Did Amazon Just Move Supercomputing to the Cloud? IBM veut rendre les superordinateurs encore plus puissants

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1 La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI N 10/50 13 décembre 2010 La pensée de la semaine «Les grandes œuvres de ce monde ont toujours été accomplies par des fous.» Anatole France Avec Windows 8, Microsoft planche sur un OS 100% virtualisé La prochaine version de l'os de Microsoft pourrait faire un pas supplémentaire vers la virtualisation d'applications. Objectif : éviter les installations locales. Avec Windows 8, Microsoft pourrait proposer une architecture en grande partie refondue de son système d'exploitation. Dévoilée par Mary Jo Foleysur son blog hébergé par notre confrère américain Zdnet, cette information est issue d'une présentation réalisée par Microsoft en avril dernier à l'occasion du Microsoft Architectural Summit. Dans cette présentation, l'éditeur indique que "le bureau de l'os ne devrait pas être lié à la machine, mais accessible par le biais d'un portail émulant applications, données, et droits d'accès". Microsoft y introduit la notion de DaaS (Desktop as a Service). Un environnement à travers lequel les applications et les données sont gérées de manière centralisée, et distribuées aux terminaux par le biais d'instances virtuelles. Les logiciels seraient distribués à la manière des applications pour smartphones, par le biais d'une place de marché. Did Amazon Just Move Supercomputing to the Cloud? By offering GPUs as part of its cloud-based on-demand computing options, Amazon is venturing into territory formerly occupied by scientific supercomputers. Perhaps it was inevitable: the cloud is already parsing enormous quantities of information at a high speed for the world's webmasters; why not diversify its processor types and apply that power to problems that previously required in-house supercomputing resources? That's the pitch behind Amazon's new GPU-powered Elastic Compute Cloud (EC2) on-demand computing resources, powered by NVIDIA's Tesla GPUs. Amazon's on-demand computing resources have long been used for processing chunks of data too large for in-house resources--famously, the NYT used EC2 to parse 405,000 giant TIFF files in order to make 71 years of its archives available to the public. Making GPU-based servers that can accomplish the same thing is a logical extension of Amazon's existing CPU-based server technology. Amazon has also taken extra steps to make sure that these servers are well-suited to high performance computing applications, including 10 Gbps Ethernet interconnects "with the ability to create low latency, full bisection bandwidth HPC clusters." What's especially interesting about this development is that outside of graphics-intensive operations and the odd password crack, for which GPUs are naturally suited, most high performance software has yet to be translated so that it can run on GPU servers. Amazon-- not to mention IBM and the other vendors creating the servers that power Amazon's new offering--are therefore placing a bet on the general utility of GPU servers and the continued migration of software to these platforms. The migration to GPU computing is by no means assured. Some problems simply may not be transferable, and, as Thom Dunning, director of the National Center for Supercomputing Applications told said, programming for GPUs remains something of a dark art. Dunning also admitted, however, that current approaches to supercomputing can't get us to the next generation of computing power, and that GPU computers might be a step in the right direction. [ ] IBM veut rendre les superordinateurs encore plus puissants Intégrer sur une même puce des composants électriques et optiques facilite et accélère la transmission de données entre les dispositifs. Et du coup permet à la machine d'augmenter ses ressources de calculs. Comment rendre les superordinateurs capables de brasser encore plus de puissance de calcul qu'actuellement? En combinant les ressources de l'électrique et de l'optique, répond une équipe d'ibm. Elle a mis au point une puce qui intègre des nano-composants électriques et optiques sur un même fragment de silicium. Pour les chiffres, cela rendrait les appareils capables de réaliser un exaflops de calculs. Selon les chercheurs, cela permettrait aussi à la machine de disposer des mêmes ressources de traitement de l'information que le cerveau humain. Pourquoi un tel système? "L'un des défis de créer des ordinateurs très rapides réside dans la capacité à transmettre rapidement un nombre très élevé de données entre des puces", explique William Green, l'un des responsables du projet. Combiner optique et électrique Mais alors que les fibres optiques le font mieux que les fils électriques, les composants qui convertissent les données en photons ne sont pas encore capables d'interagir. Ce qui signifie que les données auront toujours à circuler à travers les fils pour les atteindre, ce qui crée un goulet d'étranglement. Ici, les puces sont capables d'embarquer les deux technologies, et donc de faciliter cet échange. Pour y parvenir, IBM a développé une série d'interrupteurs photoniques, de détecteurs, de modulateurs et de guides d'ondes réalisés à partir de silicium. Tous ces composants ont été intégrés à l'intérieur des puces, ce qui fait que le même silicium qui compose les circuits électriques et les transistors du dispositif est aussi utilisé pour convoyer et convertir des photons. Augmenter les capacités des jeux virtuels? Et pour les conduire hors de la puce via des milliers d'ondes, chacune d'une portée de 500 nanomètres. Un système moins coûteux, plus rapide et plus économe en terme d'énergie que les technologies conventionnelles faisant appels à des signaux électriques uniquement. Principalement, parce qu'il relie l'ensemble des composants en utilisant dix fois moins de silicium. IBM espère ainsi créer au cours des cinq prochaines années des ordinateurs plus puissants mais aussi donner un nouvel élan aux jeux virtuels sur consoles en augmentant le flux de données entre les cartes graphiques et les processeurs par exemple. Acer affiche ses ambitions sur le marché des tablettes Si la place de leader du marché des tablettes est promise à Apple et son ipad, les concurrents se bousculent pour devenir numéro 2. Le groupe taïwanais Acer espère capter 15% des ventes l'an prochain, a annoncé son patron Gianfranco Lanci, selon Bloomberg. Pour se démarquer, Acer s'apprête à lancer début 2011 pas moins de 3 tablettes, dont 2 avec une taille d'écran de 10 (l'équivalent de l'ipad) et une de 7. Elles tourneront grâce aux systèmes d'exploitation mobiles Android (pour deux d'entre elles) et Windows 7.

