BÂTIR ENSEMBLE UNE RÉGION EN SANTÉ

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "BÂTIR ENSEMBLE UNE RÉGION EN SANTÉ"

Transcription

1 RÉGIE RÉGION./ DE LA SANTÉ El SERVICES SOCI> DES CHAUDIÈRE- APPALACHES BÂTIR ENSEMBLE UNE RÉGION EN SANTÉ

2 RÉGIE RÉGIONALE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX CHAUDIÈRE- AP PAL ACHES Institut national de santé publique du Québec 4835, avenue Christophe-Colomb, bureau 200 Montréal (Québec) H2J 3G8 Tél.: (514) POLITIQUE DE LA RÉGEE RÉGIONALE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE CHAUDIÈRE-APPALACHES CONCERNANT L'UTILISATION DE GYROPHARES ET SIRÈNE ET LA CONDUITE D'UN VÉHICULE AMBULANCIER Janvier 2003

3 i * It- J i fo ff- 1 ' ; \ ' Régie régionale de la santé et des services sociaux de Chaudière-Appalaches, 2003 Reproduction autorisée à des fins non commerciales avec mention de la source. Toute reproduction partielle doit être fidèle au texte utilisé. ISBN : Dépôt légal : Bibliothèque nationale du Canada Bibliothèque nationale du Québec

4 TABLE DES MATIÈRES TABLE DES MATIÈRES 2 PRÉAMBULE 4 ARTICLE 1 OBJET DE LA POLITIQUE 6 ARTICLE 2 OBLIGATION GÉNÉRALE 6 ARTICLE 3 PRINCIPES DIRECTEURS 6 ARTICLE 4 UTILISATION DES GYROPHARES ET SIRÈNE Transport primaire - appel d'urgence ; Transports interétablissements et transports d'un établissement à l'avion ambulance Transport pour un retour à domicile 8 ARTICLE 5 CONDUITE D'UN VÉHICULE D'URGENCE Vitesse A rrêt obligatoire 9 ARTICLE 6 RESPONSABILITÉS 9 ARTICLE 7 DISPOSITION FINALE 9 RÉFÉRENCES ; 10 ANNEXE 1 12

5 PRÉAMBULE La présente politique est écrite afin de mieux circonscrire et préciser les attentes fixées aux entreprises ambulancières concernant l'utilisation des gyrophares et sirène. L'utilisation des gyrophares et sirène par les véhicules d'urgence (véhicules ambulanciers, véhiculés de police, véhicules de service d'incendié et de premiers répondants) cause à chaque année plusieurs accidents, selon la littérature. L'auteur Jeff Clawson indiquait d'ailleurs, dans un article publié dans le Journal of Emergency Medicine Services de juillet 1991, que chaque année aux États-Unis, véhicules d'urgence sont impliqués dans des accidents, tous étant dus à l'utilisation des gyrophares et sirène. De plus, on estime que pour chaque accident dans lequel est impliqué un véhicule d'urgence, il existe cinq autres accidents causant des pertes matérielles et humaines dans lesquels un véhicule d'urgence est en cause mais non directement impliqué. Les coûts sociaux (mortalité et morbidité humaine, perte matérielle, etc.) sont énormes. Des données plus récentes, soulignées par D r Clawson, démontrent qu'il y a eu, en 2000, accidents impliquant directement des véhicules d'urgence aux États-Unis causant plus de 200 décès. De ce nombre, sont imputables aux services policiers (136 décès), aux services ambulanciers (42 décès) et aux services incendies (22 décès). De plus, une analyse rétrospective de 11 ans, publiée en septembre 2001, par Kahn et autres, dans Prehospital Emergency Care, démontrait que les accidents mortels survenaient le plus souvent de jour (entre midi et 18 h) sur des routes neuves ou réparées, des lignes droites, par des températures claires. Par ailleurs, les accidents se produisaient dans une grande proportion lors d'intersection. Finalement, les accidents mortels étaient le plus souvent reliés à un mode de conduite urgente. La directeur médical désire, par la présente politique, donner suite au rapport du coroner, D r Louise Nolet, d'octobre Le coroner ayant enquêté suite au décès d'un patient transporté par un véhicule ambulancier impliqué dans un accident de la route, adresse à la Conférence des régies régionales les recommandations suivantes : 1. Mettre sur pied, de façon opérationnelle, les normes et protocoles précis de déplacement des véhicules ambulanciers selon les conditions cliniques du patient. 2. Voir à ce qu'ils soient connus par toutes les compagnies ambulancières. 3. S'assurer régulièrement que tous les techniciens ambulanciers les respectent..

6 Politique concernant.l'utilisation des gyrophares et sirène et la conduite d'un véhicule ambulancier Page 5 De plus, aucun article dans la littérature médicale n'a réussi à démontrer que l'utilisation des gyrophares et sirène a permis de diminuer la morbidité et la mortalité des patients. Il ne faut surtout pas ici confondre diminution du temps de déplacement par l'utilisation des gyrophares et sirène et diminution de la morbidité et de la mortalité. L'utilisation des gyrophares et sirène peut diminuer le temps de déplacement mais, selon les situations, l'économie de temps peut être minime. En effet, toujours selon la littérature scientifique, cette économie de temps est inférieure à Une minute. Une.étude publiée, en juin 2001, par Ho et autres dans Prehospital Emergency Care, démontre seulement une diminution de 3 minutes du temps de déplacement lors d'utilisation de sirène et gyrophares en milieu rural. Le temps de transport et le temps de prise en charge sont des composantes d'un tout. On peut envisager quelques exceptions où une diminution du temps de déplacement «en route» a clairement démontré une diminution de mortalité et de morbidité, à savoir les patients victimes de traumatismes sévères et les patients en arrêt cardiorespiratoire par fibrillation ventriculaire ou tachycardie ventriculaire. On augmente les chances de survie si ces derniers bénéficient dans les plus brefs délais d'une défibrillation (8 à 10 minutes). Encore ici, il faut bien comprendre qu'il ne s'agit pas de tous les patients en arrêt cardiorespiratoire (ACR). Pour ce qui est des traumatismes sévères non en ACR, l'accès rapide à des soins avancés (transfusion, contrôle des hémorragies) est essentiel. Les patients polytraumatisés en ACR ont peu ou pas de chance de survie et leur état ne justifie pas une conduite «agressive». L'objectif de la présente politique n'est pas d'éviter tous les accidents impliquant les véhicules d'urgence, mais de réduire au minimum le risque pour les travailleurs qui prennent place à l'intérieur d'une ambulance, les patients transportés, les piétons et les automobilistes croisés. La première devise que toute personne travaillant dans le domaine de la santé devrait observer est la suivante : «premièrement, ne pas nuire».

7 Politique concernant.l'utilisation des gyrophares et sirène et la conduite d'un véhicule ambulancier Page 6 ARTICLE 1 OBJET DE LA POLITIQUE La présente politique a pour objet de déterminer les normes que doivent respecter les entreprises ambulancières et les techniciens ambulanciers concernant l'utilisation des gyrophares et de la sirène et concernant la conduite d'un véhicule ambulancier. ARTICLE 2 OBLIGATION GÉNÉRALE Les entreprises ambulancières et les techniciens ambulanciers doivent respecter les règles énoncées au Code de la sécurité routière (L.R.Q., c. C-24.2) dont notamment celles reproduites à l'annexe I de la présente politique. ARTICLE 3 PRINCIPES DIRECTEURS Trois éléments doivent guider la conduite d'un véhicule d'urgence par un ambulancier : technicien Le technicien ambulancier préposé, qui a la charge du patient, doit être en mesure d'évaluer que l'utilisation des gyrophares et sirène a amené une diminution du temps de transport ayant comme objectif de diminuer la morbidité et la mortalité; Le technicien ambulancier conducteur doit utiliser les gyrophares et sirène pour avertir de sa conduite en urgence. L'utilisation des gyrophares et sirène est indiquée aux endroits à risques dont notamment les zones scolaires, les villages, les routes étroites, les endroits où la visibilité est réduite, les lieux publics, les intersections. Le technicien ambulancier conducteur, lorsqu'il conduit en urgence, doit prévoir que les automobilistes peuvent réduire leur vitesse de même qu'ils doivent, dans la mesure du possible et sans risque, se ranger le plus à droite possible. Ceci signifie que le dépassement à gauche en urgence doit être favorisé.

