MINISTÈRE DE LA DÉFENSE
|
|
- Adeline Paquette
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 MINISTÈRE DE LA DÉFENSE R LES MILITAIRES ET LEUR RETRAITE NOVEMBRE 2008 D I R E C T I O N D E S R E S S O U R C E S HUMAINES DU MINISTÈRE DE LA DÉFENSE SERVICE DE LA POLITIQUE GÉNÉRALE DES RESSOURCES HUMAINES MILITAIRES ET CIVILES SOUS-DIRECTION DES ÉTUDES ET DE LA PROSPECTIVE
2 Secrétariat général pour l administration Direction des ressources humaines du ministère de la défense Sous-direction des études et de la prospective LES MILITAIRES ET LEUR RETRAITE Enquête réalisée à la SDEP par : Chargées d études sociologiques : Mme Valérie BAILLEUL-HUGELE CDT (TA) Laurence LANTOINE Chargés d études statistiques : M. Jérôme BENSOUSSAN M. Laurent JACQUEMIN 1
3 2
4 VUE D ENSEMBLE Le système de retraite militaire offre la possibilité aux sous-officiers de 15 ans de service et aux officiers de 25 ans de service de quitter les armées en bénéficiant d une pension de retraite et par conséquent, de pouvoir choisir l âge de leur départ ou le moment jugé opportun pour partir. Même si les militaires ont le sentiment de pouvoir choisir le moment de leur départ, cette liberté est néanmoins bien relative du fait des contraintes statutaires, professionnelles ou encore d ordre privé qui pèsent lourdement sur la décision de quitter ou non l institution. Des militaires globalement satisfaits du régime de pension actuel mais inquiets des niveaux de pension Si, pour 40% des militaires, la perspective d un départ des armées n engendre pas de crainte particulière et si le régime actuel de retraite donne satisfaction à 60% d entre eux, ils sont nombreux à déplorer la faiblesse des montants de pension et surtout l important différentiel entre la solde actuelle et la pension de retraite, dû à la non prise en compte des primes dans le calcul de la pension. Le niveau de vie présumé après le départ conditionne bien entendu un certain nombre de décisions liées à celui-ci. L échéance du départ ou encore l intention de poursuivre sa carrière jusqu à la limite d âge ou de l interrompre avant, répondent à des logiques différentes influant sur la façon d appréhender le moment du départ. Le fait de pouvoir quitter l institution plus tôt pour les sous-officiers explique une vision différente de celle des officiers, tenant en grande partie à leurs différences socio-démographiques et à leur niveau de revenus. Ainsi pour un peu plus de la moitié des militaires interrogés 1, le départ des armées interviendra dans les cinq ans à venir et pour les autres, il s effectuera au-delà de cette échéance. Plus anciens, les officiers sont un tiers à prévoir un départ dans les dix ans, contre un quart des sous-officiers. Ces derniers, plus jeunes et plus tôt en service, sont deux fois plus nombreux que les officiers à envisager poursuivre leur carrière au-delà de dix ans. Lorsque l échéance de la retraite est éloignée, les militaires ont plutôt tendance à associer leur départ au moment où ils auront atteint la limite d âge du grade (77% des officiers et 63% des sous-officiers). Ils se projettent ainsi sur de longues carrières. Lorsque le projet de départ devient plus concret (dans les cinq ans à venir), la part de ceux qui devancent la limite d âge devient largement plus élevée (53% des officiers et 70% des sous-officiers). Les militaires déclarent préférer quitter les armées le plus tard possible pour disposer d une pension de retraite plus importante plutôt que de partir de façon précoce avec un montant de pension plus faible. Dans l idéal, 72% des officiers et 45% des sous-officiers souhaiteraient partir âgés d au moins 55 ans. 38% des officiers, et 16% des sous-officiers souhaiteraient même rester au-delà de 57 ans, le seuil de 60 ans représentant l idéal de 33% des officiers. Le souhait de partir le plus tard possible même au-delà de la limite d âge Mais compte tenu des contraintes susceptibles de peser sur eux, la grande majorité des officiers interrogés (86%) projettent en pratique de quitter les armées au plus tard à 57 ans, dont un tiers à 57 ans 1 Champ de l étude : officiers et sous-officiers de l armée de terre, de l armée de l air et de la marine ayant déjà acquis droit à pension en cours de carrière (officiers d au moins 25 ans de service et sous-officiers d au moins 15 ans de service). 3
5 précisément. Environ la moitié des sous-officiers prévoit en pratique de partir à 50 ans ou moins et l autre moitié au-delà (40% entre 50 et 56 ans). Alors que pour trois militaires sur dix «l âge idéal» de départ coïncide avec l âge de départ «en pratique», pour près de la moitié des officiers (46%), l âge idéal apparaît comme postérieur à celui où ils seront contraints de partir. C est dans une moindre mesure le cas des sous-officiers. Lorsque le départ des armées est susceptible d intervenir dans les cinq ans, ce constat s amplifie quelle que soit la catégorie hiérarchique. L âge relativement jeune de ces futurs retraités, conjugué à la nécessité de subvenir aux besoins d une famille qui sera encore à charge au moment du départ cas de 61% des officiers et de 67% des sous-officiers ou au remboursement de crédits en cours (crédits immobiliers ) ou encore au souhait de maintenir le même niveau de vie après un départ des armées, amène 74% des sous-officiers et 66% des officiers à déclarer avoir l intention de reprendre une activité professionnelle, une fois partis. Plus le départ est proche, plus le taux de militaires certains de retravailler augmente, les projets devenant alors plus concrets. Les militaires quittant les armées avant la limite d âge sont également plus souvent convaincus de reprendre une activité professionnelle pour des raisons similaires. Des craintes quant à leur niveau de vie futur Près de trois militaires sur quatre estiment qu ils ne disposeront pas de revenus suffisants pour vivre correctement au moment où ils quitteront les armées. Les militaires ne possédant à ce jour aucun bien immobilier sont, naturellement, nettement plus nombreux à juger que leurs revenus seront insuffisants pour vivre correctement, au même titre que les accédants à la propriété. Ainsi, 67% des officiers et 78% des sous-officiers déclarant qu ils auront encore des personnes à charge au moment de quitter les armées jugent le montant de leurs futurs revenus insuffisants pour vivre correctement, contre 49% des officiers et 67% des sous-officiers sans personne à charge. Le niveau de vie futur déterminant dans le choix du moment de partir Il est évident que les facteurs qui seront déterminants dans le choix du moment de leur départ des armées sont avant tout d ordre financier. Ainsi, 87% des militaires choisissent comme facteur déterminant dans leur prise de décision le futur niveau de vie, 85% le montant de la pension, 70% les possibilités d exercer une activité professionnelle dans le civil, 66% le poids des charges financières, et environ 60% l éducation des enfants et l intérêt des postes offerts dans la suite de la carrière. Devant se prononcer sur l élément le plus déterminant à leurs yeux, les militaires sélectionnent le montant de la pension (26%), le niveau de vie futur (19%) puis les possibilités d exercer une activité dans le civil (17%). Les raisons pouvant décider à anticiper le départ Mais un certain nombre de motifs pourraient inciter les militaires à quitter l institution plus tôt qu ils ne l envisagent Ces raisons sont avant tout d ordre financier, mais également professionnelles (affectation, possibilités de reclassement, évolutions de la défense, etc.). Une évolution défavorable du système de pension pourrait conduire à un départ important de militaires ou à anticiper celui des militaires prévoyant de partir dans les cinq ans. Le versement d un pécule pourrait également provoquer le départ des armées de 79% des militaires interrogés ; un départ proche ou avant la limite d âge accentue l importance de ce critère. L insuffisance de la solde serait également susceptible de faire partir plus tôt les sous-officiers en particulier. Une affectation non souhaitée pourrait également provoquer le départ 4