2 Fidèle à sa stratégie low-cost, le fabricant taïwanais devrait commercialiser ces appareils à partir de $299. Soit bien moins que le joujou d'apple, dont la version de base coûte $499. Reste à savoir si les tablettes d'acer parviendront à se faire une place face au PlayBook de RIM et au Galaxy Tab de Samsung, annoncés comme les concurrents les plus sérieux de l'ipad. Sur les 55 millions de tablettes qui devraient être vendues l'an prochain, Apple pourrait s'octroyer 45% du marché, Samsung 11% et RIM 9%, d'après les prévisions du cabinet d'études Canaccord Genuity. Google Me deviendrait Google +1? Le futur réseau social de Google suscite la curiosité. Si l on ne sait pas encore véritablement sous quelle forme il se présentera, Techcrunch affirme que le nom définitif pourrait être Google +1 ou Google Plus One. Ce nom se rapporterait à certaines fonctionnalités que proposera ce énième réseau social. Cela laisse donc suggérer pour le moment quelque chose de similaire aux fonctions déjà existantes J aime et Retweet de Facebook et Twitter. Pour ce qui concerne la forme, rien n a encore vraiment filtré. Mais deux hypothèses sont envisagées pour le moment. Ce réseau social pourrait être simplement une barre d outils que l on utilisera avec les autres services de Google. Ou selon une autre source Google +1 serait une extension de Google Chrome. Autre information, toujours selon les rumeurs, le cofondateur de Google Sergei Brin, s impliquerait activement dans la réalisation de ce projet. Les équipes de développement se seraient installées dans une zone sécurisée pour conserver le mystère sur ce réseau social. Navigateur : découvrez toutes les fonctionnalités cachées de Google Chrome 8 Le navigateur web Chrome 8 de Google se veut plus rapide et plus stable que jamais. Les nouvelles fonctionnalités seront toutefois à aller chercher dans les entrailles du logiciel. Google vient de mettre en ligne la version stable de son navigateur web Chrome 8. La compagnie a fait un important travail de stabilisation sur cette mouture : plus de 800 bogues ont été corrigés, ainsi que 13 failles de sécurité, dont 4 sont classées comme élevées. Un bon travail qui fera peut-être oublier le demi-fiasco de Chrome 7 en termes de stabilité. En effet, ce dernier rencontrait souvent des problèmes en cas de charge lourde. Côté nouveautés, Google explique qu un lecteur PDF maison (et protégé par le bac à sable de Chrome) fait son entrée. C est en partie inexact, puisque ce lecteur était déjà présent sous Chrome 7, mais désactivé par défaut. Avec la sortie d Adobe Reader X, qui dispose lui aussi de techniques de protection avancées, certains utilisateurs préfèreront se passer du lecteur interne de Chrome 8. Rien de plus simple : rendez-vous sur la page about:plugins et désactivez manuellement le «Chrome PDF Viewer». Une autre nouveauté d importance est accessible, quoique Google n en parle pas ; la présence de fonctionnalités de test, activables sur demande en se rendant sur la page about:flags. Nous y retrouvons le support de l accélération graphique matérielle («Composition graphique avec accélération matérielle») ainsi que celui duwebgl («WebGL»). Vous pourrez activer ces deux options sans hésitations, aucun problème de stabilité grave n ayant été constaté jusqu alors. Le gain en termes de vitesse de rendu n est pas exceptionnel. Il reste ainsi bien moins important que celui proposé par Internet Explorer 9, mais - combiné aux améliorations apportées au moteur JavaScript V8 - il permet d améliorer la réactivité du butineur en cas de lourde charge. La navigation sous Chrome 8 est plutôt rapide. L exploitation des ressources de l ordinateur pose toujours autant problème lorsque de nombreux onglets sont ouverts. En effet, la priorité donnée à l onglet affiché reste trop faible par rapport aux autres, ce qui ralentit fortement la navigation. Un phénomène aujourd hui moins sensible, Chrome 8 étant globalement plus rapide que son prédécesseur. Les autres options d about:flags ont plus ou moins d intérêt : en effet, certaines seront plus utiles à Google Chrome OS («Applications web en arrière-plan», «Paramètres en onglets»), ou visent des services web encore inexistants («Communication à distance», «Cloud Print Proxy»). L intrigant «Click-to-Play» est pour sa part très intéressant. Il permet en effet d activer les greffons d un simple clic. Un FlashBlock universel, sans besoin d installer une extension, ce qui permettra de gagner un peu de mémoire vive. Pour l utiliser, il convient tout d abord de l activer dans about:flags, de redémarrer le navigateur, puis de cocher la case «Lire en un clic» dans «Options > Options avancées > Paramètre de contenu > Plug-ins». Les «Onglets latéraux» peuvent être également utiles, quoique cette fonctionnalité ne soit pas encore parfaitement implémentée (il n est pas possible de régler la largeur de la colonne utilisée pour afficher les onglets). La «Recherche instantanée» permet de charger la page alors même que vous saisissez son adresse. On aime ou pas. Enfin, «Désactiver les plug-ins qui ne sont plus à jour» et «XSS Auditor»permettront d améliorer le niveau de sécurité du butineur. Ces fonctionnalités étant toujours en cours de développement et Chrome étant déjà le champion de la sécurité, à vous de choisir si vous souhaiter activer ces options ou non. Face au refus de Groupon, Google se console avec Phonetic Arts et Widevine Après une négociation de longue haleine, Groupon a finalement rejeté l offre de Google. Ce refus n arrête pas Google qui s offre malgré tout deux nouvelles entreprises, Phonetic Arts, spécialisé dans les voix électroniques et Widevine, protecteur des contenus multimédias en ligne. Après de nombreuses négociations entre le spécialiste des achats groupés sur Internet et Google, la transaction ne sera pas finalisée. Alors que les analystes avaient estimé la vente de Groupon à près de 6 milliards de dollars, l entreprise a finalement choisi de jouer la carte de l indépendance. C est une réelle perte d opportunité pour la firme de Mountain View sachant que la cible présentait un chiffre d affaires annuel de 2 milliards de dollars. Cette opération aurait été la plus grosse acquisition de Google. Groupon aurait insisté sur sa volonté de rester indépendant. Oui, enfin si l on veut étant donné qu il projetterait d entrer en Bourse prochainement Et malgré sa déception, Google continue d avancer et poursuit sa vague d acquisitions. Il vient en effet de s offrir Phonetic Arts, une société spécialisée dans la création de voix électroniques naturelles. Le groupe espère ainsi rendre la voix de l interface utilisateur de ses applications Android d autant plus réaliste et moins artificielle afin d améliorer l expérience du mobinaute. Le système sera installé sur Google translate, Maps, Voice Serach, Voice Input et Voice Actions, autant d applications qui ont recours à une voix artificielle. En parallèle, le Google s est emparé de Widevine, une société spécialisée dans les DRM vidéo, qui permettent de protéger les œuvres diffusées sur Internet. Dans ce cadre, la firme de Mountain View entend mettre un pied dans le marché de la vidéo en ligne, qui devient s accroît avec le développement des smartphones connectés. En réponse au téléchargement illégal et à l amélioration des qualités d écrans des smartphones, associé à l apparition des tablettes, ce segment aurait, selon Google, de beaux jours devant lui, à condition que les diffuseurs de contenus soient assurés de la protection de leurs fichiers multimédias. C est là qu intervient Widevine. Cette opération arrive à point nommé compte tenu des annonces faites par Google en matière de protection des droits d'auteur.

