PROJET D ÉCOLE 2010-2013



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PROJET D ÉCOLE 2010-2013 GUIDE MÉTHODOLOGIQUE Ce guide méthodologique a pour vocation d aider les enseignants à concevoir, à mettre en œuvre et à évaluer le projet d école qui doit être réactualisé pour les trois prochaines années. Pour ce faire, sont fournis aux écoles des modalités d analyse et de conceptions harmonisées au plan départemental. Les informations et les conseils regroupés dans ce document pourront être précisés, voire complétés, par chaque inspecteur de l éducation nationale et l équipe de circonscription. A Présentation générale Le projet d école vise essentiellement à améliorer la réussite de tous les élèves dans un contexte de pratiques pédagogiques partagées. Il convient de poser que le projet d école est un document concis. Sa valeur tient dans son pragmatisme, sa cohérence et sa rigueur qui sont le produit du professionnalisme qui préside à sa conception. De plus, sa qualité et son efficacité tiennent moins à sa diversité qu à la modestie de ses ambitions et à sa capacité à être objectivement évalué et piloté. Ce que n est pas un projet d école Une déclaration d intention ou un manifeste dont le caractère abstrait rend impossible toute réalisation ou évaluation. Une liste d actions ou de manifestations juxtaposées. Un menu alléchant proposé à des élèves et des parents. La réflexion du directeur ou d un groupe restreint. Ce qu est un projet d école Un ensemble d objectifs concrets, réalistes et évaluables. Un plan précis d actions cohérentes, articulées entre elles, fédérées autour d objectifs et dont les effets sont mesurables. La mise en œuvre des objectifs nationaux, compte tenu des situations locales et des besoins spécifiques de publics particuliers. Un programme pluriannuel, un calendrier rigoureux, avec une programmation et des échéances précises pour chaque phase. Des actions annuelles renouvelées au gré des sollicitations. Le travail d une équipe responsable décidée à mener des actions en commun. Une formalité administrative. Un ensemble d actions conçues pour l élève.

B Textes de référence Loi d orientation sur l éducation : loi n 89 - C48 6 du 10 juillet 1989 Circulaire n 90 039 du 15 février 1990 Loi d orientation et de programme pour l avenir de l école : loi n 2005 380 du 23 avril 2005 B.O. n 3 du 19 juin 2008 : programmes de l école p rimaire 2008 Circulaire n 2007 022 du 22 janvier 2007 : les d imensions artistiques et culturelles des projets d école et d établissement Décret n 2008 463 du 15 mai 2008 relatif à l org anisation et au fonctionnement des écoles maternelles et élémentaires Circulaire n 2008 082 du 5 juin 2008 : organisat ion du temps d enseignement scolaire et de l aide personnalisée dans le premier degré Circulaire n 2008 081 du 5 juin 2008 : mise en p lace de l accompagnement éducatif dans les écoles élémentaires de l éducation prioritaire Circulaire académique n 2008 117 du 9 juin 2008 : circulaire académique de rentrée 2

C - Calendrier 2010-2013 Échéances Étapes Supports Juin 2010 Phase 1 : Bilan et analyse 1 er juin / 25 juin 2010 1. Bilan diagnostic Réaliser le bilan du précédent projet d école Compléter et repérer les caractéristiques de l école à partir de la fiche indicateurs Analyser les résultats des élèves (évaluations de classe, évaluations nationales) Préciser le diagnostic (points forts, points faibles) 2. Constats et axes prioritaires Identifier les indicateurs à retenir à partir des fiches 1 à 3 Choisir les axes Définir des objectifs opérationnels pour chaque axe Transmettre les fiches 1 à 4 à l IEN pour le 25 juin 2010 Retour de l avis de l IEN au plus tard à la rentrée 2010 Fiche 1 Fiche 2 Fiche 3 Fiche 4 Septembre Octobre 2010 Phase 2 : Elaboration du projet d école 1 er septembre / 8 octobre 2010 3. Plan d action Choisir les stratégies et les dispositifs de mise en œuvre permettant d atteindre les objectifs opérationnels Préciser les progrès attendus (indicateurs quantitatifs et/ou