F.S.S.E.P. Université Lille 2

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Transcription:

F.S.S.E.P. Université Lille 2 Master Ingénierie de l Intervention. Didactique des A.P.S.A. Volley-ball PAINDAVOINE 2010 1

Logique et plan de l intervention Double enjeu; Master I.I. et préparation C.A.P.E.P.S Rappel du contexte liée à l A.P.S.A. Retour sur les attentes institutionnelles. Propositions d acquisitions essentielles. Fdp Constats Hypothèses Compétences Liens avec des visées éducatives. Exemples de conduites typiques. Diagnostiquer pour choisir, Planifier et structurer. Valider PAINDAVOINE 2010 2

Les contextes du Volley-ball Conjonctures. Historique; 2 grandes tendances. DE; Universalité des rôles, activité de récupération, de loisir, à faible coût énergétique A; Ultra spécialisation, haute intensité, spectacle. Tentatives de rééquilibrer la défense % attaque. Problématiques. Déficits (financiers, licenciés) des instances. Lisibilité (V.B. % autres A.C.O., lecture du spectacle, ). Essor du Beach. Déclin du Volley-ball féminin. Réussite des équipes nationales et échecs relatifs des compétitions nationales. Problématiques des centres de formation. Problématiques de la professionnalisation. Activité de loisir plaisante mais peu reconnue. Technicité et apprentissage. Programmations dans les E.P.L.E. et «éternels débutants» PAINDAVOINE 2010 3

Les attentes institutionnelles. Niveau 1 Dans un jeu à effectif réduit, rechercher le gain du match par le renvoi de la balle, seul ou à l aide d un partenaire, depuis son espace favorable de marque en exploitant la profondeur du terrain adverse. S inscrire dans le cadre d un projet de jeu simple lié au renvoi de la balle. Respecter les partenaires, les adversaires, les décisions de l arbitre. Niveau 2. Dans un jeu à effectif réduit, rechercher le gain du match en organisant, en situation favorable, l attaque intentionnelle de la cible adverse par des balles accélérées ou placées face à une défense qui s organise. S inscrire dans le cadre d un projet de jeu simple lié à l efficacité de l attaque. Observer et co-arbitrer. Niveau 1 Terminale). Rechercher le gain d'une rencontre de volley-ball par la mise en place d'une organisation collective : l'équipe attaque la la cible à partir du service, avec des vitesses et des axes différents et enrichit les alternatives d'attaque en utilisant au maximum l'espace de jeu effectif offensif. Les élèves sont capables de recueillir des informations pour élaborer un projet collectif. Niveau 2 Terminale). Rechercher le gain d'une rencontre de volley-ball par mise en œuvre de choix tactiques collectifs fondés sur des alternatives d'attaque qui visent à prendre de vitesse le système défensif : - en créant de l'incertitude le plus tôt possible afin de gêner la mise en place confortable de la défense, - en augmentant la vitesse d'exécution et de replacement. Les élèves utilisent de façon optimale leurs ressources au regard des modalités d action élaborées. PAINDAVOINE 2010 4

Les attentes institutionnelles. Pour l E.P.S. en L.P. Niveau 3 Pour gagner le match, mettre en œuvre une attaque qui atteint volontairement la cible, prioritairement la zone arrière. Niveau 4 Pour gagner le match, mettre en œuvre une organisation collective qui permet une attaque placée ou accélérée. Niveau 5 La défense s organise en fonction des attaques adverses («contre», «couverture»). PAINDAVOINE 2010 5

Analyse des attentes institutionnelles. Effectif réduit. Gain du match. Joueur seul dans un premier temps. Attaque en premier. Profondeur à viser en premier lieu. Espace offensif à créer; espace favorable de marque, espace de jeu effectif offensif. Jeu placé ou fort avant le jeu rapide. Viser l enchaînement de tâches très tard (FB; Jeu sans ballon évoqué en Niveau 2!)! Défense (très vite organisée) à déjouer (même si elle est occultée des compétences vs Rugby, F.B.). Organisation collective (équipe) très tard! Alternatives d attaque et incertitude très tard! Informations utiles au jeu très tard ((HB, Rugby, FB, pertinence des choix dès le niveau 1!)! PAINDAVOINE 2010 6