6 prématuré de 66% des militaires interrogés, et surtout chez les sous-officiers. Le reclassement dans la fonction publique pourrait motiver le départ des plus jeunes sous-officiers notamment. La crainte des évolutions de la défense et l absence de perspectives de carrière pourraient conduire 58% des militaires à quitter les armées de façon précoce. La crainte des évolutions de la défense est plus souvent avancée par les militaires projetant de partir dans les cinq ans. Le pécule principal facteur de départ anticipé Lorsqu ils doivent sélectionner le principal facteur de motivation au départ parmi tous ceux proposés, les militaires citent le versement d un pécule (22%), une affectation non souhaitée (17%) et une évolution défavorable du système de pension (12%). Quelle que soit la catégorie hiérarchique, l intérêt signifié pour le pécule augmente avec l ancienneté de service : 33% des sous-officiers d environ 25 ans de service, et 42% des sous-officiers d environ 30 ans de service font ce choix. Il en va de même pour les officiers : 20% des officiers de moins de 30 ans de service choisissent le versement d un pécule comme motif principal de départ, et 28% des officiers ayant au moins 30 ans de service. 5
7 6
8 INTRODUCTION Dans le cadre de la préparation de la révision de la loi n du 21 août 2003 portant réforme des retraites, la Direction des ressources humaines du ministère de la défense (sous-direction des études et de la prospective, DRH-MD/SPGRH/EP) a réalisé une enquête sur les perceptions du système de pension militaire par les officiers et sous-officiers des armées affectés en France métropolitaine (terre, air, marine, SSA et SEA) ayant déjà acquis droit à pension en cours de carrière (officiers d au moins 25 ans de service et sous-officiers d au moins 15 ans de service). Cette population de référence se compose d environ militaires (7 700 officiers et sous-officiers). S appuyant sur une étude conduite en 2005 par la direction de la recherche des études de l évaluation et des statistiques (DREES) sur les «intentions de départ à la retraite des salariés du privé âgés de 54 à 59 ans» 2, la présente enquête porte sur les comportements de départ en retraite des militaires et explore leurs préférences en la matière. Elle permet en particulier : de s intéresser à leur perception des nouveaux mécanismes mis en place par les réformes (décote, allongement des limites d âge des grades) ; d analyser les facteurs de décision intervenant dans leurs intentions de départ affichées ; d identifier les motifs avancés pour partir ou non à la retraite militaire. L étude a été menée de janvier à avril 2008 en France métropolitaine. Ainsi, questionnaires ont été adressés en janvier Le taux de retour global de cette enquête particulièrement élevé (63%), s agissant de questionnaires auto-administrés, témoigne de l intérêt porté par les militaires à ce sujet. L analyse des réponses permet de distinguer l âge auquel les militaires envisagent de quitter réellement les armées et l âge de départ souhaité dans l absolu. Elle permet également de mettre en avant la perception qu ont les militaires de leur situation financière actuelle mais également de celle qu ils auront quand ils auront quitté l institution. Elle met également en lumière les facteurs qui pourraient inciter les militaires à envisager un départ anticipé des armées et analyse les éléments apparaissant comme importants dans le choix du moment du départ. Par ailleurs, de nombreux militaires (1 159 personnes, soit 34% des répondants) ont saisi l opportunité qui leur était offerte de s exprimer en fin de questionnaire («Si vous le souhaitez, vous pouvez ajouter des remarques sur le sujet»). Ces militaires présentent la même structure hiérarchique que celle de l ensemble des militaires ayant répondu à l enquête avec une représentation un peu supérieure de l armée de terre (50%, contre 44% des questionnaires renseignés). L analyse de ces commentaires libres constitue à la fois un éclairage indispensable des résultats quantitatifs obtenus et un complément riche en informations faisant ressortir des éléments non abordés dans le questionnaire. Les militaires ont été nombreux à ne pas limiter leurs propos au seul sujet des retraites, et se sont exprimés sur de nombreux thèmes leur tenant à cœur et qui semblent déterminants dans leur choix de quitter ou de rester dans l institution. Ainsi, l exploitation des remarques formulées en fin de questionnaire fait ressortir des thèmes propres à la retraite («pension», «limite d âge», «incitations au départ», «emploi dans le civil», «charges») et des thèmes non abordés dans le questionnaire ou alors de façon partielle voire en filigrane, en lien étroit avec le moral et déterminants pour la suite de la carrière («communication», «solde et nouvelle grille indiciaire», «gestion de carrière», «mobilité», «réformes», «moral»). Certains militaires ont choisi d évoquer plusieurs thèmes à la fois. 2 Cf. annexe 1 : éléments de comparaison de la méthodologie utilisée 7
9 8
10 CHAPITRE 1 : Données de cadrage Caractéristiques professionnelles des militaires Opinion sur la carrière et l avenir Situation familiale et niveau de vie 9
11 10
12 Caractéristiques professionnelles des militaires 1- Répartition de la population d étude par armée et par catégorie hiérarchique L armée de terre représente la part la plus importante des effectifs de l étude (44%). Sa représentativité est encore plus prononcée s agissant des officiers (59%). La population des sous-officiers se compose en grande partie de sous-officiers de l armée de l air (37%) et de sous-officiers de l armée de terre (43%). Si le service de santé représente une part quasi insignifiante des effectifs sur l ensemble de la population étudiée, il convient de souligner sa structure hiérarchique particulière reposant principalement sur le corps des officiers. La problématique de l étude sur les retraites n étant pas spécifique à une armée - sauf peut-être dans le cas très précis du service de santé dont les faibles effectifs ne permettront pas d identifier un comportement particulier - il n a pas semblé opportun de distinguer les armées dans la suite de l analyse. Tableau 1 : Répartition selon l armée et la catégorie hiérarchique (%) Armée Officiers Sous-officiers Ensemble Terre Air Marine SSA SEA Total Champ : Ensemble des officiers de 25 ans de service et plus et des sous-officiers de 15 ans de service et plus Lecture : 59% des officiers appartiennent à l armée de terre En revanche, les règles fixées en matière d ouverture des droits à la retraite différant entre les officiers (25 ans de service) et les sous-officiers (15 ans de service), les catégories hiérarchiques seront presque toujours différenciées dans l analyse. Le critère «avoir atteint au moins 