qualitatifs) Fiche 5 Transmettre (en double exemplaire) les fiches 1 à 5 à l IEN pour le 8 octobre 2010 Novembre 2010 Juin 2011 Juin 2012 Octobre 2011 Octobre 2012 Validation et retour par l IEN au plus tard fin octobre Phase 3 : Mise en œuvre du projet d école novembre 2010 / juin 2013 Présentation du projet d école au Conseil d école Fiches 1 à 5 4. Evaluation annuelle du projet d école sous la forme d un bilan d étape Compléter la fiche indicateurs Mesurer les progrès à partir des indicateurs de la fiche 5 Identifier les points à améliorer 5. Bilans et plans d action 2011 2012 2012 2013 Fiche 6 (juin 2011) Fiche 9 (juin 2012) Fiche 7 (juin 2011) Fiche 10 (juin 2012) Fiche 8 (octobre 2011) Fiche 11 (octobre 2012) Année scolaire 2011 2012 Année scolaire 2012 2013 Transmettre les fiches 6 et 7 à l IEN en juin 2011 Transmettre (en double exemplaire) les fiches 6 à 8 à l IEN en octobre 2011 Validation et retour par l IEN au plus tard fin octobre 2011 Transmettre les fiches 9 et 10 à l IEN en juin 2012 Transmettre (en double exemplaire) les fiches 9 à 11 à l IEN en octobre 2012 Validation et retour par l IEN au plus tard fin octobre 2012 NB : Pour l année scolaire 2009-2010, les enseignants consacreront les 6 heures de la journée de solidarité à la phase 1. 3

D Priorités départementales Mettre en oeuvre les programmes de 2008 dans leur intégralité Les équipes veilleront en particulier à ce que tous les domaines ou disciplines soient pris en compte. A cet effet, les programmations de cycle assureront progressivité et continuité des apprentissages après une concertation rigoureuse et harmonisée entre les maîtres ; elles garantiront également la prise en compte de tous les contenus d enseignement définis par les programmes de l école primaire. Exploiter les évaluations Il convient de considérer les résultats des élèves aux évaluations de classe dans chacun des niveaux des trois cycles, mais aussi d étudier les résultats aux évaluations nationales effectuées en Grande section, en CE1 et en CM2. La distribution des résultats, les différentes analyses qui peuvent en être faites au regard des compétences et des connaissances évaluées, les comparaisons à établir, etc sont autant d indicateurs concernant les acquis des élèves. Répondre aux besoins particuliers Il importe de prendre en compte les besoins de tous les élèves, en particulier pour ceux d entre eux présentant des difficultés scolaires, des handicaps (moteur, visuel, auditif, dyspraxie ou dyslexie, ), des troubles du comportement, des précocités (élèves intellectuellement précoces), des situations particulières (enfants du voyage, élèves nouvellement arrivés en France, ). Les équipes veilleront en conséquence à ce que la différenciation pédagogique au niveau de la classe soit, au regard des besoins identifiés, la première réponse mise en place. L aide personnalisée, l intervention des enseignants spécialisés du RASED constituent d autres stratégies de réponses ; pour autant, elles ne sauraient être des modalités exclusives de prise en charge des besoins particuliers des élèves au risque d externaliser le traitement de la difficulté scolaire. Par ailleurs, il est rappelé l importance à privilégier le Programme Personnalisé de Réussite éducative (P.P.R.E.) comme outil d articulation des différents dispositifs mis en oeuvre en faveur de l élève. Développer une dynamique d éducation à la santé Pour répondre à cette priorité, le nouveau projet d école devra contenir un volet consacré à l éducation à la santé. Il sera intégré dans un des trois axes retenus en équipe. Il est en effet important de responsabiliser les élèves dès leur plus jeune âge. La lutte contre les conduites addictives, l éducation à la nutrition et l éducation à la sexualité en classe de CM2 seront trois orientations à privilégier. Développer les conduites civiques et solidaires La validation du socle commun de connaissances et de compétences exige l acquisition d attestations dont l APS. Il est donc nécessaire de généraliser, dans toutes les écoles du département et à tous les niveaux, la formation aux gestes de premiers secours. Cela implique que les équipes réfléchissent à cet apprentissage indispensable. Leur réflexion portera donc sur la progressivité et la continuité du parcours de formation des élèves. Le projet d école sera l occasion de s y intéresser rigoureusement. 4

