Fiche OX «Réduction des consommations d électricité des parties communes d immeubles collectifs et de bâtiments tertiaires» - 28/04/03
|
|
- Marie-Paule Dupont
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 1 «REDUCTION DES CONSOMMATIONS ELECTRIQUES DES PARTIES COMMUNES D IMMEUBLES COLLECTIFS ET DE BATIMENTS TERTIAIRES» Contexte et enjeux Les consommations d électricité des parties communes (éclairage des halls et circulations, ascenseurs, éclairage extérieur et des sous-sols, auxiliaires de chauffage et de ventilation, ) d immeubles collectifs et de bâtiments tertiaires peuvent prendre une importance considérable, à laquelle il n est pas toujours prêté attention. Des gisements d économies très importants existent et sont exploitables grâce à la mise en place de matériels performants, à des règles de bon sens, à la suppression de dysfonctionnements prolongés ayant des impacts sensibles sur les consommations annuelles. Une étude récente [1] sur des immeubles collectifs (359 logements sociaux sur 3 résidences) a permis de montrer non seulement le poids (846 kwh/an/logement) et la répartition des consommations électriques des différents usages des parties communes (ou services généraux) mais aussi de déceler des dysfonctionnements et de mettre en évidence des solutions pertinentes d améliorations. Ainsi, à titre d exemple, sur les 3 résidences étudiées, la répartition des consommations des différents usages des parties communes est la suivante : Remarque : ces immeubles ne sont pas équipés de chauffage central (pas de pompes de circulation communes) On observe dans ces exemples, que quatre usages représentent près de 80 % en moyenne de la consommation électrique totale des parties communes : éclairage des parkings (26 %), VMC (22 %), ascenseurs (18 %), éclairage des circulations (12 %). Il a été constaté que le dysfonctionnement d une minuterie bloquée dans une cage d escalier pouvait multiplier par 6 la consommation annuelle de ce poste.
2 Dans les configurations d immeubles étudiées, des solutions d améliorations ont été proposées largement transposables aux parties communes de bâtiments tertiaires permettant d envisager des économies globales de l ordre de 50 % sur ces usages de l électricité. L Annexe Technique 2 reproduit le tableau récapitulatif de ces préconisations, les économies attendues et les temps de retour. 2 Sur un autre exemple d habitat collectif [2] (135 logements d une résidence de 6 bâtiments), avec chauffage central au fioul et ventilation naturelle, on a mesuré les répartitions suivantes sur l année : Sur un Collège [3], on a par ailleurs mesuré que les consommations des pompes et ventilateurs représentaient 40 % de la consommation totale d électricité! Sur deux Hôtels [3], on a mesuré des consommations d éclairage des couloirs, halls, restaurant et cuisines de l ordre de 80 % des consommations totales d éclairage (l éclairage extérieur 10 % et les chambres 10 %) représentant une consommation annuelle de l ordre de 150 kwh/m². On voit ainsi, sur ces divers exemples, toute l importance que prennent : - des puissances faibles (ex. 100 W) et nombreuses qui s additionnent et fonctionnent très souvent toute l année (ex. certains éclairages) ; - des puissances très importantes (ex W) qui ne fonctionnent pas très souvent mais tous les jours (ex. ascenseurs) ; - des puissances moyennes (ex W) qui fonctionnent en permanence une bonne partie de l année (ex. circulateurs de chauffage) ; - des puissances faibles à moyennes (ex. 500 W) qui fonctionnent en permanence toute l année, jour et nuit (collectif) ou jour seulement (tertiaire) (ex. ventilateurs). Objectifs et bâtiments concernés Les présents travaux d améliorations visent à réduire les consommations d électricité des parties communes des bâtiments résidentiels collectifs et des bâtiments tertiaires existants. L objectif principal est une réduction d environ 50 % de ces consommations. En même temps, dans le cadre de ces opérations, on cherchera à sensibiliser les acteurs (occupants, usagers, gestionnaires) sur ces usages spécifiques de l électricité et sur les conséquences énergétiques des dysfonctionnements potentiels non traités. Solutions techniques d améliorations La priorité est donnée aux usages suivants, qui apparaissent comme prépondérants : - éclairage : halls, circulations, sous-sols, extérieur ; - ascenseurs ;
3 - ventilateurs de VMC (systèmes centralisés) ; - pompes de circulation de chauffage central. Pour chacun de ces usages, des solutions d améliorations sont proposées ; pour certains usages, les préconisations peuvent être légèrement différentes suivant qu il s agit du secteur résidentiel ou du secteur tertiaire. 3 Dans tous les cas, un diagnostic préalable est à effectuer (cf. 4). Pour les différents thèmes traités, on se reportera aux fiches de références listées en Annexe Technique Eclairage des parties communes Dans le résidentiel : - halls et circulations (y compris sous-sols) : mise en place de minuteurs ou détecteurs de présence (NB : les lampes basse consommations ne sont pas adaptées, en raison des allumages fréquents) ; - éclairage extérieur des parkings et jardins : vérification des besoins et recours aux éclairages performants (basse consommation) et moyens de contrôle (ex. interrupteurs crépusculaires). Dans le tertiaire : - pour les halls et circulations éclairés en permanence (cas des bâtiments de bureaux par exemple) : lampes basse consommation ; partout où c est possible on remplacera les ballasts magnétiques par des ballasts électroniques ; - pour les halls et circulations (y compris sous-sols) où l éclairage peut varier en fonction de l occupation (ex. couloirs d hôtels), les lampes basse consommation ne sont pas adaptées ; en revanche il faut installer des minuteurs ou des détecteurs de présence ; - pour tous les sanitaires du tertiaire : installer des minuteurs ou des détecteurs de présence. 