Cadre de vie : s éveiller à d autres habitudes

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1 No.5 OCTOBER 2012 Photographe : Christian Bossu-Picat ENL GROUP PEOPLE INITIATIVES NEWS Cadre de vie : s éveiller à d autres habitudes

2 Contents INSPIRATION 4 CEO s thoughts Lightalk Shyama Soondur Communication and PR - ENL AT A GLANCE 5 Le centre commercial Kendra ravive le cœur de St-Pierre INSIDE STORY 7 ENL Agri helps small planters grow new roots 8 Le service met le turbo chez Axess IN PROGRESS 10 Le rebranding pour rester contemporain CONCOURS PHOTO 11 Regarder Autrement : «Au cœur de l été» PERSPECTIVES 12 Cadre de vie : S éveiller à d autres habitudes WIDE ANGLE 17 Nou baz, Bagatelle SPOTLIGHT 18 Mall management takes centre stage FACE TO FACE 20 Dinesh Burrenchobay: It s time to reinvent our tourism model ENCOUNTERS 22 L'efficacité de la transversalité OUTREACH 24 Invalider les blocages du handicap REFLECTIONS 26 Moka : Une histoire aux arômes de café La maison est le miroir de l âme, dit-on souvent lorsqu on évoque les interactions entre habitant et habitat. C est une vitrine dans laquelle s exposent nos goûts et nos valeurs. Elle dit tout de nous, de qui nous sommes et de comment nous vivons les uns avec les autres, réunis sous un même toit. Par extension, le pays serait le reflet de l âme collective, sa physiologie révélant le type de citoyens que nous sommes et la qualité de la relation qui nous lie les uns aux autres. Alors, posons-nous un instant et regardons tout autour. Fermons les yeux et ressentons. Essayons de tout redécouvrir avec des yeux neufs, avec ceux du touriste qui visite l île, par exemple. Tenez, la Journée mondiale de l Habitat, célébrée en ce début d octobre, est une excellente occasion pour nous livrer à cet exercice. Une île sale, souillée, indisciplinée. Voilà ce que nous risquons de découvrir. Et alors, interrogeons-nous tout de suite sur ce que l état de notre habitat dit de nous. Pourquoi le visiteur étranger accumulerait-il des heures de vol et paierait-il une petite fortune en frais d hébergement pour venir à notre rencontre? A publication of ENL Group. 7 th Floor, Swan Group Centre, 10, Intendance Street, Port Louis, Mauritius enlighten@enl.mu Executive Editor Shyama Soondur Editor Gilbert Deville (Ideos Communications) Contributors Désiré Eléonore Gilbert Deville Ajai Daby Virginie Corneillet Bénédicte de Comarmond Concept, Layout & Art Direction Lemon Agency Printing T-Printers October 2012 Republic of Mauritius La qualité de l habitat et l avenir de l industrie du tourisme sont précisément parmi les principaux sujets qui nous préoccupent dans ce numéro d ENLighten. Les deux ne sont pas dissociés Bonne lecture! OCTOBER

3 INSPIRATION AT A GLANCE This is the period of the year when companies generally report on the previous year s activities to their stakeholders. Far from being a purely financial exercise, the publication of annual reports is a time for lucid retrospection, honest introspection and realistic projections. It is a time to take stock of our initiatives and attitudes and to weigh them against results achieved. Given the impending sense of gloom shrouding the national economy, ENL companies have not fared too badly. Consolidated turnover and operating profits are slightly below expectations due to a conjunction of three factors: The coming years are going to be more difficult than any we have known recently. difficulties facing the hospitality industry, sub-optimal performance within the commercial cluster and delays in realising some of our land assets. On the other hand, our agricultural operations, property developments and associated companies have yielded good results. The ENL business model is founded on a long-term approach to wealth creation and on family values that enable us to weather temporary setbacks. Discipline and steadfastness shall enable us to catch up on delays and impediments encountered this year. Refocusing on cash generation shall safeguard our group from any further deterioration in business conditions. As it is, the signs are there for whoever cares to read them: the coming years are going to be more difficult than any that our country has known in recent years. This is particularly true in the hospitality industry, which remains plagued by systemic weaknesses and a restrictive air access policy. The present situation spells danger for us all and unless it is addressed urgently, the crisis facing the sector will have a far deeper socio-economic impact than statistics and econometric models could ever demonstrate. ENL has always upheld its faith in the Mauritian destination. Our recent move to take majority shareholding in Rogers only reaffirms this. We also trust the Nation s capacity to work out lasting solutions to its problems. We have no doubt that once we set our minds to it, we shall be able to give a new lease of life to the tourism industry. Knowing this is of no help though; not unless we soon move to action at the highest levels. Coincidentally, the government has also entered a mood of assessment and readjustment as it gets ready to present the national budget next month. ENL has participated actively in the process, using existing institutional channels to call for initiatives to boost the IRS, property development and construction sectors in particular. The balancing act the Minister of Finance is called to achieve is not dissimilar to the one us business leaders have to pull off every year. Still, the roles are clearly cast: it is the government s job to deliver a train of measures to enable wealth creation; it is ours to deliver efficiency in all our operations and bring those measures to fruition. Hector Espitalier-Noël CEO The ripples of the global economic downturn have reached our shores and we are going to need all the optimism, commitment and focus we are capable of as individuals, as companies and as a Nation to stay in business. Tough times lie ahead. Not tough enough for us to lose hope, but difficult enough to require that we check our expectations and align them with the needs of the moment. And the moment demands a change in attitudes, a strengthening of resolve and hard work. Anything less will not do. Charabia tisse un nouveau cocon à Curepipe Charabia s installe dans un nouveau cocon, avec une offre enrichie, à Curepipe. Le magasin spécialisé dans le linge de maison de qualité pour les particuliers, hôtels et spas, quitte Floréal à la mi-octobre pour la rue Sir Virgil Naz, à Curepipe. Une décision qui répond à un besoin grandissant d espace et qui se justifie par les développements futurs envisagés. Il sera désormais possible de trouver des produits prêts à emporter, en plus de la gamme faite sur commande. Tout un choix de linge de maison et de serviettes sera proposé à la vente grâce à une collaboration entre L Épongerie et sa compagnie sœur, Pack Plastics. Du mobilier de plage et de maison sera