Dominique Durant. CNIS 20 octobre 2005



Documents pareils
LA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS

PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES

Études. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE

SO00BM24 Introduction aux politiques économiques

La destination finale de l épargne des ménages

Moyen terme

INSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES

L ACCES AU CREDIT BANCAIRE DES ENTREPRISES

BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Partie 2 : Qui crée la monnaie?

PERTES ET BENEFICES DE CHANGE

Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014

Reporting statistique des établissements de crédit

TD n 1 : la Balance des Paiements

3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties

LA COMPOSITION DES PLANS D ÉPARGNE EN ACTIONS (PEA) À FIN DÉCEMBRE 1997

Ordonnance relative à la loi fédérale sur la Banque nationale suisse

Observation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus

MAC3 Balance des paiements. Présentation de l unité. novembre 2012

Préambule Autodiagnostic 1) QRU - La Banque centrale est : 2) QRU - L encadrement du crédit était une technique :

Optez pour l immobilier dans votre contrat d assurance-vie

Banque de la République d Haïti. Bulletin Statistique 36 Juillet - Septembre 2000

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013

Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme. Fiche N 2 : Banque et Monnaie

ENQUETE SUR L ASSURANCE-VIE

Chapitre III : Qui gère la monnaie? Le cas de la France

INTÉGRATION DE TABLEAUX STATISTIQUES QUI ÉTAIENT PUBLIÉS ANTÉRIEUREMENT PAR LA COMMISSION BANCAIRE ET FINANCIÈRE ET DES ASSURANCES

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC

Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES INTERMEDIAIRES RESUMES

Chapitre 3. La répartition

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Annexe 1. Stratégie de gestion de la dette Objectif

L Épargne des chinois

Monnaie et financement de l économie

Enquête sur les investissements dans l industrie

LES PROGRAMMES STATISTIQUES 2003

CONDITIONS TARIFAIRES

Conditions Tarifaires Février 2015

LES NOUVEAUX INDICATEURS STATISTIQUES DU FMI

Qu est-ce qu une banque?

TSTT ACC OUTILS DE GESTION COMMERCIALE FICHE 1 : LES MARGES

ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE

Les placements des organismes d assurance à fin 2012

Edition Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64

Monnaie, banques, assurances

Réseau de formateurs : Denis Ducamp, Vincent Michecoppin, Marie-Line Zanon

COMPTES CONSOLIDES IFRS DU GROUPE CNP ASSURANCES au 31 Décembre 2007

Enquête de 2004 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit

L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH»

Contrôle. Consultation CDEC

RAPPORT ANNUEL DE L OBSERVATOIRE DE L ÉPARGNE RÉGLEMENTÉE

COMPTES D OPÉRATIONS MONÉTAIRES

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014

GUIDE D UTILISATION ODT

La séquence des comptes

6. MONNAIE, CRÉDIT ET DETTE

COURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME

Les opérations et autres flux

Schéma de reporting périodique des établissements de monnaie électronique

Caisse populaire Desjardins de Brome-Missisquoi

Rapport S 1.5 «Taux d'intérêt en EUR»

ANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL

Note de présentation de la circulaire du CDVM n relative aux opérations de placement en devises réalisées par les OPCVM à l étranger

Rapport financier du premier trimestre de

SOMMAIRE OPÉRATIONS COURANTES OPÉRATIONS D INVENTAIRE

La gestion du compte de l État

Études. La position extérieure : éléments de mesure et utilité pour la politique monétaire et la stabilité financière

Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie

CREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE

Information financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic

EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER

La mesure de l activité des banques en France

Macroéconomie. Catherine Fuss Banque Nationale de Belgique

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel. Janvier 2015

Taux d épargne, le paradoxe franco- britannique

Le Petit. Compta. Les notions clés en 21 fiches. Charles-Édouard Godard Séverine Godard Patrick Pinteaux

RAPPORT DE GESTION DU CONSEIL D ADMINISTRATION COMPTES SEMESTRIELS CLOS AU 30 JUIN 2014

COMPTES CONSOLIDÉS AU 31 DÉCEMBRE 2014

Les comptes de la Banque de France

Bienvenue dans votre FIBENligne

Impact de la baisse du taux du Livret A sur les montants collectés

Un essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013

À TITRE D INFORMATION SEULEMENT

Compte d exploitation Assurance vie collective.

LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier

INITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE

EMPRUNTS OBLIGATAIRES EMIS PAR LES SOCIETES. Conséquences du financement par emprunt obligataire dans le tableau de financement de l'entreprise.

Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie

Fonds de revenu Colabor

Synthèse de la réunion de l IASB du mois de Décembre 2013

Norme comptable internationale 21 Effets des variations des cours des monnaies étrangères

Mardi 23 octobre Séminaire. Schumann-bourse

GROUPAMA Résultats annuels Présentation presse & analystes 21 février 2013

MÉMO. Des solutions en cas de coup dur ou de coup de cœur SOMMAIRE

INTRODUCTION 3 1. TAUX D INTÉRÊT POUR LES COMPTES DE PASSIF DES CLIENTS 4 2. PRÊTS, CRÉDITS, DÉPASSEMENTS ET DÉCOUVERTS 4

OPCVM. Organisation, Risques et Responsabilités

Transcription:

Dominique Durant CNIS 20 octobre 2005

Plan de l intervention 1. Principes de construction des comptes financiers trimestriels 1.1 adossement aux comptes annuels 1.2 des méthodes d estimation et de contrôle 2. Utilisation des comptes financiers trimestriels 2.1 les transmissions réglementaires 2.2 les publications et sous produit

1. Principes de constructions des CFT Les CFT doivent être cohérents avec les comptes annuels : Cas où l information annuelle est l information trimestrielle Cas où l information trimestrielle est moins détaillée que l information annuelle Cas où il n y a pas d information trimestrielle Deux moyens principaux : L adossement aux comptes annuels Les méthodes d estimation

1.1 l adossement aux comptes annuels (1) Les CFT sont publiés dans une version à peine moins détaillée que les comptes annuels : Les CFT sont disponibles en flux (F), encours (E), valorisation (V) et changements de volume (CV) E t =E t-1 + F t + V t +CV t Le détail des secteurs et des opérations est le même qu en annuel

1.1 l adossement aux comptes annuels (2) Des principes de constructions similaires : Pour les titres longs, les annuels reposent sur le 4ème trimestre des CFT Détermination du passif et de sa valorisation Répartition entre les détenteurs de ce montant total grâce aux données comptables et à l enquête titre Détermination des stocks à l actif grâce au cumul de flux valorisés par le même indice qu au passif Pour les autres opérations, les CFT sont construits en qui-à-qui

1.1 l adossement aux comptes annuels (3) Calage des CFT sur les comptes annuels : Respects des égalités comptables Le flux annuel est la somme des flux des 4 trimestres L encours annuel est l encours du 4ème trimestre Effet équivalent aux croisements Les croisements matérialisent la hiérarchie des sources Ils ne peuvent être réalisés au trimestre

1.1 l adossement aux comptes annuels (4) Le calage est réalisé en fin de chaîne : Pour les années du SD, du DEF, du provisoire pour le RDM et les APU seulement sur certains points «libres» pour éviter des fluctuations et des révisions excessives Par minimisation de la somme des carrés des différences premières entre deux écarts successifs Lorsque deux sources sont disponibles, est sélectionnée celle qui est la plus proche des annuels Pour les administrations publiques, la source CP s impose sauf si la données annuelle n est pas calée sur la donnée trimestrielle

1.2. Les méthodes d estimation et de contrôle (1) Les méthodes d estimations : Étalonnage (1,5% des séries) : MCO, MCO en glissement annuel, MCQG Sélection Estimations endogènes : lissage exponentiel simple ou double, modèle autorégressif pas à pas, modèle SARIMA quand on a plus de 30 points sélection à partir du MAPE, du critère d Akaiké, de la somme des carrés des écarts

1.2. Les méthodes d estimation et de contrôle (2) Les méthodes de contrôle : Sur les données sources en qui-à-qui : Séries exceptionnellement nulles, encours négatifs, fortes variations, ampleur des révisions Interrogation des fournisseurs de données Sur les résultats : validation le meilleur contrôle est l analyse économique des chiffres

2. Utilisation des CFT Un processus évolutif : Révision en cours des réglementations européennes Adossement au CFT des anciennes publications nationales infra-annuelles De nouvelles publications Des transmissions réglementaires et des publications nationales: Publications nationales exhaustives Publications nationales ciblées

