Rapport sur l offre de formation «licence»

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1 Section des Formations et des diplômes Rapport sur l offre de formation «licence» de l Institut National des Langues et Civilisations Orientales Vague D Campagne d évaluation

2 Section des Formations et des diplômes Le président de l'aeres "signe [...], les rapports d'évaluation, [...] contresignés pour chaque section par le directeur concerné" (Article 9, alinéa 3, du décret n du 3 novembre 2006, modifié).

3 Préambule L Institut National des Langues et Civilisations Orientales INALCO (héritier d un établissement très ancien fondé sur une tradition datant du 18ème siècle) appartient actuellement au PRES Sorbonne Paris Cité) et est regroupé depuis peu 65 rue des Grands Moulins, Paris, ce qui permet une nouvelle cohérence de la formation. La formation licence proposée par l INALCO a été mise en place en 2007 dans le cadre du passage au processus de Bologne qui a été marqué pour l INALCO par une augmentation de l offre de formation licence et une diminution de l offre de formation en termes de diplôme d établissement. Cette offre de formation se caractérise par sa richesse et sa diversité : on a dénombré approximativement, parce que la notion de langue ne peut pas être délimitée avec certitude 58 langues différentes correspondant à une formation entière, l INALCO indiquant 93 langues au total. La plupart des langues enseignées le sont peu par ailleurs en France et, dans certains cas, l INALCO est le seul lieu d enseignement de la langue en question. Langues et matières «appliquées» se répartissent selon trois secteurs : Langues, littératures et civilisations étrangères (LLCE, formations linguistiques) ; Langues, littératures et civilisations aréales (LLCA, formations linguistiques et culturelles par zone géographique) ; Langues du monde et formation appliquée (LMFA, formations associant apprentissages linguistiques et matières «appliquées»). L INALCO indique 5091 étudiants inscrits en licence. 1 Projet pédagogique Appréciation : Les langues et les autres disciplines enseignées sont regroupées en 13 mentions réparties en trois secteurs : - Langues, littératures et civilisations étrangères (LLCE) qui forme une unique mention et qui porte sur «des langues rassemblant un public nombreux» (arabe, arabe maghrébin-arabe oriental, arménien, berbère, chinois, coréen, grec moderne, hébreu moderne, hindi, hongrois, japonais, malgache, polonais, russe, siamois-thaï, turc, vietnamien), l objectif en fin de licence étant l obtention d un niveau B2/C1 du Cadre européen commun de référence ; - Langues, littératures et civilisations aréales (LLCA) qui est constitué de sept mentions correspondant à «la perception de cohérences régionales fortes» (Afrique, Asie du Sud, Asie du sud-est, Haute Asie, Eurasie, Europe centrale et orientale, Pacifique) ; - Langue du monde et formation appliquée (LMFA) qui regroupe cinq mentions de licence «préprofessionnalisantes» associant langue-culture et «champs professionnels» (relations internationales - RI, commerce international - CI, communication interculturelle et langues du monde - CILM, didactique du français langue étrangère - FLE, traitement numérique multilingue - TNM). La première année de licence offre un cadre commun à toutes les mentions (différant l inscription en LLCA, LLCE ou LMFA) et est orientée principalement vers l apprentissage linguistique et culturel (c est-à-dire dans la détermination des choix de la/des langue(s) de spécialisation). Le projet pédagogique d ensemble apparaît cohérent et ambitieux, étant donné non seulement le grand nombre de langues enseignées, mais aussi la volonté affichée de lier les apprentissages linguistiques à des domaines dans lesquels pourront s inscrire l emploi des langues acquises et les connaissances liées à ces langues. Les mentions LMFA permettent une double formation en comportant de véritables enseignements disciplinaires qui viennent complétés les apprentissages linguistiques. Les apports théoriques et les apports pratiques semblent équilibrés. Le projet global vise à une diversification progressive des cursus. La volonté d un ensemble homogène de spécialisation, d ouverture sur des domaines annexes (soit culturels, soit professionnels et technologiques) et d enseignement transversaux (anglais de la «globalisation», informatique appliquée et méthodologie) est manifeste. L existence de licences bilingues et de doubles formations permet de mêler adroitement économie de moyens et conservation d un panel important de langues. Les mentions LLCA définissent ce qu elles entendent par «formation culturelle», sans que cela soit toujours homogène : littérature et civilisation au minimum, histoire et géographie pouvant s ajouter. La formation licence de l INALCO vise «la production de connaissances et de compréhension des langues, cultures et sociétés du monde». Cet objectif suppose des partenariats à travers le monde. Ceux-ci sont variables selon la mention. Ainsi, parmi les mentions LMFA, seule la mention Communication et formation interculturelle affiche des partenaires, mais les autres mentions peuvent utiliser le réseau de coopération de l INALCO (exemple LMFA-Relations internationales). La mention LLCE quant à elle mentionne de très nombreux partenariats et sur les sept mentions LLCA, une seule n en indique aucun. Toutes les mentions de licence relèvent du domaine «Littératures 3