Zoom sur le Baccalauréat. Match à 4 contre 4, sur un terrain de 14m sur 7m, se déroulant en 15 points joués au point décisif, opposant des équipes dont le rapport de forces est équilibré à priori. Chaque équipe dispute au moins 2 rencontres contre la même équipe Les règles essentielles sont celles du volley-ball. La hauteur du filet est adaptée aux caractéristiques des candidats (de 2,00m à 2,30m). Le nombre de services consécutifs effectués par le même joueur est limité à trois. Un temps mort est disponible par équipe et par set. PAINDAVOINE 2010 7

Zoom sur le Baccalauréat 04/20 Pertinence et efficacité de l'organisation collective pour faire progresser le ballon et atteindre la cible : Analyse et exploitation collective du rapport de force entre les équipes Degré d organisation offensive de l équipe 06/20 Contribution et efficacité individuelle du joueur dans l organisation collective offensive. Prise de décisions en jeu en tant que joueur porteur de balle, joueur non porteur de balle. Prise de décisions dans la relation PB/NPB 04/20 Pertinence et efficacité de l'organisation collective pour gêner la progression de balle adverse, protéger la cible, et récupérer la balle Analyse et exploitation du rapport de force entre les équipes Degré d organisation défensive de l équipe 04/20 Contribution et efficacité individuelle du joueur dans l organisation collective défensive Efficacité individuelle pour protéger la cible. Efficacité individuelle pour récupérer la balle 02/20 Efficacité collective. Gain des rencontres. Effets des organisations choisies sur l évolution du score PAINDAVOINE 2010 8

Propositions de formes de pratique. (METZLER) FdP 1. Jeu 2 contre 2, sur terrain réduit (4m 50 sur 4m50), filet entre 2m et 2m10, ballon souple et léger. Engagement en passe à 10 doigts, à l intérieur du terrain, renvoi en frappe à 1 ou 2 mains. Jeu au temps, en points, ou au nombre d engagements. Décompte type R.P.S. PAINDAVOINE 2010 9

Propositions de formes de pratique. FdP 2. Jeu en 3X3 ou 4X4, sur terrain plus long que large (4.5m sur 6m voire 4.5m sur 7.5m), filet entre 2.10m et 2.24m), ballon léger et souple de consistance. Rotation au service. Engagement par une frappe à une main, qui peut se faire à l intérieur du terrain. 3 services maxima par joueur (2 essais possibles). Réception. 3 et même 4 touches de balle peuvent être autorisées par équipe. Jeu en temps, aux points ou en nombre de services. Décompte en marque continue. PAINDAVOINE 2010 10

Propositions de formes de pratique. Fdp 3. Jeu en 4X4 sur un terrain de 7.5m sur 9m, ou 6X6 sur 9mX9M. Filet entre 2M24 et 2m43, ballon adapté. Rotation des joueurs au service, engagement par une frappe au dessus de la tête, depuis la zone de service. Réception et renvoi en frappe à 1ou 2 mains et au pied. 3 touches de balle autorisées par équipe. Jeu au temps, aux points ou au nombre de services. Décompte en marque continue. PAINDAVOINE 2010 11

Fdp 1. Comportements observables. On assiste à un jeu d engagements sans beaucoup de renvois : peu de franchissements de filets. Au cas où il y a renvoi, celui-ci reste proche du filet (renvoi cour). Les rôles d attaquants et de défenseurs ne sont pas toujours différenciés : jeu d échange de balle sans mise en difficulté délibérée entre opposants. Entre équipiers, non différenciation des rôles de réceptionneur non réceptionneur ; gêne, bousculade au point de chute du ballon. Absence de relations d aide entre partenaires : immobilité du non réceptionneur (spectateur passif). Toutes les frappes sont utilisées (y compris les frappes au poing) sans aucune différenciation d intention. Les trajectoires sont imprévisibles. La cible visée est atteinte lorsque l orientation préalable du joueur au moment de la frappe est compatible avec celle-ci. Le secteur d intervention varie d un essai à l autre ; ballon frappé à hauteur du visage, au dessus de la tête, en arrière de la tête En cas de déplacement, la frappe se fait souvent en frappe basse à une main, en rupture d équilibre, et dans le sens du déplacement. PAINDAVOINE 2010 12

