versus MALTRAITANCE BIENTRAITANCE Unité de formation : Gulliver : Gulliver 2010 www.gulliverasso.org Form.N 6 Gulliver, adresse postale :



Documents pareils
Calendrier des formations INTER en 2011

APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.

Un de vos proches ou vous-même avez été diagnostiqué malade d Alzheimer, ce guide peut vous aider

Droits et aides pour les aidants familiaux «Être aidant être soi» Prendre soin de soi c est prendre soin de l autre.

FONDATION NATIONALE DE GERONTOLOGIE MINISTERE DE L EMPLOI ET DE LA SOLIDARITE SECRETARIAT D ETAT A LA SANTE ET A L ACTION SOCIALE

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

Le décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.

CHANTIER D INSERTION PREQUALIFIANT AUX METIERS DES SERVICES A LA PERSONNE 2011 EHPAD RONZIER-JOLY

Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu-

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE

GENER'ACTION Formation

SUPPLEMENT AU DIPLÔME

Formations INTRA 2015

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E

Formations Développement personnel. Ressources humaines. Management. Bureautique. Vente. Hygiène.

Institut Régional du Travail Social Poitou-Charentes

Page1 LE DROIT AU RESPECT DE LA DIGNITE

Infirmieres libérales

L aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009

I. Qu est ce qu un SSIAD?

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées

Document de travail «Conduite de l évaluation interne dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes» Mars 2011

Liaison Bac Pro ASSP - BTS

Maltraitance Technophobie Technophilie Technopénie Pr Robert Moulias Commission Age Droits Liberté Fédération contre la Maltraitance (ex ALMA

dans la Loire... I ACCUEILS DE JOUR

Etablissements de prise en charge des seniors

L infirmier exerce son métier dans le respect des articles R à R et R à du code de la santé publique.

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient

Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être

SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)

DOSSIER D INSCRIPTION

«Politique des ARS pour les seniors»

CARPE DIEM : UN REGARD DIFFERENT, UNE APPROCHE DIFFERENTE DE LA GESTION HUMAINE DES RESSOURCES

«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»

Moteur de recherche : Daniel Goutaine Page d'accueil Rubrique : contentions

Démence et fin de vie chez la personne âgée

Plan «Alzheimer et maladies apparentées»

DOSSIER DE SOUSCRIPTION TELEASSISTANCE CLASSIQUE ou TELEASSISTANCE MOBILE

Le référentiel RIFVEH La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008

PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE

Résidence Saint Jean

Service de Formation Continue Développement Professionnel Continu FORMATIONS 2O15

ACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES

Fiche résumée : AIDE À DOMICILE

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson

Editorial. Sommaire. Vous vivez à votre domicile Vous vivez en établissement

SOMMAIRE. Présentation générale de XE Formation. Les formations «catalogue» Les formations «sur mesure» Les formations certifiantes

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

Santé & Social OFFRE DE FORMATIONS N o t r e m é t i e r, l e v ô t r e

PROGRAMME VI-SA-VI VIvre SAns VIolence. Justice alternative Lac-Saint-Jean

TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)

Définition, finalités et organisation

Carlo Diederich Directeur Santé&Spa. Tél / c.diederich@mondorf.lu

Comité Départemental de Prévention en Kinésithérapie de la Drôme FORMATIONS KINÉSITHÉRAPEUTES 2013 KINÉ DRÔME PRÉVENTION

2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé

Agir pour se libérer du mobbing

DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES

psychologie. UFR des Sciences de l Homme

REGLEMENT DE FONCTIONNEMENT DU SERVICE D'AIDE A DOMICILE

Vous soutenir face à la dépendance

5, avenue des Quarante Journaux CS Bordeaux Cedex Tel : Fax :

ZOOM ETUDES Les études paramédicales. Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013

Information destinée aux proches. Comment communiquer avec une personne atteinte de démence? Conseils pratiques

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :

À l écoute des personnes touchées par la SP. Sondage à l intention des personnes en attente d un diagnostic probable de SP

PRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE

«Séniors et adaptation du logement»

O R M A T I O N PLAN D ACTIONS RÉGIONALES 2015 EN 7 AXES CENTRE

3 èmes Journées Interrégionales de formation des personnels des IME, IEM, IEAP (Bretagne/Pays de la Loire)

Auto-évaluation. Évaluation de la promotion de la bientraitance

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant

A - Nomenclature des préjudices de la victime directe

Bien vieillir à domicile : accompagner les seniors

LES AMIS Service à Domicile

Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu

PROJET D ETABLISSEMENT DE L E.H.P.A.D. «MARCEL CANTELAUBE»

La santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services

Délivrance de l information à la personne sur son état de santé

> Présentation du programme > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4

A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES

DOSSIER DE DEMANDE D ADMISSION

«Promotion de la santé au travail : Sommeil & nutrition en lien avec le travail posté» Entreprise COCA-COLA MIDI SAS - Signes

Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée?