4 et langues étrangères, Civilisations, Cultures et langues régionales» comme domaine principal ; les mentions LMFA relèvent aussi en outre d un ou deux domaines secondaires. Bilan de la notation du critère : A+ A B C Total Points forts : Formations originales, souvent rares en France, parfois uniques dans le monde, notamment du point de vue aréal et du point de vue de l association à des «matières appliquées». Formations souvent à fort potentiel professionnel ou centrées sur des aires géographiques. Programmes cohérents. Possibilités intéressantes de pluridisciplinarité et de composition de différentes compétences et ouvertures sur les technologies numériques. Points faibles : Pas de modalités systématiques d évaluation des formations par les étudiants (mis à part un questionnaire en LMFA-RI). Les modalités d évaluation des étudiants par les enseignants ne sont pas toujours clairement précisées. Equipes de formation parfois réduites. 2 Dispositifs d aide à la réussite Appréciation : Des dispositifs d aide à la réussite peuvent se diviser en trois sous-ensembles : - ceux qui sont orientés vers les étudiants présentant un profil particulier ; - ceux qui ont pour objectif de faciliter la réussite et la meilleure réussite possible pour un(e) étudiant(e) qui n est ni en échec ni en difficulté ; - ceux qui ont pour objectif de permettre aux étudiants en difficulté soit d éviter l échec, soit de trouver une nouvelle voie en perdant le moins de temps possible. L INALCO a bien pris en compte les dispositifs du premier type en réalisant des installations pour les étudiants handicapés, mais les publics salariés ou en formation continue sont peu pris en compte ou seulement à travers un congé formation. Un public type «diplomates» peut nécessiter une «formation tout au long de la vie». La mise en place annoncée d un Environnement Numérique de Travail ENT sous la forme d une plate-forme numérique sera utile, mais devra dépasser le simple dépôt de documents. A l INALCO, les dispositifs du deuxième type sont assez classiques : réunions d information et journées Portes ouvertes, brochures d information actualisées (le Département Russe a son site web propre), enseignants référents, étudiants délégués en L2 et en L3 (notamment en LMFA-RI), tutorat d étudiants en master, enseignements de (re)mise à niveau pour les langues peu enseignées et pour certaines matières «appliquées» (RI et CI), ce qui permet d intégrer des étudiant(e)s qui n étaient pas préparé(e)s à cette intégration, une bonne articulation CM/TD lorsque celle-ci est pertinente, incitation à des semestres à l étranger (notamment en RI et Communication interculturelle et langues du monde) et aménagements pour les doubles cursus (ce critère est commun avec la problématique «Insertion professionnelle» puisque les doubles cursus est souvent cette insertion pour motivation). Toutefois, ces dispositifs ne sont pas systématiques : la situation est assez contrastée au sein de l INALCO puisque, dans certaines mentions il y a peu de suivi des étudiants. Les faibles effectifs (situation normale pour des langues dites modimes) peuvent rendre difficile la mise en œuvre des dispositifs formalisés de suivi. Il conviendrait d analyser les taux très variables de réussite en fonction des langues. En revanche, les dispositifs du troisième type (étudiant(e)s en difficulté, étudiant(e)s en échec) sont moins pris en compte (on notera à la décharge de l INALCO le fait que la rénovation pédagogique est récente). Pour les étudiants en difficulté, on constate l existence de stages qui permettent de remotiver des étudiants en difficulté ou la mise à 4