E AXES ET INDICATEURS : aide à la réflexion et au choix AXES INDICATEURS AIDE AU CHOIX DE L AXE ET DES INDICATEURS L individualisation des parcours et en particulier la prise en compte de la difficulté scolaire La structure de l école Le cursus scolaire des élèves La proportion d élèves à besoins éducatifs particuliers (EIP, dyslexiques, enfants du voyage, non francophones, intégration ) Les résultats aux évaluations La présence de la pédagogie différenciée dans les classes La proportion d élèves bénéficiant de l APE, des stages RAN Le nombre de PPRE La proportion d élèves bénéficiant de l aide du RASED, d une aide extérieure Compétences disciplinaires Quels sont les domaines de réussite de nos élèves? Dans les évaluations faites par les maîtres, quelles sont les difficultés majeures des élèves? Quels sont les champs dans lesquels la réussite à l évaluation nationale (français et mathématiques) est la moins importante? Est-ce le cas les autres années? Quels sont les écarts significatifs avec les résultats nationaux? Parmi les indicateurs faisant l objet de référentiels nationaux (B2i, A1 en langues, éducation à la route, premiers secours), que retenir? Les aides aux élèves en difficulté Y a-t-il une prise en compte des différences de rythme d acquisition des élèves dans les classes? Y a-til, par exemple, des groupes de besoin organisés dans les différentes classes, au sein du groupe classe, pendant le temps scolaire ordinaire? Seulement en petit groupe? Y a-t-il une harmonisation dans les modes d évaluation formative, en cours d apprentissage, dans les corrections? Le type de correction des cahiers est-il variable d une classe à l autre? Le repérage des erreurs est-il suivi régulièrement de différenciation? Y a-t-il une organisation entre les maîtres du cycle pour organiser des aides spécifiques, type décloisonnement, pour constituer des groupes de besoin? Les conseils de cycle consacrés au suivi des élèves en cours d année fonctionnent-ils de façon satisfaisante? A-t-on une vision claire du nombre d élèves aidés par le RASED? A l extérieur? Ayant besoin d une aide et n en recevant pas? Les aides du RASED sont-elles complémentaires aux aides apportées en classe? L enseignant spécialisé a-t-il bien connaissance de la façon dont l enseignant aide l élève dans la classe? Les enseignants ont-ils connaissance, de la part de l enseignant spécialisé, des projets de groupe et des projets individualisés? Sont-ils bien informés du contenu des aides spécialisées? Qu en est-il des PPRE? Intègrent-ils bien, quand il y a plusieurs types d aide, l aide du maître dans la classe, l aide personnalisée, l aide du RASED, etc...? Qu en est-il de l aide personnalisée? Les choix de maintien des élèves sont-ils pertinents? Si dans l école il y a une CLIS ou une CLIN, les modalités d intégration des élèves dans les classes, la place et le statut de cette classe peuvent-ils être améliorés? 5

La continuité des apprentissages La structure de l école Le fonctionnement pédagogique Les ressources financières Les ressources humaines Les ressources matérielles Les attestations délivrées Le cursus scolaire des élèves Les projets de cycles Les liaisons inter-cycles, inter-degrés Le travail d équipe Quels sont les domaines où nous disposons de programmations de cycle qui sont de réels outils de référence pour chacun? Sont-elles toutes réactualisées en fonction des programmes de 2008? Ces programmations sont-elles conçues en termes de contenus ou de compétences ou les deux mêlées? Quels sont les domaines où concevoir prioritairement des programmations? Avons-nous adopté les progressions présentes à la fin des programmes en français et mathématiques ou souhaitons-nous reporter certaines des compétences d un niveau à l autre? Si oui, disposons- nous bien tous du document modifié? Y a-t-il un choix concerté pour les textes lus ou présentés aux élèves au cours du cycle? Concernant les poèmes appris? Les chansons? Les œuvres d art à connaître? Etc Hormis les programmations, y a-t-il des documents pédagogiques professionnels communs aux enseignants (préparations, projets, supports, etc...)