CONSEIL DE L'EUROPE COMITÉ DES MINISTRES RECOMMANDATION N R (83) 6 DU COMITÉ DES MINISTRES AUX ÉTATS MEMBRES

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "CONSEIL DE L'EUROPE COMITÉ DES MINISTRES RECOMMANDATION N R (83) 6 DU COMITÉ DES MINISTRES AUX ÉTATS MEMBRES"

Transcription

1 COSEIL DE L'EUROPE COMITÉ DES MIISTRES RECOMMADATIO R (83) 6 DU COMITÉ DES MIISTRES AUX ÉTATS MEMBRES SUR LES MESURES D'ÉCOOMIE D'ÉERGIE DAS LES ÉQUIPEMETS SPORTIFS (adoptée par le Comité des Ministres le 21 juin 1983, lors de la 361 e réunion des Délégués des Ministres) Le Comité des Ministres, en vertu de l'article 15.b du Statut du Conseil de l'europe, Rappelant sa Résolution (76) 41 relative aux principes pour une politique de sport pour tous («Charte européenne du sport pour tous»); Tenant compte du fait que tous les Etats membres ont ressenti la nécessité de mettre en œuvre des programmes d'économie d'énergie; otant que la consommation d'énergie dans les équipements sportifs représente une part appréciable de la consommation nationale totale dans les Etats membres; Considérant que la nécessité de réduire la consommation d'énergie ne doit pas avoir pour conséquence directe ou indirecte de restreindre les possibilités de participation à des activités sportives, ni de mettre en danger les acquis de «Sport pour tous» au cours des quinze dernières années; Convaincu que des mesures d'économie d'énergie pourraient contribuer à la diminution des coûts de fonctionnement de chaque équipement sportif sans nuire au taux de participation au sport, ni au confort des usagers; Considérant que la mise en oeuvre de mesures efficaces d'économie d'énergie contribuera à permettre le maintien des effectifs employés dans les équipements sportifs à leur niveau actuel, dans l'intérêt public; Tenant compte de la nécessité de mettre en commun l'expérience des Etats membres afin que chacun d'eux soit mieux à même de mettre en œuvre et d'appliquer des mesures spécifiques d'économie d'énergie dans les équipements sportifs, Recommande aux gouvernements des Etats membres: i. de prendre les mesures définies dans la partie LA de la présente recommandation; ii. d'attirer l'attention des pouvoirs locaux sur la série de mesures d'économie d'énergie définie dans la partie I.B de la présente recommandation et d'encourager les pouvoirs locaux à les mettre en œuvre; iii. d'attirer l'attention des directeurs d'équipements sportifs, des organisations sportives, et des utilisateurs sportifs, des concepteurs et des architectes sur la série de mesures d'économie d'énergie définie dans les parties II.A, II.B et II.C respectivement de la présente recommandation et de les encourager à les mettre en œuvre; iv. d'assurer une large diffusion de la présente recommandation parmi toutes les parties intéressées et de prendre toutes les autres mesures nécessaires pour en encourager la mise en œuvre; - 1 -

2 v. de fournir au Secrétaire Général du Conseil de l'europe des informations sur les résultats des mesures d'économie d'énergie appliquées dans les équipements sportifs et sur les faits nouveaux les concernant lorsque de telles informations peuvent présenter un intérêt pour les autres Etats membres. PARTIE I A. Gouvernement central A.I. Politique générale a. Financement 1. Lorsque des investissements sont envisagés en matière d'économie d'énergie, les gouvernements devraient encourager l'adoption d'une approche progressive: i. mettre en œuvre en premier lieu les mesures ne requérant que peu de dépenses ou aucune; ii. n'envisager d'autres mesures qu'après une étude de coût et d'efficacité; iii. fonder les propositions sur une démonstration des économies réalisables. 2. Les gouvernements devraient étudier les moyens (agences centrales, commissions, etc.) et les méthodes (subventions, prêts, etc.) permettant de financer l'application dans les équipements sportifs de mesures d'économie d'énergie efficaces par rapport à leur coût, telles qu'elles sont définies au tableau de l'annexe I à la présente recommandation. Les prêts pourraient être remboursables au taux des économies escomptées de ces mesures. b. Publicité Les gouvernements devraient sensibiliser les utilisateurs sportifs, les organisations sportives, les pouvoirs locaux, les directeurs d'équipements, les architectes et les concepteurs aux possibilités d'économie d'énergie dans les équipements sportifs. Une opération de démonstration itinérante des différents équipements publics est à conseiller, surtout destinée aux pouvoirs locaux. Il faudrait envisager le lancement d'un concours national doté de prix récompensant une gestion efficace de l'énergie. c. Information Les gouvernements devraient parrainer la création de sources d'information objectives et complètes concernant les mesures et les installations d'économie d'énergie spécifiques. Il faudrait procéder à des essais objectifs pour vérifier les qualités attribuées à certaines installations. d. Recherche et expérience acquise Les gouvernements devraient encourager à l'avenir la recherche et la mise au point, notamment par l'industrie, de nouvelles formes d'énergie utilisant au mieux, dans chaque Etat membre, l'environnement naturel, le climat et les énergies de substitution. Un programme de prototypes et d'expériences est à conseiller. Ils devraient également étudier les moyens de communiquer aux concepteurs et aux architectes l'expérience acquise par les directeurs d'équipements sportifs et les pouvoirs locaux dans le domaine des économies d'énergie, afin que cette expérience ne soit pas perdue. A.II. Aspects techniques a. Unité de mesure uniformisée Les gouvernements devraient encourager dans leur pays l'adoption de l'unité uniformisée de mesure de consommation d'énergie dans les piscines couvertes et en plein air, les halles de sport, les gymnases et les patinoires, mentionnée à l'annexe II de la présente recommandation (à savoir le kilowatt/heure par mètre carré de surface d'évolution active par an). L'annexe II donne également des directives pour l'utilisation de cette unité. Sur la base de cette unité normalisée, les gouvernements devraient promouvoir la création de tableaux d'économies d'énergie permettant les comparaisons, les contrôles, l'élaboration de normes et la mise en commun, au niveau international, de l'expérience acquise

