5. La féminisation du travail transforme les modes de vie

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1 5. La féminisation du travail transforme les modes de vie Féminisation du travail Population active féminine (millions) 7,7 12,1 Population active masculine 13,8 14,5 Part des femmes dans la population active 35,8 % 45,6 % Source : RGP, enquêtes Emploi Un des phénomènes majeurs de la seconde moitié du vingtième siècle est l entrée massive des femmes sur le marché du travail. La population active féminine a ainsi augmenté de 7,7 à 12,1 millions entre 1968 et , tandis que la population active masculine a seulement augmenté de 13,8 à 14,5 millions au cours de la même période. La quasi-totalité de l accroissement de la population active est due à l entrée des femmes sur le marché du travail, de sorte que la part des femmes dans la population active s est élevée de 35,8 à 45,6 %. Le taux d activité des femmes s est élevé de 51,5 % en 1975 à 62,1 % 53 en Ces tendances sont plus avancées en Ile-de-France, où la parité est presque atteinte : en 1999, 97 parisiennes étaient actives pour 100 parisiens, 94 dans les Hauts-de-Seine et 93 dans le Val-de-Marne 54. Femmes et travail à temps partiel Part des emplois à temps partiel occupés par des femmes 83,8 % 84,2 % Part des femmes actives occupées à temps partiel 23,6 % 27,2 % Source : enquêtes Emploi Toutefois, l intégration des femmes sur le marché du travail s effectue souvent dans des conditions moins favorables, par le biais du temps partiel subi, et le taux de chômage des femmes est plus élevé que celui des hommes. Ainsi, en 2002, 84,2 % des emplois à temps partiel étaient occupés par des femmes, contre 83,8 % en La part des femmes actives occupées à temps partiel s est élevée de 23,6 à 27,2 % de 1990 à D autre part, le taux de chômage des femmes s élevait à 10,1 % en 2002, contre 7,9 % pour les hommes. Toutefois, les écarts tendent à se réduire rapidement: ainsi, en 1990, l écart entre le taux de chômage des femmes et celui des hommes était de 5 points, tandis qu il n était plus que de 2 points en L importance du temps partiel au sein de la population féminine correspond notamment au souhait de concilier vie professionnelle et vie familiale, dans la mesure où la plus grande part du travail et des responsabilités domestiques échoit encore aux femmes, malgré une réduction progressive des écarts entre hommes et femmes (cf enquêtes Emploi du temps). Il apparaît ainsi que 30 % des femmes travaillant à temps partiel vivent en couple avec au moins deux enfants, contre 18 % de l ensemble des femmes actives occupées 55. Les motivations familiales sont invoquées par environ la moitié des femmes en temps partiel 52 Source : INSEE 53 Source : enquêtes emploi, INSEE 54 Recensement de la population, in «12,2 millions d actives et 14,3 millions d actifs», INSEE première n 749, Novembre Panel européen des ménages, in «Le travail à temps partiel féminin et ses déterminants», Economie et Statistique n ,

2 choisi. Mais le temps partiel peut aussi refléter des difficultés d intégration sur le marché du travail à temps plein dont l accès est plus difficile. D après l enquête Emploi, 42,3 % des femmes travaillant à temps partiel souhaiteraient travailler davantage, essentiellement occuper un emploi à temps plein. Cette part s est accrue depuis 1995, où elle s élevait à 36,4 %. Le temps partiel peut ainsi être «choisi» ou «subi». Alors que les femmes en temps partiel choisi sont correctement intégrées sur le marché du travail, les femmes qui ne l ont pas choisi subissent une précarité plus importante : elles perçoivent un salaire horaire moyen inférieur de 25 % à celui des actives à temps plein, 32 % travaillent en CDD, contre 8 % seulement des actives à temps plein, et 20 % d entre elles ont connu au moins six mois de chômage au cours des deux années précédant l enquête Emploi. La croissance du travail féminin accompagne le mouvement continu de tertiarisation de l emploi, lui-même lié à l essor des consommations immatérielles. Les effectifs féminins sont ainsi très fortement concentrés dans les secteurs de l éducation, de la santé et de l action sociale, des administrations, des services aux entreprises et aux particuliers : 64,6 % de la population féminine occupée en 2002, contre 38 % seulement de la population masculine occupée. Les conséquences du travail des femmes en matière de modes de vie et d aménagement du territoire sont considérables. Du fait de la nécessité pour les femmes de concilier les contraintes de la vie professionnelle et celles de la vie familiale (travail domestique, accompagnement scolaire ), les choix résidentiels des couples pourraient tendre à privilégier une proximité entre le domicile et le lieu de travail de la femme, de façon à réduire les temps de déplacements correspondants. Cette même nécessité peut conduire les femmes à refuser des emplois situés trop loin de leur domicile. Compte tenu de la relative dispersion de l habitat familial au regard de la concentration urbaine de l emploi, cela peut représenter une contrainte assez forte limitant les opportunités professionnelles des femmes en couple habitant dans le périurbain. La localisation des services employant des femmes a donc une influence cruciale sur les dynamiques urbaines et l aménagement du territoire. On observe en tous les cas que, chez les couples avec enfants où la femme est active, la distance entre le domicile et le travail de la femme était de 9,5 km en , contre 12,7 km pour l homme actif au sein d un couple. Les contraintes se répartissent donc différemment : conciliation entre vie professionnelle et affaires domestiques pour les femmes, distances de déplacements accrues pour les hommes. A l appui de cette hypothèse, la distance entre le lieu de travail et le lieu de domicile diminue avec le nombre d enfants chez les femmes actives : de 10 km pour un enfant à 8,5 km pour trois enfants et plus. A l inverse, la présence d enfants ne semble pas avoir d influence sur le lieu de travail de l homme, voire joue en sens inverse: la distance entre domicile et travail est de 11,8 km pour les hommes actifs au sein d un couple avec enfants, de 13,5 km dans les couples avec deux enfants. 56 Exploitation de l EGT , «jour de semaine», in «La mobilité comme révélateur de l évolution des modes de vie des femmes : vers la convergence des pratiques de mobilité hommes/femmes?», DREIF, Octobre