aussi disponible, ainsi que toute une collection de tapis. Du soleil dans nos maisons ENL se positionne pour fournir de l énergie électrique à partir du soleil au réseau national. Le groupe a exprimé son intérêt pour l appel d offres que le CEB s apprête à lancer concernant la fourniture de 10 MW. Il se propose de construire deux fermes à Grand-Bois et à Côted Or, pouvant produire 2 MW chacune à partir de panneaux photovoltaïques disposés sur une surface de 7 arpents. Cet investissement dans les énergies renouvelables, en partenariat avec une firme étrangère, avoisinera Rs 130 millions (USD 5 millions). Kendra ravive le cœur de St-Pierre Nouveau centre commercial dans quelques jours au cœur de St-Pierre. Le bien-nommé Kendra, qui signifie «centre» en sanskrit et en langue indo-aryenne, est situé à quelques mètres de la gare routière et du marché du village, à la convergence des routes principales du district de Moka. Il propose un shopping paisible et des possibilités de loisirs dans un espace convivial regroupant un supermarché Winners, une agence de la Mauritius Post and Cooperative Bank, un Food Court au menu varié et des dizaines d autres enseignes de renom. Ocean Basket sous le label de qualité SGS Ocean Basket affiche fièrement son label «SGS Certified». Le restaurant de Bagatelle adhère ainsi au Good Food Safety Practices Scheme de SGS afin de mieux garantir à sa clientèle la qualité et la fraîcheur de ses produits. La firme SGS effectue des tests inopinés sur les aliments, les surfaces de travail et les ustensiles, puis remet un rapport à la direction d Ocean Basket Maurice. La certification SGS vient donc valider en quelque sorte les normes de qualité prescrites à toutes les franchises par la maison-mère en Afrique du Sud. 4 ENLIGHTEN N o 5 OCTOBER

4 AT A GLANCE INSIDE STORY Le Citroën DS5 sur nos routes La DS5 est désormais sur les routes mauriciennes. La dernière berline de la gamme premium de Citroën épouse une ligne de break de chasse ultramoderne. Très grande, elle propose un habitacle à la finition soignée, avec une touche technologique qui ravira les amateurs d aéronautique. Avec 5 étoiles Euro NCAP et un score de 97 % sur les systèmes d assistance, elle assure côté sécurité. C est le premier modèle Citroën doté de la technologie Diesel Hybrid4, combinant 4 roues motrices, un moteur de 200 ch, avec des émissions de CO2 réduites à 99 g/km. Creative Masters Tour Acte II La deuxième édition du Creative Masters Tour s est tenue les 27 et 28 août 2012 au Hennessy Park Hotel, à Ebène. Evénement annuel de Maurisoft et Nuclei, ce rendez-vous des créateurs graphiques était organisé avec la collaboration de la société sud-africaine Morning Star Design. Les participants ont pu assister à plusieurs conférences données par la formatrice Adobe Carla Scholtz, le gourou du design Mohammed Jogie, le maître de l animation Adesh Bhardwaj et Mukesh Kumar Sharma, spécialiste du web. Les merveilles de HTML 5, CSS 3 et Rich Content ainsi que des solutions Web et mobiles étaient aussi au rendez-vous. Les Allées d Helvétia Succès confirmé avec la phase 2 Le succès du complexe résidentiel Les Allées d Helvétia, à Moka, ne se dément pas. Plus de 85 % des 54 duplex et des appartements qui constituent la phase 2 du projet ont déjà trouvé preneur. Les ventes avaient démarré il y a un an, en octobre Encouragé par ce succès, le promoteur, MDA Properties Ltd, prépare déjà la phase 3. La première phase des Allées d Helvétia comprenait 24 appartements et 48 duplex, qui ont tous été vendus. Ce complexe résidentiel offre des logements de qualité, clés en mains, dans le cadre enchanteur et convivial de Moka. ENL AGRI Helping small planters grow new roots Small cane growers are getting a most welcome administrative and logistic support from ENL Agri through the FORIP scheme. Scarce manpower and decreasing sugar prices, combined with the lack of interest of younger generations in taking over family-owned agricultural operations, have left ageing small cane growers with a bleak outlook for the future. Many have simply given up, unwittingly fuelling a trend that threatens to jeopardise the sustainability of the sugar industry. The Field Operations Regrouping and Irrigation Project (FORIP) scheme was introduced a few years ago by the government to redress the situation. The proven know-how as well as the significant logistics and administrative capabilities of larger scale cane growers indeed made them the natural partners for implementing the FORIP. ENL Agri has actively contributed to it in the Mon Désert Alma and Savannah regions. The FORIP is funded by the European Union to compensate in part for the impact of its own sugar sector reforms on traditional trading partners. The scheme aims at enhancing the productivity and profitability of small cane growers. This often calls for a complete overhaul of their fields to allow total or partial mechanisation of operations as well as training the planters to adopt modern management practices. ENL Agri is commissioned to upgrade fields in the above regions by the Mauritius Cane Industry Authority (MCIA), which manages the FORIP and is responsible for bringing together small cane growers for this purpose. Working together generates economies of scale and lowers costs for small planters, explains Gilbert d Argent, the administrative manager and project leader for the FORIP at ENL Agri. Close collaboration We work in close collaboration with cane growers to clean and level fields, plough lands, dig furrows and plant the most suitable varieties. We also rehabilitate access roads and drainage systems. In addition, irrigation systems need improvement in certain areas, says Prem Appanah, a former employee and current right-hand man to Gilbert d Argent. The FORIP is also an opportunity to empower small cane growers. We train small groups of planters to work in the fields under our supervision. When we hand their land back to them, they are fully empowered to keep up the set standards, points out Gilbert d Argent. It s extremely rewarding to see the renewed enthusiasm of cane growers for their crops, he says. The upgrading of land by ENL Agri benefited 559 planters in Mon Désert Alma and Savannah. About one-third of the surface area owned by the latter was abandoned prior to the FORIP being launched in After rehabilitation of the fields, production costs have gone down by 20% on average and crop yield has been more homogenous. Indurman Ghoordin is one of the 30 small planters from Belle Rive who joined the programme. He echoes the general sentiment when he says that the FORIP has been a real lifebuoy to small cane growers. Had it not been for this scheme, we would soon have been out of business, agrees Abedeen Hosenally, who owns sugarcane fields in Camp Fouquereaux. 6 ENLIGHTEN N o 5 OCTOBER

