- Musée d'histoire de l'informatique

~ UN MUSEE SE PRESENTE ~ Philippe Marmy Collectionneur, - 2843 Châtillon - Suisse - Musée d'histoire de l'informatique Un musée de l'informatique? "Si l'industrie automobile avait connu les mêmes progrès que l'informatique, nous conduirions tous aujourd'hui des voitures coûtant 40 fr et consommant 0.2 litre aux 100 km". Cette citation de Bill Gates illustre bien la formidable évolution vécue par toutes les technologies liées à l'informatique durant les 30 dernières années, et qui se poursuit sous nos yeux jour après jour. Etre "archéologue" d'objets contemporains? Avec l'informatique, c'est possible! Même si les montagnes de matériel informatique obsolète n'ont rien de pyramides, les découvertes qu'on peut y faire sont souvent étonnantes. 1. La genèse, "Au commencement était le bit" L idée de démarrer une collection d ordinateurs m est venue suite à la découverte, au bord de la route en 1997, d un vieil Apple IIe. Avec le Sinclair ZX81, (le tout premier ordi de mon enfance) et un vieil XT (mon fidèle compagnon d'études), la collection commençait, d'abord par curiosité. Les «performances» de ces antiquités m ont fait prendre conscience de cette évolution surprenante. Avec l'envie de préserver ce patrimoine pour les générations futures et de faire partager ma passion pour l'informatique, Computissimo était né! 2. Les collections Dans un premier temps, je ne recherchais que les authentiques IBM. Fort de constater la grande spécificité de chaque modèle, ils représentaient d'une manière incontestable les jalons inaltérables de cette évolution. Rapidement, la monotonie des formes et des designs (toujours des boîtes grises), m'incite à m'orienter vers les "microordinateurs", ces petites bêtes incompatibles entre elles, de formes, designs et couleurs farfelues (Commodre, Amstrad, Atari, Sinclair, ), et aux performances toutes plus fantastiques aux dires des fabricants, (ça n'a pas changé). Au fil des découvertes, d'autres témoins du passé viennent compléter la liste. Si bien qu'aujourd'hui Computissimo collectionne : - les ordinateurs IBM - les micro-ordinateurs - les calculatrices (mécanique, électronique, électro-mécanique) - les consoles de jeux - les microprocesseurs et les cartes-mères - les supports de données (mémoire, carte, bande, disque,...) - et toutes sortes de curiosités en rapport à l'informatique. Computissimo compte actuellement plus de 700 modèles différents (400 ordinateurs, 250 calculatrices et 50 consoles de jeux). Il ne cesse de s'agrandir grâce à de généreux dons. Nous recherchons en permanence de vieilles machines, avec leurs documentations techniques, ainsi que les revues, livres et magazines de cette époque. Peut-être avez-vous sans le savoir des trésors dans votre grenier, alors n'hésitez pas à nous contacter avant de vous en séparer! L'appellation Computissimo comprend une association, (fondée en mars 2001), à but non lucratif et un musée d'histoire de l'informatique. L'association poursuit les buts suivants : La création d un musée d histoire de l informatique L organisation d expositions de la collection La sauvegarde du patrimoine informatique L acquisition de pièces rares. Faute de locaux d'exposition et de moyens, le musée peut pour l'instant n'être visité que sur internet, à l'adresse : http://www.computissimo.ch Mon rêve serait de pouvoir ouvrir un musée dédicacé à l'histoire de l'informatique, qui serait du reste une exclusivité en Suisse. Toute proposition pour la mise en valeur de cette collection est la bienvenue. Le site du musée est périodiquement remis à jour, avec des photos des expositions, articles de presse, annonces des prochaines expositions, nouvelles acquisitions. Si vous souhaitez inclure à votre manifestation une exposition sur le thème de l'informatique, contactez-nous. Classés par thèmes, une grande partie des objets sont visibles, et ne manqueront pas de vous évoquer une foule de souvenirs, associés fréquemment à beaucoup