2. Ascenseurs Les principales actions possibles pour réduire les consommations sont : - si possible limiter la vitesse ascensionnelle à 0,6 m/s maxi [4] ; - installer un détecteur de présence pour commander l éclairage de la cabine ; - mettre en œuvre (si la technologie de motorisation présente le permet) un dispositif de variation de vitesse (par convertisseur de fréquence [4]) du moteur de traction ; - réduire le nombre de démarrages, qui nécessitent une puissance 3 à 4 fois supérieure à la normale (possible en tertiaire, plus difficile en résidentiel). 3. Ventilateurs de VMC (systèmes centralisés) Dans le collectif, la VMC doit fonctionner en permanence : - vérifier les réglages en fonction des besoins ; - si l installation est très ancienne, envisager le remplacement du ventilateur par un ventilateur performant (ex. courant continu) ; - améliorer le rendement du ventilateur (ex. changement de la roue, réglage de la transmission) ; - vérifier le réseau et les bouches (notamment connexions), afin de corriger d éventuels défauts d étanchéité. Dans le tertiaire, la VMC doit fonctionner pendant l occupation : - a minima, installer (si ce n est pas fait) des horloges de programmation pour que les ventilateurs ne fonctionnent effectivement que pendant l occupation ; - si possible installer des dispositifs de variation de vitesse sur les ventilateurs pour une adaptation plus fine aux besoins : zonage, détection de l occupation de certaines parties du bâtiment (CO2, présence) ;
4 4 - également, les autres préconisations ci-dessus pour le collectif. 4. Pompes de circulation de chauffage central Les principales actions pour réduire très sensiblement les consommations de ces auxiliaires sont : - équilibrage, réglage du débit pour l adaptation aux besoins ; - remplacement de circulateurs «surdimensionnés» (souvent le cas) par des circulateurs adaptés de puissances inférieures ; - réglages de vitesses adaptées sur des circulateurs existants ; - programmation des circulateurs en fonction de l occupation, des besoins ; - installation de coffrets variateurs de vitesse sur des circulateurs existants ou installation de circulateurs munis de variation de vitesse en cas de remplacement de circulateurs existants inadaptés ou défectueux. Critères de sélection des opérations D abord, un diagnostic énergétique doit être effectué, comportant notamment les volets précédents : éclairage, ascenseurs, auxiliaires de chauffage et de VMC. Les fiches de références données en Annexe Technique 1 comportent des éléments de méthodologies de diagnostic sur ces différents volets. Des améliorations connexes peuvent être nécessaires sur certaines parties du système de chauffage (production, régulation) et du système de ventilation (réseaux, bouches), afin que les améliorations recherchées sur les consommations électriques des parties communes soient cohérentes avec une approche globale d optimisation énergétique. Ensuite, les solutions d améliorations doivent être définies suivant les éléments donnés au 3 (liste non exhaustive), avec : - description des solutions adoptées ; - coût des solutions (matériel et main-d œuvre) ; - économies attendues (y compris impacts probables sur les contrats EDF entraînant des économies supplémentaires). Indicateurs d évaluation et de suivi Le suivi des opérations portera essentiellement sur les consommations électriques (pendant deux ou trois ans). On mesurera les consommations des différents usages sur lesquels porteront les améliorations. Une comparaison sera effectuée avec la situation antérieure (qui aura été caractérisée préalablement aux travaux). Les informations sur la maintenance seront également analysées pendant la période de suivi. Une enquête de satisfaction des usagers sera effectuée, non seulement par rapport aux économies de charges de fonctionnement mais aussi par rapport au confort d utilisation de certains services (éclairage et ascenseurs, notamment). Aides de l ADEME L ADEME pourra apporter son soutien sur : - les diagnostics ; - le choix des équipements performants ; - l investissement réalisé sur les matériels performants (dans la limite de 40% du surcoût lié aux technologies performantes mises en œuvre cf. [5]) ;
5 - les campagnes de mesures, avant et après rénovation des différents postes techniques concernés ; - la communication autour de ces opérations qui auront valeur d exemple en matière d économies d énergie et de qualité de réalisation. 5 Références bibliographiques sites Internet Compte tenu de la variété des thèmes traités dans la présente fiche, il est demandé de se reporter aux différentes fiches listées en Annexe Technique 1 et à leurs listes respectives de références et de sites Internet Seuls quelques documents utilisés plus précisément en référence dans la présente fiche sont indiqués ciaprès : [1] «Connaissance et maîtrise des consommations des usages spécifiques de l électricité dans le secteur résidentiel», Rapport d étude ENERTECH pour ADEME-ARENE-EDF, 2001 [2] «Prédiagnostic immeuble résidentiel 6/18 rue Georges Eastman», INESTENE (Institut d Evaluation des Stratégies sur l Energie et l Environnement en Europe), mars 2001 [3] «Green Light», Rapport final MD3E pour l ADEME, décembre 2001 [4] «Qualité Environnementale des Bâtiments - Manuel a l usage de la maîtrise d ouvrage et des acteurs du bâtiment», ADEME, 2002 [5] Appel à projet «Opérations Exemplaires Efficacité énergétique pour le développement durable dans les bâtiments et les collectivités», ADEME, Consultation