5 INSIDE STORY INSIDE STORY 1. Axess représente un portefeuille de marques automobiles diversifié et de qualité. 2. Les réglages effectués visent à améliorer l'efficacité des prestations au client. L univers mécanique AXESS Le service met le turbo Le client est roi. Ces mots prennent un nouveau sens chez Axess, qui vient de se livrer à une profonde remise en question de ses pratiques et processus. Axess se positionne pour devenir une référence nationale en matière de service-client. Et elle se donne les moyens de ses ambitions, procédant à un recentrage de ses équipes et services autour de cet objectif. L'exercice a permis de créer les conditions nécessaires à une meilleure synergie entre les équipes pré- et après-vente. Le défi est de taille, car le marché national de l automobile neuve connaît un nouvel essor depuis quelques années. Les chiffres sont éloquents : véhicules sur nos routes en 2011 contre en Un positionnement judicieux sur ce marché depuis des décennies, avec des équipes et un cadre de travail créés en conséquence, a permis au «moteur» Axess de tourner sans ratés. Mais la machine nécessitait encore quelques réglages, en plus d une maintenance à assurer. Etre un grand concessionnaire, gérer autant de marques et une importante clientèle en développement permanent demande une mise à jour et une remise en question régulières. Ces réglages se justifiaient aussi par la pression de la concurrence. Engagement fort La réaction est passée d abord par un recentrage du service après-vente, dont les résultats sont déjà visibles. Le but visé étant d assurer une prestation efficace et répondant aux attentes du client. Le gain en efficacité et le bien-être des employés étant indissociables de la satisfaction du client, une synergie a été créée entre les départements : Customer Experience et Fleet Management de l après-vente, informatique et bien évidemment, ressources humaines. «Nous travaillons aussi de concert avec le département marketing-vente afin de pouvoir anticiper les besoins du client. Cela favorise une gestion efficiente des ressources dont nous disposons et nous évite d être pris de court», soutient Deven Pyneeandee, After-Sales Manager, qui vient de se joindre à l'équipe Axess en début d année. Les nouveaux processus, également essentiels à une prestation de qualité, ont été longs à mettre en place. Mais le défi était à la mesure de l engagement pour Axess, qui s est inspirée du célèbre processus japonais Kaizen d amélioration d efficacité et de service. Car sans engagement fort de l entreprise et de ses équipes, les meilleurs processus et programmes ne peuvent apporter les résultats escomptés. Un programme d amélioration et de restructuration a ainsi été mis en place en collaboration avec le département des ressources humaines. Dans la pratique, si les équipes sont restées les mêmes, la prise de conscience est palpable. «Tout cela peut évidemment être affiné encore, mais je n ai absolument pas de doute que nous allons réussir notre pari, celui de devenir LA référence nationale dans notre domaine», déclare Antoine d Unienville, le directeur général d Axess. Le «moteur» Axess a passé un rapport supérieur. DEVEN PYNEEANDEE, l homme-pont pour la qualité Deven Pyneeandee, le nouvel After-Sales Manager, est l hommepont entre l ancienne et la nouvelle approche qualité d Axess. Il apporte à l entreprise son expertise acquise auprès d une des plus grandes marques mondiales, représentée à Maurice par Axess : Ford. Ce passionné d automobile, diplômé en génie mécanique d une université londonienne et détenteur d un MBA, a travaillé pour plusieurs grandes entreprises du secteur. Ancien cadre de la Ford Motor Company (pour laquelle il a entrepris des missions dans une cinquantaine de pays), il a notamment été responsable qualité de la Ford Fiesta 2005 pour les marchés indien et japonais. 1 Née de la fusion d ASAS et d Agritec en 1999, Axess Limited se focalise sur la qualité et les besoins réels du client, avec un portefeuille de marques diversifié et de qualité : Citroën, Ford, Isuzu, Jaguar, Mazda, Range Rover, Suzuki Avec une part de marché de 12,07 % pour les véhicules neufs au 30 juin 2012, le concessionnaire est aussi présent dans le secteur agricole, celui du génie civil et sur le marché des véhicules lourds. Consciente des enjeux du marché local et des besoins d une clientèle exigeante, Axess a récemment enrichi sa palette de prestations avec une équipe spécialisée offrant des services sur mesure de gestion de la flotte. Cela permet ainsi au client de se concentrer sur ses métiers et de gagner en efficacité, sans avoir à consacrer du temps et des ressources à l activité annexe qu est le Fleet Management. «Axess a mis en place une structure adéquate afin d offrir, en vente et en après-vente, des solutions complètes pour répondre aux enjeux de mobilité ainsi qu aux besoins d équipement et d accessoires des clients», explique Olivier de Robillard, Sales and Marketing Manager. La passion, l humain, l engagement, la transparence et le professionnalisme restent des principes fondamentaux qui guident l action de la compagnie. Des principes qui se déclinent dans toute la palette de services. Car Axess offre également un garage mécanique comprenant un atelier, une assistance 24/24, un espace carrosserie et des pièces de rechange. L entreprise est également distributeur exclusif pour les pneus Michelin et BF Goodrich ainsi que pour toute une gamme d outils de haut niveau. De quoi nourrir son univers mécanique. 2 8 ENLIGHTEN N o 5 OCTOBER

6 z e u q i l C IN PROGRESS CONCOURS PHOTO z e n g & Ga Le rebranding pour rester contemporain Avant e édition : 2 la de nt na Gag Canne : la saison de la coupe Le nouveau siège du groupe, actuellement en construction à Moka, reflète également l'identité de la marque ENL. Après ants à notre concours de Merci et bravo aux nombreux particip e fois, à donner vie à la photographie, qui vous a poussé, cett saison de la coupe de la canne! egonde a emporté l adhésion La photo gagnante de Charlaine Rad ition et l authenticité de ce unanime du jury pour sa belle compos panel ont aussi octroyé du s cliché en noir et blanc. Les membre oojee pour l atmosphère de une mention spéciale à Dianish Raw cette photo de nuit. Bien plus qu un exercice cosmétique, l actualisation de l image corporate d une entreprise est une discipline qui appelle à une profonde remise en question de sa façon d être, de faire et de paraître. Objectif : projeter une réalité propre. Amorcé en 2009, le «rebranding» mené par ENL vit une nouvelle phase en cette fin d année L e rebranding est un passage obligé pour toute entreprise, grande ou petite, Maurice n y fait pas exception. Est-ce conjoncturel? Cela correspond-il à un palier de développement des organisations dans notre pays? Ou succombonsnous tout simplement à un effet de mode? Difficile à dire, mais on note, ces dernières années, une volonté claire des entreprises de valoriser leur image de marque et d améliorer leur visibilité. Souvent dotées d une image un peu vieillotte, ou qui s est bricolée par manque de moyens lors de leur création, les entreprises mauriciennes pouvaient voir leur croissance freinée par ce reflet désuet. Or, les influences extérieures, de plus en plus marquées, font évoluer l approche plutôt traditionnelle et conservatrice qu elles pouvaient avoir par rapport à leur communication ou leur marketing. Ces entreprises réalisent qu une bonne réputation, acquise sur la durée et bâtie naturellement sur la qualité des produits et services ainsi que sur une relation de confiance, ne suffit pas toujours. Le rebranding devient alors une étape indispensable pour se développer, se positionner par rapport à la concurrence, gagner de nouveaux marchés et toucher de nouveaux publics. 