de sueur. Computissimo a également déjà participé à plusieurs foires d'exposition, la dernière en 2003 lors de BIMO à Delémont. La prochaine expo est planifiée pour 2005. Lors de l'expo en 2003, 8 ordinateurs du 8086 (PC XT) au P4 (Pentium 4) exécutaient simultanément le même programme (rotation d'un cube 3D, calcul des décimales de Pi, déplacement d'un point de couleur, ). Par exemple, le XT parvenait à calculer 6 décimales de Pi, contre 1872 pour le P4. Très appréciée des visiteurs, cette belle démonstration permettait de se rendre compte de cette évolution surprenante, (fig. 2). Fig. 2 : les 8 PC : du XT au P4 affichant des points de couleur. Computissimo vous ouvre ses portes, suivez le guide et attention à la marche! Fig. 1 : Vue partielle d'un des locaux de stockage. 3. Computer + fortissimo = Computissimo

4. Les ordinateurs Le plus vieil ordinateur de la collection est un Olivetti Programma 101 de 1965, coûtant à l'époque $3200.-, (fig. 3). Fig. 3 : Olivetti Programma 101 de 1965. Qualifié de "desktop computer" le plus convivial du moment (fig. 4), il était suffisamment petit pour être mis sur un bureau (48 x 61 x 19 cm, 35.5 kg, 350 W), ce qui était remarquable en comparaison des "mini-frame" de l'époque (type PDP-8). Fig. 5 : programme pour le calcul du cosinus d'un angle. 5. Les calculatrices Fig. 4 : " la taille d'une machine à écrire ", article dans le "Business Week" du 23 octobre 1965. Les caractéristiques techniques de l'olivetti Programma 101 : lecteur de carte magnétique de 2 x120 instructions. affichage uniquement par imprimante de 30 caractères sur papier d'une largeur de 9 cm. pas de microprocesseur ni de circuits intégrés, toutes les fonctions logiques (ET, OU, NON, ) sont réalisées par des composants discrets, réparties en 900 mini modules comportant plus de 6000 composants, (résistance, diode, capacité, transistors). mémoire magnétostrictive de 240 bytes. Comment ça marche? Imaginez que vous tenez en main une corde. Si vous la secouez, une vague va se déplacer de votre main jusqu'à son extrémité. Si la corde est très longue, vous aurez le temps de générer plusieurs vagues, voyageant à la suite l'une de l'autre. Si maintenant cette très longue corde est une boucle, et que vous tenez son autre extrémité dans l'autre main, vous pouvez "envoyer" différentes ondulations dans la corde, et après un certain temps vous les sentirez arriver dans l'autre main. En secouant sa main au rythme des ondulations arrivant dans l'autre main, l'information est conservée dans la corde. Vous l'aurez compris, il s'agit d'une mémoire sérielle. Ainsi, il faut attendre que l'information désirée "arrive au bout de la corde" pour pouvoir la lire, temps de cycle de 2.2ms. La programmation n'avait rien de très conviviale, un exemple de programme pour le calcul du cosinus, (fig. 5). Les premières calculatrices mécaniques sont de véritables merveilles d'ingéniosité mécanique, où d'innombrables roues dentées, ressorts, leviers, rondelles, axes s'enchevêtrent savamment. D'emblée, on se rend compte qu'une partie du calcul était réalisée dans la tête de l'opérateur et que plusieurs techniques de calcul étaient utilisées (soustraction ou multiplication par le complément, distributivité, associativité, etc). L'Addomètre Fig. 6 : l'addomètre, vendu $10.- en 1920 (30 x 6 x 2 cm). Son principe de fonctionnement est identique à la Pascaline (1642). Une série de roues (représentant 2 décimales, unités, dizaines, centaines, milliers, ) comportant un ergo propagent automatiquement les retenues. Cette machine permet d'additionner et de soustraire. Avec un peu plus de sport, on peut multiplier, par additions successives. Au moyen d'un petit stylo, il suffit de tourner les roues (fig. 7) : - pour additionner, placer le stylo en regard des grands chiffres et tourner vers la droite - pour soustraire, placer le stylo en regard des petits chiffres et tourner vers la gauche. Fig. 7 : Gros plan sur une des roues de l'addomètre.