5 niveau en français notamment (mais non exclusivement) pour non francophones (LMFA-FLE/ TNM), mais LMFA-FLE, même si elle peut jouer un rôle en ce sens, ne saurait avoir pour but l intégration des étudiants non francophones, ce qui n est d ailleurs pas le cas (il pourrait être intéressant de mener une réflexion sur des rapports éventuels entre appréhension aréale et FLE). Pour les étudiants en échec, des passerelles entre mentions proches (exemple : LMFA RI/CI) sont possibles, mais les dossiers ne donnent pas d informations concernant le devenir des étudiants sortant sans diplôme. On pointera cependant la difficulté à organiser des dispositifs pour des langues «rares» et à faibles effectifs Bilan de la notation du critère : A+ A B C Total Points forts : Souci de l accueil des étudiants handicapés. Mutualisations et passerelles (dans certains cas) permettant les réorientations en cas d échec. Enseignants référents, tutorat pris en charge par des étudiants de master (mais cela ne semble pas être systématique). Points faibles : Toutes les mentions ne sont pas explicites sur les dispositifs prévus pour l aide à la réussite. Manque de suivi des étudiants et taux de réussite parfois faibles. 3 Insertion professionnelle et poursuite des études choisies Appréciation : Les mentions de licence de l INALCO ont bien évidemment vocation à une insertion professionnelle d abord centrée sur l international (coopération bilatérale, coopération culturelle, diplomatie, mais aussi implantation dans les zones concernées) et ouverte sur d autres domaines (traduction, édition, domaine des médias, enseignement du français langue étrangère, terminologie, lexicographie). Les domaines professionnels sont de fait variés : organismes internationaux, industries et métiers des langues, humanitaire et développement (notamment LFMA-CILM), tourisme. Du point de vue de la formation, les mentions comportent des matières complémentaires mutualisées (anglais, outils informatiques et numériques, méthodologie et projet professionnel) qui peuvent favoriser l insertion professionnelle ultérieure. La didactique semble jouer un rôle assez important. La mention LMFA-RI organise des forums avec institutions et entreprises. On regrettera que certains enseignements à fort pouvoir d intégration professionnelle soient données en cours magistraux (cas du CI semble-t-il), ce qui diminue l impact de ces enseignements, malgré un dynamisme certain de la formation. Cette question des stages est contrastée, ce qui correspond bien à la structure pédagogique ; on voit mal en effet la place de stages dans des cursus de langues dites modimes (mais des stages sont prévus pour l arménien), à part une mobilité à l étranger qui peut être coûteuse. Les stages sont plus propices à la structure LMFA. On constate des stages en milieu associatif ou en entreprise en LMFA-CILM, des stages d observation en LMFA-FLE (mais en interne, ce qui peut poser quelques questions sur leur validité), des stages obligatoires en LMFA-CI et LMFA-TNM. La coordination entre formations et bureau des stages est très importante. La moyenne d âge affichée (27 ans), un public souvent hétérogène et la présence de diplomates sont des facteurs à prendre en compte. La poursuite d études en master est une voie privilégiée à l INALCO : masters internes ou externes (universités, EHESS, EPHE, ISIT) ; masters de langue (études arabes, par exemple) ou d aire (études africaines, par exemple) ; masters plus «techniques» (exemples : Sciences du langage, option «Ingénierie linguistique», Métiers de l international, Relations internationales). La question de l insertion professionnelle pourrait donner lieu à une réflexion sur l employabilité des étudiants de l INALCO (employabilité signifiant à la fois capacité d intégration dans des actions professionnelles et capacité 5