10 ENLIGHTEN No 5 C est fort de cette conviction que le groupe ENL a entrepris d actualiser son image cette année. L initiative s inscrit dans la continuité d un exercice similaire entrepris en 2009, qui avait abouti à la mise en place d une nouvelle structure pour le groupe, avec des divisions opérationnelles clairement définies, une réaffirmation des valeurs qui animent l ensemble des salariés du groupe et un logo rafraîchi pour refléter cette mise à jour. «Partager notre différence» «L entreprise est une entité dynamique et l image qu elle projette demande à être affinée régulièrement afin de refléter sa modernité. Notre objectif reste le même que celui d il y a trois ans : rendre les structures plus lisibles et mieux partager avec nos partenaires ce qui constitue notre différence», explique Virginie Corneillet, responsable d ENL Corporate Services et initiatrice du projet. Cette différence, ENL l affiche bien sûr à travers sa marque et dans la représentation visuelle forte de cette dernière, le logo, qui a également subi une petite retouche dans le cadre de la dernière phase du rebranding. Loin d être une opération purement graphique, l évolution du logo est le résultat concret de l aboutissement d un processus long, mûrement réfléchi et strictement contrôlé. Car le rebranding demande une vraie introspection, qui participe du changement qui s opère dans l entreprise et qui permet d imprégner les salariés, les clients, les partenaires d affaires et le public en général de son ADN. La marque d une entreprise ou d une organisation (par rapport à une marque commerciale) a ainsi ses propres spécificités : elle symbolise les valeurs d une organisation, elle porte sa réputation, sa culture, son histoire. Elle est le lien entre l entreprise et ses différents publics. Le logo, signe distinctif de la marque, se doit ainsi d être lisible et de suivre l évolution de l entreprise mieux, accompagner sa progression. Sans créer de rupture. A moins que cela ne soit l objectif même de l exercice. En effet, le lancement d un nouveau logo dans un rebranding est quelquefois utilisé pour redorer une image ternie ou mise à mal Tel n est pas le cas d ENL, qui s appuie sur sa stabilité et sa culture pour consolider son image et renforcer sa notoriété. Le logo ENL reste un symbole de cette pérennité, jusque dans les petites touches apportées au fil du temps, qui racontent les transformations sans renier l histoire de l entreprise. De la continuité dans la progression. rdist. Surpe, e e j woo sh Ra Diani Charlaine Radegonde, Axess. Thème 3 : Au cœur de l été L été tropical nous tend les bras en ce mois d octobre. A la parution de votr e prochain numéro d ENLighten, en janv ier 2013, nous serons au milieu de la sais on chaude. Nous vous invitons donc à vou s exprimer sur le thème «Au cœur de l été» pour notre prochain concours de pho tographie. Vous pouvez le traiter sous toutes ses facettes : la chaleur, les fruits de saison, le soleil, les activités en exté rieur typiques de cette période Com ment PARTICI PEr? Pour participer au concours «regarder autre ment» et gagner Rs 5 000, consultez notre intra net, ENLIVE. Profitez donc des derniers mois de cett e année 2012 et pourquoi pas des occa sions que vous donneront vos vacances pour capturer le cœur de l été! OCTOBER OCTOBER

7 PERSPECTIVES PERSPECTIVES CadRE de vie S éveiller à d autres habitudes «New York, c est une ville debout», a écrit Louis-Ferdinand Céline. Debout dans la verticalité de ses gratte-ciel, dans son activité frénétique et son éveil permanent. Loin du développement d une telle mégapole, l île Maurice a vécu son évolution depuis l indépendance. Les Mauriciens se sont-ils, en parallèle, éveillés à la recherche d un habitat sain, fonctionnel et durable? Pistes de réflexion dans le cadre de la Journée mondiale de l Habitat 2012, célébrée le 1 er octobre. FACTS & FIGURES hectares Superficie de l île Maurice portant des bâtiments en 2010 ( hectares en 1965) Nombre d unités de logement à l île Maurice en ,7 % Taux d augmentation du nombre de résidences à plus d un étage à Maurice de 2000 à Nombre de foyers sans eau courante à Maurice. On compte aussi foyers sans électricité Plus de Rs 1 milliard Le coût annuel estimé des embouteillages pour l économie mauricienne (hors coûts d opération des véhicules) L île Maurice indépendante, Le pays compte environ âmes. Un peu plus de des quelque hectares de sa superficie totale portent des constructions. L hôtellerie est quasiment inexistante, l industrie textile, les services informatiques et financiers tous consommateurs d espace bâti n ont pas encore fait leur apparition. L empreinte de l activité humaine sur le paysage se voit surtout dans l alignement des champs de cannes, les vapeurs des usines sucrières, les rubans d asphalte des routes ainsi que les murs rarement supérieurs à un étage des maisons, des écoles et hôpitaux ainsi que de quelques ensembles de bureaux et de magasins. «Jusqu au début des années 1960 et les ravages du cyclone Carol, dans les villes et les villages, on vivait en maisons individuelles et en famille étendue, et parfois, dans ce qu on appelait les grandescours : plusieurs maisons, abritant différentes familles parfois de confessions et de milieux professionnels très variés autour d un espace commun et vert. C était un lieu de rencontre, de partage», rappelle Jean-Claude Lau, sociologue mauricien qui a connu l île Maurice de l ère pré- et post-indépendance et qui a enseigné récemment à l école d architecture de Grenoble, en France. Depuis l indépendance, la population de l île a presque doublé. Les maisons et cours individuelles ainsi que les ensembles résidentiels se sont multipliés. Au 1 er juillet dernier, selon Statistics Mauritius, nous étions officiellement personnes à habiter la République de Maurice, dont la grande majorité (un peu plus de 1,25 million) sur les km² de l île Maurice. Pendant cette quarantaine d années, l économie nationale a aussi connu une diversification et un véritable décollage, auxquels ont participé des entreprises comme ENL. Photographe : Jean Jacques Fabien 12 ENLIGHTEN N o 5 OCTOBER