? Tous ces documents communs sont-ils disponibles aisément, dans un endroit identifié ou sous forme de fichier informatique commun? Y a-t-il un dossier partagé sur un ordinateur de l école? Avons-nous des références pédagogiques utiles communes (ouvrages pédagogiques par exemple)? Éprouvons-nous le besoin de développer une bibliothèque pédagogique d école? Continuité GS-CP Y a-t-il des actions contribuant à faciliter l accueil des élèves au CP? Y a-t-il des actions favorisant la continuité des apprentissages? Y a-t-il des programmations GS-CP-CE1? La participation des enseignants de grande section dans le conseil de cycle 2 fonctionne-t-elle bien? Les enseignants de CP prennent-ils en compte les apprentissages menés en maternelle? Disposent-ils de certains documents des élèves? Des livres ou chansons connus? Etc Liaison école-collège Y a-t-il des rencontres? Des projets? Y a-t-il d autres formes de communication? Sont-elles fructueuses? Les modalités pourraient-elles évoluer? 6

L action éducatrice : les relations avec les familles la responsabilisation des élèves La participation aux élections des parents d élèves La participation des parents aux réunions parents/enseignants L existence d un livret d accueil Les modalités de la transmission des informations sur les résultats et la scolarité La mise en place d actions spécifiques (groupe parentalité, alphabétisation, ) Le nombre et la fréquence d actes d incivilité entre élèves Les modalités de mise en œuvre du «métier d élève» La participation des élèves à la «vie scolaire» (conseil d élèves, gestions coopérative, ) Les attestations APS, APER La communication avec les familles Répertorions les différentes modalités de communication avec les familles, notamment : - le premier accueil par le directeur ; - les visites de l école : avant la première scolarisation, à l occasion d actions particulières de l école ou des classes ; - les réunions ; - le cahier de correspondance ; - les modalités des rendez- vous ; - la transmission des cahiers : lesquels? À quelle fréquence? - la transmission des livrets scolaires : avec quelles modalités? - la communication autour des difficultés de l enfant : quelles modalités? Les modalités sont-elles harmonisées entre les classes? Gagneraient-elles à l être davantage? Les relations enseignants-parents peuvent-elles être améliorées? Les travaux à la maison font-ils l objet d une concertation entre enseignants? D une progression dans les cycles 2 et 3? Le choix d un cahier, agenda ou cahier de textes, fait-il l objet d une concertation et d une progression? Le personnel non enseignant Les assistants pédagogiques, d éducation, EVS, AVS ont-ils un rôle clairement défini qui ne se fonde pas sur la substitution? Si l assistant pédagogique prend en charge un groupe d élèves, le programme d activité a-t-il bien été préparé par l enseignant? Si la présence de l assistant permet d organiser un temps de soutien pour un groupe, est-ce bien l enseignant qui prend en charge le groupe en difficulté? Y a-t-il une concertation suffisante entre les différentes catégories de personnels afin de garantir la cohérence éducative? L organisation du service et le rôle confié aux ATSEM dans l école sont-ils satisfaisants? Serait-il souhaitable de les faire évoluer? Des intervenants réguliers éventuels ont-ils un rôle clairement défini qui se fonde sur la complémentarité avec les enseignants? La dimension éducative Y a-t-il une harmonisation concernant les attitudes, les exigences des enseignants? Les