La Défense supprimera 7.500 postes de moins que prévu sur 2015-2019, après les attentats avec AFP - le 21 janvier 2015 à 15h00, mis à jour le 21 janvier 2015 à 15h04. Notre société : Le gouvernement français renonce à la suppression de 7.500 postes dans les armées sur la période 2015-2019 pour faire face aux besoins sécuritaires après une série d'attentats, a annoncé l'elysée mercredi après un conseil de défense. François Hollande a annoncé mercredi que la Défense supprimerait 7.500 postes de moins que prévu sur 2015-2019, dont 1.500 dès 2015, après les attentats récents. Lors d'un conseil de défense à l'élysée, le président de la République "a décidé de réduire de 7.500 les déflations d'effectifs prévues pour le ministère de la Défense sur la période de 2015 à 2019 par la loi de programmation militaire, dont 1.500 dès l'année 2015", a indiqué l'elysée dans un communiqué. François Hollande a demandé une actualisation "d'ici cet été" de la Loi de programmation militaire (LPM) pour 2015-2019, tenant compte de ces modifications. Les suppressions de postes prévues sur la durée de la loi de programmation militaire étaient d'environ: 7.500 en 2015, 7.500 en 2016, 7.300 en 2017 et 3.500 en 2018, soit un total de 25.800. Elles passent donc de 25.800 à 18.300 sur quatre ans et, pour la seule année 2015, de 7.500 à 6.000. Au total, les dégraissages seront donc inférieurs de 30% à ce qui était initialement prévu. Mercredi dernier lors de ses voeux aux armées à bord du porte-avion Charles-de-Gaulle en partance pour le Golfe, M. Hollande avait annoncé que, compte tenu de la "situation exceptionnelle" créée par les récents attentats, le "rythme de réduction" des effectifs de la Défense prévus pour "les trois prochaines années" serait "revu et adapté". L'armée française comptait 278.000 personnels civils et militaires fin 2013. Quelque 54.000 postes ont déjà été supprimés dans le cadre de la LPM précédente (2008-2014). Attentats : le ministère de la Défense va supprimer 7 500 postes de moins que prévu Par Francetv info avec AFP - Mis à jour le 21/01/2015 15:35, publié le 21/01/2015 Le président a réuni, mercredi, un conseil de Défense. Un Rafale sur le point de décoller sur le pont du porte-avions "Charles-de-Gaulle", près de Toulon (Var), le 15 janvier 2015. (ANNE-CHRISTINE POUJOULAT / AFP) Après les attentats à Paris, le ministère de la Défense revoit à la hausse ses effectifs pour les prochaines années. François Hollande annonce, mercredi 21 janvier, que le gouvernement supprimera 7 500 postes de moins que prévu dans la loi de programmation militaire (LPM), sur la période 2015-2019. Le chef de l'etat "a demandé en conséquence d engager rapidement les travaux pour actualiser d ici cet été la loi de programmation militaire", écrit l'elysée dans un communiqué. Près de 1 500 postes doivent être "sauvés" dès cette année.
