Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum"

Transcription

1 Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE

2 PLAN Introduction Matériel et méthodes Discussion: 1. Rappel anatomique 2. Anapath 3. Technique 4. Principes de traitement utiles au radiologue 5. Interprétation conclusion

3 Introduction La résection incomplète des tumeurs rectales demeure la principale cause des récidives locorégionales du cancer du rectum. L objectif de ce travail est de montrer l intérêt de l IRM pelvienne avec antenne de surface en réseau phasé dans le bilan pré thérapeutique du cancer du rectum ainsi que son rôle dans le Staging T, N et dans la prédiction de la marge circonférentielle radiaire.

4 Materiel et méthodes Étude rétrospective de 30 dossiers de malades porteurs de cancer du rectum sur une période de 3 ans de 2006 à Ces patients ont été explorés par une IRM pelvienne avec antenne de surface en réseau phasé pré thérapeutique et un examen anatomopathologique de la pièce opératoire pour la plupart.

5 Protocole IRM Décubitus dorsal Pas de préparation digestive pour la plupart Quatre patients ont eu une opacification rectale par de l eau. IRM à 1,5 T Séquences réalisées: 1. Coupes en séquences SE T2 dans les trois plans 2. Trois plans après injection de gadolinium avec saturation de la graisse matrice haute résolution 512 Petit champ 20/25cm coupes fines (4mm)

6 Technique On commence par un plan sagittal T2 strict de localisation on positionne les coupes axiales obliques perpendiculaires au grand axe de la tumeur. Coupes coronales T2 perpendiculaires aux coupes axiales

7 Résultats: Clinique: Âge: entre 24 et 82 ans Sexe: prédominance masculine (21 hommes pour 9 femmes) Tous les patients se sont présentés pour un syndrome rectal avec rectorragies

8 Résultats: IRM Principe d interprétation: L interprétation de l IRM rectale doit répondre aux attentes du clinicien 1. Marge de résection longitudinale 2. Extension locorégionale (T et N Staging) 3. Marge de résection circonférentielle 4. Extension à l appareil sphinctérien 5. Lésions secondaires synchrones

9 Résultats: IRM Signal de la tumeur: Intermédiaire T2: 28 cas Hypersignal T2: dans deux cas d adénocarcinome mucineux Patient âgé de 33 ans Rectorragies coupe axiale T2: Adénocarcinome mucineux: hypersignal T2 de la tumeur

10 Résultats 1) Marge de résection longitudinale Marge de résection longitudinale: distance entre le pôle inférieur de la tumeur et la recoupe rectale inférieure prend en considération les angulations du rectum Haut rectum: 9 cas Moyen rectum: 9 cas Bas rectum: 12 cas

11 2) Stade T Résultats IRM Histologie Stade T2 8 9 Stade T3 9 8 Stade T4 13 cas IRM dont seulement deux patients ont été opérés (24 ans et 33 ans) les deux patients opérés ont un adénocarcinome colloïde muqueux stade T4 (24 ans et 33 ans) colloïde muqueux Un cas de faux positif T2

12 Résultats Patient âgé de 33 ans Rectorragies et syndrome rectal TR: processus bourgeonnant du bas rectum étendu au canal anal Coupe axiale T2: Épaississement pariétal quasi circonférentiel du bas rectum, en discret hypersignal T2 irrégulier, sans interruption du signal de la musculeuse : stade T2: Anapath: Adénocarcinome colloïde muqueux du bas rectum stade T2:

13 Résultats Patient âgé de 70 ans Rectorragies et AEG TR et rectoscopie: processus ulcéro-bourgeonnant du bas rectum IRM (A) (B): Coupe axiale T2 (A) et T1+ Gado (B): Epaissement tumoral pariétal du bas rectum bourgeonnant avec interruption du signal de la musculeuse et présence d images d addition tumorale nodulaire dans la graisse mésorectale (flèches)=> stade T3 Anapath: Adénocarcinome du bas rectum: stade T3