3 La TV 3D est l'objet de tous les désirs des Français La télévision 3D est le produit high-tech dont les Français aimeraient pouvoir s'équiper. Plus d'une personne sur trois choisirait cet appareil pour s'équiper. En revanche, seulement une personne sur dix porterait son choix sur une tablette tactile. Ce sondage a été réalisé par LH2 pour le site ZDNet.fr. Toujours, selon ce sondage, 83% des Français âgés de plus de 15 ans souhaiteraient s'équiper d'au moins un appareil technologique à l'occasion des fêtes de fin d'année. Ce taux atteint même 87% chez les Français internautes. A la question "Si vous aviez le choix, de quel(s) appareil(s) technologiques souhaiteriez-vous vous équiper?", la télévision l'emporte largement, avec 34% des réponses (36% chez les internautes). Suivent les appareils photo et caméscopes numériques (27%), un PC fixe ou portable (25%), et un ordinateur ultra-portable type Asus Eee PC ou MacBook Air (22%). Le smartphone est cité par 20% des sondés, mais ce taux grimpe à 39% chez les ans, et à 25% chez les jeunes de 18 à 24 ans. Les tablettes multimédias type ipad ou Archos, très médiatisées cette année, ne représentent que 11% (15% chez les ans). Suivent en queue de classement la console de jeu (8%), un lecteur électronique "ebook" (5%), et un baladeur MP3 (5%), de plus en plus victime de la percée des smartphones. Enfin, seulement 13% des personnes interrogées ne souhaitent recevoir aucun de ces appareils. The Steam-Punk Dream Computer: Watch the Babbage Difference Engine in Action After All Things Digital finished up a recent tour of the not-yet-reopened Computer History Museum, conducted by Apple co-founder Steve Woz Wozniak, one of the curators offered a special treat for a few of the geekiest reporters in attendance. That meant the cult-legendary Babbage Difference Engine, a Hummer-size calculator originally designed by Charles Babbage in 1847 and later built from the original plans by the Science Museum in London in Every part, and there are over 8,000, was finished by hand, using only techniques available in Victorian England. The bronze, cast-iron and steel engine uses a dizzying series of gears, cams and catches to calculate and print tables of numbers that you might be familiar with if you ve used one of those little brown pocket reference books. Plus, it s the only computer that requires an oil pan. When turned on, which means turning the hand crank, the whole thing clatters to life in a decidedly organized symphony of metallic motion. There are only two Babbage Engines in existence, and the maintenance alone means they re almost never brought to life. But, just for our nerdtastic audience, here is a short video of the whole thing in action in Silicon Valley something you ll probably not see again if you wait a lifetime. Google ouvre sa librairie numérique Le site google.books.com propose 3 millions de livres numériques à télécharger, dont certains sont gratuits. Avec trois millions de titres, elle doit devenir "la plus grande e-bibliothèque du monde". Comme toujours, Google voit les choses en grand, avec sa librairie numérique lancée ce lundi 6 décembre aux Etats-Unis. Très en avance sur la numérisation des livres, la firme de Mountain View espère rattraper vite Amazon, qui règne sur le marché avec son Kindle mais n offre que titres à ses utilisateurs. Sur les trois millions de titres, "plusieurs centaines de milliers sont payants", a précisé une porte-parole de Google, Jeannie Hornung. Les livres numérisés peuvent être téléchargés sur n importe quel ordinateur connecté à internet et grâce à des applications pour appareils portables, comme les téléphones fonctionnant sous le système Android (conçu par Google) et les iphone d'apple. Plusieurs liseuses électroniques seront également en mesure d accueillir les titres numérisés, à l exception bien sûr du Kindle d Amazon. Pour se distinguer de son concurrent, Google mise justement sur la possibilité de consulter un ouvrage sur des supports différents. Des milliers de partenariats avec des éditeurs Google, dont l ambition proclamée est de mettre en ligne tout le savoir du monde, a connu plusieurs partenariats pour son projet, avec la librairie en ligne Alibris, l'association américaine des libraires (American Booksellers Association), le New York Times ou le site communautaire Good Reads par exemple. Au total, le groupe a noué des accords avec éditeurs, avec qui il a négocié individuellement le partage des revenus. Les références de sa librairie vont des meilleures ventes en littérature à des ouvrages plus techniques dont les illustrations seront consultables sur les pages virtuelles. Google affirme avoir déjà numérisé plus de 15 millions de livres écrits en 400 langues dans une centaine de pays depuis six ans. D après une étude récente du cabinet Forrester Research, les ventes de livres électroniques aux Etats- Unis vont s élever cette année à près d un milliard de dollars. Un chiffre d affaires global qui devrait tripler d'ici % des internautes adultes américains lisent déjà des livres électroniques, selon Forrester. Dans l attente d une décision de justice L offensive de Google intervient alors que la justice ne s est pas encore prononcée sur un accord conclu il y a deux ans entre le groupe internet d'une part et des associations d'auteurs et éditeurs américains d'autre part. Cet accord prévoit de dédommager les auteurs et éditeurs dont les œuvres auraient été numérisées sans autorisation et établit un fonds doté de 30 millions de dollars pour rémunérer les ayants droit acceptant que leurs livres soient numérisés. Les principales objections à cet accord portent sur les oeuvres épuisées dont les ayants droit ne peuvent pas être identifiés. Les titres entrant dans cette catégorie ne sont pas distribuées dans la librairie électronique Google. Flash, HTML5, 3D sur le web : Adobe prend de l'avance Lors de l'adobe Max, les annonces étaient tournées sur la mobilité des contenus et leur monétisation, et l'évolution de Flash et de Air. L'occasion aussi pour Adobe de démontrer son avance dans le domaine de la 3D et du HTML5. En écho à la polémique encouragée par Steve Jobs cette année autour du HTML5 et du flash, Adobe y répond très clairement : «Flash ou HTML5, nous laissons le choix aux utilisateurs, et nous faisons les deux depuis des années! Ils sont complémentaires». Tous deux font partie d Internet et ont leur propre utilité. Et l éditeur le prouve en sortant Edge, un logiciel d animation pour le HTML5 qui n existait pas jusqu alors, en partenariat avec Jquery, et en intégrant les outils de développement dans leurs logiciels d édition HTML. Pour Adobe, le HTML5 fait parti de l évolution naturelle du web et le flash se situe en avant-garde des capacités des standards. Et le prouve.