Le Comptomètre Felt et Tarrant le mirent au point dans le but d'augmenter considérablement la vitesse des calculs. Il fut commercialisé et produit en grande quantité dès 1890, (fig. 8). La publicité d'époque nous vante les mérites de cette machine révolutionnaire (fig. 10) : "Vous pourrez additionnez 100 nombres par minute sur le Comptomètre après l'avoir utilisé quelques mois et vous le ferez plus vite et plus facilement que maintenant pour additionner mentalement 30 nombres. Le Comptomètre est 2 fois plus rapide que n'importe quelle autre machine. Elle est simple à apprendre et à utiliser et plus vous l'utilisez, plus vous serez rapide." Fig. 8 : la manette à droite permet la remise à zéro. Le Comptomètre est une machine à clavier complet, c'est-à-dire que les 9 chiffres sont représentés dans chaque colonne. Elles correspondent de droite à gauche aux décimales, unités, dizaines, centaines, etc. Le résultat s'affiche sur un compteur. Dès qu'on appuie sur une touche, le chiffre apparaît directement sur le totaliseur, le report de retenue est automatique. L'axe de rotation est placé à l'extrémité de la barre, ainsi plus la touche appuyée est près de cet axe de rotation (par exemple le 9), plus le déplacement de la barre est important. Ainsi la rotation de la roue liée au totaliseur dépend de la position de la touche sur la barre : lorsqu'on appuie sur la touche 5, la roue (liée au totaliseur) va tourner de 5 dents, lorsqu'on appuie sur la touche 9, elle va tourner de 9 dents, (fig.9). La Curta Fig. 10 : la technique évolue, les slogans restent. Comment parler des machines à calculer mécaniques, sans évoquer la Curta? Une pure merveille mécanique conçue par Curt Herzstark, au Liechtenstein, de 1948 à 1970, (fig. 11). Fig. 9 : principe de fonctionnement du Comptomètre. La soustraction est possible en utilisant la règle du complément à 9 + 1. Par exemple : 163-78 = 85. Le complément à 9 de 78 est : 21, nous avons ainsi : premier nombre 163 : 1 6 3 complément à 9 de 000078 (sur 6 digits) 9 9 9 9 2 1 selon la règle, ajouter 1 1 on additionne : (en oubliant la retenue) 0 0 0 0 8 5 Avec la machine tout est plus simple. Sur chaque touche (0...9) sont gravés un chiffre et son complément. Ainsi on peut voir les chiffres 3 et 6 sur la même touche (les chiffres sont de grandeurs différentes). Pour notre exemple, il faut tout d abord taper le nombre 163 (selon les grands chiffres des touches) puis 000078 (selon les petits chiffres des touches) et finalement 1 (selon les grands chiffres des touches). La retenue n'étant pas visible, le résultat 000085 apparaît sur le totalisateur. Fig. 11 : "..un produit de l'ère spatiale " vendue $125.- 53mm, hauteur 85mm et un poids de 230g. Addition, soustraction, multiplication, division, carré et cube, racine carrée, une prouesse pour une machine si compacte. L'opérateur devait bien entendu connaître les méthodes de calculs, puisque la machine ne réalise "que" les additions et les soustractions.