3 b. Consultation Les gouvernements devraient envisager la création d'une Agence ou d'une Commission centrale de coordination de l'économie d'énergie dans les équipements sportifs, qui prodiguerait des conseils aux directeurs de ces équipements. Cette commission serait entre autres chargée de créer des équipes de diagnostic constituées d'experts indépendants pour aider les pouvoirs locaux à prendre les mesures nécessaires, conseiller les directeurs d'équipements sportifs et les clubs de sport, comparer les performances locales aux normes nationales et élaborer un projet de réglementation en matière de construction d'équipements sportifs qui tiendrait compte de leur caractère spécifique et qui comprendrait des mesures d'économie d'énergie (double vitrage, indice d'isolation, etc.). Elle fournirait également des informations quant aux méthodes permettant de financer l'application de mesures d'économie d'énergie. A.III. Education des directeurs d'équipements sportifs Formation Les gouvernements devraient s'efforcer de mettre sur pied un programme national approprié de formation de base (d'une durée d'un an au moins) sur les techniques de gestion pour les directeurs d'équipements sportifs. Cette formation inclurait des éléments sur les principes d'économie d'énergie à la hauteur de son importance. Les gouvernements devraient également veiller à offrir une formation continue adéquate et des cours de recyclage en matière d'économie d'énergie dans les équipements sportifs destinés, par exemple, aux animateurs de stages. B. Pouvoirs locaux Les pouvoirs locaux devraient appliquer des mesures d'économie d'énergie dans les équipements sportifs, notamment afin que le nombre d'équipements nécessaires à la bonne marche de la collectivité puissent effectivement être offerts. B.I. Aspects techniques a. ouveaux équipements 1. Lorsqu'ils projettent de créer de nouveaux équipements sportifs, les pouvoirs locaux devraient porter une attention particulière aux possibilités d'économie d'énergie offertes par les ressources naturelles, les approvisionnements en énergie existants (par exemple, récupération de la chaleur résiduelle des usines) ou par la combinaison de différents types d'équipements, tels que patinoires et piscines. 2. Les pouvoirs locaux devraient exiger que les plans des nouvelles constructions comprennent: - une estimation de la consommation annuelle d'énergie probable; - une description des mesures d'économie d'énergie incorporées dans la conception. L'estimation de la consommation reposerait sur l'unité de mesure uniformisée mentionnée au paragraphe A.II.a de la présente recommandation. Si cette estimation se révélait trop éloignée de toute norme pertinente, les plans seraient modifiés de façon appropriée. b. Equipements existants Les pouvoirs locaux devraient trouver les moyens d'appliquer des mesures d'économie d'énergie dans les équipements sportifs existants. Le tableau figurant à l'annexe I aidera à déterminer les mesures qu'il convient de prendre pour chaque type d'équipement. L'ordre des priorités suivant est recommandé: i. amélioration de l'efficacité de fonctionnement sans nouvel investissement; ii. transformations mineures permettant la réalisation d'économies à court terme (mesures «simples»); iii. rénovation des installations techniques et amélioration du matériel qui permettront des économies à long terme (mesures «lourdes»). B.II. Formation des directeurs et du personnel 1. Les pouvoirs locaux veilleront à ce que tous les directeurs d'équipements sportifs employés par la collectivité soient pleinement conscients des possibilités d'économie d'énergie ainsi que des mesures à prendre dans ce domaine et qu'ils soient aptes à se charger de leur application. Les directeurs devront également assurer la formation du personnel des équipements sportifs en matière d'économie d'énergie

4 2. Les pouvoirs locaux devraient nommer les directeurs d'équipements sportifs en fonction de leurs connaissances et de leur expérience; une évaluation de leur formation en matière d'économie d'énergie sera également prise en compte. 3. Ils veilleront à ce que les directeurs aient accès à l'information, aux nouvelles techniques disponibles et à ce que l'expérience et les connaissances acquises soient diffusées de manière adéquate. 4. Les pouvoirs locaux devraient s'assurer que les coûts des programmes et stages de formation sont couverts par les économies d'énergie réalisées. PARTIE II A. Directeurs d'équipements sportifs Les directeurs devraient procéder à un examen complet des possibilités de réduire la quantité d'énergie consommée dans les équipements qu'ils dirigent et présenter des propositions appropriées à la collectivité locale. En vue de réaliser des économies d'énergie, les directeurs devraient suivre les directives ci-après: 1. Utiliser de façon la plus efficace l'équipement et les machines qu'il comprend (vérifications techniques, révisions); 2. Etablir des plans d'entretien préventif de gestion pour éviter, autant que possible, les réparations onéreuses ou les dépenses en capital imprévues; 3. Analyser le coût actuel de consommation d'énergie de l'équipement (chauffage, éclairage, ventilation, traitement de l'eau, machines, coût du personnel et matériel); 4. Analyser l'utilisation effective de l'équipement (heures de pointe, séquence d'activités); 5. Revoir les besoins et les pratiques en matière d'énergie en fonction de l'utilisation réelle, voir si les machines sont appropriées à cet usage, et ensuite les adapter et les modifier quand c'est nécessaire et possible (par exemple capacité des chaudières); 6. Installer des moyens à prix réduit pour économiser l'énergie (horloges de chaufferie, couvertures de bassin simples); 7. Reconsidérer la gestion et l'usage de l'équipement sous l'angle de l'économie d'énergie (emploi du temps, besoins en ventilation, maintenir les températures aussi bas que possible selon l'activité, éviter des variations non nécessaires de température); 8. Après avoir mis en œuvre les mesures ci-dessus, faire une étude des améliorations plus importantes pouvant être apportées (isolation, pompe à chaleur, etc.); 9. Se tenir informés des toutes nouvelles techniques d'économie d'énergie et voir comment les appliquer à leur complexe. B. Organisations sportives et utilisateurs sportifs Les organisations sportives et les utilisateurs sportifs devraient étudier les diverses façons de contribuer, dans leur intérêt mutuel, à l'économie d'énergie, en particulier: - en coopérant à l'application des mesures d'économie d'énergie; - en réexaminant et en limitant au maximum leurs besoins spécifiques en matière d'énergie, comme par exemple les exigences en matière de température ambiante en fonction du niveau et du type de jeu. C. Concepteurs et architectes Les concepteurs et les architectes devraient s'efforcer de créer les équipements sportifs les plus rationnels du point de vue de l'économie d'énergie. A cet égard, ils devraient tenir compte des résultats des recherches et des connaissances mentionnés au paragraphe A.I.d de la présente recommandation