règles sont-elles l objet d une réflexion, d une élaboration dans les classes? Entre enseignants? Des pratiques permettent-elles de faire accéder les élèves aux principes et les fondements de la morale, aux valeurs morales? Les sanctions et punitions sont-elles l objet d une réflexion éducative dans l école? Les élèves sont-ils incités à développer des comportements de responsabilité? D autonomie? De coopération? D entraide? Ont-ils des droits (que l on acquiert) et pas seulement des devoirs ou des interdictions (à respecter)? Des formes de débat sont-elles mises en place? Sommes-nous tous d accord sur les façons de désigner les adultes de l école, de s adresser à eux? Chaque adulte a-t-il bien pour les enfants comme pour les parents un prénom et un nom de famille? N y a- t-il pas des adultes désignés uniquement par leur prénom et d autres pas? Est-ce justifié? A partir de quel niveau de classe initie-t-on les élèves au vouvoiement (cf. programme du cycle 2)? Comment désigne-t-on le directeur ou la directrice? Les compétences sociales et civiques Les relations entre les élèves sont-elles à améliorer? Dans les classes et hors des classes? Qu en est-il du respect du matériel, du cadre de vie? Le respect des règles doit-il être amélioré, règles liées aux contraintes de la vie collective, règles de sécurité, règles communes de civilité et de politesse, etc...? 7

L évaluation des acquis des élèves Les résultats aux évaluations dans les classes Les résultats aux évaluations nationales Le livret scolaire La communication aux familles La périodicité des passations Le cursus scolaire des élèves Les aides mises en place La proportion d élèves à besoins éducatifs particuliers Le nombre de conseils de cycles et de maîtres consacrés aux évaluations (préparation, analyse des résultats, suites à donner, ) Le rapport à l école, aux apprentissages et à l évaluation Les élèves ont-ils la possibilité systématique de comprendre au quotidien le sens de chaque activité proposée par le professeur? Quels rapports à l erreur, à la difficulté observe-t-on de la part de nos élèves? Qu en est-il de l estime de soi? Comment les élèves considèrent-ils les dispositifs d aide qui leur sont proposés? Ne peut-on repérer des pratiques qui favoriseraient l implication forte des élèves dans l analyse de leurs réussites et de leurs progrès à faire, et ceci de façon positive et dynamisante? Les outils de l évaluation Le livret scolaire est-il bien présenté sous forme de compétences dans tous les domaines? Est-il réactualisé en fonction des programmes? Nécessite-t-il une refonte pour une meilleure harmonisation? Par cycle? Par niveau de classe? La présentation des exercices d évaluation est-elle harmonisée dans l école (place de la compétence, degré d acquisition, etc.)? La correspondance entre le livret d évaluation et les travaux d évaluation est-elle claire et simple pour les parents? Y a-t-il eu décision d équipe concernant la réunion des travaux d évaluation (place des travaux, cahier, dossier, etc.)? Les évaluations nationales sont-elles suffisamment exploitées? Les outils des élèves pour apprendre et travailler Le nombre et l usage des photocopies Les outils utilisés dans les classes (cahiers, fichiers, manuels, ) La présence et la place des référents dans les classes L existence d outils de cycles, inter-cycles Les ressources financières Les ressources matérielles (ENR, matériel informatique, ) et leur usage L organisation en cycles L organisation des travaux des élèves est-elle l objet d une harmonisation dans le cycle? Dans l école? Y a-t-il un choix concerté dans le cycle pour le recours à certains documents, manuels, supports pour les élèves? Quels sont les cahiers ou documents de cycle mis en place (poésie, musique, sciences, etc...)