Conférence du RQCAA. Agression et violence contre les aînés. Présenté le 22 mars 2007 Au grand public À l observatoire Vieillissement et Société

Cinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L du code de la santé publique.

Formation obligatoire d adaptation à l emploi

CONCLUSION. Echanges I QU EST II - EXISTE-T-IL IL UN ACCOMPAGNEMENT EDUCATIF JUSTE FAVORISANT LE DEVELOPPEMENT DE L ENFANT L L ADOLESCENT?

La supervision en soins infirmiers

LA RESPONSABILITE PROFESSIONNELLE DE L INFIRMIER(E) Laurence VENCHIARUTTI, Infirmière Libérale, Expert infirmier, Nantes

Brochure d information destinée aux parents. Bienvenue à Clairival. Informations utiles sur la prise en soins de votre enfant

Santé et société. Maltraitance envers les personnes âgées. Une recherche en partenariat. pour répondre au mieux aux besoins du terrain?

15 janvier 2014 * PROGRAMME MOBIQUAL

troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.

TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ

Bilan de l activité d accueil de jour et d hébergement temporaire en direction des personnes âgées dépendantes en 2010

Transcription:

Gulliver : BIENTRAITANCE versus MALTRAITANCE Organisme de formation : enregistré le 16 octobre 2000 en Préfecture de Région sous le numéro de déclaration d activité 9383.03054.83 Identifiant SIRET : 428 658 819 00019 - Code NAF : 9499 Z Unité de formation : Votre interlocuteur : Robert ROUX, chargé d études, responsable des formations 06 15 04 25 48 foxp2@voilà.fr Gérontologie : Agathe BOSSON, psychologue, spécialité : neuropsychologie Jérôme HENAULT, psychologue, spécialité : neuropsychologie Véronique MORIN, D.U. gérontologie Science/environnement : Lénaïc FONDREVELLE, médiation scientifique Cindy VEYRET, éducation à l environnement Informatique : Odile MARTIN, bureautique, NTIC Gulliver, adresse postale : Le Château B.P.9 83690 VILLECROZE Tél. : 04 94 67 51 97 e-mail : assoc-gulliver@wanadoo.fr Site Internet : www.gulliverasso.org Tél. : 04 94 67 51 97 assoc-gulliver@wanadoo.fr 1

Durée : 2 ou 3 jours. Prix : 850,00 / jour Proposition de formation destinée aux personnels d EHPAD et d USLD S O M M A I R E 1. Préambule page 3 2. Proposition de formation page 4 3. 10 ans de formation en gérontologie page 7 4. Les ateliers de stimulation sociocognitive en EHPAD et USLD page 8 5. Les partenaires de Gulliver page 8 Tél. : 04 94 67 51 97 assoc-gulliver@wanadoo.fr 2

1. PREAMBULE Prévenir la maltraitance suppose d avoir développé une politique de confiance au sein de l établissement, d avoir fait en sorte que ce sujet ne soit pas tabou et d avoir appliqué une politique de gestion des ressources humaines et de formations, telle que toutes les équipes au sein de la structure sache la reconnaître, l identifier, la dénoncer et s investir pour lutter contre. Mais, de l analyse des réponses des établissements, il ressort que, même lorsque toutes les précautions sont prises, nul n est à l abri d une situation dans laquelle un fait de maltraitance soit révélée un jour. La maltraitance est imprévisible, souvent le fait d agents qui craquent alors que, jusqu alors, rien dans leur comportement n aurait pu laisser présager leur geste. Elle est le résultat d actes commis seuls ou à plusieurs. Elle peut aussi résulter d actes commis par une personne nouvelle, en remplacement par exemple comme il est rapporté dans ce témoignage : «Une personne de sexe masculin en CDD en tant qu ASH depuis plusieurs mois dans une maison de retraite du milieu rural s énervait régulièrement auprès des résidants il n arrivait pas à contrôler son énervement, ce qui le conduisait à avoir des gestes brutaux. Par exemple, comme il était agacé parce qu il allait faire des heures supplémentaires, il a enfilé le pyjama d un résidant dans le mauvais sens, lui coinçant le bras et lui enlevant un lambeau de peau. Une autre fois, ce même agent qui prenait en charge un résidant dément un peu agité, lui a attaché les bras à la tête du lit pour pouvoir faire la toilette tranquillement!». L objectif de cette formation est d amener les stagiaires à savoir identifier les situations de maltraitance, à savoir réagir face à elles. Que faire? A qui s adresser? Quelles mesures prendre? L apparition d un ou plusieurs cas de maltraitance créent toujours un émoi considérable parmi les équipes. Le temps accordé à cette formation peut-être alors précisément le moment de libérer la parole et de permettre l expression par chacun de son vécu et de procéder ainsi à la mise à plat d un fonctionnement, de pratiques et des protocoles mis en place au sein de l établissement. Tél. : 04 94 67 51 97 assoc-gulliver@wanadoo.fr 3

