Chapitre 1- Interactions et cohésion de la matière

Documents pareils
Chapitre I- Le champ électrostatique. I.1.1- Phénomènes électrostatiques : notion de charge électrique

Électricité. 1 Interaction électrique et modèle de l atome

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

3 Charges électriques

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -

Équivalence masse-énergie

TD 9 Problème à deux corps

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1

Chapitre 7 : CHARGES, COURANT, TENSION S 3 F

Transformations nucléaires

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Cours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie

Stage : "Développer les compétences de la 5ème à la Terminale"

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1)

Energie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème /2015

C3. Produire de l électricité

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX

Lycée français La Pérouse TS. L énergie nucléaire CH P6. Exos BAC

Panorama de l astronomie

Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie

La physique nucléaire et ses applications

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur

5 >L énergie nucléaire: fusion et fission

La gravitation universelle

Propriétés électriques de la matière

Transformations nucléaires

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN

SYSTEME DE PARTICULES. DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) Table des matières

Rappel sur les atomes Protons p + Neutrons n 0. Les objets sont faits de différents matériaux ou de diverses substances.

La physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur!

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités Définitions Lois de conservation

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.

TP N 1 : ÉLECTRISATION PAR FROTTEMENT

8/10/10. Les réactions nucléaires

La vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août

Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)

par Alain Bonnier, D.Sc.

Chap 2 : Noyaux, masse, énergie.

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission

L électricité et le magnétisme

DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION

Unités, mesures et précision

TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée

À propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES

Électricité statique Édition INRS ED 874

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN

!!! atome = électriquement neutre. Science et technologie de l'environnement CHAPITRE 5 ÉLECTRICITÉ ET MAGNÉTISME

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique

Chap 8 - TEMPS & RELATIVITE RESTREINTE

Panorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques

PHYSIQUE Discipline fondamentale

Théorie quantique et échelles macroscopiques

L'ÉNERGIE ET LA MATIÈRE PETITE EXPLORATION DU MONDE DE LA PHYSIQUE

Choix multiples : Inscrire la lettre correspondant à la bonne réponse sur le tiret. (10 pts)

Principe et fonctionnement des bombes atomiques

LP 01. Echelle et mesure des longueurs, de l atome aux galaxies

C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission

Electrostatique. Le mot électrostatique se divise en deux parties : électron qui en grec veut dire "ambre" et statique qui signifie "ne bouge pas".

P17- REACTIONS NUCLEAIRES

FORMATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ETOILE

TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA

Molécules et Liaison chimique

Chapitre 11 Bilans thermiques

Radioactivité et chimie nucléaire

PHYSIQUE CHIMIE. Notions de première indispensables. Table des matières. pour la Terminale S 1 LE PHOTON 2 LES SOLUTIONS COLORÉES

EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES

AC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =

PROGRAMME DE PHYSIQUE - CHIMIE EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE

Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique

Électricité statique. Introduction. Quelques étapes historiques importantes

A. Énergie nucléaire 1. Fission nucléaire 2. Fusion nucléaire 3. La centrale nucléaire

ITER et la fusion. R. A. Pitts. ITER Organization, Plasma Operation Directorate, Cadarache, France

Quelques liens entre. l'infiniment petit et l'infiniment grand

La Fusion Nucléaire (Tokamak) Nicolas Carrard Jonathan Carrier Guillomet 12 novembre 2009

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER

Animations. Liste des 114 animations et 145 vidéos présentes dans la Banque de Ressources Physique Chimie Lycée. Physique Chimie Seconde

Le Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.

Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière

nucléaire 11 > L astrophysique w Science des étoiles et du cosmos

L ÉNERGIE C EST QUOI?

L ÉLECTRICITÉ C EST QUOI?

NUAGES INTERSTELLAIRES ET NEBULEUSES

Les tensions 3 CHAPITRE

Enseignement secondaire

Vie et mort des étoiles. Céline Reylé Observatoire de Besançon

Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires

PHYSIQUE QUANTIQUE ET STATISTIQUE PHYS-H-200

Défi 1 Qu est-ce que l électricité statique?

La place de l homme dans l univers. par Trinh Xuan Thuan *

L ÉLECTRICITÉ, C EST QUOI?

NOYAU, MASSE ET ENERGIE

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie

COMMENT PEUT-ON CRÉER DE L ÉLECTRICITÉ STATIQUE?

