2.2. L évolution de la situation économique et financière dans la zone CEMAC
|
|
- Charlotte Lambert
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 2.2. L évolution de la situation économique et financière dans la zone CEMAC Taux de croissance du PIB en volume (en pourcentage) (a) Cameroun 2,3 3,2 3,9 3,5 Centrafrique 3,0 4,3 3,6 2,0 Congo 7,1 7,0 2,5 5,2 Gabon 3,0 1,3 5,1 1,9 Guinée Équatoriale 8,9 5,3 23,2 16,8 Tchad 8,6 0,3 1,8 0,8 CEMAC 3,7 3,2 4,6 4,0 (a) chiffres provisoires Source : BEAC Quoiqu en retrait par rapport à 2007, la croissance économique dans la zone CEMAC est demeurée soutenue, s établissant à 4 % en Le PIB réel du secteur pétrolier (y compris l industrie gazière) et le secteur non pétrolier ont crû de manière parallèle de 4,1 % et 3,9 % respectivement. Ce léger ralentissement de l activité économique est intervenu dans un contexte marqué par une baisse ( 1,2 %) de la production de pétrole moins marquée qu en 2007 ( 4,4 %) et une forte amélioration des termes de l échange (+ 15,9 %), en raison de la hausse, en moyenne annuelle, du prix des matières premières, notamment du pétrole. Les résultats des pays de la CEMAC en matière de croissance restent fortement dépendants des évolutions de la production pétrolière et gazière, qui représente près de 45 % du PIB nominal de la zone. La Guinée Équatoriale (+ 16,8 %) et le Congo (+ 5,2 %) ont ainsi enregistré des taux de croissance soutenus, en liaison avec l augmentation de leur production de gaz ou de pétrole brut. À l inverse, le Gabon, dont la production de pétrole s est contractée de 2,5 %, a enregistré un faible taux de croissance (1,9 %). Les performances macroéconomiques du Cameroun, qui représente plus du tiers du PIB de la CEMAC, sont demeurées stables (+ 3,5 % après + 3,9 %), tandis que la Centrafrique enregistrait un ralentissement significatif de son taux de croissance (+ 2,0 % contre + 3,6 % en 2007). L économie tchadienne, confrontée à un environnement sécuritaire instable et à une baisse de sa production de pétrole, s est contractée de 0,8 % en 2008 après une croissance de 1,8 % l an passé. Les tensions inflationnistes se sont considérablement renforcées en 2008, reflétant la croissance des prix alimentaires et de l énergie. L indice des prix à la consommation a ainsi augmenté de 5,9 % en moyenne annuelle, après 1,8 % en Accords entre le FMI et les pays de la CEMAC au 30 juin 2009 (en millions de DTS) Type d accord Mise en place Expiration Montant approuvé Montant non décaissé Cameroun FRPC 24/10/ /01/ ,57 0 Cameroun FCE 02/06/ ,9 0 Centrafrique FRPC 22/12/ /06/ ,6 34,42 Congo FRPC 08/12/ /12/2011 9,72 7,31 Gabon Acc. confirmation 07/05/ /05/ ,2 77,2 Tchad FRPC 16/02/ /05/ ,2 21,0 Source : FMI BANQUE DE FRANCE Rapport Zone franc
2 S agissant des relations financières internationales, plusieurs pays de la sous-région ont recommencé à recourir aux facilités du FMI afin de faire face à la crise alimentaire, puis, fin 2008 et au cours du premier semestre 2009, pour faire face à la crise économique globale. Le Cameroun bénéficie ainsi d une FCE (facilité de protection contre les chocs exogènes) depuis juillet La FRPC (facilité pour la réduction de la pauvreté et la croissance) en faveur du Tchad a expiré en 2008 mais une requête pour un programme de référence (ISPE sans financement) est en cours d examen. Le Congo bénéficie aussi d une FRPC depuis décembre 2008 et le Gabon d un accord de confirmation depuis mai Le montant de la FRPC de la Centrafrique, approuvée en décembre 2006, a été augmenté en juin 2008 (DTS 8,4 millions), puis de nouveau en juin 2009 (DTS 25,1 millions) pour atteindre DTS 69,6 millions, soit 125 % du quota L'activité Comptes nationaux des pays de la CEMAC Agrégation des comptes nationaux des 6 pays de la CEMAC (en milliards de francs CFA courants) (a) RESSOURCES , , , ,7 PIB (au prix du marché) , , , ,5 Importations de biens et services 7 872, , , ,1 Biens 4 215, , , ,2 Services 3 656, , , ,9 EMPLOIS , , , ,7 Consommation finale , , , ,0 Publique 1 664, , , ,1 Privée , , , ,0 Formation brute de capital fixe (b) 5 842, , , ,4 Exportations de biens et services , , , ,2 Biens , , , ,6 Services 661,7 721,0 768,0 833,6 Épargne Intérieure Brute , , , ,5 Capacité (+) ou besoin (-) de financement 5 288, , , ,1 Revenus des facteurs 4 022, , , ,6 Épargne intérieure nette 7 108, , , ,9 Taux d'investissement (en %) (b) 24,1 26,8 29,5 28,8 Variation en pourcentage Taux de croissance du PIB en volume 3,7 3,2 4,6 4,0 Indice des prix à la consommation en moyenne annuelle 2,9 5,2 1,8 5,9 Indice des prix à la consommation en glissement annuel 3,2 3,2 3,0 7,5 (a) chiffres provisoires (b) y compris variations de stocks Source : BEAC S appuyant sur la hausse de la consommation, grâce à celle des revenus pétroliers, et sur une progression de l investissement, la croissance du PIB réel de la CEMAC s est établie à 4 %, contre 4,6 % en La croissance de la CEMAC a ainsi été principalement soutenue par le secteur non pétrolier, qui a contribué à hauteur de 3,2 points à l augmentation du PIB réel. L activité économique n a, en revanche, bénéficié que d une contribution modeste du secteur pétrolier (0,8 point). Si la production de pétrole brut est revenue de 52,2 millions de tonnes en 2007 à 51,6 millions de tonnes en 2008, soit un recul de 1,1 % en volume, le secteur des hydrocarbures a, toutefois, bénéficié d une forte augmentation de la production de gaz liquéfié en Guinée Equatoriale, et d une hausse de 24,4 % de ses prix moyens à l exportation (exprimés en francs CFA). Les volumes extraits ont sensiblement reculé au Gabon ( 2,5 %) et au Tchad 60 BANQUE DE FRANCE Rapport Zone franc 2008