Fdp 1. Hypothèses explicatives. Les élèves renvoient le ballon sans autre intention de le renvoyer d où il vient. Les joueurs sont en réaction à la situation en cours, ils fonctionnent dans l urgence ; le déplacement est souvent tardif lorsque le ballon entre dans leur propre espace d intervention. Entièrement centré sur le ballon, le joueur peut renvoyer des balles «out»ou prendre les balles de son partenaire. Faute d anticipation, les renvois se font dans l axe de déplacement et non par rapport à une cible précise (problème d orientation). La situation de frappe entraîne une remise en cause importante de la motricité usuelle (tête renversée, utilisation des membres supérieurs, des avant bras et des doigts dans la frappe). En l absence de dissociation bras/buste et bras/jambe, la frappe est explosive et entraîne de nombreuses rééquilibrations a posteriori. PAINDAVOINE 2010 13

Fdp 1. Compétences Compétences A.C.O. -S inscrire dans un eu collectif et chercher à marquer plus de points que l adversaire. -Respecter dans le jeu les règles essentielles du sport pratiqué. -Faire des choix élémentaires permettant d atteindre la cible. -Maîtriser quelques techniques nécessaires à la forme de jeu développée. Compétences attendues en Volley-ball. A la fin de cette étape, les élèves doivent pouvoir s inscrire dans un jeu de renvoi immédiat. A un engagement succèdent un ou plusieurs franchissements du filet par le ballon ; le ballon «vole» entre les deux camps jusqu à mettre l opposant en difficulté de renvoi. Dans ce but, les élèves doivent être capables dans le contexte d un jeu plus complexe ; -C.1 d élaborer des stratégies d action afin de protéger collectivement leur cible, de favoriser le renvoi immédiat du ballon afin de mettre l adversaire en difficulté. -C.2 de différencier et coordonner les rôles de réceptionneur et de non réceptionneur afin de renvoyer le ballon sans se gêner mutuellement. -C.3 d utiliser différents types de frappe afin de pouvoir simultanément et dans la même action défendre et attaquer la cible adverse. PAINDAVOINE 2010 14

Fdp 2. Comportements observables. On assiste à un jeu d échanges de balle entre les 2 équipes. Les élèves cherchent à protéger leur camp et à renvoyer rapidement de l autre côté du filet. Ils acceptent de différer l attaque en conservant le ballon dans leur propre camp. Les franchissements consécutifs de filets peuvent être nombreux. Au cas où le renvoi est long et repousse l adversaire au fond du terrain, celui-ci entraîne le gain du point presque systématiquement. Les rôles d attaquants et de défenseurs sont nettement différenciés : le but du jeu est bien intégré. Entre équipiers, les relations entre joueurs arrières et avants ne sont pas établies ; les trajectoires produites par le réceptionneur sont souvent tendues, perpendiculaires au filet, le ballon est projeté sur le partenaire situé proche du filet et orienté dos à celui-ci. En cas de relais par un joueur avant, le ballon est prolongé sur sa trajectoire sans contrôle de la cible à attaquer. Les frappes pour défendre sa propre cible (vers le haut) et pour attaquer la cible de jeu adverse (vers le bas) ne sont pas nettement différenciées. On observe encore de nombreux déséquilibres dans la frappe dus à l intervention tardive sur la balle. La cible atteinte est déterminée par l orientation préalable des appuis du joueur au moment de sa frappe ainsi que par l orientation de sa (ses) surface (s) de frappe. Les replacements après la frappe sont rares. PAINDAVOINE 2010 15

Fdp 2. Hypothèses explicatives. Les élèves cherchent à envoyer directement le ballon avec l intention tactique de mettre l adversaire en difficulté. La conservation collective du ballon présente toujours une prise de risque perçue comme inutile. Les joueurs sont encore centrés sur la trajectoire de la balle arrivante et s inscrivent majoritairement dans des projets d action individuels. De fait, la relation d échange de balle avec un partenaire est souvent circonstancielle. L absence de projet collectif, d indices significatifs à prendre en compte, comme de communications verbales, entraînent de nombreuses incompréhensions entre partenaires ; absences de joueur ou deux joueurs en même temps au point de chute du ballon! Les frappes en déviation posent de grosses difficultés dues à un manque d anticipation et à une orientation inadaptée car unique et exclusive. Les frappes sont mal contrôlées en intensité suite à un problème de régulation tonique (corps hyper tonique ou au contraire hyper relâché). PAINDAVOINE 2010 16