6 6 ANNEXE TECHNIQUE 1 : Fiches d Opérations Exemplaires (OX) et d OPATB, en références Les fiches d Opérations Exemplaires (OX) et d OPATB ci-dessous peuvent être consultées (entre autres) pour aider à la réalisation des travaux d améliorations décrits dans la présente fiche, et pour leurs références bibliographiques et références de sites Internet. Fiche OX «Eclairage performant des locaux tertiaires» Fiche OX «Optimisation de l éclairage extérieur et de l illumination des bâtiments» Fiche OPATB «Optimisation des consommations des auxiliaires de chauffage» Fiche OPATB «Ventilation performante (double flux ou modulée en fonction de l occupation» Fiche OX «Consommation des ventilateurs au niveau de la référence de la RT2000 dans les bâtiments existants : 0,25 Wh/m 3» Fiche OX «Réhabilitation ou mise en place de systèmes de ventilation performants dans le cadre de réhabilitation thermique d'immeubles collectifs existants»
7 ANNEXE TECHNIQUE 2 : Un exemple d actions de réduction des consommations d électricité des parties communes de logements, avec économies et temps de retour attendus (source [1]) 7 Gain annuel moyen par usage Récapitulatif des préconisations, des économies et rentabilités des investissements
Auteur : Muriel DUPRET. Juin 2006
Notes techniques et réflexions Confort d été : comment réduire les apports internes dans les bâtiments de bureaux Auteur : Muriel DUPRET Juin 2006 Ingénierie énergétique 26160 FELINES S/RIMANDOULE TEL
Plus en détailGrenoble ZAC de Bonne
Grenoble Evaluation énergétique 2010/2011/2012 Séminaire, directeurs de coopératives d HLM janvier 2014 4 rue Voltaire, 38000 Grenoble 04 76 00 19 09 www.alec-grenoble.org Association créée en 1998 En
Plus en détailvous souhaitez identifier les actions à mettre en œuvre pour promouvoir les ÉNERGIES RENOUVELABLES
Vous êtes une commune rurale ou semi urbaine vous vous sentez concernée par la protection de l environnement et les économies d énergies vous souhaitez mettre en œuvre des actions pour un développement
Plus en détailMise en sécurité des ascenseurs. Guide d aide à la décision
Mise en sécurité des ascenseurs Solutions techniques pour répondre à l obligation réglementaire de précision d arrêt et maintien à niveau des ascenseurs Utilisation des variateurs électriques de vitesse
Plus en détailRécapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13
Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif du l audit énergétique de RANTIGNY 1 Sommaire I. Introduction... 3 II. Visite du site... 4
Plus en détailClassification des actions d efficacité énergétique
Gestion active des bâtiments Classification des actions d efficacité énergétique dans le cadre de la rénovation des bâtiments existants Les bâtiments représentent à eux seuls 43% de la consommation d énergie
Plus en détailRéduire sa consommation d énergie dans les entreprises industrielles
Martina Kost Réduire sa consommation d énergie dans les entreprises industrielles B4E 80 rue Voltaire BP 17 93121 La Courneuve cedex Joseph Irani www.b4e.fr Tél: 01.48.36.04.10 Fax: 01.48.36.08.65 Réduire
Plus en détailSERVICE PATRIMOINE CONSULTATION POUR DEMANDE DE DEVIS
SERVICE PATRIMOINE CONSULTATION POUR DEMANDE DE DEVIS CAHIER DES CHARGES RELATIF A UN AUDIT DE PERFORMANCE ENERGETIQUE DE L'INSTITUT FRANÇAIS DE MECANIQUE AVANCEE Date limite d envoi de l'offre : 30 avril
Plus en détailconsommations d énergie
Comprendre ses consommations d énergie pour mieux les gérer Boulangers Pâtissiers Consommations maîtrisées dans l Artisanat L épuisement des énergies fossiles entraine une augmentation des coûts de l énergie
Plus en détailAPPEL à MANIFESTATIONS D INTERET (AMI) INVESTISSEMENTS D AVENIR EDITION 2010
Direction des Investissements d Avenir Direction Villes et Territoires Durables Service Bâtiment Direction Recherche et Prospective Service Recherche et Technologies avancées APPEL à MANIFESTATIONS D INTERET
Plus en détailEnergies. D ambiance REFERENCES : ACTIONS MENEES : CONTACT : DESCRIPTION TECHNIQUE DES ACTIONS ENGAGEES : GAINS OU BENEFICES DEGAGES : renouvelables
REFERENCES : Entreprise : ELEC-EAU 47 Rue de la petite vitesse 72300 Sablé sur Sarthe Tél. : 02 43 95 07 22 Effectif : 11 salariés Activité : Electricité, plomberie, chauffage et climatisation Energies
Plus en détailPARTIES COMMUNES La boîte à outils des écopropriétés
Les éco-bilans en Copropriété 3 Bilan «Électricité» PARTIES COMMUNES La boîte à outils des écopropriétés Les éco-bilans en Copropriété 1 Bilan Énergétique Simplifié - chauffage collectif 2 Bilan «Eau»
Plus en détailEconomies d énergies dans le milieu SANITAIRE Jeudi 31 mai 2012. 31 Mai 2012
Economies d énergies dans le milieu SANITAIRE Jeudi 31 mai 2012 31 Mai 2012 Plan Présentation d Ad3e Présentation de la mission d audit énergétique Présentation des résultats Présentation d Ad3e Qui sommes
Plus en détailSYNOPTIQUE GTB Architecture Générale
STATION METEO TERMINAL EXPLOITATION (local technique) POSTE SUPERVISION (local pôle maintenance) AFFICHAGE PEDAGOGIQUE (Accueil) ACCES WEB GESTION CVC LOCAL TECHNIQUE GESTION EAU GESTION SERRE GESTION
Plus en détailRéussir son installation domotique et multimédia
La maison communicante Réussir son installation domotique et multimédia François-Xavier Jeuland Avec la contribution de Olivier Salvatori 2 e édition Groupe Eyrolles, 2005, 2008, ISBN : 978-2-212-12153-7
Plus en détailRencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014. Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés
Rencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014 Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés Sommaire Domaine Sécurité et sanitaire Mise en sécurité des
Plus en détailLa Gestion Technique Centralisée. Qu est ce que c est? A quoi ça sert?