4 Le Flash player révolutionne la 3D sur le web Révolution attendue et inespérée : de la vraie 3D sur le web et sur mobile au travers du lecteur Flash, avec accélération matérielle Directx et OpenGL. Prévu pour l année prochaine, Flash du nom de code «Molehill» sera désormais capable de gérer des jeux et des applications 3D avec une qualité presque similaire aux jeux de dernière génération que ce soit sur mobile, Windows, Mac ou Linux. Issu de longs mois de recherche, ses performances sont égales ou supérieures à ce que réalisent des éditeurs de plugin en trois dimensions sur le web. En avance sur l initiative du Khronos Group visant à intégrer naturellement la 3D sans aucun plugin, Adobe a travaillé avec tous les groupes déjà spécialisés dans cette technologie très limitée jusqu alors sous Flash comme Away3D, Alternativa3D ou Flare3D. Réalité augmentée En résultent des outils déjà quasiment prêts pour la création de scènes complètes de jeux, certains éditeurs visant très clairement le marché du casual gaming sur les réseaux sociaux. Côté réalité augmentée, Total Immersion, le leader mondial français dans le domaine, travaille déjà sur ces nouvelles capacités et y voit des opportunités dans les domaines du jeux, du marketing et du e- commerce, faisant évoluer énormément la qualité des scénarios, et des dispositifs 3D. Enfin pour rester dans le domaine du jeu, le lecteur flash prendra également en charge tous les périphériques de consoles de jeux : manettes de Xbox, PS2, volant de PC Héritage technique de cette révolution, Adobe parvient même à impressionner sur les performances de lecture d une vidéo en HD sous un environnement Mac en ne consommant quasiment aucune ressource. Google lance le Nexus S (Samsung) à $199, sous Android Gingerbread Juste avant les fêtes, Google introduit le Nexus S, son 2è smartphone Android, à $199. Il est fabriqué par le coréen Samsung Les vitrines de Noel vont s animer un peu plus du côté des mobiles. Google a confirmé ce 6 décembre le lancement imminent de son deuxième téléphone mobile de type smartphone, le Nexus S fonctionnant sous Android, son système d exploitation devenu l un des leaders du marché aux côté de l IOS de l iphone (Apple). Voici les principaux détails de ce téléphone de la gamme Nexus : un écran Super Amoled de 4 pouces (10,2 cm) de diagonale, une connectivité 3G tribande, deux caméras (avant et arrière) avec un capteur de 5 mégapixels, 16 Go de mémoire de stockage et 512 Mo de mémoire vive. Le processeur est le même que celui du Samsung Galaxy S : un Samsung Hummingbird Cortex A8 à 1 GHz. Pour prendre connaissance des spécifications complètes du Google Nexus S, consultez la fiche technique. Sa commercialisation débute aux Etats-Unis, ce 16 décembre et le 20 décembre en Europe, en commençant par le Royaume-Uni. Aux Etats-Unis, le prix annoncé est de $199 avec un contrat de 2 ans chez l opérateur T-Mobile (Deutsche Telekom) - comme l iphone à ses débuts - ce qui laisse entendre qu il se positionne bien comme un iphone killer. Hors subvention chez cet opérateur, le prix de vente est presque trois fois supérieur: $529. Ce Nexus S fonctionne sous Android Gingerbread. Il est doté de la fonction de communication sans contact NFC (Near field) de NXT. Sa fabrication est d origine Samsung, alors que le précédent modèle, le Nexus One, dont la commercialisation avait été un flop, était fabriqué par le taïwanais HTC. Sa commercialisation avait été stoppée cet été, après la vente de exemplaires en trois mois. Le Nexus S de Google bientôt chez SFR? Le smartphone pensé par Google et fabriqué par Samsung devrait être lancé par l'opérateur français dans le courant du premier trimestre Lors de l'officialisation du Nexus S par Google, de nombreux mobinautes et lecteurs de BusinessMobile.fr se sont demandés quand sortirait le smartphone en France. Google s'est contenté d'annoncer un calendrier de lancement aux USA et en Grande-Bretagne. Selon nos informations, le Nexus S devrait être lancé par SFR dans le courant du 1T 2011, certainement pendant ou juste après le Mobile World Congress de Barcelone qui se tient en février à Barcelone. Rappelons que l'opérateur avait été le premier en France à proposer le Nexus One dans ses boutiques en mai dernier, grâce à un accord passé entre Vodafone (2e actionnaire de SFR) et Google. Contacté par BusinessMobile.fr, SFR ne confirme pas cette information mais indique "qu'il est évidemment très intéressé par la commercialisation du Nexus S". Le prix de la bête n'est évidemment pas connu. Aux Etats-Unis, il serait proposé avec forfait T-Mobile pour $199. Il sera vendu nu chez Best Buy pour $529. Modèle classique mais haut de gamme, ce smartphone pensé par Google et fabriqué par Samsung est motorisé par un processeur Samsung ARM Cortex-A8 Hummingbird, cadencé à 1 Ghz. Surtout, ce smartphone embarque une technologie de communication en champ proche NFC (Near Field Communication) fournie par NXP qui est prise en charge nativement par Android 2.3. Ce dernier est embarqué en version 'pure' dans le smartphone et apporte quelques nouveautés comme la prise en charge du protocole SIP, une commande vocale plus poussé (pour la rédaction de SMS par exemple), une nouvelle interface retravaillée, un nouveau clavier virtuel avec un système de pop-up pour les caractères accentués et une meilleure gestion du dictionnaire pour la prédiction des mots. Nvidia veut multiplier les cœurs dans les tablettes et smartphones Dans un livre blanc publié cette semaine, Nvidia affirme que les processeurs mono coeur équipant la plupart des appareils mobiles actuels, type smartphones et tablettes tactiles, sont insuffisants pour gérer les nouvelles applications comme les jeux 3D et les vidéos. Le fondeur veut renforcer les processeurs de ces dispositifs en ajoutant plus de coeurs pour améliorer les performances, sans affecter l'autonomie des batteries. «En 2011, les processeurs double cœur seront la norme, et les quatre cœurs devraient apparaître sur ces machines [smartphones et tablettes tactiles] dans un proche avenir,» a déclaré Nvidia. Selon l'entreprise, «l'ajout de cœurs permettra une exécution plus rapide des tâches et améliorera les performances des tablettes et des smartphones tout en préservant la vie de la batterie.» Les puces multicoeurs sont une alternative pour accroitre les performances tout en évitant d'augmenter la fréquence d'horloge du processeur. Mais ce supplément de puissance peut aussi conduire à une dissipation excessive de chaleur et augmenter la consommation d'énergie. Plus de cœurs pour éviter d'augmenter la fréquence Il semble cependant que les appareils mobiles vont suivre la même tendance que les ordinateurs portables et les PC de bureau. Des fondeurs comme Intel et Advanced Micro Devices (AMD) n'ont pas cessé d'ajouter des cœurs à leurs processeurs pour améliorer les performances des ordinateurs - duo, quadri ou six cœurs - en prenant soin de ne pas