14 Résultats Patient âgé de 24 ans Rectorragies rectoscopie: processus tumoral bourgeonnant étendu à la marge anle Coupe sagittale T2: Tumeur du bas rectum envahissant l espace pré sacré et rétrogénital: stade T4 Coupe sagittale T2: Tumeur du bas rectum envahissant la vésicule séminale droite stade T4

15 Résultats 3) Stade N Pour les 18 patients opérés: IRM: 12 N1 Histologie : 14 N1 2 Faux négatifs

16 Résultats stade N Patiente âgée de 62 ans Syndrome rectal Rectoscopie: processus tumoral du bas rectum Coupe axiale T2: Tumeur du bas rectum classée T3 à l IRM (interruption du signal de la musculeuse Ganglion mésorectal de contours irréguliers par endroit (flèche) en discret hypersignal => N1 Anapath: Adénocarcinome bien différencié du bas rectum: => Stade T3N1

17 Résultats 4) Marge circonférentielle radiaire: CRM C est la plus petite distance séparant la tumeur du fascia recti Pour les 8 patients T3: On a considéré une valeur de CRM de 5mm à IRM Une marge de sécurité de 1mm à été considéré par les histologistes CRM <5mm (IRM) et <1mm (anapath) CRM > 5mm (IRM) et 1mm (anapth) IRM Histologie

18 Résultats Mesure de la CRM Coupe axiale SET2: tumeur du bas rectum stade T3 avec CRM< 5mm Histologie: concorde avec les résultats IRM: CRM< 1mm

19 Résultats 5) Extension sphinctérienne On mesure=> La Distance par rapport au sphincter interne: évaluée sur les coupes coronalest2 ou T1 Gado. La marge distale de sécurité pour l atteinte du sphincter anal est de 2cm=> conservation sphinctérienne 2cm

20 Résultats Pour les 12 cas de tumeur du bas rectum opérés, on a un envahissement du sphincter anal à l IRM et à l histologie dans 6 cas. Ces patient sont eu une amputation abdomino périnéale (distance Tumeur -sphincter <2cm dans tous les cas) Coupe axiale T1 avec injection Coupe axiale T1 avec injection de Gadolinium: Tumeur du bas rectum étendue au sphincter interne et externe

21 Résultats 5) Extension aux organes de voisinage Pour les 13 cas de T4 seulement deux patients ont été opérés. Pour ces deux patients, 1er patient: extension aux vésicules séminales, à l espace pré sacré et rétrogénital 2ème patient: extension à la prostate L examen histologique a confirmé l extension dans les deux cas.

22 DISCUSSION

23 Rappel anatomique En IRM, la paroi est mieux visualisée en T2, elle est formée par 3 couches : une muqueuse en hyposignal ( ) une sous muqueuse en hypersignal ( ) une musculeuse épaisse en hyposignal ( ) Le rectum est entouré par le mésorectum (espace cellulograisseux contenant les vaisseaux, les branches nerveuses et les lymphatiques du rectum). Le mésorectum ( ) est en hypersignal T2 Le fascia mésorectal ou fascia recti ou fascia peri rectal entoure le mésorectum Le fascia recti est une fine bande en hyposignal T1 et T2 ( ).

24 Rappel anatomique Au niveau du canal anal la musculeuse forme les sphincters interne ( ) et externe ( ). Ces sphincters sont en hyposignal T2 séparés par un plan intersphintérien ( ) en hypersignal. Après injection de gadolinium le sphincter interne prend le contraste de façon importante.

25 Anapath Classification TNM, mise à jour en 2002 TNM (UICC 2002) Tumeur Tis : Tumeur intra-épithéliale (carcinome in situ) ou envahissant le chorion T1 : Tumeur envahissant la sous-muqueuse, T2 : Tumeur envahissant la musculeuse, T3 : Tumeur envahissant la graisse péri-rectale, T4 : Tumeur envahissant au moins un organe de voisinage; Tx : la tumeur primitive ne peut être évaluée. Ganglions N0 : pas de métastase ganglionnaire Nx : ganglions non évalués N1 : 1 à 3 ganglions métastatiques régionaux N2 : 4 ganglions métastatiques régionaux ou plus Métastases M0 : pas de métastase M1 : métastases à distance (dont ganglions susclaviculaires T1 T2 T3 T4 Muqueuse Sous muqueuse musculeuse mesorectum Fascia recti