25 ans de service pour les officiers» définissant le champ de la population explique que 70% des officiers de l étude sont des officiers supérieurs. Les règles d avancement corrélées au fait que ces officiers appartiennent essentiellement au corps des officiers des armes expliquent la faible part de commandants et la présence plus importante de lieutenants-colonels et colonels parmi la population. La population des officiers subalternes est constituée d une part d officiers de recrutement semi-tardif ou de recrutement rang et d autre part de capitaines «hors créneaux» d avancement. Les sous-officiers subalternes sont quant à eux peu représentés puisque la population étudiée sert au moins depuis quinze années. Les sergents ou sergents-chefs de l enquête sont donc essentiellement issus du recrutement semi-direct. Les adjudants et adjudants-chefs sont les plus représentés au sein du corps des sousofficiers. Tableau 2 : Répartition par grade (%) Grades Officiers Grades Sous-officiers Colonels 23 Majors 11 Lieutenants-colonels 37 Adjudants-chefs 44 Commandants 10 Adjudants 34 Capitaines 27 Sergents-chefs 9 Lieutenants 3 Sergents 2 Total 100 Total 100 Champ : Ensemble des officiers de 25 ans de service et plus et des sous-officiers de 15 ans de service et plus Lecture : 37% des officiers sont des lieutenants-colonels 11
13 2- Ancienneté de service et âge différencient nettement les officiers et les sous-officiers La population des officiers se répartit en deux parts équivalentes : la moitié a entre 25 et 29 ans de service alors que l autre moitié totalise au moins 30 ans de carrière. En revanche, 60% des sous-officiers n ont pas encore atteint 25 ans de service et seulement, 21% d entre eux totalisent une durée de carrière égale ou supérieure à 30 années. La grande différence d ancienneté de service entre officiers et sous-officiers explique les écarts d âge significatifs entre ces deux populations. Tableau 3 : Ancienneté de service (%) Tableau 4 : Age selon la catégorie hiérarchique (%) Ancienneté Officiers Sous-officiers Age Officiers Sous-officiers ans ans et moins ans ans ans ans ans ans et plus et plus 11 6 Total Total Champ : Ensemble des officiers de 25 ans de service et plus et des sous-officiers de 15 ans de service et plus Lecture : 52% des officiers ont une ancienneté de service comprise entre 25 et 29 ans S agissant de l âge, la différence la plus marquée concerne les deux classes d âge extrêmes : celle des «50 ans et plus» comprend 51% des officiers contre 18% des sous-officiers. A l opposé, la moitié des sous-officiers ont moins de 44 ans, ce qui n est le cas d aucun officier. 12
14 Opinion sur la carrière et l avenir Dans l enquête menée par la DREES auprès des salariés du secteur privé 3, il a été démontré que le fait de déclarer être en mauvaise santé ou d avoir exercé un métier pénible ou dangereux avait une influence sur le souhait des personnes de partir plus tôt à la retraite et donc que l âge de départ souhaité était d autant plus élevé que l état de santé général déclaré par le répondant était satisfaisant. Par ailleurs, la satisfaction exprimée par les salariés quant à leur emploi intervenait également sur leurs intentions de partir en retraite. Il a donc paru nécessaire de recueillir l opinion des militaires sur un certain nombre de dimensions liées au travail qui peuvent peser dans la décision de quitter les armées comme la pénibilité et le stress auxquels peuvent être associés l état de santé, la satisfaction dans l emploi tenu, l équivalence de la spécialité exercée dans le secteur civil (qui peut faciliter la reconversion), le potentiel d avancement et plus largement, la vision de l avenir au sein de l institution. 1- Opinion sur l état de santé, la pénibilité et le stress lié aux fonctions exercées A la différence des salariés du secteur civil, l opinion émise sur l état de santé n entraînera pas de clivage entre militaires quant à leurs intentions de départ à la retraite. En effet, la spécificité du métier des armes conduit la grande majorité des militaires interrogés (89%) à estimer être «en bonne santé», voire «en très bonne santé». Moins d un sous-officier sur trois et d un officier sur cinq déclarent avoir exercé une fonction jugée physiquement pénible ou dangereuse depuis les 5 dernières années. Là encore, cela aura peu d incidence sur le choix des militaires de quitter plus précocement les armées. En revanche, le stress et l usure psychologique liés au travail semblent plus souvent éprouvés, en particulier par les officiers. Ils sont ainsi 71% à déclarer avoir occupé depuis ces cinq dernières années des fonctions stressantes ou psychologiquement usantes contre 60% des sous-officiers. Mais cet état de fait n a que peu, voire pas d impact sur le comportement vis-à-vis de la retraite comme cela sera mentionné dans les chapitres suivants. 2- Satisfaction de la situation professionnelle actuelle Les officiers et les sous-officiers déclarent en proportion identique (64%) être «plutôt satisfaits» de leur situation professionnelle actuelle ; le seul point de divergence concerne les modalités extrêmes : les officiers sont deux fois plus nombreux à se montrer «tout à fait satisfaits» de leur situation (20% contre 10% chez les sous-officiers) et a contrario, les mécontents sont plus nombreux parmi les sous-officiers (26% chez les sousofficiers contre 15% chez les officiers). Ce sentiment d insatisfaction est plus souvent partagé par les adjudants et les sergents-chefs. 3 : RAPOPORT B.,«Les intentions de départ à la retraite des salariés du privé âgés de 54 à 59 ans», Paris, DREES, Etudes et résultats N 478, mars 2006, 8 p. 13
15 Tableau 5 : Satisfaction de la situation professionnelle actuelle par grade (%) Colonels Officiers Lieutenantscolonels / Commandants Capitaines / Lieutenants Ensemble Satisfaits (tout à fait / plutôt) 84 (25 / 59) 82 (21 / 61) 89 (17 / 72) 85 (21 / 64) Insatisfaits (plutôt pas, pas du tout) Sous-officiers Majors Adjudants-chefs Adjudants Sergents-chefs Ensemble Champ : Ensemble des officiers de 25 ans de service et plus et des sous-officiers de 15 ans de service et plus Lecture : 84% des colonels sont satisfaits de leur situation professionnelle actuelle dont 25% tout à fait satisfaits Satisfaits (tout à fait / plutôt) 80 (15 / 65) 79 (11 / 68) 70 (9 / 61) 67 (6 / 61) 74 (10 / 64) Insatisfaits (plutôt pas, pas du tout) Transposition des emplois dans le civil L idée de pouvoir transposer sa spécialité actuelle sur le marché du travail est plus répandue chez les officiers (58%) que chez les sous-officiers (48%), bien que ces derniers soient plus souvent spécialistes. Les fonctions de commandement et de «management» exercées par les officiers ne doivent pas être étrangères à cette opinion partagée en plus grande proportion par les officiers les plus gradés (68% des colonels contre 54% des lieutenants-colonels et commandants). Mais c est encore plus significatif chez les officiers du service de santé des armées qui, logiquement, sont 88% à estimer que leur spécialité est facilement transposable, contre 57% des officiers de l armée de terre, de la marine et surtout, 45% des officiers de l armée de l air. 4- Jugement porté sur l avancement Ayant plus d ancienneté, les officiers sont nettement plus nombreux que les sous-officiers à juger leur potentiel d avancement épuisé (62% pour les premiers contre 48% pour les seconds). Une part encore importante de sous-officiers (43%) estiment que leur marge de progression est moyennement élevée. En revanche, seuls 5% des militaires interrogés déclarent avoir un potentiel de progression important. Chez les sous-officiers, plus les grades sont élevés et plus la part de ceux qui estiment avoir atteint le maximum de leur potentiel d avancement est élevée. De même les officiers subalternes, les commandants et les lieutenants-colonels portent le même jugement et estiment être bloqués à l avancement alors que les colonels sont nettement moins enclins à estimer leur progression achevée (42% contre 70%). Parmi ces derniers, 15% (soit cinq fois plus que les autres officiers supérieurs) estiment avoir encore un potentiel d avancement élevé. Pour de nombreux militaires, les possibilités d avancement sont prises en considération dans le choix de rester dans l institution ou de la quitter ou de quitter l institution comme cela apparaîtra dans le chapitre consacré aux déterminants du départ. 