Enjeux dosimétriques des examens par scanners médicaux

Documents pareils
SAVOIR-FAIRE ET RADIOPROTECTION

DOSES DÉLIVRÉES AUX PATIENTS EN SCANOGRAPHIE ET EN RADIOLOGIE CONVENTIONNELLE Résultats d une enquête multicentrique en secteur public

MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE

La dosimétrie physique, mesurer pour optimiser

Le Black Piranha est un instrument de contrôle qualité des plateaux techniques d imagerie médicale simple et rapide

RISQUE DE CANCERS ASSOCIE AUX SCANNERS PEDIATRIQUES : COHORTE ENFANT SCANNER

UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. CS 9300 / CS 9300C

Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de diagnostic médical en 2012

Bases physiques de l imagerie en

Physique et technologies des rayonnements pour l'industrie et la physique médicale

facilitez-vous la vie avec Ray Technologie avancée pour le Confort

Complément: Sources naturelles de rayonnement

ORTHOPHOS XG 3 DS. Systèmes de radiographie. ORTHOPHOS XG 3 l accès facile à la panoramique numérique.

Assurance de qualité en radiothérapie Aspects réglementaires et implications pratiques

Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon

ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE

«Actualités réglementaires en radioprotection»

Objet : Étalonnage de dosimètres de référence pour la Radiothérapie, de dosimètres et de kvp mètres pour le Radiodiagnostic et la Radioprotection

MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)

Physique appliquée à l exposition externe Dosimétrie et radioprotection

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2" !

Approche centrée e sur le patient

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013

Rad4Med.be, premier acteur global dans le nucléaire médical

Sensibilisation à la protection contre les rayonnements ionisants

FRANCAIS. Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, Verona Italy Tel info@newtom.it

CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie

Les bases physiques de l'imagerie radiologique

PROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES

Transformations nucléaires

N/Réf. : CODEP-PRS Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch ST MANDE

RAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN VITRO DE DOSAGE DE THYROGLOBULINE

PLATE-FORME COMMUNE UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ. Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée

Les ambigüités et les difficultés d application du décret travailleur

TeamConnect. SL TeamConnect CU1, Unité centrale SL TeamConnect CB1, Combox CARACTÉRISTIQUES

GE Healthcare. Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal

J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX

Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux

L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique.

2. Personnes intervenant pour assurer la radioprotection des patients ou des travailleurs.10

DIRECTIVE 1999/2/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL

Positionnement produit Dernière mise à jour : janvier 2011

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique

Exposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments?

DIAGNOSTIC DE L EMBOLIE PULMONAIRE DANS LE CONTEXTE PERI-OPERATOIRE

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse

Étude de la faisabilité de l auto-compression en A MOISEI, S KINZELIN, P TROUFLEAU, B BOYER, L LEMOINE, P HENROT

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

INTÉGRABLES. GAMME e10. e10-i61s e10-i113s. Têtes de marquage par rayage

Des produits et des services qui optimisent les performances des défibrillateurs

Les rayons X. Olivier Ernst

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques

Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE

Semi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1)

RAPPORT D ACTIVITE AIDEA Sommaire

Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie

Ligne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D

Secteur Protégé d Hématologie

Introduction : Essais de phase I

Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201?

Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques

6 - Le système de gestion de fichiers F. Boyer, UJF-Laboratoire Lig, Fabienne.Boyer@imag.fr

MACHINE A SOUDER MANUEL D UTILISATION

Chapitre 2 RÉACTIONS NUCLÉAIRES

Mode d emploi ALTO MONITOR PROCESSEUR D ÉCOUTE. Version 1.0 Juillet 2003 Français

Une ère nouvelle d imagerie dentaire

Interactions des rayonnements avec la matière

P.L.E.A.S.E. Painless Laser Epidermal System Needle-free drug delivery. Arne Heinrich

PHY113 : Cours de Radioactivité

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques

Comprendre la radiothérapie

CESAB P200 1,4-2,5 t. Transpalettes accompagnant. Spécifications techniques. another way

Valorisation d une publication scientifique: Bibliographies (IF, H, SIGAPS)

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.

Principe ALARA mis en place lors de la phase de conception des cyclotrons. Ch. Bouvy; J-M. Geets; B. Nactergal 11/06/14

Indicateur. IDé 500. Descriptif indicateur. Schéma/Encombrement

Sytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif

ROYAUME DU MAROC. Ministère de l Eductaion Nationale, de l Enseignement Supérieur de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique

ARCHOS Activity Tracker

La prise en charge de votre affection de longue durée. Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous?

LECTEUR DE BADGE RFID 125Khz COMPACT AUTONOME

OP200 D ORTHOCEPH ORTHOPANTOMOGRAPH OC200 D. VT Tomographie Volumétrique OP200 D OC200 D VT. VT Tomographie Volumétrique

J ai l honneur de vous communiquer ci-dessous la synthèse de l inspection ainsi que les principales demandes et observations qui en résultent.