26 Technique 1) Préparation: Les avis concernant la préparation rectale sont très variables: Pas de préparation rectale pour certains. Lavement évacuateur avec administration intra rectale de gel d échographie, de produit de contraste supra magnétique, de glycérine, d air, de méthycellulose, d eau, de Gadolinium dilué => Bien délimiter les tumeurs mais si elle est excessive peut conduire à une distension rectale et une compression de la graisse du mésorectum risque de sous-estimer la marge circonférentielle radiaire. => Pas d avantage en terme de précision diagnostique Certains auteurs préconisent l injection d antispasmodiques par voie intramusculaire ou intraveineuse

27 2) Antennes: Technique Les avis sont variables concernant l utilisation d antennes endocavitaires ou de surface en réseau phasé Les avantages et les inconvénients de ces deux techniques sont résumés à partir d une revue de la littérature Antenne endorectale + Bonne évaluation de l extension pariétale. + Meilleure visualisation de l appareil sphinctérien + Analyse des tumeurs à un stade précoce. -) Limitée par les lésions sténosantes, les lésions du haut rectum. -) Champ de vue limité -) mauvaise interprétation de la CRM -) mauvaise évaluation de l extension des tumeurs volumineuses. -) ne permet pas l analyse de l extension aux organes de voisinage. -) Détecte les ganglions du mésorectum mais ne visualise pas les ganglions pelviens. -) Echec technique dans 40% des cas, risque de traumatisme Antenne de surface -) mauvaise précision pour les tumeurs superficielles T2 + Bonne visualisation de l appareil sphinctérien + Bon rapport signal sur bruit haute résolution spatiale pour un large champ d exploration (FOV large couvrant l ensemble du pelvis) + Bonne interprétation de la CRM + Bonne évaluation de l extension des tumeurs volumineuses et évoluées T3/T4 + Analyse de l extension aux organes de voisinage + Détection des ganglions du mésorectum et pelviens avec une bonne sensibilité une mauvaise spécificité. + Meilleure tolérance

28 Principes de traitement utiles au radiologue 1 Chirurgie Le traitement chirurgical dépend de la marge longitudinale 1. Le haut rectum: Tumeur intra péritonéale 1/3 supérieur du rectum 11à15cm de la marge anale Repère anatomique: plan des vésicules séminales Résection antérieure

29 Principes de traitement utiles au radiologue 1 Chirurgie 2 moyen et bas rectum exérèse totale du mésorectum TME Plan de clivage avasculaire suivant le fascia mésorectal Respecte au mieux les plexus hypogastriques Le curage ganglionnaire n est pas systématique (sauf s il existe des ganglions en dehors du mésorectum) Tumeur du bas rectum: 2à 5.5cm de la MA: AAP Ou conservation sphinctérienne partielle pour T4=resection intersphinctérienne RIS RIS emporte la partie supérieure du sphincter interne: 2 conditions: Tumeur à plus de 1cm de la MA RIS Tumeur peu évoluée

30 Principes de traitement utiles au radiologue 2 traitement néoadjuvant Radio et chimiothérapie => Tumeurs du bas et moyen rectum évoluées Diminuent les récidives locales Altérent l état fonctionnel et risque de surmortalité Indications: T3 T4 N+ T3 avec marge circonférentielle> 1mm tt néoadjuvant ou chirurgie seule IRM (prédire le marge circonférentielle pour éviter le tt néoadjuvant)

31 Stratégie thérapeutique Recommandations 2005 Cancer du moyen et du bas rectum (pôle inférieur < 10 cm de la marge anale) Diagnostic de lésion rectale: TR Echoendoscopie rectale (+TDM TAP) T1-T2 N0 Chirurgie seule T3-T4 et/ou N+ IRM Marge latérale>1mm Marge latérale<1mm Standard: Radiothérapie Chirurgie Option: Chirurgie Radio chimiothérapie Chirurgie