5- Craintes sur l avenir La période durant laquelle a été conduite cette enquête (janvier 2008) et les incertitudes conjoncturelles liées aux réformes engagées n ont certainement fait qu amplifier l inquiétude ressentie par les militaires interrogés. Ainsi, l état d esprit dans lequel se trouvent les officiers et les sous-officiers quand ils pensent à leur avenir ou à celui des armées est nettement pessimiste, avec une appréhension plus prononcée chez les sousofficiers. En effet, 77% des sous-officiers et 61% des officiers éprouvent des craintes relatives à l évolution de leur carrière (avancement, fonctions tenues, condition militaire ). Chez les sous-officiers, les écarts entre grades sont plus marqués. Ce sont les militaires détenant les grades les moins élevés qui s inquiètent le plus. Ce sentiment est également un peu plus répandu chez les sous-officiers de 14
16 l armée de l air (81% contre 75% des autres armées). Parmi les officiers, ceux de l armée de terre sont plus pessimistes (65% contre 55% dans les autres armées). Enfin, la vision pessimiste est plus souvent affichée par les militaires déclarant leur avancement limité ou nul. S agissant plus largement de l avenir des armées, 92% des sous-officiers et 86% des officiers sont pessimistes. Chez les officiers, ce sentiment est indépendant des grades et du potentiel d avancement et apparaît nettement plus prégnant dans l armée de terre (90% contre 80% dans les autres armées). Chez les sous-officiers, ceux de l armée de terre et de l armée de l air éprouvent le plus de craintes (94% contre 84% des marins), craintes partagées en proportions identiques, quelle que soit l ancienneté de service. Graphique 1 : Craintes des évolutions Actuellement, éprouvez-vous des craintes à propos de l'évolution % 77% 86% 92% Oui Non % % 14% 8% 0 officiers sous-officiers officiers sous-officiers De votre carrière dans les armées (fonctions, rémunération...) Des armées dans les prochaines années Champ : Ensemble des officiers de 25 ans de service et plus et des sous-officiers de 15 ans de service et plus Lecture : 77% des sous-officiers déclarent éprouver des craintes à propos de l évolution de leur carrière dans les armées 15
17 16
18 Situation familiale et niveau de vie L un des principaux objectifs de l enquête est d identifier les facteurs pouvant influer le choix du moment du départ des armées des militaires. Avant de mesurer l impact éventuel des revenus et du patrimoine des militaires sur leur départ en retraite, il convient d en ébaucher l état actuel. Cela permettra, en outre, d apprécier la perception qu ont les militaires de leur situation financière actuelle et de la comparer à celle dont ils pensent disposer au moment où ils quitteront le service actif. 1- Situation matrimoniale et familiale Les jeunes militaires étant écartés du champ de l étude, il est logique que la population étudiée ait, en grande majorité, déjà fondé une famille 4. Ainsi, 87% des officiers et 78% des sous-officiers sont mariés. Les sousofficiers, plus jeunes, sont aussi plus souvent célibataires (12% contre 4%). La part des divorcés, quasiment identique d une catégorie hiérarchique à l autre, avoisine les 10%. La grande majorité des militaires interrogés vit en couple (91% des officiers et 86% des sous-officiers). La part de parents atteint 90% chez les officiers et 85% chez les sous-officiers. Ainsi les militaires interrogés sont très nombreux à avoir des charges familiales à assumer. Les officiers ont des familles plus nombreuses : 54% d entre eux ont au moins trois enfants dont 18% en ont au moins quatre. Il faut également souligner que près d un tiers des sous-officiers ont une famille d au moins trois enfants. 2- Niveau de solde et niveau de revenus actuels 2.1. Niveau de solde 5 Les écarts de solde entre officiers et sous-officiers sont significatifs. Ils sont dus à des carrières très différenciées, à des anciennetés difficilement comparables et surtout à la diversité des grades étudiés qui se situent parfois aux extrémités de la pyramide hiérarchique (de sergent-chef à colonel). Ainsi, dans la population d étude, 90% des officiers ont une solde mensuelle (primes comprises) d au moins euros nets, ce qui n est le cas que de 5% des sous-officiers. De plus, la dispersion des montants de solde est plus importante chez les officiers que chez les sous-officiers. Tableau 6 : Répartition des officiers selon le montant Tableau 7 : Répartition des sous-officiers selon le de la solde (%) de la solde (%) Montant de solde Officiers Montant de solde Sous-officiers Moins de euros 10 Moins de euros 15 Entre et euros 39 Entre et euros 55 Entre et euros 25 Entre et euros 25 Entre et euros 16 Plus de euros 5 Plus de euros 10 Total 100 Total 100 Champ : Ensemble des officiers de 25 ans de service et plus Champ : Ensemble des sous-officiers de 15 ans de service et plus Lecture : 10% des officiers ont une solde inférieure à euros Lecture : 55% des sous-officiers ont une solde comprise entre et euros 4 : A titre de rappel, la population de l enquête (militaires en activité ayant acquis droit à pension en cours de carrière) concerne 31% des officiers et 52% des sous-officiers. 5 : Les montants de solde sont des montants déclarés dans l enquête 17
19 2.2. Niveau de revenus des ménages 6 Aux revenus issus de la solde peuvent s ajouter ceux provenant de l activité professionnelle du conjoint, d allocations ou de biens divers. Ainsi, une grande majorité de militaires vivent au sein d un couple bi-actif, ce qui permet d élever le niveau de revenus. En effet, 58% des conjoints d officiers interrogés sont actifs 7, proportion qui s élève à 81% pour les conjoints de sous-officiers. On soulignera la part deux fois plus élevée de conjoints inactifs chez les officiers (42% contre 19% chez les sous-officiers). Tableau 8 : Activité professionnelle des conjoints selon la catégorie hiérarchique (%) Activité professionnelle des conjoints Officiers Sous-officiers Taux d activité Il exerce une activité professionnelle Il est au chômage, en recherche d emploi 5 10 Il a temporairement arrêté de travailler 3 4 Taux d inactivité Il n exerce pas d activité professionnelle Il est à la retraite et n exerce pas d activité professionnelle 4 3 Il est étudiant, en formation 1 1 Total Champ : Ensemble des officiers de 25 ans de service et plus et des sous-officiers de 15 ans de service et plus vivant en couple Lecture : 50% des conjoints des officiers exercent une activité professionnelle Grâce au travail du conjoint, les revenus des ménages des militaires augmentent mais en règle générale, ne doublent pas. Ainsi, le montant du revenu apporté par les conjoints peut être estimé en moyenne à euros (1 700 euros pour les officiers et euros pour les sous-officiers). Cependant si les officiers seuls sont près de la moitié (49%) à déclarer une solde inférieure à euros, ils ne sont plus que 24% à avoir des revenus de cette valeur si l on considère leur ménage. Enfin, s ils ne sont que 10% à avoir une solde de plus de euros, ils sont 27% à avoir des revenus au moins de cette importance, lorsqu on intègre les revenus de leur conjoint. Graphique 2 : Revenus des ménages des officiers (%) 14% 24% 13% Moins de euros Entre et euros Entre et euros Entre et euros Plus de euros 22% 27% Champ : Ensemble des officiers de 25 ans de service et plus Lecture : 27% des ménages d officiers ont des revenus compris entre et euros 6 Les montants de revenus des ménages sont des montants déclarés 7 Actif : personne qui occupe un emploi ou qui est au chômage «au sens du BIT». 18