8 PERSPECTIVES PERSPECTIVES Cette évolution de la population et de l économie a eu une incidence sur l activité professionnelle, les infrastructures et le revenu moyen par habitant. Les mœurs, les cellules familiales, les attentes ont changé. Immanquablement, il en a été de même des conditions physiques et sociologiques qui sont liées au logement et qui constituent l habitat dans son ensemble : confort de la résidence, accès et distance d avec les lieux de travail, d éducation, de soins et de sports, qualité de l environnement (propreté, qualité de l air, niveau sonore), accès à l eau courante, à l électricité, aux infrastructures d assainissement et aux télécommunications, moyens de transport, sécurité, relations avec le voisinage Il y a deux cadres d habitat, rappelle l architecte Gaëtan Siew : en zone rurale, on vit près des terres qu on exploite, avec une configuration plus éparpillée des agglomérations. La zone urbaine est, bien sûr, plus dense et place les logements plus près des lieux de vie (travail, écoles, etc.). Ces deux types de régions (y compris l intérieur des zones côtières) GILbERT ESPITALIER-Noël, CEO ENL Property «Il y a une forte perception que notre île est en train d être bétonnée. Cette perception est juste. Nous subissons le revers du développement incontrôlé de ces dernières années. Notre île s enlaidit et s éloigne de plus en plus de l image de carte postale de laquelle dépend aussi la prospérité de l industrie du tourisme. Le Mauricien s en hérisse, et à raison, car il est de plus en plus sensible à la qualité de son habitat. Il faut cependant se garder de faire des amalgames dangereux. Il existe aussi des développeurs comme nous, qui s attachent à construire du beau, à améliorer l habitat de tous points de vue esthétique, fonctionnalité et intégration optimale du projet avec son environnement naturel et social ainsi que les infrastructures qui l'entourent. Nous créons le choix pour le Mauricien. L immobilier reste un moteur de croissance à fort potentiel pour le pays, à condition de l aborder avec le respect nécessaire pour l environnement naturel et sans faire de compromis sur l esthétique. Nos initiatives ont un impact durable sur le paysage. Planifier et adopter une approche intégrée à ce métier relève d un impératif, patriotique certes, mais aussi économique.» ont été touchés par le développement important de la construction résidentielle, répondant à un besoin pour une diversité d habitations. D environ unités en 1990, le nombre de logements est, en effet, passé à plus de en 2011 et plus de 80 % des Mauriciens seraient propriétaires de leur logement. 1 Mais les chiffres ne reflètent pas toujours les réalités et les aspirations humaines. Le Mauricien et le résident mauricien sont conscients que le logement seul ne fait pas l habitat, estiment Jean-Claude Lau et Gaëtan Siew. Le désordre urbain évident, résultant d un manque de planification et de contrôle, les lacunes des infrastructures, les manquements dans la qualité du cadre de vie, tous maintes fois dénoncés dans les médias locaux, le montrent bien. Mais paradoxalement, le Mauricien tolère et commet lui-même parfois des entorses aux principes de base qui contribuent à un habitat convivial et sain. De quoi fonder des espoirs sur les nouvelles zones constructibles? A voir Car on bâtit un peu partout dans l île, aussi bien sur quelques terrains disponibles dans les villes et les villages que sur les nouvelles terres, morcelées ou aménagées par des promoteurs. La réglementation sur la conversion d une partie des terres agricoles en vigueur depuis une dizaine d années a été un des éléments facilitateurs du développement immobilier de la dernière décennie. Des centaines d hectares sont devenus disponibles dans diverses régions de 2 «On bâtit un peu partout dans l île, aussi bien sur quelques terrains disponibles dans les villes et villages que sur les nouvelles terres.» l île pour l extension de zones habitées existantes et pour la création de nouveaux ensembles de résidences. Sans qu il y ait toujours eu une réflexion globale sur un plan d aménagement intégré aux structures nationales en place. Ce n est pas le cas pour ENL. Acteur majeur de l économie et de la société mauricienne, le groupe ne pouvait rester insensible à cette question du développement de l habitat. «Certains ont fait le choix de créer des morcellements et de vendre ces terres. Nous nous sommes concentrés sur un développement planifié, intégré et durable, avec une attention particulière à l esthétique et à la qualité de vie. Nous concevons et nous développons pour valoriser aussi autour des zones où nous construisons, en ne dépendant pas seulement des autorités», explique Gilbert Espitalier-Noël, le directeur général d ENL Property. A travers cette entreprise, le groupe ENL s est donc lancé de plain pied dans un développement immobilier couronné de succès et se focalisant sur la réalisation de véritables cadres de vie intégrés, comprenant des résidences de qualité : ensemble résidentiel et centre commercial Les Allées d Helvétia à Moka, complexe de shopping, de loisir, de résidences et de bureaux à Bagatelle, centre commercial Kendra et centre sportif Synergy à St-Pierre Le tout avec la participation d autres entreprises du groupe engagées dans le landscaping, notamment. Point commun de ces projets : une situation géographique au centre de l île, dans la région de Moka/St-Pierre, une conception axée sur l intégration des lieux de résidence, de travail, d éducation, de loisirs existants et créés ainsi que celle des voies d accès routier, et sur la proximité de tous ces éléments (voir aussi hors texte). En concevant l espace de ce qu ENL a nommé, «Moka, Cœur de l Ile», les promoteurs ont adopté une vue d ensemble de la région, en tenant notamment compte de l état actuel et futur du réseau routier et en participant parfois au développement pertinent de ce dernier. A l exemple du pont de Bagatelle, ou encore d une partie de l autoroute Terre-Rouge/Verdun et du Moka Bypass, qui traversent les terres d ENL. Car la route, l accès physique, la proximité des lieux d activité quotidienne sont des éléments clés d un habitat convivial et «durable». Sans tomber dans l extrême de l autarcie, une telle configuration limite les déplacements et la pollution par les transports, augmente la sécurité, et fait gagner du temps celui qui n est pas perdu dans les transports sur les activités qui apportent un équilibre au citoyen. L expérience du village de La Valette, près de Bambous dans l ouest de l île, a démontré, par ailleurs, les conséquences de la création d un habitat ex-nihilo, sans tenir compte de tous les facteurs requis. Partie d une volonté louable de soutenir et d encadrer des squatters, La Valette a fini par être le site de remous sociaux importants, car même s il offrait un logement sous certaines conditions les infrastructures, une situation géographique et un manque de services de transport isolaient et marginalisaient encore plus ses locataires. Autre configuration d ensemble de logements, autre habitat Visuellement, la construction résidentielle en hauteur est la marque la plus évidente du développement de l immobilier à Maurice. 1. La modification de la règlementation sur la converstion des terres agricoles a facilité le développement immobilier, dont les projets IRS, durant la dernière décennie. 2. L'ensemble résidentiel et centre commercial des Allées d'helvétia propose un cadre de vie intégré. 3. L'évolution de la population et de l'économie a eu une incidence sur l'habitat mauricien. 14 ENLIGHTEN N o 5 OCTOBER