32 Marge longitudinale L IRM nous a permis de prédire la marge longitudinale dans tous les cas. C est un moyen plus fiable que la rectoscopie au tube rigide dans la mesure de la marge longitudinale IRM>>TR et la Rectoscopie

33 Signal tumoral Dans la littérature, le signal de la tumeur varie selon le type histologique (c est le cas de nos patients): Adénocarcinome liberkhunien: signal intermédiaire, en hypersignal par rapport à la musculeuse mais en hyposignal par rapport à la sousmuqueuse en séquence T2 Adénocarcinome mucineux: franc hypersignal T2

34 Extension locorégionale: Stagging T Stagging T: Repose sur une bonne visualisation des constituants de la paroi La précision variant de 65 à86% pour la précision T dans la littérature Dans notre série, un cas de faux négatif: un stade T2 classé par excès en T3 Cette surestimation est due à la présence d une réaction desmoplastique (réaction fibro inflammatoire) prise pour de la tumeur. Extension tumorale: une image d addition nodulaire ou à base large en continuité avec la tumeur dans la graisse péri-rectale. R desmoplastique => hyposignal marqué des spiculations

35 Extension locorégionale: Stagging T Coupe axiale T2: Petites réactions desmoplastiques en hyposignal T2 à ne pas confondre avec des images d addition tumorale Histologie: T2

36 Extension locorégionale: Stagging T Le T stagging n est pas le véritable enjeu de l IRM La confusion entre un T2 et un petit T3 a pas de conséquences thérapeutiques traitement chirurgie d emblée La distinction entre T3 avec marge de résection envahie et celle avec marge de résection faible est importante traitement néo adjuvant et chirurgie

37 Extension ganglionnaire Staging N facteur de risque majeur de récidive locale. Deux cas de faux négatifs dans notre étude il s agit de ganglions de petite taille <5mm en hyposignal intérêt de prendre en considération tous les critères de ganglions métastatiques vu la fréquence des micrométastases. Coupe axiale T2: ganglion mésorectal postérieur <5mm en hyposignal T2 faussement classé bénin.

38 Extension ganglionnaire stagging N Certains auteurs définissent les Critères IRM pour différencier les ganglions métastatiques des ganglions bénins=> 1. Taille : petit axe> 5mm 28% envahis 2. Rapport petit axe/grand axe <1,5 3. Contours irréguliers, spiculés ou flous 4. Signal hétérogène en motte, hypersignal T2, 5. certaines études proposent l utilisation de produit de contraste supra magnétiques captés par le système réticulo endothélial => hyposignal des ganglions réactionnel => hypersignal des ganglions pathologiques

39 Extension à l appareil sphinctérien L IRM pelvienne nous a permis dans tous les cas de détecter l envahissement sphinctérien ainsi que de mesurer de la marge distale de sécurité pour l atteinte du sphincter anal Dans la littérature, l IRM permet dans 66 à 76% d évaluer l extension au sphincter anal. La discordance avec les données de la littérature est lié au nombre limité de malades dans notre série.

40 Marge circonférentielle radiaire ou marge latérale 1ér paramètre prédictif de récidive locale Pour certains auteurs la CRM dépend de: L extension tumorale La richesse naturelle en graisse du mésorectum. Dans la littérature il existe une discordance quand à la valeur de la CRM en IRM (5 mm ou 6 mm), ceci est lié à la valeur minimale prise par les histologistes: 1mm pour 5mm en IRM et 2mm pour 6mm. Dans notre étude on a eu un cas de faux positif qui est du à la présence d une réaction desmoblastique => diminue la valeur de la CRM

41 Extension aux organes de voisinage Il est important de bien délimiter l extension pour planifier l exérèse tumorale et définir le volume cible de la radiothérapie. Pour certains auteurs l IRM est plus sensible que le scanner pour l extension à l utérus, au vagin et à la paroi pelvienne. Pour d autres, un scanner thoraco-abdominal fait dans le cadre du bilan d extension à distance peut évaluer l extension aux organes de voisinage.