20 Chez les sous-officiers, l apport du revenu du conjoint n est pas négligeable et est souvent une nécessité pour assurer un niveau de vie considéré comme convenable ; par exemple, ce sous-officier supérieur, accédant à la propriété, marié avec un conjoint exerçant une activité professionnelle et ayant deux enfants qui indique dans la question libre : «le niveau de vie a augmenté de telle manière qu'il n'est plus possible de vivre correctement en travaillant seul. D'où l'obligation du conjoint de trouver un travail. Heureusement, l'opex bien que très contraignante pour la famille permet de garder un semblant de vie correcte (...)» Ainsi, si 69% des sous-officiers interrogés ont une solde inférieure à euros, ils ne sont plus que 20% à avoir de tels revenus au niveau du ménage. Graphique 3 : Revenus des ménages des sous-officiers (%) 11% 20% Moins de euros Entre et euros 12% Entre et euros Entre et euros Entre et euros 17% 17% Plus de euros Champ : Ensemble des sous-officiers de 15 ans de service et plus Lecture : 23% des ménages de sous-officiers ont des revenus compris entre et euros 23% 3- Patrimoine immobilier et épargne des militaires 3.1. Résidence principale Bien que leurs revenus soient inférieurs, les sous-officiers sont tout autant propriétaires de leur résidence principale que les officiers (près des deux tiers) mais seuls 16% des officiers et 11% des sous-officiers en sont propriétaires à part entière (sans prêt à rembourser), les autres étant accédants à la propriété. Les sous-officiers, plus jeunes, sont un peu plus fréquemment accédants à la propriété que les officiers (54% contre 48%). Tableau 9 : Résidence principale selon la catégorie hiérarchique (%) Statut d occupation de la résidence principale Officiers Sous-officiers Propriétaire de sa résidence principale Propriétaire accédant Propriétaire à part entière Non propriétaire de sa résidence principale Total Champ : Ensemble des officiers de 25 ans de service et plus et des sous-officiers de 15 ans de service et plus Lecture : 16% des officiers sont propriétaires à part entière de leur résidence principale 19
LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE
Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Anne LOONES Marie-Odile SIMON Août 2004 Département «Evaluation des Politiques Sociales»
Plus en détail1. Les comptes de dépôt et d épargne
1. Les comptes de dépôt et d épargne 1.1 Les comptes de dépôt 1.1.1 Le taux de possession d un compte de dépôt Le premier constat est celui d un accès important aux comptes de dépôt, quelle que soit la
Plus en détailLES FRANÇAIS, L ÉPARGNE & LA RETRAITE
201 LES FRANÇAIS, L ÉPARGNE & LA RETRAITE Jérôme JAFFRÉ Directeur du Centre d Études et de Connaissances sur l Opinion Publique Jean-Pierre GAILLARD Président du Cercle des Epargnants Philippe CREVEL Secrétaire
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détailpanorama des mobilités professionnelles des cadres édition 2012
panorama des mobilités professionnelles des cadres édition 2012 DOCUMENT SOUS EMBARGO PUBLIABLE LE 28 JUIN 2012 A 0H01 Les études de l emploi cadre juin 2012 Bilan de la mobilité des cadres en 2011 Perspectives
Plus en détailLES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ
3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit
Plus en détailENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice.
Délégation interministérielle à la Famille ENQUÊTE SALARIÉS Baromètre de l Observatoire de la parentalité en entreprise, en partenariat avec la Délégation interministérielle à la famille et l Union nationale
Plus en détailUn climat des affaires incertain
AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.
Plus en détailLes Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie
Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion
Plus en détailLes Français et l assurance santé
Mai 2013 Contacts : 01 45 84 14 44 Jérôme Fourquet Magalie Gérard prénom.nom@ifop.com Les Français et l assurance santé pour Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Assurances Echantillon :
Plus en détailPréoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises
Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises Institut CSA pour Metlife Novembre 2014 Sommaire Fiche technique 3 Profil de l échantillon
Plus en détailLes Français et la banque en ligne
Les Français et la banque en ligne Rapport d étude réalisé pour monabanq. Décembre 2010 CREDOC / 17 mai 2011 1 Synthèse 1 Internet a modifié la relation des Français avec leurs banques en s imposant comme
Plus en détailInternet modifie la relation des Français. ais à leurs banques. Présentation du 12 janvier 2010
Internet modifie la relation des Français ais à leurs banques Présentation du 12 janvier 2010 1 Objectif et méthodologie Objectif Mesurer le type de services bancaires possédé par les Français Analyser
Plus en détailNOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE
NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11
Plus en détailCECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants
Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège
Plus en détailLes micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance
Septembre 2013 Contact: Frédéric Dabi 01 45 84 14 44 Frederic.dabi@ifop.com Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance pour Note méthodologique Etude réalisée pour:
Plus en détailLE PASS-TRAVAUX. Edition 2008. Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007.
Edition 2008 LE PASS-TRAVAUX Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007. A la demande de l ANPEEC, MV2 Conseil a réalisé, en 2007,
Plus en détailLES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE
LES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE Michel MOUILLART Directeur Scientifique de l Observatoire de l Endettement des Ménages
Plus en détailLes Français ais et l assurance l
Mai 2013 Contacts: 01 45 84 14 44 Jérôme Fourquet Magalie Gérard prénom.nom@ifop.com Les Français ais et l assurance l santé pour Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Assurances Echantillon
Plus en détailOBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE
OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE Edition 2013 Perception du risque et comportement d investissement (point 5) 16 octobre 2013 Pourquoi un Observatoire UFF/IFOP de la clientèle patrimoniale?
