Bibliographie. Notes de lecture :



Documents pareils
Qu est-ce qu un résumé?

COMPTE RENDU OU NOTES DE LECTURE SUR LA LITTERATURE ORALE AFRICAINE

Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION

Aperçu et raison d être du programme d études

LES INTERFACES HOMME-MACHINE

L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s

Ressources pour le lycée général et technologique

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel

Commerce International. à référentiel commun européen

La communication. La communication. La communication. Communication marketing: objectifs. La communication dans une entreprise/organisation 08/11/2014

Table des matières. Partie I La marque en idée Remerciements... XVII Avant-propos... XIX Introduction... 1

Programme Académique de Recherche et d Innovation (PARI) Fiche informative sur l'action n 19

Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes

3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY ( )

Livret du jeune spectateur

ACTIVITÉS DE COMMUNICATION LANGAGIÈRE ET STRATÉGIES

OPTIMISER VOTRE COMMUNICATION DANS VOTRE ACTIVITE PROFESSIONNELLE

Les nouveaux programmes de l él. école primaire. Projet soumis à consultation

DESCRIPTEURS NIVEAU A2 du Cadre européen commun de référence pour les langues

FONCTIONNEMENT DE GROUPE ET D'EQUIPE AU TRAVAIL

Diapo 1. Objet de l atelier. Classe visée. Travail en co-disciplinarité (identité et origine académique des IEN)

POSER DES QUESTIONS POUR FAIRE PARLER LES ELEVES? Par Catherine Cugnet, conseillère pédagogique

Annie Claude Sortant-Delanoë. L angoisse, nécessité logique entre jouissance et désir

DIU Soins Palliatifs et d Accompagnement.

Et si j étais Marty Mac Fly Ou comment remonter le temps avec une tablette tactile (Ipad)

TABLE DES MATIERES 521

Comment dit-on qu'une étoile est plus vieille qu'une autre ou plus jeune qu'une autre?

Document d aide au suivi scolaire

MON LIVRET DE COMPETENCES EN LANGUE (Socle commun) Niveau A1/A2 / B1

Méthode universitaire du commentaire de texte

Avant-propos Le problème de la spécificité du texte dramatique... 7 Genres du dramatique et descriptions linguistiques Conclusion...

B Projet d écriture FLA Bande dessinée : La BD, c est pour moi! Cahier de l élève. Nom : PROJETS EN SÉRIE

I/ CONSEILS PRATIQUES

Ordonner les étapes «Voitures en circulation»

Introduction. Le recrutement est un processus incontournable dans la vie de toute entreprise.

METHODE IDENTIFIER LA NATURE D UN DOCUMENT

Le mécanisme du processus de traduction *

majuscu lettres accent voyelles paragraphe L orthographe verbe >>>, mémoire préfixe et son enseignement singulier usage écrire temps copier mot

FICHES DE REVISIONS LITTERATURE

Le graphisme et l écriture, en lien avec les apprentissages en maternelle

NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2

N SIMON Anne-Catherine

Fiche Juridique CRÉATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ASSOCIATION LOI DU 1ER JUILLET 1901!

INTRODUCTION. Une analyse de l entame conversationnelle de communications orales et écrites 1. 1 Bibliographie 23

«Je pense, donc je suis» est une grande découverte

Université de Bangui. Modélisons en UML

Attestation de maîtrise des connaissances et compétences au cours moyen deuxième année

Article. «Le matériel didactique» Cécile Dubé. Québec français, n 38, 1980, p Pour citer cet article, utiliser l'information suivante :

PLAN D ÉTUDES. école fondamentale

Déclaration universelle des droits de l'homme

Demande d admission au Centre pédagogique Lucien-Guilbault Secteur primaire

DÉCLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L'HOMME ONU - 10 Décembre Texte intégral

«L impact de l interculturel sur la négociation» construire des intérêts matériels ou des enjeux quantifiables

UE11 Phonétique appliquée

COMMUNICATEUR BLISS COMMANDE PAR UN SENSEUR DE POSITION DE L'OEIL

WIPO/GRTKF/IC/7/3 ANNEXE I

Master Etudes françaises et francophones

Tableau des contenus

Médiation traduction. De la matière aux langages. 1/ Au fait, les Arts plastiques, qu est-ce que c est? 2/ Pourquoi traduire une œuvre?