3 ( 11 %) et sont restés stables au Cameroun. Ils ont fortement augmenté au Congo (+ 6,4 %), grâce à une meilleure valorisation des champs existants et la mise en exploitation de gisements nouveaux. Au total, la Guinée Équatoriale reste le premier producteur de la Zone franc, avec 17,4 millions de tonnes, devant le Gabon (11,8), le Congo (11,7), le Tchad (6,5) et le Cameroun (4,3). Le pétrole en zone CEMAC Production 2008 (en millions de tonnes) En pourcentage de la production africaine Part du PIB pétrolier dans le PIB 2008 Exportations pétrolières en % des exportations 2008 Recettes pétrolières en % des recettes budgétaires 2008 Guinée Équatoriale (1) 17,4 3,7 91,2 99,3 95,0 Gabon 11,8 2,4 50,3 76,4 65,5 Congo 11,7 2,6 60,9 93,5 86,5 Tchad 6,5 1,5 46,0 88,5 78,7 Cameroun 4,3 0,9 10,7 52,2 37,1 Total CEMAC 51,6 10,6 45,2 85,8 73,7 (1) compris méthanol et autres gaz Sources : BEAC, BP (BP Statistical Review of World Energy, juillet 2009) Le secteur primaire a contribué à la croissance à hauteur de 0,2 point, grâce à la bonne tenue des productions vivrières et maraîchères, notamment au Cameroun. L apport des cultures d exportation à la croissance est resté modeste en 2008, du fait d un nouveau recul des récoltes de coton ( 3,8 % après 15,4 % en 2007) et d une baisse de la production du café ( 11,1 %), partiellement compensés par la légère augmentation de la production de cacao (+ 1,8 %). Dans le secteur de la sylviculture, la forte baisse de la demande mondiale s est traduite par une chute significative de la production de grumes et de bois débités ( 11,6 %), dans l ensemble des pays de la sous-région, à l exception de la Centrafrique, dont la baisse de production a été plus tardive. L apport des industries minières (hors hydrocarbures) a été marginal en 2008, compte tenu de l évolution défavorable de la demande mondiale pour la plupart des matières premières, à l exception du manganèse. Le secteur secondaire est demeuré dynamique en 2008, son apport à la croissance s élevant à 2,2 points (contre 2,3 points en 2007), reflétant avant tout la forte croissance de la production de gaz liquéfié en Guinée Equatoriale. Les industries manufacturières ont soutenu la croissance à hauteur de 0,4 point, reflétant l importance des programmes d investissement mis en œuvre par les entreprises pour étendre leurs capacités de production, notamment dans le secteur pétrolier et agro-alimentaire. La contribution du secteur du bâtiment et des travaux publics (BTP) s est établie à 0,6 point, en liaison avec les travaux d aménagement et de réhabilitation des réseaux routiers et ferroviaires. Dans le secteur tertiaire, les bonnes performances enregistrées dans les activités commerciales, de transport et de télécommunication ont permis de soutenir la croissance à hauteur de 1,9 point. Ce secteur a tout particulièrement profité de la vigueur de la demande intérieure, comme l illustre la poursuite du développement de la téléphonie mobile. Le taux d investissement s est établi à 28,8 % du PIB en 2008, en léger retrait par rapport à 2007 (29,5 %), mais demeure à un niveau supérieur à celui des années précédentes, grâce essentiellement au dynamisme des investissements privés, en particulier dans les secteurs pétrolier (investissements d exploration et de développement), télécommunication et agro-alimentaire. BANQUE DE FRANCE Rapport Zone franc
4 L inflation Évolution des indices des prix à la consommation (en moyenne annuelle en pourcentage) (a) Cameroun 1,9 5,1 1,1 5,3 Centrafrique 2,9 6,6 1,0 9,3 Congo 2,5 4,7 2,5 5,3 Gabon 0,2 4,0 4,8 5,3 Guinée Équatoriale 5,0 5,0 5,5 6,0 Tchad 7,9 8,1 7,4 8,3 CEMAC en moyenne annuelle 2,9 5,2 1,8 5,9 CEMAC en glissement 3,2 3,2 3,0 7,5 Déflateur du PIB (variation annuelle) 20,0 8,5 0,5 13,0 (a) chiffres provisoires Source : BEAC Après une sensible atténuation de la progression des prix en 2007, les pays de la CEMAC ont connu une forte augmentation des tensions inflationnistes en L indice des prix à la consommation des ménages est ressorti en hausse de 5,9 % en moyenne annuelle, après 1,8 % en Cette remontée de l inflation, significativement supérieure à la norme communautaire fixée en matière de convergence (3 %), a concerné l ensemble des pays de la sous-région mais les tensions inflationnistes ont été particulièrement fortes dans les pays enclavés, comme le Tchad et la Centrafrique. Cette évolution reflète la forte croissance, d une part, des prix alimentaires, sous l effet d une pénurie mondiale de certaines denrées de base (blé, riz) et de goulots d étranglement sur les marchés locaux de denrées (coût du transport) et, d autre part, de ceux de l énergie, sous l effet d une répercussion progressive de la hausse des cours mondiaux du pétrole. Cette poussée inflationniste a toutefois été atténuée en fin d année par le mouvement de dépréciation du dollar vis-à-vis de l euro notamment, qui a modéré la croissance des prix importés au cours du deuxième semestre de Les finances publiques Dans un contexte marqué par une forte hausse des recettes