5 Annexe I à la Recommandation nº R (83) 6 Tableau des mesures d'économie d'énergie dans les équipements sportifs par rapport à leur coût couvertes Piscines plein air Halles de sport Patinoires Investissements Efficacité par rapport à la consommation globale 1 = bas 3 = haut A = bas C = haut A. Conception et construction Distribution des zones d'activité X X X X Localisation X X X X position par rapport au soleil et au vent X X X X Environnement X X X X Forme du bâtiment X X X X Isolation thermique du bâtiment X X X X X X Inertie du bâtiment X X X Etanchéité du bâtiment X X X X X X Eclairage naturel (apports solaires passifs) X X X X B. Technique 1. Remarques générales Régulation et optimisation (temps, température, humidité, éclairage, traitement de l'eau) X X X X X X X X 1 C Couverture du plan d'eau X X X X 1-2 C Modernisation des équipements techniques (filtration, chauffage, ventilation et éclairage) X X X X X X X X 2 B 2. Gains d'énergie Echangeur sur air entrant X X X X 2 C Echangeur sur eau (rejets) X X X X 2 A-B PAC - sur air X X 3 B - en déshumidification X X 3 B - douches X X X X 3 B - eau de bassin X X X 3 A - chaleur de récupération du système de refroidis. X X 2 C - chaleur de récupération des gaz de combustion X X X X X X X X 1 B 3. Energies de substitution Pompe à chaleur (sources: nappes, lacs, etc.) X X X X X 3 B Capteurs solaires X X X X X 2-3 B 4. Production combinée de chaleur et d'électricité X X 3 C = existant = nouvelles constructions -5 -

6 Annexe II à la Recommandation n R (83) 6 Uniformiser l'unité de mesure de la consommation d'énergie dans les équipements sportifs Définition 1. La consommation d'énergie moyenne pour les piscines couvertes et en plein air, pour les halles de sport, les gymnases, les autres centres sportifs terrestres et les patinoires devrait être établie sur la base du kilowatt/heure par mètre carré de surface d'évolution active par an. 2. Cette mesure permettra de comparer les performances dans le domaine de l'énergie des différents équipements, quel que soit le pays. De toute évidence, il y a dans chaque pays une fourchette de chiffres ainsi qu'un chiffre moyen pour chacun de ces cas. La moyenne variera selon les caractéristiques de l'équipement sportif et la situation géographique du pays. Raison du choix de cette unité 3. L'unité employée doit avoir un caractère international et, par conséquent, l'unité monétaire ne peut être utilisée étant donné les différences de prix du combustible d'un pays à l'autre. La meilleure unité est celle de l'énergie puisqu'elle est convertible en valeur monétaire, quel que soit le combustible et quel que soit le pays. Elle ne sera donc pas tributaire de la fluctuation des prix des combustibles et peut être utilisée en tant que référence pour les mesures d'économie d'énergie. Le kilowatt/heure (kwh) est recommandé en tant qu'unité internationale bien reconnue. 4. En second lieu, l'unité d'énergie utilisée doit avoir un lien avec la surface d'évolution «active» dans un équipement donné: soit surface de l'eau du bassin, soit surface des zones d'activités de sport, de la glace de la patinoire, etc. L'espace consacré aux activités sportives détermine la taille et le volume d'une installation sportive en accord avec les normes préconisées dans chaque pays. Par exemple, la surface du plan d'eau du bassin détermine le nombre de vestiaires et de douches et la fréquentation maximale à tout moment. 5. La consommation totale d'énergie doit être calculée sur un an. Ceci permet de tenir compte des variations climatiques au cours de l'année et d'évaluer le budget annuel de l'énergie (et par conséquent les factures annuelles de chauffage) au stade de la conception. Les piscines en plein air, qui ne sont ouvertes que quatre ou cinq mois par an, poseront un léger problème, mais il faudrait quand même, pour obtenir des résultats comparables, calculer un chiffre annuel pour elles comme pour tous les autres équipements. Détermination des valeurs de base 6. La consommation totale d'énergie par m 2 de surface d'évolution active et par an pour chaque type d'installation sera la somme de tous ( ) et de plusieurs ( ) des éléments suivants: 6.1. Pertes dues aux «matériaux», c'est-à-dire l'énergie perdue par les parois, la toiture et le sol du bâtiment (déperditions de chaleur du bâtiment); 6.2. Chauffage de l'espace et ventilation (débit d'air neuf et taux de modulation); 6.3. Eau chaude sanitaire, c'est-à-dire l'eau chaude utilisée par les usagers dans les douches et les lavabos; 6.4. Electricité pour l'éclairage et la force (pompes, moteurs des ventilateurs, etc.); 6.5. Autres pertes, par exemple dans les cuisines, les bureaux, etc.; 6.6. Chauffage de l'eau du bassin; 6.7. Production de frigories (patinoires); 6.8. Saunas. 7. Ces consommations peuvent être calculées pour des équipements connus suivant les normes de chaque pays sans inclure les mesures d'économies d'énergie, à moins que ces normes ne rendent certains travaux obligatoires (par exemple l'isolation des murs, de la toiture, etc.). En plus des données de base, les chiffres devraient se baser sur les paramètres indispensables suivants: 7.1. La température intérieure, la température moyenne extérieure en degrés centigrades et la température de l'eau du bassin; 7.2. La durée d'ouverture exprimée en heures par an (soit h maximum); 7.3. L'humidité relative préconisée; 7.4. Le type de fonctionnement hors ouverture (arrêt, antigel, etc.)

7 Emploi des valeurs de base 8. Le calcul de ces chiffres de base fait apparaître clairement la quantité d'énergie utilisée dans les différents types d'installations, et la répartition de ces quantités en fonction des différents usages. Par conséquent, il s'agit: 8.1. De déterminer les actions vers lesquelles l'effort doit se porter pour obtenir la plus grande économie d'énergie possible; 8.2. De permettre d'estimer la consommation totale d'énergie dans un pays donné à partir de la connaissance de la surface totale d'évolution active des équipements sportifs; 8.3. De permettre également de se donner un objectif de base pour l'utilisation de l'énergie dans les nouveaux équipements; 8.4. De permettre de comparer les différentes installations d'un même type dans un ou plusieurs pays; 8.5. De fournir une information pour les analyses du rapport coût/bénéfice quant aux mesures et aux techniques d'économies d'énergie. I

Fiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire

Fiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire Service d information sur les économies d énergie Fiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire 1 Préparation de l eau chaude sanitaire 2 1) Différents systèmes de production A Chaudière combinée

Plus en détail

LE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.

LE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que

Plus en détail

Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016.

Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016. FINANCER MON PROJET Crédit d'impôt développement durable Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016. Mais attention, il ne s'applique pas dans les mêmes conditions et au même

Plus en détail

Comment peut-on produire du chauffage et de l'eau chaude à partir de l'air? EFFICACITÉ POUR LES MAISONS

Comment peut-on produire du chauffage et de l'eau chaude à partir de l'air? EFFICACITÉ POUR LES MAISONS Comment peut-on produire du chauffage et de l'eau chaude à partir de l'air? Découvrez la gamme Aquarea de Panasonic Pompe à chaleur Source Air CONÇUE POUR LES MAISONS Une pompe à chaleur Aquarea avec Source

Plus en détail

Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état

Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état Le secteur du bâtiment est un des plus grands consommateurs d'énergie et émetteurs de gaz à effet de serre. C'est donc sur ce secteur que s'est

Plus en détail

Annexe 3 Captation d énergie

Annexe 3 Captation d énergie 1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,

Plus en détail

TABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE

TABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE TABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE d isolation thermique la totalité la toiture d isolation thermique s murs donnant sur l extérieur (au moins la moitié la surface

Plus en détail

Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Edition janvier 2009

Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Edition janvier 2009 Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Contenu et but Cette aide à l application traite des exigences à respecter concernant la part maximale

Plus en détail

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif du l audit énergétique de RANTIGNY 1 Sommaire I. Introduction... 3 II. Visite du site... 4

Plus en détail

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les

Plus en détail

La combinaison. naturelle DAIKIN ALTHERMA HYDRIDE POMPE À CHALEUR CHAUFFAGE ET EAU CHAUDE SANITAIRE. Informations préliminaires

La combinaison. naturelle DAIKIN ALTHERMA HYDRIDE POMPE À CHALEUR CHAUFFAGE ET EAU CHAUDE SANITAIRE. Informations préliminaires La combinaison naturelle DAIKIN ALTHERMA HYDRIDE POMPE À CHALEUR CHAUFFAGE ET EAU CHAUDE SANITAIRE Informations préliminaires 2 Le futur c'est maintenant 3 et le futur est plus respectueux de l'environnement,

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie

CAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie CAHIER DES CHARGES Etude de faisabilité : Version septembre 2011 Chaufferie bois Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie Direction Régionale Ile de France Page 1/8 SOMMAIRE A.- OBJECTIFS

Plus en détail

(Du 20 septembre 2006)

(Du 20 septembre 2006) SPORTS 06-018 Rapport du Conseil communal au Conseil général concernant une demande de crédit relative à la construction d une nouvelle chaufferie et l installation d une pompe à chaleur aux piscines du

Plus en détail

Déroulement de la certification PEB de votre bâtiment

Déroulement de la certification PEB de votre bâtiment Déroulement de la certification PEB de votre bâtiment La certification énergétique de votre habitation se déroulera en 2 étapes : 1) la visite de votre habitation et le relevé de ses caractéristiques ;

Plus en détail

Aide à l'application Preuve du besoin de réfrigération et/ou d humidification de l air Edition mai 2003

Aide à l'application Preuve du besoin de réfrigération et/ou d humidification de l air Edition mai 2003 CONFERENCE DES SERVICES CANTONAUX DE L'ENERGIE KONFERENZ KANTONALER ENERGIEFACHSTELLEN Aide à l'application Preuve du besoin de réfrigération et/ou d humidification de l air 1. Contexte Une série d'aides

Plus en détail

Technique de pointe. Une autoconsommation efficace de l'électricité solaire

Technique de pointe. Une autoconsommation efficace de l'électricité solaire Technique de pointe Une autoconsommation efficace de l'électricité solaire Concernant les installations photovoltaïques destinées aux particuliers, jusqu à présent il n a pas été fait de distinction en

Plus en détail

Que nous enseigne la base de données PAE?

Que nous enseigne la base de données PAE? Que nous enseigne la base de données PAE? Séminaire auditeurs PAE 8 juin 2009 Nicolas Heijmans, ir Division Energie et Climat CSTC - Centre Scientifique et Technique de la Construction 00/00/2006 Contenu

Plus en détail

Crédit impôts énergie renouvelable développement durable 2015

Crédit impôts énergie renouvelable développement durable 2015 Crédit impôts énergie renouvelable développement durable 2015 Depuis la loi de finances pour 2005, a été créé un crédit d'impôt dédié au développement durable et aux économies d'énergie. S inscrivant dans

Plus en détail

Formation Bâtiment Durable :

Formation Bâtiment Durable : Formation Bâtiment Durable : Rénovation à haute performance énergétique: détails techniques Bruxelles Environnement LE SYSTÈME DE CHAUFFAGE ET LA PRODUCTION D EAU CHAUDE SANITAIRE François LECLERCQ et

Plus en détail

Objet : Evaluation des audits PAE réalisés en Région wallonne

Objet : Evaluation des audits PAE réalisés en Région wallonne Madame, Monsieur, Objet : Evaluation des audits PAE réalisés en Région wallonne Depuis plusieurs années, les trois Régions et l'etat fédéral ont travaillé au développement d'une procédure commune visant

Plus en détail

Accumulateur combiné au service de la chaleur solaire et des pompes à chaleur. Michel Haller, Robert Haberl, Daniel Philippen

Accumulateur combiné au service de la chaleur solaire et des pompes à chaleur. Michel Haller, Robert Haberl, Daniel Philippen Accumulateur combiné au service de la chaleur solaire et des pompes à chaleur Michel Haller, Robert Haberl, Daniel Philippen Présentation Avantages de la combinaison pompe à chaleur et chaleur solaire

Plus en détail

CREDIT D IMPOT TRANSITION ENERGETIQUE ET QUALIFICATION RGE DE L ENTREPRISE : COMMENTAIRES DE L ADMINISTRATION FISCALE

CREDIT D IMPOT TRANSITION ENERGETIQUE ET QUALIFICATION RGE DE L ENTREPRISE : COMMENTAIRES DE L ADMINISTRATION FISCALE CHAMBRE SYNDICALE DES INDUSTRIES DU BOIS DU BAS-RHIN BP 68055 3, rue Jean Monnet ECKBOLSHEIM 67038 STRASBOURG Cedex Tel: 03.88.10.28.00 - Fax:03.88.77.80.02 CREDIT D IMPOT TRANSITION ENERGETIQUE ET QUALIFICATION

Plus en détail

36% T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE

36% T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE 36% DE CRÉDIT D'IMPÔTS Loi de finance 2011 T.Flow Un système révolutionnaire 2 en 1 Seul

Plus en détail

Liste et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE

Liste et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE À jour au 1 er janvier 2015 Liste et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE Nature des dépenses Matériaux d isolation thermique des parois vitrées Matériaux d isolation thermique

Plus en détail

Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Edition décembre 2007

Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Edition décembre 2007 Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire 1. But et objet Une série d'aides à l'application a été créée afin de faciliter la mise en œuvre des législations cantonales en matière

Plus en détail

Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir?

Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir? COURS-RESSOURCES Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que Objectifs : / 1 A. Les besoins en eau chaude sanitaire La production d'eau chaude est consommatrice en énergie. Dans les pays occidentaux,

Plus en détail

Smatrix. Le système de réglage intelligent de chauffage et de refroidissement sol Plus de confort avec moins d'énergie

Smatrix. Le système de réglage intelligent de chauffage et de refroidissement sol Plus de confort avec moins d'énergie Smatrix Le système de réglage intelligent de chauffage et de refroidissement sol Plus de confort avec moins d'énergie 02 l Uponor Smatrix Uponor Smatrix : optimise la climatisation intérieure, la gestion

Plus en détail

Aide à l'application EN-VD-72 Part minimale d énergie renouvelable Edition juillet 2014

Aide à l'application EN-VD-72 Part minimale d énergie renouvelable Edition juillet 2014 Direction générale de l environnement (DGE) Direction de l énergie Chemin des Boveresses 155 1066 Epalinges Aide à l'application EN-VD-72 Part minimale d énergie renouvelable Edition juillet 2014 Champ

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE ENERGIE «Eau Chaude Sanitaire - ECS»

FICHE TECHNIQUE ENERGIE «Eau Chaude Sanitaire - ECS» FICHE TECHNIQUE ENERGIE «Eau Chaude Sanitaire - ECS» Sources : CNIDEP et ADEME A. ETAT DE L ART 1. Caractéristiques générales Que demande t-on à une production d eau chaude sanitaire? Fournir une eau en

Plus en détail

TRAITEMENT D'AIR DES PISCINES COUVERTES

TRAITEMENT D'AIR DES PISCINES COUVERTES PISCINES CHAUFFAGE DESHUMIDIFICATION TRAITEMENT D'AIR DES PISCINES COUVERTES Une piscine couverte doit être considérée comme un ouvrage spécifique dont les critères diffèrent de ceux d'un ouvrage classique

Plus en détail

Arrêté du XXXX. relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR :

Arrêté du XXXX. relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR : RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement Arrêté du XXXX relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR : La ministre

Plus en détail

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be

Plus en détail

MUNICIPALITE DE GLAND

MUNICIPALITE DE GLAND MUNICIPALITE DE GLAND Préavis municipal n 56 relatif à l octroi d un crédit pour financer la rénovation des installations de chauffage des vestiaires sis au centre sportif "En Bord". Madame la présidente,

Plus en détail

Des systèmes de chauffage avec pompe à chaleur et accumulateur de chaleur pour les construction dans les zones de montagne.

Des systèmes de chauffage avec pompe à chaleur et accumulateur de chaleur pour les construction dans les zones de montagne. Des systèmes de chauffage avec pompe à chaleur et accumulateur de chaleur pour les construction dans les zones de montagne. Formation à la promotion des énergies renouvelables à CEFIDEC Vatra Dornei Dănuţ

Plus en détail

Avis d Energie-Cités. Cette proposition est disponible sur : http://europa.eu.int/eur-lex/fr/com/dat/2001/fr_501pc0226.html

Avis d Energie-Cités. Cette proposition est disponible sur : http://europa.eu.int/eur-lex/fr/com/dat/2001/fr_501pc0226.html Avis d Energie-Cités Projet de Directive Performance énergétique des bâtiments Octobre 2001 Proposition de Directive du Parlement européen et du Conseil présentée par la Commission [COM(2001) 226 final

Plus en détail

Etude de faisabilité

Etude de faisabilité Etude de faisabilité Modèle de cahier des charges pour chaufferie dédiée Ce modèle de cahier des charges d étude de faisabilité a été réalisé dans le cadre de la Mission Régionale Bois-Energie Il est un

Plus en détail

Crédits d impôt énergie TVA réduite à 7% Prêt à taux zéro 2012

Crédits d impôt énergie TVA réduite à 7% Prêt à taux zéro 2012 Crédits d impôt énergie TVA réduite à 7% Prêt à taux zéro 2012 SOURCE D INFORMATION Cette note de veille réglementaire a été établie à partir de la loi de finances 2012, des articles 200 quater, 200 quinquies,

Plus en détail

Grands Consommateurs du Canton de Genève. Recommandation pour l'élaboration du rapport d'audit énergétique

Grands Consommateurs du Canton de Genève. Recommandation pour l'élaboration du rapport d'audit énergétique REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département de la sécurité Office cantonal de l'énergie (OCEN) Grands Consommateurs du Canton de Genève Recommandation pour l'élaboration du rapport d'audit énergétique 16

Plus en détail

fioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs

fioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs fioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs Fiche conseil Édition décembre 212 Sommaire P 2 : Obligations P 3 : Démarches volontaires P 4 : Les points clés d une rénovation réussie

Plus en détail

Grille d'évaluation Compétences reliées aux activités Evaluation du stage en entreprise

Grille d'évaluation Compétences reliées aux activités Evaluation du stage en entreprise Page 1 sur 6 Grille d'évaluation Compétences reliées aux activités Evaluation du stage en entreprise Nom élève:.. Entreprise: Nom et fonction du professeur:. Dates de stage:.. Zone de compétence: Zone

Plus en détail

CATALOGUE FORMATIONS CLIENTS 2012 SPÉCIAL ÉNERGIES RENOUVELABLES

CATALOGUE FORMATIONS CLIENTS 2012 SPÉCIAL ÉNERGIES RENOUVELABLES CATALOGUE FORMATIONS CLIENTS 2012 SPÉCIAL ÉNERGIES RENOUVELABLES FORMATIONS 100% PRO TOUTE L ANNÉE. TROUVEZ VOTRE FORMATION QUALIFIANTE. -10% SUR CERTAINES FORMATIONS DU CATALOGUE. î à Cher client, Le

Plus en détail

Comment optimiser la performance énergétique de son logement?

Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Janvier 2014 AHF / J.M. VOGEL Plan de la présentation Contexte Objectifs Faire un premier bilan énergétique Les différents travaux d économies

Plus en détail

Maison Modèle BIG BOX Altersmith

Maison Modèle BIG BOX Altersmith Maison Modèle BIG BOX Altersmith SOLUTIONS D ENVELOPPE & DE SYSTÈMES PERFORMANCES RT 2005 & LABELS I. Présentation de la maison BIG BOX - T3...2 II. Enveloppes...3 1. Présentation de l enveloppe...3 2.

Plus en détail

Instructions d'utilisation

Instructions d'utilisation U22 K 7208 5500 0/2003 FR (FR) Pour l'opérateur Instructions d'utilisation Chaudière à condensation à gaz Logamax plus GB22-24/24K Prière de lire ces instructions avec soin avant l'utilisation Avant-propos

Plus en détail

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,

Plus en détail

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ 1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à

Plus en détail

En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES. Quercy Energies

En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES. Quercy Energies En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES Quercy Energies Le réseau EIE en Midi-Pyrénées 4 premiers EIE créés en novembre 2001, toute la région est couverte en 2007 avec 11 CIE dans 9 EIE En MIDI- PYRENEES

Plus en détail

AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre?

AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre? Réunion CCI Franche-Comté - Besançon 13 mai 2014 AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre? Paule.nusa @afnor.org Nour.diab@afnor.org

Plus en détail

Zone Région de Bruxelles Capitale

Zone Région de Bruxelles Capitale Objet Zone Au Fédéral Région Wallonne Région de Bruxelles Capitale Région Flamande Audit énergétique Thermographie infrarouge Pour audit énergétique (auditeur agréé PAE1 ou 2) dans habitation existante,

Plus en détail

SOLAIRE BALLERUP LA VILLE CONTEXTE. (Danemark) Ballerup

SOLAIRE BALLERUP LA VILLE CONTEXTE. (Danemark) Ballerup SOLAIRE BALLERUP (Danemark) Utiliser l énergie solaire thermique avec un système de stockage de chaleur classique à accumulation et à régulation sur une longue période est une des alternatives les plus

Plus en détail

DROUHIN Bernard. Le chauffe-eau solaire

DROUHIN Bernard. Le chauffe-eau solaire DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire Principe de fonctionnement Les Capteurs Les ballons Les organes de sécurité Les besoins L ensoleillement dimensionnement Comment

Plus en détail

Economies d énergies dans le milieu SANITAIRE Jeudi 31 mai 2012. 31 Mai 2012

Economies d énergies dans le milieu SANITAIRE Jeudi 31 mai 2012. 31 Mai 2012 Economies d énergies dans le milieu SANITAIRE Jeudi 31 mai 2012 31 Mai 2012 Plan Présentation d Ad3e Présentation de la mission d audit énergétique Présentation des résultats Présentation d Ad3e Qui sommes

Plus en détail

Rénovation à très haute performance énergétique (Minergie-P )

Rénovation à très haute performance énergétique (Minergie-P ) Rénovation à très haute performance énergétique (Minergie-P ) de Treize immeubles d habitation Pour la Société Coopérative d Habitation 10.03.2014 1. INTRODUCTION 1.1Présentation de la société candidate

Plus en détail

DIALOGUE AVEC LES CONSTRUCTEURS DE VEHICULES

DIALOGUE AVEC LES CONSTRUCTEURS DE VEHICULES CONFÉRENCE EUROPÉENNE DES MINISTRES DES TRANSPORTS EUROPEAN CONFERENCE OF MINISTERS OF TRANSPORT 2 rue André Pascal, F-75775 PARIS CEDEX 16 TEL. 33 (0)1 45 24 97 10 / FAX: 33 (0)1 45 24 97 42 e-mail: ecmt.contact@oecd.org

Plus en détail

L opération étudiée : le SDEF

L opération étudiée : le SDEF L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3

Plus en détail

Daikin. DAIKIN ALTHERMA BI-BLOC, Solution pour le tertiaire et le résidentiel collectif. Pompes à chaleur Air / Eau. Inverter. » Economies d énergie

Daikin. DAIKIN ALTHERMA BI-BLOC, Solution pour le tertiaire et le résidentiel collectif. Pompes à chaleur Air / Eau. Inverter. » Economies d énergie Pompes à chaleur Air / Eau DAIKIN ALTHERMA BI-BLOC, Solution pour le tertiaire et le résidentiel collectif Inverter 1 ère MONDIALE Daikin» Economies d énergie» Faibles émissions de CO2» Flexible» Technologie

Plus en détail

MARCHES PUBLICS DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES. VILLE DE COUILLY PONT AUX DAMES Hôtel de Ville 46 rue Eugène Léger 77860 COUILLY PONT AUX DAMES

MARCHES PUBLICS DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES. VILLE DE COUILLY PONT AUX DAMES Hôtel de Ville 46 rue Eugène Léger 77860 COUILLY PONT AUX DAMES MARCHES PUBLICS DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES VILLE DE COUILLY PONT AUX DAMES Hôtel de Ville 46 rue Eugène Léger 77860 COUILLY PONT AUX DAMES ENTRETIEN DES INSTALLATIONS DE CHAUFFAGE ET DE PRODUCTION

Plus en détail

FINANCEMENT PAR TIERS-INVESTISSEUR POUR LES INVESTISSEMENTS DANS LES ECONOMIES D'ENERGIE

FINANCEMENT PAR TIERS-INVESTISSEUR POUR LES INVESTISSEMENTS DANS LES ECONOMIES D'ENERGIE FINANCEMENT PAR TIERS-INVESTISSEUR POUR LES INVESTISSEMENTS DANS LES ECONOMIES D'ENERGIE Introduction Les PME sont confrontées à plusieurs difficultés dans leurs recherches de ressources adéquates pour

Plus en détail

ANDRÉ GRAFF. Diagnostics Immobiliers Plomb. Amiante. Termites. Loi Carrez. D.P.E. Gaz.

ANDRÉ GRAFF. Diagnostics Immobiliers Plomb. Amiante. Termites. Loi Carrez. D.P.E. Gaz. Diagnostic de performance énergétique logement (6.1) N : Rodin 627 Valable jusqu au : 26/07/2022 Type de bâtiment : Logement collectif Année de construction : 2009 Surface habitable : 58.50 m 2 Adresse

Plus en détail

Résidence des Badinières

Résidence des Badinières Résidence des Badinières Bienvenue à la 2 ème réunion d information et d échange «chauffage et eau chaude sanitaire» 22 janvier 2010 Réunion "chauffage" des Badinières 1 Sommaire Le contexte général (national)

Plus en détail

CENTRE HOSPITALIER D ALBERTVILLE ET MOUTIERS

CENTRE HOSPITALIER D ALBERTVILLE ET MOUTIERS CENTRE HOSPITALIER D ALBERTVILLE ET MOUTIERS Bilan GES de l activité Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 juillet 2010 Rapport V2 décembre 2012 SIÈGE SOCIAL - 367, avenue du Grand Ariétaz

Plus en détail

T. BONNARDOT 17/12/2010

T. BONNARDOT 17/12/2010 CYTHELIA Conseil & Expertise La Maison ZEN 350, route de la traverse 73 000 MONTAGNOLE Tel +33 (0) 4 79 25 31 75 www.cythelia.fr SARL au capital de 140 000 - RCS Chambéry B 393 290 937 - APE 7219 Z RT

Plus en détail

APPLICATIONS DE LA RT2012. 1/ Quels bâtiment neufs (hors extensions) sont soumis à la RT2012?