École : Maternelle. Livret de suivi de l élève. Nom : Prénom : Date de naissance : Année d entrée à l école maternelle :

Rapidolect Les Productions de la Columelle ( ) Page 1

1. Qu est-ce que la conscience phonologique?

Français langue étrangère Savoir-faire - Actes de paroles - Supports d apprentissage -Tâches

Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence

Relation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire

De la tâche à sa réalisation à l aide d un document plus qu authentique. Cristina Nagle CEL UNICAMP cnagle@unicamp.br

S'intégrer à l'école maternelle: indicateurs affectifs et linguistiques pour des enfants allophones en classe ordinaire

Portail Vocal d Entreprise

... identité visuelle logotype. CONCEPTION GRAPHIQUE [ print / web ]

SCIENCES ÉCONOMIQUES ET SOCIALES EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE. Annexe

LES HABILETÉS DE SAVOIR ÊTRE

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données

Formation Storytelling par l image Partie 1 L importance du visuel + Pinterest

PHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1

LIVRET PERSONNEL DE COMPÉTENCES

En direct de la salle de presse du Journal virtuel

LE PROGRAMME DES CLASSES DE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EN FRANÇAIS

Là où vont nos pères1

Modulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1

L'EPS à l'école primaire aucune modification des programmes

Les 6 sous-stades. La période sensori-motrice. Le stade réflexe. Coordination main/bouche. Du réflexe au schème: exemple du réflexe de succion

ACCÈS SÉMANTIQUE AUX BASES DE DONNÉES DOCUMENTAIRES

LES TECHNOLOGIES DU WEB APPLIQUÉES AUX DONNÉES STRUCTURÉES

[FORMAT AGRANDI DE LA POLITIQUE D ACCESSIBILITÉ POUR LES PERSONNES HANDICAPÉES]

1 Master Pro bilingue «Intelligence et innovation culturelles»

Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique)

Intelligence Artificielle et Systèmes Multi-Agents. Badr Benmammar

OUTILS DE GESTION ET D EVALUATION AU POSTE : Collecte/réparation/vente d électroménager. Assistant(e) secrétaire commercial(e)

La traduction métalinguistique I : niv eaux lexical et pré-phrastique1 Résumé

Morphosyntaxe de l'interrogation en conversation spontanée : modélisation et évaluations

Principes de liberté d'expression et de respect de la vie privée

Les petits pas. Pour favoriser mon écoute. Où le placer dans la classe? Procédurier. Adapter les directives. Référentiel Présentation des travaux

LA RECHERCHE DOCUMENTAIRE

Réaliser un journal scolaire

Comment parler de sa pratique pour la faire partager?

Expression des besoins

A V I S N Séance du mardi 28 mai

ÉPREUVES D'ADMISSION 2011 QUESTIONNAIRE SOCIO-CULTUREL RC-R/TV

Transcription:

Malin Franck 1 Bibliographie Titre Messages des médias. Auteur(s) ABASTADO Claude Éditeur Cédic Collection Coll. Textes & non textes Mots clefs Linguistique, Sémiologie. Revue Divers Photocopies Lu/non lu Lu Année 1980 Table des matières : Notes de lecture : Avant propos p. 9 (les médias) «Ils ont opéré une des mutations les plus importantes de l'histoire de l'humanité : ils ont produit une nouvelle forme de connaissance : la culture mosaïque ; ils sont en train de modifier nos manières de penser et de sentir ; ils changent nos catégories mentales.» p. 10 «Les messages des médias n'offrent jamais une information désintéressée. Ceux qui les produisent appellent parfois le public : "la cible" ; ils cherchent à le convaincre, plus encore à le séduire et à le mettre en condition [...] La parole sociale est un tout foisonnant mais cohérent ; il y a unité de "l'ordre du discours".» p. 13 «L'étude des messages des médias apporte un savoir-faire et un savoir : une plus grande maîtrise de tous les langages de la communication, une plus grande conscience de l'esprit de notre temps.» 1 re partie : Médias & société I] COMMUNICATION & INFORMATION 1. L'UNIVERS DE LA COMMUNICATION p. 18 «Les techniques permettent d'entrer en relation avec des réalités éloignées dans l'espace ou dans le temps. Les informations reçues s'intègrent au savoir, à la culture, sans qu'il y ait contact direct : on n'assiste pas au spectacle, on ne participe pas à l'évènement ; on passe par des canaux de communication ; or des messages ne sont pas le réel. D'autre part on doit s'en remettre à un intermédiaire témoin, commentateur qui choisit et filtre les informations en fonction de sa sensibilité et de ses convictions. Cette expérience par procuration, dite "expérience vicariale" réduit l'individu au rôle de récepteur : connaître, voir, entendre.» 2. LA THEORIE DE LA COMMUNICATION p. 20-21 Austin (J.L) => les actes de langage (actes de paroles)énoncés constatifs = décrivent une situationénoncés performatifs = valeur sémantique & pragmatique