La Gestion Technique Centralisée. Qu est ce que c est? A quoi ça sert? Cet article a pour objectif de rappeler les notions principales relatives à la Gestion Technique Centralisée. Mais qu entend on par
Plus en détailProfitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter
CONSEILS AUX PARTICULIERS Bâtiment basse consommation Profitez au mieux de votre logement économe en énergie Ce qu il faut savoir et comment vous adapter Que vous apporte un bâtiment économe en énergie?
Plus en détailLa réglementation thermique 2012
«Questions d actualité!» 18/03/2011 La réglementation thermique 2012 Maria PEAN ADIL 91 Quentin HOFFER - Essonne info énergie/cg91 Maison départementale de l habitat 1 boulevard de l Ecoute-s il-pleut
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailL opération étudiée : le SDEF
L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3
Plus en détail«Lutte contre la précarité énergétique et Adaptation des logements à la perte d autonomie» (2014-2016)
Programme d Intérêt Général Communauté de communes du pays de Bourgueil «Lutte contre la précarité énergétique et Adaptation des logements à la perte d autonomie» (2014-2016) PRESENTATION DU DISPOSITIF:
Plus en détailOUI OUI NON. Principalement circulateur de chauffage avec variateur de vitesse IEE 0,23 des logements individuels.
PRIME ÉNERGIE E5 VARIATEUR DE FRÉQUENCE (dont circulateur de chauffage IEE 0,23) Décision du 11 décembre 2014 du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale d approbation du programme d exécution relatif
Plus en détailEfficacité Energétique Diminuez vos coûts de production. Programme Energy Action pour l industrie
Efficacité Energétique Diminuez vos coûts de production Programme Energy Action pour l industrie Un programme d économies d énergie. Les solutions Energy Action de Schneider Electric. Des économies d énergie
Plus en détailL individualisation des frais de chauffage
L habitat collectif COMPRENDRE L individualisation des frais de chauffage Répartir les frais en fonction des consommations des logements Édition : février 2014 sommaire glossaire introduction Répartir
Plus en détailServices Facilitateur Energie Secteur Tertiaire et aides financières pour le secteur tertiaire en Région bruxelloise
Services Facilitateur Energie Secteur Tertiaire et aides financières pour le secteur tertiaire en Région bruxelloise Horia Bali Bruxelles, le 7 octobre 2009 Aperçu des aides disponibles en RBC Les services
Plus en détailFormation Bâtiment Durable :
Formation Bâtiment Durable : Rénovation à haute performance énergétique: détails techniques Bruxelles Environnement LE SYSTÈME DE CHAUFFAGE ET LA PRODUCTION D EAU CHAUDE SANITAIRE François LECLERCQ et
Plus en détailAnalyse des visites énergie réalisées par les CCI de Rhône-Alpes en 2011 et 2012
Analyse des visites énergie réalisées par les CCI de Rhône-Alpes en 2011 et 2012 Depuis 2006, les CCI de Rhône-Alpes, en partenariat avec l ADEME et le Conseil Régional, s attachent à promouvoir la maîtrise
Plus en détailT. BONNARDOT 17/12/2010
CYTHELIA Conseil & Expertise La Maison ZEN 350, route de la traverse 73 000 MONTAGNOLE Tel +33 (0) 4 79 25 31 75 www.cythelia.fr SARL au capital de 140 000 - RCS Chambéry B 393 290 937 - APE 7219 Z RT
Plus en détailTABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE
TABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE d isolation thermique la totalité la toiture d isolation thermique s murs donnant sur l extérieur (au moins la moitié la surface
Plus en détailPrise en compte des appareils indépendants de chauffage à bois dans les maisons individuelles ou accolées
Fiche d application : Prise en compte des appareils indépendants de chauffage à bois dans les maisons individuelles ou accolées Date Elaboration de la fiche Version 18 novembre 2013 1 1/11 Que disent les
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE 12 JUILLET 2013
DOSSIER DE PRESSE 12 JUILLET 2013 De l intelligence dans le bâtiment pour sensibiliser les habitants à leur consommation énergétique à Cachan. Après une première expérience réussie à Aubervilliers en 2012,
Plus en détailVers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE
Vers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE 1 Le nombre de logements dont la SWL et ses sociétés agréées sont propriétaires s élève à 101.242 ; le montant annuel des investissements
Plus en détailLE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.
LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que
Plus en détailfioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs
fioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs Fiche conseil Édition décembre 212 Sommaire P 2 : Obligations P 3 : Démarches volontaires P 4 : Les points clés d une rénovation réussie
Plus en détailF.I.C. n 2010/TDM01. Objet : Rubrique TDM - Tri des Déchets Ménagers. Evolution des exigences de la rubrique
F.I.C. n 2010/TDM01 Fiche d interprétation et / ou complément au référentiel (Ancienne appellation «Jurisprudence technique») Objet : Rubrique TDM - Tri des Déchets Ménagers Evolution des exigences de
Plus en détailDIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE TERTIAIRE
DATE : 14/02/2011 N AFFAIRE : 003387/2255629/1/1 ANNEE DE CONSTRUCTION : NON COMMUNIQUE SURFACE UTILE : 489.44 TYPE DE BATIMENT : IMMEUBLE D HABITATION + BUREAUX TYPE D ACTIVITES : ADMINISTRATION - BUREAUX
Plus en détailCalcul de la valeur d un bâtiment
Fiche d application : Calcul de la valeur d un bâtiment Date Modification Version 31 mars 2011 1 29 août 2012 Rajout des valeurs du bâtiment pour l année 2012 1.1 23 mai 2013 Rajout des valeurs du bâtiment
Plus en détailCHAUFFAGE. choisissez intelligemment votre confort POURQUOI PAS DES ÉCONOMIES D ÉNERGIE? Avec le soutien de la Région de Bruxelles-Capitale
POURQUOI PAS DES ÉCONOMIES D ÉNERGIE? CHAUFFAGE choisissez intelligemment votre confort Avec le soutien de la Région de Bruxelles-Capitale AGENCE BRUXELLOISE DE L ÉNERGIE Le Centre Urbain asbl Chauffage
Plus en détailVITODATA VITOCOM. bien plus que la chaleur. Télésurveillance et télégestion d installations de chauffage par Internet. Internet TeleControl
bien plus que la chaleur VITODATA VITOCOM Internet TeleControl Télésurveillance et télégestion d installations de chauffage par Internet Viessmann S.A. Z.I. - B.P. 59-57380 Faulquemont Tél. : 03 87 29
Plus en détailLe Hive L amélioration énergétique d un bâtiment neuf
Le Hive L amélioration énergétique d un bâtiment neuf Présentation de Thierry DJAHEL, Schneider Electric Dans le cadre de la matinée technique IFPEB CSTB du 28 novembre 2012. 28/11/2012 1 En chiffres 35
Plus en détailRésidence des Badinières
Résidence des Badinières Bienvenue à la 2 ème réunion d information et d échange «chauffage et eau chaude sanitaire» 22 janvier 2010 Réunion "chauffage" des Badinières 1 Sommaire Le contexte général (national)
Plus en détailLOCAUX COMMUNS CREATION D'UNE PEPINIERE D'ENTREPRISES ESQUISSE N 2 RDC R+1 R+2 R+3 TOTAL Accueil 47 473 m2 Bureau administration 15 Local repro/archives 12 Petite salle de réunion 35 Salle de conférence
Plus en détailAudit 360 CONFORT, ENERGIE, SÉCURITÉ, VALORISATION. Une solution pour y voir plus clair dans votre copropriété
Audit 360 CONFORT, ENERGIE, SÉCURITÉ, VALORISATION Une solution pour y voir plus clair dans votre copropriété Socotec en quelques mots 3 valeurs d engagement + 5 métiers structurants + 7 aes stratégiques
Plus en détailEtablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil
Notice de sécurité Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Cette notice a été établie à l'attention des exploitants d Etablissements Recevant du Public (ERP), afin
Plus en détailCamfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001
FICHE OPÉRATION INDUSTRIE Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001 CAS PRATIQUE Activité : produits et service dans le domaine de la filtration
Plus en détailEtude de faisabilité
Etude de faisabilité Modèle de cahier des charges pour chaufferie dédiée Ce modèle de cahier des charges d étude de faisabilité a été réalisé dans le cadre de la Mission Régionale Bois-Energie Il est un
Plus en détailBilan thermique et social simplifié
Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement 34 Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 32 quai de Rouen 59 100 ROUBAIX Informations
Plus en détailU N E N O U V E L L E P E R S P E C T I V E D E G E S T I O N D E V O T R E H Ô T E L
La gestion intelligente de l'énergie U N E N O U V E L L E P E R S P E C T I V E D E G E S T I O N D E V O T R E H Ô T E L A m é l i o r e z l e c o n f o r t d e v o s c l i e n t s t o u t e n r é d
Plus en détailMODÉLISATION NUMÉRIQUE DANS LE BÂTIMENT
MODÉLISATION NUMÉRIQUE DANS LE BÂTIMENT Perrenoud, Pléiades et Design Builder Francesco Formica Grontmij BEFS SOMMAIRE I. Périmètre II. Entrées : acquisition et temps de mise en œuvre III. Sorties : résultats
Plus en détailMAGNA3 BIEN PLUS QU UN CIRCULATEUR