8 Politique concernant.l'utilisation des gyrophares et sirène et la conduite d'un véhicule ambulancier Page 7 ARTICLE 4 UTILISATION DES GYROPHARES ET SIRÈNE L'utilisation des gyrophares et sirène ne doit servir que dans les circonstances suivantes : 1 ) demander de façon prioritaire le droit de passage. 2) aviser les piétons et les automobilistes qu'une situation à risque est en cours et que ces derniers doivent, dans la mesure du possible, faciliter le passage. En aucun temps, la demande de priorité de passage, avec les véhicules d'urgence, ne constitue une garantie de droit de passage d'une part, et ne modifie en rien, d'autre part, la responsabilité du conducteur d'un véhicule d'urgence impliqué dans un accident. 4.1 Transport primaire - appel d'urgence En route vers le lieu d'appel ou de l'incident L'utilisation des gyrophares et sirène est déjà prévue dans le cadre de l'application de MPDS (Medical Priority Dispatch System). Le coordonnateur médical a établi les priorités pour chacun des déterminants de MPDS. Lors d'un appel traité en priorité 1, le véhicule ambulancier doit toujours se déplacer avec les gyrophares et utiliser la sirène seulement lorsque nécessaire. Lors d'un appel en priorité 2, le véhicule ambulancier doit se déplacer sans gyrophare et sirène dans la très grande majorité des cas. Les techniciens ambulanciers pourront les utiliser dans des situations très précises qu'ils devront justifier. À ce moment, le conducteur avise le Centre de communication santé et doit donner un motif raisonnable à l'utilisation des gyrophares et sirène.

9 Politique concernant.l'utilisation des gyrophares et sirène et la conduite d'un véhicule ambulancier Page En route vers l'établissement L'utilisation des gyrophares et sirène n'est indiquée que pour certaines conditions qui sont identifiées dans les protocoles d'intervention clinique à l'usage des techniciens ambulanciers. Ces conditions se résument comme suit : Atteinte de l'abc au niveau de l'évaluation primaire, hypotension, cyanose, tachypnée, diaphorèse et pâleur, tirage, altération de l'état de conscience (VPU), altération significative du pouls, patient en arrêt cardiorespiratoire et toutes situations jugées pertinentes par les techniciens ambulanciers. 4.2 Transports interétablissements et transports d'un établissement à l'avion ambulance L'utilisation des gyrophares et sirène n'est pas indiquée sauf dans les circonstances exceptionnelles suivantes : le patient est instable; l'état du patient se détériore en cours de transfert (exemple : un patient est transféré pour une coronarographie et, en cours de transfert, il présente un arrêt cardiorespiratoire ou une perte de conscience); le transport d'organes. 4.3 Transport pour un retour à domicile En aucun cas, l'utilisation des gyrophares et sirène n'est autorisée. ARTICLE 5 CONDUITE D'UN VÉHICULE D'URGENCE 5.1 Vitesse En conduite d'urgence (avec gyrophares et sirène), même si le code de la route permet un dépassement de la vitesse permise, il n'y a pas d'intérêt médical à excéder de plus de 25 km/h la limite maximale permise. Une seule exception existe pour les zones scolaires où la limite de 30 km/h doit être respectée intégralement pendant les heures de fréquentation des étudiants.

10 Politique concernant.l'utilisation des gyrophares et sirène et la conduite d'un véhicule ambulancier Page Arrêt obligatoire En conduite d'urgence (avec gyrophares et sirène), le véhicule d'urgence doit, avant de traverser un signal d'arrêt (ARRÊT, feux rouges ou autres) : arrêter complètement le véhicule; vérifier de part et d'autre de l'intersection avant de poursuivre sa route. ARTICLE 6 RESPONSABILITÉS La Régie régionale de la santé et des services sociaux, via son directeur médical, a la responsabilité d'élaborer la politique et d'en informer les entreprises ambulancières qui doivent la respecter. La Régie régionale a également la responsabilité d'aviser la Société de l'assurance automobile du Québec de tout accident avec blessé ou perte de vie impliquant un véhicule ambulancier. Le titulaire du permis de service d'ambulance a la responsabilité de faire respecter la présente politique. Il a également l'obligation d'informer la Régie de tous les accidents impliquant leurs véhicules avec blessé, perte de vie ou dommages matériels importants dans un délai de sept jours à compter de la date de l'accident. Le conducteur d'un véhicule ambulancier doit agir d'une manière responsable lorsqu'il est au volant de ce véhicule. L'utilisation des gyrophares et sirène se limite aux seuls cas décrits à la présente politique. ARTICLE 7 DISPOSITION FINALE La présente politique entrera en vigueur à compter du 19 février 2003.

11 RÉFÉRENCES AUERBACK Paul S. et autres. An analysis of ambulance accidents in Tennessee, JAMA. 1987;258: BECKER LB. The epidemiology of sudden death. In : Paradis NA, Halperin H, Nowak R (eds).. Cardiac Arrest : The science and Patrice of Resuscitation Medicine. Baltimore, MD : Williams &Wilkins, BERKER LB et autres. CPR Chicago : outcome of cardiopulmonaty ressuscitation in a large metropolitan are-where are the survivors? Annuals, of Emergency Medicine, 1991;2: BLUM A. The need for not breaking the sound barrier, JAMA, 1980;244 : BROWN L. et autres. Do warning lights and sirens reduce ambulance response times? Prehospital Emergency Care, 2000;4 : CHRISTOPHER A. Kahn et autres. Characteristics of fatal ambulance crashes in the united states : an 11 yeat retrospective analysis, Prehospital Emergency Care, July/September 2001 ;volume 5/number 3 : CLAWSON, JJ. et autres. The wake effect-emergency vehicle related collisions, Prehospital Disaster Medicine, 1997; 12 : EISENBERGE MS et autres. Cardiac arrest and resuscitation : a tale of 29 cities, Annuals of Emergency Medicine, 1990;19 : ELLING R. Dispelling myths on ambulance accidents, Journal of Emergency Medicine Service, 1989;15(7) : HO J et B. CASEY. Time saved with use of emergency warning lights and sirens during response to requests for emergency medical aid in an urban environment, Annuals of Emergency Medicine, 1998;32 : HUNT RC et autres. Is ambulance transport time with lights and siren faster than without? Annuals of Emergency Medicine, 1995;25 :

12 Politique concernant.l'utilisation des gyrophares et sirène et la conduite d'un véhicule ambulancier Page 11 JEFFREY HO. et Mark LINDQUIST, MD. Time saved with the use of emergency warning lights and siren while responding to request for emergency medical aid in a rural environment, Prehospitial Emergency Care, April/June 2001 ; volume 5/number 2; KUEHL, Alexander (ed). Prehospital Systems and Medical Oversight, ed 2. Saint-Louis : Mosby-Year Book, LACHER M et LH. BAUSHER. Lights and siren in pediatric 911 ambulance transports : are they being misused? Annuals of Emergency Medicine, 1995;29 : Minnesota Department of Trade and Economic Development. Community Profil : City of Detroit Lakes (1997). National Association of EMS Physicians and National Association of State EMS Directors. Use of warning lights and sirens in emergency medicalvehicle response and patient transport [position paper], Prehospital Disaster Medicine, 1994;9 : O'BIREN DJ, TG. PRICE et P. ADAMS. The effectiveness of lights and siren use during ambulance transport by paramedics, Prehospital Emergency Care, 1999;3 : PIRRALLO RG et RA. SWOR Characteristics of fatal ambulance crashes during emergency and non-emergency operation, Prehospital Disaster Medicine, 1994;9 : SAUNDERS CE et CJ. HEYE. Ambulance collicions in an urban environment, Prehospital. Disaster Medicine, 1994;9 : U.S. Bureau of the Census. Country and City Data Book : Washington, DC, WOLFBERG D. Lights, sirens and liability, Journal of Emergency Medicine Service, 1996;21(2) :