2.1 Les transmissions réglementaires (1) Les données MUFA adressées à la BCE : La Guideline MUFA du 30 novembre 2002 prévoit l élaboration des comptes financiers de la zone euro à partir des comptes financiers nationaux Actuellement ne sont transmis que les secteurs non financiers et les assurances La Guideline est en cours en vue d une transmission plus complète (tous les secteurs) et plus précoce (T+110 au lieu de T+130) à partir d avril 2006 La nouvelle guideline intégrera les comptes financiers trimestriels des administrations publiques, consolidés

2.1 Les transmissions réglementaires (2) Les comptes trimestriels des administrations publiques et la dette trimestrielle à Eurostat: Règlements CE 501/2004 et CE 1222/2004 respectivement Intense coopération entre : la comptabilité publique qui fournit les données au format de la comptabilité nationale, l Insee qui est responsable de la dette, la Banque de France qui est responsable des comptes financiers Des caractéristiques propres: Comptes consolidés Pour la dette, obligations en valeur nominale, exclusion des ICNE

2.1 Les transmissions réglementaires (3) Le compte annuel provisoire : Élaboré pour la première fois en 2004 à partir des CFT, ce qui a permis d inaugurer: En terme de données produites : la transmission d un compte provisoire consolidé En terme de technique d élaboration des CFT : la nécessité d inclure des données sans pouvoir les modifier (comptes du RDM, compte des APU) et de caler sur le compte provisoire Comme par le passé, le compte provisoire est disponible en mai, soit plus d un mois avant la date de transmission prévue à Eurostat (30 juin)

2.2 Les publications nationales (1) Les publications exhaustives : Diffusion des comptes sous forme de séries chronologiques et sous forme de tableaux de synthèse sur le site de la Banque de France à T+140 Présentation semestrielle d une note de conjoncture financière devant les principaux interlocuteurs de la Banque (économistes, Ministère des finances, Insee) pour les trimestres T2 et T4 Cette note analyse les flux cumulés sur 4 trimestres glissants. Elle sera publiée trimestriellement en 2006, sous une forme abrégée pour les trimestres T1 et T3

2.2 Les publications nationales (2) Les publications ciblées : Des publications ciblées qui se réfèrent néanmoins à une description exhaustive des financements ou des placements d un agent économique donné Adossement des publications infra-annuelles existantes aux comptes financiers trimestriels (TFP, EIT): On passe d une élaboration directe à partir des données sources (bases titres, statistiques monétaires, balance des paiements), les estimations des détails manquants étant ad hoc à une élaboration à partir des CFT dans laquelle les estimations sont rationalisées par calage sur les comptes annuels Les nouvelles publications sont naturellement adossées au CFT : taux d endettement, taux d intermédiation

2.2 Les publications nationales (3) Le tableau des financements et des placements : Pour les agents non financiers (APU, ménages et ISBLSM, SNF) Une version agrégée comparable au TFI zone euro et une version détaillé permettant d analyser le risque encouru par les agents sur leur portefeuille L adossement en cours conduit à s interroger sur les sources et de progresser dans la qualité des agrégats proposés