6 d un regard critique du point de vue de l innovation et du point de vue humaniste sur ces actions professionnelles). La formation tout au long de la vie peut donner d ailleurs aider à cette réflexion. On regrettera l absence d indicateurs clairs. On regrettera aussi (mais cela dépasse les marges de manœuvre pédagogiques des établissements), l impossibilité de mentionner dans un dossier d évaluation externe les DU, ce qui empêche de prendre en considération l articulation diplômes nationaux/du qui peut avoir une incidence sur «l employabilité» future des étudiant(e)s. Bilan de la notation du critère : A+ A B C Total Points forts : Des compositions ingénieuses pour des débouchés professionnels. Un vrai sens du plurilinguisme et parfois de la pluridisciplinarité. Un bon réseau d établissements. Des incitations à la mobilité internationale dans un cadre de formation orienté vers l international. Points faibles : Manque de suivi de l insertion professionnelle des étudiant(e)s ou de la poursuite d études choisies quand il ne s agit pas d un master articulé à la mention de licence. Effet limité de la préparation au projet professionnel. 4 Pilotage des licences Appréciation : Le pilotage de l offre de formation en licence est assuré, au niveau de l établissement, par une Commission des études composée des instances présidentielles et de la direction générale des services d une part, des directeurs des départements d autre part, et vise l homogénéité en matière de structuration et de décisions pour les formations. Un Conseil de perfectionnement, aux contours encore flous, est envisagé soit pour la remplacer soit pour la compléter. On notera un sous-encadrement administratif commun à l ensemble de l établissement. L articulation des formations de licence, des relations internationales et du bureau des stages n est pas clairement précisée. Le pilotage des mentions est assuré par le Conseil de département compétent selon la langue et une Commission pédagogique qui semblent fonctionner de façon contrastée en fonction du nombre d enseignantschercheurs et d enseignants en poste. Le Conseil de département comprend des enseignants (chercheurs ou non) et des étudiants ; il ne semble jamais comporter d éléments extérieurs en lien avec les disciplines enseignées et l insertion professionnelle envisageable (ce qui pourrait être le cas pour certaines réunions du Conseil de département, celles où ces enjeux sont discutés). Le fonctionnement d éventuelles Commissions pédagogiques et leurs domaines de compétences ne sont pas précisés. Cette notion de «Conseil de département» conduit à s interroger sur la possibilité d une «harmonisation structurelle» entre «départements unilingues», «départements multilingues» et «filières» ; si la diversification a pu se comprendre dans une situation de dispersion géographique, elle pourrait devenir un frein au développement et à l opérationnalisation des formations dans le cadre de l actuel regroupement. On voit mal d ailleurs ce qui différencie une filière comme CPEI (Centre de préparation aux échanges internationaux) qui opère notamment sur le commerce international ou comme HEI (Hautes études internationales) dans le champ des relations internationales, d un «département». Les outils de pilotage et de gouvernance (si celle-ci englobe la remontée de l information et la circulation transversale de cette information, d où l importance de «relais enseignants» et de «relais étudiants») sont en pleine évolution au sein de l INALCO. En dehors des instances pour lesquelles cela est réglé nationalement, on ne 6