2. PROPOSITION DE FORMATION BIENTRAITANCE, versus, MALTRAITANCE 1. Définition de la maltraitance dans les textes. 1.1. Protection de la personne âgée : textes supranationaux. 1.1.1. Le Conseil de l Europe : «La violence se caractérise par tout acte ou omission commis par une personne, s il porte atteinte à la vie, à l intégrité corporelle ou psychique ou à la liberté d une autre personne ou compromet gravement le développement de sa personnalité et/ou nuit à sa sécurité financière.» (Définition, 1990) Classification des violences par le Conseil de l Europe (1992) : - Violences physiques : coups, brûlures, ligotages, soins brusques sans information ou préparation, non satisfaction des demandes pour des besoins physiologiques, violences sexuelles, meurtres (dont euthanasie) - Violences psychiques ou morales : langage irrespectueux ou dévalorisant, absence de considération, chantages, abus d autorité, comportements d infantilisation, non respect de l intimité, injonctions paradoxales - Violences matérielles et financières : vols, exigence de pourboires, escroqueries diverses, locaux inadaptés - Violences médicales ou médicamenteuses : manque de soins de base, noninformation sur les traitements ou les soins, abus de traitements sédatifs ou neuroleptiques, défaut de soins de rééducation, non prise en compte de la douleur - Négligences actives : toutes formes de sévices, abus, abandons, manquements pratiqués avec la conscience de nuire - Négligences passives : négligences relevant de l ignorance, de l inattention de l entourage - Privation ou violation de droits : limitation de la liberté de la personne, privation de l exercice des droits civiques, d une pratique religieuse 1.1.2. L organisation des Nations Unis. 1.1.3. Synthèse. Tél. : 04 94 67 51 97 assoc-gulliver@wanadoo.fr 4

1.2. Protection civile des personnes vulnérables. 1.2.1. La sauvegarde de justice : une mesure provisoire. 1.2.2. La curatelle. 1.2.3. La tutelle. 1.3. La protection pénale des personnes âgées. 1.4. Dénonciation des cas de maltraitance. 1.4.1. La Loi pour tous. 1.4.2. Précisions concernant les médecins. 1.4.3. Précisions concernant les personnels. 2. Les acteurs de la maltraitance. 2.1. La famille : la maltraitance intra-familiale. 2.2. Les professionnels. Les facteurs de risque de maltraitance liés à l activité professionnelle. 2.3. La société : approche anthropologique : la vie après 60 ans, une nouvelle frontière? Les représentations de la vieillesse: approche historique. 3. Différentes formes de maltraitance. 3.1. Cas de maltraitances ordinaires : - Au moment de la toilette - Au moment des déplacements - Au moment des repas 3.2. Des situations de maltraitance. 3.2.1. Violences psychologiques/morales : Violences verbales Non respect de l intimité Non respect du rythme et des envies Privation des aides indispensables à la vie quotidienne Isolement Carences affectives 3.2.2. Violences physiques. 3.2.3. Violences médicamenteuses ou médicales. 3.2.4. Violences sociales. 3.2.5. Les violences matérielles et architecturales. 3.2.6. Les violences financières. Tél. : 04 94 67 51 97 assoc-gulliver@wanadoo.fr 5