13 ANNEXE 1 Codes de la sécurité routière Article 378 Le conducteur d'un véhicule d'urgence ne doit actionner les feux clignotants ou pivotants ou les avertisseurs sonores ou un dispositif de changement des signaux lumineux de circulation visés à l'article.255 dont est muni son véhicule que dans l'exercice de ses fonctions et si les circonstances l'exigent. Il n'est alors pas tenu de respecter les dispositions de l'article 310, du premier alinéa de l'article et des articles 328, 342, 346, 347, 359, 360, 364, 365, 367; 368, 371, 381 à 384 et 386. Article 327 Toute vitesse ou toute action susceptible de mettre en péril la vie ou la sécurité des personnes ou la propriété est prohibée. En outre des chemins publics, le présent article s'applique sur les chemins privés ouverts à la circulation publique des véhicules routiers ainsi que sur les terrains de centres commerciaux et autres terrains où le public est autorisé à circuler. Article 460 Le conducteur d'un véhicule routier qui approche d'un autobus ou minibus affecté au transport d'écoliers dont les feux intermittents sont en marche ou lorsqu'il est fait usage de son signal d'arrêt obligatoire doit immobiliser son véhicule à plus de 5 mètres de l'autobus ou du minibus et ne peut lè croiser ou le dépasser que lorsque les feux intermittents sont éteints et le signal d'arrêt obligatoire escamoté, et qu'après s'être assuré qu'il peut le faire sans danger. Le premier alinéa ne s'applique pas à un véhicule routier qui croise un autobus ou minibus affecté au transport d'écoliers sur une. chaussée adjacente séparée par un terre-plein ou une autre séparation physique surélevée. taagan\sacfteho3\ullab&data\ljf3a!rtb Jan'çoSUçuogympharassifirwi.doe

14 u! i! n; I REG 11: REGIONALE DP: LA SANTÉ UT DES SERVICES SOCIAUX CH AUDIÈRE- APPALACHES.Vv. ROUTE CAMERON.SAINTE-MARIE. QC G^E 31:2 TÉI.É I'llONE: (-JISi TÉI.ÉCOI'IK: UISi.W.-.UM, \ I

Convention d'indemnisation directe pour le règlement des sinistres automobiles

Convention d'indemnisation directe pour le règlement des sinistres automobiles 1 Convention d'indemnisation directe pour le règlement des sinistres automobiles Loi sur l'assurance automobile (L.R.Q., chapitre A-25, articles 116 et 173) (13 e édition) Cette brochure représente la

Plus en détail

BILAN ROUTIER UNE RESPONSABILITÉ PARTAGÉE! 7 principales causes de collisions à Montréal. Portrait de la sécurité routière et de la circulation

BILAN ROUTIER UNE RESPONSABILITÉ PARTAGÉE! 7 principales causes de collisions à Montréal. Portrait de la sécurité routière et de la circulation BILAN ROUTIER Portrait de la sécurité routière et de la circulation 2010 UNE RESPONSABILITÉ PARTAGÉE! Le partage de la route en milieu urbain est l enjeu qui pose le plus grand défi autant aux usagers

Plus en détail

ÉNONCÉ DE PRINCIPE CONJOINT DE L'AMERICAN COLLEGE OF SPORTS MEDICINE ET DE L'AMERICAN HEART ASSOCIATION

ÉNONCÉ DE PRINCIPE CONJOINT DE L'AMERICAN COLLEGE OF SPORTS MEDICINE ET DE L'AMERICAN HEART ASSOCIATION ÉNONCÉ DE PRINCIPE CONJOINT DE L'AMERICAN COLLEGE OF SPORTS MEDICINE ET DE L'AMERICAN HEART ASSOCIATION «La défibrillation externe automatique dans les centres de conditionnement physique». Cette énoncé

Plus en détail

BILAN 2001 DES TAXIS, DES AUTOBUS ET DES CAMIONS ET TRACTEURS ROUTIERS

BILAN 2001 DES TAXIS, DES AUTOBUS ET DES CAMIONS ET TRACTEURS ROUTIERS DOSSIER STATISTIQUE BILAN 2001 DES TAXIS, DES AUTOBUS ET DES CAMIONS ET TRACTEURS ROUTIERS C-4052 DOSSIER STATISTIQUE BILAN 2001 DES TAXIS, DES AUTOBUS ET DES CAMIONS ET TRACTEURS ROUTIERS Service des

Plus en détail

OUTILS DE SENSIBILISATION : PIÉTON / CYCLISTE / AUTOMOBILISTE / CYCLOMOTEUR

OUTILS DE SENSIBILISATION : PIÉTON / CYCLISTE / AUTOMOBILISTE / CYCLOMOTEUR OUTILS DE SENSIBILISATION : PIÉTON / CYCLISTE / AUTOMOBILISTE / CYCLOMOTEUR Piétons Les causes possibles d'accidents impliquant des piétons et des véhicules sont bien connues. La négligence, l'inattention

Plus en détail

SOCIÉTÉ DE L ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC BILAN ROUTIER

SOCIÉTÉ DE L ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC BILAN ROUTIER SOCIÉTÉ DE L ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC BILAN ROUTIER 2013 SOMMAIRE Depuis 1978,... le nombre de décès a chuté de 77,4 %. Il y a eu 399 décès sur les routes en 2013, soit 22 de moins qu en 2012, ce

Plus en détail

Direction générale Qualité et Sécurité Service Sécurité des Consommateurs. Réglementation sur les défibrillateurs.

Direction générale Qualité et Sécurité Service Sécurité des Consommateurs. Réglementation sur les défibrillateurs. Direction générale Qualité et Sécurité Service Sécurité des Consommateurs Réglementation sur les défibrillateurs Version 23/05/07 Références : Arrêté royal fixant les normes de sécurité et les autres normes

Plus en détail

Partir en toute. assurance PARTOUT DANS LE MONDE

Partir en toute. assurance PARTOUT DANS LE MONDE Partir en toute assurance PARTOUT DANS LE MONDE L information contenue dans ce document l est à titre indicatif et n engage en rien la responsabilité de la Société de l assurance automobile du Québec.

Plus en détail

Abords d école : limitation à 30km/h à certaines heures seulement?