Transcription:

Chapitre 1- Interactions et cohésion de la matière I. Constituants de la matière 1. La matière à différentes échelles Les résultats de collisions entre particules dans les accélérateurs de particules ont démontré l existence des quarks dans les protons et les neutrons.. Les particules élémentaires Les protons, neutrons et électrons sont les «briques élémentaires» de la matière. - Neutrons et protons, considérés comme élémentaires même s ils sont constitués de quarks, forment le noyau des atomes. On les appelle donc des nucléons. Leurs caractéristiques sont les suivantes : asse du proton : 1,673 10-7 kg Charge du proton : e = + 1,6.10-19 C asse du neutron : 1,675 10-7 kg Charge du neutron : 0 C - Électrons asse : 9,1.10-31 kg Charge : - e = - 1,6.10-19 C II. Interactions fondamentales Il existe 4 interactions fondamentales qui assurent la cohésion de la matière : - au niveau du noyau : interactions forte et faible, - à l échelle de l atome jusqu à celle de l home : l interaction électromagnétique, - de l échelle de l homme à l échelle de l univers : l interaction gravitationnelle. 1. Interaction gravitationnelle Loi de l attraction gravitationnelle de Newton Entre deux corps ponctuels A et B, de masses respectives m A et m B, séparés par une distance d, il existe une interaction, modélisée par des forces d attraction gravitationnelle et dont les caractéristiques sont les suivantes : - direction : direction de la droite (AB), - sens : vers le centre attracteur, A pour et B pour. La notation se lit «force F exercée par A sur B». - norme : avec m A et m B en kilogramme (kg), d en mètres (m) et F en newton (N). 13

G est la constante de gravitation qui vaut G = 6,67.10-11 N.m.kg - A B m A m B Remarques importantes Cette interaction est toujours attractive, elle est de portée infinie. Cette loi se généralise pour les corps non ponctuels qui ont une symétrie sphérique.. Interaction électromagnétique L interaction électromagnétique s exerce entre deux corps chargés électriquement. Elle est à la fois de nature électrique et magnétique. Si les deux charges sont immobiles, on parle d interaction électrostatique. Celle ci est décrite par la loi de Coulomb. L électrisation est un phénomène macroscopique. Électriser un objet consiste : - soit à lui apporter ou lui arracher des électrons par frottement, par contact ou par influence, - soit à provoquer un déplacement interne de charges électriques. Convention : Du PVC (ou de l ébonite) frotté avec de la laine est chargé négativement (des électrons ont été arrachés à la laine). Du verre frotté avec de la laine est chargé positivement (des électrons ont été arrachés au verre). Exemples d électrisation : On frotte une baguette de PVC avec de la laine : la baguette est électrisée par frottement. On approche cette baguette d une boule de papier d aluminium suspendue à une potence (fig 1) : - - - - - - - - - - - - figure 1 figure figure 3 Puis on approche la tige chargée de la boule de métal jusqu au contact (fig. ). Les charges négatives se répartissent sur la boule et la tige : il y a eu électrisation par contact. Enfin la boule et la tige portent des charges de même signe : il y a répulsion (fig. 3) 14

Électroscope : + + + + + + Lorsqu on approche une tige chargée négativement du plateau métallique de l électroscope, les électrons contenus dans le plateau sont repoussés au plus loin de la tige dans les deux aiguilles de l électroscope. Ces deux aiguilles étant chargées négativement, elles se repoussent l une l autre et s écartent. Il y a eu électrisation par influence. Loi de Coulomb Entre deux corps ponctuels A et B portant les charges respectives q A et q B séparés par une distance d, il existe une interaction, modélisée par des forces et dont les caractéristiques sont les suivantes : - direction de la droite (AB). - sens : dépend du signe des charges, - norme : avec q A et q B en coulomb (C), d en mètres (m) et F en newton (N). k est la constante de la loi de Coulomb qui vaut k = = 9.10 9 N.m.C - dans le vide et dans l air, où est la permittivité diélectrique du vide. Propriété fondamentale Ces forces sont : - attractives si les charges sont de signes opposés (ou contraires), - répulsives si les charges sont de même signe. q A > 0 q B < 0 q A > 0 q B > 0 A B A B III. Cohésion de la matière 1. Au niveau du noyau La cohésion du noyau est assurée par une interaction fondamentale entre les nucléons appelée interaction forte. Elle est portée très faible (10-15 m) et se limite au noyau. Au niveau du noyau, cette interaction est environ 1 000 fois plus forte que l interaction électrique. 15