3 Structure des ménages et activité, de 1982 à 1999 :les conséquences de la féminisation du travail en Ile-de-France Couples biactifs 1,3 M 1,45 M 1,25 M Taux de couples biactifs parmi les familles avec couple 54,7 % 59,3 % 50,9 % Couples homme seul actif 0,65 M 0,49 M 0,46 M Taux de couples d inactifs 14,3 % 16 % 22,3 % Taux de couples homme inactif + femme active 2,9 % 4,3 % 7,9 % Source :RGP L accroissement du travail féminin s est également traduit, jusqu en 1990, par le développement de la bi-activité et des ménages où la femme seule est active 57, et l homme inactif, au sein des couples : le nombre de couples où l homme et la femme sont actives s est élevé de 1,3 à 1,45 million entre 1982 et 1990 en Ile-de-France. Les couples biactifs représentaient ainsi 34,4 % des ménages franciliens en Leur part est restée stable en dépit du fort accroissement du nombre total de ménages, du fait de l augmentation des personnes seules et des familles monoparentales. Leur part a par contre progressé au sein des familles avec un couple: 59,3 % des couples en 1990, contre 54,7 % en Au cours de la même période, le nombre de couples franciliens où l homme seul est actif s est abaissé de à , soit -24 %. Cependant, depuis 1990, on observe une rupture de tendance très nette en Ile-de-France: la biactivité recule, car les effets du chômage limitent ceux de la féminisation du travail. En effet, alors que le nombre de couples stagne en dépit de la poursuite de la croissance du nombre de ménages, dû pour l essentiel aux personnes isolées et aux familles monoparentales, sa structure change radicalement : les couples où les deux conjoints sont actifs ont fortement régressé de 1,45 à 1,25 million en 1999, soit de 59,3 à 50,9 % des familles franciliennes avec un couple, le nombre de couples où l homme et la femme sont inactifs a explosé, de en 1990 à en 1999, soit de 16 à 22,3 %, de même que le nombre de couples où l homme est inactif et la femme active, de à , soit de 4,3 à 7,9%. Répartition de la croissance des ménages entre 1982 et 1990 selon le type de ménages Paris Petite couronne Grande couronne Personnes seules 11,2 % 41,5 % 47,2 % Familles monoparentales 20,6 % 40,1 % 39,3 % Couples biactifs 4,2 % 14,4 % 81,4 % Source :RGP L essor des ménages de deux actifs a favorisé un modèle de développement urbain axé sur l expansion urbaine, la maison individuelle et l usage de la voiture individuelle. Ainsi, en Ile-de-France, les couples biactifs représentaient en ,9 % des ménages de la grande couronne, contre 21,8 % des ménages à Paris. Cette tendance se poursuit entre 1982 et 1990, où 81,4 % de la croissance des ménages biactifs s est portée sur la grande couronne. Ces derniers contribuaient à hauteur de 53 % à la croissance du nombre de ménages en 57 Source : RGP 82, 90, 99, sondages au 1/4 51