Malin Franck 2 p. 21 «Bien que la pragmatique de la parole ne soit pas toujours aussi flagrante, on peut cependant percevoir, dans toute proposition, trois actes simultanés : un acte locutoire (une information, une constatation), un acte illocutoire (l'accomplissement d'une action), un acte perlocutoire (l'intention de modifier, à terme et indirectement, une situation).» 3. LES FACTEURS DE LA COMMUNICATION p. 23 «Lorsque les interlocuteurs sont des êtres humains, la communication tient compte de leur relation hiérarchique qui peut dépendre de l'âge, du sexe, de la caste ou de la classe sociale, de la situation économique ou professionnelle, etc.» déchiffrement d'1 texte variable selon le lecteur p. 24 «Le mode progressif ou global de la réception répond à des habitudess & à l'éducation.» mass média => auditeur "moyen" p. 25 «Un code est un ensemble de signes & le système des règles selon lesquelles ces signes se combinent ; c'est une structure sémantique & syntaxique.» p. 26 «Pour que la communication s'établisse, il faut que l'émetteur & le destinataire maîtrisent également le code ; il importe donc que leurs champs culturels coïncident ; sinon la communication n'est que partielle, ou elle est nulle. La réception (la perception) d'un message n'entraîne pas toujours sa compréhension.» p. 26 «Ainsi le code iconique a des effets que ne permet pas la parole parce que l'image donne toutes ses informations simultanément» (p. 27) Une traduction est toujours un compromis. => Traduttore, traditore 4. MESURE DE L'INFORMATION (p. 29) l'information est la réduct d'incertitude(p30) économie, bruit, redondance II] MESSAGES & MEDIAS 1. "L'ORDRE DU DISCOURS" (p34) les critères de vérité ne sont pas universels => ds 1 groupe & 1 temps donné p35 «Pour être reçu, il faut qu'un discours s'accorde aux catégories de l'épistémé de l'époque.» 2. LES MEDIAS (p35) liés aux pouvoirs & aux institutions ; (p36) & institution eux-mêmes => communicat unidirectionnelle

Malin Franck 3 3. PAROLE & POUVOIR (p39) les médias instrument d'1 pouvoir => appareil idéologique (p40) tte institut répressive & idéologique (p41) idéologie = syst de pensées non cohérent & non explicite p 41 «L'idéologie est la représentation fantasmée d'une situation historique ; c'est un rapport imaginaire des hommes à leurs conditions d'existence, un système global d'interprétation du réel.» p 42 «L'idéologie dominante n'est pas l'idéologie de la classe dominante ; elle mêle, dans des proportions variables, des fragments d'idéologie de toutes les tendances qui composent une formation sociale» 4. LA CULTURE DE MASSE p 42 «La culture ne se réduit pas à la somme des connaissances que nous apportent les vieilles pierres, les livres & les spectacles qui nous entourent ; elle est faite aussi de croyances, de coutumes, d'une sensibilité ; elle est à la fois un savoir & une manière d'être.» (p. 43) cf A. Moles culture mosaïque => fragmentées => culturèmesles mass médias s'appuient sur les mythes & archétypes de la société 5. CLASSEMENT DES MESSAGES (p. 45) 1 même message ds 2 catégories permet 2 interprétat du même fait III] LA GALAXIE GUTENBERG 1. LES AFFICHES pubs ou propagandes 2. LES QUOTIDIENS (p. 59) le commentaire oriente le lecteur ds sa connaissance d'1 événement & crée un groupe ayant le même pt de vue ; il n'y a que des journaux d'opinion 3. LES PERIODIQUES 4. LES LIVRES IV] LA GALAXIE MARCONI 1. SONS & IMAGES 2. LA RADIO 3. LA TELEVISION