Plus en détailQuestionnaire sur les nouveaux rythmes scolaires
Questionnaire sur les nouveaux rythmes scolaires Un questionnaire a été remis aux familles courant décembre avec le double objectif de relayer le ressenti des parents sur les nouveaux rythmes scolaires
Plus en détailPrésentation des principales mesures de la loi portant réforme des retraites
Présentation des principales mesures de la loi portant réforme des retraites Décembre 00 Ce document est proposé à titre d information. En effet, certaines dispositions de la loi portant réforme des retraites,
Plus en détailTOUT SAVOIR SUR LA REFORME DES RETRAITES DANS LA FONCTION PUBLIQUE
TOUT SAVOIR SUR LA REFORME DES RETRAITES DANS LA FONCTION PUBLIQUE Réussissons une réforme juste SOMMAIRE I. CE QUI NE CHANGE PAS, CE QUI CHANGE 3 II. QUESTIONS/RÉPONSES 7 1 - J APPARTIENS À UN CORPS DE
Plus en détailLes salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris
Les salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris Sondage Ifop pour la FFSE Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Anne-Sophie Vautrey Département Opinion et Stratégies d Entreprise 01 45 84 14 44 prenom.nom@ifop.com
Plus en détailAVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS :
AVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS : ÉLÉVATION DES PLAFONDS À PARTIR DU 1 ER JANVIER 2002
Plus en détailL ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945. Exposé des motifs
L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945 Exposé des motifs Il est peu de problèmes aussi graves que ceux qui concernent la protection de l enfance, et parmi eux, ceux qui ont trait au sort de l enfance traduite
Plus en détailLe banquier idéal des Français et des Américains
pour Le banquier idéal des Français et des Américains Février 2011 1 La méthodologie 2 2 Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Banque Echantillons : France : Echantillon de 1000 personnes,
Plus en détailLes Français, l épargne et la retraite Enquête 2011
Les Français, l épargne et la retraite Enquête 2011 Le Cercle des Epargnants, partenaire du Groupe Generali A la demande du Cercle des Epargnants et de Generali, le Centre d Etudes et de Connaissances
Plus en détailPRÊT SOCIAL Pour les agents de l AP-HP
DOSSIER N :. PRÊT SOCIAL Pour les agents de l AP-HP Emprunteur Co-emprunteur Mr Mme Mr Mme Nom d usage (en majuscules) :..... Nom de famille (nom de jeune fille) :.. Prénoms :.. Nom d usage (en majuscules)
Plus en détailLa Banque Postale / CNP Assurances
La Banque Postale / CNP Assurances Baromètre Prévoyance Vague 1 Santé Contacts TNS Sofres Département Finance Frédéric CHASSAGNE / Fabienne CADENAT / Michaël PERGAMENT 01.40.92. 45.37 / 31.17 / 46.72 42IG98
Plus en détailNOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE
NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11
Plus en détailÉcoutez ce qui se dit sur l épargne-retraite au Canada
MARS 2014 ÉCHEC ET MAT! LES RÉGIMES D ÉPARGNE EN MILIEU DE TRAVAIL : UNE SOLUTION GAGNANTE POUR LES CANADIENS EN VUE DE LA RETRAITE Notre 6 e sondage annuel Indice canadien de report de la retraite montre
Plus en détailles travailleurs non-salari
Septembre 2013 Contact: Frédéric Dabi 01 45 84 14 44 Frederic.dabi@ifop.com Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salari salariés, s, la crise et l assurancel pour Note méthodologique Etude réalisée
Plus en détailLES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ
LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ Rapport réalisé par le CRÉDOC pour le Comité consultatif du secteur financier Département Évaluation des politiques
Plus en détailLes allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins
études résultats et N 603 octobre 2007 Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins Une enquête a été effectuée par la DREES au deuxième trimestre 2006 auprès de personnes
Plus en détailÉtude sur la compétitivité des administrations cantonales
Étude sur la compétitivité des administrations cantonales réalisée pour les Chambres de commerce latines Avril 2015 2 1. Descriptif de la recherche Contexte et méthodologie 3 La 7 ème vague de l étude
Plus en détailLes préoccupations des enseignants en 2014
Les préoccupations des enseignants en 204 Une profession en quête de valorisation Date Rapport rédigé par : Jean-Daniel Lévy, Directeur du Département Politique Opinion Magalie Gérard, Directrice de clientèle
Plus en détailLES FRANÇAIS, LEUR ÉPARGNE & LEUR RETRAITE
LES FRANÇAIS, LEUR ÉPARGNE & LEUR RETRAITE 1 Jérôme JAFFRÉ Directeur du Centre d Études et de Connaissances sur l Opinion Publique JeanPierre THOMAS Président du Cercle de l'epargne Philippe CREVEL Directeur
Plus en détailLes étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant
Page1 Volume 4, numéro 1 Les étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant Extraits de «Endettement étudiant : État des lieux, déterminants et impacts», Fédération étudiante universitaire
Plus en détailLes ménages et le crédit
Les ménages et le crédit Marseille 16 novembre 2011 1 Tous droits réservés 2011 Objectif et plan PLAN DE LA PRÉSENTATION Etat des lieux : Endettement et surendettement Bien souscrire son crédit immobilier
Plus en détailBaromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013
Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 L UCM a créé un indicateur de conjoncture pour les PME wallonnes et bruxelloises. Ce "baromètre" est réalisé chaque trimestre, sur base des réponses
Plus en détailSociologie des joueurs en ligne
Mars 2013 Sociologie des joueurs en ligne Enquête ARJEL 2012 Autorité de régulation des jeux en ligne 2 Propos introductifs à l enquête sur la sociologie des joueurs Au-delà de la publication trimestrielle
Plus en détailRésumé de la réforme des pensions février 2012
NOTE AU BUREAU DU PARTI 27 février 2012 Résumé de la réforme des pensions février 2012 Ce résumé ne concerne que les pensions du secteur privé. Un autre document suivra lorsque la réforme des pensions
Plus en détailDemande de retraite d un fonctionnaire de l Etat ou d un magistrat
Nous sommes là pour vous aider Demande de retraite d un fonctionnaire de l Etat Articles D.1 et D.21 du code des pensions civiles et militaires de retraite et demande de retraite additionnelle Article
Plus en détailQUATRE ÉLÉMENTS À NE PAS SOUS-ESTIMER DANS LE CONTEXTE D UNE TRANSMISSION D ENTREPRISE
QUATRE ÉLÉMENTS À NE PAS SOUS-ESTIMER DANS LE CONTEXTE D UNE TRANSMISSION D ENTREPRISE Table des matières 1. Introduction... 1 2. Développement... 2 2.1. Droit successoral, réserve des héritiers... 2 2.2.
Plus en détailSéparation, rupture. Séparation, rupture de la vie commune. Comment. ma? mapeut-elle. Bon à savoir
? Séparation, rupture Séparation, rupture de la vie commune? Comment ma? mapeut-elle banque m accompagner?? Bon à savoir 2 NOTES Édito Chère cliente, cher client, Nous nous connaissons peut-être depuis
Plus en détailLA QUESTION FINANCIÈRE : UNE PRÉOCCUPATION IMPORTANTE DES ACTIFS SANS ÊTRE PERÇUE COMME LE PRINCIPAL FREIN AU RETOUR À L EMPLOI
Juin 2008 - N 24.1 LA QUESTION FINANCIÈRE : UNE PRÉOCCUPATION IMPORTANTE DES ACTIFS SANS ÊTRE PERÇUE COMME LE PRINCIPAL FREIN AU RETOUR À L EMPLOI En 2007, la Dares et la Drees ont conduit une enquête
Plus en détailL OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014
L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00
Plus en détailDes solutions pour les seniors à revenus insuffisants
Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants IStock - FredFroese Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays.