? Dans certains domaines, y a-t-il une terminologie commune au sein de l école pour les enseignants? Pour les élèves? Les ressources Exploitons-nous au mieux les ressources dont nous disposons? - quant aux locaux? - aux financements divers? - au matériel? - aux ressources pédagogiques? - aux personnes ressources? En prenant en compte les compétences des uns et des autres? - dans l école et hors de l école? Le matériel dont dispose l école est-il connu de tous? Inventorié (livres, logiciels, matériel de sciences, matériel d EPS, etc.)? Les commandes de matériel sont-elles l objet d une réflexion d équipe et de choix cohérents? Les commandes de manuels sont-elles l objet d une réflexion d équipe et de choix cohérents? Les commandes de livres et de périodiques pour les classes ou/et la bibliothèque de l école sont-elles l objet d une réflexion d équipe et de choix cohérents? La bibliothèque de l école, la salle informatique, la salle d éducation physique, sont-elles des lieux ressources utilisés autant qu il serait possible? Les modalités d utilisation de la bibliothèque de classe, d école et municipale sont-elles satisfaisantes? 8

Le suivi des élèves L organisation pédagogique Le nombre d élèves La vie des élèves dans l école Le livret scolaire L existence d outils individuels de suivi (APE, PPRE, ) Le rôle du directeur Le nombre de conseils de cycles et de maîtres consacrés au suivi des élèves Le cursus scolaire des élèves Les résultats des élèves aux évaluations de classe et nationales Les aides mises en place La proportion d élèves à besoins éducatifs particuliers Y a-t-il une réflexion collective sur le cursus scolaire des élèves? Quel est le taux de maintiens? Comment sont pris en compte les élèves qui progressent plus vite que les autres? Le contenu des conseils de cycles et de maîtres fait-il l objet d une réflexion? Les évaluations nationales sont-elles analysées en équipe? Ont-elles des conséquences sur les programmations de cycle? Le livret scolaire est-il harmonisé au sein de l école? Comment est-il utilisé? Y a-t-il une réflexion de l école sur le temps de l enfant? La place des récréations est-elle adéquate? Le temps des récréations est-il rigoureusement limité? L organisation des déplacements, la ponctualité des uns et des autres, demandent-elles à être améliorées? Le temps de midi est-il un temps de qualité pour les enfants? Y a-t-il une coordination avec les responsables du temps périscolaire des élèves? Y a-t-il une articulation avec l accompagnement à la scolarité (aide aux devoirs, accompagnement éducatif, contrats éducatifs locaux, politique de la ville, )? La collation si elle existe est-elle justifiée? Ne doit-elle pas être remise en question du fait qu elle est déconseillée? Les APE financées par l Éducation nationale, l accompagnement éducatif, s ils sont mis en place, donnent-ils satisfaction? La politique culturelle et l ouverture de l école L implication de l école dans la vie culturelle de la commune La place de la construction d une culture littéraire La place de l histoire des arts Le nombre de projets de classes à PAC, de classes de pratique artistique L existence d un site Internet d école ou d un blog d école Le nombre de sorties avec et sans nuitée La fréquentation des lieux culturels (musée, cinéma, bibliothèque, ) Y a-t-il une réflexion d équipe sur les sorties scolaires? S intègrent-elles dans le projet d école? Sontelles pertinentes au regard des besoins des élèves? L histoire des arts est-elle prise en compte dans toutes les classes? Sous quelle forme? Donne-t-elle lieu à une harmonisation aux niveaux des sources et des démarches? La démarche de création est-elle mise en œuvre? S intègre-t-elle dans une démarche globale d enrichissement culturel? L école dispose-t-elle d un espace numérique de communication? Comment les élèves participent-ils à son évolution? L équipe pédagogique est-elle partie prenante? Les parents d élèves consultent-ils les informations transmises? 9