Base de données bibliographiques Pubmed-Medline

08/07/2015

La prise en charge. de votre affection de longue durée

ARDUINO DOSSIER RESSOURCE POUR LA CLASSE

Guide des bonnes pratiques de physique médicale

Il se peut que le produit livré diffère de l illustration.

Intérêt de la dosimétrie numérique en radioprotection : moyen de substitution ou de consolidation des mesures?

LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat

Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D)

Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III

Transcription:

Enjeux dosimétriques des examens par scanners médicaux Jean Louis Greffe, CHU de Charleroi Christian Hunin, RP Protect Sébastien Bontemps, CN Tihange Dr Tack, RHMS Baudour Dr Christian Delcour, CHU de Charleroi Computed Tomography An Increasing Source of Radiation Exposure, David J. Brennet and al, The New England Journal of Medicine, 357,22, nov 2007 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 1

Introduction Législation Dose D = f(ct) D = f(utilisat) D = f(optim) Plan phys med 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 2

Place du CT Réf: Dose Reduction in CT while maintaining diagnostic confidence: a feasibility/demonstration study, IAEA TECDOC 1621 sept2009, 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 3

Place du CT au US Guide to Low Dose, Siemens, p7, 2011 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 4

Introduction Législation Dose D = f(ct) D = f(utilisat) D = f(optim) Plan phys med 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 5

Contexte réglementaire Transposition Directive 97/43 du 30 juin 1997 Décret n 2033 270 du 24/03/2003 introduisant dans le CSP les modalités d application des principes de justification et d optimisation Décision du 22 novembre 2007 fixant les modalités du contrôle de qualité des scanographes Délivrer la dose la plus faible possible compatible avec l obtention d une image fournissant l information diagnostique recherchée. 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 6

Les principes de base de la radioprotection Justification des pratiques utilisant les rayonnements ionisants Optimisation de la radioprotection Article 9: Limitation des doses individuelles Euratom 96 29 Niveaux de référence diagnostiques européens Euratom 97 43 Sept 15/11/2011 2007 jean louis.greffe@chu charleroi.be 7

Introduction Législation Dose D = f(ct) D = f(utilisat) D = f(optim) Plan phys med 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 8

Radioprotection: la dose Dose absorbée D a[gy] = de d m J] [kg] Energie que la radiation dépose par unité de masse de matière. Dose équivalente W R Rayonnements Photon 1 électron 1 Proton 5 Neutron 5 à 20 Particule 20 H T,R [Sv] = R D T,R x W R Effets biologiques selon la nature des rayonnements Dose efficace E [Sv] = T H T x W T Au niveau de l organisme entier, même effet sur la santé que les doses différentes reçues au niveau de différents organes Réf: ICRP (1993). 1990 Recommendations (ICRP publication 60). Annals ICRP 1991. Oxford, Pergamon Press.21 :415. W T Tissu ou organe gonades (ovaires testicules) 0,20 moelle osseuse 0,12 colon 0,12 poumon 0,12 estomac 0,12 vessie 0,05 seins 0,05 foie 0,05 œsophage 0,05 thyroïde 0,05 peau 0;01 surface des os 0,01 autres tissus ou organe 0,05 somme 1,00 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 9

Dosimétrie d un CT Grandeurs dosimétriques spécifiques Indice de Dose de Scanographie (CTDI) Computed Tomography Dose Index Mode séquentiel [mgy] D(z) = Profil de dose selon l axe z pour 1 rotation de 360 N = Nombre de coupes T = Largeur nominale des coupes N x T = Largeur de collimation du faisceau Le CDTI 100 est mesuré avec une chambre crayon dont le volume sensible à une longueur de 100 mm. 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 10

Grandeurs dosimétriques spécifiques Indice de Dose de Scanographie Pondéré (CTDI w ) Weighted Computed Tomography Dose Index Mesure dans un fantôme cylindrique en pmma: CTDI w = (1/3 CTDI 100,c + 2/3 CTDI 100,p ) [mgy] au centre CDTI 100,c en périphérie CDTI 100,p Normalisé à 100 mas n CTDI w 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 11

Grandeurs dosimétriques spécifiques Indice de Dose de Scanographie Volumique (CTDI vol ) Volume Computed Tomography Dose Index Mode hélicoïdal Mode séquentiel avec des coupes jointives CTDI vol = CTDI w / Pitch d = Distance parcourue par la table pour une rotation de 360 N = Nombre de coupes T = Largeur nominale des coupes Pitch = d / (N T) CTDI vol = n CTDI w mas eff / 100 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 12

Mode hélicoïdal CTDI 100,c Tension = 120 kv Charge = 200 mas Temps de rot = 0,5 s Temps d irradiation = 3,04 s Pitch = 1 Epaisseur de coupe 64 x 0,6 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 13

Mode hélicoïdal sur 10 cm de longueur Tension = 120 kv Charge = 200 mas Temps de rot = 0,5 s Temps d irradiation = 3,04 s Pitch = 1 Epaisseur de coupe 64 x 0,6 CTDI 100,p 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 14