Abords d école : limitation à 30km/h à certaines heures seulement? 1 Concerne : Abords d école limitation 30Km/h Gilet rétro réfléchissant Camions Nouvelles cartes de stationnement - Motards Abords d école : limitation à 30km/h à certaines heures seulement? Arrêté Royal

Plus en détail

CIRCULAIRE ADMINISTRATIVE N 20 (Rév. 1) POUR LES BESOINS DU SERVICE

CIRCULAIRE ADMINISTRATIVE N 20 (Rév. 1) POUR LES BESOINS DU SERVICE CIRCULAIRE ADMINISTRATIVE N 20 (Rév. 1) Publiée par la Division du Personnel Cette circulaire a été examinée lors de la réunion du Comité de Concertation Permanent des 8 septembre 1992, 24 novembre 1992,

Plus en détail

INSTRUCTION INTERMINISTÉRIELLE SUR LA SIGNALISATION ROUTIÈRE du 22 octobre 1963

INSTRUCTION INTERMINISTÉRIELLE SUR LA SIGNALISATION ROUTIÈRE du 22 octobre 1963 INSTRUCTION INTERMINISTÉRIELLE SUR LA SIGNALISATION ROUTIÈRE du 22 octobre 1963 3 ème PARTIE : Intersections et régimes de priorité Approuvée par l arrêté du 26 juillet 1974 relatif à la signalisation

Plus en détail

POLICE D ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC F.P.Q. N O 7 FORMULE D ASSURANCE EXCÉDENTAIRE DE LA RESPONSABILITÉ CIVILE

POLICE D ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC F.P.Q. N O 7 FORMULE D ASSURANCE EXCÉDENTAIRE DE LA RESPONSABILITÉ CIVILE POLICE D ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC F.P.Q. N O 7 FORMULE D ASSURANCE EXCÉDENTAIRE DE LA RESPONSABILITÉ CIVILE 1 er mars 2001 Aux intéressés : Vous trouverez ci-joint le texte révisé de la police d'assurance

Plus en détail

La conduite automobile exige toute votre attention

La conduite automobile exige toute votre attention La conduite automobile exige toute votre attention et votre concentration. Au volant, vous devez constamment être à l affût des nombreux imprévus qui peuvent survenir sur la route. Or, utiliser un appareil

Plus en détail

conséquence, en cas d'une alarme pour les biens, d'une intrusion non permise ou d'une tentative, ou en cas d'une alarme pour les personnes, d'un

conséquence, en cas d'une alarme pour les biens, d'une intrusion non permise ou d'une tentative, ou en cas d'une alarme pour les personnes, d'un 25 AVRIL 2007. - Arrêté royal fixant les conditions d'installation, d'entretien et d'utilisation des systèmes d' et de gestion de centraux d' ALBERT II, Roi des Belges, A tous, présents

Plus en détail

GRANDS EXCÈS DE VITESSE : DES SANCTIONS PLUS SÉVÈRES

GRANDS EXCÈS DE VITESSE : DES SANCTIONS PLUS SÉVÈRES GRANDS EXCÈS DE VITESSE : DES SANCTIONS PLUS SÉVÈRES DES SANCTIONS PLUS SÉVÈRES POUR VITESSE EXCESSIVE Chaque année, sur les routes du Québec, la vitesse tue environ 175 personnes et en blesse près de

Plus en détail

BILAN ROUTIER 2014. Société de l assurance automobile du Québec

BILAN ROUTIER 2014. Société de l assurance automobile du Québec BILAN ROUTIER 2014 Société de l assurance automobile du Québec SAAQ BILAN ROUTIER 2014 1 SOMMAIRE IL Y A EU 336 DÉCÈS SUR LES ROUTES EN 2014, SOIT 55 DE MOINS QU EN 2013, CE QUI REPRÉSENTE UNE DIMINUTION

Plus en détail

Politique relative aux accidents ou aux incidents

Politique relative aux accidents ou aux incidents Section Politique relative aux accidents ou aux incidents Transport sécurité Date Juin 2003 Page 1 sur 4 Révision Janvier 2014 M04 303 Politique Dans le cas d'un accident ou d'un incident impliquant un

Plus en détail

Le présent bilan a été préparé par la Direction des études et des stratégies en sécurité routière de la Vice-présidence à la sécurité routière.

Le présent bilan a été préparé par la Direction des études et des stratégies en sécurité routière de la Vice-présidence à la sécurité routière. J u i n2 0 1 2 Le présent bilan a été préparé par la Direction des études et des stratégies en sécurité routière de la Vice-présidence à la sécurité routière. Vice-présidente : Directrice : Coordonnatrice

Plus en détail

ANNEXES Garanties RC Circulation Circuit

ANNEXES Garanties RC Circulation Circuit S Garanties RC Circulation Circuit Annexe au contrat RC Circulation Circuit à la Journée - 69401 602 477... Page 2 Annexe au contrat RC Circulation Circuit à l année - 69401 602 478... Page 3 Annexe au

Plus en détail

BEPECASER ÉPREUVE DE CONTRÔLE DES CONNAISSANCES. 16 mai 2012

BEPECASER ÉPREUVE DE CONTRÔLE DES CONNAISSANCES. 16 mai 2012 J. 121300 MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR, DE L OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L IMMIGRATION BEPECASER ÉPREUVE DE CONTRÔLE DES CONNAISSANCES 16 mai 2012 Question 1 Le fait pour un conducteur

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES UN VÉHICULE LOURD?... 7 CONDUCTEUR?... 8 DE CONDUIRE DE LA CLASSE 1, 2 OU 3?...10

TABLE DES MATIÈRES UN VÉHICULE LOURD?... 7 CONDUCTEUR?... 8 DE CONDUIRE DE LA CLASSE 1, 2 OU 3?...10 TABLE DES MATIÈRES 1. INTRODUCTION............................ 2 2. QUELQUES DÉFINITIONS..................... 3 3. RÉPONDEZ-VOUS AUX EXIGENCES DE BASE?.... 5 4. POUR ACQUÉRIR DES CONNAISSANCES.........

Plus en détail

AU VOLANT DE MA SANTÉ

AU VOLANT DE MA SANTÉ AU VOLANT DE MA SANTÉ AÎNÉS, êtes-vous à risque? La conduite automobile est une activité complexe. En fait, plusieurs exigences sont nécessaires pour l exercer, comme de : > bien connaître les règles

Plus en détail

Responsabilités du transporteur scolaire et des conductrices et conducteurs. Transport -responsabilités. Politique

Responsabilités du transporteur scolaire et des conductrices et conducteurs. Transport -responsabilités. Politique Section Page M04 202 Responsabilités du transporteur scolaire et des conductrices et conducteurs Transport -responsabilités Date 10 juin 2002 1 sur 5 Révision 13 avril 2015 Politique Les transporteurs

Plus en détail

ÉLÉMENTS DE DONNÉES DU CERTIFICAT D'ASSURANCE-AUTOMOBILE

ÉLÉMENTS DE DONNÉES DU CERTIFICAT D'ASSURANCE-AUTOMOBILE ÉLÉMENTS DE DONNÉES DU CERTIFICAT D'ASSURANCE-AUTOMOBILE Remarque : 1. Tous les éléments sont des champs de données, à moins d'indication contraire. 2. Les éléments de «texte» doivent être reproduits à

Plus en détail

Sont assimilées à un établissement, les installations exploitées par un employeur;

Sont assimilées à un établissement, les installations exploitées par un employeur; Arrêté royal du 4 décembre 2012 concernant les prescriptions minimales de sécurité des installations électriques sur les lieux de travail (M.B. 21.12.2012) Section I er. - Champ d'application et définitions

Plus en détail

EXIGENCES MINIMALES RELATIVES À LA PROTECTION DES RENSEIGNEMENTS PERSONNELS LORS DE SONDAGES RÉALISÉS PAR UN ORGANISME PUBLIC OU SON MANDATAIRE

EXIGENCES MINIMALES RELATIVES À LA PROTECTION DES RENSEIGNEMENTS PERSONNELS LORS DE SONDAGES RÉALISÉS PAR UN ORGANISME PUBLIC OU SON MANDATAIRE EXIGENCES MINIMALES RELATIVES À LA PROTECTION DES RENSEIGNEMENTS PERSONNELS LORS DE SONDAGES RÉALISÉS PAR UN ORGANISME PUBLIC OU SON MANDATAIRE JUIN 1999 Exigences minimales relatives à la protection des

Plus en détail

RÈGLEMENT RELATIF À LA DÉLIVRANCE ET AU RENOUVELLEMENT DU CERTIFICAT DE REPRÉSENTANT (n o 1)

RÈGLEMENT RELATIF À LA DÉLIVRANCE ET AU RENOUVELLEMENT DU CERTIFICAT DE REPRÉSENTANT (n o 1) RÈGLEMENT RELATIF À LA DÉLIVRANCE ET AU RENOUVELLEMENT DU CERTIFICAT DE REPRÉSENTANT (n o 1) Loi sur la distribution de produits et services financiers (L.R.Q., c. D-9.2, a. 200, 1 er al., par. 1, 2, 3,

Plus en détail

BEPECASER. Mercredi 13 mai 2015

BEPECASER. Mercredi 13 mai 2015 MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR BEPECASER ÉPREUVE DE CONTRÔLE DES CONNAISSANCES Mercredi 13 mai 2015 Question 1 A Tout dépassement est interdit aux traversées de voies ferrées non munies de barrières ou de demi-barrières.