APPLICATIONS DE LA RT2012. 1/ Quels bâtiment neufs (hors extensions) sont soumis à la RT2012? 1/ Quels bâtiment neufs (hors extensions) sont soumis à la RT2012? Textes en vigueurs : Arrêté du 26 octobre 2010, arrêté du 28 décembre 2012, arrêté du 11 décembre 2014. Fiche d'application du 26 Février

Plus en détail

Le tableau des relevés

Le tableau des relevés Le tableau des relevés Sommaire Mes données personnelles... 3 Quelques informations sur mon logement... 4 Quelles sources d énergie utilisez-vous?... 5 Ma consommation de référence... 7 Qu appelle-t-on

Plus en détail

en rénovation habitat Qualifications et certifications RGE Comprendre

en rénovation habitat Qualifications et certifications RGE Comprendre Qualifications et certifications RGE en rénovation Les qualifications et certifications RGE éligibles pour vos travaux de rénovation énergétique en métropole Le recours a un professionnel RGE est obligatoire

Plus en détail

CERTIFICAT DE PERFORMANCE ENERGETIQUE

CERTIFICAT DE PERFORMANCE ENERGETIQUE Rue Knapen 11 100 SCHAERBEEK Superficie brute: 242 m² 1 Performance énergétique du bâtiment Très économe

Plus en détail

VITODATA VITOCOM. bien plus que la chaleur. Télésurveillance et télégestion d installations de chauffage par Internet. Internet TeleControl

VITODATA VITOCOM. bien plus que la chaleur. Télésurveillance et télégestion d installations de chauffage par Internet. Internet TeleControl bien plus que la chaleur VITODATA VITOCOM Internet TeleControl Télésurveillance et télégestion d installations de chauffage par Internet Viessmann S.A. Z.I. - B.P. 59-57380 Faulquemont Tél. : 03 87 29

Plus en détail

1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE

1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE CONFERENCE DERBI 1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE 1er SYSTEME SOLAIRE COMBINE La climatisation Le chauffage L eau chaude sanitaire HISTORIQUE Fin 2003 : Lancement du projet Début 2005 : 1er prototype opérationnel

Plus en détail

MAINTENANCE URE. Tertiaire. Exploitation énergétique des installations de chauffage et de climatisation. > pour les concepteurs. Version juillet 2006

MAINTENANCE URE. Tertiaire. Exploitation énergétique des installations de chauffage et de climatisation. > pour les concepteurs. Version juillet 2006 Tertiaire > pour les concepteurs MAINTENANCE URE Exploitation énergétique des installations de chauffage et de climatisation Version juillet 2006 Plus d infos : www.bruxellesenvironnement.be > entreprises

Plus en détail

Installateur en Chauffage, Climatisation, Sanitaire et Energies Renouvelables en alternance

Installateur en Chauffage, Climatisation, Sanitaire et Energies Renouvelables en alternance Installateur en Chauffage, Climatisation, Sanitaire et Energies Renouvelables en alternance Domaine : Bâtiment, éco-construction, rénovation Durée : 5 mois ROME : F603 Code AFPA : 9 Objectifs : Poser,

Plus en détail

Par: Michel Morin, coordonnateur à l énergie et à l entretien. Président du comité d énergie régional LLL.

Par: Michel Morin, coordonnateur à l énergie et à l entretien. Président du comité d énergie régional LLL. Par: Michel Morin, coordonnateur à l énergie et à l entretien. Président du comité d énergie régional LLL. Pierre Lefrancois, B.ing., consultant en gestion d énergie. Plan de la présentation La commission

Plus en détail

J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E

J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E De l estimation des besoins / critères et exemple Février 2012 Présentation : Jérôme DIOT Directeur Technique EGIS Centre Ouest 1 Sommaire Conception

Plus en détail

RÉCUPÉRATEUR DE CHALEUR

RÉCUPÉRATEUR DE CHALEUR RÉCUPÉRATEUR DE CHALEUR POUR DOUCHE RECOH -VERT RECOH -DRAIN RECOH -TRAY RECOH -MULTIVERT Récupération de chaleur grâce à l eau de douche Qu est ce que c est? Suite aux différentes réglementations, les

Plus en détail

boilers pompe à chaleur L eau chaude ne vous aura jamais paru aussi agréable

boilers pompe à chaleur L eau chaude ne vous aura jamais paru aussi agréable boilers pompe à chaleur L eau chaude ne vous aura jamais paru aussi agréable 1 boilers pompe à chaleur Midea est au niveau mondial un des plus important producteur de pompe à chaleur et de climatiseur

Plus en détail

«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux 16/01/2014

«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux 16/01/2014 «RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux 16/01/2014 Ce document présente la liste des qualifications et certifications «RGE» classées par domaine de travaux liés

Plus en détail

La Géothermie arrive à Bagneux. En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous

La Géothermie arrive à Bagneux. En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous La Géothermie arrive à Bagneux En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous Le réseau de chaleur géothermique arrive à Bagneux La ville de Bagneux a fait le choix de

Plus en détail

CODE DU TRAVAIL. Nombre de dégagements réglementaires. Nombre total d'unités de passage Moins de 20 personnes 1 1. 1 + 1 dégagement accessoire (a)

CODE DU TRAVAIL. Nombre de dégagements réglementaires. Nombre total d'unités de passage Moins de 20 personnes 1 1. 1 + 1 dégagement accessoire (a) CODE DU TRAVAIL Art. R. 235-4.- Les dispositions de la présente section s'appliquent aux établissements mentionnés à l'article R. 232-12. Les bâtiments et les locaux régis par la présente section doivent

Plus en détail

ÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE

ÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE ÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE 2 1 LE CONTEXTE LES OBJECTIFS DES DIRECTIVES ÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE Protéger l environnement (1), sécuriser l approvisionnement énergétique (2)

Plus en détail

Les répartiteurs de frais de chauffage dans les immeubles collectifs

Les répartiteurs de frais de chauffage dans les immeubles collectifs Septembre 2012 Les répartiteurs de frais de chauffage dans les immeubles collectifs Immeubles collectifs (gérance et copropriété) Depuis une ordonnance n 2011-504 du 9 mai 2011, l article L 241-9 du Code

Plus en détail

CRÉDIT D IMPÔT LES GRANDS PRINCIPES. Un crédit d impôt : pourquoi? AVANT-PROPOS. Un crédit d impôt : comment? Un crédit d impôt : dans quels cas?