7 perçoit pas encore le rôle clair des éléments extérieurs (personnalités, institutions, entreprises) dans la gestion des mentions et les dispositifs en place pour que ces éléments suivent effectivement cette gestion. Bilan de la notation du critère : A+ A B C Total Points forts : Un souci de pilotage global (projet de Conseil de perfectionnement). La recherche d une répartition majeure/mineure. Des Conseils de département quand ils fonctionnent. Points faibles : Améliorer les outils de pilotage et de gouvernance manque d indicateurs ou indicateurs peu utilisés. Manques de précisions sur le fonctionnement des Commissions pédagogiques. Manque de moyens administratifs. Manque d apports extérieurs dans le pilotage. 5 Appréciation globale et recommandations pour l établissement L INALCO est un établissement particulier qui a peu d équivalents dans le monde (le plus proche étant sans doute la SOAS : School of Oriental and African Studies à Londres). C est un «outil» précieux pour la politique universitaire française qui apporte une reconnaissance internationale à l université française. Toutefois, certains réglages sont encore à opérer. Le passage d une forme d existence un peu «autarcique» fondée principalement sur des DU à une «normalité universitaire à la française», un public qui a ses particularités et qui peut avoir un rôle diplomatico-politique sont des paramètres susceptibles de ralentir ou de différer lesdits réglages. Néanmoins, l INALCO est confronté à un défi : conserver son statut et ses fonctionnalités propres tout en s insérant le mieux possible dans le panorama universitaire français, et notamment dans le PRES Sorbonne Paris-Cité. Du point de vue de ce PRES, l INALCO présente une véritable richesse particulière sur les plans des LMFA et de la conception aréale ; les composantes unilingues pourront quant à elles étudier leur positionnement par rapport aux «langues orientales» enseignées dans d autres établissements du PRES, ce qui est déjà partiellement fait. Il serait dès lors souhaitable de : Déterminer une politique pour la formation continue, qu elle soit destinée à des publics spécifiques (exemple : diplomates) ou à des publics plus «classiques» du point de vue universitaire. Retravailler la question des stages. Améliorer le suivi des étudiants. Veiller à une mise en place cohérente et performante de l ENT annoncé, notamment pour les publics salariés ou particuliers. Ce rapport a été établi suite à l évaluation des mentions de licences de l établissement et après les entretiens sur l offre de formation qui se sont déroulés lors de la visite par l AERES, les 16, 17 & 18 avril

8 Observations de l établissement

9 Réponse aeres licence version Réponse au rapport d évaluation par l AERES des politiques offre de formation «Licence» et «Licence Professionnelle» de Sorbonne Paris Cité Sorbonne Paris Cité couvre un territoire large et inter-académique. Au niveau 1 er cycle, il paraît primordial, compte tenu de la forte demande francilienne (cf le diagnostic STRATER 2012) de proposer une offre de formation post bac de proximité. En particulier, il est important de continuer à proposer une offre de formation diversifiée aux bacheliers et aux étudiants pour une même mention afin de fournir un service d accueil de proximité en lien avec le territoire et les caractéristiques des bacheliers. Il est aussi essentiel de continuer à développer les partenariats avec les lycées dans le cadre de la politique Bac -3 Bac+3. Pour ce faire, le groupe des Vice-Président-e-s chargé-e-s des formations au sein de Sorbonne Paris Cité va mettre en place pour chaque grand domaine un groupe «Licences et Licences professionnelles», réunissant l ensemble des responsables de formation de ce niveau. Ce groupe «Licences et Licences Pro» aura pour mission : - de mutualiser les bonnes pratiques en termes d aide à la réussite (semestre rebond, parcours enrichis ), d aide à l orientation (dispositifs majeure/mineures, première année commune par domaine ) et d aide à l insertio n professionnelle (UE de préprofessionnalisation, conférences métiers ) - d améliorer le pilotage des formations (cadrage de la composition des conseils de perfectionnement, harmonisation des modalités de contrôle des connaissances et de l évaluation des enseignements, coordination des services chargés de l observation de la vie étudiante (OVE), de l information, de l orientation et de l insertion professionnelle ) - de favoriser l acquisition de compétences additionnelles en mettant en commun les ressources des différents établissements (renforcement de l enseignement des langues pour non spécialistes, certifications diverses, catalogue d UE Libres y compris sport et culture) - de développer une politique de stage commune. - d améliorer les passerelles Licences générales Licences professionnelles et les poursuites d études. - d encourager la mise en place de parcours inter-domaines de type Sciences Humanités - d améliorer la mobilité internationale des étudiants de 1er cycle. Ce groupe «Licences et Licences Pro» s appuiera notamment pour optimiser les stratégies de formation et leurs modalités pédagogiques sur le Service d Accompagnement aux Pédagogies Innovantes et à l Enseignement Numérique Sorbonne Paris Cité (SAPIENS), afin de créer de nouveaux environnements d apprentissage et de nouvelles situations professionnalisantes permettant de rendre les étudiants autonomes et acteurs du développement de leurs compétences personnelles et professionnelles tout au long de la vie. 1