F Aide à la rédaction du projet d école Quels étaient les éléments du diagnostic en 2007 qui ont conduit à l élaboration du projet d école 2007-2010? Quels étaient les axes collectifs choisis? Quels étaient les objectifs poursuivis pour chaque axe? Faut-il reconduire des objectifs en les approfondissant dans le nouveau projet d école? Est-ce pertinent au regard de la situation de l école en 2010? Faut-il abandonner les objectifs fixés? Pourquoi? Les objectifs ont-ils été atteints? Étaient-ils inadaptés? Difficiles à évaluer? Manquaient-ils de clarté? Les actions mises en œuvre ont-elles permis d atteindre les objectifs fixés? Y a-t-il eu une nette amélioration des résultats des élèves? Faut-il poursuivre certains objectifs sans qu ils restent prioritaires dans le prochain projet d école? 10

FICHE 2 INDICATEURS 2010 Nombre de classe(s) : Evolution des effectifs : B2i : ELVE (A1 fin CM2) : 2007 2008 2009 % % Nombre de classes à cours doubles et multiples : Apprendre à porter secours : APER : Nombre total enseignants : PARENTS Participation à la vie de l école : % % Stabilité équipe pédagogique : % élections % présence réunion parents/profs EPS : % de nageurs 3 h / semaine (en fin d école élém.) ou 108 h /année Taux d encadrement : Saisie base élèves : ELVE : enseignants ressources Allemand : Anglais : PPRE : Intégrations : EIP : Nombre de photocopies à usage pédagogique par élève : Budget pédagogique (euro/élève) : Matériel informatique : Nombre d enfants du voyage : Non francophones : Ouverture sur l extérieur : Nombre de sorties sans nuitées Nombre de sorties avec nuitées Nombre de classes à PAC ateliers de pratique artistique classes artistiques Site internet d école ou blog d école Livret d accueil Cursus scolaire : Allongement Ecole Circo. Réduction Ecole Circo. Cycle 1 Cycle 1 Cycle 2 Cycle 2 Cycle 3 Cycle 3 Evaluations : CE1 < 33 % 33 % < - < 50 % 50 % < - < 66 % 66 % < - < 100 % Ecole Circonscription Académie National CM2 < 33 % 33 % < - < 50 % 50 % < - < 66 % 66 % < - < 100 % Ecole Circonscription Académie National Aide individualisée : Modalités : Horaires : Nombre d élèves pris en charge : Nbre élèves période 1 Nbre élèves période 2 Nbre élèves période 3 Nbre élèves période 4 Nbre élèves période 5 Consécutivement à l évaluation du précédent projet, l élaboration du projet 2010-2013 ne peut se dispenser de faire une analyse de situation. Ces deux étapes se complètent et permettront d appuyer le nouveau projet sur le bilan des acquis et un inventaire des besoins. Stages RAN : Nombre d élèves : Nombre d enseignants : Ecole référente (si différente de celle des élèves) : A retourner le 25 juin 2010 Cette démarche d investigation s appuiera sur la fiche «indicateurs» qui se substituera à la fiche de contractualisation. Elle permettra de distinguer les indicateurs centrés sur l école et l équipe et les indicateurs centrés sur l élève. Le diagnostic est à définir en points positifs qui sont des atouts et des points négatifs qui constituent des obstacles à franchir par le biais du projet d école. 11

Les axes sont à formuler, non pas sous forme d un domaine disciplinaire ou d un thème l expression orale mais de façon dynamique, car il s agit d un objectif général à atteindre (Exemple : améliorer l expression orale). Ils ne sont pas nécessairement originaux, car les écoles ont souvent des domaines prioritaires communs à travailler, tels que la maîtrise du langage, le développement des compétences sociales et civiques, les sciences expérimentales et la technologie. Ils sont valables pour trois ans. S ils ne doivent pas être trop nombreux (3 axes paraît un maximum), ils doivent être suffisamment consistants pour établir un programme de travail collectif pour les trois années. Ce sont les éléments qu il est indispensable de prendre en compte pour : - les élèves, - l école, - l équipe. Ce peut être des indicateurs quantitatifs et/ou qualitatifs. Les objectifs opérationnels déclinent les axes qui sont des objectifs très généraux. Exemple : Axe : Améliorer l expression et la lecture orale des élèves Objectifs opérationnels possibles : augmenter son vocabulaire participer à un débat en prenant en compte les règles de la communication réglée exprimer son point de vue justifier un accord ou un désaccord expliquer, décrire, raconter pour un tiers ignorant des faits ou de l histoire racontée lire à haute voix de façon de plus en plus fluide. Ce sont là des objectifs qui vont être fortement repris dans chaque classe, de façon progressive à travers le cycle, déclinés régulièrement à travers les actions choisies collectivement. 12