18 300 postes supprimés au lieu de 25 800 Dans le détail, ce changement fait passer de 25 800 à 18 300 le nombre de suppressions de postes dans le cadre de la LPM 2015-2019. Environ 54 000 postes ont déjà été supprimés à la Défense sur la période 2008-2014. Fin 2013, l'armée française comptait 278 000 personnels civils et militaires. POLITIQUE. La Défense supprimera 7 500 postes de moins que prévu sur 2015-2019 LE PROGRES - Publié le 21/01/2015 à 14:31 François Hollande a annoncé mercredi que la Défense supprimerait 7.500 postes de moins que prévu sur 2015-2019, dont 1 500 dès 2015, après les attentats récents. François Hollande et Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense. Photo AFP Lors d un conseil de défense à l Élysée, le président de la République «a décidé de réduire de 7 500 les déflations d effectifs prévues pour le ministère de la Défense sur la période de 2015 à 2019 par la loi de programmation militaire, dont 1 500 dès l année 2015», selon un communiqué de l Élysée. M. Hollande a demandé une actualisation «d ici cet été» de la loi de programmation militaire. Terrorisme : la Défense supprimera moins de postes que prévu Le Point - Publié le 21/01/2015 à 14:26 - Modifié le 21/01/2015 à 14:54 François Hollande a décidé de réduire de 7 500 les déflations d'effectifs prévues pour le ministère sur la période de 2015 à 2019. 1 500 postes seront sauvegardés à la Défense en 2015. AFP PHOTO ERIC CABANIS François Hollande a annoncé mercredi que la Défense supprimerait 7 500 postes de moins que prévu sur 2015-2019, dont 1 500 dès 2015, après les attentats récents. Lors d'un conseil de défense à l'élysée, le président de la République "a décidé de réduire de 7 500 les déflations d'effectifs prévues pour le ministère de la Défense sur la période de 2015 à 2019 par la loi de programmation militaire, dont 1 500 dès l'année 2015", selon un communiqué de l'élysée. François Hollande a demandé une actualisation "d'ici cet été" de la Loi de programmation militaire (LPM) pour 2015-2019, tenant compte de ces modifications. Les suppressions de postes prévues sur la durée de la loi de programmation militaire étaient d'environ : 7 500 en 2015, 7 500 en 2016, 7 300 en 2017 et 3 500 en 2018, soit un total de 25 800. Elles passent donc de 25 800 à 18 300 sur quatre ans et pour la seule année 2015, de 7 500 à 6 000. Au total, les dégraissages seront donc inférieurs de 30 % à ce qui était initialement prévu. Mercredi dernier lors de ses voeux aux armées à bord du porte-avions Charles de Gaulle en partance pour le Golfe, François Hollande avait annoncé que compte tenu de la "situation exceptionnelle" créée par les récents attentats, le "rythme de réduction" des
effectifs de la Défense prévus pour "les trois prochaines années" serait "revu et adapté". L'armée française comptait 278 000 personnels civils et militaires fin 2013. Quelque 54 000 postes ont déjà été supprimés dans le cadre de la LPM précédente (2008-2014). La Défense supprimera 7.500 postes de moins que prévu d'ici 2019 L OBS - Publié le 21-01-2015 à 15h19 Les suppressions passent donc de 25.800 à 18.300 postes sur quatre ans. Des militaires patrouillent dans un aéroport KENZO TRIBOUILLARD / AFP La Défense supprimera 7.500 postes de moins que prévu sur 2015-2019, a annoncé François Hollande mercredi 21 janvier. Pour l'année 2015, ce sont 1.500 postes qui ne seront pas supprimés. Lors d'un conseil de défense à l'elysée, le président de la République "a décidé de réduire de 7.500 les déflations d'effectifs prévues pour le ministère de la Défense sur la période de 2015 à 2019 par la loi de programmation militaire, dont 1.500 dès l'année 2015", a indiqué l'elysée dans un communiqué. François Hollande a demandé une actualisation "d'ici cet été" de la loi de programmation militaire. Les suppressions de postes prévues sur la durée de la loi de programmation militaire étaient d'environ: 7.500 en 2015, 7.500 en 2016, 7.300 en 2017 et 3.500 en 2018, soit un total de 25.800. Une "situation exceptionnelle" Elles passent donc de 25.800 à 18.300 sur quatre ans et pour la seule année 2015, de 7.500 à 6.000. Au total, les dégraissages seront donc inférieurs de 30% à ce qui était initialement prévu. Mercredi dernier lors de ses voeux aux Armées à bord du porte-avion Charles-de-Gaulle en partance pour le Golfe, François Hollande avait annoncé que compte tenu de la "situation exceptionnelle" créée par les récents attentats, le "rythme de réduction" des effectifs de la Défense prévus pour "les trois prochaines années" serait "revu et adapté". L'armée française comptait 278.000 personnels civils et militaires fin 2013. Quelque 54.000 postes ont déjà supprimés dans le cadre de la LPM précédente (2008-2014).