42 CONCLUSION L IRM pelvienne avec antenne de surface en réseau phasé est l examen de choix pour le bilan d extension locorégional essentiellement pour les tumeurs rectales évoluées T3 ou T4 pour déterminer la marge de résection circonférentielle et pour les tumeurs du bas rectum l extension à l appareil sphinctérien. Les limites de cette technique sont l étude de Les limites de cette technique sont l étude de l extension ganglionnaire et l interprétation de la réaction desmoplastique

43 references 1. C Hoeffel, MD Marra, L Azizi et al, Bilan pré opératoire des cancers du rectum en IRM pelvienne haute résolution avec antenne en réseau phasé, J Radiol 2006;87: R G H Beet et -Tan, G L Beets, R F A Vliegen et al; Accuracy of magnetic resonance imaging in prediction of tumour-free resection margin in rectal cancer surgery, Lancet 2001; 357: Dromain C. Imagerie des cancers du rectum et du canal anal. EMC (Elsevier Masson SAS, Paris), Radiodiagnostic-Appareil digestif, A-20, Gastro-entérologie, A-20, C. Penna, Adénocarcinome du rectum : quelles explorations préthérapeutiques pour quels cancers? (Elsevier Masson SAS, Paris), Gastroentérologie Clinique et Biologique (2008) 32, S126 S Professeur Paul LEGMANN, Place de l IRM dans le bilan d extension du cancer du rectum JFR 6. P. Bulois, Cancer du rectum : bilan preoperatoire, Colon Rectum (2007) 1: Preoperative Staging of Rectal Cancer: Comparison of 3-T High-Field MRI and Endorectal Sonography AJR 2006; 187: Lasser P. Cancers du rectum. Actualisation. EMC (Elsevier SAS, Paris), Gastro-entérologie, A-12, L. Arrivé, Comment je fais une IRM du rectum, Feuillets de Radiologie 2006, 46, n 4, Elsevier Masson SAS 10. Michael H. Fuchsjäger et al, Comparison of Transrectal Sonography and Double-Contrast MR Imaging When Staging Rectal Cancer, AJR 2003;181: C Anthonioz-Lescop et al, Corrélation IRM-échoendoscopie dans le bilan d extension locorégional initial du cancer du rectum, J Radiol 2007;88:

44 references 12. Maha Torabi et al, Current Concepts in Lymph Node Imaging, J Nucl Med 2004; 45: A. Slater et al, Distance between the rectal wall and mesorectal fascia measured by MRI: Effect of rectal distension and implications for preoperative prediction of a tumour-free circumferential resection margin, Clinical Radiology (2006) 61, Joo Hee Kima et al, High-resolution MR imaging for nodal staging in rectal cancer: are there any criteria in addition to the size? European Journal of Radiology 52 (2004) M.J. Lahaye et al, Imaging for Predicting the Risk Factors the Circumferential Resection Margin and Nodal Disease of Local Recurrence in Rectal Cancer: A Meta-Analysis, Semin Ultrasound CT MRI 26: Elsevier Inc. 16. V. Goh et al, Local radiological staging of rectal cancer, Clinical Radiology (2004) 59, Shandra Bipat et al, Rectal Cancer: Local Staging and Assessment of Lymph Node Involvement with Endoluminal US, CT, and MR Imaging A Meta-Analysis, Lymphatic system, neoplasms Rectum, neoplasms, Christian Klessen et al, Local staging of rectal cancer: the current role of MRI, Eur Radiol (2007) 17: S.M.E. Engelen et al, Location of involved mesorectal and extramesorectal lymph nodes in patients with primary rectal cancer: Preoperative assessment with MR imaging, EJSO 34 (2008)

IRM du Cancer du Rectum

IRM du Cancer du Rectum IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

Apport de l IRM dans la

Apport de l IRM dans la Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction

Plus en détail

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt

Plus en détail

Tumeurs rectales Bilan initial et Imagerie

Tumeurs rectales Bilan initial et Imagerie Tumeurs rectales Bilan initial et Imagerie Ou en est on plus de 10 ans après? Valérie LAURENT(1) François JAUSSET (1) Laurence CHONE(2) Laurent BRESLER(3) Adeline GERMAIN (3) Thibaut FOUQUET(3) Didier