Le plan d action met en œuvre les objectifs : il doit rester concret. Il importe de bien distinguer objectif et action. L action est à formuler par un substantif. Exemple : «l utilisation de la BCD» est une action, un moyen, et non un objectif concernant les élèves. Les actions peuvent concerner : des activités dans les classes : mise en place de conseils de classe, développement d activités d observation scientifique donnant lieu à des confrontations entre les élèves, des dispositifs, l organisation des enseignants et des classes : décloisonnement pendant la sieste afin d organiser de petits groupes d expression orale, la production d outils pédagogiques : élaboration d une programmation dans le domaine de l oral, le recours à des moyens (matériel, humain, ) : installation d un TBI, recours à des ressources numériques, intervention d un artiste, Certaines actions sont incontournables dans le cadre d un projet d école : les actions contribuant à l organisation en cycle : programmations, outils d évaluation des enseignants, documents de cycle des élèves, actions de liaison entre GS et CP, CM2 et 6e, etc l organisation des aides en faveur des élèves, les moyens mis en œuvre pour associer les parents à la réussite des élèves, l articulation éducative avec les partenariats extérieurs lorsque ceux-ci sont effectivement mis en place : aide aux devoirs, contrats locaux, accompagnement éducatif, Le public concerné par les différentes actions doit être rigoureusement ciblé même si le projet d école concerne tous les élèves. Cela suppose de définir des actions spécifiques aux différents cycles d enseignement. Les progrès attendus font directement écho aux objectifs. Ils doivent l amélioration des compétences des élèves : pouvoir être évalués. Ils portent sur attitudes : par exemple, l amélioration du respect des règles de prise de parole dans les classes lors d un débat collectif, l amélioration de la capacité à réaliser une tâche en autonomie ; acquisitions : par exemple, l amélioration des résultats à l évaluation nationale CE1 en écriture ; compétences relatives aux différentes disciplines ou domaines d activités : l amélioration de la capacité à résoudre des problèmes, l amélioration des réalisations de la chorale, l amélioration de la capacité à prendre des repères sur un plan, une carte. 13

Les progrès constatés renvoient aux progrès attendus. Les constations reposent sur une évaluation rigoureuse. On évalue : par les observations et les échanges des enseignants concernant : - les attitudes, les savoir-faire, les prises de parole des élèves ; - le travail d équipe, notamment concernant la mise en place des cycles ; - les pratiques pédagogiques des enseignants dans leur classe ; à travers des travaux et des productions des élèves : évaluations nationales, autres travaux ; à l aide de grilles d évaluation conçues par les enseignants ; par le livret scolaire de l élève. Les objectifs et les actions prévues sont parfois à réguler en cours d année : trop ou pas assez ambitieux, inadaptés, à compléter Les points à améliorer constituent le point de départ de la rédaction d un avenant qui prendra la forme d un nouveau plan d action. Les évolutions sont nécessaires car le projet d école est un document évolutif. Il est donc tout à fait possible d abandonner un objectif ou une action qui ne produit pas d effet, de les modifier, d en ajouter. La fiche «aide à la déclinaison du projet d école dans la classe» permet à chaque enseignant de l école de décliner les objectifs et les actions du projet collectif et de les programmer sur l année. C est au sein des classes que le projet d école prend tout son sens. 14