3.2.7. Les violences sexuelles. 3.2.8. Négligences actives (volontaires) ou passives (involontaires). 3.2.9. Le stress, la fatigue, le mal-être personnel Des éléments fondateurs de maltraitance. Des professions à risque Des personnes à risque Approches médicale et psychologique du Burn-out et de ses symptômes : Les signes avant-coureurs : a) Les symptômes physiques b) Les symptômes psychologiques c) Que faire en cas de Burn-out 3.3. Des limites confuses. 3.4. De l ignorance à la maltraitance. 3.4.1. Manque de formation : méconnaissance des conséquences du vieillissement normal et pathologique. 3.4.2. Le stresse, la fatigue, le mal-être personnel Des éléments fondateurs de la maltraitance. 3.4.3. Manque de professionnalisme et non respect des limites : soignant/résidant ou patient. 4. Petit traité de bientraitance à l usage des personnels des Institutions. 4.1. La sympathie / l empathie. 4.2. La mise en confiance. 4.3. L écoute et la disponibilité. 4.4. La recherche de la communication (méthodes de communications). 4.5. L humain au centre de tout Adapter les soins quotidiens au bien-être de résident, au cas par cas. 5. Etudes de cas. - Melle G, aide soignante (pb personnels) - M. F, aide soignant (pas de formation spécifique pour le poste occupé) - M. K, époux d une personne atteinte de troubles psychiatriques - Melle S, infirmière (occupe le même poste depuis 30 ans) 6. Questionnaires et évaluations. Tél. : 04 94 67 51 97 assoc-gulliver@wanadoo.fr 6

3. 10 ANS DE FORMATION EN GERONTOLOGIE Formation continue INTITULE ETABLISSEMENTS Ateliers mémoire pour personnes âgées Centre hospitalier de Montfavet (84) EHPAD public de : Saint-Cannat (13) Les résidants atteints par la maladie d Alzheimer Lambesc (13) Carcès (83) Seillans (83) Centre Hospitalier de Carcassonne Troubles cognitifs (11) EHPAD Public Istres (13) Maladie d Alzheimer, maladie de Parkinson «Vallis Clausa» SSIAD Cavaillon 84 Accueil de Jour Accompagnement des personnes atteintes de maladie d Alzheimer ou de Centre Hospitalier de Valréas (84) troubles apparentés. La prise en charge de personnes âgées atteintes Hôpital Local Pont-Saint-Esprit (30) de troubles cognitifs. OCITEA Outil Commun Informatisé de Traçabilité et d Evaluation des Activités au sein Hôpital Local Oraison (04) de l établissement. Géronto-psychiatrie. Clinique Saint-Joseph Perpignan Vieillissement biologique et psychologique : répercussions sur les comportements au quotidien. Bientraitance versus maltraitance (66) Pôle de Santé du Golfe de Saint- Tropez Centre Hospitalier (83) EHPAD L entraide Salesienne (83) Centre Hospitalier de Carcassonne (11) EHPAD Public de Seillans (83) Formation diplômante en collaboration avec les GRETA INTITULE Diplôme d Etat d Auxiliaire de Vie Sociale ETABLISSEMENTS GRETA de Istres (13) GRETA de Vitrolles (13) GRETA de la Dracénie (83) Liste non exhaustive Tél. : 04 94 67 51 97 assoc-gulliver@wanadoo.fr 7

4. LES ATELIERS DE STIMULATION SOCIOCOGNITIVE EHPAD - USLD 5760 séances d ateliers ont été réalisées entre janvier 2000 et juillet 2010. La méthode A.S.C.-AALPAG 1 a été initiée par Gulliver dans une cinquantaine d établissements (EHPAD et Centres Hospitaliers) dans quatre départements : 04, 13, 83, 84. La méthode A.S.C.-AALPAG 2 a été déclinée en trois modèles : 1. Modèle 1, destiné aux EHPAD 2. Modèle 2, destiné aux participants des ateliers A.M.A.DO. 3 3. Modèle 3, destiné aux secteurs Alzheimer d EHPAD et de Centres Hospitaliers Les ateliers sont animés par deux personnes dont un Référent A.S.C.-AALPAG. 5. LES PARTENAIRES DE GULLIVER - l Agence Régionale de Santé (ARS), - le Conseil Régional PACA, - le Conseil Général du Var, - le réseau GRETA de l Académie Aix/Marseille, - le GRETA de la Dracénie. 1 Atelier de Stimulation sociocognitive Activité Attentionnelle et Ludique pour Personnes Agées 2 Enregistré sous le N 238702 auprès de l Institut National de la Propriété Industrielle 3 Actions pour le Maintien à Domicile Tél. : 04 94 67 51 97 assoc-gulliver@wanadoo.fr 8