CRÉDIT D IMPÔT LES GRANDS PRINCIPES. Un crédit d impôt : pourquoi? AVANT-PROPOS. Un crédit d impôt : comment? Un crédit d impôt : dans quels cas? Mise à jour mars 2006 CRÉDIT D IMPÔT LES GRANDS PRINCIPES AVANT-PROPOS Le crédit d impôt en faveur des économies d énergie et du développement durable constitue une triple opportunité : Il offre à l utilisateur

Plus en détail

RÉNOVATION ET ENTRETIEN DU PARC DE LOGEMENT SOCIAL ET RÉGION WALLONNE: BESOINS EN FINANCEMENT

RÉNOVATION ET ENTRETIEN DU PARC DE LOGEMENT SOCIAL ET RÉGION WALLONNE: BESOINS EN FINANCEMENT Union des Villes et Communes de Wallonie asbl RÉNOVATION ET ENTRETIEN DU PARC DE LOGEMENT SOCIAL ET RÉGION WALLONNE: BESOINS EN FINANCEMENT Avis du Comité permanent des Sociétés de Logement de Service

Plus en détail

Jeudi de l ALEC Centrale de traitement d air (CTA) Rénovation du siège de PLURALIS

Jeudi de l ALEC Centrale de traitement d air (CTA) Rénovation du siège de PLURALIS Jeudi de l ALEC Centrale de traitement d air (CTA) Rénovation du siège de PLURALIS Intervenant : Rémy ROSSILLON Bureau d étude Sixième Sens Ingénierie Sixième sens Ingénierie est membre du GIE ICARE 1/

Plus en détail

Formulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire

Formulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire 1. Coordonnées du demandeur Nom du demandeur Adresse de l installation Rue : N :. Code Postal : Commune : Age du bâtiment : - plus de 5 ans - moins de 5 ans 2. 2. Coordonnées de l installateur agréé 1

Plus en détail

Formulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire

Formulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire Formulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire Annexe au formulaire de demande de prime 1. Coordonnées du demandeur Nom du demandeur Adresse Adresse de l installation Rue : N : Code Postal : Commune

Plus en détail

Comprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012)

Comprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012) Comprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012) Sommaire 1 Un engagement fort du Grenelle de l environnement 1 Calendrier et champ d application 2 Les nouveautés 3 Les exigences 9 Les quatre niveaux

Plus en détail

Annexe A de la norme 110

Annexe A de la norme 110 Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet

Plus en détail

1 Le chauffage des serres agricoles

1 Le chauffage des serres agricoles 1 Le chauffage des serres agricoles 1.1 Introduction Les serres offrent aux maraîchers et aux horticulteurs la possibilité de maîtriser le climat (température, humidité et lumière) et de produire, au moment

Plus en détail

Bilan thermique et social simplifié

Bilan thermique et social simplifié Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement 34 Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 32 quai de Rouen 59 100 ROUBAIX Informations

Plus en détail

N 24 avril 2015. Secrétariat de la CCMOSS 1/7

N 24 avril 2015. Secrétariat de la CCMOSS 1/7 N 24 avril 2015 Secrétariat de la CCMOSS 1/7 ACTUALITES Publication d un «mode d emploi sur les achats socialement responsables»..... 3 D E F I N I T I O N Qu est-ce que le système de management environnemental

Plus en détail

Contenu et but. 1. Domaine d application, état de la technique

Contenu et but. 1. Domaine d application, état de la technique Aide à l'application EN-3 Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Contenu et but Cette aide à l application traite des exigences à respecter pour la conception, la mise en place, la transformation

Plus en détail

Efficacité énergétique - Section 7

Efficacité énergétique - Section 7 Efficacité énergétique - Section 7 Hôtels Niki Hendrikx Laborelec Novembre 2008 GUIDE POWER QUALITY Efficacité énergétique Table des matières 1. Introduction : description générale du secteur hôtelier

Plus en détail

HÔTEL DE VILLE ALLÉES GASTON RODRIGUES BP 105 33173 GRADIGNAN CEDEX TÉL. : 05 56 75 65 26 FAX : 05 56 75 65 65

HÔTEL DE VILLE ALLÉES GASTON RODRIGUES BP 105 33173 GRADIGNAN CEDEX TÉL. : 05 56 75 65 26 FAX : 05 56 75 65 65 Préservez les ressources naturelles par des constructions écologiques n est qu une étape dans la protection de l environnement. Cela passe aussi par des gestes éco-citoyens au quotidien. Pour en savoir

Plus en détail

CHAUFFAGE. choisissez intelligemment votre confort POURQUOI PAS DES ÉCONOMIES D ÉNERGIE? Avec le soutien de la Région de Bruxelles-Capitale

CHAUFFAGE. choisissez intelligemment votre confort POURQUOI PAS DES ÉCONOMIES D ÉNERGIE? Avec le soutien de la Région de Bruxelles-Capitale POURQUOI PAS DES ÉCONOMIES D ÉNERGIE? CHAUFFAGE choisissez intelligemment votre confort Avec le soutien de la Région de Bruxelles-Capitale AGENCE BRUXELLOISE DE L ÉNERGIE Le Centre Urbain asbl Chauffage

Plus en détail

Bilan thermique et social simplifié

Bilan thermique et social simplifié Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 72 rue de Rome 59 100 Roubaix Informations

Plus en détail

Retours d expériences: le suivi de bureaux. Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est

Retours d expériences: le suivi de bureaux. Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est Retours d expériences: le suivi de bureaux Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est Sommaire 2 L opération étudiée Visite de chantier Instrumentation Explication des consommations Analyse

Plus en détail

Votre Stratégie Énergétique, Performante et Écologique, avec cette petite flamme en plus qui change tout!

Votre Stratégie Énergétique, Performante et Écologique, avec cette petite flamme en plus qui change tout! Votre Stratégie Énergétique, Performante et Écologique, avec cette petite flamme en plus qui change tout! «Nous n héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l empruntons à nos enfants» Antoine de Saint-Exupéry

Plus en détail

Rendre son installation de chauffage performante grâce à la PEB

Rendre son installation de chauffage performante grâce à la PEB 1 Séminaire Bâtiment Durable: Rendre son installation de chauffage performante grâce à la PEB 21 octobre 2014 Bruxelles Environnement LA REGLEMENTATION CHAUFFAGE PEB Alain BEULLENS, DPT CHAUFFAGE ET CLIM

Plus en détail

CONFÉRENCE EUROPÉENNE DES MINISTRES DES TRANSPORTS EUROPEAN CONFERENCE OF MINISTERS OF TRANSPORT

CONFÉRENCE EUROPÉENNE DES MINISTRES DES TRANSPORTS EUROPEAN CONFERENCE OF MINISTERS OF TRANSPORT CONFÉRENCE EUROPÉENNE DES MINISTRES DES TRANSPORTS EUROPEAN CONFERENCE OF MINISTERS OF TRANSPORT DÉCLARATION DE PRINCIPES CONCERNANT L'ERGONOMIE ET LA SÉCURITÉ DES SYSTÈMES D'INFORMATION EMBARQUÉS Introduction

Plus en détail

Conseils techniques. L'isolant doit disposer de numéros de certification ACERMI et CE en cours de validité. R 5,5m²K/w

Conseils techniques. L'isolant doit disposer de numéros de certification ACERMI et CE en cours de validité. R 5,5m²K/w Conseils techniques Pour bénéficier du «Micro crédit régional 0 % Energie verte en Poitou-Charentes», le programme impose l utilisation de matériaux répondant à des niveaux de performances minimales. Pour

Plus en détail