Plus en détailENQUÊTE DE SATISFACTION
Département CRM ENQUÊTE DE SATISFACTION 3 QUI SOMMES-NOUS? CUSTOMER RELATIONSHIP MANAGEMENT (CRM) Ensemble de mesures prises pour optimiser la relation et la fidélisation client dans le but d augmenter
Plus en détailL endettement chez les jeunes Rapport final
L endettement chez les jeunes Rapport final Résultats du sondage pour le secteur d Alma L école secondaire Séminaire Marie-Reine-du-Clergé ainsi que le Collège d Alma Remis au : Service budgétaire de Lac-
Plus en détailMobilisation en faveur de l emploi des seniors
Mobilisation en faveur de l emploi des seniors Mesures retenues par le Gouvernement à l issue de la concertation avec les partenaires sociaux dans le cadre du rendez-vous 2008 sur les retraites Dès la
Plus en détail64% des actifs font confiance aux mutuelles : La France Mutualiste se mobilise pour répondre à leurs attentes
DOSSIER DE PRESSE CONFÉRENCE DE PRESSE DU 14 SEPTEMBRE 2010 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Enquête exclusive La France Mutualiste/IFOP : Les Français et la retraite 64% des actifs font confiance aux mutuelles :
Plus en détailDébat participatif. La vie chère. «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse»
Débat participatif La vie chère «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse» Ségolène ROYAL Les enjeux de notre débat : Réconcilier les Français
Plus en détailÉtude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014
n 26 mai 2014 Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 Sommaire 1.INTRODUCTION 4 2.LE MARCHÉ DE L ASSURANCE VIE INDIVIDUELLE 6 2.1.La bancassurance
Plus en détailSOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES
AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES Faits saillants du sondage 2 Contexte et méthode de sondage 3 Profil des répondants 3 Investissements
Plus en détailLES FACTEURS DE FRAGILITE DES MENAGES
Enquête complémentaire mentaire de mars 2009 LES FACTEURS DE FRAGILITE DES MENAGES présentée par Michel MOUILLART Professeur d Economie à l Université de Paris X - Nanterre - Mercredi 22 juillet 2009 -
Plus en détail1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs?
Ménages et consommation 1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? question 1: comment le revenu des ménages est-il réparti? question 2: quelle est l influence
Plus en détailLA MOBILITÉ ET LES PARCOURS PROFESSIONNELS DANS LA FONCTION PUBLIQUE. Questions/réponses
LA MOBILITÉ ET LES PARCOURS PROFESSIONNELS DANS LA FONCTION PUBLIQUE Questions/réponses QUI EST CONCERNÉ PAR LA LOI DU 3 AOÜT 2009 RELATIVE A LA MOBILITÉ ET AUX PARCOURS PROFESSIONNELS DANS LA FONCTION
Plus en détailEnquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires
Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires Pierre-Yves GOMEZ Professeur EMLYON Directeur de l Institut Français de Gouvernement des Entreprises (IFGE)
Plus en détailRetraite 83 euro. Retraite 83 euro. La retraite supplémentaire des salariés en toute sécurité
Retraite 83 euro La retraite supplémentaire des salariés en toute sécurité Retraite 83 euro Les contrats de retraite article 83 sont désormais ouverts aux versements individuels et facultatifs des salariés.
Plus en détailCONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance
CONJONCT URE estre NOTE DE conjoncture TRIMESTRIELLE de L APEC N Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance Les recruteurs font toujours preuve de prudence dans leurs
Plus en détailGUIDE PRATIQUE. Du provisionnement des emprunts à risques
Ministère de l Égalité des territoires et du Logement Ministère de l Économie et des Finances GUIDE PRATIQUE Du provisionnement des emprunts à risques Application aux Offices Publics de l Habitat à comptabilité
Plus en détailRapport candidat. John Sample. 6 juillet 2012 CONFIDENTIEL
6 juillet 2012 CONFIDENTIEL Introduction 6 juillet 2012 Introduction Toutes les informations contenues dans ce rapport sont confidentielles et uniquement destinées à la personne ayant rempli le questionnaire.
Plus en détailEnquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques
Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Les résultats de l enquête sont analysés d après le nombre de variables explicatives pouvant influencer le comportement,
Plus en détailUn nouveau regard de l assurance au féminin : la «Hub Decider Woman» Paris, le 8 juin 2011
Résultats du premier Observatoire des femmes et l assurance Un nouveau regard de l assurance au féminin : la «Hub Decider Woman» Paris, le 8 juin 2011 Fiche méthodologique Cible : Hommes et femmes âgés
Plus en détailBaromètre du paiement électronique Vague 2
pour Baromètre du paiement électronique Vague 2 Frédéric Micheau Directeur adjoint Département Opinion et Stratégies d entreprise frederic.micheau@ifop.com Janvier 2012 Laurent Houitte Directeur Marketing
Plus en détailFrance. Conditions d ouverture des droits. Calcul des prestations. Indicateurs essentiels. France : le système de retraite en 2012
France France : le système de retraite en 212 Dans le secteur privé, le système de retraite repose sur deux piliers obligatoires : un régime général lié à la rémunération et des dispositifs professionnels
Plus en détailLES FICHES PRATIQUES DE FINANCES & PÉDAGOGIE
LES FICHES PRATIQUES DE FINANCES & PÉDAGOGIE Préparer sa retraite MA RET RAITE Sommaire Le système de retraite en France, deux grands principes...2 Pour les régimes du privé, du salariat agricole, de l
Plus en détailL OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013
L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES 25 ème rapport annuel Tableau de bord Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 La photographie des ménages détenant des crédits que propose la 25 ième
Plus en détailÉtude «analyse, reporting et budget» Niveau d équipement et attentes des PME françaises.
Étude «analyse, reporting et budget» Niveau d équipement et attentes des PME françaises. Mai 2009 Préface Les PME ont aujourd hui accès aux technologies déjà déployées dans les grandes entreprises. En
Plus en détailQuelle est l influence d une réduction des prestations d 1/5, via le crédit-temps et l interruption de carrière, sur le revenu du ménage?
Etudes Quelle est l influence d une réduction des prestations d 1/5, via le crédit-temps et l interruption de carrière, sur le revenu du ménage? Table des matières Introduction...7 Objectif, méthodologie
Plus en détailEnquête 2014 de Manuvie / Ipsos Reid sur la prospérité et la santé
Enquête 2014 de Manuvie / Ipsos Reid sur la prospérité et la santé Introduction Des employés engagés et productifs ont à cœur la réussite de leur employeur. Par leur attitude et leur confiance en eux,
Plus en détailRetraite du Service public! Préfon-Retraite : la retraite complémentaire du service public
Retraite du Service public! Préfon-Retraite : la retraite complémentaire du service public Préfon-Retraite : la retraite complémentaire du service public Préfon (Caisse nationale de prévoyance de la fonction
Plus en détailOBSERVATOIRE DU REGROUPEMENT DE CREDITS - Sondage PollingVox pour Bourse des Crédits -
OBSERVATOIRE DU REGROUPEMENT DE CREDITS - Sondage PollingVox pour Bourse des Crédits - PollingVox 67, rue Saint-Jacques 75005 Paris pollingvox.com SOMMAIRE Note technique... 3 Synthèse des résultats...