Plus en détail

APPORT DE L'IRM DANS LE BILAN D'EXTENSION LOCOREGIONALE DES TUMEURS RECTALE

APPORT DE L'IRM DANS LE BILAN D'EXTENSION LOCOREGIONALE DES TUMEURS RECTALE ROYAUME DU MAROC UNIVERSITE SIDI MOHAMMED BENABDELLAH FACULTE DE MEDECINE ET DE PHARMACIE FES UNIVERSITESIDI MOHAMMED BEN ABDELLAH FES APPORT DE L'IRM DANS LE BILAN D'EXTENSION LOCOREGIONALE DES TUMEURS

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie

Plus en détail

Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire

Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des

Plus en détail

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge

Plus en détail

Cancers de l hypopharynx

Cancers de l hypopharynx Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome

Plus en détail

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE 1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS

Plus en détail

OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE

OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie

Plus en détail

Images en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique

Images en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe

Plus en détail

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP

Plus en détail

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome

Plus en détail

Échographie normale et pathologique du grand pectoral

Échographie normale et pathologique du grand pectoral Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement

Plus en détail

IRM APRES TRAITEMENT RADICAL OU FOCAL du cancer de prostate. Raphaële Renard Penna Emmanuel Banayan Hôpital Pitié Salpétrière

IRM APRES TRAITEMENT RADICAL OU FOCAL du cancer de prostate. Raphaële Renard Penna Emmanuel Banayan Hôpital Pitié Salpétrière IRM APRES TRAITEMENT RADICAL OU FOCAL du cancer de prostate Raphaële Renard Penna Emmanuel Banayan Hôpital Pitié Salpétrière Prise en charge du cancer de prostate 120000 patients 7% active surveillance

Plus en détail

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan

Plus en détail

Incontinence anale du post-partum

Incontinence anale du post-partum Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop

Plus en détail

Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque

Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface

Plus en détail

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université

Plus en détail

CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE

CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy

Plus en détail

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction

Plus en détail

La nouvelle classification TNM en pratique

La nouvelle classification TNM en pratique La nouvelle classification TNM en pratique Thierry Berghmans Département des Soins Intensifs et Oncologie Thoracique Institut Jules Bordet Bruxelles, Belgique Bases historiques 1946 : Denoix invente le

Plus en détail

INFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie

INFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée

Plus en détail

Les différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07

Les différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel

Plus en détail

Mise au point sur l IRM l troubles de la statique pelvienne chez la femme

Mise au point sur l IRM l troubles de la statique pelvienne chez la femme Mise au point sur l IRM l et les troubles de la statique pelvienne chez la femme V.FAUTH P.MESTDAGH M.COSSON J.P.LUCOT E.PONCELET Service d imagerie d médicalem Hôpital Jeanne de Flandres - CHRU Lille

Plus en détail

De la chirurgie du nodule aux ganglions

De la chirurgie du nodule aux ganglions De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée

Plus en détail

LA RADIOTHÉRAPIE DANS LE CANCER DU RECTUM : quand, comment et pourquoi?

LA RADIOTHÉRAPIE DANS LE CANCER DU RECTUM : quand, comment et pourquoi? LA RADIOTHÉRAPIE DANS LE CANCER DU RECTUM : quand, comment et pourquoi? P. Martinive (1), D. Vandaele (2), E. Lennerts (3), M. Polus (2), C. Coimbra (4), L. Kohnen (4), J. Vanderick (1), J. Collignon (5),

Plus en détail

Actualités s cancérologiques : pneumologie

Actualités s cancérologiques : pneumologie Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique

Plus en détail

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert

Plus en détail

Les traitements du cancer invasif du col de l utérus

Les traitements du cancer invasif du col de l utérus JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES

Plus en détail

M2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum. Coordination : Pr Hahnloser

M2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum. Coordination : Pr Hahnloser M2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum Coordination : Pr Hahnloser Pathologie Dr. Maryse Fiche Cancers colo-rectaux Précurseurs : Images et figures : Robbins 8è Edition Objectifs d apprentissage : SCLO

Plus en détail

Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.

Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement

Plus en détail

L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS

L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l

Plus en détail

Qu est-ce que le cancer du pancréas?

Qu est-ce que le cancer du pancréas? Cancer du pancréas Qu est-ce que le cancer du pancréas? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique

Plus en détail

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables

Plus en détail

F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France

F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France 18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital

Plus en détail

Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)

Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN) UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:

Plus en détail

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic

Plus en détail

Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie

Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose

Plus en détail

PROJET DE RECHERCHE. FSF 91 boulevard de Sébastopol 75002 Paris

PROJET DE RECHERCHE. FSF 91 boulevard de Sébastopol 75002 Paris 2015 PROJET DE RECHERCHE Apport de la fluorescence pour la détection des ganglions sentinelles dans les cancers du sein FLUO-BREAST Praticien Hospitalo-universitaire Chirurgie cancérologique gynécologique

Plus en détail

1 of 5 02/11/2012 14:03

1 of 5 02/11/2012 14:03 1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça

Plus en détail

schémas du by-pass gastrique pour obésité morbide

schémas du by-pass gastrique pour obésité morbide Femme de 58 ans, opérée d un by-pass gastrique 2 ans auparavant. Depuis 10jours, nausées et vomissements. Quels sont les éléments sémiologiques significatifs à retenir sur ls images scanographiques après

Plus en détail

Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002

Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale

Plus en détail

Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique

Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation

Plus en détail

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du

Plus en détail

Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)

Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition

Plus en détail

Histoire d une masse pancréatique

Histoire d une masse pancréatique Histoire d une masse pancréatique Marie Luce Auriault Michael Levy Frédéric Pigneur Claude Tayar, et Iradj Sobhani CHU Henri Mondor Pour GHIF Samedi 13 Juin 2009, Histoire de la maladie Femme 66 ans consulte

Plus en détail

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique

Plus en détail

Qu est-ce que le cancer de l œsophage?

Qu est-ce que le cancer de l œsophage? Cancer de l œsophage Qu est-ce que le cancer de l œsophage? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique

Plus en détail

Revue de la littérature

Revue de la littérature Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction

Plus en détail

Sein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc

Sein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire 3 types Mastites infectieuses Mastites non infectieuses Cancer inflammatoire 2 situations cliniques Allaitement Hors

Plus en détail

Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie

Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Congrès de la SFO Mai 2011 M. Le Loir (Brest), E. Mancel (Nouméa), L.W. Hirst (Brisbane) Dysplasie

Plus en détail

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer colorectal

GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer colorectal GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer colorectal Février 2008 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise en œuvre

Plus en détail

Le cancer dans le canton de Fribourg

Le cancer dans le canton de Fribourg Le cancer dans le canton de Fribourg Le cancer du poumon dans le canton de Fribourg, analyses statistiques réalisées sur la base des données récoltées par le Registre fribourgeois des tumeurs depuis début

Plus en détail

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation

Plus en détail

Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du

Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du cancer : enjeux et opportunités Début de cartographie des enjeux cliniques et technologiques gq Jean-François MENUDET, Cluster I-Care Cartographie

Plus en détail

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien : Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne

Plus en détail

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie

Plus en détail

Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2

Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux

Plus en détail

À PROPOS DU. cancer colorectal. Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient

À PROPOS DU. cancer colorectal. Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient À PROPOS DU cancer colorectal Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient Table des matières Qu est-ce que le cancer colorectal?... 1 Les stades du cancer colorectal... 2 Quels sont

Plus en détail

Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési

Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge

Plus en détail

Pathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie

Pathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie Pathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie Szwarc D.(1), Bour L.(1), Chapron J.(2), Gibault L.(3), Gouya H.(1), Abdelli O.(1), Fregeville A.(1), Silvera