Plus en détail

GUIDE DE SÉCURITÉ À VÉLO. 7 e édition

GUIDE DE SÉCURITÉ À VÉLO. 7 e édition GUIDE DE SÉCURITÉ À VÉLO 7 e édition AVANT DE PARTIR UN VÉLO EN ORDRE c est important A Vérifiez la pression des pneus B Vérifiez si la chaîne saute C Vérifiez l état des freins D Vérifiez l équipement

Plus en détail

CONDITIONS GÉNÉRALES D ACCÈS ET D UTILISATION (C.G.A.U.) DU SERVICE BIXI PAR LES ABONNÉS 1 AN OU 30 JOURS ARTICLE 1 OBJET DU SERVICE BIXI

CONDITIONS GÉNÉRALES D ACCÈS ET D UTILISATION (C.G.A.U.) DU SERVICE BIXI PAR LES ABONNÉS 1 AN OU 30 JOURS ARTICLE 1 OBJET DU SERVICE BIXI CONDITIONS GÉNÉRALES D ACCÈS ET D UTILISATION (C.G.A.U.) DU SERVICE BIXI PAR LES ABONNÉS 1 AN OU 30 JOURS ARTICLE 1 OBJET DU SERVICE BIXI 1.1 BIXI est un système de vélos en libre-service (le «Service»).

Plus en détail

QUI PEUT DEMANDER UNE VIGNETTE DE STATIONNEMENT?

QUI PEUT DEMANDER UNE VIGNETTE DE STATIONNEMENT? Avant de faire votre demande de vignette, n oubliez pas que le Code de la sécurité routière autorise un conducteur à arrêter son véhicule dans un endroit normalement interdit pour permettre à une personne

Plus en détail

CODE DU TRAVAIL Art. R. 233-15 Art. R. 233-16 Art. R. 233-17 Art. R. 233-18

CODE DU TRAVAIL Art. R. 233-15 Art. R. 233-16 Art. R. 233-17 Art. R. 233-18 CODE DU TRAVAIL Art. R. 233-15.- Les éléments mobiles de transmission d'énergie ou de mouvements des équipements de travail présentant des risques de contact mécanique pouvant entraîner des accidents doivent

Plus en détail

MENTIONS OBLIGATOIRES EN VERTU DE LA LOI DE LA PROTECTION DU CONSOMMATEUR

MENTIONS OBLIGATOIRES EN VERTU DE LA LOI DE LA PROTECTION DU CONSOMMATEUR MENTIONS OBLIGATOIRES EN VERTU DE LA LOI DE LA PROTECTION DU CONSOMMATEUR COMPLÉMENT AU CHAPITRE 25 PAGE 199 Ce document contient le texte des mentions obligatoires exigées par la Loi de la protection

Plus en détail

Important. Obtenir un permis, c est sérieux!

Important. Obtenir un permis, c est sérieux! Édition 2007 Important Pour bien vous préparer et réussir vos examens de conduite théorique et pratique voici ce que la Société de l assurance automobile du Québec vous recommande : étudiez les manuels

Plus en détail

Loi modifiant de nouveau le Code de la sécurité routière et d autres dispositions législatives

Loi modifiant de nouveau le Code de la sécurité routière et d autres dispositions législatives PREMIÈRE SESSION TRENTE-HUITIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 55 (2008, chapitre 14) Loi modifiant de nouveau le Code de la sécurité routière et d autres dispositions législatives Présenté le 15 novembre

Plus en détail

Journal municipal Sainte-Jeanne-d Arc

Journal municipal Sainte-Jeanne-d Arc Journal municipal Sainte-Jeanne-d Arc Août 2014 ATTENTION L été tire à sa fin, la rentrée scolaire arrive à grand pas et, avec elle, le retour des autobus d écoliers, soyez vigilants à leur approche et

Plus en détail

00 02 23 DENIS THIBAULT 00 02 24. Demandeur. Entreprise. réclamée. Elle lui confirme que La Capitale, Compagnie d assurance générale (ci-après

00 02 23 DENIS THIBAULT 00 02 24. Demandeur. Entreprise. réclamée. Elle lui confirme que La Capitale, Compagnie d assurance générale (ci-après 00 02 23 DENIS THIBAULT 00 02 24 Demandeur c. LA CAPITALE, COMPAGNIE D'ASSURANCE GENERALE Entreprise OBJET DU LITIGE L'entreprise a transmis au demandeur une copie intégrale du dossier qu'il a réclamée.

Plus en détail

CONDUIRE UNE VOITURE EN ALBERTA

CONDUIRE UNE VOITURE EN ALBERTA CONDUIRE UNE VOITURE EN ALBERTA QUELLES SONT LES CONDITIONS POUR POUVOIR CONDUIRE UNE VOITURE EN ALBERTA? Vous devez être âgé d au moins 16 ans et être détenteur d un permis de conduire valide. Il y a

Plus en détail

Règlement sur les soins préhospitaliers et les transports de patients. Le Conseil d Etat de la République et Canton de Neuchâtel,

Règlement sur les soins préhospitaliers et les transports de patients. Le Conseil d Etat de la République et Canton de Neuchâtel, CONSEIL D'ETAT Règlement sur les soins préhospitaliers et les transports de patients Le Conseil d Etat de la République et Canton de Neuchâtel, vu la loi de santé du 6 février 1995, notamment ses articles

Plus en détail

Les défibrillateurs cardiaques implantables

Les défibrillateurs cardiaques implantables Les défibrillateurs cardiaques implantables Etudes d'évaluation économique Etudes d'évaluation technologique Avant-propos Cette étude a été réalisée, à la demande de la Caisse Nationale de l'assurance

Plus en détail

Arrêté royal du 12 août 1993 concernant l'utilisation des équipements de travail (M.B. 28.9.1993)

Arrêté royal du 12 août 1993 concernant l'utilisation des équipements de travail (M.B. 28.9.1993) Arrêté royal du 12 août 1993 concernant l'utilisation des équipements de travail (M.B. 28.9.1993) Modifié par: (1) arrêté royal du 17 juin 1997 concernant la signalisation de sécurité et de santé au travail

Plus en détail

Le présent bilan a été préparé par la Direction des études et des stratégies en sécurité routière à la Vice-présidence à la sécurité routière.

Le présent bilan a été préparé par la Direction des études et des stratégies en sécurité routière à la Vice-présidence à la sécurité routière. Le présent bilan a été préparé par la Direction des études et des stratégies en sécurité routière à la Vice-présidence à la sécurité routière. Vice-présidente : Directrice : Coordonnateur et rédacteur

Plus en détail

Responsabilité Civile / Les Garanties de la police RC Entreprise

Responsabilité Civile / Les Garanties de la police RC Entreprise LES GARANTIES DE LA POLICE "RESPONSABILITE CIVILE GENERALE" 1/. L'OBJET DE LA POLICE RESPONSABILITE CIVILE (notée "RC" dans ce document) De par son activité une entreprise peut causer des dommages aux

Plus en détail

Pour des déplacements sécuritaires à pied et en autobus scolaire GUIDE D ANIMATION ( DVD inclus)

Pour des déplacements sécuritaires à pied et en autobus scolaire GUIDE D ANIMATION ( DVD inclus) Pour des déplacements sécuritaires à pied et en autobus scolaire GUIDE D ANIMATION ( DVD inclus) GUIDE D ANIMATION Pour des déplacements sécuritaires à pied et en autobus scolaire Responsable du projet

Plus en détail

TRANSPORT EN COMMUN - SERVICE DE DESCENTE ENTRE DEUX ARRÊTS VISANT EN EXCLUSIVITÉ LES FEMMES : DISCRIMINATION FONDÉE SUR LE SEXE?