5 trop entamer la consommation en énergie. Nvidia commercialise déjà une puce double cœur Tegra 2 pour tablettes tactiles construit autour d un processeur dual-core ARM et d un noyau graphique GeForce. Le fondeur avait déclaré qu'il livrerait une version de cette puce pour smartphones au quatrième trimestre de cette année. Qualcomm a commencé à commercialiser son premier processeur dual-core MSM8660 et projette de livrer bientôt les prototypes d'une puce dual-core QSD8672 encore plus rapide. Texas Instruments a fait savoir qu'il pourrait livrer sa puce dual-core OMAP4430 plus tard cette année. Toutes ces puces pourraient être intégrées à des appareils mobiles dès l'année prochaine. Marvell a même pris de l'avance sur ses rivaux, annonçant en septembre une puce triple-core pour tablettes graphiques qui comporte deux noyaux tournants à 1,5 GHz, plus un troisième noyau tournant à 624MHz, optimisé pour le calcul de faible puissance. Tous ces processeurs reposent sur des licences technologiques ARM. Pour l'instant, aucun fondeur n'a encore annoncé la sortie de puces quad-core pour mobile (Nvidia n'a pas encore fait de commentaire concernant le lancement d'un tel produit). Mieux gérer les ressources inexploitées avec la virtualisation Les experts s'entendent pour dire que, hormis l'ajout de coeurs, il existe d'autres techniques pour améliorer les performances des appareils mobiles, avec le souci d'économiser aussi la batterie. La virtualisation, par exemple, permet de consolider les applications sans gaspiller les ressources, ce qui pourrait limiter un certain nombre de cycles d'horloge qui seraient autrement nécessaires pour exécuter ces tâches. Les experts conviennent aussi que les développeurs d'applications pour smartphones et tablettes tactiles sont confrontés à un vrai défi : écrire des programmes capables de tourner sur plusieurs processeurs, coprocesseurs et accélérateurs matériels. De nombreuses applications ne parviennent pas à tirer partir des accélérateurs, car elles ont été écrites pour être exécutées sur un nombre limité de noyaux intégrés à d'anciennes puces. Ils doivent donc réécrire beaucoup de lignes de code pour exploiter correctement ces nouvelles puces. Dans son document, Nvidia affirme que sa puce Tegra 2 permet de distribuer et de partager certaines tâches. L'entreprise a également déclaré qu'elle adapte son framework Cuda, un ensemble d'outils conçus pour exploiter les capacités de traitement parallèle des processeurs et des unités de traitement graphiques, pour augmenter les performances système sur les téléphones mobiles. Potentiellement, cette technologie pourrait améliorer l'affichage des applications web/vidéo et les jeux sur les smartphones et les tablettes. Capgemini crée une alliance avec six éditeurs open source Sous l impulsion de Capgemini, Red Hat, Ingres, Pentaho, SugarCRM, Hippo et Zarafa proposent dorénavant une offre combinée. Une opportunité pour les entreprises attirées par les solutions open source. La branche néerlandaise de Capgemini vient de mettre en place un nouvel accord de partenariat avec plusieurs acteurs du monde des logiciels libres. Objectif, proposer une pile open source complète. Cette alliance regroupe Red Hat (distribution Linuxet services associés), Ingres (outils de gestion des bases de données), Pentaho (solutions debusiness intelligence), SugarCRM (offres de gestion de la relation client), Hippo (portail et système de gestion de contenu) et Zarafa (outils collaboratifs). L ensemble de ces acteurs permettra de proposer une gamme très complète de produits et services à vocation professionnelle. «Cet accord illustre la vision de Capgemini en faveur de l open source, explique Leo Cardinaals, gestionnaire de l alliance open source chez Capgemini. L open source est mûr, plus innovant et de qualité égale - voire supérieure - aux solutions propriétaires. L alliance réunit le meilleur des fournisseurs, afin de permettre aux utilisateurs de tirer parti d une plate-forme où ces éditeurs sont capables de collaborer au mieux les uns avec les autres. Il s agit d une alliance complète, proposant une offre de bout en bout, incluant conseil, assistance et maintenance (sur site, à distance ou en sous-traitance).» Le CLUSIF annonce la mise en ligne sur son site Internet de la méthode MEHARI Véritable succès pour MEHARI : plus de chargements recensés vers plus de 120 pays! Rappel sur MEHARI : méthode d analyse de risque en OpenSource. Depuis 1998, MEHARI aide les décideurs (responsables de la sécurité, gestionnaires de risques ou dirigeants) à gérer la sécurité de l information et à minimiser les risques associés. Réduire les risques impose de connaître les enjeux et les processus majeurs pour l organisation afin d appliquer les mesures organisationnelles et techniques de manière à optimiser les investissements. Cette démarche implique donc d utiliser les pratiques et solutions à la hauteur des enjeux et des types de menaces pesant sur l information sous toutes ses formes, ainsi que les processus comme les éléments qui la gèrent et la traitent. MEHARI fournit un cadre méthodologique, des outils et des bases de connaissance pour : analyser les enjeux majeurs, étudier les vulnérabilités, réduire la gravité des risques, piloter la sécurité de l information, valider la politique de sécurité de l organisation. Les modules de MEHARI peuvent être combinés, en fonction de choix d orientation ou de politiques d entreprise, pour bâtir des plans d action ou, tout simplement, pour aider à la prise de décision concernant la sécurité de l information. La version 2010 de MEHARI en ligne sur le site du CLUSIF Les bases de connaissances 2010 (disponibles en Français depuis mars 2010 sous Excel et sous OpenOffice) incorporent les fonctions de calcul permettant d évaluer et de réduire les risques, tant actuels que futurs, en fonction des plans d action sélectionnés. MEHARI 2010 apporte aux responsables (DSI, RSSI, audit interne, Risk managers, métiers) : 1- La capacité directe de déterminer les plans de sécurité adaptés pour réduire les risques. 2- Un outillage répondant aux exigences de la norme ISO/IEC 27005: Un moyen de contrôler la mise en place du management de la sécurité tel que défini par ISO/IEC (SMSI) et d évaluer la qualité des mesures de sécurité au regard des pratiques préconisées par ISO/IEC les scénarios de risque intègrent tous les paramètres permettant de les envisager : actif, menace (acteur, moyens et circonstances), vulnérabilité. 5- Plusieurs forums, dont permettent d échanger idées et propositions. La traduction en anglais est maintenant disponible sur alignée sur une légère révision de la version en français pour offrir une souplesse accrue dans la sélection d options d analyse ( Les traductions bénévoles de la documentation confirment l image internationale de MEHARI. LibreOffice 3.3 en version Release Candidate