Produit dose longueur (DLP) Dose Length Product Grandeurs dosimétriques spécifiques DLP =CTDI vol L [mgy cm] Avec L la longueur total explorée = temps d irrad x vitesse de dépl table En mode séquentiel En mode hélicoïdal 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 15

Introduction Législation Dose D = f(ct) D = f(utilisat) D = f(optim) Plan phys med 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 16

Les facteurs primordiaux qui influencent la dosimétrie d un scanographe sont : La géométrie: répartition de la dose Problématique de la dosimétrie en acanographie, Francis R. Verdun, Institut Universitaire de radiophysique, Lausanne 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 17

Les facteurs primordiaux qui influencent la dosimétrie d un scanographe sont : Qualité du faisceau 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 18

Les facteurs primordiaux qui influencent la dosimétrie d un scanographe sont : Qualité du détecteur Feuillet radiologique CT, 139 150, n2, Vol 42,, 2002 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 19

Les facteurs primordiaux qui influencent la dosimétrie d un scanographe sont : Collimateur en entrée et en sortie Guide to Low Dose, Siemens, p41, 2011 15/11/2011 Feuillet radiologique CT, 139 150, n2, Vol 42,, 2002 jean louis.greffe@chu charleroi.be 20

Les facteurs primordiaux qui influencent la dosimétrie d un scanographe sont : La filtration du faisceau Caractéristique du foyer 0,8x0,5 mm²/ 0,8x0,7mm² 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 21

Introduction Législation Dose D = f(ct) D = f(utilisat) D = f(optim) Plan phys med 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 22

Lors de l acquisition, les grandeurs sont: La tension du tube Dose ~ kv² De 120 à 140 kvp + 50 % De 120 à80 kvp 75 % Remy Jardin Eur Radiol 2003, 13:1165 1171 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 23

Lors de l acquisition, les grandeurs sont: Le courant du tube Temps d acquisition Dose ~ ma(s) 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 24

Lors de l acquisition, les L épaisseur de coupe grandeurs sont: De 5 à2.5 mm + 10 % De 2,5 à1 mm + 22 % De 1 à0,5 mm + 75 % Remy Jardin Eur Radiol 2003, 13:1165 1171 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 25

Lors de l acquisition, les grandeurs sont: Le pitch Pitch 1,5 Pitch 0,75 Feuillet radiologique CT, 139 150, n2, Vol 42,, 2002 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 26

Lors de l acquisition, les grandeurs sont: La longueur de l exploration Nombre d acquisition Patient 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 27

Introduction Législation Dose D = f(ct) D = f(utilisat) D = f(optim) Plan phys med 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 28

Optimiser la dosimétrie Système de modulation de l intensité du courant Guide to Low Dose, Siemens, p41, 2011 Guide to Low Dose, Siemens, p43, 2011 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 29

Optimiser la dosimétrie Système de modulation de la tension Guide to Low Dose, Siemens, p41, 2011 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 30

Optimiser la dosimétrie Collimateur asymétrique Guide to Low Dose, Siemens, p48 49, 2011 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 31

Optimiser la dosimétrie Système de modulation fonct. de l organe Guide to Low Dose, Siemens, p54, 2011 ICRP 103 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 32

Optimiser la dosimétrie Système de RP personnel Guide to Low Dose, Siemens, p41, 2011 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 33

Optimiser la dosimétrie Système de RP pédiatrie Guide to Low Dose, Siemens, p41, 2011 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 34

Optimiser la dosimétrie Amélioration de la reconstruction de l image: Reconstruction itérative Guide to Low Dose, Siemens, p41, 2011 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 35

Optimiser la dosimétrie Adaptative cardio Guide to Low Dose, Siemens, p46, 2011 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 36

Optimiser la dosimétrie 3D Care Dose4D SmartBeam X ray beam filtration IQ Brilliance CT BrightSpeed Elite Smart Track 16 x 0.75 Adaptative 4D Noise Reduction Auto ma Smart ma Optidose Foyer dynamique Pediatric 3D dose modulation ECG Dose Modulation SAFIRE 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 37

Introduction Législation Dose D = f(ct) D = f(utilisat) D = f(optim) Plan phys med 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 38

La législation améliore la dosimétrie 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 39

La législation améliore la dosimétrie Mise en place du plan physique médicale Contrôle de qualité plus fréquent, plus strict Etude statique de la dosimétrie patient Niveau de référence diagnostique Formation continuée 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 40

La législation améliore la dosimétrie 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 41

Niveau de référence diagnostique Journal officiel de la répubilque française 16/3/2004 Moniteur Belge du 28/09/2011 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 42

Enjeux dosimétriques D = f(ct) Géométrie Qualité RX et détecteurs Système de collimation D = f(utilisat) Tension, charge Longueur d exploration Patient D = f(optim) f(ma, kv, colli, ) reconstruction Plan phys med Contrôle de qualité Formation Conclusions 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 43

Merci jean louis.greffe@chu charleroi.be 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 44