Fdp 2. Compétences Compétences A.C.O. -Occuper les rôles nécessaires à la continuité et à la discontinuité du jeu. -Mettre en œuvre des actions individuelles et collectives adaptées aux réactions de l adversaire. -Maîtriser les solutions nécessaires pour utiliser des espaces permettant d agir en attaque et en défense, pour agir en attaque et en défense, pour agir sur le déplacement de la balle, pour atteindre la cible -Appliquer et faire appliquer dans le jeu un règlement adapté. Compétences attendues en Volley-ball. A la fin de cette étape, les élèves doivent pouvoir s inscrire dans un jeu de renvoi immédiat et/ou dans un jeu de relais. Les compétences acquises doivent permettre à l élève de pouvoir mettre en œuvre des alternatives de renvoi, soit immédiat, soit différé, créées par ce type de jeu. Dans ce but, les élèves doivent être capables dans des conditions de complexité croissante : -C.1 d élaborer des stratégies individuelles et collectives d action afin de protéger leur cible, de favoriser la progression du ballon vers l avant, et de mettre en difficulté l adversaire par le renvoi. -C. 2 de différencier et coordonner les rôles de réceptionneur et de joueur relais (en appui et en soutien) afin qu ils puissent renvoyer collectivement le ballon. -C. 3 de différencier les phases et les frappes de récupération et de marque afin de pouvoir attaquer de façon immédiate ou différée la cible de jeu adverse. PAINDAVOINE 2010 17

Fdp 3. Comportements observables. Les joueurs différencient leurs actions et leurs rôles selon le poste occupé et un projet de jeu plus ou moins défini : occupation du poste 3 par le passeur, des postes 2 et 4 par les attaquants, des postes arrières par les réceptionneurs/défenseurs. Chaque joueur semble prisonnier de sa zone, il n en sort que très rarement, ses déplacements sont limités. Lorsque les situations de jeu sont faciles à gérer (balle lente, trajectoire arrondie, peu de déplacement à effectuer pour s approprier le ballon) les élèves cherchent intentionnellement à mettre l adversaire en difficulté par un renvoi fort, smashé, après une construction collective d attaque (jeu en 3 touches, attaque à l aile). Le positionnement fréquent de l attaquant près du filet, orienté face au passeur ou face au filet, ne lui permet cependant pas de produire une attaque smashée efficace. Lorsque les conditions de jeu sont difficiles (service ou attaque forte, par exemple), apparaissent à nouveau des conduites en réaction à la situation immédiate, des situations de frappe face à face, des difficultés de contrôle de frappe en direction et en intensité. En défense, les joueurs restent dans le dispositif occupé à la fin de la construction d attaque. Le jeu en suspension pose problème, notamment au niveau du smash et du contre ; les prises d élan mal contrôlées entraînent de nombreux déséquilibres et des fautes de franchissement. PAINDAVOINE 2010 18

Fdp 3. Hypothèses explicatives. L attribution d un poste aux joueurs (et non d un rôle) semble figer chacun d entre eux dans un espace qu ils ont du mal à quitter, à les cantonner dans un jeu d échange de balle à partir du positionnement établi : tout se passe comme si les joueurs attendaient (systématiquement) que le ballon vienne à eux. Faute de décentration et d anticipation, les joueurs n assument pas la relation attaque-défense. Dans l action, les joueurs oscillent entre une conduite anticipatrice (orientation partagée, replacement par rapport aux joueurs et à la trajectoire de balle) et une conduite en réaction (orientation face à face, difficultés à s écarter des trajectoires du ballon). Les frappes de balle ne sont pas suffisamment modulées en intensité comme en direction pour permettre le renforcement de la relation réceptionneur-attaquant. Les techniques de smash et de contre posent encore des problèmes de coordination déplacement-impulsion-frappe-replacement, d équilibre dans la frappe, ainsi que de dissociation segmentaire. PAINDAVOINE 2010 19