9 PERSPECTIVES WIDE ANGLE Tout un chacun a pu voir les tours et blocs d appartements s ancrer dans des quartiers de Quatre-Bornes, Beau-Bassin, Floréal, Rose-Hill et même sur le littoral ouest. Depuis plus de 15 ans, l'etat a aussi fait ériger des ensembles d appartements sur plusieurs niveaux, avec plus ou moins de réussite dans l adaptation des nouveaux acquéreurs aux règles de copropriété. Les chiffres de Statistics Mauritius sont éloquents à ce sujet : de 2000 à 2011, le nombre de logements en rez-de-chaussée uniquement a baissé (-6,5 %) alors que celui des résidences en hauteur (plus d un étage) a explosé par plus de 140 %. «Le succès des projets d appartements en hauteur m a surpris. Il semble qu ils répondent à un vrai besoin, surtout dans les villes du centre de l île, malgré leurs prix élevés», dit Denis Maujean, directeur commercial de l agence de conseil immobilier Coprim. Un besoin sans doute pour cette proximité des infrastructures et des services en quartier résidentiel, sans les désagréments du centre-ville, et sans le cauchemar d avoir à faire bâtir soi-même. Jean-Claude Lau, comme Gaëtan Siew, estime toutefois que ce modèle de résidence peut répondre à des besoins précis 3 dans le cadre urbain de certaines régions seulement. Et contrairement à ce qui se passait dans le cadre de l habitat des «grandes cours» d antan, vivre dans un tel ensemble n entraîne pas nécessairement une interaction sociale, note le sociologue : «Les grands immeubles ne peuvent pas rassembler, car les mentalités ont changé. Les gens sont plus individualistes.» La solidarité ainsi que la promotion de l accès à la propriété et à un habitat plus convivial sont, au contraire, une carte que tentent de jouer certains promoteurs immobiliers, à l instar d ENL Property. Le logement social reste hors jeu pour l instant, faute de cadre facilitateur adéquat de la part des autorités. Par contre, les projets intégrés pour la classe moyenne trop souvent négligée intéressent ENL Property. Les prix élevés des terrains bien situés gonflés par la spéculation et les malentendus au sujet des programmes IRS et RES et ceux des appartements de standing les mettent, en effet, hors de portée des familles de la classe moyenne. D autant plus, relève Denis Maujean, qu on déplore l absence d un éventail d offres de plans épargne-logement, et ce même s il faut saluer les efforts entrepris par certaines institutions de financement ces dernières années. Fidèle à son plan de développement intégré et en s appuyant sur l expertise et la taille critique acquises, ENL Property lance donc bientôt un projet conçu sur mesure pour cette catégorie sociale, à un prix adéquat. La dernière initiative en date d une entreprise membre d un groupe qui se veut visionnaire et citoyen. «Nous n avons pas l ambition de régler tous les problèmes», précise Gilbert Espitalier-Noël. «Mais nous faisons des projets attrayants et répondant à des besoins et attentes de différentes catégories de Mauriciens, en contribuant ainsi, à notre mesure, à la création d un habitat sain, convivial et durable.» Gaëtan Siew Architecte «IL FAUT UNE NOUVELLE VISION DE L ESPACE» L habitat mauricien est-il bien intégré? L aménagement du territoire national ne favorise malheureusement pas l intégration optimale des éléments de l habitat : logement, transport, lieu de travail, services, environnement physique, sonore et autres Généralement, le développement de Maurice s est fait sur l axe Plaisance-Port-Louis-Grand-Baie, avec une concentration plus forte sur les Plaines-Wilhems. C est un Ribbon Development, pas un véritable plan d urbanisation intégrée. Qu en est-il de l aspect architectural? Faute de planification, le résultat sur le plan esthétique est terrible! Il n y a pas de réglementation concernant les matériaux et les couleurs, entre autres. Quand les règlements existent, ils n ont pas toujours été respectés ni contrôlés. Les autorités ne portent pas toute la responsabilité de cette situation : 95 % des logements ont une superficie de moins de 250 m², pour laquelle il n est pas légalement nécessaire de solliciter un architecte. Depuis les années 1960, il y a eu deux générations de bétonnage incohérent. La population s y est adaptée, de différentes façons et selon une diversité de goûts et de styles de vie. Il y a aussi eu, ces dernières années, une tendance à bâtir en hauteur. Avoir des blocs d appartements n est pas toujours nécessaire, même si l accès d un plus grand nombre aux infrastructures et aux services peut les rendre pertinents dans certaines zones urbaines. Cette situation cadre-t-elle avec un développement durable? Non, car cela requiert beaucoup de ressources et d infrastructures. Il serait opportun de concevoir, de planifier et de développer une nouvelle organisation de l espace associée avec un mode de vie repensé (Work, Live & Play) et avec les nouvelles technologies de communication. Cette nouvelle organisation optimisera les besoins en foncier et en transports et améliorera la qualité de la vie. En fait, il faut une vision globale pour le pays et la décliner dans tous les domaines : l économie, le social, l éducation, le logement, etc. Mais ce qui a été fait et mal fait peut aussi être transformé. La petite taille de notre pays peut d ailleurs être un atout pour cela. Il nous faut une nouvelle vision de l espace et l implication de tous. Nous pouvons ainsi encore rectifier le tir. Nou baz Bagatelle Bagatelle. Une région au centre de l île promise à un développement urbain d envergure. Un centre de shopping et de loisirs, navire-amiral déjà en vitesse de croisière d un projet d urbanisation de référence. Une marque qui, depuis l ouverture de Bagatelle Mall of Mauritius le 29 septembre 2011, a tenu sa promesse, annoncée par son slogan décliné dans toute la couleur de la langue créole : «Nou baz». L émergence de Bagatelle comme une marque nationale forte en moins d un an est le résultat de plusieurs facteurs concomitants. Le projet en lui-même est novateur et le «mall», son porte-étendard, l illustre bien à travers son architecture typée, son ambiance conviviale et ses prestations de qualité. La situation du site en bordure du tronçon le plus fréquenté de l autoroute Nord-Sud assure une visibilité sans pareil au projet. Ces atouts majeurs ont servi de base au développement d une stratégie