6 The Document Foundation a annoncé la disponibilité de la première version Release Candidate de la suite de productivité LibreOffice. Fin septembre, nous apprenions la naissance de la Document Foundation et la prise en charge sous un jour entièrement communautaire d'un fork du projet OpenOffice.org. LibreOffice reprend ainsi le code source d'ooo et son développement s'effectue en toute indépendance revendiquée, et notamment vis-à-vis d'oracle. Le projet LibreOffice avance bien puisqu'une première version Release Candidate a été annoncée ce week-end. LibreOffice 3.3, qui tire parti du code d'ooo 3.3, semble donc bien en piste pour donner naissance à une prochaine version finale. On devrait retrouver cette suite de productivité dans de nombreuses distributions Linux. Parmi les soutiens affichés à la Document Foundation, on retrouve en effet Canonical qui livrera LibreOffice dans Ubuntu. Novell s'est également montré très enthousiaste à l'égard de LibreOffice, tout comme Mageia (le fork de Mandriva Linux). La liste est également complétée avec le soutien de Red Hat. La RC1 de LibreOffice 3.3 est à tester sous Windows, Mac OS X et Linux, mais reste déconseillée dans unenvironnement de production. Ce n'est pas une version finale. La version Windows est proposée dans plusieurs langues ( dont le français ). Point intéressant par ailleurs, elle peut être installée sans prendre la place d'ooo. Pour le moment, LibreOffice ne se distingue a priori pas beaucoup d'ooo même si l'on notera des icônes différentes. Reste que le code d'ooo 3.3 a toutefois bénéficié d'un toilettage afin de l'optimiser et obtenir une suite plus rapide. De " nombreuses nouvelles fonctionnalités " sont aussi annoncées. Les véritables changements devraient cependant apparaître dans les prochains mois avec rien de moins que la réécriture complète du module tableur. Il bénéficiera d'un nouveau moteur, ajoutera une fonction de base de données et le support des macros VBA. Les autres modules vont aussi évoluer, au niveau de la fidélité pour la mise en page pour LibreOffice Writer et des diaporamas pour Impress. LibreOffice améliorera la conversion entre les différents formats et réduira sa dépendance Java. Un des grands chantiers sera le travail effectué au niveau de l'interface utilisateur, et nul doute que LibreOffice aura ici une belle carte à jouer pour se distinguer d'ooo à l'interface vieillissante. À noter qu'openoffice.org 3.3 est à tester dans une version RC7. Télécharger LibreOffice 3.3 RC1 What To Do Now for IPv4 and How to Transition to IPv6 In 1995, the hot topic in the IP community was the coming of IPv6. Since then, it has been heralded so many times that it s become passé and the industry is still in the early phase of broad scale IPv6 adoption. For those who have yet to take the steps in anticipation of this day, there are a couple of points to keep in mind to help you sleep better at night: IPv4 exhaustion only covers unallocated blocks of addresses. As a savvy service provider you probably allocated your subscriber pool well in advance of your forecasted need. Rest assured in knowing no one is going to come in the middle of the night and take away your existing but unused IPv4 allocations. All multicast traffic, including IPTV services, can and should remain on IPv4, as multicast does not face the same exhaustion problem as IPv4 unicast. Per the Broadband Forum guidelines, subscribers video set-top boxes should stay on IPv4 domains, as standards are still in development to facilitate eventual migration to IPv6 later this decade. Similarly, for optimum security, all VoIP traffic should remain on private IPv4 domains. The Transition to IPv6 Will Be Gradual When the day finally arrives you will reluctantly request and receive an allocation of IPv6 addresses that you can use for new subscribers asking for Internet service. As an Internet service provider you have a responsibility to provide IPv6 services to your subscribers, ideally using the same broadband facilities as are currently used for IPv4 connections. In order to make any use of these addresses, you must make a few procedural decisions and set up some infrastructure. Likely you will decide to use DHCPv6 for allocation of addresses or subnets to the subscriber. You will need to set up that host configuration service and then you should select the CPE (DSL modem, residential gateway, etc) that can be used with IPv6. Hopefully the CPE that you are currently deploying already supports IPv6 or can be upgraded to IPv6. You will need to verify that your access equipment will support IPv6 using the same subscriber management processes used for IPv4 subscribers so that the parallel IPv6 network will dovetail with operational procedures. Develop an IPv6 Plan Here s a short list of suggested actions that may help you prepare for full-scale IPv6 adoption: Talk to your staff. Educate them. Help them understand the problem at hand. Talk to your network component vendors, core to access. Understand what your limitations are and ask for vendor suggestions. Investigate alternatives to components that have no IPv6 future. Talk to your upstream ISP or backbone provider. Understand their plans for IPv6 and when they can give you a native IPv6 connection to their routers. Make sure that they take care of domain name services (DNS) for IPv6. Investigate their ability to host or provide the NAT64 gateway server. Begin internal discussions about transitioning to an all IPv6 network perhaps in the 2013 timeframe. Plan DNS and DHCPv6 services. Start the ball rolling to transition network management and back-office systems to IPv6. Put together a test-bed and get an IPv6 address allocation. Test your assumptions before IPv6 migration becomes a crisis. While it is uncertain when the IPv4 address space will be depleted, don t wait to get an IPv6 plan of action together. Start the discussions now. For more insights and details, download the Occam Networks whitepaper titled Preparing for the Imminent IPv6 Transition." Des ordinateurs portables Chrome OS proposés gratuitement par Google HIGH-TECH - Une phase de test, avant les premières offres commerciales, mi Le pari de Google est audacieux. «Le Web, rien que le Web», telle est la vision au cœur de Chrome OS, un système d'exploitation que Google a réduit à un simple navigateur Web. Pas de disque dur, rien à installer, un temps de démarrage réduit à quelques secondes, un réveil instantané... Tout est à portée de clic sur le Net, du divertissement au business, grâce à des web-apps riches et dynamiques, comme l'a montré l'entreprise, mardi, lors d'une conférence à San Francisco. Chrome OS n'est pas tout à fait terminé. Google doit encore régler des problèmes de drivers pour des périphériques (appareils photos, clés USB), et peaufiner sa solution d'impression via le nuage. Conséquence, les premiers ordinateurs portables, fabriqués par Samsung et Acer, ne seront commercialisés que mi-2011, et pas cette année, comme initialement promis. Google met en place un programme de test (adresse aux Etats-Unis nécessaire). Les sélectionnés recevront une machine prototype sans marque ni logo: le CR-48, un portable générique doté d'un écran de 12 pouces et d'un clavier complet.

