémentaires 36,5 5,0 Sous-total par poste TCR 1 327,5 183,1 Heures autres postes 22,3 3,1 Total par individu TCR 1 349,9 186,2 28/28

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