Basée sur le principe du pignon décalé de type "cylindre de Leibniz", la Curta contient 605 pièces (rouages, ressorts, leviers, vis, rondelles, ). Son principe (pour 1 digit) est illustré cidessous (fig. 12). D''une apparente simplicité, les choses se compliquent en voyant la coupe (fig.13). 6. Les consoles de jeux Connu également sous le nom énigmatique de Pong. Les premières versions, dans les années 70, font leur révolution! Fig. 14 : foot sur console VideoMaster Superscore de 1976. Les "joueurs" se déplacent verticalement au moyen d'une molette située aux 2 extrémités de l'appareil. De ce fait, les 2 joueurs tenaient l'appareil chacun d'une main (fig. 16). Fig. 12: un mécanisme complexe et raffiné. Fig. 15 : la console VideoMaster Superscore de 1976. Les emballages de ces appareils mettaient déjà dans l'ambiance du jeu et très souvent on y voit les parents, spectateurs de la scène, admirant subjugués les exploits de leur progéniture. Fig. 16 : l'emballage de la console VideoMaster Superscore Fig. 13 : les entrailles de la Curta. Et la multiplication? Elle est réduite à une somme d'additions. Prenons 2 exemples : 3 x 5 : sélectionner 5 sur le dispositif d'entrée de l'opérande (fig. 12) et 3 tours de manivelle. On peut aussi sélectionner 3 et tourner 5 fois, mais c'est moins futé. Deuxième exemple : 456 x 189, non non il ne faut pas tourner 189x la manivelle, mais 4x. Le tambour comportant les affichages (voir la flèche) peut tourner donnant ainsi accès au puissances de 10 (dizaines, centaines, milliers, ). La machine pouvant additionner et soustraire, la distributivité de la multiplication est utilisée, car : 456 x 189 = (456 x 100) + (456 x 80) + (456 x 9) 18 tours de manivelle ou = (456 x 200) - (456 x 10) - (456 x 1) 4 tours de manivelle. La vitesse de calcul dépendait largement de la dextérité et du sens mathématique de son utilisateur. Déjà plus conviviale, la Binatone comporte 2 manettes reliées par un câble au boîtier principale, et le "joueur" peut se déplacer dans 2 axes, grand progrès! Fig. 17 : Binatone TV Master MK8, de 1976.

Très vite, la couleur s'installe et les graphiques deviennent plus "complexes", tout en restant 2D ou pseudo 3D. Bien sûr on n'est pas encore au niveau des PS2 de Sony, ça viendra Aucun autre domaine de la technique ne peut se vanter d'une telle évolution, qui perdure maintenant depuis près de 40 ans! En 1969, la firme japonaise Busicom commandait à Intel (Integrated Electronics) un set de 12 circuits intégrés pour leur nouvelle famille de calculatrices. Ted Hoff proposa de développer un circuit programmable qui, entouré de 3 autres puces (4001 : ROM, 4002 : RAM et 4003 : I/O) réaliserait les mêmes tâches. Busicom accepta et un an plus tard, les premières calculatrices à microprocesseur étaient fabriquées. Fig. 18 : TRON sur console Mattel Intellivision de 1979. Je ne peux résister à la tentation de vous présenter une publicité d'époque, elle se passe de commentaire! Fig. 21 : publicité pour la Busicom 141-PF. La guerre des prix entre fabricants de calculatrices plongea Busicom dans des difficultés financières et ils demandèrent à Intel une réduction de coûts. Intel, réalisant le potentiel de leur microprocesseur, leur proposa $60'000.- et racheta les droits du 4004. Une bonne opération financière! Le 15 novembre 1971, Intel introduisait sur le marché mondial le 4004 au prix de $ 299.-. Ce petit processeur de 16 pattes avait une performance (nombre d'instructions par seconde) équivalente à l'eniac (1945). Ce géant contenait 17'468 tubes, 70'000 résistances, 10'000 condensateurs, 1'500 relais, 6'000 interrupteurs et 5 millions de points de soudures. Il couvrait une superficie de 167 m2, pesait 30 tonnes, consommait 160 kilowatts. Fig. 19 : publicité d'époque "un jeu révolutionnaire". 7. Les microprocesseurs Souvent assimilé au "cœur" ou au "cerveau" de l'ordinateur, le microprocesseur, depuis son arrivée en 1971, ne cesse de nous épater. En 1965, Gordon Moore, cofondateur d'intel, constatait que la puissance des microprocesseurs (en fait, le nombre de transistors intégrés sur une surface donnée), doublait chaque 18 mois. Cette constatation, connue sous le nom de «loi de Moore», a continué de se vérifier depuis lors. Fig. 22 : L'ENIAC La salle de commande. Comparons le 4004 et le Pentium 4 (Extreme Edition) : 4004 Pentium 4 EE comparatif année 1971 2004 33 ans après nombre de transistors 2'250 178'000'000 79'111 x plus technologie 10 µm 0.13 µm 77 x moins fréquence 108 khz 3.4 GHz 31'481 x plus MIPS 0.06 10'402 173'367 x plus (Note : MIPS : Millions d'instructions Par Seconde). Fig. 20 : "Loi de Moore" : la performance double chaque 18 mois.