pétrolières, les finances publiques des pays de la CEMAC se sont une nouvelle fois globalement améliorées. L excédent budgétaire base engagements, hors dons, a atteint 11,5 % du PIB, contre 8,2 % en Compte tenu de son instabilité politique, la Centrafrique continue toutefois de présenter une situation budgétaire tendue, avec un déficit base engagements, hors dons, de 4,8 % en 2008, contre 3 % en Les recettes totales, hors dons, ont progressé de 33,1 % par rapport à l exercice 2007, du fait de l augmentation des recettes pétrolières (+ 46,5 %) consécutive à la forte hausse des prix pétroliers pendant la première partie de l année. Les recettes pétrolières ont ainsi représenté près de 74 % des recettes budgétaires totales en 2008 (68 % en 2007). La hausse des recettes non pétrolières a été modérée (6 % en 2008), les allégements de la fiscalité indirecte sur les denrées alimentaires compensant partiellement les efforts entrepris par les autorités pour améliorer la mobilisation des ressources fiscales. Au total, le taux de pression fiscale s est établi à 32,9 % du PIB (29,1 % en 2007). Les dépenses budgétaires se sont inscrites en hausse de 20,7 %, en nette accélération par rapport à l exercice précédent (+ 14,4 %). Cette progression a été tirée par les dépenses courantes, qui ont augmenté de 13,8 %, en liaison, notamment, avec la hausse des salaires et traitements (+ 16,6 %). 62 BANQUE DE FRANCE Rapport Zone franc 2008
5 Tableau des opérations financières de la CEMAC Agrégation des TOFE des 6 pays de la CEMAC (en milliards de francs CFA courants) (a) RECETTES TOTALES 6 189, , , ,9 Recettes 6 030, , , ,0 Recettes non pétrolières 2 159, , , ,2 Recettes pétrolières 3 871, , , ,8 Dons extérieurs (dont annulations PPTE et IADM) 159, ,5 166,2 172,9 DÉPENSES TOTALES ET PRÊTS NETS 4 052, , , ,6 Dépenses courantes 2 850, , , ,6 Salaires 920,9 968, , ,0 Intérêts 436,8 450,7 293,9 332,2 Intérêts sur la dette intérieure 85,1 78,2 66,3 84,4 Intérêts sur la dette extérieure 351,7 372,5 227,7 247,8 Autres dépenses courantes 1 492, , , ,5 Dépenses en capital 1 182, , , ,5 Dépenses budgétaires 949, , , ,0 Dépenses financées sur emprunts extérieurs 233,2 240,6 267,4 256,5 Dépenses de restructuration 19,8 24,3 6,8 34,7 Prêts nets 0,0 5,0 17,8 11,7 SOLDE PRIMAIRE (hors dons) (1) 2 647, , , ,1 SOLDE BASE ENGAGEMENTS (dons compris) (2) 2 136, , , ,3 ARRIÉRÉS 207,9 302, , ,0 Arriérés intérieurs 144,4 299,3 230,9 312,0 Arriérés extérieurs 63,6 3, , ,0 SOLDE (base caisse) (3) 1 928, ,6 952, ,4 FINANCEMENT 1 928, ,6 952, ,4 Financement Intérieur 1 687, , , ,5 Bancaire 1 125, ,7 973, ,4 Non bancaire 561, , , ,0 Financement Extérieur 241, , ,6 175,1 Tirages sur emprunts 142,5 166,9 610,0 152,7 Amortissements sur emprunts dette extérieure 827, ,0 604, ,1 Réaménagement de la dette extérieure 443,4 424, , ,5 Divers 0,0 0,0 2,4 0,0 PIB nominal , , , ,5 En pourcentage du PIB Recettes totales (hors dons) 24,9 29,3 29,1 32,9 Dépenses courantes 11,8 12,4 12,8 12,4 Solde : budgétaire de base (4) 9,1 11,0 9,1 12,3 base engagements (dons compris) 8,8 19,0 8,8 12,0 base caisse 8,0 17,9 3,3 6,6 (a) chiffres provisoires (1) Solde primaire = recettes dépenses courantes (hors intérêts sur dette publique) dépenses en capital (hors celles financées sur ressources extérieures) dépenses de restructuration prêts nets (2) Solde (base engagements) = recettes totales (y c. dons) dépenses totales (3) Solde (base caisse) = Solde (base engagements) + arriérés (4) Solde budgétaire de base = Recettes totales (hors dons) Dépenses totales (hors investissements financés sur recettes extérieures) Source : BEAC BANQUE DE FRANCE Rapport Zone franc
6 Compte tenu de l importance des projets de réhabilitation des infrastructures dans certains pays, les dépenses en capital ont connu une forte accélération (+ 31,7 %), portant le taux d investissement public (hors financements sur ressources extérieures) à un niveau élevé de 8,2 % du PIB après 6 % du PIB en Le service de la dette, notamment extérieure, s est accru de 13 % en un an, après la forte décrue observée en 2007, suite aux réaménagements de dettes opérés cette année-là. Les dépenses de transferts et subventions ont également augmenté de 16,5 %, en raison de l augmentation des subventions intérieures directes ou indirectes aux prix de détail des produits pétroliers. L excédent du solde primaire s est établi à 13,3 % du PIB, après 10,2 % en Le solde budgétaire base engagements (dons compris) a atteint FCFA milliards. Au total, l amélioration de la situation financière de la majorité des États de la CEMAC a permis d accélérer l apurement des arriérés extérieurs. Ceux-ci ont été réduits de FCFA milliards au cours de l exercice, à la suite notamment de l opération de réaménagement de sa dette par le Congo vis-à-vis du Club de Londres. Le solde base caisse est ressorti en excédent, s établissant à FCFA 2 208,4 milliards. Cette évolution a permis aux États de poursuivre leur désendettement intérieur, à l égard tant du secteur non bancaire (à hauteur de FCFA milliards) que du secteur bancaire (à hauteur de FCFA milliards) La balance des paiements En 2008, le solde du compte courant est redevenu fortement excédentaire (+ 3,1 % du PIB, après un déficit de 0,7 % en 2007). Cette évolution reflète avant tout l amélioration de l excédent commercial (+ 23,6 %) alors que les soldes