Plus en détailCe qu attendent les employeurs et les salariés de la complémentaire santé d entreprise
Centre de Recherche pour l Étude et l Observation des Conditions de vie CENTRE TECHNIQUE DES INSTITUTIONS DE PRÉVOYANCE Jeudi 12 février 2009 Ce qu attendent les employeurs et les de la complémentaire
Plus en détailSanté et relations humaines au travail Sommes-nous prêts à être plus performants?
Santé et relations humaines au Sommes-nous prêts à être plus performants? Principaux enseignements de l enquête Mesure Management Santé chez les entrepreneurs de CroissancePlus Les traits d'identité constitutifs
Plus en détailCECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique. Les Français, leur épargne et leur retraite
CECOP Centre d études et de connaissances sur l opinion publique Les Français, leur épargne et leur retraite FD/EP N 113015 Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Esteban Pratviel Département Opinion et Stratégies
Plus en détailGARANTIES ET SERVICES : LES ATTENTES DES SALARIES ET DES ENTREPRISES
Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie GARANTIES ET SERVICES : LES ATTENTES DES SALARIES ET DES ENTREPRISES Anne FRONTEAU-LOONES Marie-Odile SIMON Septembre 2002 Département
Plus en détailC R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques
C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants
Plus en détailLes dirigeants face à l innovation
Les dirigeants face à l innovation Vague 2 FACD N 111164 Contact Ifop : Flore-Aline Colmet Daâge Directrice d Etudes Département Opinion et Stratégies d'entreprise flore-aline.colmet-daage@ifop.com Mai
Plus en détailLa mobilité professionnelle revêt
Mobilité professionnelle 17 Du changement de poste au changement d entreprise, en passant par la promotion : la mobilité des Franciliens Les salariés franciliens, notamment les cadres, ont une propension
Plus en détailCette fiche présente des éléments généraux sur l assurance emprunteur et les travaux sur ce sujet du CCSF depuis sa création.
Assurance emprunteur Depuis 2004, le CCSF accorde une attention particulière au sujet de l assurance emprunteur afin que le consommateur puisse disposer de l information la plus pertinente possible et
Plus en détailLa prise en compte du travail à temps partiel dans les droits à retraite des différents régimes
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 9 juillet 2014 à 9 h 30 «Carrières précaires, carrières incomplètes et retraite» Document N 10 Document de travail, n engage pas le Conseil La prise
Plus en détailREFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES
REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES DOSSIER DE PRESSE FICHE 1 Une réforme pour réduire le coût des crédits renouvelables et
Plus en détailCe qu attendent les salariés et les employeurs français de leur complémentaire santé
Département Évaluation des Politiques Sociales Ce qu attendent les salariés et les employeurs français de leur complémentaire santé Anne Loones Février 2009 2 Sommaire CONTEXTE ET MÉTHODOLOGIE DE L ÉTUDE...
Plus en détailFM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise
FM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise 35 rue de la gare 75019 Paris Tél : 01 45 84 14 44 Fax : 01 45 85 59 39 pour Les Français
Plus en détailRAPPORT FINAL. Étude sur la littératie financière chez les jeunes POR # 441-07
POR # 441-07 RAPPORT FINAL Étude sur la littératie financière chez les jeunes Préparé pour : L Agence de la consommation en matière financière du Canada Date du rapport : Août 2008 This report is also
Plus en détailNote de présentation générale. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES 11 mai 2010 «Variantes de durée d assurance et d âges de la retraite» Dossier technique préparé par le secrétariat général du COR Document N 1 Document de travail, n
Plus en détailUN REVENU QUOI QU IL ARRIVE
UN REVENU QUOI QU IL ARRIVE Bienvenue chez P&V En vous confiant à P&V, vous choisissez un assureur qui recherche avant tout l intérêt de ses assurés. Depuis son origine, en 1907, P&V s appuie sur des valeurs
Plus en détailDirection des Ressources Humaines 14/10/04 CLASSIFICATION DU GROUPE CREDIT COOPERATIF
CLASSIFICATION DU GROUPE CREDIT COOPERATIF SOMMAIRE PREAMBULE P. 4 DISPOSITIONS GENERALES : I. Généralités P. 05 I.1. Définition de la classification P. 05 I.2. Relation classification emploi P. 05 I.3.
Plus en détail! " # $ % & '! % & & # # # # % & (
! " # $ % & '! % & & # # # # % & ( ' # $ " # # ) * ( + %, ' " # # # $ " '. / # #! 0 " $ ' # " # # " 1 $ " 1 " 1 # " / " 2 3 # $ " 2 3 1 4 # Information des instances Communication auprès du personnel
Plus en détailDISPOSITIF EN FAVEUR DU POUVOIR D ACHAT DES FONCTIONNAIRES GIPA 2008
DISPOSITIF EN FAVEUR DU POUVOIR D ACHAT DES FONCTIONNAIRES GIPA 2008 Eric WOERTH Ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique et André SANTINI Secrétaire d État chargé de la Fonction
Plus en détailEn 2010, le ménage guadeloupéen recourt moins au. Endettement des ménages guadeloupéens : Faible recours aux crédits à l habitat
Pages économiques et sociales des Antilles-Guyane N 36 - mai 2013 Endettement des ménages guadeloupéens : Faible recours aux crédits à l habitat En Guadeloupe, en 2010, un ménage sur trois est endetté
Plus en détailDossier retraite. Profil 1B. Année de naissance. Profil 1A
Dossier retraite Mise à jour : 10/03/2014 Vos ressources De quelles ressources disposerez-vous lors de votre départ en retraite? Elles sont de 5 natures : - La retraite sécurité sociale dite retraite de
Plus en détailLes instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions
Chapitre 9 Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions Savoir utiliser son argent est un art et un art qui paie. Comme toutes les ressources, l argent peut être utilisé à bon ou
Plus en détailL endettement privé des ménages début 2010
Dossier L endettement privé des ménages début 2010 Pierre Lamarche, Laurianne Salembier* Début 2010, 46 % des ménages sont endettés pour un motif privé, c est-à-dire sans lien avec l activité professionnelle,
Plus en détailAvenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations»
Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations» Point d étape de la négociation PPCR 10 Mars 2015 Discours d ouverture de Marylise LEBRANCHU Mesdames et Messieurs, Nous
Plus en détailSituation financière des ménages au Québec et en Ontario
avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur
Plus en détailANALY ANAL S Y E S PR
ANALYSE PROSPECTI IVE DES MÉTIERS DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS AUDA BATIMENT MÉTIERS DE LA PLOMBERIE NOVEMBRE 2014 1 1. L emploi 1 086 plombiers en 20122 soit 4% des salariéss de la production du
Plus en détail