Malin Franck 4 V] DOMAINES SEMIOTIQUES 2 e partie : L'analyse des messages 1. SITUATION HISTORIQUE - Philosophie du langage - Les fondateurs : logiciens & linguistes (p104) cf Peirce => l'icône participe de l'objet dont elle est le signe ; l'indice implique une relation d'efficacité ; le symbole se fonde sur une convention de sens arbitraire ou non (p105) Morris, 3 relat sémiotique : la syntaxe, relation formelle des signes entre eux ; la sémantique, relation des signes aux objets auxquels ils s'appliquent ; la pragmatique, relation des signes à ceux qui en usent. - Mise en place des recherches sémiotiques - Sémiotique ou sémiologie? 2. ORIENTATIONS SEMIOTIQUES p 109 «G. Mounin reprend des thèses d'é. Buyssens & de L. Prieto. La sémiologie, selon É. Buyssens, étudie les moyens utilisés pour influencer autrui & reconnus comme tels par celui qu'on veut influencer (1943, p11).» p 110 «En fait la spécificité d'une science tient à sa méthode, non au domaine du réel qu'elle investit. La sémiotique s'occupe des faits qu'elle étudie en tant que système de signes ; & sa démarche, toujours, s'assimile à une lecture.» (p. 111) le gestuel = le kinésique ; la distance = la proxémique VI] MODELES SEMIOTIQUES 1. LES SYSTEMES DE SIGNES Indice, signal, icône, symbole p. 114 «Un code est l'ensemble des lois qui régissent un système de signes, &, par extension, ce système lui-même. Chaque système comporte un nombre fini de signes & des règles de combinatoire.» p. 115 «A la langue s'oppose la parole. La langue est le système abstrait qui rend possible la parole ; c'est la compétence langagière d'un groupe social. La parole est "l'acte individuel" de langage ; c'est une performance concrète & chaque fois unique. Langue & parole n'existent que dans le procès dialectique qui les unit ; la langue impose sa forme aux discours réalisés & ceux-ci modèlent la forme de la langue.» signifiant VS signifié / principe de commutat pour les phonèmes / substance & forme / double articulat / syntagmatique (in praesentia) VS paradigmatique (in absentia) 2. DE LA LINGUISTIQUE A LA SEMIOTIQUE 3. SEMIOTIQUE, SEMANALYSE p 122 «L'objet de la sémiotique étant, non la langue-structure, mais des messages- événements, non une compétence, mais des performances, les concepts de la linguistique ne suffisent pas.» 1 discours => plusieurs niveaux de sens

Malin Franck 5 - la situat de communicat : l'énonciat (cf p124-125)=> distance/modalisat /transparence /tension/ les déictiques (je, tu)/ verbes énonciatifs (dire, croire,penser, savoir)/ temps & modes verbaux p. 126 «Si, au niveau du signe produit, leur distinction est nécessaire, en revanche, au niveau de la production des signes, dans le procès de signification comme jeu de différences, le signifié est toujours déjà en position de signifiant, le signifiant est en situation de générateur de sens.» l'intertextualité => le texte & son contexte = absorpt & transformat d'autres textes VII] MESSAGES ECRITS 1. ANALYSE DE CONTENUS p. 129 «L'analyse de contenu veut éviter la subjectivité de l'explication de textes. Elle s'affirme comme une description objective, systématique & si possible quantitative des discours ; elle s'en tient à leurs contenus manifestes ; elle fait porter son investigation sur la totalité du corpus étudié ; elle fait abstaction de tout ce qui est connu en dehors du message sur les interlocuteurs & sur la situation de communication.» (p131) fréquences des items, leurs associat, leurs opposit, leurs permutat p 136 «Ainsi un horoscope n'apporte pas, contrairement à ce qu'il affiche, des informations sur l'avenir, mais des conseils & des modèles d'identification, une morale concrète & des images pour rêver. Il ne prédit rien ; il prescrit.» Ds les études d'opinion il faut déterminer : les invariants, la situat des émetteurs, les destinataires p 141 «La publicité exploite "l'esprit du temps" pour transformer un produit de consommation en objet de désir ; elle ajoute à ses qualités propres des valeurs mythiques ; acquérir leproduit, c'est du même coup posséder ces valeurs.» 2. STRATEGIES DISCURSIVES p 145 «Les messages des médias visent à convaincre ou séduire, influencer, mettre en condition, rendre docile, imposer des idées, des conduites, des réflexes : la fonction conative y est dominante & constamment sensible.» 3. CONDITIONNEMENT DE LA PERCEPTION 4. ETUDE : LE FAIT DIVERS p 162 «Culturellement un fait divers transgresse une norme : c'est un forfait ou un exploit.» 5. SUGGESTIONS DE TRAVAUX VIII] MESSAGES ORAUX 1. LES FORMES DE LA COMMUNICATION ORALE 2. LES VALEUR DE LA VOIX 3. STRUCTURE DES MESSAGES ORAUX 4. SUGGESTIONS DE TRAVAUX