TRANSPORT EN COMMUN - SERVICE DE DESCENTE ENTRE DEUX ARRÊTS VISANT EN EXCLUSIVITÉ LES FEMMES : DISCRIMINATION FONDÉE SUR LE SEXE? Cat. 2.120-2.8 TRANSPORT EN COMMUN - SERVICE DE DESCENTE ENTRE DEUX ARRÊTS VISANT EN EXCLUSIVITÉ LES FEMMES : DISCRIMINATION FONDÉE SUR LE SEXE? M e Michel Coutu, conseiller juridique Direction de la recherche

Plus en détail

Une assurance qui vous protège!

Une assurance qui vous protège! Une assurance qui vous protège! Société de l'assurance automobile du Québec Introduction Depuis mars 1978, le gouvernement du Québec offre à tous les Québécois une couverture d assurance: le Régime public

Plus en détail

Vu le décret n 2000-153 du 24 janvier 2000,

Vu le décret n 2000-153 du 24 janvier 2000, 00-6 du février 00, fixant la liste des contraventions aux dispositions du code de la et à ses textes d'application. Le Président de la République, Sur proposition du ministre du transport, Vu la loi n

Plus en détail

Guide pratique sur l'encadrement de la recherche biomédicale. La protection des droits de la personne

Guide pratique sur l'encadrement de la recherche biomédicale. La protection des droits de la personne Guide pratique sur l'encadrement de la recherche biomédicale Dispositions législatives relatives au chapitre : La protection des droits de la personne Code de la santé publique Dispositions introduites

Plus en détail

EXTRAIT DU CODE DU SPORT ARTICLES R.

EXTRAIT DU CODE DU SPORT ARTICLES R. Septembre 2012 EXTRAIT DU CODE DU SPORT ARTICLES R. 331-18 à R. 331-45 et A. 331-23 et A. 331-32 Article R331-18 En savoir plus sur cet article... Les concentrations de véhicules terrestres à moteur se

Plus en détail

l'assurance Maladie des salariés sécurité sociale caisse nationale

l'assurance Maladie des salariés sécurité sociale caisse nationale l'assurance Maladie des salariés sécurité sociale caisse nationale Date : 13/12/1999 Origine : DDRI ENSM Réf. : DDRI n 70/1999 ENSM n 41/1999 n / n / MMES et MM les Directeurs - des Caisses Primaires d'assurance

Plus en détail

L indemnisation pour dommages matériels DÉLIT DE FUITE

L indemnisation pour dommages matériels DÉLIT DE FUITE L indemnisation pour dommages matériels EN CAS de DÉLIT DE FUITE À la suite d une collision, vous pourriez vous retrouver sans protection, en cas de délit de fuite de l autre conducteur. Si une telle situation

Plus en détail

PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE SAINT-CYRILLE-DE-WENDOVER. Règlement sur les système d'alarme

PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE SAINT-CYRILLE-DE-WENDOVER. Règlement sur les système d'alarme PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE SAINT-CYRILLE-DE-WENDOVER Règlement # 380 Règlement sur les système d'alarme 438.09.09 Règlement portant le numéro 380 lequel a pour objet de règlementer les systèmes

Plus en détail

RAPPORT DU CONSEIL D'ETAT AU GRAND CONSEIL

RAPPORT DU CONSEIL D'ETAT AU GRAND CONSEIL NOVEMBRE 2012 33 RAPPORT DU CONSEIL D'ETAT AU GRAND CONSEIL sur le postulat Philippe Ducommun et consorts concernant la défibrillation rapide et mise en place d'un réseau de premiers répondants Rappel

Plus en détail

COMITÉ EUROPÉEN DES ASSURANCES

COMITÉ EUROPÉEN DES ASSURANCES COMITÉ EUROPÉEN DES ASSURANCES SECRETARIAT GENERAL 3bis, rue de la Chaussée d'antin F 75009 Paris Tél. : +33 1 44 83 11 83 Fax : +33 1 47 70 03 75 Web : cea.assur.org DELEGATION A BRUXELLES Square de Meeûs,

Plus en détail

LES VOITURES DE TOURISME AVEC CHAUFFEUR

LES VOITURES DE TOURISME AVEC CHAUFFEUR PREFECTURE DE LA MANCHE DIRECTION DES LIBERTES PUBLIQUES ET DE LA REGLEMENTATION Bureau de la Circulation LES VOITURES DE TOURISME AVEC CHAUFFEUR Code des transports Articles L 3120-1 à L 3120-5 Articles

Plus en détail

PANORAMA NORD AMÉRICAIN ET EUROPÉEN DES COMPÉTENCES DES INFIRMIERS DES URGENCES

PANORAMA NORD AMÉRICAIN ET EUROPÉEN DES COMPÉTENCES DES INFIRMIERS DES URGENCES PANORAMA NORD AMÉRICAIN ET EUROPÉEN DES COMPÉTENCES DES INFIRMIERS DES URGENCES C.PIEL T.CHERFAOUI CARHAIX 18 MARS 2008 INTRODUCTION La médecine d urgence est reconnue comme spécialité depuis 2004 Les

Plus en détail

police d assurance Québécois de tous les En cas de ou de dans un accident d automobile

police d assurance Québécois de tous les En cas de ou de dans un accident d automobile La police d assurance de tous les Québécois En cas de ou de dans un accident d automobile La police d assurance de tous les Québécois En cas de ou de dans un accident d automobile Table des matières Avant-propos

Plus en détail

La situation des arrêts cardiaques dans le département

La situation des arrêts cardiaques dans le département La situation des arrêts cardiaques dans le département Depuis 5 ans, près de 5 interventions de sapeurs-pompiers par semaine pour arrêt cardiaque dans le Maine-et-Loire Dans le Maine-et-Loire, de 2005

Plus en détail

Défibrillateur Philips HeartStart HS1 Grand Public

Défibrillateur Philips HeartStart HS1 Grand Public Pour permettre à tout le monde d agir dans les moments extraordinaires Défibrillateur Philips HeartStart HS1 Grand Public * Du sens et de la simplicité Tout le monde peut, à tout tout lieu, être victime

Plus en détail

CardiOuest Mail : info@cardiouest.fr - Téléphone : 02.30.96.19.53.

CardiOuest Mail : info@cardiouest.fr - Téléphone : 02.30.96.19.53. CardiOuest Chaque jour en France, environ 200 personnes succombent d'un Arrêt Cardiaque Soudain (ACS). C'est 10 fois plus que le nombre de victime d'accident de la route. Faute d'intervention rapide, le

Plus en détail

AVIS CONCERNANT LE SYSTÈME DE GESTION DES DEMANDES D ÉVALUATION DU BUREAU D ÉVALUATION MÉDICALE DU MINISTÈRE DU TRAVAIL DOSSIER 01 18 22

AVIS CONCERNANT LE SYSTÈME DE GESTION DES DEMANDES D ÉVALUATION DU BUREAU D ÉVALUATION MÉDICALE DU MINISTÈRE DU TRAVAIL DOSSIER 01 18 22 AVIS CONCERNANT LE SYSTÈME DE GESTION DES DEMANDES D ÉVALUATION DU BUREAU D ÉVALUATION MÉDICALE DU MINISTÈRE DU TRAVAIL DOSSIER 01 18 22 AVRIL 2002 TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 1 1. PORTÉE DE L'ÉVALUATION...

Plus en détail

Il s'agit d'un accident survenu dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice des fonctions (art. 57 2 de la loi n 84-53 du 26 janvier 1984).