de la balance des services et des revenus ont continué à se détériorer. Les exportations pétrolières ont augmenté de 22,7 % en valeur, du fait de la forte progression (+ 24,4 %) des prix moyens à l exportation dont l effet a dominé celui de la baisse des volumes extraits ( 1,1 %). La forte progression des exportations de manganèse (+ 134 %) a globalement compensé la baisse des exportations des autres matières premières, en particulier du bois et du coton. De leur côté, les importations se sont accrues de 16,7 %, du fait principalement de la forte progression des importations de produits pétroliers raffinés. Le déficit de la balance des services s est aggravé, reflétant le dynamisme des télécommunications et la poursuite des programmes d investissements du secteur pétrolier en matière d exploration et de développement au Cameroun, au Congo et en Guinée Équatoriale. Les dépenses en matière de fret et d assurance (+ 12,4 %, à FCFA 1 316,3 milliards) et les prestations de services aux entreprises privées (+ 11,9 %, à FCFA milliards) ont ainsi été à l origine de l essentiel de l accroissement du déficit de la balance des services. L alourdissement du déficit de la balance des revenus (+ 16,9 %, à FCFA milliards) traduit la forte progression des versements aux compagnies pétrolières au titre des contrats d exploitation pétroliers. 64 BANQUE DE FRANCE Rapport Zone franc 2008
7 L excédent du compte de capital et d opérations financières s est légèrement contracté, revenant de FCFA 1 402,5 milliards en 2007 à FCFA 1 242,1 milliards en Cette évolution reflète une régression des investissements directs étrangers nets (FCFA milliards) après le niveau exceptionnellement élevé atteint en 2007 (FCFA milliards). Balance des paiements des pays de la CEMAC Agrégation non- consolidée des balances des paiements des 6 pays de la CEMAC (en milliards de francs CFA courants) (a) TRANSACTIONS COURANTES 1 438,0 891,5 188, ,9 Balance commerciale 8 283, , , ,4 Exportations FOB , , , ,6 Importations FOB 4 215, , , ,2 Balance des services 2 994, , , ,3 Balance des revenus 4 022, , , ,6 Balance des transferts courants 171,7 213,2 132,6 100,4 COMPTE DE CAPITAL ET D'OPÉRATIONS FINANCIÈRES 185,1 538, , ,1 Compte de capital (b) 125, ,1 139,0 252,1 Publics (nets) 81, ,5 94,1 206,7 Privés (nets) 44,1 44,5 45,0 45,4 Comptes financiers (b) 310, , ,5 990,0 Investissements directs (nets) 929, , , ,5 Dont secteur pétrolier 248,2 735,3 929, ,6 Investissements de portefeuille (nets) 0,2 71,8 38,0 4,3 Autres investissements (nets) 1 239, ,9 720,0 542,1 ERREURS ET OMISSIONS 230,7 135,9 410,3 192,4 SOLDE GLOBAL 1 022, ,0 804, ,6 FINANCEMENT 1 022, ,0 804, ,6 Variations des réserves officielles (baisse : +) 1 402, ,7 769, ,1 Financements exceptionnels 379,8 421,7 34,6 127,6 Variation des arriérés extérieurs (baisse : ) 63,3-3, , ,0 Rééchelonnements et annulations de dettes 443,4 424, , ,5 Exportations/Importations (%) (a) chiffres provisoires (b) Le compte de capital (entrées de capitaux) et d opérations financières (amortissements de la dette) enregistre, en cohérence avec les traitements adoptés par le FMI, les annulations de dettes réalisées au titre des initiatives PPTE et IADM. Pour le détail des réaménagements, on pourra se reporter aux rapports annuels 2006 et Source : BEAC Au total, l excédent global de la balance des paiements a atteint FCFA 2 084,6 milliards en 2008, en augmentation de 159 % par rapport à Ces ressources ont permis d augmenter les réserves officielles à hauteur de FCFA milliards. BANQUE DE FRANCE Rapport Zone franc
8 La dette extérieure Dette extérieure des pays de la CEMAC (hors Guinée Équatoriale) (encours en millions de dollars) DETTE À COURT ET LONG TERME , , , ,3 Dette à long terme , , , ,7 Dette publique garantie , , , ,7 Dette privée non garantie 632,0 592,0 489,0 636,0 Recours aux crédits FMI 603,1 481,9 211,1 183,4 Dette à court terme 2 046, , , ,2 dont arriérés d'intérêts sur dette à long terme 1 267, , , ,2 Pour mémoire Arriérés sur principal de dette à long terme 3 260, , , ,4 Indicateurs de dette (en pourcentage) Dette totale / exportations biens et services 172,6 109,9 78,7 75,2 Dette totale / PIB 74,2 50,7 37,8 34,5 Service de la dette/ exportations biens et services 8,0 6,1 4,0 3.8 Service de la dette / recettes budgétaires Dette multilatérale / dette totale 182,1 187,1 179,0 181,7 Sources : Banque mondiale et BEAC L encours de la dette extérieure des pays de la CEMAC (hors Guinée Équatoriale) s est stabilisé à fin 2007 pour s établir à USD 16,8 milliards, soit 34,5 % du PIB (37,8 % en 2006). Cette évolution traduit, pour l essentiel, les réaménagements de dette obtenus en 2007 par le Congo dans le cadre des initiatives PPTE et IADM. La diminution de l endettement extérieur des pays de la CEMAC a été ainsi significative en 2007 et 2008 à la suite en particulier du réaménagement de la dette du Congo et de l opération de remboursement anticipé de la dette du Gabon effectuée fin 2007-début Le stock de dette extérieure rapporté au PIB se réduirait ainsi de l ordre de 5 points de PIB à fin 2008, selon les estimations de la BEAC L intégration régionale Instituée par le Traité du 16 mars 1994, la CEMAC a pour vocation de compléter la coopération monétaire existante par la constitution d un espace économique unifié, fondé sur l harmonisation graduelle des politiques économiques et de l environnement juridique. Lors du sommet de N Djamena d avril 2007, les Chefs d État se sont prononcés en faveur de réformes destinées à refonder les institutions régionales. Une Commission a remplacé le Secrétariat Exécutif, composée d un commissaire par État membre et dirigée par un Président assisté d un Vice-Président, tous deux désignés par la Conférence des Chefs d État. Un Comité de Politique Monétaire a par ailleurs été institué. Il est désormais l organe de décision de la BEAC en matière de politique monétaire et de gestion des réserves de change. Il s est réuni pour la première fois en janvier Cf BANQUE DE FRANCE Rapport Zone franc 2008