Le TFP des agents non financiers résidents (actif) (en milliards d'euros) Flux sur 4 trimestres Flux Encours trimestriels à fin 2004T1 2004T2 2004T3 2004T4 2005T1 2005T1 mars 2005 PLACEMENTS DES ANF RESIDENTS DÉPÔTS ET TITRES À COURT TERME 93,2 62,8 76,8 93,5 47,2-7,0 1 230,9 Monnaie fiduciaire et dépôts à court terme 87,5 61,6 68,8 72,3 46,5-6,5 970,2 Monnaie fiduciaire 2,6 2,7 3,1 3,1 3,6-0,6 35,4 Dépôts à vue 27,7 20,3 21,4 24,0 24,7-8,2 377,1 Placements à vue 23,7 20,2 22,9 25,2 25,4 6,2 378,5 Dépôts à terme à moins de 2 ans -10,1-6,1-1,5-2,0 2,6 2,2 44,0 Dépôts de l'administration centrale 13,1-0,3 3,6 4,5-2,1-6,1 38,2 Autres dépôts (à l'étranger ) 30,6 25,0 19,3 17,5-7,6 0,0 97,0 Instruments négociables à court terme 5,7 1,2 8,0 21,2 0,7-0,5 260,7 Titres de créances à moins de 2 ans -7,4-9,9-2,8 8,1-2,0-9,5 46,2 Titres d'opcvm monétaires 12,4 11,3 11,6 11,6 2,6 7,9 203,2 Pensions sur titres auprès des IFM -0,5-0,8-1,2 0,3 0,5 0,7 2,4 Autres titres à court terme (billets de trésorerie, Parts de FCC à court terme, etc) 1,2 0,6 0,3 1,3-0,4 0,4 8,9 PLACEMENTS À MOYEN ET LONG TERME 124,9 120,7 121,7 138,9 139,6 32,2 4 518,3 Dépôts à terme à plus de 2 ans 10,5 8,0 6,1 6,9 6,8 0,3 296,1 Placements de type obligataire -1,6-1,1-0,5 0,9-0,7-1,0 181,7 Titres de créances à plus de 2 ans 1,3 1,2 1,3 1,6 0,8-0,3 10,3 Obligations -3,7-0,1-0,3-3,5-2,2 2,1 106,1 Titres d'opcvm obligataires 0,8-2,2-1,6 2,9 0,7-2,7 65,3 Placements de type actions et autres participations 71,0 72,0 76,1 89,4 77,7 6,3 2 916,3 Actions cotées 13,4 14,9 11,4 5,7-3,5-4,4 381,1 Autres types de parts sociales 54,4 55,0 62,1 81,2 80,9 15,3 2 458,9 Titres d'opcvm actions 3,2 2,1 2,7 2,5 0,3-4,6 76,3 Provisions techniques d assurance-vie 54,1 50,2 50,9 57,6 63,9 21,9 923,9 en unités de compte 8,0 10,7 10,6 10,7 13,6 5,4 181,9 en euros 46,2 39,5 40,4 47,0 50,3 16,4 742,1 Autres titres d'opcvm -9,2-8,4-11,0-15,9-8,0 4,7 200,3 Titres d'opcvm garantis -1,3-1,0-9,8-13,5-6,4 4,9 39,0 Titres d'opcvm diversifiés -1,2-3,1 4,3 4,0 5,3-0,1 80,9 Titres de fonds d'investissement divers (PEE, OPCVM de droit étranger, etc) -6,7-4,3-5,5-6,4-6,9-0,1 80,4 TOTAL 218,1 183,6 198,5 232,4 186,8 25,2 5 749,2 NB : Agents non financiers : ménages, ISBLSM, sociétés non financières et administrations publiques.

2.2 Les publications nationales (4) L endettement intérieur total est mensuel Endettement auprès des IFM résidents, auprès des non résidents ou sur les marchés de titres Exclut les financements par action et les crédits obtenus auprès des agents non financiers résidents L adossement à l étude se solderait par un calage a posteriori sur les trimestres publiés et concernerait essentiellement les crédits obtenus des non résidents

2.2 Les publications nationales (5) Le taux d endettement Le taux d endettement est un indicateur de la solvabilité des agents non financiers, même si aucun seuil ne peut être défini Endettement bancaire + Endettement sous forme de titres de dettes : cette définition exclut toute forme d endettement entre agents non financiers Pour les administrations publiques, la dette s écarte de la dette Maastricht, qui est consolidée, qui reprend les seules opérations en valeur nominale hors ICNE

Ratios de dette en % Sociétés non financières Ménages 114 730 64 420 112 110 108 710 690 670 62 60 405 390 106 650 58 375 104 102 630 610 56 360 100 590 54 345 98 96 94 570 550 530 52 50 330 315 92 510 déc-94 déc-96 déc-98 déc-00 déc-02 déc-04 Dette / valeur ajoutée (éch gauche) Dette / épargne brute (éch droite) Administrations publiques 75 48 300 déc-94 déc-96 déc-98 déc-00 déc-02 déc-04 Dette / revenu disponible brut (éch gauche) Dette / épargne brute (éch droite) 70 65 60 55 50 45 40 déc-94 déc-96 déc-98 déc-00 déc-02 déc-04 Dette/PIB Dette Maastricht/PIB base 2000

2.2 Les publications nationales (5) Le taux d intermédiation Publication trimestrielle Des concepts largement repris de la précédente publication Taux d intermédiation au sens large et au sens étroit Concernant les financements accordés aux agents non financiers résidents par les IF résidentes, sous forme de crédit ou de titres Des financements comptabilisés pour leurs flux nets à l émission, des encours non valorisés Un toilettage méthodologique concernant le traitement des financements par actions

Conclusion Les évolutions à venir des CFT La nécessité d élaborer un qui-à-qui sur les titres longs Une réduction supplémentaire des délais à T+90 imposerait un réexamen coûteux des sources Mise à l étude de nouvelle productions, par exemple la rentabilité des sociétés non financières