Il s'agit d'un accident survenu dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice des fonctions (art. 57 2 de la loi n 84-53 du 26 janvier 1984). Agents CNRACL : Accident de service Maladie professionnelle 85 Bd de la République 17076 La Rochelle cedex 9 Tel. 05.46.27.47.00 Fax. 05.46.27.47.08 Courriel. cdg17@cdg17.fr Note d information du 19 juillet

Plus en détail

PRESENTATION DU CONTRAT N 113 414 898

PRESENTATION DU CONTRAT N 113 414 898 PRESENTATION DU CONTRAT N 113 414 898 Ce texte ne constitue qu'une présentation du contrat d'assurance. L'original est détenu par le Syndicat. Il peut être consulté auprès du Président. Résumé SNPSC au

Plus en détail

Journal officiel de l'union européenne

Journal officiel de l'union européenne 20.5.2014 L 148/29 RÈGLEMENT DÉLÉGUÉ (UE) N o 528/2014 DE LA COMMISSION du 12 mars 2014 complétant le règlement (UE) n o 575/2013 du Parlement européen et du Conseil en ce qui concerne les normes techniques

Plus en détail

L'aide tarde parfois à arriver

L'aide tarde parfois à arriver Grâce à votre assurance collective d'humania Assurance Le programme d assistance routière d'humania Assurance a été conçu spécifiquement pour venir en aide aux assurés du réseau d'assurance collective

Plus en détail

RÈGLEMENT DES STAGES SCIENCES PO BORDEAUX Conseil d Administration du 28.06.2013

RÈGLEMENT DES STAGES SCIENCES PO BORDEAUX Conseil d Administration du 28.06.2013 RÈGLEMENT DES STAGES SCIENCES PO BORDEAUX Conseil d Administration du 28.06.2013 Textes de référence : Régime général Loi n 2006 396 du 31 mars 2006 relatif à l égalité des chances (article 9 modifié par

Plus en détail

Donnez un. coup pouce. à votre. Les faits sur les sièges d auto

Donnez un. coup pouce. à votre. Les faits sur les sièges d auto Donnez un coup pouce de à votre Les faits sur les sièges d auto De la part de la directrice générale La sécurité routière est importante pour tous les Canadiens, mais quand il s'agit de la sécurité des

Plus en détail

ARRETE NOR: EQUS0100026A. Version consolidée au 27 mars 2015

ARRETE NOR: EQUS0100026A. Version consolidée au 27 mars 2015 ARRETE Arrêté du 8 janvier 2001 relatif à l exploitation des établissements d enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière. NOR: EQUS0100026A Version

Plus en détail

Les 5 étapes du management des. risques routiers. pour les entreprises et les collectivités

Les 5 étapes du management des. risques routiers. pour les entreprises et les collectivités Les 5 étapes du management des risques routiers pour les entreprises et les collectivités Qu'est-ce que le C.P.A.T.S.? Le C.P.A.T.S., Centre de Psychologie Appliquée aux Transports et à leur Sécurité,

Plus en détail

RÈGLEMENT SUR LES SYSTÈMES D ALARME

RÈGLEMENT SUR LES SYSTÈMES D ALARME RÈGLEMENT SUR LES SYSTÈMES D ALARME Attendu qu il est nécessaire de remédier aux problèmes provoqués par le nombre élevé de fausses alarmes ; Attendu que la démarche la plus efficace pour ce faire se trouve

Plus en détail

Guide des membres du Club auto TD Club auto TD Standard

Guide des membres du Club auto TD Club auto TD Standard TD Canada Trust Guide des membres du Club auto TD Club auto TD Standard Pour vous assurer à vous et à votre famille de rouler l esprit tranquille 8762 GE AC BR F 1211 533953(1013) Des services bancaires

Plus en détail

Etablissement et dépôt des comptes consolidés et du rapport de gestion consolidé

Etablissement et dépôt des comptes consolidés et du rapport de gestion consolidé Département Informations micro-économiques Service Centrale des bilans boulevard de Berlaimont 14 - BE-1000 Bruxelles tél. 02 221 30 01 - fax 02 221 32 66 e-mail: centraledesbilans@nbb.be - site Internet:

Plus en détail

Présenté par Constable Perry Madelon Road Safety Unit Traffic Branch

Présenté par Constable Perry Madelon Road Safety Unit Traffic Branch Présenté par Constable Perry Madelon Road Safety Unit Traffic Branch Qu est-ce que la distraction au volant? La distraction au volant s entend de tout ce qui détourne l attention accordée à la conduite.

Plus en détail

La recherche universitaire en sécurité routière

La recherche universitaire en sécurité routière La recherche universitaire en sécurité routière François Bellavance, PhD Professeur, HEC Montréal Directeur Laboratoire sur la sécurité des transports Centre de recherche sur les transports (CRT) Centre

Plus en détail

Les défibrillateurs POWERHEART G3

Les défibrillateurs POWERHEART G3 Au cœur de la réanimation Les défibrillateurs POWERHEART G3 Linde: Living healthcare* 2 Les défibrillateurs POWERHEART G3 La gamme de défibrillateurs POWERHEART Afin de compléter son offre de matériels

Plus en détail

Conditions Générales Location d équipements terminaux

Conditions Générales Location d équipements terminaux Conditions Générales Location d équipements terminaux Vous trouverez dans le présent document les conditions générales qui s'appliquent à la location des équipements terminaux de Orange. Elles peuvent

Plus en détail

Défibrillateur Cardiaque Automatisé

Défibrillateur Cardiaque Automatisé Défibrillateur Cardiaque Automatisé Décret n 2007-705 du 4 mai 2007 : autorise toute personne, même non médecin, à utiliser un défibrillateur pour sauver des vies. Def-i Accessible au grand public, ce

Plus en détail

Aide médicale urgente Gratuit - 24 h/24 À partir de n importe quel téléphone, cabine, même GSM hors réseau

Aide médicale urgente Gratuit - 24 h/24 À partir de n importe quel téléphone, cabine, même GSM hors réseau Numéros utiles Aide médicale urgente Gratuit - 24 h/24 À partir de n importe quel téléphone, cabine, même GSM hors réseau Police fédérale Obligatoire en cas d accident avec des blessés si le recours au

Plus en détail

CONFÉRENCE EUROPÉENNE DES MINISTRES DES TRANSPORTS EUROPEAN CONFERENCE OF MINISTERS OF TRANSPORT

CONFÉRENCE EUROPÉENNE DES MINISTRES DES TRANSPORTS EUROPEAN CONFERENCE OF MINISTERS OF TRANSPORT CONFÉRENCE EUROPÉENNE DES MINISTRES DES TRANSPORTS EUROPEAN CONFERENCE OF MINISTERS OF TRANSPORT DÉCLARATION DE PRINCIPES CONCERNANT L'ERGONOMIE ET LA SÉCURITÉ DES SYSTÈMES D'INFORMATION EMBARQUÉS Introduction

Plus en détail

TAP-PAR. Test d aptitudes physiques pour paramédics. Description du test

TAP-PAR. Test d aptitudes physiques pour paramédics. Description du test TAP-PAR Test d aptitudes physiques pour paramédics Description du test INTRODUCTION Le travail de paramédic nécessite une capacité physique supérieure à celle de la population moyenne. En effet, ceux-ci

Plus en détail

Document adopté à la 351e séance de la Commission, tenue le, 30 novembre 1990, par sa résolution COM-351-9.1.2

Document adopté à la 351e séance de la Commission, tenue le, 30 novembre 1990, par sa résolution COM-351-9.1.2 Cat. 2.115.9.3 L'UTILISATION DES INFORMATIONS OBTENUES LORS D'UN EXAMEN MÉDICAL PRÉ- EMBAUCHE POUR CONTESTER UNE RÉCLAMATION POUR LÉSION PROFESSIONNELLE ET LE DROIT AU RESPECT DE SA VIE PRIVÉE Novembre