d identité forte, mettant à contribution les moyens de communication modernes aussi bien que traditionnels pour installer «Bagatelle» dans le langage populaire avant même l ouverture du Mall of Mauritius. Cependant, la vraie force de la marque Bagatelle repose sur la concrétisation des promesses du centre commercial : innovation, qualité, sécurité et diversité, aussi bien dans l offre que dans l univers social. Une promesse d être «différent», qui touchait les visiteurs, mais aussi les locataires des quelque 125 boutiques et restaurants du complexe, rappellent Frédéric Tyack, Development Manager d ENL Property et Coraline Cortot, Communications Manager d EnAtt (partenariat entre ENL Property et le groupe sud-africain Atterbury qui est à l origine du projet). «Notre défi était de traduire cette promesse dans la réalité et de maintenir, voire améliorer cette réalité. Nous avons réussi, malgré le contexte économique difficile. Les gens viennent à Bagatelle parce que c est Bagatelle», dit Frédéric Tyack. Tautologie qui reflète bien l assise de la marque parmi les Mauriciens. Bagatelle Mall of Mauritus reçoit, en effet, environ visites chaque mois, rappelle Coraline Cortot. Jeunes et moins jeunes, cadres, entrepreneurs, enfants, familles entières, touristes La diversité sociale des visiteurs et des clients cadre avec celle de l offre du mall : flâner, acheter, manger, ou encore voir un film «Il y en a pour toutes les bourses et tous les goûts, dans un cadre et une atmosphère de qualité, qui contribuent à l image de Bagatelle», souligne-t-elle. Le logo du mall reflète bien cette réalité, avec la répétition d une forme géométrique épousant une diversité de couleurs, dans un élan dynamique et intégré à la fois. Le mall a lancé une marque, Bagatelle, qui s applique à l ensemble du développement entrepris par le groupe ENL dans cette localité. Après l hôtel Voilà Bagatelle, il y a six mois, Bagatelle Office Park, Bagatelle Motor City et les résidences de Bagatelle sortiront progressivement de terre. Bâtis sur la même promesse d un lieu «différent». Et comme on dit si bien en créole lorsqu on fait une promesse : «Marké, gardé»! 16 ENLIGHTEN N o 5 OCTOBER

10 SPOTLIGHT SPOTLIGHT Malls: Management takes centre stage 1. Jean-Marc Rivet (right) and his centre management team work on various fronts at the same time. 2. Bagatelle Mall of Mauritius is already in its second year of operation. 3. A team with a shared commitment to upholding the Bagatelle standards. 2 Over the past decades, traditional commercial outlets have been rapidly giving way to centres with a diversity of shopping and entertainment opportunities, offering a more sophisticated experience to customers. The fulfilment of this promise necessarily demands greater professionalism in managing these multiplexes. Indeed, designer infrastructure alone does not suffice to create business for tenants or an attractive ambiance for visitors. It takes key expertise and dedicated effort to ensure that customer expectations are not only met but also surpassed on a daily basis in the face of unrelenting competition. In this context, Bagatelle Mall of Mauritius has emerged as the new benchmark in terms of centre management on the island since its opening a year ago. We combine tradition, innovation and science to promote fair relationships and good quality of life for all stakeholders, says the Centre Manager, Jean-Marc Rivet, to explain the EnAtt recipe for effective mall management. EnAtt is an offshoot of the joint venture between the ENL and Atterbury groups that is behind the integrated property development project at Bagatelle. It draws on Atterbury's extensive experience and expertise in mall development and management both in Africa and internationally to completely redefine centre management in Mauritius. The transfer of knowledge and expertise benefit other commercial and office facilities developed by ENL, including Les Allées d Helvétia, Vivéa Business Park and the upcoming Kendra shopping centre. Management of these facilities is overseen by Xavier Audibert. 1 Bagatelle Mall of Mauritius has a dedicated management team given its sheer size and its national scope. Jean-Marc Rivet leads a 13-member team in the pursuit of a three-tiered objective: maintain a steady if not increasing flow of visitors (hence, potential customers), uphold the integrity of the mall and ensure that tenants pay their rent in full and on time. We need to work on four fronts at the same time leasing, operations, finance as well as sales and marketing, he explains. However, our prime focus is on maintaining the standards of the mall for this is a pre-condition for the rest, he adds. Maintaining standards requires that the management team has a bird s-eye view of operations but as well a detailed approach to key aspects such as tenants performance and their observance of house rules, visitor statistics as well as planned events and promotional campaigns. In short, the team has to be generally aware of all that is going on within the precinct and acquaint itself intimately with each stakeholder s reality. A kind of managerial gymnastics that no doubt requires technique, training and a lot of mental flexibility. Jean-Marc Rivet s typical day is a marathon race around the mall: informal chat with staff early in the morning, meetings with tenants before shops open, numerous visits to the mall grounds, meetings with operations, finance, sales and marketing and leasing staff, administrative tasks The whole team shares the same commitment to upholding the Bagatelle standards and each member contributes freely during a weekly coordination meeting which takes place in an open and amicable atmosphere. It s amazing to work with colleagues who are proactive, creative and generally supportive, says the centre s chief. Upholding standards Proper centre management clearly goes beyond the traditional role of supervising. It is also our job to help tenants trade better. To operate within a mall is not the same as working on Royal Street in Port Louis, says Jean-Marc Rivet. His team remains customer-focused and leaves no stone unturned to ensure that the visitor is satisfied when exiting the mall. Three hostesses regularly conduct exit interviews. Feedback is also gathered from tenants and their sales teams. Mystery shoppers further help paint a picture as close to reality as possible with regards to the level of service at the mall. Retaining ownership of the mall s infrastructure is a determining factor in ensuring that standards are consistently maintained on the premises. All commercial operators are tenants who are committed to comply with the house rules set out by the sole owner of the facility, Bagatelle Mall of Mauritius. Those include anything from the norms established for cleanliness and operating hours to the volume level of music played. EnAtt is well aware that a mall also needs to be a lively and exciting place. It takes focused and deliberate action to ensure that the precinct is and remains a happening place for shoppers to be and to be seen in. Bagatelle Mall of Mauritius has a dedicated marketing team that uses advertising, promotions and special events among many other tools to maintain and improve the appeal for shoppers. As Bagatelle Mall of Mauritius enters its second year of operation, the challenge will undoubtedly be to take on strong competition and still remain the leader. The EnAtt team is already one step ahead of the game, working on new ingredients to add to its initial recipe for success. A good centre manager is, after all, a proactive centre manager ENLIGHTEN N o 5 OCTOBER