Fdp 2. Compétences Compétences A.C.O. -Construire une stratégie individuelle et collective dans un contexte réglementé contraignant. -Mettre en place des organisations défensives et offensives en fonction du rapport de force, des caractéristiques des joueurs adverses et de ses équipiers. -Exploiter les alternatives d attaque immédiate et différée. -Se mobiliser sur l ensemble de l espace de jeu. -Accéder aux techniques de défense et d attaque nécessaires au jeu pratiqué. Compétences attendues en Volley-ball. A la fin de cette étape, les élèves doivent pouvoir optimiser la conservation collective du ballon afin de positionner un joueur en situation favorable de marque. Les compétences acquises doivent permettre à l élève de pouvoir défendre collectivement leur cible et mettre en difficulté l adversaire par la construction collective d une attaque. Dans ce but, les élèves doivent être capables dans des conditions de complexité importantes ; -C.S. 1 d élaborer des stratégies individuelles et collectives afin de protéger leur cible et d exploiter les alternatives d attaque immédiate et différée. -C.S.2 de différencier et coordonner en vue de la construction de l attaque les rôles de réceptionneur, de passeur et d attaquant, ceux de contreur et de défenseur en vue de la défense de leur propre camp. -C.S.3 de compenser les erreurs de leurs partenaires, d assurer la couverture ; le soutien du joueur intervenant. -C.S.4 d intervenir sur le ballon afin de donner du temps à leurs partenaires, et mettre en crise de temps leurs adversaires. PAINDAVOINE 2010 20

Lier des attentes éducatives avec des apprentissages spécifiques. Citoyenneté, vivre ensemble, communication. Santé, développement de soi, entretien. Mise en projet d élève. PAINDAVOINE 2010 21

Vivre ensemble Formes de groupement identiques sur les A.C.O. Justification % T.O. Justification % psycho-socio. Possibilités sur toutes les A.P.S.A. Favoriser la mixité. Rotations obligatoires et/ou travail par side-out. PAINDAVOINE 2010 22

Vivre ensemble Constructions Règles (tester et décider + décompte spécifique). Rôles sociaux ;duos de coaches avec repères visuels simples; nbre franchissements de filet, att ++ att + att = att att --, zones visées, dispositifs adverses) mais aussi ROLES dans l équipe; Relayeur-Passeur-Attaquant fixes ou non. Matches par poules pour observer et décider (justification T.O., modalités d apprentissage, ) PAINDAVOINE 2010 23

Vivre ensemble Communiquer Qui? Un des 2 coaches Le passeur Comment? Avec les fiches Avec des techniques de passes. Quand? Temps morts techniques ou non Tous les X échanges PAINDAVOINE 2010 24

Santé, développement de soi, Augmenter le Volume de jeu. Simplifier les règles, Adapter les règles (P.B.L., rebond, ), Réduire les effectifs, Proposer des ramasseurs de ballons, Limiter le service; entrave au jeu, Jouer sur le temps de jeu et le temps effectif, Matches par poules, PAINDAVOINE 2010 25

Santé, développement de soi, Santé et Volley-ball Efforts peu violents, Peu de risques corporels, Rectitude de la colonne vertébrale, Prises d informations, Prises de décisions, Mixité facilitée, Développement d une activité de loisirs PAINDAVOINE 2010 26

Projets d élèves Prendre des informations et des décisions. Seul, Par équipe, A l aide d un coach, Vite, Dispositifs adverses; jouer sur les espaces libres adverses Créer l incertitude; Spatiale, Temporelle, Evènementielle Tactiques et stratégies à construire, expérimenter, décider, PAINDAVOINE 2010 27

Exemples de conduites typiques PAINDAVOINE 2010 28

L équipier modèle Le non porteur de balle reste sur la même ligne que le porteur. Avancer pour progresser collectivement Se décentrer d une trajectoire reçue S organiser % trajectoire à produire (appuis, orientations) Projets de jeu avec alternatives décisionnelles si alors PAINDAVOINE 2010 29

Exemples de conduites typiques PAINDAVOINE 2010 30

La manchette explosive Jeu en réaction. Tout le corps participe à l action. Contrôler en intensité, direction le contact. Plateau de contact Un non intervenant mime Se déterminer intervenant non intervenant. Alternatives décisionnelles PAINDAVOINE 2010 31

Exemples de conduites typiques PAINDAVOINE 2010 32

Tous sur la balle Syndrome de la grappe en A.C.O. Se déterminer intervenant non intervenant Se projeter dans l action future (orientation, projets, ) PAINDAVOINE 2010 33

Exemples de conduites typiques PAINDAVOINE 2010 34

Un 1er niveau d organisation collective à 2. Alignement des joueuses; 1 intervient et 2 regarde. Jouer sur des ballons lancés plus loin pour faire apparaître la nécessité du jeu collectif (relayeur). Supprimer la réception perpendiculaires au filet pour faciliter les orientations partagées pour coopérer. PAINDAVOINE 2010 35