Malin Franck 6 IX] RECITS p 179 «L'histoire est un contenu de discours qui s'organise selon des règles fixes, une "grammaire" des récits ; la narration est une stratégie de communication qui soulève tous les problèmes de l'énonciation.» 1. L'HISTOIRE (p183) l'économie de l'histoire => circulat d'objets de valeur 2. LA NARRATION la narrat = pragamtique d'1 récit 3. SUGGESTIONS DE TRAVAUX X] IMAGES 1. LE MYTHE D'UNE CIVILISATION DE L'IMAGE p 200 «La saturation entraîne, comme réaction de défense, la cécité & la surdité.» 2. L'ILLUSION D'ANALOGIE (p201) l'iconicité => quest de degré (cf A. Moles) p 203 «En outre les informations reçues sont interprétées ; reconnaître implique d'abord de connaître. La perception met en jeu l'éducation, la mémoire personnelle & la tradition culturelle.» p 203 «A la limite, reconnaître des objets, c'est pouvoir les nommer ; le développement de la perception va de pair avec l'apprentissage du langage.» p 204 «Chaque culture a ses règles de représentation iconique.» p 204 «Le postulat analogique bloque l'étude des images sur l'idée de degrés de ressemblance. La sémiotique écarte ce postulat, considère les images, non comme des simulacres, mais comme des messages & interprète la ressemblance comme un effet de lecture.» 3. LA REPRESENTATION signe iconique = 1 él graphique (Sa) & 1 sens (Sé) 4. LES COULEURS couleurs d'émission (la lumière) / couleurs d'absorption (les objets)couleurs primaires = rouge/jaune/bleucouleurs secondaires = orange (rouge+jaune)/vert (jaune+bleu)/violet (bleu+rouge) 5. LA LECTURE 6. CODES DU DESSIN 7. CODES PHOTOGRAPHIQUES 8. SUGGESTIONS DE TRAVAUX

Malin Franck 7 XI] MESSAGES MIXTES 1. RELATIONS INTERSEMIOTIQUES 2. EFFETS D'INTERPRETANCE 3. REDONDANCE, CONTRASTE, COMPLEMENTARITE 4. CONTAMINATION p 230 «En entrant dans les vignettes, le texte des bandes dessinées devient lui aussi dessin. Les paroles des bulles sont dotées par leur graphie, de sèmes d'oralité (ton, accent, intensité, durée). Les bruits sont des motifs de l'image. La graphie d'un mot peut mimer la forme de l'objet qu'il désigne. Une image peut remplacer un mot dans une phrase, dans la bulle d'une vignette. Cette substitution devient un jeu d'homonymies dans le rébus.» 5. ETUDE : LE ROMAN PHOTO6. NOTES SUR LA BANDE DESSINEE (p240) souvent 1 signe singularise 1 personnage & facilite la lisibilité des imagesle mvts par effet stromboscopique (ex : +sieurs bras) p 241 «Divers signes sont devenus des symboles spécifiques du mouvement : traits marquant la position antérieure d'un personnage ou d'un objet ; traits indiquant, comme un sillage, sa trajectoire ; nuage, derrière un personnage ou un véhicule.» (p244) 1 dessin par page => lecture tabulaire = le regard se promène ds l'image (p247) Avec la BD : onomatopées/ponctuat /idéogrammes/intensité des sons/bruits propres à ce mode d'expression ; ex : les bruits ont des graphies évolutivesrelat textes & images ; scénario autour d'1 héros 7. SUGGESTIONS DE TRAVAUX