9 La surveillance multilatérale des politiques macroéconomiques est assurée par la Commission de la CEMAC. La Directive du 3 août 2001 a fixé quatre critères et indicateurs macroéconomiques de convergence : le solde budgétaire de base rapporté au PIB doit être supérieur ou égal à zéro ; la dette publique rapportée au PIB ne doit pas excéder 70 % ; de nouveaux arriérés, tant intérieurs qu extérieurs, ne doivent pas être accumulés ; le taux d inflation, en moyenne annuelle, ne doit pas excéder 3 %. Le respect de ces critères, à l exception de celui relatif au taux d inflation, qui est d application immédiate, devait être obtenu à l horizon du 31 décembre Cette échéance n a toutefois pas été respectée et devra donc être reportée. Par ailleurs, chaque État doit transmettre à la Commission de la CEMAC, au plus tard le 31 juillet de chaque année, un programme triennal de convergence, qui doit conduire par étape au respect des critères de surveillance. Toutefois, seuls les programmes du Cameroun et du Gabon ont été transmis. L examen de la situation de la convergence, au 31 décembre 2008, met en relief une dégradation en matière de respect des critères de surveillance multilatérale par les pays membres : aucun pays ne respecte les quatre critères et aucun ne respecte le critère d inflation alors qu un seul État membre, le Cameroun, remplissait les quatre conditions l année précédente. À l exception du Congo, aucun pays de la CEMAC n enregistre une amélioration de ses performances en matière de convergence en Position indicative 2 des États par rapport aux critères de la surveillance multilatérale (Résultats au 31 décembre 2008) Critères de surveillance Cameroun RCA Congo Gabon Guinée Équatoriale Tchad Taux d inflation annuel moyen Solde budg. de base positif ou nul Variation arriérés Dette publique totale sur PIB nominal Nombre de critères respectés 4 / 4 3 / 4 2 / 4 1 / 4 2 / 4 3 / 4 3 / 4 3 / 4 3 / 4 3 / 4 3 / 4 3 / 4 + = respecté ; = non respecté Source : Secrétariat Exécutif de la CEMAC, avril 2009 Dans le domaine de la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, le dispositif mis en place dans la sous-région est animé par le groupe anti-blanchiment d Afrique centrale (GABAC), institué en 2001 et opérationnel depuis début Si les États de la CEMAC ont tous désormais formellement établi des Agences nationales d investigation financière (ANIF), deux d entre elles seulement (au Cameroun et au Gabon) sont, pour l instant, réellement opérationnelles. 2 Etablie sur la base de chiffres provisoires susceptibles de modifications. BANQUE DE FRANCE Rapport Zone franc
10 Les perspectives pour 2009 D après les prévisions de la BEAC, la situation macroéconomique des pays de la CEMAC en 2009 devrait être affectée par les effets du ralentissement global de l activité économique. Le taux de croissance du PIB, en termes réels, reviendrait à 2,1 %, après 4 % en Ces projections se fondent sur une stabilisation du secteur pétrolier, dont le PIB réel cesserait de progresser (contre + 4,1 % en 2008), ce qui se traduirait par une contribution nulle à la croissance globale (contre 0,8 point en 2008). Le recul de la production pétrolière ( 1,9 %) serait en effet compensé par une nouvelle hausse de la production de méthanol (+ 86,4 %). La croissance du secteur non pétrolier, ramenée à 2,6 %, serait la plus faible depuis 1999, sa contribution à la croissance revenant à 2,1 points en 2009, contre 4 points en En ce qui concerne l évolution des prix, les tensions inflationnistes devraient s atténuer en 2009, compte tenu de la baisse des prix alimentaires et de la transmission graduelle sur les marchés intérieurs de la baisse des prix de l énergie intervenue sur les marchés mondiaux. L indice des prix à la consommation progresserait ainsi de 4,0 % en moyenne annuelle, après 5,9 % en BANQUE DE FRANCE Rapport Zone franc 2008
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailPoint de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du premier semestre 2014 en zone CEMAC
Point de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du premier semestre 2014 en zone CEMAC Commission de la CEMAC Département des Politiques Economique, Monétaire et Financière Direction des
Plus en détailPoint de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du second semestre 2013 en zone CEMAC
Point de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du second semestre 2013 en zone CEMAC Commission de la CEMAC Département des Politiques Economique, Monétaire et Financière Direction des
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailTD n 1 : la Balance des Paiements
TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.