7 Le département de la Défense, apparemment séduit par la sécurité du système, fera partie des cobayes. Points forts et faiblesses La rapidité est l'atout principal. Le démarrage s'effectue en 7 secondes. En veille, la machine se réveille instantanément encore plus vite que le nouveau Macbook Air. Les web-apps en HTML 5 montrées (New York Times, Kindle, casual gaming) n'ont rien à envier aux programmes qui s'installent en local Google lance d'ailleurs dès à présent sa webstore. Un mode offline permet même d'en utiliser certaines sans connexion. Un système de bureau virtuel offre, lui, un accès à distance à des logiciels d'entreprise. Besoin d'être connecté en permanence? Le portable dispose d'une puce 3G, avec 100 Mo mensuels gratuits de données (et des plans sans engagement à prix cassés en cas de besoin). Malgré tout, difficile d'imaginer faire d'un portable Chrome OS sa machine principale. Certes, on peut passer 90% de sa vie dans le navigateur. Mais parfois, on veut jouer à Call of Duty, utiliser Photoshop, 3DStudioMax ou un logiciel de généalogie. A l'autre extrême, les tablettes (ipad, Samsung Galaxy Tab) ont commencé à sérieusement prendre des parts de marché aux netbooks. Mi-2011, de nombreux modèles débarqueront, certains équipés d'android, l'os mobile de Google. Les portables Chrome OS parviendront-ils à se faire une place au forceps? A moins d'une politique tarifaire ultra agressive des partenaires, les rêves de Google d'une solution 100% «cloud computing» (décentralisée dans le nuage du Web) pourraient bien partir en fumée. Three reasons you might actually buy a Chrome OS netbook Netbooks with Google s Chrome OS operating system won t be available to most consumers until the middle of next year, but company executives walked through many of the features at a press event, where they also announced a pilot program using unbranded netbooks. I m finally starting to understand why someone would buy one of these devices. Most of the discussion until now has been at a theoretical level, focusing on the idea of an operating system that exists almost entirely online which sounds exciting but doesn t necessarily translate to a must-buy for consumers. Instead of summarizing the entire demo, I m going to point out the three things that stood out for me as a consumer: Chrome OS is fast. This is something Google has been talking about for a while, but today the company gave a real taste of how fast Chrome OS devices can be. When you first set one up, you can get up-and-running in just 60 seconds (because it s using Google account data that you ve entered elsewhere), rather than the much longer install and set-up process on a normal computer. Google VP of product management Sudar Pichai closed the netbook, allowing it to go to sleep, then when he opened it everything was working again within a second.and because most of the software is running online, rather than on local hardware, Google claims the computer won t lose speed over time. Pichai said, We want to deliver this experience where the computer forever feels new. Chrome OS means you can access your applications and data on any device. Since Chrome OS is, in Pichai s words, nothing but the Web, it doesn t seem to be unlocking any cloud capabilities that you couldn t already use with Google s Chrome Web browser. However, using a Chrome device really forces you into that online lifestyle. All of your apps and your files are stored online, because you literally can t install them on your computer. When you need to access your stuff on another device, or if you lose your old computer, that won t be a problem. Pichai demonstrated a Chrome OS device and a Windows PC, both open to a page listing the Chrome apps installed. He uninstalled an app on the Chrome device, and the change was instantly reflected on the Windows device. Chrome OS devices are always connected to the Internet. Besides using WiFi, Google said today that Chrome netbooks will be connected to Verizon s data network. You ll get 100 megabytes free very month, and after that plans start at $9.99 per month. There s no contract or long-term commitment.in comparison, I currently use a Verizon 3G card to connect my laptop to the Internet, and it costs $60 a month, comes with a two-year contract, and I ve already lost the card twice. Une tablette prototype Motorola sous Android 3 dévoilée L'ingénieur en chef de Google Android a montré un aperçu d'une prochaine tablette de Motorola, un concurrent potentiel à l'ipad d'apple doté d'un processeur plus puissant. Un prototype de la tablette Motorola, équipé d'un processeur dual-core Nvidia 3D et de la version optimisée d'android pour ce type de terminal - a été montrée par Andy Rubin, ingénieur en chef d'andoid chez Google, à la conférence D : Dive Into Mobile. Cet équipement tourne avec une version beta de HoneyComb (Android 3.0), qui devrait sortir l'année prochaine et a été développé spécifiquement pour les tablettes, selon Andy Rubin. Les développeurs pourront créer des applications tirant partie des grands écrans des tablettes, tout en fonctionnant aussi sur les smartphones. Google a également beaucoup travaillé sur l'interface utilisateur. Par exemple, le prototype Motorola ne comprend aucun bouton. Au lieu de cela, il utilise des boutons virtuels sur l'écran repositionnable en fonction de l'orientation de l'ardoise numérique. Une différence avec l'ipad, qui dispose d'un bouton central. Andy Rubin a montré sur le prototype la toute dernière version de Google Maps, qui sera disponible pour les téléphones mobiles dans les prochains jours. Aidé par les capacités 3D de la tablette, Google Maps affichera des ombres aux bâtiments, une fonctionnalité de zoom plus précise au niveau du sol. L'affichage d'un paysage en 3D sera aussi disponible quand l'utilisateur inclinera la carte. Le Fnacbook décliné en application iphone Disponible sur l App Store depuis quelques jours, l application gratuite fonctionne sur iphone, ipad et ipod touch et permet d accéder au catalogue de livres électroniques de la Fnac fort de ouvrages. Comme elle l'avait annoncé lors du lancement de son livre électronique Fnacbook, la Fnac a décliné son produit en application pour ios 3.1 destinée à l'iphone, l'ipad et l'ipod touch. Elle est disponible gratuitement sur l'app Store depuis le 4 décembre et ouvre un accès au catalogue payant de la Fnac qui compte références délivrées en format PDF ou epub. L'interface générale comprend cinq onglets principaux : Bibliothèque, My Fnac, Sélection, Fnac Store et Autre. On peut consulter les nouveautés, les coups de cœur ou les meilleurs ventes. Bien évidemment, si l'application est gratuite, il faut payer télécharger un livre. La Fnac a donc adopté une stratégie similaire à celle d'amazon qui propose des versions Android, BlackBerry et iphone. Le libraire français a déjà annoncé qu'une version Android de Fnacbook sortira au cours du premier semestre Un serveur à 16 cœurs sans ventilateur Le serveur R1801e de ZT Systems a une dissipation thermique si faible que son refroidissement est complètement passif. De quoi redonner le sourire aux opérateurs de datacenters qui vont voir baisser leur facture d électricité.