4 grande couronne. A titre de comparaison, la croissance des personnes seules et des familles monoparentales, tout aussi soutenue, était mieux répartie sur le territoire francilien : respectivement 11,2 et 20,6 % de ces augmentations captées par Paris, 41,5 et 40,1 % par la petite couronne, 47,2 et 39,3 % par la grande couronne. Répartition de la croissance des ménages entre 1990 et 1999 selon le type de ménages Paris Petite couronne Grande couronne Personnes seules 16,3 % 37,5 % 46,2 % Familles monoparentales 6,7 % 40,8 % 52,5 % Source : RGP Les effets de l éclatement des familles se poursuivent entre 1990 et 1999, avec l augmentation continue des personnes seules et des familles monoparentales. On observe toutefois que, entre 1990 et 1999, une part plus grande de l accroissement des personnes seules est absorbée par Paris, au détriment de la petite couronne, tandis que les familles monoparentales sont repoussées vers la grande couronne. Selon l ENL 2002, le taux de couples biactifs est reparti à la hausse : ils représentaient 53,1 % des couples franciliens en 2002, ce qui est cohérent avec la reprise économique constatée entre 1999 et Ce cycle haussier a cependant été de courte durée. La biactivité est une tendance de long terme liée à l entrée des femmes sur le marché du travail, qui a cependant atteint son point culminant en Elle est à la fois sensible aux variations de l emploi, et à l évolution des structures familiales. Depuis 1990, les effets combinés de l éclatement des familles et de la dégradation du marché de l emploi ont inversé la tendance : le nombre de familles reste globalement stable, mais les biactifs reculent au profit des monoactifs féminins et des couples d inactifs. Le ralentissement global de l activité économique et la crise du modèle familial traditionnel remettent en cause la possibilité pour les ménages de réaliser leur projet de maison individuelle et d accession à la propriété, bien que ces modes de vie restent prééminents dans les représentations et les valeurs. Ces tendances corroborent le ralentissement constaté de l accession à la propriété et sont susceptibles de freiner l expansion urbaine. Structure des ménages selon la couronne, et évolution au cours du temps Territoire Paris (%) Petite couronne (%) Grande couronne (%) Année Taux de couples biactifs 21,3 21,8 17,5 35,2 34,7 26,8 41,2 42,9 35 Taux de familles monoparentales 4,4 6,9 7,12 5,7 8,9 10,4 4,9 7,5 9,2 Taux de personnes seules 47,9 49,8 52,4 27,5 30,3 33,8 18,4 20,4 24,1 Source : RGP A l inverse de l accroissement des familles composées d actifs qui n a eu lieu qu entre 1982 et 1990, les effets de l éclatement des familles sont répartis sur l ensemble du territoire : le taux de personnes seules et de familles monoparentales augmente partout. Il en résulte qu une part plus grande de ses effets se situent en zone agglomérée et dans les territoires centraux denses, ce qui est à relier à la fois à la structure du parc de logements, à la rareté du foncier exploitable et aux règles urbaines contraignantes en zone centrale qui 52