LIBERATION AFP - 21 janvier 2015 à 14:27 (Mis à jour : 21 janvier 2015 à 14:55) François Hollande a décidé de revoir à la baisse le nombre de postes supprimés dans la loi de programmation militaire pour 2015-2019, après les attentats en France. Le président de la République a annoncé mercredi que la Défense supprimerait 7 500 postes de moins que prévu sur 2015-2019, dont 1 500 dès 2015, après les attentats récents. Lors d un conseil de défense à l Elysée, François Hollande «a décidé de réduire de 7 500 les déflations d effectifs prévues pour le ministère de la Défense sur la période de 2015 à 2019 par la loi de programmation militaire, dont 1 500 dès l année 2015», a indiqué l Elysée dans un communiqué. Hollande a demandé une actualisation «d ici cet été» de la Loi de programmation militaire (LPM) pour 2015-2019, tenant compte de ces modifications. Les suppressions de postes prévues sur la durée de la loi de programmation militaire étaient d environ : 7 500 en 2015, 7 500 en 2016, 7 300 en 2017 et 3 500 en 2018, soit un total de 25 800. Elles passent donc de 25 800 à 18 300 sur quatre ans et, pour la seule année 2015, de 7 500 à 6 000. Au total, les dégraissages seront donc inférieurs de 30% à ce qui était initialement prévu. Mercredi dernier lors de ses vœux aux armées à bord du porte-avion Charles-de-Gaulle en partance pour le Golfe, Hollande avait annoncé que, compte tenu de la «situation exceptionnelle» créée par les récents attentats, le «rythme de réduction» des effectifs de la Défense prévus pour «les trois prochaines années» serait «revu et adapté». L armée française comptait 278 000 personnels civils et militaires fin 2013. Quelque 54 000 postes ont déjà été supprimés dans le cadre de la LPM précédente (2008-2014).
BUDGET DE LA DEFENSE Par Yannick Sanchez - Mis à jour le 02/06/2014 18:57, publié le 02/06/2014 Les militaires l'attendaient au tournant, François Hollande a cherché à les apaiser. Le président de la République a affirmé lundi 2 juin, lors d'un conseil de Défense, que "les engagements financiers" de la loi de programmation militaire (LPM) couvrant la période 2014-2019 seraient tenus. Il a toutefois réclamé au gouvernement "des propositions pour améliorer la gestion des matériels et projets" dans ce qui représente le troisième poste budgétaire de l'etat, derrière l'education et la dotation aux collectivités locales. En filigrane : la recherche d'économies supplémentaires sur le budget de la Défense. L'armée craignait de se voir imposer dès à présent de nouvelles coupes budgétaires après celles entérinées dans la LPM, qui prévoyait déjà, entre autres, une réduction des effectifs de 34 000 militaires en six ans. Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, s'en était personnellement inquiété auprès de l'elysée. Pour mieux comprendre le cadre budgétaire dans lequel évoluent les armées françaises, francetv info résume les principales données à connaître en trois graphiques. Un budget en baisse depuis vingt ans Sur le budget global de la Défense, le constat est clair : les dépenses, exprimées dans ce graphe en pourcentage du PIB, ont inexorablement baissé au cours de ces vingt dernières années. 3,34% en 1991-2,91% en 1997 2,49% en 2001 2,33% en 2008 2,26% en 2012 Le coût croissant des opérations extérieures Entre l'intervention en Libye de 2011 (368 millions d'euros) et l'envoi de troupes au Mali en 2013 (646 millions d'euros), le budget des opérations extérieures de l'armée a doublé en à peine six ans. Il est ainsi passé de 663 millions d'euros en 2007 à plus de 1,25 milliard en 2013. En cause notamment, les frais relatifs à la formation des troupes militaires afghanes à l'approche du départ des Français ainsi que l'intervention en Libye pour y déloger le dictateur Mouammar Kadhafi et l'opération militaire Sangaris au Mali, l'une des plus coûteuses de ces dernières années. Ce graphique superpose les dépenses militaires de la France à l'étranger, en fonction du lieu d'opération. Des dépenses comparables à celles des grandes nations La France reste, malgré tout, l'un des pays qui consacre le plus d'argent à son armée. En 2013, l'hexagone figurait à la sixième place mondiale en termes de dépenses militaires, derrière les Etats-Unis, la Chine, la Russie, le Royaume-Uni et le Japon. Et à peu près dans la moyenne mondiale en termes de dépenses en pourcentage de son PIB.
Notons néanmoins qu'à dépense comparable, la France est davantage intervenue à l'étranger que les Britanniques et l'allemagne réunis. Les opérations extérieures pèsent donc particulièrement lourd dans le budget de la Défense. La France dispose par ailleurs de près de 228 000 militaires, contre un peu moins de 170 000 soldats pour le Royaume- Uni.