Il existe également une autre interaction, appelée interaction faible (environ 10 6 fois plus faible que l interaction forte), qui intervient dans la cohésion du noyau. Sa portée est également faible (10-18 m). Une de ses manifestations est la radioactivité β. Les trois interactions coexistent à l échelle des noyaux atomiques mais la force d interaction électrique est 10 36 fois plus grande que la force d interaction gravitationnelle. Le noyau devrait exploser à cause de la répulsion des protons mais l interaction forte à ces distances est 100 à 1000 fois plus intense que l interaction électrique. C est donc l interaction forte qui prédomine et qui est à l origine de la cohésion du noyau.. Aux autres échelles De l atome à notre échelle, la cohésion de la matière est assurée par l interaction électromagnétique. Aux échelles atomiques et humaines, l interaction électrique entre le proton et l électron d un atome d hydrogène est 10 40 fois plus intense que l interaction gravitationnelle et les interactions forte et faible sont négligeables (hors du noyau). C est donc l interaction électrique qui prédomine et assure la cohésion de la matière, y compris la matière vivante. Quand les tailles des objets (et donc le nombre d atomes présents) augmentent, les interactions électromagnétiques sont moins importantes par un effet de moyenne spatiale sur les charges positives et négatives. Les objets formés occupent un volume important et sont neutres électriquement. Les seules interactions qui persistent sont les interactions gravitationnelles. À l échelle de l univers, la cohésion de la matière est assurée par l interaction gravitationnelle. À l échelle astronomique, la matière est globalement neutre et les masses mises en jeu sont considérables. C est donc l interaction gravitationnelle qui prédomine et qui assure la cohésion de la matière à l échelle de l Univers. 16

Exercices chapitre 1 0 Données : G = 6,67.10 11 10 11 usi ; e = 1,6.10 19 C ; k = 9,0.10 9 usi 3 1. Sans calculatrice. Quelle est l affirmation fausse? A : Dans les conducteurs, les électrons libres peuvent se déplacer sur de grandes distances B : Dans les isolants, les charges électriques restent localisées à l endroit où elles ont été produites, leur déplacement est inférieur à la taille atomique C : Les électrons assurent le passage du courant électrique dans les métaux D : L interaction électrique entre deux corps chargés est, au même titre que l interaction gravitationnelle, une interaction fondamentale liée aux caractéristiques de la matière E : Les électrons libres assurent le passage du courant électrique dans les métaux. Sans calculatrice. Quelle est la combinaison correcte? 1. La cohésion de la matière à l échelle moléculaire et atomique est une conséquence de l interaction électrique : les propriétés de la matière en découlent à notre échelle. L interaction électrique permet aux atomes de se combiner entre eux pour donner toutes les formes de la matière 3. Les propriétés mécaniques ne découlent pas de l interaction électrique dans la matière 4. La croissance des cristaux est une conséquence de l interaction électrique 5. L interaction électrique est indépendante de l enchaînement atomique dans la macromolécule d ADN A : 1,,3 ; B : 3,4,5 ; C : 1,3,4,5 ; D. 1,,4 ; E : Autre 3. Sans calculatrice. Quelles sont les assertions vraies? A : Le phénomène d'attraction des astres dans l'espace est à l'origine des marées B : La Lune est bien trop peu massique pour conserver une atmosphère C : L interaction gravitationnelle n a rien à voir avec l attraction des molécules de l atmosphère par la Terre D : Le poids peut être assimilé à la force gravitationnelle en première approximation E : La formation des galaxies, des étoiles et des planètes dépend de l attraction gravitationnelle 4. Sans calculatrice. Quelle est la combinaison correcte? 1. Les protons et les électrons sont le «ciment» de l atome ;. L interaction forte est une interaction attractive intense qui s exerce entre les nucléons et assure la cohésion des noyaux atomiques ; 3. L interaction forte n agit pas sur les électrons ; 4. L interaction forte est une interaction qui agit à l intérieur des noyaux atomiques, comme l interaction faible ; 5. La portée de l interaction forte ne dépasse pas la dimension nucléaire. A : Toutes ; B : 4,3,1 ; C : 5,4,3, ; D : Aucune ; E : Autre 17