MAGNA3 BIEN PLUS QU UN CIRCULATEUR Gamme complète de circulateurs intelligents à haut rendement énergétique pour les installations de chauffage/climatisation, les systèmes géothermiques et les applications
Plus en détailBâtiment ÉLECTRICIEN
Bâtiment ÉLECTRICIEN ÉLECTRICIEN L électricien effectue tous les travaux d installations électriques et de raccordement d appareils électriques dans diverses spécialités : éclairage, confort thermique,
Plus en détailPrescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs
Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Référence: SIB10 CCLB 110 Date : 22/10/2010 Page 1/9 Table des matières 1 PRELIMINAIRES... 3 2 ABREVIATIONS... 3 3 ACCESSIBILITE
Plus en détailD 4.5 : MONITORING AND EVALUATION REPORT FOR MOUNTEE PILOTS
mountee: Energy efficient and sustainable building in European municipalities in mountain regions IEE/11/007/SI2.615937 D 4.5 : MONITORING AND EVALUATION REPORT FOR MOUNTEE PILOTS Nom du projet-pilote
Plus en détailLe service d appels d offres
Le service d appels d offres Demande de devis Le site Mon-immeuble.com vous propose un service d appels d offres accessible par le menu «Appels d offres». Ce service est réservé aux membres du Club MI
Plus en détailBilan thermique et social simplifié
Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 72 rue de Rome 59 100 Roubaix Informations
Plus en détailConsommez moins, éclairez bien! Lubio, solution tout en un de commande, protection et régulation d éclairage
Consommez moins, éclairez bien! Lubio, solution tout en un de commande, protection et régulation d éclairage Lubio est parfaitement conforme à la directive RoHS qui prévoit la restriction des substances
Plus en détailGLEIZE ENERGIE SERVICE
GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 1 sur 17 #/ -#0/.1# 2 1# 11 - " 1 GLEIZE ENERGIE SERVICE -1 " " #/ / &3 %$". 1! "#$$ %" & "# '%# () *+, -". GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 2 sur 17 SOMMAIRE 1. Introduction - Rappel...
Plus en détailBien comprendre votre décompte de charges
Bien comprendre votre décompte de charges Les charges locatives L utilisation de votre logement nécessite un certain nombre de dépenses pour la fourniture de services (eau, électricité, chauffage, ) et
Plus en détailSystèmes de mesure ou d estimation des consommations en logement
Fiche d application : Systèmes de mesure ou d estimation des consommations en logement Historique des versions : Date Contenu de la mise à jour Version 30 mai 2013 1 Préambule L article 23 de l arrêté
Plus en détailnouvel horizon Quartier Beauregard Une vue sur le soleil, une vue sur la ville
nouvel horizon Quartier Beauregard Une vue sur le soleil, une vue sur la ville ST MALO CAEN ST BRIEUC ICI VANNES LORIENT RENNES LE MANS NANTES Des accès proches et rapides Bus lignes 4 et 30 Métro A à
Plus en détailLe comptage des énergies dans le cadre de la RT 2012
Le comptage des énergies dans le cadre de la RT 2012 Les articles 23 et 31 de la RT L article 23 la RT 2012: Les dispositifs de comptage concernent les maisons individuelles et les bâtiments collectifs
Plus en détailGénie climatique Production de froid Installation - Réalisation Électricité
Génie climatique Production de froid Installation - Réalisation Électricité Préambule Venir chez SE2M, c est vous faire profiter de notre expertise de plus de 10 ans d expérience dans l exercice de notre
Plus en détailGarantir la performance des sytèmes : retour d expérience et recommandations
France Grand Lyon Projet européen CONCERTO-RENAISSANCE Garantir la performance des sytèmes : retour d expérience et recommandations Chaîne d appropriation 3 1 2 3 u Mode d emploi Ce guide s adresse essentiellement
Plus en détailAQUASNAP TOUT INTÉGRÉ RIEN À AJOUTER 30RY/30RYH REFROIDISSEURS DE LIQUIDE / POMPES À CHALEUR GAINABLES
AQUASNAP TM REFROIDISSEURS DE LIQUIDE / POMPES À CHALEUR GAINABLES 30RY/30RYH TOUT INTÉGRÉ RIEN À AJOUTER S INTÉGRER SANS ÊTRE VU UN VÉRITABLE CONCEPT URBAIN INVISIBLE! Invisible, inaudible, discret, l
Plus en détailw w w. e p - p a r i s. f r
www.ep-paris.fr Secteurs d Activités EP s adresse particulièrement au secteur Tertiaire. > Banques et Assurances > Cabinets d Architectes > Foncières d immobilier locatif > Sociétés de services de biens
Plus en détailMonitoring THPE. Soutien au projet. Présentation du projet
Monitoring THPE Le projet Monitoring THPE a donné lieu à l un des premiers systèmes innovants de suivi des performances énergétiques et de confort des bâtiments. Informations générales Localisation : Région
Plus en détailQU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?
QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation
Plus en détailLa Région met en œuvre un prêt bonifié pour la rénovation énergétique des logements
Lundi 24 juin 2013 La Région met en œuvre un prêt bonifié pour la rénovation énergétique des logements Service de Presse 04 67 22 81 31 /// 04 67 22 80 47 presse-region@cr-languedocroussillon.fr Convaincue
Plus en détailyour Creative agency MountainCloud CLUSTER HBI INOTEP - Pôle d Excellence BTP Nord-Pas de Calais 73 rue Raoul Briquet - 62700 BRUAY-LA-BUISSIERE
MountainCloud your Creative agency info@ info@ MountainCloud your Creative agency classes objectifs apports moyens A+ Gestion A Gestion active coopérative Le bâtiment intelligent a la capacité d auto-adaptation
Plus en détailLe SIEL, des compétences au service des consommateurs d énergies de la Loire
PROJET EUROPEEN ECO N HOME ACCOMPAGNEMENT SPECIFIQUE DES PARTICULIERS RETOUR D EXPERIENCE DANS LA LOIRE 27 Février 2009 Le SIEL, des compétences au service des consommateurs d énergies de la Loire 36 groupements
Plus en détailLyon Part-Dieu. Une vision éclairée de l immobilier de bureaux IMMOBILIER
Lyon Part-Dieu Une vision éclairée de l immobilier de bureaux IMMOBILIER Le mot de l architecte * Worldview Model by Ottmar Hörl EQUINOX offre t-il une autre vision du monde*? Nous le souhaitons! Les valeurs
Plus en détailL émergence du Logement Multimédia
1. Le Très s Haut Débit D (THD) 2. Réglementation 3. Contexte de déploiement d du THD Sommaire 4. Axes de développement d majeurs dans le résidentiel r (Hors logements) 5. Le THD & HD résidentiel Pour
Plus en détailAUDIT ÉNERGÉTIQUE DES COPROPRIÉTÉS : Quels leviers d action?
AUDIT ÉNERGÉTIQUE DES COPROPRIÉTÉS : Quels leviers d action? Patrice COTTET 27/02/2013 Conférences Centrale Énergies à l Asiem Contexte Conférences antérieures axées sur la technique : on sait rénover,
Plus en détailFormation Bâtiment Durable : Suivi et monitoring des bâtiments durables
Formation Bâtiment Durable : Suivi et monitoring des bâtiments durables Bruxelles Environnement INTRODUCTION : FACTEURS DETERMINANTS POUR LA GESTION DES BATIMENTS DURABLES Thomas DEVILLE Cenergie cvba
Plus en détailDIAGNOSTIC ELECTRIQUE DE 359 LOGEMENTS A MONTREUIL
Montreuil Vincennes Energie Electricité de France 12, bd Rouget de Lisle Délégation Régionale Ile de France Pavillon des Finances 95, bd malesherbes 93100 MONTREUIL 75008 PARIS Tél : 01.42.87.13.55 Tél
Plus en détailConception et construction des ouvrages gaz. Club de la Performance Immobilière
Conception et construction des ouvrages gaz Club de la Performance Immobilière Novembre 2014 RT2012 et arrêté 2 Aout 77 Arrêté du 26 octobre 2010 relatif aux caractéristiques thermiques et aux exigences
Plus en détailDISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES HOTELS D ENTREPRISES
CAHIER DES CHARGES DISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES HOTELS D ENTREPRISES Rappel du cadre général d intervention des 3 collectivités : Dans le prolongement du Schéma Régional de Développement
Plus en détailJean-Yves RICHARD ADEME
«Matériau de structure,isolant et biocombustible, le bois, une matière au service de la construction durable» - le 12 janvier 2009 Les enjeux environnementaux du bâtiment Jean-Yves RICHARD ADEME Le réchauffement
Plus en détailEn MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES. Quercy Energies
En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES Quercy Energies Le réseau EIE en Midi-Pyrénées 4 premiers EIE créés en novembre 2001, toute la région est couverte en 2007 avec 11 CIE dans 9 EIE En MIDI- PYRENEES
Plus en détailEtude des Consommations Electriques et Mesures de Températures dans les bureaux d AMOES
Etude des Consommations Electriques et Mesures de Températures dans les bureaux d AMOES 22/04/2011 AMOES Vincent Laniesse - SOMMAIRE - 1. Objectifs... 2 2. Description des bureaux... 2 3. Métrologie mise
Plus en détailPrésentation du programme de travail et méthode de travail
Présentation du programme de travail et méthode de travail Pierre Nolay Alphéeis Rappel des objectifs Elaborer une méthodologie de Garantie de Performance Energétique De la caractérisation de l état initial
Plus en détailLIVRET GESTES VERTS. GEMME CORIOLIS Saint-Martin d Hères Maître d ouvrage : INPG. JUIN 2013 / Version 3 Diffusé le 08 juillet 2013
LIVRET GESTES VERTS GEMME CORIOLIS Saint-Martin d Hères Maître d ouvrage : INPG JUIN 2013 / Version 3 Diffusé le 08 juillet 2013 Adresse Postale CS 60013-38702 - La Tronche Cedex Siège Social / Rue de
Plus en détailDESCRIPTION DES DOCUMENTS TECHNIQUES REQUIS