8 Pour faire face aux problèmes de refroidissement liés à la densification des serveurs, les constructeurs abandonnent progressivement les processeurs Xeon d'intel et Opteron d'amd. Ils se tournent vers des processeurs basse consommation qui proposent un meilleur équilibre entre puissance de calcul et dissipation thermique. C'est notamment le cas de ZT Systems qui réunit pas moins de 16 cœurs dans un rack au format 1U en obtenant une consommation électrique inférieure à 80 Watts par heure. Destiné aux applications web peu gourmandes en ressources, le serveur R1801e de ZT Systems s'appuie sur le SPEAr1310 de ST Microelectronics. Ce SoC (system-on-chips) embarque deux cœurs ARM Cortex-A9 cadencés à 600 MHz, 1 Go de mémoire DDR3, deux ports Gigabit Ethernet et un contrôleur S-ATA pour connecter des unités de stockage. Le SPEAr1310 est secondé par 1 Go de mémoire flash (pour le système et les applications) et un SSD (Solid State Drive) de 80 Go pour les données. L OS est une distribution Linux Ubuntu. Au total, un serveur 1U propose donc 8 Go de mémoire vive et 640 Go d'espace disque. La dissipation thermique du R1801e est si faible qu'il n'embarque pas de ventilateur. Le refroidissement est entièrement passif. Une première pour un serveur rackable! Pour l'opérateur du datacenter, cette prouesse se traduit par des besoins de climatisation plus faibles qui réduisent le coût total de possession. Le succès de ce nouveau type de serveur est tel qu'arm a adapté le Cortex, initialement destiné aux mobiles, pour les serveurs. Le fabricant a étendu la quantité de mémoire vive supportée par le Cortex-A15 (4 cœurs cadencés à 2,5 GHz) à 4 To et propose des instructions natives liées à la virtualisation. Ce processeur proposerait un rapport MIPS / Watt 5 fois plus élevé qu'un processeur x86. RIM : le BlackBerry PlayBook lancé aux États-Unis en février? RIM invite les développeurs à soumettre dès à présent leurs applications pour l App World. Certains pourront gagner un PlayBook gratuit si leurs créations sont validées avant le 1er février. Research in Motion a annoncé hier que son AppWorld était ouvert aux développeurs voulant soumettre leurs applications pour son PlayBook. La date de commercialisation de la tablette BlackBerry n'a pas encore été communiquée, RIM ayant évoqué début 2011 pour les États-Unis. Or, selon les conditions d'une offre faite aux développeurs pour gagner un PlayBook, tout indique que la tablette pourrait arriver courant février outre-atlantique. En effet, RIM précise que «les développeurs qui créent une application qualifiée pour la tablette BlackBerry PlayBook avant sa sortie en Amérique du Nord seront éligibles pour une tablette BlackBerry PlayBook gratuite». Et l'offre est valable depuis hier jusqu'au 1 er février Bien qu'il ne s'agisse que d'une déduction, un tel timing serait idéal pour RIM qui pourrait ainsi occuper le terrain avant l'arrivée de l'ipad 2, vraisemblablement courant avril. Syntec Numérique publie un livre blanc sur la sécurité du Cloud Apprendre en avançant. C est ainsi que débute le 2e livre blanc publié par le Syntec Numérique (ex Syntec Informatique). Après avoir décrypté le concept du nuage dans un 1 er ouvrage publié en avril dernier, le syndicat aborde cette fois ci le cloud par les problématiques de la sécurité. Un élément souvent cité comme le principal frein à l adoption des infrastructures en nuage. Dans ce deuxième volet, Syntec numérique apporte aux décideurs, et plus précisément aux DSI, une «photographie» des risques et solutions connus, traités et utilisés, explique le Syntec. Le livre blanc du Syntec s articule autour de trois thèmes, la sécurité logique, physique, et des données. Un approche pratique volontaire du syndicat qui identifie également les 9 risques-clé en matière de Cloud et tente donc d y apporter des réponses avec, par exemple : Y a-t-il un risque de perte des données mises sur le Cloud? Y a-t-il un risque de piratage? ; Qui est juridiquement responsable de la sécurité et de la confidentialité des données dans le Cloud?"; Faut-il repasser l homologation (ISO,...) du système en entier? ; "Comment changer de Cloud? Mes données seront-elles effacées lorsque j aurai quitté le premier Cloud provider? Le service de GPS social Waze lève $25 M La start-up israélienne boucle un second tour de table pour accélérer le développement de son service de GPS social sur mobile. 2,2 millions de membres ont rejoint son réseau. Second tour de table pour Waze. La start-up qui édite le service éponyme de cartographie et de guidage GPS sur mobile vient de boucler un nouveau tour de financement de $25 M, auprès de ses trois investisseurs historiques, Blue Run Ventures, Magma Ventures et Vertex Venture Capital. Les trois fonds d'investissement avaient déjà participé au tour d'amorçage de l'entreprise au printemps Lancé sur iphone et Android à l'été 2009 (aujourd'hui disponible sur Windows Phone et Symbian), Waze fournit à la manière de Google Maps un service de cartographie, auquel s'ajoute une fonction de guidage par GPS. La particularité de Waze est de s'appuyer sur sa communauté d'utilisateurs pour bâtir ses services. Les cartes de Waze, mises à jour en temps réel, reposent en effet sur l'enregistrement et l'analyse des trajets des possesseurs de l'application. Dès que plusieurs utilisateurs empruntent une même route, Waze obtient un tracé de celle-ci. Pour inciter les mobinautes à l'utiliser, Waze leur propose par ailleurs un service d'affichage des ralentissements mis à jour en fonction de la vitesse des véhicules ou de signalement communautaire d'accidents, de radars, de travaux... Waze propose également un système de récompenses par points (en fonction du nombre de kilomètres parcourus, de routes découvertes) et de jeux en positionnant sur ses cartes des biens virtuels que les utilisateurs doivent récupérer en se rendant à l'emplacement indiqué. Début décembre, Waze estime que plus de 250 millions de kilomètres ont déjà été cartographiés par ses membres. La start-up, qui a mis un an pour recruter 1 million d'utilisateurs, en revendique aujourd'hui plus de 2,2 millions à travers le monde, dont plus de en France. Ce qui lui permet d'enrichir encore plus ses cartes, sans que la start-up ait à débourser des millions pour acheter ces données à des sociétés spécialisées. En Italie, la quasi-totalité des routes de Milan a ainsi été cartographiée en à peine cinq jours, fin L'entreprise, créée en Israël en 2008 a depuis déménagé dans la Silicon Valley. Firefox prépare son arrivée sur mobile début On a beau être une organisation à but non lucratif, il faut bien vivre! La présidente de Mozilla explique comment la fondation gagne ses revenus qui sont ensuite réinvestis dans le développement de son navigateur Firefox: "le modèle est assez proche d'adsense, nous recevons un petit pourcentage des recettes publicitaires de Yahoo!, Google ou Bing réalisés sur notre navigateur", détaille-t-elle. Malgré cela, la philosophie est bien différente des autres géants du web. "Nous développons un internet meilleur, c'est-à-dire dans lequel les individus et les développeurs gardent le contrôle sur leurs vies". Tant pis si ces temps-ci le nouveau navigateur de Google, Chrome, vient tailler des croupières à Firefox... La prochaine étape est en pleine gestation. Mozilla veut lancer un navigateur sur téléphones mobiles. Avec une idée originale: "regrouper les fonctionnalités, les mots de passe ou les marques page afin de ne pas avoir à les taper tout le temps". Lancement prévu dans les premiers mois de l'année prochaine.