5. Avec calculatrice. Données : = 1,98.10 30 S kg ; = 5,98.10 4 T kg ; d = 1,50.10 8 km La valeur de la force d interaction gravitationnelle entre le Soleil (S) et la Terre (T), dont les centres sont séparés de la distance d, est : 5 A : 6,4.10 N ; B : 3,.10 N ; C : 9,5.10 5 16 N ; D : 9,5.10 N ; 30 E : 0,5.10 N 6. (Suite) Le Soleil exerce une force gravitationnelle d intensité F = 1,4.10 1 N sur la planète Uranus de masse. Sachant que la distance entre les centres du U Soleil et d Uranus est D = 1,90.10 A : 1,0 ; B : 16,7 ; C : 15,1 ; D : 14,7 ; E : 13,4 m, quelle est la valeur du rapport U? T 7. Avec calculatrice. On s intéresse à l interaction électrique entre le noyau de l'atome d'oxygène (8 protons et 8 neutrons) et un électron de cet atome. La distance entre les deux est 58 pm. Données : m = 1,67.10 7 kg ; m = 1,67.10 7 kg ; 31 m e = 9,11.10 kg L interaction électrique est de l ordre de : A : 4 N ; B : mn ; C : 0,5 N ; D : 9,0 N ; E: Trop faible pour être calculée 8. Sans calculatrice. Quelles sont les affirmations correctes? A : La force d interaction gravitationnelle peut être répulsive ou attractive selon les cas B : La force d interaction électrique est attractive ou répulsive selon les cas C. Si une charge q 1 repousse une charge q alors q attire q1 D : À l échelle astronomique, la force de gravitation est prépondérante par rapport aux forces électriques E : Deux charges q 1 et q = 3q1 sont soumises chacune à une force d interaction électrique exercée par l autre charge. Le schéma qui illustre la situation est alors : p n F q1 / q F q / q 1 9. Sans calculatrice. Quelles sont les affirmations exactes? A : La constante k relative à l interaction électrique a pour unité le N.m.C -1 B : L unité de la constante gravitationnelle G est m 3.kg - 1.s - C : La constante de Coulomb k a pour unité le m 3.kg.s -1.C - Dans l atome d hydrogène, on peut écrire que les intensités des forces gravitationnelle F g et électrique F s exerçant entre le proton (p) et l électron (e) e sont dans un rapport : F m m D : g G p e F = E : e G m pme = F k e F k e e g 18

10. Sans calculatrice. Quelle est l affirmation fausse? A : L interaction faible peut être attractive ou répulsive selon les cas B : L interaction faible est responsable de la radioactivité qui permet au Soleil de briller C : Globalement les forces électriques se compensent alors que les forces de gravitation cumulent leurs effets D : L interaction forte diminue avec la distance, comme l interaction gravitationnelle E : L interaction forte a une portée très courte de l ordre de 1 fm 19

Corrections chapitre 1 1. Réponse C : les électrons libres assurent le passage du courant électrique.. Réponse D : 3. les transformations chimiques résultent de l interaction électrique. 3. Réponses ABDE. C : la Terre attire les molécules de l atmosphère grâce à la force gravitationnelle ; D : pour égaliser ces deux forces, il faut tenir compte de la rotation propre de la Terre. 4. Réponse C : 1. les protons, les électrons et les neutrons sont les «briques» de l atome. 5. Réponse B : T S FT / S = FS / T = G d 0 5,98 1,98 11+ 4+ 30 AN =.10 3,.10 N 3 1,5 6. Réponse D : U donc =14, 7 T U F D 1,4,9 1+ 4+ 11 30 5 = AN : U =.10 = 8,8.10 kg G 6,67 1,98 S 8 7 e e 7. Réponse C : 9 8 1 1,67 9 39+ F = K =.10 5.10 = 0,5 N d 5,8 8. Réponses BD : E. Fq 1 / q = F q / q donc F 1 q1 / q = F q / q1 9. Réponses AD : A. k en N.m.C - ou en m 3.kg. s -.C - m pme F G g G m m D : d p e = = Fe e k e k d 10. Réponse D : l interaction forte augmente avec la distance séparant les quarks, contrairement de l interaction gravitationnelle ou électrique. Corrections vidéo sur www.100pour100kine.fr code : KR1011 0