5 ne permettent pas de monter facilement des opérations à un prix accessible susceptibles de répondre aux besoins des familles 58. La demande émanant des petits ménages y est donc plus naturellement satisfaite. Le travail des femmes, en diminuant le temps que les femmes peuvent consacrer aux activités domestiques, entraîne également l expansion des services domestiques monétarisés. Ainsi, plus de 85 % des ménages où vit au moins un enfant non scolarisé, dont la mère est active occupée, ont recours à une aide extérieure pour la garde de leurs enfants, et 67 % d entre eux font appel à un service payant 59, pour environ 30 heures par semaine. Même parmi les ménages dont tous les enfants sont scolarisés, deux tiers d entre eux ont recours à une aide extérieure en dehors des heures scolaires. Les gardes rémunérées sont particulièrement répandues quand la mère est cadre : 74,2 % contre 40,9 % des ouvrières. L importance de ces écarts s explique en fait à la fois par les ressources et le temps de travail plus élevés de cette catégorie socio-professionnelle, facteurs favorables à l externalisation des tâches domestiques : 75 % des ménages dont le revenu mensuel est supérieur à 2668 euros font appel à une garde rémunérée. Ces aides peuvent être de différentes natures : assistantes-maternelles (45 %), crèches, halte-garderies, garde à domicile. Plus globalement, au plan national, les services domestiques de proximité (aide domestique, aide aux enfants de moins de 11 ans) concernaient 25% des ménages actifs en % des ménages ont recours à des services domestiques monétarisés, qui représentent actuellement un marché de 6 milliards d et emplois équivalenttemps-plein, dont 3 milliards d pour la garde d enfants 60. La proportion de ménages d âge actif ayant eu recours à un service payant pour la garde des enfants s est fortement accrue, de 28 % en 1996 à 35 % en 1999, les dépenses correspondantes ont augmenté de 1,2 milliard d. Cette pratique est plus répandue en Ile-de-France puisqu en 1996, 35 % des ménages franciliens ayant des enfants de moins de 11 ans avaient recours à un service de garde rémunérée 61. Le recours à une aide rémunérée pour les enfants est beaucoup plus répandu parmi les couples biactifs (47 %) que parmi les autres couples (19 %). La solution de garde la plus répandue après les aides gratuites, qui reposent sur la vitalité des solidarités familiales, est le recours à une assistante maternelle (15 % des ménages d âge actif) tandis que l usage des crèches reste encore peu répandu (9 %), en relation avec la faiblesse de l offre publique. La consommation de services domestiques, résultant du développement de l activité féminine, est toutefois tributaire de l évolution des aides publiques, directes (Allocation de garde d enfants à domicile, Allocation parentale d éducation, modes de garde collectifs) ou indirectes (défiscalisation). Elle est d autre part inégale selon les groupes sociaux, les territoires et les conditions de travail. Les familles monoparentales sont celles qui éprouvent le plus de difficultés à concilier leurs responsabilités domestiques avec la nécessité financière d une intégration professionnelle, dans un contexte de précarisation de l emploi. Le recours aux crèches est plus répandu parmi les cadres supérieurs (16 %) ou les 58 Ceci rejoint le constat fait précédemment d une diminution de la taille des appartements construits depuis Enquête emploi du temps , in «Une analyse du recours aux services de garde d enfants», Economie et Statistique n , «Les services de proximité se développent au profit des enfants», INSEE première, n 704, mars 2000 ; «Faire garder ses enfants : ce que les ménages dépensent», INSEE première, n 481, août «Faire garder ses enfants : un choix contraint», Ile-de-France à la page, n 176, décembre

6 diplômés du supérieur (19%) et dans les zones urbaines : dans l agglomération parisienne, 21 % des parents utilisant un service de garde des enfants ont utilisé une crèche, contre 10 % en province. Les crèches, de fait, desservent mieux les zones urbaines que l habitat périurbain ou rural. A l inverse, les solidarités familiales sont plus actives chez les ménages moins diplômés ou aisés 62. Les modes de garde existants s avèrent parfois insuffisants, compte tenu des horaires de travail irréguliers ou décalés d une partie des femmes, travaillant dans les secteurs des services aux personnes et aux entreprises (restauration, nettoyage, secteur hospitalier ), de l inadaptation des horaires et des fréquences des transports, des heures d ouverture des commerces. Pour 39 % des femmes ayant cessé de travailler pour pouvoir s occuper de leur enfant, les horaires de travail étaient incompatibles avec la vie de famille 63. De plus, l accueil des très jeunes enfants est peu pris en charge par les structures collectives. Ces contraintes lourdes dans la gestion de la vie quotidienne peuvent conduire à des arbitrages difficiles entre vie professionnelle et vie familiale. Certaines femmes choisissent de privilégier la vie professionnelle au détriment de leur projet maternel et familial, d autres renoncent à avoir un emploi pour pouvoir s occuper de leurs enfants 64. C est le cas de 14 % des femmes 65. Cet arbitrage est plus souvent réalisé par des femmes ouvrières ou employées, ou de faible niveau de diplôme (52 % d entre elles seulement sont titulaires du bac, contre 70 % de celles qui choisissent de poursuivre leur activité) 66. Les conditions d intégration dégradées sur le marché du travail, au travers de contrats précaires ou mal payés, réduisent l intérêt financier de continuer à travailler pour les personnes n ayant pas les moyens financiers de recourir à une aide rémunérée. En effet, en restant à leur domicile, les femmes peuvent faire l économie des frais de garde et de transport, tout en bénéficiant de l Allocation parentale d éducation et de la Prime d accueil du jeune enfant. Ce motif financier est invoqué par 43 % des femmes ayant choisi d arrêter de travailler. Mais un tiers d entre elles le regrettent car il est plus difficile ensuite de retrouver du travail. 62 Enquête sur les conditions de vie et les aspirations des français, CREDOC, 1997, in «Les modes d accueil des jeunes enfants : choix ou nécessité?» 63 Source : DARES/CREDOC, exploitation de l enquête Emploi «Stratégies temporelles», in Diagonal, juillet-août Source : Ministère des Affaires Sociales. 66 Source : DARES/CREDOC, exploitation de l enquête Emploi

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