DESCRIPTION DES DOCUMENTS TECHNIQUES REQUIS Volet sur mesure - Nouveau bâtiment ÉnerCible Volume 1, numéro 1 Mars 2012 Liste des documents à transmettre Afin que nous puissions effectuer l analyse technique
Plus en détailTravaux sur les systèmes de chauffage et d'eau chaude sanitaire
Réhabilitation énergétique des copropriétés normandes construites entre 1948 et 1974 Travaux sur les systèmes de chauffage et d'eau chaude sanitaire Situation existante et enjeux Les différents diagnostics
Plus en détailLes répartiteurs de frais de chauffage dans les immeubles collectifs
Septembre 2012 Les répartiteurs de frais de chauffage dans les immeubles collectifs Immeubles collectifs (gérance et copropriété) Depuis une ordonnance n 2011-504 du 9 mai 2011, l article L 241-9 du Code
Plus en détailÉnergie décentralisée : La micro-cogénération
Énergie décentralisée : La micro-cogénération Solution énergétique pour le résidentiel et le tertiaire Jean-Paul ONANA, Chargé d activités projet PRODÉLEC PRODuction et gestion de la production d ÉLECtricité
Plus en détailVMT Mod : Ventilation modulée pour le tertiaire
Notice de Montage VMT Mod : Ventilation modulée pour le tertiaire VC 100876 - D920_a - RCS 956 506 828 - Imprimé en France/Printed in France VMT Mod est un système de ventilation intelligent à destination
Plus en détailVI Basse consommation inverter
[ VERSION SURBAISSÉE ] CV CH CH 7 W pour 1 kw diffusé Applications Chauffage et/ou climatisation en résidentiel ou tertiaire NC Avantages Une offre compétitive en ventilo-convecteurs pour systèmes à eau
Plus en détailYutampo La solution 100 % énergie renouvelable
Chauffe-eau thermodynamique pour le résidentiel Yutampo La solution 100 % énergie renouvelable MAISONS INDIVIDUELLES NEUVES OU À RÉNOVER YUTAMPO u Idéal pour l eau chaude sanitaire Meilleur chauffe-eau
Plus en détailREFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE :
REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE : RECONNU GARANT DE L ENVIRONNEMENT Date de mise en application : 20/02/2014 QUALIFELEC RE/0010 indice A 1 SOMMAIRE 1. DOMAINE D APPLICATION... 4 1.1 Objet...
Plus en détailTechnicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants
PARCOURS COMPLET DE PROFESSIONNALISATION Technicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants proposer un ensemble de prestations liées à l amélioration de la performance thermique
Plus en détailEtude et amélioration du comportement thermique d une habitation
Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation menée avec ARCHIWIZARD Contexte de l étude Mr et Mme LE LOUSTIC viennent d acquérir une maison se situant à Hennebont (56). Peu de travaux
Plus en détailDE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 VOUS AVEZ UN PROJET. Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé
VOUS AVEZ UN PROJET DE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 EDITION 2015 avec la mention RGE et le CITE Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé SOMMAIRE ECO PTZ P.2 CREDIT D IMPÔT
Plus en détailBâtiment de bureaux à énergie positive «Green Office» à Meudon
Bâtiments Matériaux Opérations Installations Bâtiment de bureaux à énergie positive «Green Office» à Meudon B ÂTIMENTS Green Office est le premier bâtiment tertiaire de grande ampleur à énergie positive
Plus en détailLes Certificats d économie d énergie. Éclairage Public
Les Certificats d économie d énergie Éclairage Public Principe Obligation des fournisseurs d'énergie («obligés») à réaliser des actions d'ure ou acheter CEE, sinon pénalité Autres acteurs («éligibles»)
Plus en détailChapitre K Efficacité énergétique de la distribution électrique
Chapitre K Efficacité énergétique de la distribution électrique 1 2 3 4 5 Sommaire Introduction Efficacité énergétique et électricité 2.1 Une réglementation volontariste partout dans le monde K3 2.2 La
Plus en détailEt la ventilation créa l eau chaude
VENTILATION DOUBLE EFFET VMC BBC + CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE Les P r o d u i t s 75 % D ÉCONOMIES SUR LA CONSOMMATION LIÉE À L EAU CHAUDE CHAUFFAGE DE L EAU JUSQU À 62 C AVEC LA POMPE À CHALEUR 10 %
Plus en détailDiagnostic énergétique. Rapport d étude
Diagnostic énergétique Rapport d étude Étude réalisée avec le soutien de : Maître d ouvrage : Mairie de Chonas l Amballan Objet de l étude : Groupe scolaire Étude réalisée par : ERMEL ENERGIE 3 Avenue
Plus en détailCommunauté de Communes des 4B Sud-Charente
Communauté de Communes des 4B Sud-Charente Suivi-animation du PIG Intervention auprès des artisans 10 décembre 2013 SOMMAIRE 1. Qui est URBANiS et quel est son rôle? 2. Qu est-ce qu un PIG? 3. Les types
Plus en détail