Plus en détailLa comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements
La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements Identité fondamentale: Y= C + I + G + EX - IM Y: PIB (Produit Intérieur Brut) C: Consommation I: Investissement G: Dépenses
Plus en détailLe FMI et son rôle en Afrique
Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailGABON. Caractéristiques géographiques et humaines. Économie (2010) Indicateurs de développement. Accords internationaux
GABON Caractéristiques géographiques et humaines Superficie : 267 667 km 2 Population : 1,5 million d habitants. Densité : 6 habitants/km 2. Part de la population urbaine : 85,5 %. Taux de croissance démographique
Plus en détailSITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE
SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation
Plus en détailCote d Ivoire: Progrès et Défis de l après-crise
19 AVRIL 2012 SON EXCELLENCE MONSIEUR CHARLES KOFFI DIBY, MINISTRE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Cote d Ivoire: Progrès et Défis de l après-crise Séminaire «Marchés de la Prochaine Génération», JP Morgan
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailPerspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010
Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détailFINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC
FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------ RAPPORT SEMESTRIEL D'EXECUTION DE LA SURVEILLANCE MULTILATERALE
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------ RAPPORT SEMESTRIEL D'EXECUTION DE LA SURVEILLANCE MULTILATERALE Juin 2014 1 TABLE DES MATIERES Résumé... 5 INTRODUCTION...
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailEnquête sur les perspectives des entreprises
Enquête sur les perspectives des entreprises Résultats de l enquête de l été 15 Vol. 12.2 6 juillet 15 L enquête menée cet été laisse entrevoir des perspectives divergentes selon les régions. En effet,
Plus en détailREPUBLIQUE DU BENIN. Fraternité-Justice-Travail -@@@ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DES PROGRAMMES DE DENATIONNALISATION -@@@
REPUBLIQUE DU BENIN Fraternité-Justice-Travail -@@@ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DES PROGRAMMES DE DENATIONNALISATION -@@@ DIRECTION GENERALE DES AFFAIRES ECONOMIQUES -@@@ DIRECTION DE LA PREVISION
Plus en détailÀ Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires
POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse
Plus en détailTABLE DES MATIERES. iii
RAPPORT DU COMITE DE POLITIQUE MONETAIRE N 1/2014 ii TABLE DES MATIERES LISTE DES ACRONYMES... iv RESUME ANALYTIQUE... v 1. ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE INTERNATIONAL... 1 1.1. Croissance du PIB mondial...
Plus en détailPERSPECTIVES ECONOMIQUES DES ETATS DE L'UNION ECONOMIQUE ET MONÉTAIRE OUEST AFRICAINE EN 2010
PERSPECTIVES ECONOMIQUES DES ETATS DE L'UNION ECONOMIQUE ET MONÉTAIRE OUEST AFRICAINE EN 2010 VULNERABILITE DES COMPTES COURANTS DANS LE CONTEXTE DE LA CRISE FINANCIERE INTERNATIONALE TABLE DES MATIERES
Plus en détail75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010
75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en
Plus en détailProgramme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local?
Le 3 juillet 2014 Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local? Guy Gilbert * et Alain Guengant ** Les résultats qui suivent sont obtenus sous l hypothèse que les comportements
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailLe présent chapitre porte sur l endettement des
ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailPlan National de Développement CONGO 2012-2016
REPUBLIQUE DU CONGO Unité * Travail * Progrès --------------- MINISTERE DE L ECONOMIE, DU PLAN, DE L AMMENAGEMENT DU TERRITOIRE ET DE L INTEGRATION MINISTERE DES FINANCES, DU BUDGET ET DU PORTEFEUILLE
Plus en détailROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES
ROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES www.oc.gov.ma 2007 La reproduction des informations contenues dans la présente publication est autorisée sous réserve d en mentionner expressément la source. 1 TABLE
Plus en détailREGLEMENT N 07/2006/CM/UEMOA PORTANT ADOPTION DES MODALITES DE CALCUL DU SOLDE BUDGETAIRE DE BASE CORRIGE DES RESSOURCES PPTE ET DES DONS BUDGETAIRES
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------------- LE CONSEIL DES MINISTRES REGLEMENT N 07/2006/CM/UEMOA PORTANT ADOPTION DES MODALITES DE CALCUL DU SOLDE BUDGETAIRE DE BASE CORRIGE
Plus en détailNOTE D INFORMATION N 127 À substituer à la note d information n 106 LA ZONE FRANC
NOTE D INFORMATION N 127 À substituer à la note d information n 106 LA ZONE FRANC La Zone franc constitue un espace monétaire, économique et culturel sans équivalent dans le monde. Cet ensemble, formé
Plus en détailLes questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont
CHAPITRE 1 LES FACTEURS STRUCTURELS DE LA HAUSSE DE L ENDETTEMENT PUBLIC DANS LES PAYS AVANCÉS Les questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont revenues au cœur
Plus en détailL incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1
Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada
Plus en détailIsabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr
Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr Jean-Christophe BERGE Tél : 01 55 34 40 13 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : jcberge@fcl.fr Ville de Gisors 24 juin 2014 87 rue St-Lazare
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détailBanque de la République d Haïti. Bulletin Statistique 36 Juillet - Septembre 2000
Banque de la République d Haïti Bulletin Statistique 36 Juillet - Septembre 2000 Table des matières Avertissement...5 I- Statistiques monétaires et financières Tableau 1.1 Principaux indicateurs monétaires...10
Plus en détailANNULATION DE LA DETTE EXTÉRIEURE POUR LES PAYS TOUCHÉS PAR LA MALADIE À VIRUS EBOLA
ANNULATION DE LA DETTE EXTÉRIEURE POUR LES PAYS TOUCHÉS PAR LA MALADIE À VIRUS EBOLA Janvier 2015 Annulation de la dette extérieure pour les pays touchés par la maladie à virus Ébola ANNULATION DE LA
Plus en détailInvestissement en capital dans la transformation alimentaire canadienne
PROGRAMME DE RECHERCHE SUR LE SECTEUR DE LA TRANSFORMATION ALIMENTAIRE PROGRAMME DE RECHERCHE DE LA TRANSFORMATION ALIMENTAIRE / PROJET 6A PROJET 6a : CONNAISSANCES EN MATIÈRE D INNOVATION Investissement
Plus en détailLes Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales
1 Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales Gilles TESTUD, ECOFINANCE Frédéric ric DUPUIS, DEXIA CL Réunions avec les élus du Territoire de Belfort 07 juin 2012 Sommaire 2 1. Introduction
Plus en détailLe compte administratif 2012 de la Région Alsace. Avis
Le compte administratif 2012 de la Région Alsace Avis 24 juin 2013 Avis Le compte administratif 2012 de la Région Alsace Avis du 24 juin 2013 Vu la Loi n 82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés
Plus en détailBANQUE DE DEVELOPEMENT DES ETATS DE L AFRIQUE CENTRALE B.D.E.A.C. RAPPORT ANNUEL
BANQUE DE DEVELOPEMENT DES ETATS DE L AFRIQUE CENTRALE B.D.E.A.C. RAPPORT ANNUEL 32 e EXERCICE SOCIAL 2008 Nos coordonnées BRAZZAVILLE République du Congo B.P. 1177 Tél. : (242) 281 18 85 (242) 652 96
Plus en détailDans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude
localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective
Plus en détailCOMPTES D OPÉRATIONS MONÉTAIRES
R É P U B L I Q U E F R A N Ç A I S E COMPTES SPÉCIAUX RAPPORTS ANNUELS DE PERFORMANCES ANNEXE AU PROJET DE LOI DE RÈGLEMENT DES COMPTES ET RAPPORT DE GESTION POUR 2007 COMPTES D OPÉRATIONS MONÉTAIRES
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détailCameroun : les enjeux de la croissance. Macroéconomie & Développement. Introduction. Novembre 2012 / N o 6
Novembre 212 / N o 6 Macroéconomie & Développement Introduction Au début des années 197, sous l effet d une croissance spectaculaire du secteur pétrolier, le Cameroun a enregistré un décollage économique
Plus en détailRéunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire
Réunions publiques janvier 2013 Présentation du Débat d Orientation Budgétaire 7 février 2011 LE CONTEXTE Une économie mondiale très ralentie En zone Euro : des incertitudes autour de la crise de la dette
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailLES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO
LES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO La BCEAO dispose dans chaque Etat membre de l UEMOA, d une agence nationale et des agences auxiliaires. L agence nationale du Niger comprend trois représentations
Plus en détailTerritoires et Finances
Territoires et Finances Étude sur les finances des communes et des intercommunalités Bilan 2 14 et projections 215-217 214 : une forte baisse de l épargne brute et des investissements qui cristallisent
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de
Plus en détailPERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES
PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES La participation des communes au plan d économies initié par l Etat va modifier substantiellement les équilibres financiers des collectivités locales et notamment
Plus en détailCorefris RAPPORT ANNUEL 2011. Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France?
Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France? (DGTrésor) 1. Indépendamment de facteurs d offre et de demande, qui jouent indéniablement sur les prix,
Plus en détailTchad : Programme de référence : Lettre d intention, Mémorandum de politique économique et financière, et Protocole d accord technique
Fonds monétaire international Tchad : Programme de référence : Lettre d intention, Mémorandum de politique économique et financière, et Protocole d accord technique Le 22 juin 2009 On trouvera ci-après
Plus en détailTable des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1
Tableau de bord des indicateurs macro-économiques mai 2015 Table des matières Présentation générale Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Comptes et agrégats de la nation.... 2 Valeur ajoutée réelle
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailb ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)
b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de
Plus en détailMinistère de la Coopération Internationale, de l'intégration Régionale et de la Francophonie Ministère du Plan et de l Economie Ministère du Plan, de
Table des Matières RÉSUMÉ ANALYTIQUE... i I. CONTEXTE... 1 1. Situation politique et économique... 1 2. Situation actuelle de la dette publique... 3 3. Cadre institutionnel de gestion de la dette publique...
Plus en détailTrébeurden Synthèse financière
Jeudi 27 juin 2013 Trébeurden Synthèse financière Yvan Pellé Réunion publique Méthodologie (1) 2 Charges courantes ( personnel, fluides, entretien, contrats..) Excédent brut courant Produits courants (impôts,
Plus en détailPERTES ET BENEFICES DE CHANGE
ANALYSE DE L EXECUTION DU BUDGET DE L ETAT PAR MISSION ET PROGRAMME EXERCICE 2012 COMPTE D OPERATIONS MONETAIRES PERTES ET BENEFICES DE CHANGE MAI 2013 Compte d opérations monétaires Pertes et bénéfices
Plus en détailSituation financière des ménages au Québec et en Ontario
avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur
Plus en détailRoyaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers
Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation
Plus en détailComité monétaire et financier international
Comité monétaire et financier international Vingt-neuvième réunion Le 12 avril 2014 Déclaration de M. Akagha-Mba, Ministre de l Économie et de la Prospective, Gabon Représentant les pays suivants : Bénin,
Plus en détailGROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT CAMEROUN : DOCUMENT D APPROBATION PPTE POINT D ACHÈVEMENT AU TITRE DE L INITIATIVE PPTE RENFORCÉE
GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT CAMEROUN : DOCUMENT D APPROBATION PPTE POINT D ACHÈVEMENT AU TITRE DE L INITIATIVE PPTE RENFORCÉE Juillet 2006 TABLE DES MATIÈRES Page Sigles et abréviations
Plus en détail3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties
IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 3C HAPITRE 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties 54 3 < L ÉVOLUTION MONÉTAIRE EN 2008 L ÉVOLUTION
Plus en détailChapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 décembre 2014 à 14:22 Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? Ce chapitre ne fait plus partie du programme, mais il est conseillé de
Plus en détailRessources pour le lycée général et technologique
Ressources pour le lycée général et technologique éduscol Sciences économiques et sociales - Terminale ES Enseignement spécifique Science économique Thème n 2 : Mondialisation, finance internationale et
Plus en détailPrésenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget
Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%
Plus en détailQu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs?
Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? En ces temps de crise économique et de crise des dettes souveraines (ou publiques), tous les hommes politiques de gauche comme de droite
Plus en détailBANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEPMENT FONDS AFRICAIN DE DEVELOPPEMENT REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE NOTE DE DIALOGUE 2005-2006
BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEPMENT FONDS AFRICAIN DE DEVELOPPEMENT REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE NOTE DE DIALOGUE 2005-2006 DEPARTEMENT PAR PAYS REGION CENTRE JANVIER 2006 SIGLES ET ABREVIATIONS TABLES DES
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailRAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014
RAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014 L équilibre général du budget primitif 2014 s est établi à 3 822,6 M, dont 2 790,9 M au titre de la section de fonctionnement et 1 031,7
Plus en détailDélibérations DOB 2014 du 18 octobre 2013
Délibérations DOB 2014 du 18 octobre 2013 1 CONSEIL GENERAL DU JURA Réunion du : 4ème trimestre 2013 Type : DOB 2014 Service : DMI/FINANCES Rapporteur : Christophe PERNY Thème : FINANCES - GARANTIES D'EMPRUNT
Plus en détailCrises financières et de la dette
Institut pour le Développement des Capacités / AFRITAC de l Ouest / COFEB Cours régional sur la Gestion macroéconomique et les questions de dette Dakar, Sénégal du 4 au 15 novembre 2013 S-2 Crises financières
Plus en détailL équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance
IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailCompte d exploitation 2012. Assurance vie collective.
Compte d exploitation 2012. Assurance vie collective. 2012 Votre assureur suisse. 1/12 Compte d exploitation Assurance vie collective 2012 2012: des résultats positifs et encore plus de transparence. Chère
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détailAUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS
AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS Le 4 février 2015 Jean-Pierre COBLENTZ Adel KARMOUS STRATORIAL FINANCES www.stratorial-finances.fr Tour GAMMA A 193 rue de Bercy
Plus en détailÉtudes. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages
Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Depuis 25 ans, la structure de l épargne financière des ménages a été singulièrement modifiée par l essor
Plus en détailTD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD
TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident
Plus en détailTests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections
Plus en détailwww.droit-afrique.com concessionnaire, le permissionnaire ou l amodiataire déclare avoir produites au cours du mois précédent.
concessionnaire, le permissionnaire ou l amodiataire déclare avoir produites au cours du mois précédent. Pour permettre l établissement des états de liquidation, une déclaration signée, affirmée sincère
Plus en détailObservation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus
Observation et Conjoncture Économique Économie Nationale approche par les revenus qu est ce que le Revenu? La rémunération des facteurs de production? Le capital Le travail La consommation intermédiaire
Plus en détailThème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale
Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités
Plus en détailINSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE. Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec
INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec Édition 2013 Pour tout renseignement concernant l ISQ et les données statistiques dont il dispose, s
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée Basé sur les notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables) Elle fait
Plus en détailAutomne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC
Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Automne 2014 Le point sur la situation économique et financière du québec NOTE La forme masculine utilisée dans le texte désigne
Plus en détailTendances sur le plan de l'épargne et du prêt net dans les comptes nationaux
N o 13-604-MIF au catalogue N o 049 ISSN: 1707-1844 ISBN: 0-662-70787-7 Document de recherche Comptes des revenus et dépenses série technique Tendances sur le plan de l'épargne et du prêt net dans les
Plus en détailNIGER PREMIERE REVUE DE L ACCORD TRIENNAL AU TITRE DE LA FACILITE ELARGIE DE
2013 Fonds monétaire international Juin 2013 Rapport du FMI n 13/104F PREMIERE REVUE DE L ACCORD TRIENNAL AU TITRE DE LA FACILITE ELARGIE DE CREDIT ET DEMANDE DE DEROGATION POUR LA NON-OBSERVATION D'UN
Plus en détailAudit financier rétro-prospectif de la Communauté d Agglomération du Pays d Aubagne et de l Etoile éléments clés. Septembre 2014
Audit financier rétro-prospectif de la Communauté d Agglomération du Pays d Aubagne et de l Etoile éléments clés Septembre 2014 Synthèse du diagnostic financier de l Agglo du Pays d Aubagne et de l Etoile
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailQU'EST-CE QUE LA ZONE FRANC?
QU'EST-CE QUE LA ZONE FRANC? BURKINA FASO MALI NIGER TCHAD SENEGAL GUINEE-BISSAU RCA COTE-D'IVOIRE TOGO BENIN CAMEROUN GUINEE EQUAT. GABON CONGO Comores Les pays de la Zone Franc UEMOA CEMAC Comores France
Plus en détailLe Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté
18 ans après le référendum de 1995 Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté présenté par Marcel Leblanc, économiste pour le comité de travail sur la souveraineté
Plus en détailLe budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du
Le budget 2013 Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances Conseil Municipal du 8 février 2013 Les documents budgétaires : Le budget selon la nomenclature M14; Les documents annexes; Le budget
Plus en détailL OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013
L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES 25 ème rapport annuel Tableau de bord Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 La photographie des ménages détenant des crédits que propose la 25 ième
Plus en détailLes dépenses et la dette des ménages
Les dépenses et la dette des ménages Les dépenses des ménages représentent près de 65 % 1 du total des dépenses au Canada et elles jouent donc un rôle moteur très important dans l économie. Les ménages
Plus en détail