collection de 29 microprocesseurs, du 8080 au Pentium 2. Comporte également la version de Pentium 1 avec et sans le fameux bug de division : 5506153 / 294911= Correct : 18.67055823621364 Pentium 1: 18.66990719233938 Une collection exclusive au prix de sfr 500.- (+ frais de port), divers arrangements possibles sur demande. Fig. 23 : le 4004 et le P4 (vue de dessus et de dessous). La photo ci-dessous montre la puce du 4004 et du Pentium 4, à l'échelle 5:1. Fig. 26 : 29 processeurs du 8080 au Pentium 2. nous réalisons également des sites internet pour les privés, associations et entreprises à prix très concurrentiels. Flash, ASP, Html, animations, création de logos, traductions (F-All-Ang-Esp-Ita), hébergement, publication, bref un site clé en main de A à Z. Demandez-nous une offre gratuite et sans engagement! 9. un FAQ pour terminer (Frequently Asked Questions) Le musée, c'est pour quand? Des solutions doivent encore être trouvées pour l'achat des vitrines d'exposition, des locaux, des moyens financiers. Si vous trouvez l'idée intéressante, que vous désirez la soutenir, devenir un sponsor (la bannière de votre entreprise sera ajoutée sur le site), contactez-nous : contact@computissimo.ch. Fig. 24 : 2 puces de silicium, 33 ans les séparent. Le microprocesseur Itanium2 de Intel contient déjà 410 millions de transistors! 1 milliard de transistors, c'est pour demain 8. La boutique souvenirs La visite est terminée, nous espérons qu'elle vous aura intéressée, n'oubliez pas le guide. Comme dans tous les musées, vous pouvez faire un tour à notre boutique. poster commémoratif "Les pièces maîtresses de la révolution du PC les principaux produits, événements et développements qui ont fait l'histoire depuis 20 ans", (dimens. 1x 0.68 m) au prix de sfr 25.- (+ frais de port). Ce poster retrace les étapes marquantes de l'évolution de l'informatique (ordinateurs et périphériques, systèmes d'exploitation et programmes, microprocesseurs, puissance de calcul, ainsi que les faits marquants d'actualité de l'époque), de 1977 à 1997, un beau voyage. Fig. 25 : 20 ans d'histoire de la révolution du PC. La prochaine expo, c'est où et quand? Si les fonds nécessaires sont trouvés jusque là, elle se déroulera à Delémont (Suisse), du 9 au 12 mars 2005, durant la BIMO 2005. L'expo sera annoncée sur le site, dans la page Exposition. Si vous souhaitez inclure à votre manifestation une exposition sur le thème de l'informatique, contactez-nous. J'ai du vieux matériel informatique, que faire? Nous recherchons en permanence de vieilles machines (microordinateurs, calculatrices, consoles de jeux, ), avec leurs documentations techniques, ainsi que les revues, livres et magazines de cette époque. Avant de vider votre cave ou votre grenier, contactez-nous, contact@computissimo.ch. Je désire devenir membre de l'association et soutenir le projet de musée, comment faire? Sur le site www.computissimo.ch, presser sur le bouton, Association, l'adhésion est gratuite, le montant du don est libre. 10. Références et sources des informations Les informations et les photographies qui ont permis de réaliser cet article proviennent de plusieurs sites web : - www.computissimo.ch - www.intel.com - www.clubic.com - www1.freewebspace.jp/~dentaku/calc/calculator/busicomd - www.jmgoldman.com - www.jgiesen.de - www.machineacalculer.free.fr - www.silab.it - www.vcalc.net/cu.htm - http://ei.cs.vt.edu - http://inventors.about.com Computissimo 2004, Philippe Marmy