Plus en détail

Cancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009

Cancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009 traitements, soins et innovation juin 2009 recommandations professionnelles Cancer de l ovaire traitements adjuvants et de consolidation COLLECTION recommandations & référentiels RECOMMANDATIONS DE PRISE

Plus en détail

Les cancers de la prostate

Les cancers de la prostate Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir comment faire appel

Plus en détail

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT

Plus en détail

Lymphome non hodgkinien

Lymphome non hodgkinien Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome

Plus en détail

GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer du sein

GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer du sein GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer du sein Janvier 2010 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise en œuvre de

Plus en détail

F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010

F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un

Plus en détail

IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir

IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre

Plus en détail

Quels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?

Quels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein? Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.

Plus en détail

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence

Plus en détail

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son

Plus en détail

Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre

Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites

Plus en détail

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient! Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique

Plus en détail

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan

Plus en détail

Case report. Hernie de Spiegel: a propos d un cas. Open Access

Case report. Hernie de Spiegel: a propos d un cas. Open Access Case report Open Access Hernie de Spiegel: a propos d un cas Karim Ibn Majdoub Hassani 1,&, Fatimzohra Zahid 1, Hicham Anoune 1, Imane Toughrai 1, Said Ait Laalim 1, Khalid Mazaz 1 1 Service de chirurgie

Plus en détail

INCONTINENCE URINAIRE

INCONTINENCE URINAIRE INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour

Plus en détail

Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003

Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures

Plus en détail

L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique. http://www.e-mri.

L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique. http://www.e-mri. L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique http://www.e-mri.org D HOA, A MICHEAU, G GAHIDE, E LE BARS, C CYTEVAL, M ZANCA, P DUJOLS,

Plus en détail

UTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS

UTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS UTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS À L ACTE DE LA RAMQ POUR IDENTIFIER LES CAS DE CANCER NON DÉCLARÉS AU FICHIER DES TUMEURS DU QUÉBEC ÉTUDE DE FAISABILITÉ VOLET : CANCER DE LA PROSTATE DIRECTION PLANIFICATION,

Plus en détail

Dépistage du cancer colorectal :

Dépistage du cancer colorectal : Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990

Plus en détail

Introduction. Lésion pulmonaire dite suspecte en l absence l nignité:

Introduction. Lésion pulmonaire dite suspecte en l absence l nignité: Comparaison entre scanner et morphotep dans l él évaluation du stade TNM d une d lésion l pulmonaire suspecte S Ciprian-Corby (1), L Meyer-Bisch (1), MA Muller (2), P Olivier (2), A Bertrand (2), D Régent

Plus en détail

Qu est-ce que le cancer du sein?

Qu est-ce que le cancer du sein? Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO

Plus en détail

Synthes ProPlan CMF. Service de planification et produits spécifiques de patient pour la chirurgie craniomaxillo-faciale.

Synthes ProPlan CMF. Service de planification et produits spécifiques de patient pour la chirurgie craniomaxillo-faciale. Synthes ProPlan CMF. Service de planification et produits spécifiques de patient pour la chirurgie craniomaxillo-faciale. Exécution en bloc opératoire de procédures planifiées en préopératoire Réduction

Plus en détail

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,

Plus en détail

Cancer de l œsophage. Comprendre le diagnostic

Cancer de l œsophage. Comprendre le diagnostic Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Lorsqu on lui annonce qu elle a un cancer, une personne peut se sentir seule, avoir peur et être dépassée par

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

Classi cation TNM du cancer bronchique

Classi cation TNM du cancer bronchique Revue des Maladies Respiratoires Actualités (2014) 6, 388-394 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com Classi cation TNM du cancer bronchique TNM classi cation for the lung cancer J.-P. Sculier Service

Plus en détail

Focus. Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés.

Focus. Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés Focus Juillet 2007 Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Conception et réalisation

Plus en détail

Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques

Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Examen National Classant Module transdisciplinaire 10 : Cancérologie, onco-hématologie Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Mélanomes NOUVEAU P. SAIAG (Ambroise Paré, Boulogne Billancourt), J.-J.

Plus en détail