Plus en détail

Rapport final d'enquête partiel fourni ultérieurement. le Service d'enquête sur les accidents des transports publics

Rapport final d'enquête partiel fourni ultérieurement. le Service d'enquête sur les accidents des transports publics Unfalluntersuchungsstelle Bahnen und Schiffe UUS Service d enquête sur les accidents des transports publics SEA Servizio d inchiesta sugli infortuni dei trasporti pubblici SII Investigation bureau for

Plus en détail

Transport adapté L'apprentissage du transport collectif Partie 1 habiletés de base

Transport adapté L'apprentissage du transport collectif Partie 1 habiletés de base Transport adapté L'apprentissage du transport collectif Partie 1 habiletés de base Ce formulaire est à l'usage exclusif des intervenants en déficience intellectuelle Grilles tirées du document intitulé

Plus en détail

FLEET CHARGEMD SELECT PIÈCES SUPÉRIEURES ET PERFORMANCE SUR LA ROUTE QUI VOUS ATTEND

FLEET CHARGEMD SELECT PIÈCES SUPÉRIEURES ET PERFORMANCE SUR LA ROUTE QUI VOUS ATTEND FLEET CHARGEMD SELECT PIÈCES SUPÉRIEURES ET PERFORMANCE SUR LA ROUTE QUI VOUS ATTEND FLEET CHARGE MD SELECT FLEET CHARGE SELECT VOUS PROCURE UNE MAÎTRISE TOTALE Que vous possédiez 50 ou 499 camions ou

Plus en détail

RÈGLEMENT CONCERNANT LES ALARMES

RÈGLEMENT CONCERNANT LES ALARMES PROVINCE DE QUÉBEC M.R.C. DE L'AMIANTE MUNICIPALITÉ D ADSTOCK RÈGLEMENT NUMÉRO 7-01 RÈGLEMENT CONCERNANT LES ALARMES CONSIDÉRANT QUE le Conseil juge nécessaire et d'intérêt public de réglementer la possession,

Plus en détail

La responsabilité de l'administration des prestations reste celle de l'administrateur.

La responsabilité de l'administration des prestations reste celle de l'administrateur. Financial Services Commission of Ontario Commission des services financiers de l Ontario SECTION : INDEX N O : TITRE : APPROUVÉ PAR : PUBLICATION : DATE D ENTRÉE EN VIGUEUR : Notes d'orientation sur les

Plus en détail

Savoirs de base en sécurité routière. Vitesse et mortalité

Savoirs de base en sécurité routière. Vitesse et mortalité Sétra Savoirs de base en sécurité routière mars 2006 Vitesse et mortalité Avertissement : cette série de fiches est destinée à fournir une information rapide. La contrepartie est le risque d erreur et

Plus en détail

INSTRUCTION INTERMINISTERIELLE SUR LA SIGNALISATION ROUTIERE ------------- EXTRAITS. Première partie : GENERALITES

INSTRUCTION INTERMINISTERIELLE SUR LA SIGNALISATION ROUTIERE ------------- EXTRAITS. Première partie : GENERALITES INSTRUCTION INTERMINISTERIELLE SUR LA SIGNALISATION ROUTIERE ------------- EXTRAITS Première partie : GENERALITES Article 9-2. Balises. H. Balises J10 Les balises J10 ont pour objet d'indiquer aux usagers

Plus en détail

Systèmes de transport public guidés urbains de personnes

Systèmes de transport public guidés urbains de personnes service technique des Remontées mécaniques et des Transports guidés Systèmes de transport public guidés urbains de personnes Principe «GAME» (Globalement Au Moins Équivalent) Méthodologie de démonstration

Plus en détail

VILLE D'YVERDON-LES-BAINS MUNICIPALITE

VILLE D'YVERDON-LES-BAINS MUNICIPALITE VILLE D'YVERDON-LES-BAINS MUNICIPALITE Préavis no 11 MW/dt le 20 avril 1998 RAPPORT AU CONSEIL COMMUNAL D'YVERDON-LES-BAINS concernant Une demande de crédit d'investissement de fr. 191'000.-- pour le remplacement

Plus en détail

L'APPLICATION DANS LE TEMPS DES ASSURANCES DE RESPONSABILITE CIVILE

L'APPLICATION DANS LE TEMPS DES ASSURANCES DE RESPONSABILITE CIVILE L'APPLICATION DANS LE TEMPS DES ASSURANCES DE RESPONSABILITE CIVILE 1 - L'APPLICATION DE LA GARANTIE DANS LE TEMPS (Application de la garantie dans le temps dans les assurances de responsabilité avant

Plus en détail

E-Health evaluation at stake

E-Health evaluation at stake E-Health evaluation at stake Les enjeux de l évaluation en e-santé Myriam Le Goff-Pronost, Telecom Bretagne Myriam.legoff@telecom-bretagne.eu Réalisations et perspectives en matière de e-santé pour les

Plus en détail

Commission des services financiers de l Ontario. Lignes directrices pour le dépôt des demandes de taux

Commission des services financiers de l Ontario. Lignes directrices pour le dépôt des demandes de taux visant les voitures de tourisme formule abrégée (les «lignes directrices abrégées») Propositions de modifications aux taux d'assurance-automobile et aux systèmes de classement des risques A. RENSEIGNEMENTS

Plus en détail

Les cas problématiques de l évaluation de la capacité à conduire Christine Dupuis et Jamie Dow NMEDA Canada, Québec 16 septembre 2010 23 septembre 2010 Société de l'assurance automobile du Québec, 2010

Plus en détail

Manuel des directives - Indemnisation des dommages corporels 1. CHAMP D'APPLICATION

Manuel des directives - Indemnisation des dommages corporels 1. CHAMP D'APPLICATION 1. CHAMP D'APPLICATION Cette directive traite du paiement d intérêts par la Société de l assurance automobile du Québec (la Société). 2. CADRE LÉGAL ET RÉGLEMENTAIRE Cette directive découle de la Loi sur

Plus en détail

Mode d'emploi AED de formation

Mode d'emploi AED de formation Mode d'emploi AED de formation NUMÉRO DE RÉFÉRENCE Copyright 2007 Cardiac Science Corporation. All rights reserved. Le défibrillateur externe automatique (AED) de formation est un appareil utilisé pour

Plus en détail

Accident de voiture : six bons réflexes pour remplir le constat amiable

Accident de voiture : six bons réflexes pour remplir le constat amiable Accident de voiture : six bons réflexes pour remplir le constat amiable La qualité et la précision des informations sur le constat amiable permettront une meilleure indemnisation. Pour définir clairement

Plus en détail

Votre assurance automobile

Votre assurance automobile Votre assurance automobile Programe Ajusto Conditions d utilisation 236 004 (2015-03) Ajusto Conditions d utilisation du Programme Option téléphone intelligent Lexique Adresse Web : http://www.lapersonnelle.com/ajusto

Plus en détail

BIENS SANS MAITRE. Qu'est ce qu'un bien sans maître?

BIENS SANS MAITRE. Qu'est ce qu'un bien sans maître? BIENS SANS MAITRE Qu'est ce qu'un bien sans maître? Il ne peut s'agir que de biens immobiliers. Ces immeubles par leur nature sont susceptibles de propriété privée mais ils ne font l'objet d'aucune appropriation

Plus en détail

3.11 Instauration d un crédit d impôt remboursable pour l acquisition ou la location d un véhicule neuf écoénergétique

3.11 Instauration d un crédit d impôt remboursable pour l acquisition ou la location d un véhicule neuf écoénergétique 3.11 Instauration d un crédit d impôt remboursable pour l acquisition ou la location d un véhicule neuf écoénergétique Ce crédit vise tous les particuliers (personnes physiques) et non pas seulement ceux

Plus en détail