11 FACE TO FACE FACE TO FACE It's time to All concerned reinvent our tourism model Dinesh Burrenchobay draws from his extensive experience in the hospitality and aviation industries to share his views on the challenges currently facing these sectors. What have been the major changes in the tourism/hospitality industry in Mauritius over the last 20 years? Actually, the world has changed drastically and continues changing very fast. But do we realise this in Mauritius? There is so much choice for resort holidays at very decent prices, very good service delivery and offerings, across the world and in our region. The Internet makes all this even more accessible. Here, we are still limited to sea, sun and sega offerings while overlooking the impact of certain construction activities on the physical aspect of our country. The approach in marketing or positioning our tourism product has remained very conservative. We seem to completely ignore the local up-and-coming middle-class clientele, save for the low season. We also appear to have suddenly discovered the Indian, Russian and Chinese markets, but are completely ignoring the growing Latin American market. Even if there is more connectivity to and from the island, more needs to be done. Government has made efforts to improve the road network and the airport. There is also, fortunately, more interaction between islands in the region. Service and professionalism have improved, although there is a need to invest heavily in training, which has unfortunately been curtailed due to the difficulties of the industry. The Food & Beverages offering in our hotels has also improved substantially across the board. Still, our destination seems to have lost its touch and glamour. The industry, of which ENL is a major stakeholder, is going through some upheavals. What are the causes? The upheavals come from a global recession affecting our main source markets in Europe. We should have started tapping others like India, Russia, Brazil and China 10 years ago, not now! We missed out on something there. The hoteliers also need to avoid resting on their laurels while there is no shortage of options in terms of hotels and destinations. The airfare to Mauritius is too expensive in today's world of choice. And let's face it: some hotels are overpriced for what they offer as well. The tourism industry also needs to be less dependent on the Mauritian authorities or the national airline and take its future in its own hands. Does our model for tourism need to be reinvented then? Now is an appropriate moment for the Mauritian tourism industry to stop, look at itself, analyse and decide in which direction it wishes to move. Yes, it's time to reinvent our tourism model! We have to move forward! There is a definite need for this, especially when the world has changed so much and as tourism is an important contributor to our economy. It is crucial that all concerned parties put their egos and differences behind them and discuss openly to find longterm solutions. We need to benchmark and learn from other countries that have similar offerings but are doing better than us. We should give some careful thinking to our country s branding and do a better job of our advertising initiatives on a worldwide basis and it needs to be consistent! Chasing new markets is a must and has to be done without depending on our national airline. We also need to get on board, very fast, the adequate social media tools. The air access policy should also be reviewed for Mauritius; already, parties should put their differences behind them and discuss to find long-term solutions. allocated slots that are not used by some airlines can be made available to others who are interested. Remember, the Maldives probably have more international connectivity than us and this country s small airline only does local and short regional flights! What are the main challenges for our aviation sector and the national airline? The aviation sector has been hit worldwide by increased fuel prices, competition, global recession making people less willing to travel and also less movement of cargo with consumption slumping in traditional markets. The national airline faces issues with the necessary reduction of its operational costs, improvement of productivity and innovative capacities while curtailing a number of international routes. It needs to renew its fleet to more fuel-efficient aircraft very fast. The government, which is the majority shareholder, should also allow the Management to run the company to its best abilities according to an agreed plan of action and without interfering. Air Mauritius needs to get out of its non-core businesses and focus on what it has done well: carry people with the genuine Mauritian hospitality. Is Mauritius still an upmarket destination? It depends on the definition of upmarket. But generally, there have been a number of issues resulting in the perception that we have gone down in our upmarket status. I think that there is room for everyone without losing an upmarket, quality destination image. It also has to do with the image that we project worldwide. We have failed miserably in our advertising and in making optimum use of our recent branding exercise, whilst we see every day on international TV how well others have been able to do by being more creative. But my question is: do we have a country plan and long-term strategy for tourism? The views expressed in this article are strictly personal to the interviewee and should not be construed as reflecting those of any organisation for which he works. PROFILE Holds a Business Studies degree from City of London Polytechnic. Executive Education courses at Cornell University (US) and HEC Business School (France). Is COO of Veling Ltd, a niche aircraft leasing and private jet terminal management company based in Mauritius, serving the global market. Was Executive Vice-President for Human Resources & Organisational Development at Air Mauritius. Was Head Corporate Human Resources at Sun Resorts Ltd and One&Only Resorts (part of Kerzner International) for the Indian Ocean region. 20 ENLIGHTEN N o 5 OCTOBER

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